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LES SUITES
Suite majorée : La suite (Un) est majorée si et seulement s’il existe un réel M tel que, pour
tout entier naturel n pour lequel la suite est définie : Un≤M
Suite minorée : La suite (Un) est minorée si et seulement s’il existe un réel M tel que, pour
tout entier naturel n pour lequel la suite est définie : Un≥M
Suite bornée : La Suite (Un) est bornée si et seulement si elle est à la fois majorée et
minorée.
4 formes indéterminées :
+∞-∞
0*∞
∞/∞
0/0
4 formes indéterminées :
+∞-∞
0*∞
∞/∞
0/0
Théorème d’encadrement : Similaire au théorème des gendarmes.
Asymptotes horizontales et verticales
LA CONTINUITÉ
Continuité d’une fonction : Soit f une fonction définie sur un intervalle I et a un réel de I. f
est dite continue en a lorsque 𝑙𝑖𝑚f(x)=f(a). f est dite continue sur I lorsque f est continue en
𝑥→𝑎
tout point de I.
Théorème des valeurs intermédiaires : Soit f une fonction définie sur un intervalle I, avec
a et b deux réels de cet intervalle. Pour tout réel k compris entre f(a) et f(b), il existe au
moins un réel c compris entre a et b tel que f(c)=k.
LA FONCTION EXPONENTIELLE
Propriétés :
- elle est dérivable
- e(x) = e’(x)
- e(0) = 1
- e(x+y) = e(x)*e(y)
- elle est toujours positive
- e(-x) = 1/e(x)
- tend vers l’infini
- (eu)’(x) = u’(x)eu(x)
- elle est strictement croissante
Propriétés :
- si ln(x) = y, alors e(y) = x
- ln(e(x)) = x
- e(ln(x)) = x
- ln(1) = 0
- n’est définie que sur ]0:+∞[
- ln(1/x) = -ln(x)
- ln(xy) = ln(x) + ln(y)
- ln(√𝑥) = ½ ln(x)
- ln’(x) = 1/x
- ln(u)’(x) = u’(x)/u(x)
- elle est strictement croissante
- logarithme décimal : log(x) = ln(x)/ln(10)
LES INTÉGRALES
𝑏
Valeur moyenne d’une fonction : 1/(b-a) ∫𝑎 𝑓(𝑥) 𝑑𝑥
Relation de Chasles applicable
𝑏
Relation entre primitives et intégrales : ∫𝑎 𝑓(𝑥) 𝑑𝑥= F(b) - F(a)
𝑃(𝐴∩𝐵)
Probabilité conditionnelle : PA(B)= 𝑃(𝐴)
NÉCESSAIRE : ∫𝐼 f(x) dx = 1
LES PRIMITIVES
i² = -1
Conjugué : /z = x-iy
Propriétés :
- //z = z
- /(z+z’) = /z + /z’
- /(zz’) = /z * /z’
- /(z/z’) = /z / /z’
- /(z^n) = (/z)^n
AB = |Zb-Za|
Théorème du toit : Si deux plans P et P’ ont pour intersection la droite T, et les droites d et
d’ appartenant respectivement à P et P’ sont parallèles, alors elles sont également parallèles
à T.
x = x0 + ka
y = y0 + kb
z = z0 + kc
x = x0 + ka + k’a’
y = y0 + kb + k’b’
z = z0 + kc + k’c’
Equation cartésienne d’une sphère : (x-a)² + (y-b)² + (z-c)² = R² (où a,b,c les coordonnées
du centre)
1
Loi normale centrée réduite : f(x) = 𝑒 −𝑥²/2
√2𝜋
Loi normale générale : X suit la loi normale générale ℵ(𝜇; 𝜎²) si la variable (X-𝜇)/𝜎 suit la loi
normale centrée réduite.
Espérance = 𝜇, variance = 𝜎²
1 𝑎
Probabilité d’une loi normale centrée réduite : p(X<a) = 𝑙𝑖𝑚
𝑥→−𝑖𝑛𝑓𝑖𝑛𝑖 √2𝜋
∫𝑥 𝑒−𝑡²/2 dt
Espérance = 0, variance = 1
Théorème de Moivre-Laplace : Soit (Xn) une suite de variables aléatoires telle que pour
tout entier naturel n, Xn suit la loi binomiale B(n;p). On définit alors, pour tout entier n, la
variable aléatoire Zn par :
𝑋𝑛−𝑛𝑝
Zn =
√𝑛𝑝(1−𝑝
1 𝑏
On a 𝑙𝑖𝑚 p(a<Zn<b) = ∫ 𝑒 −𝑡²/2 dt
𝑛→+𝑖𝑛𝑓𝑖𝑛𝑖 √2𝜋 𝑎
Intervalle de fluctuation : Soient Z une variable aléatoire suivant la loi normale centrée
réduite, a un réel de ]0;1[ et Ua l’unique réel positif tel que P(-Ua<Z<Ua) = 1-a. Si Xn est une
variable aléatoire suivant la loi binomiale B(n;p) on pose :
√𝑝(1−𝑝) √𝑝(1−𝑝)
In = [𝑃 − 𝑈𝑎 ;𝑃 + 𝑈𝑎 ]
√𝑛 √𝑛
On a alors :
𝑋𝑛
𝑙𝑖𝑚 P( 𝜖 𝐼𝑛) = 1-a
𝑛→+𝑖𝑛𝑓𝑖𝑛𝑖 𝑛
L’intervalle In est appelé intervalle de fluctuation de Xn/n au seuil 1-a, si les conditions
suivantes sont satisfaites :
- n est supérieur ou égal à 30
- np est supérieur ou égal à 5
- n(1-p) est supérieur ou égal à 5
1 1
Intervalle de confiance : Ic = [𝑓𝑛 − ;𝑓𝑛 + ]
√𝑛 √𝑛
Seulement si :
- n est supérieur ou égal à 30
- n*fn est supérieur ou égal à 5
- n(1-fn) est supérieur ou égal à 5
Fonction paire : Une fonction définie sur I est paire si I est centré sur 0 et pour tout X
appartenant à I, f(-x) = f(x)
Fonction impaire : Une fonction définie sur I est impaire si I est centré sur 0 et pour tout X
appartenant à I, f(-x) = -f(x)
Fonction périodique : Une fonction définie sur I est périodique de période si pour tout X
appartenant à I, on a X+T appartenant à I et f(x+T) = f(x).
Fonction sinus : f(x) = sin x. Elle est impaire, périodique de période 2π, avec sin x compris
entre -1 et 1, et sa dérivée est la fonction cosinus.
Fonction cosinus : f(x) = cos x. Elle est paire, périodique de période 2π, avec cos x
compris entre -1 et 1, sa dérivée est l’opposée de la fonction sinus.