1 : Page
Faculté des sciences économiques et de gestion (FASEG)
Réalisé par :
Abdi-Basid IBRAHIM
Abdi-Basid ADAN ADAN
Hawa DIENG
2 : Page
Exercice 1……………………………………………………………..…………………………………..……………………………………………………………………………...5
Exercice 2………………………………………………………..…………………………………..…………………………………………………………………………..…... 13
Exercice 3……………..…………………………..…………………………………..……………………………………………………………………………..……………… 15
Exercice 4…………………………………………..…………………………………..……………………………………………………………………………..………/…..… 17
Exercice 5………………………………………..…………………………………..……………………………………………..………………………………..……………… 41
Exercice 6………………………………………………………..…………………………………..……………………………………………………………………………..… 46
Annexe………………………………………………………..…………………..……………………………………………………………………………..……………………… 47
3 : Page
Tableau 8 : Estimations mce par Moindres carrés Ordinaires
Tableau 9 : Estimations mls par Moindres carrés Ordinaires
Tableau 10: Estimation du modèle LOGIT
Tableau 11: Estimation du modèle LOGIT
4 : Page
Figure 22 : Prévisions de l’investissement
Exercice 1 :
5 : Page
Pour ce faire, on programme comme suit sous le logiciel R
R> plot(inv, type = ‘l’, xlab = ‘Année’,col=2,
ylab= ‘Investissement en Milliards de franc CFA’, lwd=2,pch=20,
main="")
On obtient :
Figure 1 : Evolutions de l’investissement d’un pays africain de 1992
à 2015
Interprétation :
6 : Page
p = 4, si la série est trimestrielle
p = 12, si la série est mensuelle
p = 3 ou 5, si la série est annuelle
𝑌1 + 𝑌2 + 𝑌3 + 𝑌4 + 𝑌5 𝑌3 + 𝑌4 + 𝑌5 + 𝑌6 + 𝑌7
𝑚𝑚5 = ; ;…
5 5
Remarque :
1) Les moyennes mobiles peuvent être influencées par des valeurs aberrantes.
2) C’est fort regrettable, la nouvelle série est forcément plus courte que l’initiale (on perd p – 4
valeurs).
Interprétation :
7 : Page
Interprétation :
8 : Page
carrées
Source : R, 2017
Interprétation :
9 : Page
Hodrick Prescott Filter of variable
Source R, 2017
Source R, 2017
Interprétation :
10 : Page
Pour ce faire, on programme comme suit sous le logiciel R
Source R, 2017
Master 2 En Méthodes Statistiques Et Econométriques
Econométrique I et II
11 : Page
Source R, 2017
Interprétation
Un certain nombre des mesures d'erreur intra-échantillon ont été décrites par
Hyndman (2008). Ces mesures sont basées sur l'erreur de prévision à un horizon dans
l'échantillon. Ainsi, nous avons les mesures suivantes exprimés dans les unités de la
variable consodérée:
1
𝑀𝐸 = ∑𝑛𝑡=1 𝑒𝑡 :Mean Eroor
𝑛
1 2
𝑅𝑀𝑆𝐸 = √𝑛 ∑𝑛𝑡=1 𝑒𝑡 :Root Mean Square Error (la racine carré de l'erreur
moyenne, MSE).
1
𝑀𝐴𝐸 = ∑𝑛𝑡=1 |𝑒𝑡|
12 : Page
:Mean Absolure Error
𝑛
1
MPE= 𝑛 ∑𝑛𝑡=1 𝑝𝑡 : Mean Percentage Error
1
MAPE= 𝑛 ∑𝑛𝑡=1 |𝑝𝑡 | :Mean Absolute Percentage Error
Les tableaux ci-dessus illustres les différentes qualités d’une méthode prévisionnelle
notamment : l’erreur moyenne, La racine de l’erreur quadratique moyenne ;
Pourcentage de l’erreur moyenne ; erreur quadratique moyenne absolue et
l’autocorrélation partiel :
En ces termes, seule la méthode prévisionnelle dont l’erreur moyenne commis est
faible sera la plus importante à considérer pour la prévision.
