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Ce livre a pour but de donner un point de vue lucide sur les affaires du
monde dans différents secteurs, en cela l’organisation des institutions
politiques, le système judiciaire, le système économique, la philosophie et
donc la religion. En somme, je me lance le défi d’éclairer la lanterne sur
tout un ensemble de sujets. Mon but ici n’est nullement de faire des
reproches au système de la mondialisation car je ne saurai où commencer
et car je ne pense pas qu’émettre des reproches soignent ni arrangent
aucune situation qui le nécessite, mais plutôt je me lance le défi
d’analyser le système du monde et de le connaitre et de le comprendre
afin de reconnaitre les endroits où il faille prêter attention, de ceux où on
peut jouir sans crainte. Pour cela je ne vais pas me lancer dans le discours
très rodé des malheurs terrestres ainsi ni de la dépravation de l’ordre du
monde et tout ce qui en suit, mais je tâcherai de rester objectif et
impartial.
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astronomique, et s’adonne à la superstition et la sorcellerie comme passe
temps. Les femmes veulent occuper des places que personne ne
contestera comme masculines, jusqu'à perdre leur substance vitale, si
bien que même l’homme se transforme en femme. Et cela devant vos
yeux inattentifs.
L’Homme vole son prochain et appelle cela le commerce, et de grandes
fortunes ne sont établis par ce moyen, les liens familiaux ont été rompus
par l’ingérence de la télévision qui dicte sa loi, et enseigne que le bien
consiste en le déshonneur, au nom de l’audience, du divertissement, de
l’amusement et du vice.
Les régimes politiques vacillent comme des bateaux en plein tempête
mais ce n’est pas l’arche de Noé (asws) et il n’est surtout pas le capitaine
de cette embarcation.
Des populations entières meurent de faim et cela pour faire de l’audience,
ils sont montrés squelettiques victimes de la course aux richesses, aux
matières premières et cela constitue un avertissement pour tout rebelle
du régime qui voudrait faire preuve de courage.
Pourquoi rester dans de tels niveaux de délabrement, pourquoi sourire
alors qu’on est triste ? Pourquoi dépenser de l’argent alors qu’on est
pauvre ? N’est-ce pas une chose contre- nature ? Tout ce qui va contre la
nature finit par être dissipé car ainsi va la nature.
Et l’Homme est certes arrivé à des niveaux inégalés de perversion et de
transgression. C’est la première fois depuis le sceau de la prophétie, que
le monde entier participe également à la marche de la destruction et de la
perversion, car
« C’est comme ça et c’est pas autrement ». C’est très léger comme
explication à l’heure de la technologie de pointe et le summum de la
science proclamée.
Peut –être que géo trouve tout ne s’intéresse point à la politique et préfère
s’isoler dans son laboratoire ? Donc celui qui préside la nation se retrouve
seul et sans conseil pour parvenir à gérer les affaires publiques ?
Il faut arrêter de rêver, les Hommes ont perdu leur innocence et le pire ils
disent que c’est naturel ?
Il faut s’occuper plutôt de la dernière fiancée des stars, et se dépêcher
d’acheter le dernier film ou la dernière musique sinon on va être à la page,
« out ».
Et puis chacun a ses propres problèmes il faut se débrouiller, jusqu’à ce
que les problèmes toquent à votre porte et voila qu’une malheureuse
atmosphère s’empare de ton air, et maintenant la réelle marginalisation
se fait voir, personne pour aider personne, c’est la maladie du siècle :
l’individualisme.
L’individualisme tue des milliers de sans abris chaque ans dans un silence
dont chaque personne atteint d’individualisme ne connait point, car n’en a
même pas conscience. L’individualisme tue des milliers de personnes sur
les routes. Car la personne atteinte d’individualisme ne sait pas que boire
et conduire est souvent mortel ou irréversible, et que la vitesse peut
diminuer brusquement et que la dernière sensation qu’on a ressentie est
le mort. L’individualisme cloisonne des millions d’enfants de par le monde
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dans des bunkers où ils attendent leur futur propriétaire, celui qui a
commandé cette traite, afin qu’ils deviennent pendant deux ou trois ans
leur jouet sexuel, et puis il les revendra comme marchandise aux mafias,
qui les maintiendront dociles. L’individualisme garde tout le monde clame
que permet à toutes drogues de circuler dans les veines.
Les institutions politiques.
Quelle est la nature des institutions politiques ?
Fondamentalement il existe deux types d’institutions :
-La démocratie
-La théocratie
On peut dire donc que les régimes politiques sont déterminés par le chef
de l’état.
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s’exerce certes a travers la voix populaire qui exprime son adhésion ou
refus a telle ou telle manière de «pratiquer».
Pour que vous ne vous offusquiez point sachez : pour que tout régime
dynastique se maintienne il faut une tacite reconduction.
D’autre part, est considéré comme expression de la volonté du peuple tout
renversement (par voie militaire, juridique, économique) si ce dernier n’est
suivi par une révolte populaire.
Ainsi le phénomène se perpétue jusqu'à équilibre.
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de « s’orienter » a travers ce dernier), un problème majeur s’est érigé : les
populations étrangères.
En effet, eu égard des colonies gardons à l’esprit la mondialisation et les
flux migratoires intensifs, il en résulte la nidation de foyers de population
étrangère dans le pays d’accueil, établi a travers la continuité
démocratique et a cheval sur deux cultures.
Si ces populations respectent la loi du pays d’accueil et s’y conforment et
si le pays d’accueil est cohérent avec lui-même, il doit se produire de
façon mécanique un changement dans la législation afin de maintenir le
statu quo, donc a terme la loi d’antan doit inéluctablement changé pour
faire face aux défis de la nouveauté, cette même nouveauté dont on
hérité les pays démocratiques, victimes de leur succès.
C’est une analyse qui doit se faire a géométrie variable, mais de façon
évidente il se produira un conflit d’intérêt violent dans les pays
démocratiques car cela n’est ni plus ni moins que le résultat de
l’expression populaire.
En effet la démocratie ne peur survivre que si elle reproduit dans la
consanguinité ou/et si elle chasse tous les étrangers qui oseraient émettre
un vœu citoyen, un vœu politique.
Les deux tendances sont observables dans la plupart des pays
démocratiques contemporains.
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Du point de vue électif, seule une partie de la population élit effectivement
ses représentants au détriment des autres. Les lois votées dépendent de
la majorité temporaire, et les lois quant à elles demeurent, et cela bien
que les peuples changent.
Il résultera un immobilisme institutionnel qui peut paraitre traditionnel et
un précieux héritage, mais à y voir de plus près on hérite surtout des
conflits entre partie et donc des troubles sociaux qui sont les
conséquences immédiates de la perte d’une population au profit d’une
autre et ceci alors qu’ils sont supposées être une nation unie. Alors qu’en
réalité ils sont unis dans une division et des clivages perpétuels.
D’autre part ci l’on développe l’idée de lois votées par le parlement, les
représentants du peuple, alors puisque ceux sont les lois de majorité qui
sont votées alors il s’en suit mécaniquement qu’une partie de la
population domine l’autre, en toute clarté juridique. Mais le socle de toutes
les démocraties, le leitmotiv de cette institution n’est autre que l’égalité
entre les citoyens. Ce n’est jamais le cas. Et on peut voir s’immiscer le
pouvoir dictatorial où une partie de la population impose sa loi et vu
l’institution démocratique, elle reste et demeure la source légitime du
pouvoir.
C’est un pharaon qui a plusieurs têtes, ou c’est pharaon avec son
assemblée.
Vous savez même Musa (asws) en bégayer…
Mais il n’est pas ici de montrer le coté grandiloquent des démocraties,
mais de rendre compte des énormes conflits qu’elles nourrissent, de facto,
et l’exacerbation des sentiments qu’elle suscite. En la démocratie joue
avec le feu et risque très probablement de se bruler par la passion qu’elle
a elle-même suscité. D’ailleurs les mouvements sociaux n’ont jamais été
aussi importants que durant l’ère démocratique, ce qui n’est ni plus ni
moins que la rébellion organisée dans une institution où l’ordre a été
établi. Apparemment, l’ordre faiblit avec les mouvements sociaux. La
démocratie est dangereuse. Il n’y a pas d’égalité entre les Hommes, et les
Hommes ne souhaitent pas l’égalité mais juste l’équité, chose que la
démocratie refuse, et ne pourra jamais accepter, car cela annoncera sa
ruine. En effet comme pharaon et son assemblée, il a été détruit par La
rage de La Justice, servie par un Homme équitable et juste bienfaisant,
mais c’est de l’histoire ancienne.
Si l’on prend on compte La Justice, telle qu’elle a été présenté jusque là, la
réponse est sans nulle doute, oui. Est donc la fin de la démocratie en tant
que telle, n’y a-t-il pas une alternative, qui garde les prémices de la
démocratie ? Il faut savoir que la démocratie accordera toujours le pouvoir
à un petit nombre, quelque soit l’échelle du pouvoir, cela est une
conséquence politique qui revient du bons sens.
Au niveau des électeurs, la première séparation se produit, entre ceux qui
votent et ceux qui ne votent pas. Donc de facto, certains renoncent
juridiquement au pouvoir.
Parmi les électeurs, il y a ceux qui voient leur poulain gagner et les autres,
ce qui produit une nouvelle séparation. Certes, les électeurs détiennent le
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même pouvoir nominatif, mais certains peuvent augmenter leur pouvoir
politique, sans se présenter. En effet les notables, en finançant les
élections, en promettant des faveurs économiques ( monétaires ou
d’emploi) ou en gratifiant d’un réseau de relations, ou tout autre
opportunité qu’elle soit politique, ou personnelle, fera que certaines
couches sociales se verront favoriser par les représentants alors qu’il ne
partage pas les idées politiques, ni l’idéologie, ni la « foi » en la
démocratie. Mais cela constitue un simple raisonnement de bons sens,
picoré par un peu d’opportunisme.
Ainsi dans tous les pays démocratiques, on murmure des théories du
complot faisant enfler des rumeurs choquantes et effrayantes pour le
commun des mortels. Alors que cela n’est que le produit du
dysfonctionnement institutionnel et non une volonté de dominer des
masses, en tout cas pas plus qu’elles ne le sont déjà.
Donc on assiste à une perte de pouvoir juridique des électeurs face au
lobbying.
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Car rappelons que la démocratie aime l’égalité et non l’équité, alors dans
le fond le problème est juridiquement insoluble. « C’est comme ça et pas
autrement. »
C’est pour cela que les entreprises ont pris tellement d’importance dans
les pays démocratiques du nord, ils jouent un rôle politique qu’ils
l’acceptent ou non.
Il y a aussi les contre pouvoir qui exercent une influence sur les politiques.
Les médias peuvent aider à élire ou oublier un homme politique, par la
diffusion de sa photo ou ses apparitions médiatiques, seulement. C’est la
politique du « m’as-tu vu ? »
Avant on accorder aux politiques des pouvoirs télé-kinésique à cause de
l’admiration qu’il suscité, aujourd’hui la télégénie suffit. D’ailleurs le temps
d’audience n’est il pas d’importance capitale dans les pays
démocratiques. C’est avoir du programme ou non !
Donc le monde d septième art aussi peut user de son influence, car les
célébrités sont connus et paraitre à coté d’eux est une publicité pour les
hommes politiques, ils gagnent en popularité immédiatement, fi des idées
de renouveau, des idées de lumière triomphante de la Gloire elle-même ,
aujourd’hui on veut juste être élu, et pouvoir s’asseoir sur le trône de
plastique, et faire semblant d’être sage, et cacher son sentiment de
puissance, qui relève plus de l’ego matériel-capitaliste que d’une
quelconque puissance. Il suffit d’éteindre sa télévision, sa radio et de ne
plus acheter de journaux pour que la personne du jour au lendemain
meurt, la vérité la tuera.
Alors elle est où la puissance ?
Les lobbys contrôlent à terme le jeu politique, mais cela ne fait pas du
lobby un être tout puissant, il est moins faible certes, mais il n’est pas tout
seul, il doit lui aussi composer avec d’autres lobbys qui veulent l’opposé,
ou propose plus d’argent ou de faveurs, parfois certains menacent même
de tuer, on est arrivé là.
La mafia est un lobby qui se cache comme tel, et préfère jouir d’une
image sale et perfide, mais finalement c’est la même chose. La mafia
contrôle le réseau du crime dit
« organisé », c’est sur d’habitude les criminels sont des idiots finis, mais
pas assez pour être des terroristes, d’ailleurs même en Italie où la mafia a
fait plus de victimes que les tours du WTC, mais la mafia reste la mafia.
Mais quel avantage politique tiré de la mafia ?
La mafia s’occupe de la drogue, de la prostitution et … du blanchiment
d’argent.
Lorsque les politiques ou/et les entreprises veulent blanchir de l’argent, ils
la font passer par la case mafia, par « sécurité » en effet c’est de l’argent
qui n’existe pas.
Aussi la mafia s’occupe de drogues et la drogues politiquement et en
temps de paix militaire, c’est plutôt avantageux. Les drogués font moins
de réclamation et s’occupe de leur bon plaisir, et oublie la politique, donc
« mes » lacunes et se désintéressent de « mon »pouvoir, c’est du pain
béni.
