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Matrimonio nell'antichità
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Syllabus: Le mariage dans la Grèce antique

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Dans la Grèce antique, le mariage était-il avantageux pour une jeune femme?

Mylène Lalonde, Histoire et civilisation

Dans l’Antiquité, à l’époque classique de la Grèce, nous vîmes apparaître un système


d’éducation révolutionnaire chez les citoyens. À Athènes, les jeunes garçons se devaient
d’apprendre avec des maîtres les rudiments de l’écriture, de la philosophie, des
mathématiques et de bien d’autres sujets encore. Cependant, que faisaient les filles dans
leur jeunesse ? Pendant l’enfance, elles étaient éduquées par leur mère à la poésie, à la
musique, à la danse, mais surtout à prendre soin d’une maison. Entre douze et seize ans, on
mariait les jeunes filles de citoyens à des hommes dans la trentaine. Était-ce un avantage
pour elles ? Avaient-elles plus de droits en étant mariées ? D’après les recherches actuelles,
nous constatons que même si elles avaient un peu plus d’importance, elles demeuraient
soumises à l’autorité des hommes. Nous croyons qu’elles avaient donc peu de droits mais
davantage de devoirs. Dans cet essai, nous tenterons de caractériser le mariage à cette
époque en exposant le rôle des femmes à l’intérieur de la famille et en identifiant leurs
droits légaux.

En observant les mécanismes du mariage dans la Grèce antique, nous nous rendons compte
que la jeune femme n’a pas plus de droits en tant que femme mariée qu’en tant que fille.
Pour le choix de son époux, la future épouse n’avait aucun droit de regard. L’amour dans le
mariage n’existait pas avant l’union. La demande était une sorte de contrat entre un homme
et le père de la jeune fille qu’il convoitait. Cet homme ne prenait d’ailleurs pas épouse pour
le plaisir; le mariage était une obligation de citoyen. Cet acte ne changera donc pas la vision
péjorative que l’homme avait de la femme. Sémonide résuma assez bien l’opinion générale
des hommes de cette époque sur les femmes : «Car c’est le plus grand mal qu’a créé Zeus en
nous entourant de liens intangibles . » Quand la demande était acceptée par le père,
l’homme recevait une dot et amenait la jeune fille dans sa maison après une cérémonie
religieuse. La femme mariée changeait alors son culte familial pour adopter celui de son
mari. À cette époque, la perception du sacré se caractérisait par des rituels en l’honneur des
ancêtres défunts. Par conséquent, la jeune femme changeait, par l’acte du mariage, ses liens
familiaux; elle n’avait donc plus de lien avec sa famille de sang. En résumé, avec le mariage,
la jeune fille passait d’un état de soumission à son père à un état de soumission à son mari.
Ses droits n’avaient pas changé. Si elle devenait veuve ou si elle était répudiée, elle passait
sous la tutelle d’un autre homme. La femme grecque était une éternelle mineure du point
de vue juridique. Ce qui nous amène à réfléchir sur son statut légal.
Comme l’âge de la majorité était inexistant pour les femmes, on pourrait croire que le
mariage des filles de citoyens apportait à celles-ci le droit de décider du sort de leur nation
et le droit d’action dans la vie politique de la cité-État. Il n’en était rien. D’ailleurs, leur
éducation ne leur permettait en rien de s’impliquer dans la vie hors de la maison. Alors
qu'avant son mariage, la jeune fille ne pouvait pas sortir de chez elle autrement qu'en la
présence de son père, une fois mariée, elle ne pouvait sortir autrement qu'accompagnée de
son mari. Elle ne pouvait pas non plus participer, à quelques exceptions près, aux fêtes et
aux événements sportifs de la cité. La femme n’avait pas le droit de faire appel à la justice à
moins que son mari ne le fasse pour elle. Par conséquent, la jeune fille, même mariée, ne
pouvait être propriétaire et ne gérait aucuns biens par elle-même. L’octroi de la dot est un
bon exemple de cela. Qu’elle soit mariée, répudiée ou veuve, l’argent passait toujours aux
mains d’un tuteur citoyen. De plus, la jeune fille ne pouvait prétendre à aucun héritage. Le
mari laissait tout l’héritage à ses fils et le père ne reconnaissait plus le lien de parenté
l’unissant à sa fille. Le statut de la femme dans la société grecque se résumait à être la fille
de son père puis l’épouse de son mari. Il n’en reste pas moins que son rôle dans la famille et
dans l’État-cité était très important.

Le rôle et les responsabilités de la jeune fille étaient très différents après son mariage. À
vrai dire, cela n’améliorait guère sa condition et ses droits. Tout en obéissant à l’homme de
la maison, la femme devait superviser le travail domestique dans la maison. Elle devait
aussi s’occuper de l’éducation des enfants en bas âge. Ainsi, cela libérait l’homme qui
pouvait alors s’adonner totalement à sa vie de citoyen. Le rôle le plus important de l’épouse
était de donner des citoyens à la société grecque pour continuer le culte des ancêtres et
apporter la richesse dans la maison. Alors que son seul rôle social était la procréation, les
enfants qu’elle mettait au monde ne lui appartenaient pas. La décision de vie ou mort était
prise par le mari et la femme n’avait rien à y voir. De plus, si après huit ans de mariage le
couple n’avait pas eu d’enfants, le mari pouvait renvoyer son épouse, sans son
consentement, chez son père. Il arrivait aussi souvent qu’après la naissance du fils tant
attendu, le mari la répudie. Comme nous pouvons le constater, même si la jeune femme
avait toujours un statut d’enfant, ses devoirs n'étaient plus ceux d’une mineure.

Nous constatons donc que la jeune fille nouvellement mariée n’était pas avantagée par
rapport à sa situation précédente. Ses droits n’avaient pas changé avec l’acquisition de son
statut d’épouse tandis que ses responsabilités au sein de la société et de la famille avaient
beaucoup augmenté. Cependant, nous oublions trop souvent qu’en Grèce les citoyens
n’étaient qu’une minorité. Qu’en était-il des femmes des autres couches sociales ? La
concubine et la courtisane étaient-elles mieux traitées, plus libres? …

Le Passé composé, no 5 (mars 2003)

© CVM, 2004

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L’AMORE NELL’ANTICA ROMA E NELL’ANTICA


GRECIA
(a cura di Bruno Silvestrini)

All’inizio della storia di Roma, le ragazze si sposavano giovanissime, dai dodici anni in poi, e
i matrimoni erano esclusivamente combinati, come per i Greci. E come le donne greche,
anche le romane, imparata la lezione degli uomini castrati, ma capaci di avere un’erezione,
non esitavano un attimo a far castrare gli schiavi più belli. A partire dalla fine della
Repubblica, le romane acquistarono grande libertà e il divorzio divenne una pratica
corrente, al punto che scrittori latini come Giovenale e Marziale, per esempio, raccontano di
donne sposate anche dieci volte.
Nel sottile gioco dell’erotismo, la romana impara ad agghindarsi, a truccarsi, a nascondere
le imperfezioni fisiche e ad esaltare i suoi punti forti.Nel godere di questa nuova libertà,
frequentano le terme (che fino al secondo secolo dopo Cristo saranno miste), imparano a
danzare e a conoscere i giochi di società. E innamorarsi diventa proprio come un gioco. Un
proverbio in uso all’epoca diceva:”E’ giocando che spesso nasce l’amore”. Tra le rovine di
Pompei, distrutta dall’eruzione del Vesuvio nel 79 a.c., sui muri di alcune strade e di edifici
pubblici sono stati trovati graffiti d’amore che recitano: “Se tu avvertissi il fuoco dell’amore,
ti affretteresti maggiormente per vedere Venere. Io amo teneramente un ragazzo giovane e
bello” oppure: “Oh, come vorrei avere le tue adorate braccia attorno al mio collo e baciare
le tue tenere labbra!”

Ma non era una novità: più di settanta anni prima, a celebrare il corteggiamento e l’amore
come piacere, il poeta latino Ovidio aveva scritto “L’arte d’amare”, un vero e proprio
manuale per insegnare all’uomo come conquistare una donna, con consigli che al giorno
d’oggi possono anche farci sorridere, come questo: “Basta che tu ti sieda accanto a lei e che
al suo fianco tu stringa il tuo quanto più puoi. E se per caso, come succede, le si posa in
grembo un granello di polvere, tu, pronto, cogli con le dita quel granello; e se non c’è nulla,
coglilo lo stesso.” Ma ne “L’arte di amare” si parla anche di come curare regolarmente e
migliorare il proprio aspetto fisico, del fatto che le donne devono essere pregate a lungo, di
come sia importante far loro regali, ricordarsi dei compleanni ed essere gentili e
premurosi…
L’EROS NELL’ANTICA ROMA
L’amore i tradimenti e le perversioni di un’epoca hanno lasciato molte tracce di sé nei
costumi e nella mente dell’uomo moderno. Tutto cambia e tutto rimane quello che una
volta era, ancora una volta sarà. “Le strappai la tunica; trasparente non era di grande
impaccio, ella tuttavia lottava per restarne coperta; ma poiché lottava come una che non
vuole vincere, rimase vinta facilmente con la sua stessa complicità. Come, caduto il velo,
stette davanti ai miei occhi, nell’intero corpo non apparve alcun difetto. Quali spalle, quali
braccia vidi e toccai! La forma dei seni come fatta per le carezze! Come liscio il ventre sotto
il petto sodo! Come lungo e perfetto il fianco, e giovanile la coscia. A che i dettagli? Non vidi
nulla di non degno di lode. E nuda la strinsi, aderente al mio corpo. Chi non conosce il
resto? Stanchi ci acquietammo entrambi. Possano giungermi spesso pomeriggi come
questo!” (OVIDIO, Amori, I, 5. )

IL TRADIMENTO

Nell’antica Roma la bigamia era punita ma per effetto delle vedovanze e dei divorzi molti
uomini e donne finivano per sposarsi più di una volta. Erano frequenti i matrimoni fra
persone con una forte differenza di età ciò portava come si può immaginare a casi di
adulterio che erano regolati inizialmente con una legge non scritta ma che veniva
regolarmente praticata; l’amante della moglie colto in flagrante era alla mercé del marito
tradito che poteva sbizzarrirsi infliggendogli varie pene: la tortura del rafano o quella del
mugile, con la quale il malcapitato veniva sodomizzato con le radici assai piccanti di rafano
o con un mugile, pesce assai noto per la sua voracità; altre pene consistevano nel taglio del
naso e delle orecchie, l’evirazione, la sodomizzazione personale da parte del marito tradito
o dei suoi schiavi o all’imposizione di praticare la fellatio, che era ritenuta dai romani
quanto di più abietto per un cittadino libero. La donna invece veniva più frequentemente
condannata alla morte per inedia o sepolta viva. Le donne Romane ricorrevano spesso alla
pratica dell’aborto (abortum facere). Giovenale ne da una descrizione calzante: ” Giulia
libera gli uteri fecondi con ogni sorta di sostanze abortive” e dice che i suoi farmaci erano
così potenti da rendere sterile una donna o da uccidere il feto nel suo grembo. Tale pratica
fu regolata dalla Lex Cornelia proposta da Silla nell’81 a.C. con cui si puniva con la
deportazione e la confisca dei beni chi produceva l’aborto e se questo portava alla morte
della donna che vi si sottoponeva, stessa sorte toccava a chi lo praticava.

FILTRI D’AMORE E PRATICHE MAGICHE

Per attirare la donna o l’uomo desiderato, si ricorreva spesso anche a pratiche magiche
come filtri amorosi, frasi magiche ecc. Si racconta che Caligola impazzì per un filtro datogli
dalla moglie Cesonia. Si praticavano anche riti simili a quelli voodoo, come quello delle
statuette che venivano messe sul fuoco: una era fatta di cera e si doveva sciogliere (come il
cuore della persona amata) l’altra era fatta di terra e si induriva ( come il cuore dell’amata
nei confronti degli altri spasimanti) diventando terracotta. Altre pratiche consistevano in
sacrifici umani che spesso e volentieri coinvolgevano giovinetti che perdevano così la loro
vita in favore di un amore che non si sarebbe mai avverato.

OMOSESSUALITA’

La società romana anche se rifiutava gran parte dei costumi che contraddistinguevano
quella greca ne dovette subire gli influssi introdotti dal sempre maggior numero di schiavi
di origine ellenica. Uno di questi costumi era la pederastia che i romani chiamavano “vizio
greco” ed era considerata un segno di debolezza rispetto al fiero e virile carattere con cui si
identificava il cittadino romano. Si riteneva che portasse alla corruzione dei giovani romani,
infatti molti giovinetti erano nelle mire sessuali di molti maschi adulti e per questo venne
pubblicata una legge (Lex Scatinia) in materia di pederastia secondo la quale in caso di
rapporto fra adulti e puer o praetextati (da praetexta, la tunica bianca orlata di porpora che
portavano i ragazzi ancora non maturi sessualmente) veniva punito solo l’adulto.

L’omosessualità non era condannata se praticata con schiavi e liberti (in quanto era dovere
di questi compiacere in tutto e per tutto le volontà del loro padrone), ma era deprecabile
che un cittadino libero assumesse un ruolo passivo nei confronti di un altro suo pari. La ex
Scatinia diceva che in caso di omosessualità tra due cittadini liberi, veniva punito quello che
tra i due assumeva l’atteggiamento passivo. La multa era molto salata e ammontava a circa
10.000 sesterzi. Anche il grande Cesare non fu risparmiato da dicerie che lo ritenevano
omosessuale, in quanto dopo la conquista della Gallia si diceva che avesse una relazione
amorosa con il Re di Bitinia, Nicomede; e sembra che i suoi soldati cantassero “Cesare ha
sottomesso la Gallia. Nicomede ha sottomesso cesare” e gli avversari politici si rivolgevano
a lui chiamandolo direttamente “regina”, ma lui non se la prendeva e sfoderava a sua difesa
le conquiste femminili: Postumia, Lollia, Tertulla e Mucia, tutte mogli di illustri cittadini
romani.

Altro personaggio rimasto famoso per la sua omosessualità era l’Imperatore Adriano che
per la sua relazione con Antinoo alla cui morte avvenuta per annegamento nel fiume
mentre l’imperatore era in viaggio in Egitto, si era lasciato andare alla disperazione e
successivamente aveva dato il nome alla città da lui fondata in quel luogo: Antinoe. Con
l’avvento dell’impero si assistette ad un’ondata moralizzatrice fino ad arrivare nel 438 d.C.
con Teodosio II, alla condanna al rogo di tutti gli omosessuali passivi. Per finire invece
Giustiniano espande la pena a tutti gli omosessuali sia attivi che passivi.