Exercice 2 :
13 : Page
On obtient :
Source R, 2017
On obtient :
Figure 8 : Prévision de taux de croissance d’un pays africain à
l’horizon 3 ans
14 : Page
Source R, 2017
Point Forecast Lo 80 Hi 80 Lo 95 Hi 95
2017 5.406541 4.527427 6.285656 4.062051 6.751031
2018 5.406541 4.527427 6.285656 4.062051 6.751031
2019 5.406541 4.527427 6.285656 4.062051 6.751031
Source R, 2017
Interprétation
Les valeurs de la prévision par le lissage exponentiel simple à l‘horizon trois ans sont
données dans le tableau ci-dessus. Les valeurs sont presque constantes (5.406) pour
les trois prochaines années et appartiennent aux intervalles de confiances
Exercice 3 :
15 : Page
1) On représente par un graphique linéaire le comportement des ventes d’une
entreprise du premier trimestre de 20123 au quatrième trimestre de 2016 :
On obtient :
Figure 9 : Prévision de taux de croissance d’un pays africain à
l’horizon 3 ans
Source R, 2017
Residuals: X Y Z A
9.0534 2.5406 -0.7792 -10.8148
Coefficients:
Estimate Std. Error t value Pr(>|t|)
(Intercept) -12.07737 19.56599 -0.617 0.600
x 0.27481 0.09746 2.820 0.106
16 : Page
Interprétation
Les estimations des paramètres de la régression des écarts types de chaque trimestre
par la moyenne de ces derniers montrent un coefficient directeur (pente) assez loin de
la valeur 0 : nous sommes en face d’une série avec une saisonnalité multiplicative.
Source R, 2017
Exercice 4:
17 : Page
lesquels :
On obtient :
18 : Page
Source R, 2017
d’un phénomène.
jarque.bera.test(e4$PIB)
On obtient :
jarque.bera.test(d$IMP)
a- Tests de Loi Normale
Interprétation
Contre
19 : Page
réalisés pour la variable PIB et Importation, on peut affirmer :
b- Tests de Le lognormale
En résumé, au seuil de risque 1%, on peut affirmer que les distributions des variables
20 : Page
PIB et Importation sont conformes à celle de loi normale.
jarque.bera.test(e4$PIB)
On obtient :
jarque.bera.test(d$IMP)
Residuals:
Min 1Q Median 3Q Max
-0.12541 -0.04601 -0.00787 0.04579 0.15957
Coefficients:
Estimate Std. Error t value Pr(>|t|)
(Intercept) 0.3805 0.5873 0.648 0.523
log(PIB) 0.7898 0.0848 9.314 1.93e-09 ***
---
Signif. codes: 0 ‘***’ 0.001 ‘**’ 0.01 ‘*’ 0.05 ‘.’ 0.1 ‘ ’ 1
On obtient alors une élasticité qui s’interprète comme la hausse 78.98% des
importations induite par une augmentation d’une unité (100%) de PIB.
Master 2 En Méthodes Statistiques Et Econométriques
Econométrique I et II
Contre
21 : Page
𝐻1 : Le coefficient associé à la variable PIB est diffèrent de 0.
Contre
𝐻𝑂 : Les erreurs du modèle estimées suit une loi de Gauss Laplace (N(𝑚, 𝜎))
Contre
𝐻1 : Les erreurs du modèle estimées ne suit pas une loi de Gauss Laplace (N(𝑚, 𝜎))
22 : Page
data: residus
X-squared = 0.7652, df = 2, p-value = 0.6821
5) d1) Apres avoir estimé les paramètres du modèle par la méthode de Moindres
Carrés Ordinaires (MCO), il s’agit de tester l’hypothèse d’homocédasticité des
erreurs, autrement-dit :
Contre
Eviews, 2017
Interprétation
En examinant les deux probabilités critiques (0.211 et 0.1.196) associées au test
d’hétérocedasticité des erreurs de White, On voit qu’elles sont supérieures aux seuils
conventionnels (1%, 5% et 10%). Alors, nous ne rejetons pas l’hypothèse nulle au
seuil de risque de 5%. Nous pouvons affirmer que les erreurs du modèle sont
homocédastiques.
5) d2) Apres avoir estimé les paramètres du modèle par la méthode de Moindres
Carrés Ordinaires (MCO), ici, on désire tester l’hypothèse d’autocorrélation des
23 : Page
erreurs, autrement-dit :
Contre
Eviews, 2017
Interprétation
Contre
24 : Page
Interprétation
5) f) Apres avoir estimé les paramètres du modèle par la méthode de Moindres Carrés
Ordinaires (MCO), il s’agit de tester l’hypothèse de spécification du modèle,
autrement-dit :
Contre
Value df Probability
F-statistic 8.235213 (2, 22) 0.0021
Likelihood ratio 14.53003 2 0.0007
Interprétation
En observant les deux probabilités critiques (0.002 et 0.0) associées au test Ramsey.