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Dans les cas extrêmes la mafia peut tuer un opposant politique ou une
personne qui constitue un danger. La mafia c’est la mafia. La question est
de savoir qui est plus dangereux, les terroristes ou la mafia ?
Enfin, et cette partie s’applique à un nombre relativement petit de pays, il
y a le lobby militaire, appelé militaro-industriel. Qui, je tiens à le dire, est
un énorme lobby non pas parce qu’il produise des armes mais parce qu’il
y a beaucoup de guerres à l’étranger et donc un énorme marché qui
n’attend que leur VRP…
Donc lorsque l’on se rend compte des forces en présence, in fine les voix
des électeurs importent peu, on a compris de quoi il s’agissait. Mais pas
exactement, les électeurs sont le socle qui permet à toute cette machine
de fonctionnait, si les électeurs décidaient de ne pas voter, les états
démocratiques, seraient paralysés, et ne pourrait pas juridiquement
avancer, sans mettre en place un espace de révolution objectif.
Si personne n’a voté, alors personne n’est élu. Et donc l’administration est
coincée, à moins que l’arbitraire s’installe, mais à ce moment là lé
démocratie telle qu’elle est formulée dans les textes échouent.
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ne revendiquaient par le droit d’être détesté par leurs parents, ce qui est
une grosse tare.
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De la théocratie, ses principes son
fonctionnement et son institution
De nos jours les régimes démocratiques pointent du doigt les théocraties
comme réalité ultime du régime liberticide et donc symbole premier de
l’oppression.
En réalité tout oppose la démocratie et la théocratie, leurs source de loi,
leur code de conduite, l’autorité à laquelle la population se réfère, mais
sinon le squelette des deux régimes reste le même en tout point, il existe
un code de loi pour juger, un chef de l’état qui décide de la politique a
suivre dont les prérogatives peuvent être étendus ou restreints selon la
réalité politique, il y a un organe consultatif composé de spécialistes,
surtout en matière de religion ( connaissance de la science révélée ) qui
pourrait être apparenté a un conseil constitutionnel.
Malgré ses similitudes, le monde craint la théocratie, érigeant comme une
entité démonique voulant perturber le bon fonctionnement du monde ou
nuire aux gens qui ne se plieraient pas à ses règles, désolé de gâcher la
tragédie mais il n’y demeure aucune différence avec les autres pays dits
démocratiques, d’ailleurs si l’on observe la réalité ( et non l’éditorial
journalistique) on se rendra compte que tout ce que l’on projette en les
pays théocratiques comme danger à venir, a été ou est en cours de
réalisation par les pays démocratiques.
Et bien sur je ne critique pas ce type de régime qui peut résulter de la
seule nécessité et en cela il n’y a rien de blâmable.
N’y a-t-il aucun danger dans la théocratie ?
Doit-on avoir toute confiance en la théocratie ?
La réponse est sans aucun doute non.
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choses on peut les classer par groupes qui eux sont uniques jusqu'à arrivé
au tout qui est unique.
Donc l’ilah est ilah rien d’autre que cela, la tradition instauré par l’ilah
stipule que la ilah ila Allah (swt).
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Donc le nom Allah (swt) est canon et aucun autre nom ne peut
prétendre au titre canonique.
Celui de Muhamed (asws) aussi, en opposition avec Mahomet ( qui
provient du turc) De façon générale, la théologie doit s’exprimer en arabe
lorsque la liturgie est prononcée, sinon il y à force invalidante de l’acte, et
l’intention ne regarde point l’Homme.
Mais la Loi, qui dépasse le consensus, oblige contraint à exprimer le fait
religieux en arabe. Ainsi le témoignage de foi n’est canoniquement valide
que lorsqu’il est exprimé dans sa formulation originelle, la salat (liturgie
principale ) n’est canoniquement valide que si ce certains aspects
inextinguibles sont exprimés en arabe, donc en cela outre la pureté et
l’intention : le takbir, la fatiha et la sourate, ainsi que les modalités telle
que enseignées par le Messager (asws) , cela pour éviter l’écueil de
l’innovation qui est une aberration religieuse fondamentale.
Travers cette analyse je démontre la vérité du monothéisme, et je me
range parmi les musulmans (qui d’ailleurs est une logique monothéiste)
Preuve de l’équité :
Puisque Allah (swt) a tout crée, Il est Tout Puissant et Il sait tout et Il
donne la vie et la mort, alors il ne craint nulle existence, Il ne rend compte
à personne et toute vie lui rend compte.
Si Allah (swt) faisait preuve d’iniquité, en cela opprimerait l’Homme alors
l’Homme ne pourrait même pas sortir de chez à cause de la peur suprême
que le Tout Puissant lui inspire, or Allah (swt) dans sa clémence s’efface et
laisse tout loisir a l’Homme de pratiquer le bien comme le mal, que
pratiquer l’œuvre juste de l’œuvre injuste. Cela témoigne de la Justice et
de l’Equitable.
CQFD
Ainsi la preuve est dans le fait naturel de justice qui est rompu par l’action
de l’Homme, sinon il n’y a pas d’injustice mais un mauvais destin. En effet
l’Homme ne peut honnêtement dire que l’injustice, que la source de la
lésion provient d’autre qu’un Homme, et cela même si Allah (swt)
administre tout depuis son Siege.
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Ainsi la religion qu’Allah (swt) a établi est valable pout toute l’humanité à
moins qu’il soit fait mention du contraire.
En effet tous les peuples à qui Allah (swt) a envoyé un nabi et/ou un
messager (saws) n’officiait que dans le cadre du peuple dans lequel il a
été envoyé.
Tous les nabis/ messagers (saws) répondent à ce fait et Muhamed (asws)
qui est le sceau des prophètes (nabis) aussi.
Muhamed (asws) a transmis conformément au vœu d’Allah (swt) l’islam, et
l’a enseigné et l’a pratiqué, institué ainsi en exemple absolu auquel tout
musulman doit se conformer.
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Adam et Eve étaient nus et ignoraient leur nudité, ignoraient que toute la
force générée par leurs corps et par le lieur ne venait pas d’eux, ils
pensaient que tout leur était acquis ( et quelque part c’est le cas) mais
cette force venait de leur Tout Puissant Créateur, leur vue, leur ouïe, leur
émoi sexuel, leur plus profonde intimité n’étaient pas leur propre création
mais celle d’Allah (swt) Amical, Aimant et Doux.
C’est dans cette insouciance, cette légèreté et dans l’oubli surtout, qu’ils
se sont dirigé vers l’arbre et ils ont gouté son fruit. …
C’est alors que leur nudité leur apparut et ils sont rendus compte à quel
point ils étaient redevables à Allah(swt) et à quel point ils étaient ingrats,
c’est une vérité très crue qui leur apparut, certainement était-ce l’arbre de
l’amertume, qui sait ?
Il semble qu’Adam fut guidé par sa curiosité innée de celui qui a tout mais
qui n’en connait rien, comme cet héritier qui ignore ce dont il va hériter,
l’héritier qui est dans l’ignorance de sa condition. Adam était comme cela.
Et c’est son ignorance qui la conduit vers l’amertume.
Ils furent chassés du Paradis, vers la Terre qui a été bénie, auparavant. Ils
durent travailler pour se nourrir, mais Allah apprit à Adam l’art de
fabriquer toute chose.
Ils eurent des enfants dont un est rentré dans l’Histoire pour avoir tué son
frère par jalousie. Mais la progéniture grandit et la famille s’élargit
certainement que les femmes pouvaient avoir plus d’enfants, une façon
pour la femme de rompre l’isolement, une faveur qu’Allah a endossé à la
femme, comme Il a fait avec Adam à travers elle au paradis. Mais là sur
terre le paradis se trouve au dessus des pieds de la mère, favorisée sur
terre par tant de grandeur, finalement.
L’Humanité peupla la terre et s’éloigna des préceptes d’Allah et s’engagea
dans l’ignorance alors que la terre est le lieu de la culture. Les Hommes se
mirent à rendre des cultes à des idoles et suivre les pas des démons par
vice, s’engagea dans la barbarie et le sang coula beaucoup. C’est alors
que Noé fut envoyé afin de sauver les élus, car la terre sera détruite afin
de la laver des souillures des Hommes. Et dans cette opération certains
Hommes seraient sauvés et d’autres noyés, emportés par les eaux du
puissant Déluge.
Noé fît face à une population résolue dans la désobéissance et il resta
avec eux 1000 ans moins 50 ans.
Après la fin du déluge les élus sortirent de l’embarcation bénie et leurs
descendances se multiplièrent et elles aussi s’éloignèrent de leurs aïeux,
en rendant des cultes aux Hommes, et leur désobéissance des lois de Noé
furent grotesque. C’est alors qu’Allah envoya Ibrahim (saws) afin de
montrer le parfait exemple. Et Ibrahim fut un exemple de fidélité absolue
et sans faille à Allah(swt) et son chemin spirituel de recherche de la vérité,
qui s’est passé il y a de cela environ 108000ans est encore raconté à ce
jour…
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pourrait intuitivement avancé que la religion avant était la foi, et son
absence avait conduit l’humanité qui ne connaissait que peu le droit à des
excès désastreux. Avec Ibrahim (asws) un code de conduite sera dessinait
ouvrant la voie à l’excellence sociale et donc personnelle. Avant Lui la
religion répondait à Quoi ? Comment ? Ibrahim (asws) répondit à ce qui
pourrait être formulée comme : Que faire ?
Comme si idéologiquement Ibrahim (asws) tourna toute une page de
l’Histoire de l’Humanité, faisant passer l’Humanité d’une logique de
contemplation à une logique d’action, quelque part.
Le cousin d’Ibrahim (asws) Lot (asws) qui avait cru en Ibrahim (asws) fut
envoyé comme messager à la ville de Sodome. Les sodomites furent le
peuple de Lot.
Lot partit leur enseigner la doctrine d’Ibrahim et ce qui plus tard aller être
édifié comme l’islam. Mais le peuple de Lot était libertin et se croyait
avant-gardiste, ils furent le premier peuple à pratiquer l’homosexualité.
Les Hommes délaissaient leurs femmes pour se consacrer aux Hommes.
Ils furent un peuple corrompu, dégoutant et abject. Et Lot endura avec eux
et montrait l’exemple à suivre, mais la plupart des croyants étaient des
croyantes, Lot traitait bien les femmes.
Je ne vais pas m’attarder sur les détails de l’ambiance de la ville de
Sodome, mais disons elle ressemblerait beaucoup à la boite de nuit gay du
film Irréversible, avec Monica Belluci.
Il fut de mémoire en l’an 2 de l’année de disgrâce lorsque le peuple de Lot
fut châtié pour sa désobéissance envers Lot, envers Ibrahim et envers Le
Tout Puissant Lui-même. Au moment où le peuple de Lot fut châtié,
Ibrahim fut jeté dans le feu pour, par Le Souverain Nemrod, être puni pour
s’être rebellé contre son pouvoir, Ibrahim croyait en Allah Celui qui donne
la vie et la mort, alors que Nemrod prétendait être comme Allah et refusait
à Ibrahim aucune liberté de culte sinon celle de Nemrod.
Son refus fut très mal accueilli et la colère de Nemrod ne trouva alors
point de refuge si ce n’est dans l’exécution d’Ibrahim, il sera jeté dans la
fosse et brulé.
Mais Allah (swt) ne le voyait pas ainsi.
Lorsqu’Ibrahim fut jeté dans le feu plusieurs anges sont venus lui prêter
secours. Mais Ibrahim (asws) se refusa systématiquement, préférant
espérer la Miséricorde de Son Pourvoyeur, et endurer sa sentence.
Lorsque dans la fosse, le feu allumé se rapprochant de lui, qu’Ibrahim par
esprit de survie, finalement ; préféra se remettre à Allah afin qu’Il l’assiste
dans cette sentence. C’est alors qu’Allah commanda au feu d’être
fraicheur et salut pour Ibrahim ; car sans fraicheur il aurait brulé et sans
salut il aurait congelé.
Nemrod fut stupéfait et malgré le miracle évident il s’obstina à prétendre
être un ilah par malice politique. Nemrod fut ravagé par une mouche qui
lui serait rentré dans l’oreille et pour s’en occuper aussi majestueusement
que possible il se coupa la tête et mourut ; Ibrahim, quant à lui, s’en alla
enseigner sa doctrine ailleurs.
Il passa par l’Egypte où le roi était restes raffiné et élégant mais ne
disposait pas du charisme naturel d’Ibrahim. Aussi il se laissa séduire par
la ravissante Sara mais sa fidélité faisait qu’à chaque fois que le Roi
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s’approchait de trop prêt une impétuosité lui arriva, au bout de la
troisième tentative il finit par se soumettre à la réalité.
Ibrahim n’en apparut que plus convaincant, lui dont l’honneur n’a pas pu
être bafoué. Le roi fut impressionné et se laissa successeur. Ibrahim
n’était il pas un père ? Et Allah observe toute chose. Il voulut éprouver
Ibrahim, Il lui ordonna d’immoler son fils et de lui offrit en sacrifice.
