J’ai déjà l’idée que je ne vais pas dormir confortablement pendant le voyage

Première me leve et me suis vers la borne terre de bassin, où boiteux un bus pour me rendre à
Guayaquil, ce voyage de 4 heures se compose de : un film qui ne savent pas, une paire de
ronflement d'entre eux d’autres passagers, et de multiples vues vers la fenêtre, qui voudrais
que me cause rêve, cependant il ne fait pas. À l’EEG à guayaquil, me suis manger quelque
chose de rapide, que j’ai laisser survivre dans la course suivante en avion, comme je ne suis pas
une personne de l’avion et du temps lorsque je génère une anxiété légère, que, comme dans la
plupart des voyages, je supprime le rêve. Puis je me diriger vers mon avion où ça va être après
environ # heures à l’aéroport d’amsterdam, où déjà presque je vais arriver à ma destination.
Enfin, un dernier voyage d’Amsterdam à Paris, train, comme jamais j’ai téléchargé un et
j’espère être un des rares moyens de transport dans lequel dormir. Et dès lors qu’il apparaît
qu’il n’allait jamais arriver, je suis debout ici dans Paris, en France et plus encore pour trouver
un endroit pour dormir, maintenant je veux juste aller à la Café de Flore, parce que c’est
maintenant ma priorité, aller et il suffit d’aller là, où de nombreux artistes jouissent d’un café
ou un vous avec une telle profondeur, cette Bohème qu’une seule personne pouvait le faire. Et
parce que toutes ces heures sans sommeil vaudra la peine quand, dans le Café de Flore : je me
sens, subtilement levez la main et dire avec des mots fatigués : « Bonjour, autre thé vert s’il
vous plait ? »