LA PROSTITUZIONE

Roma prevedeva tutta una serie di leggi per regolamentare la prostituzione. I lupanara
dovevano essere aperti solo di sera e collocati solo fuori città. Le prostitute dovevano
essere registrate e non potevano mantenere il nome di famiglia. Giovenale racconta che
Messalina frequentava i postribula, travestita e sotto falso nome (Lycisca). Le prostitute
dovevano farsi riconoscere indossando una veste speciale e rinunciare alle bende che le
matrone oneste mettevano sui capelli. Il fenomeno della prostituzione si andava sempre
più espandendo e ci fu chi prese la palla al balzo per rimpinguare le casse dello stato, infatti
Caligola introdusse una tassa per chi praticava questa “professione”.

Il termine lupanare viene da “lupa”, il nome con cui venivano chiamate le meretrici; anche
la mitologia romana dice che gli stessi fondatori di Roma, Romolo e Remo erano stati
adottati da una “lupa”, nome ambiguo, infatti Acca Laurentia la moglie del pastore che li
aveva trovati era una “lupa” cioè prostituta; altri nomi ancora oggi conosciuti sono
“puttana” dal latino putere, puzzare e “troia” altra radice dispregiativa che fa riferimento
alle femmine del maiale e quindi “troiaio”, porcile, il luogo fetido e sporco dove stavano le
prostitute.

Grande sviluppo alla prostituzione fu dato dall’avvento del culto della Venere Ericina che
differentemente dall’antico culto dell’antica Venere tutta castità praticato fino a quel
momento era caratterizzato da una spiccato portamento verso la sessualità. Il culto della
Venere Ericina venne importato a Roma dalla Sicilia per propiziarsi i suoi favori in vista
dell’ attacco a Cartagine durante la seconda guerra punica, infatti, la Sicilia era il punto di
partenza della spedizione romana; ma la particolarità consisteva nel fatto che le cerimonie
propiziatorie alla dea erano gestite da sacerdotesse che praticavano la prostituzione
rituale, tutto questo rappresentò una sorta di permesso ad intraprendere la “professione”.
Successivamente vennero fatti vari tentativi di restaurare la versione casta della dea, ma
ormai la Venere siciliana aveva preso il sopravvento fino a diventare addirittura simbolo di
fecondità, fertilità e successo.

Alla fine dell’epoca repubblicana la situazione a Roma si era talmente ingigantita che il
fenomeno della prostituzione era diffuso in ogni angolo della città. Nel Satyricon si racconta
che Encolpio dopo essersi perso per le vie di Roma chiede indicazioni ad una vecchietta la
quale essendo però una procacciatrice di clienti lo accompagna direttamente in un
bordello. La diffusione della pratica dell’amore mercenario e la mancanza di adeguate
norme di igiene, favorì il propagarsi delle malattie sessuali; il medico romano Celso,
riferendosi quasi certamente alla Gonorrea o Scolo descrive una malattia dell’epoca in
questi termini:” La regione sessuale va soggetta ad una malattia che é un flusso di semenza,
che senza stimolazione erotica, senza visioni notturne, esce con abbondanza tale da far
morire il paziente dopo un certo tempo, per consunzione.”; Quinto Sereno descrivendo
alcune ulcerazioni sui genitali dice: ” strane piaghe ulceranti deturpano fortemente ed in
modo orribile le parti genitali, esse si possono curare con i rami di rovo.”; Marziale
riferendosi presumibilmente alla sifilide: ” Una malattia vergognosa ha distrutto la ghiotta
parte.”, mentre sia Celso che Plinio fanno riferimento ai Condylomata, malattie di
trasmissione sessuale oggi conosciute come Condilomi o Creste di gallo. A parte tutto , i
Romani apprezzavano molto l’amore a pagamento, ciò é dimostrato dal fatto che
Domiziano, per attirarsi le grazie del popolo, durante i festeggiamenti per la vittoria
riportata sui Germani, fece lanciare i gettoni per una “consumazione” nei lupanari.
L’AMORE NELL’ANTICA GRECIA
Nella Grecia la donna vive tutta la vita sottoposta all’autorità di un padrone che
normalmente é prima il padre e poi il marito: la donna libera non differisce dagli schiavi
per quanto riguarda i diritti politici e giuridici. La sfera di influenza di cui gode é
esclusivamente la casa: la donna sposata che gode della fiducia dello sposo governa la casa
con autorità e per gli schiavi essa é la padrona. Ma ella é priva di diritti, dipende
completamente dal marito, e la fiducia di cui gode può essere revocata in qualsiasi
momento. Caso a sé é Sparta, dove, per la preoccupazione di migliorare i geni dei futuri
guerrieri, si incoraggiava l’educazione fisica delle ragazze al pari di quella dei ragazzi, per
cui si potevano vedere giovani Lacedemoni con vesti corte e cosce nude.

Comunque anche se le giovani Spartane erano agili e muscolose, la possibilità di una


educazione intellettuale mancava a loro come alle ragazze di Atene. Venivano loro date solo
poche nozioni pratiche sui lavori domestici più qualche elemento di lettura, di calcolo,
talvolta di musica e di danza (famosi sono i cori di giovinette a Sparta). Queste gravi lacune
nell’educazione delle ragazze spiegava la mancanza di comunione intellettuale tra moglie e
marito, che era generalmente ben istruito.
A Sparta almeno giovani e ragazze si conoscevano di vista prima del matrimonio ed erano
addirittura al corrente della loro autonomia, mentre ad Atene i futuri sposi potevano non
essersi mai visti. In questa concezione di matrimonio le considerazioni economiche
dominano ancora le idee morali. Nell’Atene classica, infatti, il padre cede la figlia al futuro
sposo con un atto legale, confermato e accompagnato dall’assegnazione della dote, che
garantisce la legittimità dell’unione e dei figli che ne saranno frutto. Si riteneva che, per
contrarre un matrimonio conveniente, l’uomo dovesse sposare una ragazza del suo stesso
ambiente, né inferiore né superiore: ciò a cui si dava risalto era la prosperità materiale
della famiglia e, ovviamente, la fecondità della donna.
Stando così le cose é difficile immaginare che tra gli sposi ateniesi dell’età classica ci fosse
una reale comunanza di spirito e di sentimenti, un affetto coniugale, ed erano scarsi lo
scambio intellettuale e il vero amore tra gli sposi: le mogli legittime erano considerate
unicamente come madri di famiglia e guardiane del focolare.

L’AMORE NELLA FILOSOFIA GRECA

Il concetto di amore nelle teorie filosofiche si estende, dal suo significato primo di
sentimento di affezione ad una altra persona e che implica una scelta che tende alla
reciprocità e all’unione, ad una vasta gamma di sentimenti, dal desiderio di possesso di un
qualsiasi oggetto che ci procura piacere all’amore verso enti ed oggetti ideali fino all’amore
considerato come principio cosmico. E’ in quest’ultima accezione che l’amore compare per
la prima volta e viene assimilato da Empedocle a una forza agente nell’universo
contrapposta all’Odio e alla Contesa (neìkos).

IL MATRIMONIO
Il matrimonio rappresenta l’evento culminante della vita del tìaso; é infatti il principale
obiettivo a cui le ragazze si sono preparate grazie all’ educazione di Saffo. La cerimonia
nuziale aveva luogo di sera, quando apparivano le prime stelle e durante la processione che
accompagnava la sposa nella casa del novello sposo veniva cantato un inno nuziale, un
imenéo e fino al mattino successivo venivano poi eseguiti altri canti. L’apparizione della
stella della sera rappresenta l’inizio della cerimonia e uno dei temi ricorrenti é proprio
l’invocazione a Espero: “Espero, tutto riporti quanto disperse la lucente Aurora: riporti la
pecora, riporti la capra, ma non riporti la figlia alla madre.”

Un esempio di cattiva salute del matrimonio ci viene dal libro XIV dell’Iliade intitolato Dios
Apàte (inganno a Zeus). La dea, per distogliere dalla battaglia il marito e permettere così la
vittoria greca lo seduce servendosi di tutte le armi di seduzione femminile e utilizzando
una cintura magica, ottenuta anche qui con l’inganno da Afrodite. Era cerca di alimentare il
desiderio di Zeus con gli strumenti propri della seduzione, ma il suo vero intimo desiderio é
ostile a Zeus: nonostante nel culto essi siano congiuntamente i patroni del matrimonio, nel
mito sono spesso in discordia e lottano tra loro per il predominio. Era non é una docile
casalinga né una sposa innamorata e Zeus intrattiene legami sentimentali con altre donne.
Tutti questi elementi forniscono un’importante testimonianza della situazione piuttosto
critica dell’Eros nelle relazioni coniugali già al tempo di Omero.

LE OCCASIONI AMOROSE DELL’UOMO GRECO IN ETA’ CLASSICA

“Abbiamo le etere per il piacere, le concubine per la soddisfazione quotidiana del corpo, le
mogli per darci figli legittimi e per avere una custodia fedele della casa”. così l’orazione
pseudodemostenica Contro Neera, 122, definisce la varia configurazione dei rapporti
erotici dell’Atene dell’età classica. Al vertice della considerazione sociale stava la sposa, con
la quale l’uomo aveva contratto matrimonio. Lo scopo del matrimonio era la procreazione
di figli legittimi, che potessero ereditare e mantenere il patrimonio di famiglia. Il marito
poteva nutrire grande rispetto per la sposa in quanto madre dei suoi figli e organizzatrice
dell’oìkos, la casa di famiglia, ma raramente nutriva un autentico sentimento di amore per
una donna che non aveva scelto di persona e che poteva non avere mai visto prima del
matrimonio.

LA CONDIZIONE DELLA DONNA

In Atene la donna non gode di diritti politici né giuridici. La città é principalmente un


mondo di uomini, e la vita del maschio adulto é suddivisa tra le due attività della guerra e
della politica. In questa civiltà maschilista, la donna tuttavia é indispensabile per la
procreazione di figli legittimi che assicurino la trasmissione dei beni di famiglia e la
continuità della polis. Essa pertanto seppur in una condizione di minorità trova il suo
ambiente ideale all’interno delle pareti domestiche, ove sovrintende da padrona alle
faccende svolte dalla servitù, tanto più che il marito passa il suo tempo fuori anche per più
giorni, intento nei lavori agricoli o nella partecipazione alla vita politica e giudiziaria. Rare
parentesi di vita fuori casa sono per la donna le occasioni connesse con il culto. Per la vita
della donna libera ateniese, dunque, il matrimonio é l’evento più importante, quello che ne
fissa definitivamente il ruolo civile, a meno che non intervenga una separazione o un
ripudio.

Nel primo caso la donna fa ritorno alla tutela della propria famiglia, nel secondo, qualora il
ripudio sia dovuto all’adulterio, la donna é rovinata perché perde l’unico diritto civile che le
é riconosciuto, quello di partecipare alle cerimonie pubbliche a lei riservate,
rappresentando la famiglia con dignità matronale. Il matrimonio non ha una precisa
istituzionalità giuridica, in quanto condivide gli aspetti di consuetudine che sono propri di
tutto il diritto greco. Essa si formalizza all’atto della eggùe, pegno o garanzia, cioé di un
impegno verbale privato, assunto da due famiglie in presenza di testimoni, madiante il
quale il padre consegna la ragazza allo sposo. La giovane diventa una sposa legittima dal
giorno in cui inizia la coabitazione: questa può seguire immediatamente, ma può anche
essere rinviata. E’ significativo il caso della sorella di Demostene, che il padre aveva legato
con una promessa di matrimonio poco prima di morire, quando la figlia aveva solo cinque
anni. Si tratta di un caso estremo, ma utile a capire che il matrimonio era un contratto
legato alla successione dei beni di famiglia, certo non era il frutto della libera scelta di due
giovani. Questa particolare fisionomia patrimoniale ne determinava la forza e, nel
contempo, la debolezza: se si evitava un divorzio perché avrebbe comportato la rescissione
del contratto patrimoniale e la restituzione della dote, il matrimonio, così concepito, doveva
prevedere poca intimità e poco vero amore tra i coniugi. Ciò comportava necessariamente
un deterioramento dei rapporti uomo-donna, che diede vita anche in campo letterario a
una vasta produzione misogina.

I RAPPORTI EXTRACONIUGALI

Al matrimonio non mancavano altre occasioni per soddisfare tanto i suoi impulsi erotici
quanto il bisogno d’affetto o di rapporti intellettuali. Sebbene nell’età classica fosse di
regola la monogamia, talora entro le pareti domestiche poteva essere tollerata ed era
legalmente tutelata la presenza di una concubina, pallakè. Questa costituiva in pratica un
doppione della moglie legittima, dalla quale si differenziava principalmente perché la sua
presenza non era garantita da alcun impegno formale, e pertanto poteva essere congedata
quando il padrone lo riteneva. D’altra parte si può ritenere che l’uomo greco, che teneva in
casa una concubina, nutrisse per lei un rapporto affettivo o, quanto meno, sentisse una
attrattiva materiale molto più intensi a confronto della moglie.

Figura completamente diversa è quella dell’etera. Il termine hetaìra, propriamente amica,


compagna, viene spesso tradotto in italiano con cortigiana, ma è ben distinto dalla pòrne, la
prostituta dietro compenso. L’etera solitamente una straniera o una schiava, è la figura di
donna veramente libera: si mostra in pubblico, partecipa a banchetti con uomini, è spesso
colta, esperta nella danza e nella musica e con queste arti intrattiene i commensali
suonando il flauto o danzando. Se la bellezza e l’intelligenza dell’etera in assoluto più
famosa, la milesia Aspasia per la quale Pericle aveva ripudiato la moglie legittima, sarà
stata eccezionale, si può tuttavia ritenere che il fascino di queste donne derivasse in gran
parte dalla loro bellezza e raffinatezza, forse più che dalla soddisfazione sessuale che
potevano offrire, e che mostrarsi in pubblico con un’etera di gran classe fosse per l’uomo
che poteva permettersi di mantenerla un simbolo di successo.

Più rischiosa la pratica dell’adulterio, che era considerato reato e disciplinato da una legge
a noi nota attraverso l’orazione demostenica contro Aristocrate 53: “Qualora uno uccida un
uomo suo malgrado nei giochi o abbattendolo per strada o in guerra senza conoscerlo, o
per averlo sorpreso presso la moglie o la madre o la sorella o la figlia o la concubina che
mantenga per procreare figli legittimi, l’uccisore non sia soggetto ad accusa”. L’impunità
riconosciuta all’uccisore dell’adultero non è da attribuire, come si potesse pensare, a una
sorta di giustificazione per causa d’onore o a una considerazione psicologica dello stato
d’animo dell’uccisore. L’uccisione dell’adultero è infatti assimilata ad altre tre circostanze
di reato non omogenee, la terza delle quali, l’uccisione del brigante, prevede il caso della
legittima difesa. Il fatto che la legge intenda come adulterio intrattenere rapporti non solo
con una donna maritata, ma anche con una donna nubile o con una concubina, dimostra che
il reato non lede l’interesse del marito alla fedeltà della sposa, ma l’interesse del gruppo
familiare, dell’oìkos, che può essere inquinato dall’introduzione di figli bastardi.