Le sacrifice était pratiqué et celui de l’Homme aussi. D’ailleurs la punition
d’Ibrahim avait pour cérémonial un rite sacrificiel. Vous pouvez imaginer le
dégoût d’Ibrahim.
Il avala son convaincre par Ibrahim qui lui enseigna sa doctrine. Instruit et
informé des exploits d’Ibrahim le roi s’abandonna à Ibrahim et lui offrit sa
fille comme présent en gage de sa foi. Elle s’appelle Hajjar.
Ibrahim partit d’Egypte avec Sara et en compagnie de Hajjar. Il s’avéra
que Sara ne put avoir d’enfants, et Ibrahim connut Hajjar. Allah offrit
Ismaël à Ibrahim, il fut le fils de Hajjar. Son fils fut pour Ibrahim une
énorme satisfaction car il y vu son
amertume et informa son fils unique de l’ordre. Ismaël répliqua qu’il serait
des nombres endurants si Allah le veut.
Au moment où Ibrahim allait l’égorger un malak est intervenu de force
pour empêcher l’incident. Ibrahim fut réconforté Ismaël fut sauvé et
Ibrahim a redécouvert son fils. L’histoire devient encore meilleure
lorsqu’en grande pompe trois anges s’invitèrent à la maison d’Ibrahim
pour lui annoncer que Sara portait un autre fils, Ibrahim était aux anges …
C’était Isaac .
Isaac grandit et eu deux fils dont Jacob. Jacob fut le père d’une nation celle
d’Israël. Cela veut dire le voyage d’Allah. Le page qui fut tourné par son
grand père fut grande et vierge. Ibrahim déposa la doctrine du
cheminement spirituel, Jacob va le concrétiser, il voyagera beaucoup sur
terre, il fut le père d’une nation nomade.
D’ailleurs un des fils de Jacob poussera Israël a émigré vers l’Egypte ou le
fils Youssef fut vice roi. Youssef a fait aboutir les pas de son père et de son
arrière grand père. Youssef un honorable, fils d’un honorable, fils d’un
honorable.
La nation d’Israël se perpétua et se maintint en Egypte jusqu'à ce que les
choses tournent mal. Ils furent accusés d’avoir affaibli la nation
égyptienne et furent emprisonné après un énorme tournant politique en
Egypte. Une dynastie hostile au peuple d’Israël donc à Youssef donc à
Jacob donc à Isaac donc à Ibrahim donc à Allah . Ce fut lors du règne de
pharaon que cette haine atteint son paroxysme.
Les fils des enfants d’Israël furent tués et seules les filles furent
préservées.
De ce peuple sortit l’un des leurs qui fut élevé dans la maison de pharaon,
Musa (asws). Il apporta une législation au peuple une guidée les sortit de
la maison de la servitude, et les constitua en nation. Ce fut en l’an trois de
disgrâce que pharaon et son assemblée furent châtiés.
La nation d’Israël prospéra et eurent une dynastie régnante provenant de
Daoud (asws) et le puissant Suleyman (asws) . Après que la nation d’Israël
s’eut éloigné d’Allah et sa Loi ( torah) Allah envoya Isa (asws) pour ouvrir
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au monde la Loi d’Allah. Ainsi à travers la religion d’Ibrahim la nation
d’Israël s’ouvrit au monde.
Et Isa fils de Mariam le messie fut le dernier envoyé à la nation d’Israël.
Mais la prophétie ne fut pas encore close. Allah (swt) décida de la
poursuivre avec un autre descendant qu’Ibrahim qui excella au dessus de
tout être humain envoyé ou messager par ses qualités morales et son
excellent comportement. Il ressuscita parmi les Arabes un messager qui
leur apprit la purification et la sagesse ainsi que les préceptes du Tout
Puissant afin qu’ils réussissent. Ce Messager s’appelle Muhamed (asws). Il
est le sceau des prophètes et son message est destiné à toute l’humanité.
Ainsi dire que l’on peut suivre sa propre religion est un errement
dangereux car la volonté du Tout Puissant en est autrement et l’on sait ce
qui se passe lorsque l’on désobéit à Allah (swt). Ainsi il ne demeure
comme religion que l’islam en tant que Loi normative et structurée, sortir
de sa frontière est commettre une faute ou même l’hérésie.
Enfin si vous êtes toujours sceptiques, je vous réitère que l’islam est une
religion dont la foi est une qualité de celui qui se déclare croyant
(moumin).
Je ne peux vous mettre la foi dans le cœur c’est un effort que vous devez
faire vous-même.
Ainsi cette lecture est un début la recherche de la science et son
prolongement est la pratique, et la pratique constitue son aboutissement.
22
Dans centaines sociétés théocratiques les populations se plaignent de
souffrir d’un immobilisme étouffant et d’une ligne de conduite unique
quasi abêtissante.
Les motivations de la « pensée unique » ne seront pas traitées ici en soi,
mais je m’interroge sur d’autres voies possibles.
En cela je stipule que les constitutions des théocraties dans leur forme
organique aboutissent in fine à ce sentiment oppressant de la « pensée
unique ».
La Sunna est la tradition du Messager (asws) telle que condensée par des
historiens et validées par les instances étatiques islamiques et par les
savants non gouvernementaux.
On dit les Sunnas car je ne vous cacherai pas qu’il y a plusieurs traditions.
Vous savez les grands hommes tout le monde l’a vu même s’ils n’étaient
pas présents, aussi ils font tellement fortes impression que l’on entend
plus ce qu’ils disent car qu’ils soient suffit.
Il n’y a ici aucune tentative d’auréoler quiconque que l’histoire fait mieux
que quiconque.
En fait les différences de traditions sont telles et tellement extremes dans
certaines différences sur un seul et même sujet qu’il est évident que la
tradition prophétique a été corrompu car plus facile à transformer car le
fait humain est humain.
Cela pour des raisons surtout politiques ou dus à un manque de force
politique.
Le comportement politique n’est pas mon propos car je voudrais me
concentrer sur la théocratie, et de façon fondamentale.
Ainsi afin d’éclairer mon propos lorsqu’il est question d’obéissance au
Messager (asws) à travers ses dits et fait on a le droit de douter car il est
de connaissance commune que la tradition est corrompue, aussi dois-je
ajouter la tradition le stipule explicitement.
Donc inventer une tradition dans une forme plus ou moins étendue peut
pour des raisons politiques, anarchiques et d’ignorance, donc en fait par
stupidité à terme, s’avère parfois d’une très grande utilité pour solutionner
un problème.
En effet pour autoriser à une personne l’adultère ou l’homosexualité, ou la
boisson alcoolisée parfois même la sorcellerie afin en fait de lui autoriser à
commettre un péché qui est avec certitude une chose illégale mais avec
24
l’apparence de la légalité. On voit bien qu’ils ne font que se tromper eux-
mêmes et leurs alliés.
Aussi pour mettre en place un régime tyrannique ou détruire l’islam en
tant que religion d’un état, pour des raisons que je ne traiterais pas ici.
Mais la chute de l’Empire Ottoman n’était qu’une attaque claire et sans
retenue à l’islam en tant que religion car les conquérants ont obligé les
conquis a se convertir a une nouvelle religion, cela lorsqu’ils ont appelé et
forcé à adopter la laïcité comme institution d’Etat. Et je vous rappelle
qu’encore aujourd’hui les Turcs qui sont en majorité musulmans n’ont pas
le droit de pratiquer publiquement leur religion alors qu’ils sont dans un
pays musulmans de fait.
Ainsi les raisons de la fabrication de traditions peuvent être facilement
explicables et les preuves sont aussi grandes que tout un état.
Donc il y a une communauté musulmane, il ne faut plus que le chef d’état.
Le Coran met de l’existence de différents types de chefs d’état.
Le sultan
L’émir
L’imam
2. L’émir
L’émir est un sultan mais la formation politique est autre que celle du
sultan. Un émir est un musulman qui est doté du pouvoir de
25
commandement par Allah (swt), il est indissociable de l’Ordre, c’est un
monarque dans sa constitution. Il est hiérarchiquement supérieur au
sultan de par les dons qu’Allah (swt) lui a pourvu, en cela le pouvoir de
commander. C’est la théocratie de fait.
3. L’imam
L’iman est un émir en soi mais son comportement exemplaire l’élève au
dessus des autres chefs d’états potentiels où rivaux.
L’imam est un musulman quasi parfait dans le sens où il est dans la ligne
directe d’Ibrahim (asws) autant dire bien loti. C’est ce que l’on qualifie de
pouvoir absolu.
Le système économique
Le système économique est toujours garanti par le pouvoir politique qui lui
octroie les moyens juridiques d’action et de recours en cas de litige.
26
Pour illustrer mes propos, je prends pour exemple la chaine de
l’agroalimentaire qui distribue de l’alimentation impropre à la
consommation, le scandale du lait frelaté chinois est éloquent. Aussi les
entreprises de BTP ou l’ouvrier risque sa vie lors des constructions, et
l’ouvrier d’une usine quel qu’elle soit, qui met en jeu sa santé mentale à
force de réaliser les taches répétitives, sans parler du risque envers sa
santé physique lors que les modalités de travail, ou les matériaux sont
dangereux.
Ainsi, je légitime l’ingérence de l’état dans les affaires de l’entreprise,
lorsque le risque est avéré, car l’absence de l’état induirait la faillite du
régime.
L’état définit donc les relations entre commerçants et salariés.
Une question naturelle serait de se demander si les salariés sont des
commerçants ?
Définissons d’abord ce qu’est un commerçant. Fondamentalement, un
commerçant est celui qui achète et revend des marchandises, lesquelles
peuvent être transformées entre l’achat et la vente.
Ainsi, l’épicier est commerçant, tout comme le(s) propriétaire(s) d’une
entreprise industrielle.
Est une industrie toute entreprise qui dont le commerce nécessite la
transformation systématique des marchandises à travers un processus de
production.
1.Le capitalisme
2.Le léninisme/stalinisme dit soviétisme
Que peut- on dire de ces deux régimes ? L’un est justifié alors que l’autre
est injuste.
27
Le capitalisme développe un attribut naturel de l’homme celui de la
propriété en légitimant cet attribut et en protégeant la propriété. Car le
travail n’a pour but que l’extension du patrimoine du propriétaire ou la
création d’un patrimoine chez le travailleur. Ce qui, somme toute est une
chose bien naturelle.
28
Le capitalisme est le système économique en vigueur aujourd’hui dans le
monde entier, a part certains pays (mais ils ont tendance à s’ouvrir au
capitalisme, ce sont la Chine, la Corée du Sud, le Vietnam)
I/ le système bancaire
Le système bancaire est l’organisme de financement de l’économie à
travers l’octroi de prêt à intérêt.
29
Le système bancaire est composé de deux entités indissociable : la
banque centrale et les banques commerciales.
La banque centrale est un organe gouvernemental qui a le monopole de
frapper la monnaie fiduciaire (billets et pièces).
La banque centrale prête la monnaie aux banques commerciales à un
taux directeur. Les banques commerciales à leur tour prêtent cet argent
qu’elles ont emprunté afin de rembourser et faire du profit. A travers
l’octroi de prêt, la banque crée de la monnaie car l’intérêt a pour fonction
de réclamer plus qu’il n’a apporté. Donc lorsqu’une banque octroie un prêt
elle se fait plus d’argent qu’elle a prêté.
La réalité juridique de ce prêt est remarquable dans la mesure où la
banque en prêtant ne s’octroie aucun titre de propriété si ce n’est celui de
l’argent qu’elle prête (qui au passage n’est pas en réalité dans sa
possession).
Donc celui qui emprunte endosse tous les risques alors que la banque
récolte tous les bénéfices tirés du néant le plus complet.
En cela la banque ne réalise aucun travail réel justifiant cet
enrichissement, en cela elle agit comme les membres exécutifs du parti
communiste.
C’est du vol manifeste, légalisé par un tour de passe -passe juridico-
comptable.
32
L'idolâtrie est donc un mensonge et la validité de la personne morale
aussi, selon le canon théologique c’est une hérésie et donc l’entreprise
jouissant de la personne morale est nulle et ses actions caduques.
Justificatif :
Nul ne peut prétendre donner un droit à une quelconque entité sans
l’accord préalable d’Allah (swt). De plus nul ne peut s’immuniser contre
ses fautes. Pour pouvoir donner capacité à un objet inanimé il faudrait son
accord or l’animé ne peut donner son accord donc stipuler que l’inanimé
donne son accord n’est ni plus ni moins qu’un mensonge avéré.
Allah (swt) a demandé aux idolâtres pourquoi ils tenaient tant a leurs
idoles qu'ils ont fabriqué de leurs mains, qui n'entendent rien ne parlent
pas et qui ne sont responsables ni de bien ni de mal??
Les juristes responsables de la PM ne sauraient eux-mêmes faire parler
leurs idoles si ce n’est à travers un faux porte parole, car en toute vérité il
ne porte guère la parole de l’idole.
Conclusion
33
Ainsi,(sous le chapeautage plus ou moins religieux) se développait des
liens entre personnes dont la raison principale était commerciale.