On voit qu’elles sont inférieures au seuil de 5%. Alors, nous rejetons l’hypothèse nulle
au seuil de risque de 5%. Nous pouvons affirmer que le modèle est mal spécifié en
raison de l’absence des variables explicatives pertinentes.
25 : Page
autrement-dit :
Contre
Interprétation
En observant les deux probabilités critiques (0.0019 et 0.0) associées au test de Chow
Breakpoint. On voit qu’elles sont inférieures au seuil de 5%. Alors, nous rejetons
l’hypothèse nulle au seuil de risque de 5%. Nous pouvons affirmer que le modèle est
instable pour l’année de rupture en occurrence 2002. Pour corriger cette instabilité, il
suffirait d’introduire dans le modèle une variable binaire. Il s’agit d’une année (2002)
de perturbation dû vraisemblablement à l’économie, à la politique, une crise,…etc.
5) g1) Apres avoir estimé les paramètres du modèle par la méthode de Moindres
Carrés Ordinaires (MCO), il s’agit de tester l’hypothèse de la stabilité du modèle
avec le test de Cusum. Ainsi, il s’agit d’une analyse graphique :
G)
15
10
26 : Page
-5
-10
-15
92 94 96 98 00 02 04 06 08 10 12 14
Interprétation
La fonction (Courbe) de Cusum est entre les seuils de significativité [-5, 5] (appelé
aussi la bande de confiance). Dans ce cas, on peut affirmer au seuil de 5% que le
modèle est structurellement stable.
5) g2) Apres avoir estimé les paramètres du modèle par la méthode de Moindres
Carrés Ordinaires (MCO), il s’agit de tester l’hypothèse de la stabilité du modèle
avec le test de Cusum Carré. Ainsi, il s’agit d’une analyse graphique :
1.4
1.2
1.0
0.8
0.6
27 : Page
0.4
0.2
0.0
-0.2
-0.4
92 94 96 98 00 02 04 06 08 10 12 14
Interprétation
6) Apres avoir estimé les paramètres du modèle par la méthode de Moindres Carrés
Ordinaires (MCO), il s’agit maintenant de simuler le modèle :
6.1
6.0
5.9
5.8
.2 5.7
28 : Page
5.6
.1
.0
-.1
-.2
90 92 94 96 98 00 02 04 06 08 10 12 14
Interprétation
Le courbe colorée en Vert représente la série ajustées (estimé ou prédite : Fitted) et
celle coloré en rouge la série observée (mesurée ou échantillonnée). Visiblement,
l’erreur (Residual courbe en bleu) commise est faible, elle est quantifiable à l’aide de
critère de prévision. En résumé, le modèle à des chances d’avoir un bon prédictif, car
il reproduit fidèlement le passé.
7) Apres avoir estimé les paramètres du modèle par la méthode de Moindres Carrés
Ordinaires (MCO), on peut prévoir la série à l’horizon 2019 :
29 : Page
200
90 92 94 96 98 00 02 04 06 08 10 12 14 16 18
IMPF ± 2 S.E.
Interprétation
La valeur prédite de l’investissement (coloré en bleu) est comprise entre les seuils des
écarts types de l’erreur de la régression.
30 : Page
Sum squared resid 0.085665 Schwarz criterion -2.45204
Log likelihood 35.47884 Hannan-Quinn criterion -2.55774
F-statistic 63.54807 Durbin-Watson statistic 2.234585
Prob(F-statistic) = 0.000000
Source Eviews, 2017
Interprétation
Les paramètres estimés sont données dans la colonne coefficient :
9) Apres avoir estimé les paramètres du modèle par la méthode de Moindres Carrés
Ordinaires (MCO), testons la significativité des paramètres : il s’agit de tester
l’hypothèse de nullité de paramètre estimé :
Contre
10) Après avoir estimé les paramètres du modèle par la méthode de Moindres Carrés
31 : Page
Ordinaires (MCO), testons la significativité globale du modèle (Test de Fisher) : il
s’agit de tester l’hypothèse d’au moins un paramètre estimé est nul :
Contre
11) Une fois testons les significativités des paramètres, on peut s’intéresser à leurs
interprétations en termes d’impact. Le modèle estimé est du type (log-log), une
transformation exponentielle est nécessaire pour obtenir des élasticités à différents
termes de yt par rapport aux xt :
La hausse d’une unité de Pib induit à courte terme une augmentation de 53.54% de
l’importation. Toutes Choses égales par ailleurs (Ceteris Paribus).