La soppressione dell’adultero è quindi una atto di legittima difesa, esercitato dal capo
dell’oìkos a tutela di un bene di sua proprietà, non diverso da quello del padrone di casa
che uccide il ladro sorpreso a rubare. Questo spiega perché fare violenza a una donna fosse
considerato un reato meno grave che sedurla: l’atto di violenza, ratto o stupro che fosse, si
configurava dal punto di vista della parte lesa come una offesa che non implicava il
consenso della donna e quindi non le alienava la fiducia del marito.

Malgrado il rigore delle leggi non era raro che anche le donne ingannassero i loro mariti:
l’orazione di Lisia Per Eufileto racconta con abbondanza di particolari piccanti come la
moglie di Eufileto conobbe durante un funerale il seduttore Eratostene, che riuscì poi a
raggiungere la donna grazie all’aiuto di una ancella e a goderne l’affetto finche, tradito da
una amante gelosa che aveva lasciato, fu sorpreso dal marito in flagranza di reato e ucciso.

ESPRESSIONE E INIBIZIONE

Da quanto si è detto parrebbe di dover concludere che l’uomo greco godesse della più
ampia libertà sessuale. In realtà, il primo contrassegno di inibizione sessuale si incontra a
livello linguistico: a partire da Omero, che pure, secondo gli statuti enciclopedici dell’epica,
descrive meticolosamente ogni attività quotidiana, l’attività sessuale non trova descrizioni
adeguate. Anche l’età classica si esprime all’insegna dell’eufemismo: “andare con qualcuno”
è, come per noi, una perifrasi che indica il rapporto intimo; “sappiamo che cosa” è un modo
per indicare gli organi genitali. Si potrebbe pensare che il tabù linguistico dipenda
dall’eleganza letteraria, ma l’atteggiamento dei filosofi esprime disprezzo per il sesso:
soprattutto il cinismo, nella sua spasmodica ricerca dell’autosufficienza, vedeva nella
masturbazione il modo più semplice per soddisfare il desiderio fisiologico. Socrate
paragonava il desiderio di Crizia per Eutidemo al bisogno che prova un maiale setoloso di
calmare il prurito sfregando il dorso contro una pietra. La castità era praticata sia per
vincoli di ordine religioso sia per necessità inerenti alle pratiche guerriere, che
rappresentano la più prestigiosa attività dell’uomo greco. In questo senso, l’autodisciplina
del sesso, era assimilata alla capacità di sopportare la fame, la sete, il sonno, e rientrava tra
le forme di privazione che venivano incoraggiate presso i giovani per temprare la
resistenza fisica dei futuri soldati.

LA SESSUALITA’

Un’idea precisa sul sesso e la sua concezione nell’antica Grecia lo si può avere della pitture
vasali. Vi erano vasi a carattere religioso-devozionale, il più delle volte associati alla
fertilità, altri erano a carattere apotropaico, altri ancora erano sicuramente intesi a
stimolare sessualmente. Infine vi erano alcuni vasi di intento umoristico, nei quali l’artista
dipingeva le sue fantasie, rappresentando soprattutto creature mitologiche nell’atto di
compiere il rapporto sessuale in ogni modo possibile. Nella prima categoria rientrano vasi
che rappresentano il Matrimonio Sacro, ossia rapporti sessuali di uomini e animali; questi
vasi venivano offerti a un tempio o a un santuario, con la supplica per la fertilità di una
donna, un gregge o un campo. Il Matrimonio Sacro era un rito rurale collegato alla fertilità
della terra e associato al culto di Dioniso.

Nella seconda categoria rientrano vasi e sculture che, attraverso la rappresentazione del
fallo, erano intesi a scacciare il male: di conseguenza Atene era piena di erme, ossia colonne
quadrangolari sormontate dalla testa di Ermes e con un fallo in erezione. Infine, nell’ultima
categoria rientrano vasi con rappresentazioni erotiche intese all’eccitazione sessuale, da
non confondere con la pornografia, in quanto venivano usati nei simposi. Questi vasi nella
maggior parte rappresentano uomini con donne, mentre sono pochi quelli con temi
pederastici.

Sono rappresentati tutti i modi e le posizioni possibili del coito: vaginale, anale, il contatto
sulle cosce, la fellatio, il cunnilingus, l’onanismo, l’uso di strumenti di piacere, ménage a
trois, sessantanove, sadismo, orge, bestialità ecc..

Vi è però una differenziazione tra le rappresentazioni erotiche del VI secolo e quelle del V e
IV secolo a.C.; sino a verso la fine del VI secolo, le scene rappresentate, inizialmente su vasi
a figure nere e più tardi a figure rosse, includono esclusivamente rapporti vaginali e anali,
mentre sono assenti scene di sesso orale e orgiastico. Queste pratiche non erano quindi
completamente accettabili. Scene di orge risalenti allo stesso periodo riguardano o Satiri
con Satiri o Satiri con Menadi: questo sta a significare che un tale tipo di condotta non era
appropriato per gli esseri umani. Più tardi verso la fine del VI secolo, in un periodo in cui i
simposi erano diventati un costume radicato, scene di fellatio, cunnilingus e orge
cominciano ad apparire per la prima volta sui kylikes, le coppe principali usate in quei
banchetti.
Il fatto che questo genere di illustrazioni siano riconducibili ai simposi è deducibili da
particolari quali le corone di fiori sul capo degli uomini, i flauti e le nacchere tenuti e
suonati dalle etere, triclini ecc.. Questo probabilmente indica che tale condotta era accettata
solo nel contesto dei simposi. Il cunnilingus era ritenuta comunque una pratica impropria
(come si può dedurre anche da alcuni passi tratti dalle commedie di Aristofane- Pace, 884-5
e Vespe 1180-83-), in quanto era considerato sminuente per un uomo dare piacere a una
donna senza trarne a propria volta. Nel caso della fellatio, in cui è la donna a dare piacere,
l’uomo di fatto resta passivo, essendo la donna a svolgere la parte attiva, ed essere passivo
era inaccettabile per un uomo.

Per bilanciare la passività dell’uomo, l’artista rappresenta sempre le donne inginocchiate,


in una posizione di sottomissione, e con i tratti del viso alterati. E’ interessante notare come
la più diffusa posizione del missionario non si trovi raffigurata da nessuna parte, ma di
solito si vedano donne piegate in avanti, inginocchiate, sdraiate sulla schiena con i piedi
appoggiati sulle spalle dell’uomo: quest’ultima posizione ha il vantaggio di offrire una
buona visuale dei genitali maschili, cosa che era nell’intenzione dell’artista. Le posizioni
tradizionali non sono rappresentate in quanto non erano abbastanza esplicite e
secondariamente l’artista non voleva rappresentare la donna in stato di sottomissione. Nei
visi dei protagonisti è comunque assente un’espressione sentimentale, fatta accezione di
una oinokè dove sono rappresentati un giovane uomo e un’etera della stessa età. Per qual
che riguarda il coito anale, pare fosse socialmente accettabile, in quanto non risultano testi
o illustrazioni di condanna. Non vi era nessuna legge contro la bestialità, probabilmente per
il fatto che non era praticata dai Greci: le sole scene del genere o erano associate a soggetti
mitologici o riguardavano Satiri e Menadi. Tuttavia esisteva una legge contro lo stupro per
proteggere le donne e i bambini, sia nati liberi sia schiavi. La pena consisteva in
un’ammenda e il colpevole doveva pagarla due volte: una alla vittima e una allo stato. Lo
stupro era un serio atto criminale e quindi l’ammenda doveva essere alta in proporzione:
secondo una legge emanata da Solone, il violentatore doveva pagare cento dracme
(Plutarco, Solone).

LA PROSTITUZIONE

Si può speculare che la prostituzione sia sempre stata praticata in Grecia sotto varie forme.
Agli inizi del VI secolo a.C. finì il periodo della prostituzione incontrollata, quando il
legislatore Solone istituì i primi bordelli di Atene, per facilitare gli adolescenti
intraprendenti e evitare che commettessero adulterio con donne rispettabili. Si dice che
Solone, con il denaro incassato da queste prime case chiuse, fece costruire il tempio
dedicato ad Afrodite Pandemo, la dea patrona dell’amore a pagamento (Ataneo, 13, 569d).

In greco la parola prostituta é pòrne, e deriva del verbo pérnemi (vendere), ossia colei che
é in vendita. Inizialmente la parola descriveva soltanto la professione e non aveva il
significato dispregiativo che assunse successivamente. Le prostitute erano schiave o ex
schiave liberate, ma potava trattarsi anche di meteci, ossia libere, ma straniere immigrate, o
bambine abbandonate, oppure donne ateniesi cadute in rovina. Ad Atene, indurre una
donna alla prostituzione era assolutamente proibito e punito da una legge istituita da
Solone. Sappiamo da Plutarco che: “Se qualcuno funge da lenone, la pena é un’ammenda di
venti dracme, a meno che non si tratti di quelle donne che manifestamente si danno a
quanti le paghino. E comunque, nessuno deve vendere le proprie figlie o sorelle, a meno che
non abbia sorpreso una ragazza non sposata a concedersi a un uomo” (Solone, 23). I lenoni
erano uomini o donne delle più basse condizioni sociali che sfruttavano una o più
prostitute; il lenocinio, se denunciato e provato, poteva risultare anche nella pena di morte
del IV secolo a.C.: “La legge sancisce che i lenoni, donne o uomini, debbano essere
denunciati, e quelli tra loro trovati colpevoli, essere condannati a morte” (Eschine).

Le prostitute entravano in varie categorie, a seconda dei luoghi che frequentavano e dove
esercitavano le professione: perciò, c’erano le chamaitypaì, la categoria più antica, così
chiamate perché lavoravano all’aperto, sdraiate; le perepatétikes (passeggiatrici), che
trovavano i clienti passeggiando e poi li portavano nelle loro case; le gephyrides, che
lavoravano nelle vicinanze dei ponti; altre ancora frequentavano i bagni pubblici e infine
c’erano quelle che lavoravano negli oikìskoi (piccole case, bordelli). Poco a poco il numero
dei postiboli aumentò e a quanto ci dice Ateneo, nessuna città aveva tante prostitute
quanto Atene, fatta eccezione di Corinto, dove veniva praticata la Prostituzione Sacra. La
tariffa per una visita a un postibolo nel V secolo era di solito di un obole (sei oboles
corrispondevano a una dracma), come ci informa lo storico Ateneo (13, 568-9), ma le
ragazze potevano essere pagate anche in natura. Il costo corrispondeva al guadagno
giornaliero di un operaio manuale senza alcuna specializzazione. Numerose sono le
illustrazioni che rappresentano scene dalle case di piacere ma la stragrande maggioranza
ritrae l’ammissione di clienti, la trattativa con la donna, il pagamento e molto raramente
l’atto sessuale in sé. Probabilmente le uniche illustrazioni di coito in un postibolo, e che si
possono certamente identificare con quello, sono su una copertura di uno specchio del IV
secolo a.C.. Nella parte interna ed esterna sono raffigurate due coppie che fanno l’amore.
Ciò che distingue il luogo dove si svolge l’atto sessuale, sono i letti: entrambi hanno coperte
e cuscini; i triclini dei simposi non avevano né l’uno né l’altro.

L’OMOSESSUALITA’

Dai Greci dell’età classica era considerato vergognoso il rapporto omosessuale tra adulti;
non destava invece nessuno stupore che un uomo si sentisse sessualmente attratto da un
bel ragazzo imberbe e che intrattenesse con lui rapporti erotici. Non si trattava però di una
vera e propria omosessualità, nel senso che l’amore omosessuale coesisteva con le pratiche
eterosessuali e probabilmente, in qualche misura, anche le influenzava: la pittura vascolare
a alcuni epigrammi ellenistici mostrano casi di sodomia eterosessuale. D’altra parte, il
ragazzo, una volta adulto prendeva regolarmente moglie e a sua volta amava donne e
ragazzi.
Le ragioni di questa sorta di polivalenza sessuale sono da ricercare sia nella segregazione
dei sessi nell’adolescenza, che avrà contribuito ad instaurare pratiche destinate a
mantenersi in età adulta, sia, soprattutto, nel fatto che il rapporto tra gli uomini era l’unico
che prevedesse un partner di pari livello, scelto liberamente e conquistato dopo un
regolare corteggiamento: una soluzione all’insegna del disinteresse delle parti, che certo
non aveva luogo né con la sposa legittima, frutto di un accordo familiare né con etere e
prostitute, che erano per lo più straniere o schiave prezzolate, e forse nemmeno con la
concubina, che pure beneficiava di integrazione familiare.

Non mancano gli esempi nella letteratura come nel mito: la poetessa Saffo canta il suo
amore per le ragazze del circolo del tiaso, il lirico Teognide dedica interi componimenti alla
formazione morale del suo giovane amante Cirno, Zeus per avere il bel Ganimede sempre
accanto a lui lo porta sull’Olimpo donandogli l’immortalità. L’amore omosessuale é stato
dunque uno spunto fondamentale per la produzione letteraria dall’epoca arcaica all’età
classica e assumeva un ruolo basilare e quasi istituzionale nella formazione intellettuale dei
giovani preparandoli ad affrontare i diversi aspetti della vita da adulti.

L’OMOSESSUALITA’ MASCHILE

E’ opinione comune che nella Grecia antica l’omosessualità, da intendersi come rapporto
tra due soggetti adulti dello stesso sesso, fosse una pratica diffusa. In realtà, la relazione
sessuale tra due adulti non era ammessa, e non si trattava di semplici legami sessuali, ma di
relazioni pederastiche. In epoca classica, quando la filosofia, la poesia, la musica e l’atletica
sono in continua evoluzione, gli uomini diventano sempre più raffinati, sia fisicamente sia
mentalmente, mentre le donne rimangono escluse da tutto questo. Il risultato fu che gli
uomini non avevano argomenti di discussioni con le proprie mogli, le quali, essendo
sempre confinate all’interno delle mura domestiche, non potevano sviluppare alcun
interesse spirituale o avere cura del proprio corpo, in quanto non avevano accesso
all’atletica. Perciò i Greci, che erano sempre stati amanti della bellezza, non ebbero altra
scelta che rivolgersi all’armonia del corpo maschile, ben allenato, ed al suo colto spirito. Le
due cose andavano insieme, come attesta la massima: “sano nel corpo, sano nella mente”. Il
corpo veniva allenato nelle palestre, e la mente nelle scuole, che fornivano una
preparazione culturale rudimentale, come insegnare a leggere ed a scrivere, l’aritmetica e
la musica. Al giovane mancava dunque l’insegnamento dei meccanismi della vita sociale, le
funzioni dello stato, la virtù, il senso morale, ma anche una preparazione alle insidie e ai
pericoli della vita.