C'est à dire on faisait des affaires et on s'entendait bien, sinon on allait
voir le chef. Ici il n'est nullement question de parler d'un état dans l'état
mais de maisons familiales à grandes ramifications.
Ainsi le tissu social était considérablement dense et chaque individu
tissait davantage. En cela il y a sans nul doute une réussite religieuse, et
cela à travers sa composante morale, chacun respectait, toute proportion
gardée, autant la loi de la rue (religion, et coutume) que la loi de la maison
il y avait une certaine stabilité sociale, et une certaine paix sociale, la
sacro sainte cohorte sociale.
L'introduction de la personne morale étant que concept judiciaire légal
(qui est une innovation religieuse) a eu pour effet de déshumaniser les
rapports entre personnes, on ne parlait au patron qu'a travers la société et
en dehors de ce cadre il n'y avait rien à lui dire.
On ne travaillait plus pour son patron qui en retour avait des obligations
envers ses employés mais pour la société marquant une nouvelle ère dans
le cadre de la démocratie une ère que je qualifierais de rapports légaliste
(mais illégal dans le fond et la forme)
Ainsi bien que ton supérieur soit proche de toi il est si loin de toi, je vous
rappelle qu'il a fallu attendre la "science managerielle" pour se rendre
compte que cet éloignement porte préjudice à l'entreprise (mais en réalité
c'est le cadre légal qui a tout chamboulé).
34
Je ne dis pas ces révolutionnaires étaient brimé mais le système de
production à travers sa composante judiciaire et son objectif idéologique
de maximiser les profits ne peut que détruire la société et mai 68 est un
symbole parmi d’autres.
En effet les travailleurs, en œuvrant ne peuvent être blâmé car ils ne font
que travaillé et ont hérité du système mis en place par leurs aïeux dont ils
ne comprennent en définitive pas grand-chose si ce n’est la réalité
matérielle de leurs difficultés financières malgré leurs énormes efforts
laborieux, et le comble c’est qu’ils sont préférés à des machines qui
deviennent plus valeureuse que l’Homme. Et leur licenciement n’est ni
plus ni moins que dans la disgrâce sociale et juridique. Donc c’est une
injustice avérée. D’autant plus, que l’atteinte de taille critique par les MN
leur permet de s’approvisionner au plus bas des couts et la monopolisation
pousse à une tentation toujours plus forte et permise juridico-
économiquement de facturer au plus haut des prix. Cela bouchent les
entrées et sorties dans les marchés où exercent les multinationales.
Ainsi il semble plus qu’impossible pour qu’une nouvelle marque
automobile voie le jour et se maintienne a cause des difficultés
engendrées par la multinationalisation ainsi que du régime juridique de la
PM, a moins que les industries automobiles ne déclarent unanimement la
faillite.
On peut illustrer aussi en prenant l’exemple de l’industrie agro-
alimentaire combiné aux grands groupes de distribution dont la taille et le
positionnement ne permettra à aucun autre entrant de survivre sur le
marché, même pas les produits « bio » (alors qu’ils sont dans l’intérêt du
consommateur).
35
défaut de communication s’interprète contrairement à cet état de fait et
donc les Hommes s’oublient.
C’est l’individualisme
Qui combattra qui ? Il semble que les principaux visés ne peuvent être que
la Triade composée des banques en premier lieu ensuite des
gouvernements ayant permis la bancarisation de l’économie et enfin des
entreprises multinationales ou a comportement multinationale (surtout
ceux jouissant de la PM au détriment des salariés). Voila ceux qui sont
coupables sans équivoque.
Alors il semble que les principaux révolutionnaires soient les jeunes, les
ouvriers ainsi que tous ceux dont le patrimoine est faible et dont la
possibilité matérielle de son accroissement n’est pas possible à moins de
se ranger parmi les criminelles, en principe tout vrai musulman homme
capable physiquement est dans l’obligation canonique de participer à une
telle guerre car tous les anti- idéaux islamiques sont portés par l’ennemi
et toutes les raisons objectives du djihad sont réunis, à part le leader
musulman incontesté, ( chef de la nation islamique).
Ainsi à cette guerre seul le lâche s’en détournera ou celui à qui les vieux
parents (biologiques) musulmans interdisent de participer et en cela ils ne
sont pas blâmables.
Je ne donnerai pas de date précise mais on remarque que cela a déjà
commencé
Les germes de la révolution sont plantés et les fruits murissent, aussi les
éléments favorisent cette floraison.
En cela a commencé techniquement avec le front populaire en France et
Mai 68, et cela semble continuer pour des motifs d’allégeance à la pensée
marxiste en Grèce dont les révoltes sont un signe éloquent et inquiétant.
En effet la critique marxiste du système capitaliste qui a gagné en
légitimité judiciaire et médiatique est en accord complet avec l’islam en
tant que religion de bien et de justice.
Aussi la prophétie de la révolution énoncée à la fin du 19 ème siècle n’est
que le signe de la profonde connaissance du système critiqué ainsi que de
l’Homme, démontrant que le marxisme est humanisme, et que Marx
qu’Allah(swt) l’agrée et un fin psychologue.
J’irai même jusqu’à dire que tout système de production qui rentre sous la
critique de Marx doit être proscrit, car les savants et les justes sont
honorés. En effet les savants sont les héritiers des nabis.
Ainsi on constate qu’étant intégré dans une structure étatique régie par le
principe de la loi qui découle de sources de droit diverses, tout problème
social trouve forcement sa cause dans le système judiciaire.
37
Vu les preuves du monothéisme et de l’équité d’Allah (swt) le seul
système véritablement valable n’est autre que l’islam.
Je ne vais pas vendre la religion comme un vulgaire produit de
consommation, mais en vertu des prescriptions religieuses je peux
émettre un bon conseil.
Afin de faciliter la vie sociale des Hommes. Puisque l’Homme en général
ne peut se contenter de ne pas travailler car le travail est inscrit en lui,
comme une nécessité physiologique, à part pour le déviant. En effet la
perversion du système capitaliste dont les medias augmentent sa
popularité en le désignant comme moyen ultime de jouissance, a dénaturé
l’Homme et a déstructuré les rapports sociaux. Cela parce que le travail
n’est pas rémunéré équitablement. En effet logiquement la préférence du
capital au travail entraine à terme, si maintenu, l’abandon du travail.
Provoquant une crise aussi proportionnelle aux gains que le système a
soutirés au travailleur.
Donc vu que le travail est un point focal des rapports sociaux en ce qui
est le pilier de toute socialisation. C’est le travail qui élève l’Homme dans
la société, lui conférant un statut social, c'est-à-dire une forme de
reconnaissance de son succès. L’Homme de succès transmet le statut à
ses enfants qui jouissent du labeur de qui ils ont hérité.
Cela est le fonctionnement naturel de l‘héritage patrimoniale que le
soviétisme et le capitalisme ont détruit car l’un confisque la propriété et
l’autre la confisque partiellement aux travailleurs au profit des
propriétaires mais qui ne perpétuent pas le travail qui a permis à leur
légataire de leur transmettre ce dont ils jouissent actuellement, ni ce qui
maintien leur niveau de vie de jouissance.
Plus clairement le capitaliste puisqu’il a de l’argent que le travailleur
fructifie s’octroie la plus grande partie des gains.
Et rémunère le travailleur de telle sorte qu’il le fidélise et l’oblige à se
maintenir dans sa situation précaire.
Or l’héritage est légal, la rente est légale mais l’injustice en termes de
rémunération est un vol.
Mais cela se réalise en toute légalité, alors il est d’autant plus évident que
seul un recours des instances législatives et judiciaires peuvent arranger
les lésions provoqués par un système qui a prouvé son inefficacité et a
démontré son injustice.
Deux problèmes majeurs doivent être mis au ban de toute économie car
ils gangrènent la société dans son travail et la jouissance des fruits du
travail, c’est le système usurier et la personnalité morale en tant
38
qu’infrastructure juridique immunisant les acteurs de l’économie, dans le
marché.
Le système usurier est celui qui accorde au principe de l’usure un rôle
fondamental de financement de l’économie.
L’usure consiste en un prêt d’un objet (ayant une valeur liquidative ou
marchande) pendant un certain temps. L’emprunteur doit rembourser la
valeur prêtée à laquelle s’ajoute un intérêt qui varie algébriquement en
fonction du temps.
Ainsi le préteur se rémunère lui-même à cause de seul fait qu’il dispose de
la chose prêtée et que l’emprunteur en ait besoin. Donc l’usure s’applique
dans l’acte de prêt ainsi que dans l’acte d’épargne.
Le système économique qui valide l’usure stipule que la pratique de
l’usure est un acte commercial semblable à tous les autres.
Qu’est ce qu’un acte commercial ?
-le troc
39
C’est le problème de la valeur intrinsèque des produits et de l’indivisibilité
des produits .Alors au lieu de couper le mouton qui peut plus être
conservé (car il mort), il faut absolument trouver quelque chose qui puisse
avoir la fonction de tous les objets troqués :
L’histoire nous apprend que ce sont les métaux précieux qui ont rempli le
rôle d’étalon, ainsi que d’autres denrées.
La difficulté réside dans la combinaison des valeurs monétaires à cours
légal au sein d’un territoire.
Avant les cours flottants les économies travaillaient avec l’or comme
étalon. Certaines autres économies ont monétarisé d’autres denrées
comme l’argent, le cuivre, le blé, le froment etc.
Cela permet une mobilité des moyens d’échange permettant à l’économie
de survivre malgré la disparition du trésor d’une denrée monétaire.
Ainsi lorsque plusieurs denrées monétaires ont cours légal ou/et sont
étalon alors la disparition d’une seule ou plusieurs permettent à
l’économie de se maintenir, grâce à la réserve de valeur.
Je ne discuterais pas du système de change flottants car remet la monnaie
et l’économie aux mains du marché. Mais je dirais que le risque est dans la
comptabilité de la valeur il y a autant de valeur que de demande et l’offre
et soumise a la même volatilité.
Donc l’absence d’étalon a pour conséquence, une inintelligibilité de
l’économie, dans la mesure où la divisibilité n’est plus possible. C’est un
système hybride a mi-chemin entre le troc et le système monétaire. Le
marché ne peut que s’abrutir face à son instabilité et l’absence de recours
concret, il devient bête. Lorsque le marché devient bête, il court a sa perte
et cela avec ou sans régulation. En effet le dément court à sa perte tout
seul, ou le criminel court à sa perte à cause de ce que ses mains ont
réalisé.
40
La réponse à la question du haut (*) dépend surtout du classement des
denrées monétaires selon la valeur que les habitants, où la monnaie à
cours légal, leurs accordent. Par ailleurs cette diversité dans le classement
est suffisante pour permettre, sous réserve de satisfaction mutuelle dans
l’acte commerciale, la préservation d’économies nationales différentes. A
condition que les denrées monétaires soient les mêmes sinon il en
résultera une situation de troc.
Entre états cela n’est ni plus ni moins qu’un signe de confiance mais en
entre particulier de nations différentes, il est plus qu’évident que cela ne
peut se maintenir, à pour des raisons sociales évidentes qui ne
s’appliquent pas à l’état.
Dans une économie il semble évident qu’une monnaie soit nécessaire. Elle
suffit si elle est sécurisée, et cela si et seulement si elle est assurée par
les autorités monétaires d’être fondée sur des produits tangibles,
universellement reconnus comme monnaie (or, argent, blé, produits du
secteur primaire : agriculture, pêche, chasse, etc.) et échangeables dans
des proportions raisonnables et donc limités afin de maintenir l’économie,
ou si les denrées monétaires sont variables dans des proportions qui
paraissent fondamentalement sans restriction aucune. Mais cela témoigne
ni plus ni moins de l’instabilité économique, au regard des états étrangers
et des investisseurs potentiels. Le politique monétaire doit permettre la
prospérité du commerçant national.
Mais afin de ne pas développer de discorde dans l’économie politique il
semble sage de préserver au moins une source de denrée monétaire des
aléas du marché, qui n’a ni âme ni conscience, car il n’est motivé que par
la recherche du profit, de la satisfaction et la jouissance individuelle et
immédiate.
Les produits du secteur primaire doivent être moins chers que tous les
autres produits disponibles sur le marché.
L’état doit se doter des moyens politiques mis à sa disposition afin
d’atteindre ce but, qui est économiquement simple.
Car pour pérenniser la société dans son économie et sa paix sociale les
denrées alimentaires ne doivent pas être l’unique source de jouissance
matérielle permises par le travail, sinon la démotivation s’en suivra
conduisant à un échec évident.
Cela veut dire que l’on ne doit pas travailler juste pour manger.
41
L’état doit entretenir de bons rapports avec ses partenaires commerciaux
et surtout doit s’obliger à exercer la justice économique dont la seule
absence suffit à garantir la déchéance nationale (et non partisane).
Il faut préserver ainsi le travail d’une injuste exploitation, sinon le
commerce disparait et l’usure revient.
Aussi la solidarité financière est une nécessité absolue car non seulement
cela remotive les pauvres mais préserve le tissu social national et aussi
permet de maintenir une consommation régulière.
Aussi est il nécessaire de rappeler que lorsque l’état réussit sa mission de
garant des libertés individuelles, ne peut rester pauvre la personne qui
travaille.