32 : Page
Elasticité de longs termes
0.5354
La hausse d’une unité de Pib induit à long terme une augmentation de (1−.4070 ≅
0.90287) soit 90.28% de l’importation. Toutes Choses égales par ailleurs (Ceteris
Paribus).
12) Le coefficient de détermination à considérer dans notre exemple est celui ajusté
car elle n’est pas biaisée (elle n’augmente pas avec le nombre des variables à
introduire). Ce dernier prend la valeur (0.839) soit 83.9%. On pourra dire que près
de 83.9% des fluctuations du log l’importation.
13) Après avoir estimé les paramètres du modèle par la méthode de Moindres Carrés
Ordinaires (MCO), On pourrait examiner graphiquement la simulation du modèle :
6.1
6.0
5.9
.15
5.8
.10
5.7
.05 5.6
.00
33 : Page
-.05
-.10
92 94 96 98 00 02 04 06 08 10 12 14
Interprétation
La courbe colorée en Vert représente la série ajustées (estimé ou prédite : Fitted) et
celle coloré en rouge la série observée (mesurée ou échantillonnée). Visiblement,
l’erreur (Residual courbe en bleu) commise est faible, elle est quantifiable à l’aide de
critère de prévision. En résumé, le modèle à des chances d’avoir un bon prédictif, car
il reproduit fidèlement le passé.
34 : Page
200
92 94 96 98 00 02 04 06 08 10 12 14 16 18
IMPF ± 2 S.E.
Interprétation
La valeur prédite de l’investissement (coloré en bleu) est comprise entre les seuils des
écarts types de l’erreur de la régression.
15) On peut s’en servir le critère de l’erreur quadratique moyenne pour comparer les
performances prévisionnelles de ces deux méthodes : RMSE : Root Mean Square
Error : Erreur Quadratique Moyenne.
Le modèle autorégressif est plutôt meilleur que celle du modèle linéaire simple, car
celui-ci donne la plus faible RMSE.
t-Statistic Prob.*
35 : Page
Augmented Dickey-Fuller test statistic -6.675728 0.0001
Test critical values: 1% level -4.394309
5% level -3.612199
10% level -3.243079
Contre
Interprétation
En considérant la probabilité critique (0.000) associées au test de Dickey-Fuller
Augmenté. On voit qu’elle est inférieure aux seuils conventionnels de (1%, 5% et 10%).
Alors, nous rejetons l’hypothèse nulle au seuil de risque de 5% au détriment de
l’hypothèse alternative. Nous pouvons affirmer que la variable importation est
stationnaire en différence première 1, elle suit donc un processus d’ordre un : I (1).
t-Statistic Prob.*
36 : Page
Interprétation
Contre
17) Etudions cette fois la cointegration des variables avec le test de Rang de
cointegration :
Contre
37 : Page
* denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level
**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values
Interprétation
On testons l’indications des valeurs de la trace, on voit qu’elles sont supérieurs à
celle de critiqua value ce qui donne un rang 2.
18) Après avoir vérifié le test de cointegration des variables avec le test de Rang, il
est possible de proposer une estimation par la méthode de Moindres Carrés
Ordinaires ( en une étape: méthod’Henry):
38 : Page
D(LOG(PIB)) 0.543510 0.258300 2.104186 0.0476
LOG(IMP(-1)) -0.590084 0.178675 -3.302562 0.0034
LOG(PIB(-1)) 0.532560 0.163601 3.255235 0.0038
R-squared 0.412067 Mean dependent var 0.013697
Adjusted R-squared 0.328077 S.D. dependent var 0.077914
S.E. of regression 0.063867 Akaike info criterion -2.518376
18) b) Le modèle à correction d’erreur n’est valable que si deux conditions sont
réunies :
Dans notre exemple, les deux conditions ci-dessous sont réunis, alors le modèle à
correction d’erreur (modèle d’Henry) est valable.
39 : Page
18) e) Soit le modèle à correction d’erreur d’Henry:
Les coefficients 𝑎̂1 et 𝑎̂2 représente les élasticités de court terme de l’importation par
rapport aux PIB et au PIB antérieur.