L’OMOSESSUALITA’ FEMMINILE E IL CIRCOLO DI SAFFO

L’omosessualità femminile nell’antica Grecia aveva una funzione pedagogica analoga a


quella maschile e rappresentava per l’adolescente una fase di passaggio dall’età infantile al
mondo degli adulti, durante la quale la giovane veniva educata e preparata al matrimonio e
ad una delle funzioni essenziali per i greci: la procreazione. Intorno al VII sec. a.C. in Grecia
fiorirono delle comunità femminili nelle quali le relazioni omoerotiche avevano il valore di
rito d’iniziazione sessuale analogo a quello della pederastia. Di rilevante importanza fu il
circolo di Saffo, che rappresenta il principale modello di questa pseudo-omosessualità.
L’attività della poetessa a Mitilene assolveva una ben precisa funzione sociale: Saffo
educava fanciulle nobili nella ristretta cerchia del tìaso, una sorta di associazione femminile
in cui le ragazze entravano a farne parte prima del matrimonio e dove trascorrevano un
periodo d’istruzione e preparazione alle nozze; poi, una volta sposate, si separavano dal
gruppo.

L’ESPERIENZA AMOROSA

L’aspetto predominante della poesia di Saffo é l’amore per le ragazze della sua cerchia, che
aveva un ruolo fondamentale nel processo educativo delle adolescenti e rappresentava la
preparazione alla sessualità della fase adulta. L’amore che Saffo provava verso le ragazze
era un sentimento sincero, totalizzante e appassionato, che é strettamente legato al culto di
Afrodite, come appare nell’Ode ad Afrodite, che apre il primo libro dell’opera di Saffo e
costituisce un’accorata invocazione alla dea perché venga in aiuto della poetessa che soffre
per un amore non ricambiato. Di rilevante importanza sono la concezione dell’amore come
una forza di origine divina, che trascende la volontà dei mortali e alla quale non é lecito
sottrarsi e lo svilupparsi di quest’ode sotto forma di preghiera. Riversando un’esperienza
personale in un’ode che veniva cantata tra le fanciulle del tìaso riunite davanti alla statua
della dea, Saffo trasforma l’esperienza individuale in collettiva e il suo intento é
paradigmatico in quanto attraverso le parole di Afrodite vuole definire le “regole”
dell’amore proponendo dei precisi modelli di comportamento. Saffo in questo modo vuole
sanzionare il proprio ruolo e la sacralità dei rapporti che stabiliva con le ragazze della
comunità. La poetessa concepisce l’eros come una forza molto possente, un’esperienza
psicologica sconvolgente, dolorosa e capace di porre una persona in conflitto con se stessa;
Saffo presenta molteplici immagini efficaci per esprimere l’effetto dell’amore sulla persona
che ne fa esperienza, come nel frammento 47 Voigt, nel quale viene espressa l’idea dell’eros
come una pulsione che investe l’anima dall’esterno: “Squassa Eros l’animo mio, come il
vento sui monti che investe le querce.” (trad. F. Sisti). Talvolta designa eros come una
mescolanza di piacere e tormento, in quanto é in grado di recare gioia e serenità.

La dimensione della memoria assume un’importanza tutta speciale nella poesia saffica
riveste la tematica della memoria. Ciò é spiegato dal fatto che l’esperienza di una ragazza
nel tìaso era temporanea, destinata a concludersi col ritorno alla casa paterna o con il
matrimonio: per questo si spiega l’esigenza di trovare, proprio nel ricordo, una forma di
continuità capace di annullare in qualche modo gli effetti dell’inevitabile separazione.

LE DIVINITA’- EROS E AFRODITE


Eros e Afrodite possono essere utilizzati in modo intercambiabile in rapporto alla
sessualità, al desiderio sessuale e al piacere, sia singolarmente che in coppia. Tuttavia Eros
si riferisce più specificatamente all’istinto del desiderio amoroso, mentre Afrodite é
implicata nell’intero campo di azioni comprese tra l’esercizio del fascino sessuale e la
concreta nascita dell’atto sessuale. Alcuni sostengono che Eros, uscito dall’uovo cosmico, fu
il primo degli dei, poiché senza di lui nessuna delle altre divinità sarebbe potuta nascere.
Così si sostiene che fosse coevo della Madre Terra e del Tartaro, e si nega che egli potesse
avere un padre e una madre. Una altra tradizione dice che egli nacque da Afrodite e da
Ermete o da Ares o da Zeus stesso. Eros era un fanciullo ribelle, che non rispettava né la
condizione né l’età altrui, ma svolazzava con le sue ali d’oro scoccando frecce a caso e
infiammando i cuori con i suoi temibili dardi.

Come la cultura greca ribadisce più volte, Eros é un’emozione, una immagine, una figura,
una idea, una forza sovrannaturale che ha effetto sia sul corpo sia sulla mente: obnubila
l’intelletto, causa il rilassamento delle membra (Saffo); nessuno é immune dall’influsso
erotico, né animali né uomini, né mortali né immortali, e il suo impero, al pari di quello di
Afrodite, si esercita sul cosmo intero: terra, mare, cielo, ed é la celebrazione della vita
istintuale intera quale commistione di piaceri e pericoli. Eros era venerato come dio del
desiderio e in quanto tale vi erano una serie di culti a lui dedicati.

Molti templi gli furono consacrati, per lui si svolgevano feste con agoni musicali e ginnici e
concorsi dedicati alle Muse. Anche le etere svolgevano un ruolo importante nella
celebrazione del dio, infatti nel santuario di Afrodite a Corinto si era immessa la pratica
concreta dell’amore nella sfera religiosa e questo costume dissocia la prostituzione dal
rapporto commerciale e innalza l’unione sessuale ad atto di culto. Il culto di Eros si trova
anche nel cuore di Atene: non solo vi era un altare di Eros all’entrata dell’Accademia, ma
anche il santuario dedicato ad Afrodite ed Eros, situato alle pendici settentrionali
dell’acropoli.

Afrodite emerse nuda dalla spuma delle onde del mare fecondata dai genitali di Urano, che
Crono aveva gettato in mare per impossessarsi del potere. Inoltre sembrerebbe essere la
stessa dea dall’immenso potere che nacque dal Caos e danzò sul mare, la dea insomma che
era venerata in Siria e in Palestina come Ishtar. Il centro più famoso del suo culto era Pafo
dove, tra le rovine di un grandioso tempio romano, si vede ancora la bianca primitiva
immagine aniconica della dea. La dea fondava il suo potere non solo sulla incredibile
bellezza e sul fascino, ma era anche stata dotata da Zeus, padre adottivo, di una cintura
magica che la rendeva irresistibile per gli occhi di chiunque, dei e mortali. Non c’é da
stupirsi dunque se veniva ritenuta la più potente di tutti gli immortali, proprio perché il suo
potere era il più divino, al quale tutti dovevano soggiacere e al quale nessuno poteva
opporre resistenza. Gli Elleni cercarono anche di svilire la Grande Dea del Mediterraneo,
che per molto tempo aveva avuto il potere supremo a Corinto, Sparta, Tespie e Atene,
condannando le sue solenni orge sessuali come se fossero sregolatezze adulterine.
L’AMORE NELL’EPICA
Spesso nella produzione epica arcaica, della quale i primi esempi possono essere
considerati i poemi omerici, il motore delle vicende che agisce indistintamente su mortali e
dei é il sentimento amoroso, manife sto in tutte le sue forme, e concepito dalla mentalità
eroica come un impulso incontrastabile che muove l’uomo contro la razionalità della
morale comune. Questa convenzione avrà fortuna anche in età classica e influenzerà la
produzione letteraria successiva. E le vicende narrate da Omero e da altri epici Apollodoro
ricalcano schemi provenienti dalla mentalità micenea, giunta a loro tramite l’instancabile
opera degli aedi che componevano e tramandavano versi ispirati ad avvenimenti reali,
come appunto la guerra di Troia.

CONSUETUDINI RELATIVE AL MATRIMONIO: 200 d.C.

EUROPA SETTENTRIONALE

Tra i goti germanici, un uomo sposava una donna della propria comunità. Quando c’era
scarsa disponibilità di donne, rapiva la sua futura sposa fra gli abitanti di un villaggio
vicino. Il futuro sposo, accompagnato da un amico, prendeva qualsiasi ragazza si fosse
allontanata dalla casa natale. La nostra usanza del testimone è un residuo di questo
espediente adottato da due uomini nerboruti.

Sempre da tale pratica del rapimento, che richiedeva il sollevamento della ragazza per
trasportarla nel proprio villaggio, più tardi derivò l’atto simbolico di “varcare la soglia della
nuova casa tenendo in braccio la sposa”.

La tradizione secondo la quale la sposa sta alla sinistra dello sposo, rappresentava a sua
volta molto più che una consuetudine d’etichetta priva di significato. Tra i barbari
dell’Europa settentrionale (definiti in tal modo dai romani), lo sposo teneva alla propria
sinistra la sposa per proteggerla da un possibile attacco improvviso, lasciando in tal modo
libera la mano destra, quella che doveva impugnare la spada.

Un anello fu usato per la prima volta nella Terza Dinastia dell’Antico Regno d’Egitto,
intorno al 2800 a.C. Per gli egiziani, un cerchio, non avendo inizio né fine, significava
eternità, per cui il matrimonio era un legame eterno. Gli anelli d’oro erano quelli più
apprezzati dai ricchi egiziani e in seguito anche dai romani. È provato che i giovani romani
di scarsi mezzi andavano spesso in fallimento per le loro future spose. Tertulliano, un prete
cristiano che scriveva nel secondo secolo d.C., osservava che “la maggior parte delle donne
non conosceranno altro oro che quello dell’anello nuziale che portavano al dito”. In
pubblico, la casalinga romana del ceto medio portava con orgoglio la sua fede d’oro, ma a
casa, secondo Tertulliano, “portava un anello di ferro”.
Molti anelli romani ancora esistenti recavano una piccola chiave saldata da un lato. Questo
non significava, sentimentalmente, che una sposa aveva aperto il cuore del marito, ma
piuttosto, in accordo con la legge romana, simboleggiava un punto centrale del contratto
matrimoniale, ovvero che una moglie aveva diritto alla metà della ricchezza del marito e
che quando voleva poteva prendere qualunque cosa fosse contenuta nella dispensa.

Un documento veneziano relativo al un matrimonio, datato 1503 nomina “un anello nuziale
con diamante”. L’anello nuziale d’oro, di una certa Maria di Modina, faceva parte dei primi
anelli di fidanzamento che presentavano un diamante incastonato. Iniziarono una
tradizione che probabilmente durerà per sempre. I veneziani furono i primi a scoprire che
il diamante è una delle sostanze più dure e più resistenti che esistano in natura, e che un
taglio accurato e una levigatura ne rivelano lo splendore.

Uno dei primi anelli di fidanzamento con diamante della storia fu anche il più piccolo,
portato da una futura sposa di due anni d’età. L’anello venne creato per il fidanzamento
della principessa Mary, figlia di Enrico VIII, con il delfino di Francia, figlio di Re Francesco I.
Per motivi politici e ragioni di stato, al delfino nato il 28 febbraio 1518, venne assegnata
subito una fidanzata, in modo da garantire una più stretta alleanza tra Inghilterra e Francia.

Sebbene sia nota l’origine dell’anello di fidanzamento con diamante, quella dell’anello di
fidanzamento in generale non è altrettanto certa. La consuetudine, tuttavia, risale a molto
prima del XV secolo.

Per i cattolici romani, l’introduzione ufficiale dell’anello di fidanzamento è inequivocabile.


Nell’860 d.C., papa Nicolò I decretò che il dono dell’anello di fidanzamento divenisse il
simbolo dell’affermazione formale dell’intenzione di convolare a nozze. Nicolò, che era un
difensore intransigente della santità del matrimonio, una volta scomunicò due arcivescovi
che erano stati coinvolti nel matrimonio, nel divorzio e nel successivo matrimonio di
Lotario II di Lorena, accusandoli di “complicità nel reato di bigamia”. Per Nicolò non era
sufficiente un anello qualsiasi, di qualunque materiale e valore. L’anello di fidanzamento
doveva essere di un metallo pregiato, preferibilmente d’oro, fatto che per il futuro marito
rappresentava un sacrificio finanziario; in tal modo prese il via una tradizione. In quel
secolo vennero stabilite altre due usanze: la perdita per confisca dell’anello da parte di un
uomo che recedeva dalla promessa di matrimonio; la restituzione dell’anello da parte di
una donna che rompeva il fidanzamento. La Chiesa divenne inflessibile riguardo alla serietà
di una promessa di matrimonio e alla punizione in caso questa non venisse mantenuta. Il
Concilio di Elvira condannava a tre anni di scomunica i genitori di un uomo che poneva fine
a un fidanzamento. E se una donna decideva che non voleva più sposarsi per ragioni che
non erano accettabili da parte della Chiesa, il parroco della sua parrocchia aveva l’autorità
di ordinarla suora.

Gli antichi ebrei infilavano l’anello nuziale al dito indice. In India le fedi erano sul pollice.
L’usanza occidentale di infilare l’anello nuziale al “terzo” dito (senza contare il pollice) ebbe
inizio con i greci, in seguito a una certa trascuratezza riguardante la classificazione
anatomica dell’uomo.

I medici greci del III secolo a.C. credevano che una certa vena, la “vena dell’amore”, partisse
dal “terzo dito” e arrivasse direttamente al cuore. L’anulare divenne perciò il dito al quale
era più logico portare un anello che fosse simbolo di una questione di cuore.

I romani, plagiando le tavole anatomiche dei greci, adottarono ciecamente la consuetudine


dell’anello.

Questo divenne inoltre il “dito curativo” per i medici romani, usato per mescolare le pozioni
medicinali. Poiché si supponeva che la vena dell’anulare raggiungesse il cuore, qualunque
preparato potenzialmente tossico sarebbe stato prontamente riconosciuto da un medico
“nel suo cuore” prima che questi lo somministrasse al paziente.

I cristiani mantennero l’usanza dell’anulare, ma si facevano strada attraverso tutta la mano


per raggiungere la vena dell’amore. Inizialmente lo sposo infilava l’anello sulla punta del
dito indice della sposa, pronunciando le parole “Nel nome del Padre”. Poi, continuando la
preghiera “nel nome del Figlio”, spostava l’anello sul medio, e infine, concludendo con le
parole “e dello Spirito Santo, Amen”, sull’anulare. Questa era nota come formula della
Trinità.

In oriente gli anelli non erano tenuti in grande considerazione, si credeva fossero
semplicemente degli ornamenti, privi di simbolismo sociale o di significato religioso.

Durante il feudalesimo, in Europa, tutti gli avvisi pubblici riguardanti morti, tasse o nascite
venivano chiamati “pubblicazioni”. Oggi utilizziamo questo termine esclusivamente per la
dichiarazione fatta da due persone che hanno intenzione di sposarsi. Tale interpretazione
iniziò in seguito a un’ordinanza di Carlomagno, re dei Franchi, che il giorno di Natale
nell’800 d.C., venne incoronato Imperatore dei romani, decretando la nascita del Sacro
Romano Impero.