Ainsi le maintien du travailleur dans une situation précaire malgré son
travail (non enrichissement du patrimoine) est le signe suffisant de la
faillite de l’état.
Donc le signe absolu et quais transcendant de la réussite économique et
sociale d’un état, demeure que le travail soit au centre de la politique
économique et la source de la richesse réelle si bien que celui nait pauvre
et qui travaille s’enrichit et augmente son patrimoine.
Une économie prospère, et qui se préserve dans sa richesse, favorisera le
travail sur le capital.
Au regard de cette analyse la théorie monétariste est secondaire et son
application varie selon les indicateurs économiques.
On ne peut donc fixé la politique dans son aspect technique. Cependant
l’analyse fondamentale demeure le socle premier à tout développement
technique qui ne peut, raisonnablement et scientifiquement, être que
secondaire.
J’entends par là que la politique monétaire ne doit pas être fixée car elle
doit se plier à la réalité économique.
Quelles ont donc les moyens d’actions des autorités monétaires ?
-décider de la valeur des étalons par rapport à la monnaie qui a cours légal.
Dans le cas où il y a plusieurs étalons tels que l’or, l’argent et le blé, alors
les autorités monétaires doivent déterminer quelle valeur monétaires ont
ces denrées soit par rapport à la monnaie soit entre eux.
Le commerce est un acte de gré à gré entre deux Hommes ou états qui
s’échangent des produits contres de produits/services ou contre une
rémunération. C’est la définition universelle et non fiscale. Notons que les
autorités fiscales se sont concernées que par les actes commerciaux à
rémunération.
43
l’entreprise est au bilan de l’entreprise, ainsi il transmet la propriété à
l’entreprise.
Donc visiblement le groupe qui considère que l’entreprise est plus a même
d’être leur tuteur qu’un homme est mentalement incapable et son droit a
l’entreprenariat et sa prétention la jouissance des pleins droits ne peut
être en valable ni reconnu.
Donc le commerçant est le responsable, le responsable est celui jouissant
de sa capacité, celui qui jouit de sa capacité est celui qui endosse le
risque.
Il semble évident que la réalité juridique de la personne morale en tant
qu’outil de commerce offert par la loi est contraire dans son application au
principe même auquel elle prétend.
Juridiquement cela revient à dire que le fornicateur ne fornique pas si le
préservatif est utilisé. Cela est un déni de la réalité, un effacement de
l’autre (unilatéralisme) et une mauvaise foi.
Par ailleurs il ne peut y avoir de commerce dans l’unilatéralisme, je réitère
les implications théologiques et socioéconomiques du maintien de la
personne morale dans les affaires commerciales.
Que devient l’entreprise ? Comment lever des fonds ? Qu’en est-il des
rapports entre propriétaire et management ? Et les actions à dividendes ?
L’entreprise devient une infrastructure tangible et réelle en tant lieu de
réunion des employés de celle-ci. La qualité de commerçant est propre a
tous les employés selon les termes définis par leur contrat d’embauche
sous réserve de légalité.
Chacun est donc responsable de ses actions au regard d’abord de la loi,
s’il y a délit ou rupture du contrat (qu’il soit avec une autre
entreprise/personne physique) et au regard de la charte de l’entreprise à
laquelle il donne son accord de respecter.
Il est nécessaire de rappeler que l’employé travaille en son nom pour le
compte de l’entreprise qui appartient au propriétaire qui a le droit de
déléguer la gestion à un tiers. Tous ont la qualité de commerçant qui
l’exerce à différents échelles de responsabilité, sauf le propriétaire s’il
n’exerce pas le commerce a travers on entreprise. Sinon il travaille pour
son compte par la voie de l’entreprise à laquelle il doit rendre compte par
à travers le paiement du salaire aux employés. Sinon le propriétaire n’est
plus commerçant.
Le travail est une marchandise le travailleur qui cherche à intégrer une
entreprise veut son travail.
44
Lorsque le commerçant intègre une entreprise il doit se conformer à la
réalité qu’il sera moins payé que s’il travaillait pour son compte propre, eu
égards des commissions qui ne relève point de son salaire de base.
Mais ce régime en tout état de cause ne peut raisonnablement s’appliquer
à l’employé qui ne réalise guère de tâches commerciales si ce n’est
administratif, et ceci afin de participer au bon fonctionnement de
l’entreprise, il n’y a donc nullement commerce.
45
preuve de plus de bon sens afin de préserver l’intérêt général, en cela tout
le monde.
Si l’on occulte l’intérêt général au profit de l’intérêt d’un groupe particulier
alors, en termes de réalité économique on risque d’avoir des chocs dits
« structurels » car le marché ne fonctionne pas normalement, à moins que
le groupe particulier participe à l’économie plus que le reste du monde, et
en cela il est le garant de l’économie, et étalon. Ce qui signifie qu’il n’y a
pas d’excès de monnaie. Mais juste ce que l’on pourrait appeler une supra
structure. Mais malgré son nom la supra-structure doit être la base et non
la voute de l’économie, sinon on revient au déséquilibre macro-
économique.
Donc que peut –on dire du déséquilibre macro-économique de l’excès ?
Si les autorités monétaires maintiennent cet état alors l’inflation guette,
en termes purement commerciales (c’est-à-dire vente de biens et services
contre de l’argent, dans le but d’acquérir des biens et services) si le cycle
d’excès se maintien, l’économie connaitra l’inflation. L’inflation va pousser
tout un secteur de l’économie et aussi une part des consommateurs
(surtout les CSP employés) vers l’inéluctable précarité. Car puisque leurs
salaires sont fixes alors leur pouvoir d’achat va baisser, ils deviennent plus
pauvres à cause de l’incompétence avérée des autorités monétaires.
D’une part il faut noter que tous les agents économiques en tant que
consommateurs finaux sont touchés, mais à des niveaux variables, car les
catégories aisées subiront forcément moins la hausse des prix.
1. La crise de production.
On définit la crise de production lorsque les biens viennent à manquer
dans l’économie conduisant à une hausse des prix continue.
Les raisons objectives à la crise de production proviennent principalement
du secteur primaire. Lorsque les denrées alimentaires viennent à
manquer, naturellement tout le reste parait dérisoire, donc l’agent
économique préférera acheter des biens alimentaires et de première
nécessité au détriment de n’importe quel autre bien.
Donc l’économie ralentira et il s’en suit, selon les fondements judicaires
modernes, une crise économique. La catastrophe est que la famine guette,
mais ce n’est plus de l’ordre de l’économie.
On peut calquer cette analyse à tous les autres marchés, mais la
dangerosité sociale est négligeable, et relève plus de l’analyse de marché
qu’autre chose.
2. La crise monétaire
La crise monétaire est le produit de déséquilibres monétaires et donc
n’ont aucune réalité économique, on peut même dire que ce sont les
« caprices de l’enfant gâté ».
Plus sérieusement… C’est le résultat de la mauvaise gestion effective de
la quantité de monnaie en circulation.
47
Techniquement cela démontre que l’on ne connait pas la réalité
économique des régions économiques dont on a la gestion ou si on la
connait on fait preuve de grande sottise.
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La façon dont les banques réalisent ces opérations financières appellent à
l’utilisation de produits financiers (de complexité plus ou moins grande :
en premier lieu, il y a les obligations, et la palette est large et mieux
connue par leurs concepteurs qui s’avèrent les lauréats des grandes
écoles internationales,{ mais la palme revient toujours à jésus, n’est ce
pas ? lol} )
Et cela malgré votre compte épargne, et ceci pour deux raisons qui sont
liées mais disjointes en apparence. La réalité de l’intérêt implique un
perdant et un gagnant.
Le perdant et celui qui demande le prêt et le gagnant est celui qui le
donne.
L’institutionnalisation des banques commerciales implique le rapport
inéquitable de gagnant et perdant, et le mécanisme de fabrication de
produits financiers complexes qui n’ont pour seul but de maintenir la
classe des gagnants ( usuriers) en position financière dominante, et par
voie de conséquence délaisse le reste du monde.
Cet exposé ne nécessite pas de donnée chiffrée, la réalité parle d’elle-
même.
De plus les comptes épargnes ne font que donner des raisons objectives
de plus aux usuriers de poursuivre leurs exactions financières, et pour cela
l’épargne est mis à contribution dans le but d’accroitre la richesse des
déjà nantis, et si le marché financier coule, ce sera l’argent des nantis qui
sera perdu. Il faut garder les gens à distance, afin de maintenir son
prestige.
Mais bien entendu, ce n’est pas certain que les gens font cela en
connaissance de cause, car cela nécessite qu’ils soient rationnels et
détiennent l’information.
Mais je peux vous garantir que cela n’arrive pas par hasard. Pour moi le
hasard relève du néant.
Dans cette analyse, j’ai omis de discuter sur un aspect dans la régulation
monétaire, le déséquilibre par rareté de la monnaie banque centrale.
49
Pour parler franchement, vu l’abondance de production cela ressemble à
l’hystérie.
En toute rationalité, mais bien entendu la mesure est propre à chaque
personne, et de nature relative.
50
La deuxième consiste à affirmer l’unicité de l’ilah, c’est un principe
fondateur du monothéisme.
La troisième position consiste à affirmer la multiplicité de l’ilah, quelque
soit le nombre décrété.
Il est fondamental de comprendre que l’on ne peut défendre plus d’une
position à la fois.
Ainsi l’athéiste renie le monothéisme et le polythéisme.
Le polythéiste renie le monothéisme et renie en même temps l’athéisme.
Et finalement le monothéisme affirme l’unicité de l’ilah et ainsi renie
l’athéisme et le polythéisme.
Cela découle du principe fondamental de non contradiction.
Corollaire :
51
Par conséquent il ne demeure que deux groupes où l’un est vrai et l’autre
est faux exclusivement, sinon on est dans le faux, en toute logique, car un
chien n’est pas un chat, et s’il a des deux c’est autre chose. De l’acide ce
n’est pas de l’eau même si cela pourrait y ressembler.
Alors il ne peut y avoir qu’un camp qui ait pour soutien la vérité.
En effet le vrai n’est pas faux. Le refus de ce postulat est une preuve
d’athéisme, c’est fondamentalement un aveu d’incapacité, un désaveu de
son incapacité.
Rappelons que lorsque l’on dit qu’il n’y a pas de vérité, on considère ce
postulat comme vrai, et cela non seulement constitue un athéisme mais
témoigne de l’aliénation intellectuelle de la personne, car cela constitue
une contradiction évidente et très grave.
Chapitre 1
Article1
S’ils s’ignorent entre eux alors ils manquent cruellement de science en
tout état de cause, notre étude s’arrête de facto.
Car l’homme est conscient de son semblable alors il ne peut y avoir un
groupe de plus grand savant qui s’ignorent entre eux, alors qu’ils sont
pareils. (À moins d’être en colocation chez un tiers, sinon on continue
jusqu'au dernier qui ne fait, visiblement pas partie de la fête.)
Chapitre 2
Atricle1
S’ils se connaissent entre eux alors il y a des rapports sociaux et un code
de conduite respecté et obéi, ils sont sous le joug de la contrainte.
Corollaires
2.1.1
Le code qu’ils respectent est synonyme que le législateur n’est pas leurs
égaux car il a dépassé la mêlée, aussi il a été premier en cette action,
accordant de facto la succession aux autres.
Ainsi on remarque la bonne entente. Donc il n’y a nul doute que ces êtres,
sont sous le lien multilatéral d’une Loi.
Mais comment, alors qu’ils sont égaux peut juste un seul avoir l’idée que
ce que tous auraient du avoir en même temps.
Il ne peut y avoir asymétrie de l’information. Mais puisqu’ils se
connaissent tous, alors il ne peut avoir qu’y une source ex –
concile. Le non conflit implique rigoureusement un confinement et une
impossibilité de jouissance de la liberté.
L’obéissance est signe d’impuissance et dans un degré de liberté digne
d’une créature.
2.1.2
Cela démontre un souci de respectabilité ce qui implique une nécessité de
confirmation de son statut par autrui.
Ce qui démontre l’incapacité sur soi.
53
Le respect ou obéissance implique que l’on revient à l’article 1. Ce qui
démontre la fausseté du polythéisme. Aussi le frein de la liberté montre
l’impuissance et l'impossibilité de commander et de légiférer.
Article 2.
Ces êtres n’obéissent à aucune loi qu’elle soit stipulée ou non.
Corollaire
2.0
Il y a donc jouissance théorique de la liberté absolue, dans la conscience
ou l’inconscience.
Implication2.0.1
S’il y a inconscience alors il y a de fait incapacité.
Implication 2.0.2
S’il y a pleine jouissance de la conscience, alors la liberté commune
entrainera inéluctablement un conflit.
Article 2.1
Le conflit
Ces êtres vont se détruire eux-mêmes afin de se réapproprier ce qui leur
appartient ou à autrui et/ou revenir à leur niveau de puissance primordial,
ils sont dans cette condition en état de déséquilibre, c’est un signe de
faiblesse. Et ils ne connaissent pas la paix et ils ne sont pas maitre de la
force, ils sont soumis, et donc ils ne sont pas libres, La Justice les
transcende.
