TRAVAUX PRATIQUES

D’ELECTROCINETIQUE

TP2 TP3 TP4

Réalisé par :
Nizar El Ouahabi
MOUNIR EL KHOUTRI
TAHA

Deux Années Préparatoires 1 : 2016/2017

Réalisé par : Responsables de TP :

-EL ADIB Samir -EL ADIB Samir
-EL OUAHABI Mohsen
SOMMAIRE :

TP d’électrocinétique no2 …………. 3

TP d’électrocinétique no3 …………. 8

TP d’électrocinétique no4 …………. 13

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 TP d’électrocinétique no2 :

La Loi de Kirchhoff

V-1 V-2

R1 R2

I-1 I-3 I-2

E1 R3 V-3 E2

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 Introduction :
 La loi de Kirchhoff est la façon d’utiliser la relation entre le courant et la
tension dans un circuit complexe ayant plus de deux sources de tension .
Elle est divisée en deux parties :

Loi des mailles.

Loi des noeuds.

 Objectif:

Etudier la manière dont se distribuent les courants et les tensions dans un

circuit comprenant un ou des générateurs de F.M.E et un réseau complexe
de résistances.

Etude Théorique :

ER1 ER2 R1

IR1

R2

Point A
IR2

EB
- + - +

(a) (b)

 Loi de Kirchhoff est divisée en deux parties :

Loi des nœuds : la somme algébrique des intensités des courants qui
entrent par un nœud est égale à la somme algébrique des intensités des
courants qui en sortent.

∑ IArrivant = ∑ ISortant
 Exemple : dans la figure (b), le courant entrant à A est IT. Tandis
que les courants sortants de A sont IR1 et IR2 .Alors, IT = IR1+IR2.

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 Loi des mailles : Dans une maille d'un réseau électrique, la somme des
tensions le long de cette maille est toujours nulle.

∑maillesUi = 0

 Exemple : Dans la figure (a), si le courant circule dans le sens

contraire des aiguilles d’une montre.
Alors :
EB = ER1 + ER2

 Etude expérimentale:
-Matériel :
-Deux générateurs de tension continue (E1 = 12V, E2 =5V);
- Trois ampèremètres et trois voltmètres;
- Trois résistance (R1 = 120, R2 = 40, R3 = 60).

V-1 V-2

R1 R2

I-1 I-3 I-2

E1 R3 V-3 E2

 Réalisons le circuit de la figure, en connectant E1 et E2:

On connecte E1 aux bornes 3a-3b et E2 aux bornes 3h-3i.
 Branchons les voltmètres et les ampèremètres.
On branche les voltmètres aux bornes 3c-3d / 3d-3g / 3e-3f, et les
ampèremètres aux bornes 3c’-3b’ / 3d’-3e’ / 3g’-3h’.
 Les valeurs des courants mesurées (voir le tableau) :

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  Les valeurs théoriques des courants:

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Division Ampèremètre

I-1 I-2 I-3

Valeur mesurée

Valeur calculée

 Les valeurs des tensions mesurées ainsi que les valeurs de chaque
résistance de charge (voir le tableau) :

 Calculons les valeurs des tensions théoriques :

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Division Voltmètre

V-1 V-2 V-3

Valeur mesurée

Valeur R

Valeur Calculée

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CONCLUSION:
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TP d’électrocinétique no3 :

Pont de Wheatstone

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 Introduction:
 Le pont de Wheatstone est constitué de quatre résistances, d'un générateur de
fem E et d'un détecteur (ici un voltmètre ayant une très grande impédance
d'entrée).
Ra et Rb sont des résistances fixes connues, R est une résistance variable de
valeur connue et Rx est résistance de valeur inconnue.
Le voltmètre mesure la différence de potentiel de la diagonale du pont. Comme le
courant dérivé dans cette branche est nul, il vient :

U = E.(R / (Rb + R) − Rx / (Ra + Rx))

Si cette différence de potentiel est nulle, alors :

Rx = R.Ra / Rb

 Objectif:

Le but de cette manipulation est de déterminer la valeur d’une résistance

inconnue dans un circuit, tout en étudiant le pont de Wheatstone.

Etude Théorique:
 Le pont de Wheatstone consiste en un circuit électrique comportant trois
résistances connues et une quatrième à déterminer, alimentées par un générateur
de courant continu E. Considérons alors le circuit de la figure ci-dessous où R1 et R2
sont des résistances de rapport connu, Rv est une résistance réglables. connue et Rx
est une résistance inconnue. Les deux points C et D sont reliés à un galvanomètre
qui mesure la différence de potentiel ou l’intensité du courant entre ces deux points
formant ainsi un pont.