Carlomagno, dovendo governare su un territorio vastissimo, aveva un motivo medico e


pratico per istituire l’uso delle pubblicazioni matrimoniali. Sia tra i ricchi sia tra i poveri,
non era sempre chiaro chi fossero i genitori di un bambino; una scappatella extraconiugale
poteva portare, come spesso accadeva, al matrimonio tra un fratellastro e una sorellastra.
Carlomagno, allarmato dall’alta percentuale di matrimoni tra fratellastri, e dalle
conseguenti menomazioni genetiche della prole, emanò un editto in tutto il suo impero
unificato. Ogni matrimonio doveva essere proclamato pubblicamente almeno sette giorni
prima della celebrazione della cerimonia. Per evitare la consanguineità tra i futuri sposi,
chiunque fosse in possesso di informazioni riguardanti il fatto che l’uomo e la donna in
questione fossero imparentati come fratello e sorella, oppure come fratellastro e
sorellastra, aveva l’ordine di farsi avanti. Tale consuetudine si rivelò talmente efficace, che
venne ampiamente adottata da popoli appartenenti a diversi credi religiosi.
Un tempo la sposa non mangiava la torta nuziale; in origine, infatti, la torta le veniva
lanciata addosso. Quest’usanza si diffuse come uno dei tanti simboli di fertilità insiti nella
cerimonia nuziale. Infatti, fino a tempi recenti, si riteneva che i bambini dovessero arrivare
subito dopo il matrimonio proprio come la notte viene dopo il giorno. Il frumento, per
molto tempo un simbolo di fertilità e prosperità, fu una delle prime granaglie che venivano
gettate alla sposa durante la cerimonia; e le giovani donne non ancora sposate dovevano
affannarsi a raccogliere i chicchi, come fanno oggi per il bouquet della sposa.

Gli antichi fornai romani, la cui abilità nel preparare i dolci era più apprezzata del talento
dei grandi costruttori delle città, alterarono tale consuetudine. Intorno al 100 a.C.
iniziarono a utilizzare il frumento nuziale per cuocere dei dolcetti che venivano mangiati,
invece di essere gettati alla sposa.

Secondo il poeta e filosofo romano Lucrezio, autore del De rerum natura (“la natura delle
cose”), si diffuse la consuetudine di un rito di compromesso, durante il quale i dolci di
grano venivano sbriciolati sul capo della sposa. E come ulteriore simbolo di fertilità, alla
coppia veniva richiesto di mangiare una parte delle briciole, un’usanza nota con il nome di
confarreatio, o “mangiare insieme”. Dopo aver esaurito la riserva di dolci, agli ospiti
venivano offerte delle manciate di confetti, un misto di noci, frutta secca e mandorle con
miele.

Oggi, in alcuni paesi delle scarpe vecchie vengono legate dietro alle macchine dei novelli
sposi. Fin dai tempi antichi il piede era considerato un potente simbolo fallico. In molte
civiltà, e in particolare tra gli eschimesi, alle donne che avevano difficoltà nel concepire un
figlio veniva suggerito di portare sempre con sé un pezzo di scarpa vecchia.

Esiste un’ampia differenza tra il significato originale di “luna di miele” e la connotazione


che questo termine ha ai nostri giorni, ovvero un delizioso ritiro molto atteso, che prelude
alla vita matrimoniale.

L’origine della parola, che deriva dal norvegese antico hjunottsmanathr, con un significato
cinico, e l’isolamento tanto atteso, un tempo era tutt’altro che delizioso.

Quando un uomo appartenente a una comunità del nord Europa rapiva una sposa da un
villaggio vicino, era obbligato a tenerla nascosta per un certo periodo. Gli amici gli
garantivano la segretezza, e soltanto il testimone sapeva dove si trovasse. Quando la
famiglia della sposa rinunciava a continuare a cercarla, i due tornavano al villaggio dello
sposo. Fare la luna di miele significava nascondersi.

La parola scandinava che significa “luna di miele” deriva in parte da un’antica usanza nord
europea. Le coppie appena sposate, durante il primo mese di vita matrimoniale, bevevano
quotidianamente una tazza di vino e miele, chiamata idromele. Sia questa bevanda che la
consuetudine di rapire le spose, fanno parte della storia di Attila, re degli unni asiatici dal
433 d.C. al 453. Il guerriero in questione, gozzovigliò con boccali di tale distillato alcolico in
occasione del suo matrimonio nel 450 con la principessa romana Onoria, sorella
dell’imperatore Valentiniano III. Attila la rapì da un precedente matrimonio e la dichiarò
sua, non senza aver avanzato pretese sulla metà occidentale dell’impero Romano. Tra anni
dopo, in occasione di un altro banchetto, l’insaziabile passione di Attila per l’idromele lo
portò a berne una quantità eccessiva che gli provocò vomito, perdita della conoscenza,
coma, e che lo condusse alla morte.

Il miele nella locuzione “luna di miele” deriva direttamente dal vino e miele chiamato
“idromele”, mentre il termine “luna” richiamava il ciclo mensile percorso dal corpo celeste;
combinarla con il termine miele significava che non tutte le lune, o mesi di vita
matrimoniale, sarebbero stati dolci come il primo. Nel sedicesimo e diciassettesimo secolo,
gli scrittori e i poeti britannici utilizzavano spesso l’interpretazione nordica della luna di
miele per indicare una diminuzione e un indebolimento dell’amore coniugale.

Il matrimonio tradizionale in chiesa comprende due marce nuziali, di due diversi


compositori classici. La sposa attraversa la navata al suono della maestosa musica
moderatamente misurata del “Coro nuziale” dall’opera del 1848, di Richard Wagner,
Lohengrin. I novelli sposi escono accompagnati dalle note più esultanti e sostenute della
“Marcia Nuziale” dal Sogno di una notte di mezza estate di Felix Mendelssohn del 1826.

L’usanza risale al matrimonio regale, nel 1858, della principessa di Gran Bretagna e
imperatrice di Germania, Vittoria, con il principe Federico Guglielmo di Prussia. Fa Vittoria
stessa, figlia maggiore della regina britannicaVittoria, a scegliere la musica. Mecenate delle
arti, apprezzava le opere di Mendelssohn e venerava quelle di Wagner. Conoscendo
l’abitudine degli inglesi di copiare tutto ciò che vedevano fare dalla monarchia, ben presto
le spose inglesi, sia nobili che appartenenti alla gente comune, avanzarono al suono della
musica scelta da Vittoria, istituendo una tradizione matrimoniale tipicamente occidentale.

L’abito nuziale bianco e il velo: XVI secolo, Inghilterra e Francia

Per secoli il bianco è stato simbolo di purezza e di verginità, ma nell’antica Roma era il
giallo il colore socialmente accettato per l’abito indossato dalla sposa, la quale portava
anche un velo tinto di giallo vivo, il flammeum che le copriva il volto.

Gli esperti di storia della moda sostengono che il velo che copriva il volto fu un’invenzione
decisamente maschile, e uno dei più antichi sistemi per mantenere umili, sottomesse e
nascoste agli altri uomini le donne, quelle sposate quanto quelle nubili. Sebbene il velo, in
vari momenti della sua lunga storia, abbia anche avuto la funzione di simbolo d’eleganza e
di seduzione, di riserbo e di lutto, si tratta di un elemento dell’abbigliamento femminile che
le donne probabilmente non avrebbero mai creato da sole. Nati in oriente almeno
quattromila anni fa, i veli venivano portati per tutta la vita dalle donne nubili come segno di
riserbo e dalle donne sposate come segno di sottomissione al marito.
Nelle religioni musulmane le donne dovevano coprirsi il capo e parte del volto
ogniqualvolta uscivano di casa. Con il passare del tempo le regole (dettate dagli uomini)
divennero più severe, e soltanto gli occhi della donna potevano restare scoperti, una
concessione dettata dalla necessità, dato che gli antichi veli erano a trama fitta, fatto che
impediva di vedervi attraverso.

Le usanze erano meno rigide nei paesi del nord Europa. Soltanto le mogli rapite portavano
il velo. Tra i greci e i romani del IV secolo a.C., ai matrimoni erano di moda i veli leggeri e
trasparenti. Erano puntati ai capelli o tenuti fermi da nastri, e il giallo era divenuto il colore
preferito, sia per il velo che per l’abito nuziale. Durante il medioevo il colore cessò di essere
un fattore di primaria importanza: vennero invece sottolineati la preziosità del tessuto e gli
ornamenti decorativi.

In Inghilterra e in Francia, la consuetudine di indossare il bianco in occasione dei


matrimoni fu commentata per la prima volta dagli scrittori del XVI secolo. Il bianco era
l’affermazione visiva della verginità della sposa, e si trattava di un’asserzione talmente
evidente e pubblica, che non risultò gradita a tutti. I religiosi, per esempio, ritenevano che
la verginità, un presupposto del matrimonio, non avrebbe dovuto essere sbandierata così
pubblicamente. Alla fine del XVIII secolo, il bianco era diventato il colore classico per la
sposa.

Divorzio: antichità, Africa e Asia


Prima che ci possa essere uno scioglimento ufficiale di un matrimonio, deve avere luogo
un’unione ufficiale. Il più antico certificato di matrimonio esistente venne rinvenuto tra i
papiri aramaici, vestigia di una guarnigione ebraica assegnata a Elefantina, in Egitto, nel V
secolo a.C.

Il contratto è un atto di vendita conciso, disadorno, privo di romanticismo: sei mucche in


cambio di una ragazza di quattordici anni.

Con i romani, che erano grandi esperti in legislazione, il certificato di matrimonio si ampliò
fino a diventare un documento scritto in un complesso linguaggio legale e composto di
varie pagine. Stabiliva chiaramente termini quali le condizioni della dote e la divisione della
proprietà in seguito a morte o divorzio. Nel I secolo d.C., tra gli ebrei venne ufficialmente
introdotto un certificato di matrimonio riveduto, che viene usato ancor oggi, soltanto con
alcune minime modifiche. Anche il divorzio iniziò come una procedura semplice e in
qualche modo informale.

Nelle antiche Atene e Roma, non esistevano argomenti legali per lo scioglimento di un
matrimonio; un uomo poteva divorziare da sua moglie in qualsiasi momento si stancasse di
lei. E anche se doveva procurarsi un atto di divorzio presso un magistrato locale, non
abbiamo ragione di credere che ne sia mai stato negato uno.

Ancora nel VII secolo, un marito anglosassone poteva divorziare da sua moglie per i motivi
più disparati e assurdi. Un testo legale del tempo afferma che “Una moglie potrebbe venir
ripudiata se viene provato che è sterile, deforme, sciocca, irascibile, lussuriosa, volgare,
abitualmente ubriaca, ingorda, troppo loquace, litigiosa o ingiuriosa”.

Gli antropologi che hanno studiato le usanze relative al divorzio nelle società moderne e
antiche, sono tutti concordi su un punto; storicamente, il divorzio che implicava un mutuo
accordo era maggiormente diffuso nelle tribù matriarcali, in cui la moglie deteneva il ruolo
di capofamiglia in qualità della sua forza procreativa. Invece, in una cultura patriarcale, in
cui i diritti procreativi e sessuali della sposa erano spesso simbolicamente trasposti sul
marito con il pagamento del denaro per comprare la sposa, il divorzio favoriva
notevolmente i desideri e i capricci del maschio.

MATRIMONIO (CHIESA CATTOLICA)


Il matrimonio è uno dei sette sacramenti della Chiesa cattolica. Allo stesso modo è
considerato dalla Chiesa Ortodossa. Le comunità riformate, invece, seguendo la tesi di
Lutero, celebrano il matrimonio ma non lo considerano un sacramento. Secondo il Codice di
diritto canonico il matrimonio è «il patto con cui l’uomo e la donna stabiliscono tra loro la
comunità di tutta la vita, per sua natura ordinata al bene dei coniugi e alla procreazione e
educazione della prole», che «è stato elevato da Cristo Signore alla dignità di sacramento».

All’incirca per i primi mille anni della storia della Chiesa, il matrimonio non fu un
sacramento, la cui somministrazione era regolamentata dalle leggi ecclesiastiche: come già
nel diritto romano, esso era piuttosto un patto privato, un contratto stipulato tra gli
interessati e le rispettive famiglie, che poi in un secondo momento poteva essere benedetto
da un sacerdote, tanto che si hanno prove documentate fino al secolo nono che il
matrimonio era ancora molto simile a quello contratto nell’antica Roma. Solo nel 1215, nel
corso del Concilio Lateranense IV la Chiesa cattolica regolamentò la liturgia per il
matrimonio e gli aspetti giuridici relativi ad esso e solo nel 1439 nel Concilio di Firenze, agli
inizi del Rinascimento, la Chiesa esplicitò chiaramente che il matrimonio doveva essere
considerato dai fedeli come un sacramento.

Natura ed effetti del sacramento

Secondo la dottrina cattolica, oltre ai vantaggi dell’inviolabile stabilità, dal Sacramento


derivano altri vantaggi poiché Cristo elevando il matrimonio dei suoi fedeli alla dignità di
vero e proprio sacramento, lo rese in effetto segno e fonte di quella speciale grazia interna,
con la quale «portava l’amore naturale a maggior perfezione, ne confermava l’indissolubile
unità, e i coniugi stessi santificava». I fedeli che esprimono il consenso matrimoniale
«aprono a sé il tesoro della grazia sacramentale, ove attingere le forze soprannaturali
occorrenti ad adempiere le proprie parti ed i propri doveri fedelmente, santamente, con
perseveranza fino alla morte».
Il sacramento «non solo accresce il principio di vita soprannaturale, cioè la grazia
santificante, ma vi aggiunge ancora altri doni speciali, disposizioni e germi di grazia […]
affinché i coniugi possano non solo bene intendere, ma intimamente sentire, con ferma
convinzione e risoluta volontà stimare e adempiere quanto appartiene allo stato coniugale
e ai suoi fini e doveri; ed a tale effetto infine conferisce il diritto all’aiuto attuale della
grazia, ogniqualvolta ne abbisognino per adempire agli obblighi di questo stato».

Tuttavia, alla grazia sacramentale l’uomo è chiamato a cooperare per «far fruttificare i
preziosi semi della grazia». In questo modo gli sposi potranno sopportare i pesi della loro
condizione e adempiere i doveri, e sentirsi confortati, santificati e come consacrati dalla
potenza del sacramento. Per la virtù indelebile del sacramento, i fedeli, uniti una volta con il
vincolo del matrimonio, non sono mai privati mai né dell’aiuto, né del legame sacramentale.
La «grazia propria del sacramento del Matrimonio è destinata a perfezionare l’amore dei
coniugi, a rafforzare la loro unità indissolubile». Cristo «rimane con loro, dà loro la forza di
seguirlo prendendo su di sé la propria croce, di rialzarsi dopo le loro cadute, di perdonarsi
vicendevolmente, di portare gli uni i pesi degli altri, di essere sottomessi gli uni agli altri nel
timore di Cristo e di amarsi di un amore soprannaturale, delicato e fecondo».