Ruine effectif des DGL.
2.1.1
Un conflit limité dans le temps qui fait revenir à un état d’entente.
Cela implique que l’entrée dans le conflit étaye considérablement
l’ignorance des belligérants quant à l’issue de la bataille. Sinon la bataille
n’aurait pas eu lieu au départ.
Le retour à l’état d’entente implique le retour à au l’article 1.
2.1.2
Un conflit éternel
L’éternité du conflit implique la permanence du conflit et de la guerre. La
conséquence immédiate est l’impossibilité de la création car le temps est
absent, vu la nécessité de survie.
Donc aucun ne peut donner la vie ni la mort à la création, en effet ils ont
incapables de donner à eux-mêmes.
Donc l’obéissance à cette Loi de la guerre montre la domination des DGL
par la contrainte et leur fin inéluctable dans leur guerre.
Conclusion :
54
Ainsi, par les articles sus cités on a démontré rigoureusement la fausseté
du polythéisme. Renier cela revient à renier la vérité évidente, auquel cas
on se constitue soi en état d’incapacité soit en état de faux témoin, donc
en criminel.
Certes affirmer la validité d’une telle doctrine peut permettre à l’individu
qui la prône de jouir d’un prestige sur naturel mais faux, et faux témoin et
donc criminel, surtout s’il demande à encaisser des obligations, qu’il le
fasse en son nom propre ou au nom d’un des ces êtres ainsi stipulés.
Son salut ou sa paix est gravement menacé car s’il est criminel, la loi est
en tout état de cause contre lui. S’il prône cette idéologie pour jouir d’un
statut de prophète ou DJL il se met en danger, danger de l’anarchie,
danger de confinement, ou autodestruction et donc la mort et la
disparition. Car dans il se trouve dans un état constant de guerre et
menacée constamment, de l’anonymat.
Obéissant sans nul doute à sa nature, cette personne est partie prenante
de la nature, mais sa destruction n’est qu’une question de temps,
naturellement.
N’est, certes, guère salué celui qui guerroie. Ou du moins en état de salut,
et disons avec pour minima la tranquillité comme signe du salut avéré,
ainsi on démontre l’ignorance (cf. article 1).
55
saurait revivre à la jungle, car on a effacé cela et on ne saurait l’imiter. Ni
pouvons nous changer le mode social des fourmis ou les abeilles, donc
notre proximité à la nature est réelle notre contrôle variable et la nature et
qu’une « machine » et comme le disaient romains à l’époque :
« Deus ex machina »
Donc quelque soit l’issue on écarte la nature comme étant Allah.
Mais tout cela me pousse à m’interroger la raison de toute cette digression
par rapport à la vérité qui a fait oublier la théologie : le hasard cet
enchainement d’actions qui ne sont pas liées entre elles n’ayant
ni origine ni fin. On sait que cela n’existe pas mais pourtant il semble
être présent qu’est ce donc alors ?
Le hasard est simplement notre ignorance voilée dans notre orgueil, c’est
notre prétention à connaitre.
Nous sommes alors amenés à nous interroger sur les nombres afin de ne
pas mélanger le domaine de la création avec la liturgie due au Sublime
Créateur Allah (swt).
Les nombres
Parlons du nombre en tant que entité abstraite et si puissante en symbole.
Le nombre est l’outil du calcul. Compter revient à réaliser une opération
arithmétique, qui consiste en deux étapes :
-établir un étalon
-ajouter une valeur égale à cet étalon autant de fois que nécessaire voire
retrancher jusqu’à la disparition de l’étalon.
Ainsi, pour prendre l’addition, on ajoute 1 à lui-même jusqu’à épuisement
de la chose à compter.
Il va de soi que l’on ajoute toujours à un étalon son identique sinon le
calcul est faussé et biaisé.
Ne dit-on pas à juste titre que l’on ne peut pas ajouter des carottes à des
choux ?
56
d’octroi de poids. L’étalon est un poids/mesure et il est indivisible sinon la
division aboutit à l’étalon, in fine.
Ainsi nous avons été élevés à une place plus haute dans le domaine de la
connaissance absolue, celle du Créateur : Nous connaissons dorénavant
un attribut d’Allah (swt) Le Proportionnateur.
Donc en effet la création témoigne du Créateur, qui Seul jouit de l’UNICITE.
57
Allah (swt) est UN et Allah (swt) est UNIQUE.
Il crée en effet et accorde aux choses une mesure, une proportion. Donc
puisque nous avons tiré cette analyse de la substance même des nombres
nous pouvons conclure que cela s’applique à tout ce qui a été crée.
Concrètement cela veut dire la création peut de l’énormément petit, tel
est le cas de l’atome. Mais aussi la création peut aller vers l’énormément
grand telle que la Terre, les Cieux, les Anges (Malaekat) qui ont des tailles
dont le concept de gigantisme reflète plus notre ignorance et notre orgueil
que notre savoir et ce qui devrait être notre sainte humilité, subhan Allah
(swt).
Ainsi pour revenir à Allah (swt), on peut dire qu’Il est Un, et en dehors de
Lui il n’existe ni n’est de « un » vivant. Car en vertu de la science Un n’est
pas du monde la création, mais de la transcendance infini et perpétuel :
l’éternité en somme.
Donc on peut affirmer avec clémence que ceux qui croient en plusieurs
ilah, qui donnent des égaux à Allah (swt) ne font que magnifier Un sans
aucune connaissance, en effet nous savons qu’ils agissent avec absurdité,
mais la perversion si je puis m’exprimer ainsi de notre science nous oblige
à jouir de leurs méfaits en homme sublimés par la lumière de la
connaissance vertueuse.
Pour revenir à notre sujet de départ nous pouvons affirmer en tout état de
cause que la nature n’est pas celle vers qui nous voulons nous diriger.
Puisque nous avons appuyé l’unicité et étayé la connaissance de Un. Nous
pouvons en revenant sur les présupposés de notre démonstration, affirmer
que la connaissance d’Allah (swt) n’a pu venir que de Lui-même et que
l’Homme de par son ignorance ne peut savoir si ce n’est si Allah (swt) le
lui apprend « en personne ». Donc Allah (swt) s’est fait connaitre à
l’humanité. En effet à travers l’envoi de nombreux messagers. Même qu’Il
a accordé ses faveurs à certains au dessus des autres.
Il a favorisé des peuples aussi, le peuple des enfants d’Israël est celui dont
tout savant ne saurait omettre. Et à chaque fois Il nous a transmis Ses
instructions, la science, la guidée et la lumière à travers un livre, et cela
est un vibrant appel à la science et à la recherche de la connaissance,
dont le symbole n’est autre que le livre. Ainsi, la nécessité de revenir aux
livres n’est plus à prouver, elle est rationnellement un impératif social,
religieux et eschatologique.
Mais comment se diriger ? On veut en apprendre plus mais on manque de
moyens de savoir. Il faut savoir qu’il y a eu plusieurs révélations. En effet
Le Tout Puissant Le Sage a envoyé des messagers afin d’annoncer la
bonne nouvelle et de menacer d’un châtiment, sans occulter la validité
monothéiste.
Si l’on a suivi jusqu’ici, la justice semble toute naturelle et la rétribution
limpide.
Certes la foi en les messagers peut relever d’un jugement personnel mais
en gardant le souci de vérité à l’esprit on peut aisément faire la part des
choses.
58
Par exemple il y a des livres qui proclament le monothéisme mais
contiennent certaines contradictions qui montrent qu’il y a eu altération.
On sait que l’ancien testament (torat) n’est pas tout à fait correct.
D’autre part (nouveau testament) l’injil est plein de contradiction avec le
principe même de monothéisme.
Le christianisme a été, et de source historique avérée, corrompu lors du
concile de Nicée.
Ainsi dans l’ordre chronologique continu, il reste le Coran qui, et c’est une
question de science, garde tout son sens. Certes l’arabe peut être plus ou
moins difficile d’accès mais, la persévérance est une vertu du savant. Et
c’est sans nul doute, aucun un Livre issu du Puissant, du Sage, ce qui
dissipe le doute.
Mais vraiment c’est un Livre puissant.
Le Coran
Le Coran est le livre qui a été révélée au Messager Muhamed (asws) par
Allah (swt) à travers l’ange Jibril. Son nom signifie la lecture et/ou la
récitation car c’est une révélation qui a été récitée (comme une poésie)
par le Messager (asws) à ses coreligionnaires.
Le Coran est la Parole d’Allah (swt). Allah (swt) apprend à l’Homme à se
connaitre et à Le connaitre.
Il fait part de Sa Volonté à travers ses injonctions, leur vouant leur
caractère obligatoire et leur accomplissement une issue cultuelle.
Ainsi le Coran peut dans les obligations être divisé en deux parties
principales. Ici on ne s’intéressera qu’aux injonctions qui s’inscrivent dans
le corpus légal. Le Coran n’est certes pas composé que d’injonctions mais
59
aussi de science et invitation à la connaissance et la méditation
contemplative.
60
Il me semble que la réponse est oui sans nul doute, mais la difficulté
réside dans l’effort nécessaire à réaliser pour arriver à notre résultat.
Ainsi nous avons établi les bases du droit musulman et avons orienté les
efforts jurisprudentiels afin que les juristes limitent au maximum leurs
erreurs qui, somme toute relèvent de leur humanité.
Mais nous devons avancer dans notre effort de connaissance des lois afin
de limiter les dispersions légales, il nous faut donc accorder un cadre légal
stable et juste. En effet comme vous l’avez surement constaté, le statut
du commerçant fait appel au statut civil, lequel statut est absent de cette
analyse.
Le désir est une volonté qui peut être obsessionnelle de réaliser un acte
qui est perçu comme source de jouissance et la passion est l’amour de
cette jouissance et l’habitude. Ajoutons que la passion et donc le désir
sont toujours dirigés vers des objets que la religion interdit, non que toute
jouissance soit illicite, mais réalisé en dehors du cadre légal si.
Pour illustrer ce propos prenons la source suprême de jouissance le
plaisir sexuel.
L’acte sexuel est soumis à certaines dispositions légales et donc en jouir
en dehors des frontières de la loi est illégale.
L’amour des femmes n’est pas brimé mais honoré, et est considéré
comme vertu élevant en rang l’homme qui jouit de cette « qualité ». Ainsi
le désir consiste en une volonté d’accomplir un acte, qui est considéré
comme source ultime de plaisir, et ce plaisir la personne en cherche donc
la jouissance.
Qu’est ce qui motive le désir ? Existe-t-il des désirs naturels et d’autres
artificiels ?
61
avec plus ou moins de facilité que ses souhaits n’ont aucune exigibilité. Au
contraire, afin de ne pas être marginalisé au sein de la société, le sujet n’a
d’autres choix que d’intérioriser ses souhaits, les oublier et apprendre à
socialiser ; en cela le sujet substitue son souhait à celui du groupe.
Ainsi à travers l’intégration et la socialisation le souhait propre est brimé
et reclus dans le for intérieur. Sa réalisation sous entend qu’il faut rompre
avec le statu quo, le rendant dangereux et donc excitant, le souhait
devient alors désir.
Le désir porte en lui un soupçon de culpabilité. On peut comprendre alors
pourquoi certains sujets taisent leur désir, alors que d’autres l’expriment,
le décorent, en font un piment de leur vie.
Le désir est une réminiscence de l’époque de l’enfance où le quasi
servitude des parents élevait l’enfant au rang de roi absolu, dont la
stabilité du royaume (foyer) dépendait exclusivement de la satisfaction du
roi/enfant.
Mais le sujet a grandi, ses besoins ont changé, les sujets connaissent le
sexe et le plaisir sexuel. Ainsi, ils sont obligé d’admettre qu’ils ont changé,
le développement charnel les a propulsé vers un nouveau moi, qui se
superpose néanmoins sur l‘ancien moi.
On veut donc se satisfaire mais dans un royaume différent, mais le roi est
le désir et le serviteur est le sujet. Cela pénalise le désir et sa poursuite.
Ainsi la naissance du désir s’accompagne d’une métamorphose charnelle,
d’un déplacement du pole de socialisation, du foyer vers l’école et donc la
vie extérieur.
De plus le désir ne s’exprime plus, il s’est substitué à la volonté du groupe.
Ainsi il devient plus fort et plus intense, le sujet connait le nous cet
ensemble de « moi », ce moi, toi et eux.
C’est à travers la voie du groupe donc que le désir nait, il prend refuge et
fait son nid dans le for intérieur du sujet, caché car il !est tabou.
62
En effet celui qui suit ses désirs s’éloignera de la société au fur et à
mesure. Mais la connaissance de ce risque n’annihile guère le désir, il
l’amplifie, il excite.
Ce qu’il faut savoir est que le désir n’est pas une chose qui se forme qu’au
sein du sujet, de façon individuelle. Il y a un mécanisme social du désir,
en effet, le désir a une réalité plus sociale qu’individuelle. Il s’en suit que
le groupe social détermine la nature et la substance du désir, en large
partie si ne ce n’est pas totalement.
Il autorise et interdit les désirs. Tout groupe social est formé autour d’un
principe constituant son identité qui soude les membres entre eux. Cela
peut être l’adhésion à certaines valeurs religieuses, ou à une orientation
politique, voire même que le groupe se soude autour d’un phénomène
artistique ou sportif.