La hausse d’une unité (100%) de Pib induit à courte terme une augmentation de
54.35% de l’importation. Toutes Choses égales par ailleurs (Ceteris Paribus).
La hausse d’une unité (10%) de Pib induit à long terme une augmentation de
0.5435
(1−.590084 ≅ 1.326) soit 13.28% de l’importation. Toutes Choses égales par ailleurs
(Ceteris Paribus).
40 : Page
200
92 94 96 98 00 02 04 06 08 10 12 14 16 18
IMPF ± 2 S.E.
Exercice 5:
800
41 : Page
700
600
500
Bénéfice (b)
400
B
300
200
100
0
0 4 8 12 16 20 24 28 32 36 40
Q
Production (q)
Source Eviews, 2017
Interprétation
L’ajustement entre le bénéfice et la production par une fonction puissance.
Dependent Variable: B
Method: Least Squares
Sample: 1 9
Included observations: 9
Variable Coefficient Std. Error t-Statistic Prob.
C -119.3839 36.17568 -3.30012 0.0131
Q 19.80894 2.163628 9.155430 0.0000
R-squared 0.922926 Mean dependent var 140.3333
Adjusted R-squared 0.911916 S.D. dependent var 226.9185
42 : Page
S.E. of regression 67.34721 Akaike info criterion 11.45073
Sum squared resid 31749.52 Schwarz criterion 11.49456
Log likelihood -49.52828 Hannan-Quinn criter. 11.35615
F-statistic 83.82190 Durbin-Watson stat 0.972356
Prob(F-statistic) = 0.000038
Source EVIEWS, 2017
Interprétation
On peut écrire sous la forme économétrique suivante :
Contre
Exercice 6:
43 : Page
1) Estimation Robuste de la probabilité d’achat par la procédure Logit:
Ainsi, la variable revenue est de signe positif, indiquant que la probabilité d’achat est
une fonction croissante de revenue.
Pour la variable remboursement, le signe obtenue est négatif pour la modalité “le
ménage rembourse”, indiquant cette fois-ci que la probabilité d’achat est une fonction
décroissante de remboursement.
44 : Page
3) Il s’agit de tester l’hypothèse nulle de non significativité des variables :
Contre
Contre
La statistique de Walt 7.31, elle suit une loi de Chi-Deux à 2 degré de liberté. La probabilité
0.0259 est inférieur à 5%, alors on rejette l’hypothèse nulle au détriment de l’hypothèse
alternative. On peut affirmer au seuil de significativité de 5% que le modèle est globalement
significatif.
45 : Page
5) Le coefficient de détermination de Heckman et Mc Fadden indique 39.40% des
fluctuations de la probabilité d’achat sont expliqués par les variables revenue et
remboursement.
Interpretation
L’effet marginal associe à la variable quantitative revenue dy/dx est de 0.431. En effet si le
revenu augmente d’une unité, la probabilité d’achat augmente de 0.431 soit 43.1%.
En ce qui concerne, l’effet marginal associe à la variable qualitative remboursement est dy/dx
=- 0.4821. En effet l’achat diminue de 48.21% pour les ménages qui remboursent
comparativement aux ménages qui ne remboursent pas (+).
Contre
46 : Page
Source : Stata, 2017
Interprétation
La probabilité associée au modelé de test Hosmer LemeShow est 0.6293. Cette
probabilité est supérieure aux seuils conventionnels (1%, 5% et 10%). Par conséquent,
on peut affirmer que le modèle de l’ajustement Logit est bon.
ANNEXE
Figure 19 : Boîte à moustache de l’Importation
IMP
440
400
360
320
47 : Page
280
240
PIB
2,200
2,000
1,800
1,600
1,400
1,200
1,000
800
600
90 92 94 96 98 00 02 04 06 08 10 12 14 16 18
480
440
400
Quantiles of Normal
360
320
48 : Page
280
240
200
240 280 320 360 400 440
Quantiles of IMP
6,000
Forecast: INVF
5,500 Actual: INV
Forecast sample: 1992 2019
5,000 Adjusted sample: 1992 2015
Included observations: 24
4,500
Root Mean Squared Error 199.3629
4,000
Mean Absolute Error 170.5671
Mean Abs. Percent Error 4.335624
3,500 Theil Inequality Coefficient 0.024747
Bias Proportion 0.000000
3,000 Variance Proportion 0.018597
Covariance Proportion 0.981403
2,500
2,000
92 94 96 98 00 02 04 06 08 10 12 14
INVF ± 2 S.E.