Storia

Il sacramento del matrimonio cristiano viene fatto originare dalla prescrizione contenuta
nel libro della Genesi 2,24, che contiene già alcuni elementi fondamentali: l’indissolubilità
del vincolo coniugale e la complementarietà di uomo e donna.

Il primo miracolo di Gesù fu compiuto alle nozze di Cana, segno inteso ad affermare il
valore positivo del matrimonio. Inoltre Cristo stesso ribadisce l’insegnamento
dell’indissolubilità.

L’attesa dell’imminente venuta del Regno di Dio predicata da Gesù e dagli apostoli, fra cui
Paolo di Tarso e la necessità di evitare legami terreni comportò che la Chiesa dei primi
secoli attribuisse un minor valore al matrimonio rispetto al celibato e considerasse il
matrimonio una condizione meno preferibile. San Paolo aveva raccomandato che al
matrimonio facessero ricorso solo i quali trovavano troppo difficile rimanere celibi.

Il matrimonio negli scritti dei Padri della Chiesa

Sant’Agostino riteneva il matrimonio un sacramento, anche in quanto simbolo usato da san


Paolo per esprimere l’amore di Cristo per la Chiesa: « Il bene del matrimonio presso tutte le
genti e tutti gli uomini consiste nello scopo della generazione e nella casta fedeltà; ma per
ciò che riguarda il popolo di Dio vi si aggiunge la santità del sacramento » . (Agostino, De
bono conjugii, XXIV)

Segue a questo passo un esplicito accostamento al sacramento dell’ordine, basato sia


sull’incancellabilità sia sulla fruttuosità di entrambi i sacramenti. In un altro brano di
Agostino troviamo la fedeltà coniugale come essenza del sacramento e l’idea paolina del
matrimonio come simbolo usato per esprimere l’amore di Cristo per la Chiesa: « La realtà
di questo sacramento è che l’uomo e la donna, uniti in matrimonio, perseverino nell’unione
per tutta la vita e che non sia lecita la separazione di un coniuge dall’altro, eccetto il caso di
fornicazione. Questo infatti si osserva tra Cristo e la Chiesa che vivendo l’uno unito all’altro
non sono separati da alcun divorzio per tutta l’eternità». (Agostino, De nuptiis et
concupiscientia, I, X)

Altri padri della Chiesa dubitarono che il matrimonio rappresentasse una vera e valida
vocazione cristiana. San Girolamo scrisse: “Preferire la verginità non significa disprezzare il
matrimonio. Non si possono paragonare due cose se una è buona e l’altra cattiva”.
Tertulliano, all’epoca già influenzato dal montanismo, reputava che il matrimonio
“consistesse essenzialmente nella fornicazione”. Cipriano di Cartagine spiegò che il primo
comandamento dato all’uomo fu di crescere e di moltiplicarsi, ma siccome la terra era già
tutta popolata non c’era ragione di continuare a moltiplicarsi. Agostino scrisse che se tutti
avessero cessato di sposarsi e di generare figli sarebbe stata una cosa ammirevole; avrebbe
comportato che la seconda venuta di Cristo si sarebbe realizzata più rapidamente. San
Giovanni Crisostomo pur considerando il matrimonio un dono di Dio, dice: «Unicamente
per questo motivo bisogna sposarsi: affinché ci teniamo lontani dalla fornicazione». Inoltre
ammonì i vedovi cristiani a non risposarsi, perché avendo già conosciuto i difetti del
matrimonio, non avrebbero dovuto compiere due volte il medesimo errore.

Il matrimonio nella liturgia

I libri liturgici e i sacramentari delle diverse Chiese d’Oriente e d’Occidente presentano per
il matrimonio preghiere liturgiche e riti dai tempi più remoti. Differiscono fra loro in molti
dettagli, ma le loro caratteristiche principali possono essere fatte risalire ai tempi
apostolici. In tutti questi rituali e raccolte liturgiche il matrimonio viene contratto dinanzi
al presbitero, durante la celebrazione della Messa ed è accompagnato da cerimonie e
preghiere simili a quelle usate per gli altri sacramenti; infatti alcuni rituali definiscono
esplicitamente il matrimonio come un sacramento e, poiché è un “sacramento dei vivi”,
richiede la contrizione per i peccati e l’assoluzione sacramentale prima che il matrimonio
sia contratto. Ma l’antichità del matrimonio come sacramento è ancor più chiaramente
messa in luce dai rituali o libri liturgici delle Chiese Orientali, anche da quelle che si
separarono dalla Chiesa cattolica nei primi secoli, che circondano la celebrazione del
matrimonio con cerimonie e preghiere significative e notevoli. I nestoriani, i monofisiti, i
copti, i giacobiti sono tutti d’accordo su questo punto. Le numerose preghiere usate nella
cerimonia si riferiscono ad una grazia speciale che viene conferita agli sposi e alcuni
commentari mostrano che questa grazia fosse ritenuta sacramentale. Il patriarca
nestoriano Timoteo II, nell’opera De septem causis sacramentorum, tratta il matrimonio
come uno dei sacramenti ed enumera diverse cerimonie religiose senza le quali il
matrimonio è invalido.

Tuttavia altri, sulla scorta di Calvino, obiettano che la Chiesa avesse una liturgia
matrimoniale. Secondo questa linea di pensiero, la concezione negativa del matrimonio di
alcuni padri della Chiesa si sarebbe rispecchiata in una mancanza di interesse per la liturgia
matrimoniale. A differenza delle cerimonie per la celebrazione del Battesimo e
dell’Eucaristia, non sarebbe esistita una speciale liturgia matrimoniale e gli sposi non
avrebbero ritenuto importante ricevere la benedizione di un presbitero.

Inizialmente i cristiani conservarono l’antica cerimonia pagana, modificata in senso


cristiano. Il primo resoconto dettagliato di un matrimonio cristiano in Occidente risale al IX
secolo e appare ancora molto simile alle nozze dell’antica Roma.

Il Concilio Lateranense IV

Con il Concilio Lateranense IV nel 1215, la Chiesa cattolica regolamentò il matrimonio:

 impose l’uso delle pubblicazioni (per evitare i matrimoni clandestini)

 per evitare i divorzi il matrimonio fu ribadita l’indissolubilità del matrimonio,


salvo per morte di uno dei due coniugi

 fu richiesto il consenso libero e pubblico degli sposi, da dichiarare a viva voce in


un luogo aperto

 fu imposta un’età minima per gli sposi (per evitare il matrimonio di bambini, e
in particolare di ragazze molto giovani)

 furono regolamentate le cause di nullità del matrimonio, in caso di violenze


sulla persona, rapimento, non consumazione, matrimonio clandestino, etc.

Tale concilio fissò delle regole largamente riprese in seguito nel matrimonio civile, istituito
in Francia nel 1791 durante la rivoluzione francese.

Il Concilio di Firenze

Nel bolla di unione con gli Armeni del 22 novembre 1439 il Concilio di Firenze dichiara a
proposito del matrimonio: «Settimo è il sacramento del matrimonio, simbolo dell’unione di
Cristo e della Chiesa, secondo l’Apostolo, che dice: Questo sacramento è grande; lo dico in
riferimento al Cristo e alla Chiesa. Causa efficiente del sacramento è regolarmente il mutuo
consenso, espresso verbalmente di persona. Triplice è lo scopo del matrimonio: primo,
ricevere la prole ed educarla al culto di Dio; secondo, la fedeltà, che un coniuge deve
conservare verso l’altro; terzo, l’indissolubilità del matrimonio, perché essa significa
l’unione indissolubile di Cristo e della Chiesa».

Il Concilio di Trento

Il Concilio di Trento rinforzò la regolamentazione: il matrimonio deve essere celebrato


davanti ad un parroco e dei testimoni, gli sposi devono firmare un registro, fu vietata anche
la coabitazione al di fuori del matrimonio, per evitare il concubinato e i figli illegittimi.
Il Concilio Vaticano II

Nella costituzione pastorale Gaudium et spes il Concilio Vaticano II, riprendendo fra l’altro
il magistero dell’enciclica Arcanum Divinae di papa Leone XIII, insegna che «l’intima
comunione di vita e di amore coniugale, fondata dal Creatore e strutturata con leggi
proprie, è stabilita dal patto coniugale», che «Dio stesso è l’autore del matrimonio» e che
«per la sua stessa natura l’istituto del matrimonio e l’amore coniugale sono ordinati alla
procreazione e alla educazione della prole e in queste trovano il loro coronamento».

Il Concilio ha anche parole di chiaro apprezzamento per una vita sessuale serena e ordinata
all’interno del matrimonio: «Gli atti coi quali i coniugi si uniscono in casta intimità sono
onesti e degni; compiuti in modo veramente umano, favoriscono la mutua donazione che
essi significano ed arricchiscono vicendevolmente nella gioia e nella gratitudine gli sposi
stessi. Quest’amore, ratificato da un impegno mutuo e soprattutto consacrato da un
sacramento di Cristo, resta indissolubilmente fedele nella prospera e cattiva sorte, sul
piano del corpo e dello spirito; di conseguenza esclude ogni adulterio e ogni divorzio».

Il MATRIMONIO NEL DIRITTO CANONICO

Condizioni per il matrimonio sacramentale

La Chiesa cattolica richiede per il sacramento che sia l’uomo sia la donna siano battezzati,
liberi di sposarsi e che esprimano liberamente il proprio consenso. La Chiesa istituisce
corsi prematrimoniali alcuni mesi prima del matrimonio per aiutare i futuri sposi a
comprendere il senso del sacramento e ad esprimere un consenso informato. In generale
prima del matrimonio gli sposi debbono aver completato il cammino dell’iniziazione
cristiana. Nel periodo prematrimoniale uno o entrambi gli sposi ricevono il sacramento
della confermazione, se non l’avessero già ricevuto in precedenza o se non sono già sposati
civilmente o conviventi. In quest’ultimo caso la confermazione si riceve dopo il matrimonio.

Libertà di contrarre il matrimonio

Gli sposi devono essere liberi di contrarre matrimonio e liberi di sposarsi fra loro. L’uomo e
la donna non devono essere già sposati e devono essere privi degli impedimenti previsti dal
diritto canonico. Oltre alla libertà, gli sposi devono avere l’intenzione di sposarsi. Nella
Chiesa cattolica il matrimonio ha origine dal consenso. Il consenso consiste in un atto
umano con il quale gli sposi si promettono fedeltà e reciproco affidamento per tutta la vita.
Il consenso dev’essere un atto di libera volontà dei contraenti, non influenzato da
coercizione o da grave errore esterno. Quando manca la libertà, il consenso è invalido.

Impedimenti

Il Codice di diritto canonico prevede i seguenti impedimenti:


 difetto dell’età minima, stabilita in sedici anni per l’uomo e quattordici per la
donna e modificabile dalla Conferenza episcopale

 impotenza copulativa antecedente e perpetua, o dell’uomo o della donna

 precedente vincolo matrimoniale di uno dei due contraenti

 difetto del battesimo di uno dei due contraenti

 lo sposo ha ricevuto l’ordine sacro

 uno dei contraenti ha emesso un voto perpetuo di castità in un istituto religioso

 rapimento della sposa allo scopo di forzarne la volontà

 uno dei contraenti ha commesso omicidio del proprio coniuge o del coniuge
dell’altro contraente

 i contraenti sono parenti in linea retta o fino al quarto grado in linea collaterale

 i contraenti sono affini in linea retta

 vita in comune e concubinato pubblico e notorio dell’uomo con le consanguinee


della donna e viceversa

 i contraenti sono parenti in linea retta o fino al quarto grado in linea collaterale,
quando la parentela è frutto di adozione

MINISTRI DEL SACRAMENTO

Nel rito latino

«Secondo la tradizione latina, sono gli sposi, come ministri della grazia di Cristo, a
conferirsi mutuamente il sacramento del Matrimonio esprimendo davanti alla Chiesa il loro
consenso». Questo non esclude la necessità di coinvolgere la Chiesa nella celebrazione del
matrimonio; in circostanze normali, il diritto canonico richiede la presenza di un presbitero
o un diacono e almeno due testimoni.

Nei riti orientali

«Nelle tradizioni delle Chiese Orientali, i sacerdoti – Vescovi o presbiteri – sono testimoni
del reciproco consenso scambiato tra gli sposi, ma anche la loro benedizione è necessaria
per la validità del sacramento».. Il sacramento viene conferito attraverso l’incoronazione
degli sposi. L’emissione dei voti avviene in precedenza e non è ritenuta vincolante.
SCIOGLIMENTO DEL MATRIMONIO

Dichiarazione di nullità

In alcuni casi ai cattolici può essere riconosciuta la nullità del matrimonio. Esso non
consiste in una specie di divorzio religioso, in quanto la Chiesa cattolica considera il
matrimonio come indissolubile, ma nel constatare da parte della legittima autorità
canonica costituita (tribunale) che il matrimonio non è mai esistito, in quanto mancavano
quelle che la Chiesa cattolica ritiene condizioni essenziali perché si possa celebrare un
matrimonio valido: ad esempio, uno o entrambi i coniugi negavano in partenza qualcuna
delle proprietà essenziali del matrimonio (esempi: indissolubilità, unicità, procreazione),
oppure uno o entrambi dei coniugi non erano in grado per qualche motivo di assumersi
tutte le responsabilità e i doveri legati al contrarre matrimonio (esempi: immaturità
psicologica o affettiva; incapacità di intendere e di volere; mancanza di libertà, costrizione
da parte dei genitori).

La dichiarazione di nullità è diversa per l’ordinamento canonico e per quello civile. Quindi
una coppia potrebbe ricevere il divorzio dallo stato, ma non avere la dichiarazione di nullità
dalla Chiesa cattolica. Potrebbe avvenire anche il contrario: la Chiesa riconosce la nullità di
un matrimonio, ma lo stato non accetta tale sentenza (rifiutando la procedura di
delibazione), perché lo stato non è d’accordo con la Chiesa sul fatto che il matrimonio possa
essere dichiarato nullo in quel particolare caso. Quindi di fatto molti cattolici intentano i
due procedimenti in modo separato, per ottenere sia la dichiarazione di nullità dalla Chiesa,
sia il divorzio concesso dallo stato: questo permette agli ex coniugi di sposare un’altra
persona sia per la Chiesa che per lo stato.

La nullità del matrimonio religioso ha effetto immediato dopo due sentenze conformi
emesse dal tribunale canonico. Quindi, se la prima istanza si conclude in modo affermativo,
è comunque necessario appellarsi in seconda istanza per ottenere una seconda sentenza
affermativa; se le prime due sentenze non sono conformi, è necessaria una terza sentenza
per dirimere la questione.

Proibizione del divorzio

Con l’indissolubilità del matrimonio religioso viene sancito che l’istituto del divorzio non è
permesso: la Chiesa dichiara che ciò che Dio unisce, l’uomo non può dividere (Marco 10,9).
Di conseguenza le persone che ottengono un divorzio civile sono ancora considerate
sposate agli occhi della Chiesa cattolica, che non consente loro di celebrare un nuovo
matrimonio religioso, anche se possono ovviamente contrarre un matrimonio civile.