Le désir a une nature et une orientation. Le désir peut être de nature très
diverse mais son orientation est soit vers l’intégration soit vers le conflit,
et cela dépend directement du groupe. En cela le groupe favorisera ou
plutôt détruira le désir.
Rappelons que la morale est encore couvée dans cette analyse, alors je
vous prie de l’omettre du spectre actuel de l’analyse, cependant elle est
naissante.
Certes nous ne sommes pas tous des serviteurs de nos désirs qu’est ce qui
renforce le désir, qu’est ce qui le rend si puissant et quasi-obsessionnel ?
Il s’en suit un éclairage sur le désir qui assure une double fonction :
64
•Le désir est cette volonté de ne pas quitter l’enfance, cet espace ou
l’interdit est absent, ce paradis perdu, car l’âge adulte est contraignant et
difficile et on ne peut le supporter indéfiniment. Ainsi l’expression du désir
témoigne de la volonté du changement, vers le passé.
A travers le désir on réalise des allers et retours entre l’enfance et l’âge
adulte. Cela nous maintient dans l’état de grâce bien qu’il soit perdu dans
le passé, à un niveau nostalgique, il forme l’imagination et la capacité de
contempler.
Ainsi le moteur des désirs est la croyance primaire, instinctive que le désir
procure toute puissance et qu’à travers cette puissance on peut combattre
la mort et l’éloigner.
65
-Qui suis-je ?
-Que puis-je faire ?
-D’où puis-je tirer force et puissance ?
66
Qu'est ce que cette mort?
Ainsi va la vie, car la vie ne s'arrête pas, à moins que l'on se suicide et le
suicide peut être moral (comportement de rebelle face au Tout Puissant
Auquel toute la création rend compte) et suicide physique ( qui disons le,
est aussi un suicide moral)
67
Mais les miracles peuvent se produire pour ceux qui sont dans le cimetière
car ils peuvent être ressuscités et ceux qui sont en bonne santé peuvent
tomber malade.
Et cela jusqu' au jour où les maladies disparaissent, avec la Rahma d'Allah,
Celui qui rend malade Qui guérit.
Alors prenez soin de vous mes amis de l'humanité, car Allah vous a à l’œil.
Donc levez vous du bon pied
Ainsi bon pied bon œil.
A bonne entendeur Salut.
Donc le désir semble une mauvaise idée, mais apparemment dans tous les
cas c’est la mort, il n’y aucune source de jouissance, si l’on tient compte
de cette analyse.
Ce n’est pas parler en connaissance de cause, il faut d’abord se demander
s’il n’y a aucun désir naturel ?
Alors on constate bien qu’il y a une limite, une frontière entre le désir et la
jouissance, entre la vie et la mort. En toujours selon cet angle et
conformément à mon paradigme difficilement opposables de cette
analyse, la frontière n’est autre que la Loi. L’obéissance à la Loi
transforme le désir qui est un acte passif et sans effort en un acte de force
c’est un choix, c’est un droit. Le désir est un délit, parfois il devient même
un crime, dont la teneur avilit l’être et lui ôte sa pureté jusqu’à ce que le
sujet devienne corrompue, mais l’obéissance à la Loi donne force, vie,
purifie car cela vient du Plus-Haut, jusqu’à ce que le sujet devienne saint
en son corps et son esprit, vif par son intelligence, mûr par sa science et
grand par sa sagesse.
Dans un souci de vérité et de cohérence j’ai fait l’effort (et ce n’est que la
guidée de mon Créateur, béni soit-Il) de rester sur la même direction et je
constate avec délectation, conformément à ma foi que tout s’imbrique, le
tableau impressionniste a un aspect plus clair avec la distance.
Ainsi obéir à la Loi est un acte non de soumission tel que les libertins
veulent le moquer mais le plus grand degré et acte de liberté que peut
réaliser l’Homme car cela lui procure puissance et vie. La difficulté, car il y
a des obstacles, réside dans les endroits où la Loi est absente
d’injonctions, l’Homme moyen ne sait comment avancer et il ne peut
reculer car il ne veut pas abandonner sa foi, il se retrouve alors coincé
dans un vide verbal, ou il se rend compte que sa détermination est limitée
et ne peut s’exprimer, sa liberté est brutalement freiné (en apparence).
68
Car la Loi appelle à un autre choix, un choix qui doit confirmer ou même
infirmer la sincérité du sujet.
La Loi est certes froide et implacable mais le Créateur ne fait il pas le
chaud et le froid ?
Certes et plus encore, ainsi la Loi appelle à une autre obéissance plus
humiliante, une obéissance qui appelle à un rabaissement réel de
l’Homme, celui à un autre Homme.
Un Homme qui aura pour mission de combler les vides juridiques de La Loi
dont il tient les secrets et connait la voie, sinon l’obéissance primordiale
devient ni plus ni moins qu’une désobéissance, et l’on s’enterre dans nos
désirs de puissance encore une fois.
Mais comment doit être cet Homme ? Quels sont ses caractéristiques ?
69
Pour éviter de se fourvoyer dans des recherches inutiles celui qui
ressemble le plus à Muhamed (asws) est le meilleur d'entre vous. Sous
réserve que Muhamed (asws)(asws)(asws)(asws) soit celui en qui vous
croyez sinon vous courez sans nul doute a votre perte et cela quelque soit
votre degré de confiance, et cela tôt ou tard, car et je vous le dis : c'est la
Loi.
Ainsi on sait comment choisir L’Homme en qui on peut obéir, c’est celui
qui ressemble le plus à Muhamed (asws). Mais puisqu’il est allé dans
l’autre monde, et sa présence nous a été confisqué, seule notre foi de
croyants peut nous aider, ainsi que les indications de la Tradition.
Une Tradition qu’il faut voir avec les yeux de la science, de la Lumière et
de la Foi.
Ainsi la recherche de la connaissance devient obligatoire et donc il y a un
effort de réflexion, qui garantit la volonté de se maintenir dans la légalité,
dans la mesure où cela reste le seul moyen de connaitre la vérité. Se
conformer à la Loi est la plus grande façon de freiner ses désirs et donc de
se réjouir, car l’on jouit de la vie.
Mais des décisions sont à prendre, et ils confirment ou infirment les choix
premiers.
La télévision qui est cet être qui emprisonne les hommes dans une prison
brillante qui enflamme tant les passions et suscitent tant la jalousie et la
convoitise des gens, car la télévision est partout et dans toutes les
demeures, présente dans les moments les plus intimes des gens, souvent
même. Cet outil qui calme et apaise et permet d’aller dans un ailleurs qui
n’est pas plus réel que le désir, mais c’est réconfortant et cela
déresponsabilise. La télévision dit le droit, dit les informations et annonce
les nouvelles, élève les gens et les rabaisse selon qu’ils apparaissent dans
la boité ou non.
La télévision est sans nul doute l’ennemi de l’homme et de la liberté de
l’homme le plus puissant. C’est l’anti-christ en personne, celui annoncé
par le Messager (asws).
C’est un être borgne qui transporte un paradis qui est un enfer et un enfer
qui est un paradis.
En effet la télévision n’a qu’un « œil » visible et son paradis n’est autre
que cette célébrité apparente et éphémère, mais cette célébrité est en
réalité un enfer car les gens sont enfermés dans un système d’exploitation
terrible et quasi esclavagiste, la presse people est un exemple éloquent de
leur désarroi, imaginez vous ne pas pouvoir sortir dans la rue sans que l’on
ne vous défigure et dénude en troupeaux ou en sniper, c’est effrayant.
L’enfer qui est un paradis n’est autre que l’anonymat, on a envie on
souhaite la célébrité mais l’anonymat est beaucoup plus douillet et
confortable humainement et moralement.
L’anti-christ s’opposera à la Loi et aura toute puissance aussi peut il
donner la vie et la mort. Cela est vrai, car la télévision s’oppose à l’islam
rudement et avec sournoiserie, aussi la télévision donne, et vie et mort
aux gens, que ce soit par leur présence à l’écran que par les effets
spéciaux, donc ressusciter n’est pas plus dur. N’oublions pas que des gens
croient en cela mordicus.
De plus l’anti-christ aura écrit sur son front K.F.R lettres qui forment en
langage sacré « kafir » qui signifie mécréant, et qui selon l’étymologie,
implique le fait de recouvrir, ne pas montrer, ou ne pas voir.
En effet lorsqu’on analyse la télévision, ses producteurs et leurs
programmes, force est de constater la domination de la dépravation et des
72
comportements immoraux, ainsi que du mensonge au nom de l’audience.
Les médias et donc la télévision n’est-elle pas l’ennemi de l’islam ?
Ainsi tout se confirme, il ne reste plus que l’imam du temps qui connaitra
nécessairement, l’opposition de la télévision en cela du méchant et vilain
anti-christ, c'est-à-dire, il sera absent des ondes audiovisuelles, car son
message s’opposera radicalement à celui de la télévision, qui ne trouvera
pas d’autres moyens de le combattre que de l’ignorer.
Donc la bonne nouvelle est que nous sommes dans le temps de l’imam, ce
qui de facto discrédite les autres prétendants à cet imamat prophétisé car
l’anti-christ n’était pas encore apparu.
Comme le diront les shiites, à ce moment là il sera sans nul doute en
« «occultation », ghaybat, que l’on peut en réalité traduire par absent.
Ajoutons que selon les hadiths du Messager (asws) le dajjal/anti-christ
(télévision ou système médiatique) sera accompagné par 70 000 juifs ; or
le système médiatique actuel est bel et bien dominé quasi exclusivement
par des juifs, qui dirigent les médias d’une main de fer.
De plus, on peut ajouter que dajjal (nom islamique de l’anti-christ) signifie
étymologiquement comédien. Et le hadith ajoute qu’Allah ne le regardera
même pas, on peut donc conclure qu’Allah aime les choses sérieuses, sans
vouloir remuer le coupeau dans la plaie, mais il a été dit que le dajjal
produirait des prodiges extraordinaires, mais ne saura offrir une montagne
de pain.
Cela semble contradictoire, non, au contraire, la télévision montre des
individus voler, marcher sur l’eau, contrôler les éléments de la Terre avec
plus de puissance que Sulaiman (asws) lui-même.
Or l’apparition du dajjal, indique avec précision l’apparition de l’imam.
Alors qu’Allah (swt) fasse apparaitre notre imam, je l’attends avec
impatience et pacifiquement. Je suis sûr que le monde entier profitera de
sa présence et jouira de ce qu’il apportera.
Mais pour rester dans le sujet la question cruciale à se poser est comment
dois-je penser ? Certes la Loi suprême est présente et le chef ( sultan :
puissant, émir :commandeur, imam :guide) gère les affaires publiques,
mais bien qu’il incarne la Loi cet Homme reste néanmoins un Homme dont
l’ignorance fait partie de lui, il peut commettre des erreurs, et il en
commettra car les autres Hommes sont amenés à faire continuellement
des choix, et le même celui d’accepter la Loi et obéir. Ainsi il faut critiquer,
au sens intellectuel du terme, le chef afin de parfaire la société, donc de
facto se parfaire soi-même.
L’Homme doit apprendre à penser, à réfléchir, car tel doit être sa passion,
il doit aimer jouir de sa raison et voyager spirituellement par elle, vers son
Rab Allah (swt) .
Après une légère digression dont le contenu n’est en aucun cas futile, je
dois poursuivre le développement sur ce qui débuté par être un traité des
passions mais qui relève plus du code de conduite, de la philosophie du
droit. Alors la liberté semble in fine le sujet qui mérité le plus d’attention.
74
En effet la liberté est un concept qui a longtemps attisé la réflexion des
philosophes ou pour être plus large des penseurs.
Et par ailleurs un juriste dira que la liberté est un état civil qui s'oppose à
l'esclavage. En cela l'homme libre n'est pas sous la coercition d'un maitre
à qui il appartient. Ainsi on remarquera que la liberté a un lien évident
avec le droit donc relève du domaine de la justice. Mais cela ne s’applique
de prime abord qu’aux faits. Mais me diriez-vous que la liberté spirituelle
de l’Homme est aussi sous la contrainte d’une Loi ?
Tout d’abord définissons correctement ce que signifie être sous la
contrainte d’une Loi ?
Prenons pour cela la Loi de la nature, ainsi lorsqu’un objet est brulant, le
toucher entrainera la brulure de la personne. Donc la Loi naturelle définit
d’abord l’espace et régit les attributs des objets par rapport à eux-mêmes,
par rapport aux objets similaires, et aux autres objets de nature différente.
Tâchons de garder à l’esprit que le feu ne brûle par forcément en tout lieu
et en tout temps, car Celui qui a donné, déterminé la fonction
d’inflammation entre le feu et l’être doué de vie, peut changer la
constitution de ce rapport, selon Son bon vouloir, c’est une forme de
liberté.