Figure 3-1

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  Pour déterminer la valeur de la résistance inconnue Rx, il faut ajuster la résistance variable Rv

dans le pont jusqu’à ce qu’on annule l’intensité du courant entre les deux branches du pont.

Donc, en agissant sur les résistances R1, R2 et Rv, il est possible d’annuler le courant dans le

galvanomètre. On dit alors que le pont est équilibré. Dans ce cas on peut écrire :

Cela permet d’appliquer la loi d’Ohm aux bornes de R1 et R2 :

VA − VC = R1.I1
Et :

VA − VD = R2.I2
D’autre part :

VC − VB = Rx.I1
Et :

VD − VB = Rv.I2

Figure 3-2
 Etude expérimentale:
On réalise le circuit de la figure, en branchant les deux bornes 5n-5p dans le circuit-
5 de M-1.
 On branche s les voltmètres et les ampèremètres:
On branche les voltmètres aux bornes 5q-5p / 5f-5g, et les ampèremètres
aux bornes 5i-5j /5d-5e
 On connecte l’entrée à 12V DC et on connecte le galvanomètre à Ga ( 5r-5f’)
 On mesure les courants et les tentions, les valeurs des résistances Rb, Rx.

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  On Remplit les valeurs mesurées dans le tableau ci-dessous :

Division Ampèremètre Voltmètre Rb Rx

A-1 A-2 V-1 V-2 Me. Value Ca. Value

Exp1. (R2con.)

Exp.2 (R3con.)

Figure 3-3
 On connecte les écouteurs au lieu du galvanomètre
 On ajuste Rb jusqu’è ne plus entendre du bruit
 On mesure les valeurs de tension
 On remplit le tableau ci-dessous par les valeurs mesurées :

Division Va Vb Vc Vd

Exp.1 (R2con.)

Exp.2 (R3con.)

CONCLUSION:
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 TP d’électrocinétique no4 :

Connexion des résistances en série et en

parallèle

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 Introduction:

 La résistance équivalente est un outil de modélisation utilisé dans le domaine de

l'électricité. Cela consiste à remplacer dans une partie du circuit un ensemble de
résistances par une seule qui doit être équivalente pour le reste du circuit, ceci
dans le but de simplifier l'étude du circuit.

 Objectif:

Déterminer les résistances équivalents lors du montage en série ou

en parallèle.

Etude Théorique :

 Pour déterminer cette résistance unique, on s'appuie le plus souvent sur deux
relations qui permettent de calculer la résistance équivalente pour les deux
associations élémentaires :

En série: c'est-à-dire traversées par la même intensité :

Req=R1+R2+R3

En parallèle ou en dérivation: c’est-à-dire ayant la même tension à leurs

bornes :
1/Req=1/R1 + 1/R2 + 1/R3

 Etude expérimentale:

On réalise le circuit de la figure 4-2(a) :

 On court-circuite les deux côtés de 2c-2d / 2e-2f dans le circuit -2 de M1.
 On mesure la valeur totale de la résistance à l’aide d’un multimètre.
On réalise le circuit de la figure 4-2(b) :
 On court-circuite les deux côtés de 2e-2f dans un le circuit -2 de M-1.
 On mesure la valeur totale de la résistance à l’aide d’un multimètre numérique.
On réalise le circuit de la figure 4-2(c) :
 On mesure la valeur totale de la résistance.
 On calcule la résistance équivalente.

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On réalise le circuit de la figure 4-3(a) :

 On court-circuite les deux cotés 2g-2h.

 On mesure la valeur totale de la résistance des deux cotés de 2i’-2m’ en utilisant
un multimètre numérique.
On réalise le circuit de la figure 4-3(b) :
 On court-circuite les deux cotés 2g-2h/2i-2j.
 On mesure la valeur totale de la résistance des deux cotés de 2i’-2m’.
 On calcule la valeur totale de la résistance.
On réalise le circuit de la figure 4-3(c) :

 On court-circuite les trois cotés 2g-2h/2i-2j/2k-2l.

 On mesure la valeur totale de la résistance des deux cotés de 2i’-2m’.
 On calcule la valeur totale de la résistance.

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 Division Ohmmètre
R ? (a) R ? (b) R ? (c)
Fig. 4-2 Mesuré
Calculé
Fig. 4-3 Mesuré
Calculé

Conclusion :

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