ANNIVERSARI DI MATRIMONIO
 1 anno – Nozze di Carta

 2 anni – Nozze di Cotone

 3 anni – Nozze di Cuoio

 4 anni – Nozze di Seta

 5 anni – Nozze di Legno

 6 anni – Nozze di Ferro

 7 anni – Nozze di Rame

 8 anni – Nozze di Bronzo

 9 anni – Nozze di Ceramica

 10 anni – Nozze di Stagno

 11 anni – Nozze d’Acciaio

 12 anni – Nozze di Lino

 13 anni – Nozze di Pizzo

 14 anni – Nozze d’Avorio

 15 anni – Nozze di Cristallo

 20 anni – Nozze di Porcellana

 25 anni – Nozze d’Argento

 30 anni – Nozze di Perle

 35 anni – Nozze di Corallo

 40 anni – Nozze di Rubino

 45 anni – Nozze di Zaffiro

 50 anni – Nozze d’Oro

 55 anni – Nozze di Smeraldo

 60 anni – Nozze di Diamante


 70 anni – Nozze di Grazia

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Le mariage romain

romae-vitam.com

Le mariage romain était exclusivement entre un homme et une femme. Cela peut sembler
évident aujourd'hui, mais dans l'Antiquité la monogamie n'était certainement pas la norme!
Dans de nombreuses civilisations de l'Antiquité, les hommes, et surtout les hommes riches,
avaient plusieurs femmes. Par conséquent, la pratique de la monogamie dans le monde
romain (et grec) est un fait remarquable. Notons cependant que les Romains étaient
autorisés à avoir une concubine et que ces concubines n'avaient pas les mêmes droits que
les épouses.

La plupart des mariages n'étaient pas des unions romantiques mais plutôt des unions
arrangées par des familles cherchant à maintenir ou à améliorer leur richesse et leur statut
social. Pour que le mariage soit légitime, il fallait le consentement des pères des deux
familles sauf si l'un des pères était mort ou si l'homme qui devait de se marier était un
enfant illégitime. Les mariages ne pouvaient pas être forcés par les pères, ils pouvaient
simplement être annulés par eux.

Le but principal du mariage était de produire des enfants (légitimes) et d'avoir une famille.
Notons que, dans la famille romaine, les pères avaient les pleins pouvoirs sur leurs enfants.
Cela s'appelait le patria potestas. Ils pouvaient désavouer leurs enfants et même les vendre
comme esclaves.

La cérémonie de mariage
Avant de se marier, les couples devaient d'abord se fiancer à une cérémonie de fiançailles
où le marié donnait à sa future épouse un anneau de fer. Tout comme aujourd'hui, il y avait
une cerémonie religieuse, mais la religion étant très différente de la plupart des religions
d'aujourd'hui, la cérémonie et les rites religieux étaient également assez différents! Par
exemple, le soir avant le mariage, la mariée devait sacrifier ses jouets d'enfance aux lares,
qui étaient les esprits de la famille.

La cérémonie de mariage commençait par une procession dirigée par le marié et qui allait à
la maison de la mariée. La mariée était chez elle vêtue d'une simple tunique blanche la
tunica recta, d'une ceinture qui avait un nœud spécial appelé le nodus herculeus (qui le
marié devait plus tard dénouer), des chaussures oranges et un voile de mariage orange.

La cérémonie commençait avec le sacrifice d'un animal pour obtenir la faveur des dieux. Il y
avait alors un échange de cadeaux, une dot convenue et un contrat de mariage écrit signé.
La dot donnée par la famille de la mariée comprenait souvent des bijoux, des terres, de
l'immobilier, des esclaves, etc notant que le mariage était généralement payé par la famille
de la mariée. Le couple échangeait alors des vœux et un grand banquet suivait à la maison.
Après le banquet, une procession conduisait la mariée dans sa nouvelle maison. La mariée
devait porter une torche avec la terre de son ancienne maison. Une fois en face de sa
nouvelle maison, on lui offrait une autre torche et de l'eau. Les invités devaient la porter
au-dessus du seuil de sa nouvelle maison afin qu'elle ne trébuche pas (trébucher était
considéré comme un mauvais présage). Le marié devait alors lui demander son prénom.
Puisque les femmes romaines n'avaient pas de prénoms, elle répondait: "Là où tu seras
Gaïus, je serai Gaïa". Il y avait une autre courte cérémonie religieuse dans la nouvelle
maison. Le lendemain, il y avait une offrande aux lares et un autre plus petit banquet pour
les parents les plus proches.

Le divorce
Les hommes pouvaient divorcer leurs épouses et les pères ne pouvaient pas empêcher de
tels divorces. Parmis les raisons pour le divorce il y avait: l'adultère, l'infertilité, l'ivresse, le
fait de faire des copies des clés de la maison, ou tout simplement le fait de ne pas avoir le
désir d'être avec l'autre personne. L'adultère était considéré comme une infraction sexuelle
en vertu du droit romain, mais les punitions sévères étaient rarement appliquées. La Lex
Iulia fut une loi introduite par l'empereur Auguste au début de l'Empire, en partie pour
punir l'adultère. Par exemple, un mari trompé avait le droit de tuer l'amant de sa femme si
il était un esclave ou un infamis. Un infamis était un citoyen romain sans droits tel qu'un
criminel, un acteur, un danseur, une prostituée, un gladiateur, etc. De par la loi, il devait
ensuite divorcer sa femme et l'accuser d'adultère. Une femme accusée d'adultère ne
pouvait plus jamais se marier. Elle pouvait également perdre une partie de sa dot. En vertu
de la Lex Iulia, le père avait également le droit de tuer à la fois sa fille adultère et son amant.

La Lex Iulia of 18 B.C.

 Les citoyens romains ne peuvent pas épouser les infames à savoir les
prostituées, les acteurs et actrices, les gladiateurs, les criminels.

 Les esclaves libérés peuvent se marier à des citoyens romains, mais ils ne
peuvent pas se marier à des sénateurs.

 Les fonctionnaires provinciaux ne peuvent pas épouser les femmes locales.

 Les mariages à la première, deuxième ou troisième cousines sont interdits.

 Une femme reconnue coupable d'adultère dans le tribunal spécial appelé le


quaestio doit donner la moitié de sa dot.

 Les femmes qui commettent l'adultère ne peuvent pas se remarier.

 Un mari d'une femme qui commet l'adultère a le droit de tuer l'amant de la


femme si il est esclave ou un infamis.
 Le père d'une fille qui commet l'adultère a le droit de tuer à la fois sa fille et son
amant, mais pas seulement l'un des deux.

Initialement, seuls les hommes pouvaient divorcer leurs épouses, mais plus tard au cours
de la République, les femmes pouvaient aussi divorcer leurs maris. Ce qui est aussi
radicalement différent du divorce de nos jours est le fait que les divorces romains n'étaient
pas enregistrés ou n'avaient pas à être approuvés par l'Église ou par l'État. Cependant cela
etait le cas seulement pour les hommes. Les femmes devaient obtenir l'approbation de
l'État. Il n'y avait pas de documents publics liés aux divorces.

La position des femmes romaines


Les femmes se mariaient très tôt entre les âges de 15 et 20 ans (il était interdit de se
marier avant l'âge de 12 ans), tandis que les hommes se mariaient autour de l'âge de 25
ans. Si la femme appartenait à une famille riche, elle devait normalement se marier très tôt
(dès qu'elle atteignait la puberté) et elle ne pouvait pas choisir son mari car les mariages
étaient arrangés entre les familles riches. Elles devaient également être vierges afin de se
marier.

Dans la forme de mariage appelée manus, l'homme avait le plein contrôle sur sa femme et la
femme devenait une partie de la famille de son mari, perdant ainsi ses droits de succession
dans son ancienne famille, mais gagnant aussi de nouveaux droits de succession dans sa
nouvelle famille .

Le manus disparu progressivement au cours des dernières années de la République (147-


27 BC) pour être remplacé par la forme de mariage sine manu. Dans la forme (libre) de
mariage sine manu, la femme restait un membre de sa vieille famille et restait sous
l'autorité de son père. Elle n'obtenait pas les droits de succession dans sa nouvelle famille.
Il était très facile de divorcer sous cette forme de mariage.

Faits intéressants au sujet du mariage romain

 L'institution du mariage monogame fut plus tard adoptée par le christianisme et


est une raison pour laquelle les mariages sont monogames aujourd'hui dans la
plupart du monde occidental.

 Sous Auguste, il y avait des impôts plus élevés pour les hommes et les femmes
célibataires, et de nombreux avantages pour les couples mariés avec des
enfants.

 L'adultère (pour un homme) n'était pas considéré comme un adultère si il était


commis avec une prostituée ou une esclave.
 Il était très commun de se remarier en raison des taux élevés de mortalité et de
divorce sous la Rome antique.

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Le mariage romain - Civilisation romaine

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Les conditions du mariage

Scène de mariage. Sarcophage des Frères. Musée archéologique


national de Naples. Photo : Marie-Lan Nguyen

Le mariage est l’apanage des hommes libres. Les esclaves ne peuvent se marier.

Dans la Rome antique, l'âge légal du mariage est de douze ans pour les filles et de quatorze
ans pour les garçons. Mais dans les faits, les hommes se marient plus tard, lorsque leur
situation sociale est établie. Les hommes se marient généralement vers 35 ans. Les femmes
sont toujours nettement plus jeunes.

Lorsqu'une femme se marie, elle n'est plus sous la tutelle de son père car elle se retrouve
sous la tutelle de son mari. La conventio in manum place l’épouse romaine sous l’autorité de
son époux. Cependant, elle garde le nom de sa gens d'origine.

Le mari est le chef de famille mais il consulte parfois sa femme pour les décisions
importantes. La femme mariée est respectée dans la société romaine car elle est la
gardienne du foyer.

Sous la royauté et dans les débuts de la République, les mariages entre patriciens et
plébéiens sont interdits. A partir de 445 avant J.-C., les mariages entre patriciens et
plébéiens sont autorisés par une loi : c'est la Lex Canuleia.

La dot de la femme romaine fut longtemps modeste. Mais à partir du Ier siècle avant J.-C.,
les sommes consacrées au dots augmentent considérablement. Sous l'Empire, certaines
dots dépassent le million de sesterces.

Plusieurs catégories de mariages

Dans la civilisation romaine, le mariage est une institution forte qui cimente les groupes
sociaux.

Sous la République, il existe trois cérémonies de mariage distinctes :

LA CONFARREATIO
C'est la forme la plus ancienne des mariages romains. La confarreatio est une cérémonie
religieuse. Elle est réservée aux familles patriciennes. Elle se développe pendant la période
royale et perdure sous la République. Elle disparaît à l'époque impériale. Seules quelques
rares familles patriciennes organisent encore cette cérémonie.

La cérémonie se déroule dans la demeure familiale, devant l'autel domestique. Il y a un


sacrifice, puis une offrande est faite à Jupiter Capitolin : il s'agit d'un gâteau d'épeautre.
Ensuite, les époux partagent un gâteau et le mangent devant le prêtre (le Flamendialis) et
le Grand Pontife qui prononcent des paroles rituelles. Ce gâteau est le panis farreus.

LA COEMPTIO

Ce type de cérémonie se développe sous la République. La coemptio est plutôt pratiquée


par les plébéiens. Chacun des époux donne une pièce de monnaie à l'autre. Cet acte
symbolise un achat fictif. Emptio signifie d'ailleurs achat. La coemptio se déroule en
présence de témoins, tous citoyens romains.

L'USUS

Au bout d'une année de vie commune, un couple est considéré comme marié. Durant cette
période, la femme ne peut rester trois nuits de suite sans venir dormir sous le même toit
que son compagnon. Si elle reste absente du domicile trois nuits de suite, on considère qu'il
y a abandon. Le mariage est frappé de nullité. Le cas est validé par le droit romain dans La
loi des Douze tables.

Le consentement des parents est obligatoire pour que le mariage par usus soit validé..
L'usus se développe au cours de la République.

Sous l'Empire, ces trois types de mariages disparaissent. Une nouvelle forme de
mariage apparaît : le nuptiae.

NUPTIAE

Nuptia vient du latin nubere qui signifie "mettre le voile".

Ce type de mariage apparaît au Ier siècle après. J.-C.. Le mariage est précédé par des
fiançailles : ce sont les sponsalia.

Lors des fiançailles, les promis consultent les augures. Puis le fiancé offre un anneau à sa
promise.

Le fiancé doit offrir des cadeaux à sa promise. A cette occasion, le contrat de mariage est
établi.

A l'origine, le mari est le seul à prendre l'engagement de l'union mais au cours de l'Empire,
l’engagement des fiancés est réciproque.
La cérémonie du mariage est une cérémonie religieuse. Elle se déroule soit au domicile de
la fiancée soit dans un temple. Un sacrifice est effectué puis les époux communiquent leur
volonté d'engagement dans le mariage.

Les rituels

AVANT LA CEREMONIE

La veille du mariage, la fiancée effectue des offrandes aux lares.

Un sacrifice est effectué pour les dieux.

LA CEREMONIE

Le choix du jour est important, il faut éviter les jours de mauvais augure.

Le jour du mariage, la femme romaine abandonne sa bulle : elle quitte le monde de


l'enfance.

Lors de la cérémonie du mariage, la femme signale son engagement en disant « Ubi tu


Gaïus, ibi ego Gaîa » qui signifie « Où tu seras Gaïus, je serai Gaïa ».

LES FETES NUPTIALES

Il y a un banquet nuptial. A la fin du repas, la mariée est conduite dans la maison du marié
par les garçons et les demoiselles d'honneur. Le marié l’attend dans sa maison. La mariée
est soulevée de terre pour franchir le seuil. On remet ensuite à la mariée les clefs de la
maison.

LES VETEMENTS

Le jour de ses noces, la mariée romaine porte une longue tunique blanche (tunica recta),
serrée à la taille par une ceinture.

Sa tête est recouverte du flammeum (voile de couleur orangée). A partir du IIème siècle, la
mariée porte une couronne de fleurs d'oranger.

Elle porte aussi des sandales jaunes.

La séparation

L' homme romain pouvait répudier son épouse. Il lui suffisait de lui réclamer les clefs de la
maison devant un témoin.

En cas de divorce, la femme romaine garde sa dot sauf si elle est accusée d'adultère.
Sous la Rome royale, seuls les hommes peuvent divorcer.

A la fin de la République, les femmes obtiennent le droit de divorcer ainsi que celui de se
remarier immédiatement.

Sous l'Empire, les divorces devinrent fréquents. Sous Auguste et Domitien des lois
tentèrent de limiter la progression des divorces. En vain. Les motifs de divorces se
banalisèrent. Certains couples effectuent des séparations « à l'amiable » lorsque le motif
invoqué est l'incompatibilité d'humeur. invoquaient même l'incompatibilité d'humeur.

