0 évaluation0% ont trouvé ce document utile (0 vote)
10 vues16 pages
Le parlement malaisien adopte une loi contre les fausses nouvelles.
Le Parlement malaisien a adopté le 2 avril 2018 une « loi anti-Fake News ». Ce texte vise à réprimer les publications susceptibles de tromper le public ainsi que les actes facilitateurs (aides financières) de telles publications. Par « fausse nouvelle », la loi entend « toute nouvelle, information, données et rapports, qui sont en tout ou en partie faux, que ce soit sous forme de caractéristiques, d'images ou d'enregistrements audio ou sous toute autre forme susceptible de suggérer des mots ou des idées ». Les personnes reconnues coupables d'avoir enfreint la loi risquent une amende maximale de 500.000 dollars et une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à six ans.
La Malaisie est le premier pays à adopter une loi de cette ampleur criminalisant les fausses nouvelles, même si d'autres pays (l’Allemagne, par exemple) ont tenté de résoudre les problèmes à plus petite échelle.
La France se prépare à légiférer à son tour d'une manière qui revienne sur le caractère extrêmement restrictif, par suite d'une interprétation judiciaire très ancienne, du délit de fausses nouvelles (loi de 1881) et qui tienne compte, compte en Malaisie, de l'importance contemporaine des publications numériques.
Le parlement malaisien adopte une loi contre les fausses nouvelles.
Le Parlement malaisien a adopté le 2 avril 2018 une « loi anti-Fake News ». Ce texte vise à réprimer les publications susceptibles de tromper le public ainsi que les actes facilitateurs (aides financières) de telles publications. Par « fausse nouvelle », la loi entend « toute nouvelle, information, données et rapports, qui sont en tout ou en partie faux, que ce soit sous forme de caractéristiques, d'images ou d'enregistrements audio ou sous toute autre forme susceptible de suggérer des mots ou des idées ». Les personnes reconnues coupables d'avoir enfreint la loi risquent une amende maximale de 500.000 dollars et une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à six ans.
La Malaisie est le premier pays à adopter une loi de cette ampleur criminalisant les fausses nouvelles, même si d'autres pays (l’Allemagne, par exemple) ont tenté de résoudre les problèmes à plus petite échelle.
La France se prépare à légiférer à son tour d'une manière qui revienne sur le caractère extrêmement restrictif, par suite d'une interprétation judiciaire très ancienne, du délit de fausses nouvelles (loi de 1881) et qui tienne compte, compte en Malaisie, de l'importance contemporaine des publications numériques.
Le parlement malaisien adopte une loi contre les fausses nouvelles.
Le Parlement malaisien a adopté le 2 avril 2018 une « loi anti-Fake News ». Ce texte vise à réprimer les publications susceptibles de tromper le public ainsi que les actes facilitateurs (aides financières) de telles publications. Par « fausse nouvelle », la loi entend « toute nouvelle, information, données et rapports, qui sont en tout ou en partie faux, que ce soit sous forme de caractéristiques, d'images ou d'enregistrements audio ou sous toute autre forme susceptible de suggérer des mots ou des idées ». Les personnes reconnues coupables d'avoir enfreint la loi risquent une amende maximale de 500.000 dollars et une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à six ans.
La Malaisie est le premier pays à adopter une loi de cette ampleur criminalisant les fausses nouvelles, même si d'autres pays (l’Allemagne, par exemple) ont tenté de résoudre les problèmes à plus petite échelle.
La France se prépare à légiférer à son tour d'une manière qui revienne sur le caractère extrêmement restrictif, par suite d'une interprétation judiciaire très ancienne, du délit de fausses nouvelles (loi de 1881) et qui tienne compte, compte en Malaisie, de l'importance contemporaine des publications numériques.