Le divorce est validé par un magistrat.

En cas de divorce, s'il y a eu mariage par confarreatio, une cérémonie particulière est
nécessaire (la diffareatio), pour rompre la cérémonie de confarreatio.

La diffareatio marque la dissolution de la confarreatio.

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Osculum, Basium, Savolium. - Shadow_Of_Castiel - Supernatural [Archive of Our Own]

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Dean shifted uncomfortably in bed, unable to sleep because of the heat. His body was sticky
from too much sweat sticking to his skin, despite only wearing his boxers to bed. Sam
looked to be having no trouble sleeping on the other bed, and had been sound asleep every
time that Dean had looked his brother's way during the long, sleepless hours of the too hot
night. The elder Winchester found the air too thick to breathe into his lungs, too
constricting in his throat and he moaned, shifted against the mattress beneath him as he
tried to angle his hot body into a better, more comfortable position.

Within seconds he was shifting again, laying on his stomach, then his back, turning onto his
left side, then his right, to no avail. Whichever way he turned his body, it was
uncomfortable, too hot. He sighed and toyed with the idea of just getting up, foregoing sleep
in order to find a cooler place with beer and ice cream and air conditioning that actually
worked. He contemplated actually getting up to go to a bar or at least a Seven-Eleven to get
some beer and ice cream, before he wondered whether Castiel would be available to join
him. He sighed and smiled when he thought of his lover before he wished that the angel
was there already. He shouldn't have been surprised when he heard a familiar shift of
feathers and clothing settling down on the bed beside him, but he was.

"Hello, Dean," Castiel's always reassuring deep voice sounded in the air behind him, as
Dean angled his body to turn over in bed to face his lover.

"Hey, Cas," Dean replied, wearily, heat turning his words into an exaggerated yawn in an
attempt to get more oxygen into his system. "I'm hot, and I can't sleep."

Castiel sighed,. before he settled down beside the hunter on the bed, clothes rustling and
trenchcoat settling out around them as he slid one hand up and over the ridge of Dean's
hip. Dean, all too used to Castiel's long fingers warm and heated against his flesh whenever
they slept together, was suddenly surprised to find that now the angel's slender hands
were cold, leaving chill gooseflesh in their wake. Dean sighed in happiness, contented both
at his lover's touch and the angel's cooling influence beside him.

Castiel leant in and pressed the palm of his hand flat against Dean's forehead, fingers
spreading soothing coolness through Dean's body. Dean sighed again, eyes drifting closed
in tiredness as Castiel laid his mouth against his cheek. gently.

Castiel's lips were cool against his skin, plush lips lingering against slightly stubbled cheek
as the angel kissed him again. Dean shifted beneath his touch, settled against the angel's
body more fully as he slipped his hand beneath his lover's coat and snagged Castiel's body
in a tender embrace. Castiel purred slightly in amused contentment, allowing Dean to hold
him, to snuggle into him in weary contentment, snuggling a little back in reciprocation.

He took his hand away from Dean's forehead, placed his still cool fingers on the back of
Dean's neck as he pressed his lips against Dean's, chill silken surfaces lingering against
Dean's hot, firmer lips. Dean sighed again and kissed him back sleepily, a slight snore
rumbling in his chest as he almost fell asleep beneath Castiel's soothingly cool kisses.

Castiel's tongue lapped out against Dean's firm lips, pushing against them insistently with a
small whine in his throat asking for admittance. Dean cracked one eye open and smiled,
before opening his mouth beneath Castiel's onslaught. Castiel slid his tongue inside Dean's
mouth, surprisingly chill in comparison to its usual hot wet mouthful. Castiel breathed
slightly into the hunter's mouth as he probed his lover's mouth with his tongue exploring
every inch of his tongue and wet warmth. Dean shivered at the feel of icy coolness seeping
into his body, lowering his temperature as Castiel kissed him, purposefully using his angelic
essence to cool and soothe his lover.

The hunter tipped his head back slightly, inviting Castiel further in and receiving a deep
kiss in return, lips working hungrily against one another. The angel's hands were still a cold
pressure against the hunter's back, fingertips massaging Dean's flesh and spreading cooling
pressure over his flesh. Dean sighed and settled back against the mattress, smiling in
contentment beneath the angel's soothing ministrations.

"Thanks, Cas," Dean said, gratefully. "Please stay."

"Of course," Castiel replied, as though the mere idea of leaving now was an absurd notion.

Dean smiled and settled into Castiel's body, relaxing when he felt the angel curl around
him, pressure soothing against him as he cradled him into sleep. Castiel smiled as he
watched Dean sleeping peacefully, lips parted gently as the hunter snored, eyelids
fluttering in some hunter's dream. The angel pressed a soothing kiss every now and again
to Dean's lips every time he felt Dean's temperature raising again, hands constantly
soothing and caressing him as he slept.

And if Sam noticed that Dean was still cradled against Castiel's body in the morning, he
remained silent on the matter, a brief smile creasing across the younger hunter's face at the
sight of Dean sleeping peacefully in Castiel's arms. Castiel smiled back at him, running one
soothing hand over Dean's brow when it seemed as though the hunter would wake again.
Dean settled back into sleep as Sam nodded at the angel gratefully.

"Look after him, Cas," he said, simply, knowing already that the statement was a moot
point.

"Always," Castiel replied, immediately.


"I know," Sam acknowledged, before shambling off to the bathroom without a second
glance.

Castiel watched him leave, touched that Sam had all but given him permission to stay with
his brother without recriminations or argument. Castiel smile grew broader and was the
first thing that Dean saw when the hunter roused from sleep.

"Hey, sweetheart," Dean murmured, sleepily as he leant in to press a kiss to Castiel's soft
responsive mouth gently.

"Hello, Dean," Castiel replied, when the kiss ended.

"Thanks for staying with me last night, Cas," Dean murmured, as he rested his hand against
Castiel's cheek tenderly.

Castiel remained silent, eyes resting tenderly upon Dean's face, a small smile softening the
gentle curve of his mouth as Dean dragged his thumb across Castiel's full lower lip.

"I wish you could stay with me every night," Dean murmured, wistfully.

"All you have to do is ask, Dean, and I will remain by your side," Castiel replied,
immediately.

Dean leant away slightly, far enough away to stare at his lover in surprise, but not far
enough away to disentangle himself from Castiel's embracing arms.

"Seriously?" Dean asked, happiness shining through his hopeful surprise.

Castiel nodded slowly, eyes forever locked with Dean's.

"Please stay with me, Cas, always," Dean murmured as he leant into Castiel's body once
more.

"Always," Castiel replied, smiling when Dean snuggled into his body again.

The angel always found it fascinating how Dean only ever seemed to relax when he was
held in Castiel's arms, as though it was the only place Dean felt safe and found peace from
the world. He stroked Dean's back and sighed contentedly, knowing that he would always
be there watching over him, to willingly offer him the love, peace and security that Dean so
obviously needed.

"Thanks, Cas," Dean suddenly said, as though he knew what Castiel had been thinking.
"Things are better when you're here."

Castiel remained silent, not really knowing the words to reply to his lover; instead he just
leant in to brush his lips against Dean's responsive mouth, hoping that the hunter would
pick up his love, his tenderness for the hunter in the cool pressure of lips against lips. Dean
sighed into Castiel's open mouth - message received and understood. They were still
kissing when Sam came back from the bathroom and the younger Winchester crept around
them, affording them a private moment together as he slowly packed for the next stage of
their journey. He felt relieved that Dean had found someone he so obviously loved and was
loved in return, proving that there was happiness for them out there after all ...

~fini~

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Women And Marriage In Ancient Rome

womenintheancientworld.com

WOMEN AND MARRIAGE IN ANCIENT ROME

Roman weddings were the source for many of our own marriage traditions. A ring on the
third finger of a girl's left hand symbolized engagement. At the wedding ceremony the
bride was dressed in white, wore a veil and was accompanied by a bridesmaid.

A Roman girl was considered ready for marriage at the age of 14. Her father would choose
a husband and conduct the required arrangements, including the size of the dowry, with
the groom's family. Economic considerations and inter-family relations were far more
important than love.

Care was taken in choosing a lucky day that would avoid any ill omens; June was an
especially favored month. A ceremony involving religious elements and the signing of the
marriage contract was followed by a feast for all of the friends, relatives and business
associates of the two families.

Throughout most of the history of the Roman Republic marriage transferred a woman from
the authority of her father to the authority of her husband or her husband's father or
grandfather, if he were alive. The senior father was the pater familias who had total control
over all members of his family. In theory that control extended even to life and death, but in
reality it was limited to economic matters. The pater familias owned and controlled all of
the family's wealth. Any money or property a woman possessed at the time of her marriage
passed to the control of the pater familias of her new husband's family.

Towards the end of the Republic and throughout the history of the Empire a new style of
marriage became popular in which the woman retained control of her own money. Such a
system made divorce a more viable option for women.

Raising the children and managing the home were the most important jobs of a woman. In
the poor families she would have to do the work herself, but in middle and upper classes
she could expect to have servants and slaves to help.

While romance was seldom a factor in choosing a spouse, love and affection often grew
between husband and wife. The legal status of a woman in Rome did not appear to be much
better than that of a woman in Athens, but in practice there was an enormous difference. A
Roman wife expected to be the hostess if her husband had friends in to visit, and a Roman
mother exercised genuine influence in making family decisions. Her epitaph might praise
her spinning and her modesty, but beneath the surface there was a real woman.

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La condizione della donna nella famiglia dall'antichità ad oggi di Enrica Iozzi


(iozzi@fauser.edu), Emanuela Coppa (ema@s-edp.it)

La donna e il matrimonio nell'antica Grecia

Erodoto, storico greco,scriveva:�Gli Egiziani hanno costumi e leggi contrarie a quelli di


tutti gli altri popoli. Presso di loro le donne vanno al mercato e commerciano, mentre gli
uomini restano a casa e tessono�. Per lo storico greco, quindi, sembrava inconcepibile
l�idea che le donne potessero avere tutte queste libertà di movimento. In questa frase si
ritrova la concezione greca della donna, per cui essa doveva restare chiusa in casa. La
donna greca,infatti, viveva all�interno della casa nella parte a lei riservata e che portava il
nome di �gineceo�. [F]; [F].

Le donne nella casa lavoravano e accudivano i figli, senza uscire quasi mai: stavano sempre
tra di loro. Il matrimonio poggiava su un accordo formale tra sposo e sposa in cui era
presente la consegna della dote allo sposo. In questo accordo, stipulato tra suocero e
genero, la donna non esprimeva il proprio consenso. Poi,il trasferimento della donna
costituiva il compimento del matrimonio, nel quale si realizzava l�unione: la sposa
cambiava casa, ma anche padrone,passando dal padre allo sposo.[I]; [F];.[S].

La sorte delle donne era segnata fin dalla loro tenera età. L�età considerata adatta per le
nozze si aggirava tra i 14 e i 16 anni, ma a volte le spose erano anche più giovani. Il loro
sviluppo, sia fisico che mentale, avveniva infatti molto presto, ma sfiorivano ancora in
giovane età. Comunque il loro consorte, che il padre sceglieva, era sempre molto più
anziano. L'uomo greco infatti si sposava all'età di circa trent'ann. Proprio in queste ultime
due figure l'uomo greco cercava soddisfazione ai propri bisogni affettivi frequentando delle
concubine. La moglie,infatti,non era altro se non uno "strumento" per la procreazione,
imposto allo sposo dal padre [I];[S].

Anche se il contratto non poneva la sposa propriamente come �figlia dello sposo�,
l�usanza ateniese faceva sì che lei fosse un�eterna minore a cui lo sposo/ tutore doveva
garantire tutti gli atti politici.Quando una donna era implicata in un processo era il marito
che la rappresentava in tribunale. Il contratto poneva la sposa come �pupilla dello sposo",
per cui lo sposo assumeva la tutela della sposa, ma il padre di lei continuava a mantenerla
come figlia. Per questo, se il contratto si rompeva, essa ritornava automaticamente sotto
l�autorità del padre e poteva ereditare.
Riguardo alla dote, essa era della donna: lo sposo, stipulando il contratto, si riconosceva
debitore della dote e forniva una garanzia ipotecaria sui suoi beni fondiari. Come aveva la
tutela della moglie, aveva anche quella della dote:l�aveva in gestione e ne utilizzava i
redditi, finché durava il matrimonio. Il marito era un semplice usufruttuario,poiché i veri
destinatari della dote erano i figli, che ne entravano in possesso alla morte della madre.

3/9

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Matrimonio nell'antica Grecia


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Note sintetiche sulle caratteristiche e le particolarità dei matrimoni nell'antica Atene (1


pagine formato doc)

Pagina 1 di 2

 2

 Successivi

SPECIALE SCUOLA
IL MATRIMONIO NELL'ANTICA GRECIA

L'evento matrimoniale obbediva a particolari regole e rituali che non potevano in


alcun modo essere disattesi. Il matrimonio in Grecia rappresentava l'attuazione di
un triplice dovere nei confronti:

 degli Dei, che dall'unione matrimoniale avrebbero tratto la garanzia di una


moltitudine di fedeli disposti a venerarli;

 dello Stato, che poteva contare su numerosi cittadini pronti a difenderlo;

 della propria stirpe, della quale attraverso le nascite, ne assicurava la


conservazione.

Difficilmente, però, le nozze avvenivano tra persone che si erano liberamente scelte per
reciproca attrazione sentimentale, ma erano anzi, di solito, frutto delle decisioni dei
genitori adottate in base a criteri del tutto scevri da quello dell'amore (dote, interessi
familiari ecc. ... )
Risultava, infatti, oltremodo difficile per i giovani riuscire ad intrattenere rapporti che
potessero far sorgere solidi legami sentimentali in una società in cui la donna conduceva
una vita ritirata tra le mura domestiche. Lo sposalizio era preceduto da una promessa
solenne fatta normalmente dal padre o da chi ne facesse le veci, con la quale si stabiliva
l'ammontare della dote che non diventava di proprietà del marito cui, invece, spettava il
solo usufrutto.

Il periodo ritenuto più opportuno per lo svolgimento delle nozze era la stagione invernale
e, precisamente, quello corrispondente al nostro mese di gennaio che, in Grecia si
identificava con Gamelione (da gàmos, cioè nozze). Il giorno delle nozze lo sposo e la sposa
facevano il bagno in acqua attinta presso particolari fonti sacre, diverse a seconda del luogo
di svolgimento del matrimonio. Dopo tale solenne cerimonia, seguiva un banchetto in casa
della sposa in cui, però, le donne sedevano separate dagli uomini. Terminato il banchetto,
sul far della sera, la sposa veniva condotta alla presenza dello sposo (entrambi cinti di
corone di fiori e profumati con unguenti) per prendere posto su di un carro accanto a lui e
ad un parente prossimo.

Pagina 1 di 2

 2

 Successivi

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Mahatma Ghandi
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