Donc on peut dire qu’être sous la contrainte de la Loi signifie que, sortir
au-delà des prémices naturelles et définies entraine sanction, sanction
dont l’administration se réalise à temps variable. Pour ce qui de la loi
naturelle, la sanction est immédiate, et dure un temps limité par le temps
de vie de la personne. Quant à la loi « religieuse » les sanctions
s’administrent immédiatement si l’on vit en terre d’islam pure et parfaite
et les conséquences sont à portée universelles, c'est-à-dire en tout lieu et
en tout temps. Cela veut dire que les actions réalisées sont rétribués de
façon éternelle.
Rappel :
Allah (swt) est Vrai, Il est le Vivant Erectatur et Il est l’Infini et Il n’est
nullement contraint, par sa création donc à fortiori Il domine le temps et la
matière, et il ne peut pas mourir.
Preuve de l’immortalité d’Allah.
Puisque nous vivons et nous mourons, notre vie et la mort qui lui est
associée, relèvent du domaine de la création et du Bon Vouloir d’Allah
(swt) .
Mais du fait de l’au-delà la mort n’est qu’illusion.
Puisqu’Allah est Libre et Absolu, alors les vicissitudes de Sa Création ne
l’atteignent guère. Il est Transcendant. Donc l’Homme qui lui est soumis à
l’espace et au temps, lorsque son âme monte vers la connaissance d’Allah
(swt) Rab des univers, il accorde à Allah (swt) l’usufruit de l’éternité, et
cela bien qu’Allah (swt) la dépasse infiniment, mais la limite de liberté du
Musulman oblige, lors de l’effort cultuel, d’accorder à Allah (swt) le
maximum ; et cela, sarcastiquement, demeure futile au regard de la
Souveraineté Transcendantale et Absolue d’Allah(swt). On voit bien
qu’Allah n’a besoin de rien. Il donne tout ce que nous connaissons. Nous
savons qu’Il donne tout, et Il reprend tout. Ce qui atteint l’Homme
n’atteint pas Allah, à part la pitié, qu’il réclame. Donc Allah (swt) ne
75
connait point la mort, et plus encore Sa Vie n’est point semblable à la
nôtre. En effet puisque la mort n’est qu’illusion, croire en la mortalité
d’Allah est d’autant plus illusoire.
Allahu Akbar.
Donc rien n’empêche Allah (swt) de faire, et Allah (swt) est Vrai donc Il est
au dessus de tout mensonge, Il est Le Pur et Sa Puissance annihile le
mensonge, lorsqu’Il S’approche, par la « force des choses », (les enfants
d’Israël ne doutaient d’Allah lorsqu’il a produit les prodiges du secours).
Donc Il exerce en Premier et en Dernier la Justice. Il a formulé et
concrétisé la Loi et Il est Souverain au Jour du Jugement qui, rappelons le,
est canoniquement le dernier jugement que subira l’Homme.
Donc la rétribution est intrinsèque à l’Homme, car on le voit bien il n’est
pas libre au point de s’en soustraire, et il en est nécessiteux. In fine
l’Homme est un esclave. Donc sa liberté dans l’absolu est purement
spirituelle. Si tant est que l’âme est purifiée.
Dès lors nous savons que les actions seront rétribuées, donc l’extérieur,
l’aspect visible. Mais qu’en est-il du domaine de l’intérieur, les pensées,
les émotions, la partie invisible, car soustraite au regard, rentre-t-elle en
ligne de compte pour la rétribution ? Va-t-on être rétribué pour ce que nos
cœurs ont acquis, intériorisé ?
Allah (swt), Le Juge/Commandeur, Le législateur, Le Capable en toute
liberté, nous apprend que oui, dans sa récitation/lecture (Coran).
C’est un bonus à ne pas éviter que de se remplir de bons et nobles
sentiments, car Allah (swt) voit notre intérieur comme notre extérieur avec
la même facilité, car Il est Libre, et Libre de toute contrainte. Mais quelles
sont les bons et les mauvais sentiments ?
Les bons sentiments poussent à la vertu et les mauvais sentiments pousse
au vice.
En fait, le but est de préserver son âme de toute dégradation qui la
corromprait l’âme, et la pire corruption de l’âme est l’hypocrisie religieuse,
dit nifaq celle qui consiste à déclarer sa foi et cacher sa mécréance, tout
sentiment approchant de cet état est à éviter, en toute circonstance.
L’hypocrisie se conjugue en actes aussi faisant, canoniquement entrer
l’individu en état d’hypocrisie : La trahison de la confiance, la vacuité des
promesses et le mensonge dans les propos.
En effet la bonté pieuse est une récompense des actes cultuels,
ascétiques réalisés par le moumin vers son Rab, qui se purifie
continuellement des souillures latentes dans ce monde dont il est tenu de
se préserver.
La pureté tient lieu et place de l’âme. Lorsque le corps est purifié, l’âme
est purifiée.
Il faut se souvenir que les qualités de l’âme se développent par les actes
qui étayent la teneur de la foi de la personne.
On ne peut se purifier si l’on est sale, en effet il faut passer par le corps
pour arriver à l’âme. Ainsi on nettoie l’âme par l’obéissance à Allah (swt)
forcément.
S’il devait y avoir un mode opératoire, il serait le suivant :
76
-Recherche de la vérité et acceptation.
-Repentir
-Réalisation des actes cultuels prescrits : prières, jeune, hajj, aumône et
recherche de science
-Se maintenir et endurer
-Souffrir de la destruction de l’égo et des vices,
-Contemplation et béatitude, la purification
-Bonheur dans la modération
-Accueil de la science et de la sagesse ainsi que des autres dons d’Allah
(swt)
Ainsi l’idéologie qui stipule qu’Allah (swt) manque de qualité est erronée
et fait plus preuve d’ignorance que d’aucune réelle teneur religieuse
77
Pour tout moumin, tout muslim plaire à Allah (swt) est le but ultime de sa
vie, ce pour quoi il agit, ce pour quoi il pense et prévoit. Donc s’embellir au
sens complet du terme est obligatoire.
Les beautés intérieure et extérieure sont tout aussi importantes, même si
Allah (swt) tiendra plus compte de ce qui est dans le cœur.
En effet l’hypocrite ne réussit pas, ni le mécréant (négateur de la Vérité),
car son cœur est vide, son cœur n’a pas gardé Allah (swt) en lui. Car Allah
(swt) sait celui qui suit Sa voie et celui s’en écarte. Il connait parfaitement
le bienfaisant et le malfaisant, Son jugement est d’une nature double, car
Il associera les actes avec les intentions qui les ont motivé. Avec toute Sa
science Son jugement est Infaillible, donc nulle injustice venant d’Allah
(swt) mais c’est l’Homme qui faute.
Il a posé l’Homme sur Terre, et Il les dispersera selon qu’Ils sont bons ou
mauvais, soit vers un endroit meilleur (jardins d’exaltation) soit vers un
endroit pire (lieux des châtiments agonisants).
Donc ici l’objectif est double, nous serons amené à distinguer le Bien du
mal, et une fois cet objectif réalisé de comprendre comment les flux du
cœur peuvent-être bons ou mauvais.
Il faut dire qu’Allah est Le Bon et il est au dessus de tout mal, en toute
vérité, et le mal ne l’atteint point, qui ne peut venir que de l’Homme ou le
Djinn (communauté du libre arbitre), les animaux ne font pas de mal, ils
sont innocents.
Peut-on le prouver ? Puisqu’on n’a pas encore défini le Bien, on peut dire
que puisqu’Allah (swt) est le Tout Puissant, et qu’il ne reste plus de
puissance, ni force en dehors de Lui, qu’Il est Souverain de la liberté et IL
est La Justice, s’opposée à Lui est une folie et c’est un grand mal, par la
force des choses. Aussi par les textes religieux, et par la Rab des animaux,
le libre arbitre mène soit au Bien soit au mal, et cela dépend que de notre
choix.
D’où vient le mal alors ? Le mal, disons-le est une chose propres à
certaines créatures et constituent une propriété de la créature, c’est la
faiblesse.
En effet plus un Homme est fort moins le mal le touche.
Donc le Bien est absolu et le mal relatif, et c’est ainsi que la création est
faite, bien que nous soyons égaux devant la Loi, nous ne sommes pas
égaux face au mal, mais égaux face au Bien, et cela est une preuve
d’absolu.
Du fait de l’absolu, le Bien ne se mélange nullement au mal, sinon la chose
devient relative et donc mauvaise, ou plutôt vile.
Mais comment faire de bonnes actions sans se souiller par le mal, qui aura
pour effet de réduire le succès éternel de notre entreprise.
78
Mais comment faire le Bien ? C’est la question la plus simple, il faut faire à
autrui ce que l’on aimerait que l’on nous fasse.
Puisque le Bien est absolu, alors il faut agir de façon absolue et opérer
avec autrui tel qu’avec soi-même et apprendre à connaître l’autre, tout
comme on apprend à se connaitre soi-même. Bien entendu la condition
pour que le Bien se réalise et de faire l’effort, et le Bien est absolu et Allah
(swt) est L’Absolu donc on peut faire de Bien véritable que dans le cadre
de la Loi. Sinon ce n’est que passion et désir, donc la mort de l’âme en
cela du mal.
En effet l’Homme a pour but de servir Allah (swt) c’est-à-dire de prendre
la liberté d’Allah (swt) celle qu’Allah (swt) nous a offerte et la réaliser. Car
avant de rendre le culte {acte suprême de liberté}, notre liberté est
suspendue, notre liberté est suspendue à notre choix. Donc en faisant ce
qu’Allah (swt) a permis et ordonné alors nous nous trouvons dans le Bien.
Et par voie de conséquence, désobéir à Allah (swt), revient à s’aliéner et
donc est un mal, car c’est criminel.
Ainsi le Bien se trouve tout entier dans le cadre de la Loi. Puisque c’est
Allah (swt) Le Bon Premier et Dernier, alors le Vrai Bien se trouve en entier
dans la Loi d’Allah (swt), à l’exclusion de toutes les autres lois, qui de facto
sont relatives, leur source est donc forcément malicieuse. Qu’Allah (swt)
nous protège de l’égarement.
Mais lorsque les injonctions sont absentes face à une action quelconque
quel est le mode opératoire, à suivre ?
Le Coran rappelons ouvre la voie à la Voie, en y croyant et en mettant
dans le cœur (c’est certes un Livre très « lourd ») alors notre âme se voit
guidé de facto. Donc il faut toujours revenir au Coran et le méditer.
Le Coran appelle à suivre le Messager (asws) donc la Sunna est à étudier.
Mais soyons honnête la Sunna est parfois contradictoire, et certaines
paroles sont fortement influencées par le contexte, et ne saurait avoir la
portée universelle que certains savants veulent la créditer. Mais la Sunna
offre un cadre législatif universel, quant à la Loi commerciale, les
déclinaisons des parts de l’héritage, les butins de guerre, les modalités
d’exercice de certains droits (libération des esclaves, la guerre, les
modalités de l’acte sexuel).
79
Si l’on considère que le prisonnier est privé de liberté, alors les autres,
demeurent-ils également libres ?
De prime abord, si l’on considère que la liberté peut être confisquée par
les autorités judiciaires alors, une personne qui n’est pas emprisonnée ne
peut se voir restreindre sa liberté par des mesures coercitives. Par
exemple, il est interdit de conduire au feu rouge. On voit bien qu’il existe
un lien entre la liberté et la justice. La liberté est la capacité de faire au
sens large. La liberté permet de se mouvoir dans l’espace et de réaliser
tout ce qui est naturellement accordée à la personne.
C'est-à-dire user des sens dont elle dispose, et donc plus largement se
mouvoir physiquement, donc la liberté permet de construire des objets et
les utiliser comme la voiture, la maison etc.
Mais la liberté peut se décliner sous sa forme immatérielle ( on dit
spirituelle) en effet l’Homme qui se dit libre devra forcément se rendre
que l’espace spirituellement est indéfiniment plus vaste que le monde
matériel, les frontières sont plus espacées et déterminées presque
exclusivement par le degré de savoir de l’individu. Ainsi une personne au
Maroc peut s’imaginer à Paris, et faire des choses à Paris, et ceci sans y
être et cela sans visa, ni passeport car les frontières sont plus espacées, la
seule barrière est la possibilité d’imaginer qui elle-même est déterminée
par le savoir.
La liberté sous cet angle est spirituelle, et certains philosophes diront
même et à tort infini, or l’Infini est un attribut d’Allah (swt), mais on se
rend bien compte du Créateur a travers la contemplation de la création.
Aussi je tiens à préciser que Allah (swt) dans Son Infini Bonté et inégalable
douceur n'est interdit toute forme d'oppression donc, cette oppression
ne peut venir que d'un homme (pour les hommes), et les
actions des Djinns reste et demeure négligeables. Allah (swt).
Il est Allah Un
Il est Allah Le Transcendant
Il n’a pas engendré ni a-t-Il été
engendré
Et nul ne lui est égal
81
Khoo.
Je connais mon âme, j'ai un secret et mon secret est ma foi, et je l'ai
enfoui au plus profond de mon âme.
Pour vivre heureux je vis caché, j'occulte ma foi pour la préserver et elle
nourrit mon âme et fortifie mon corps c'est ma raison de vivre, elle me
donne raison.
Je partage ma foi avec mes nombreux coreligionnaires qui se délectent
des dons du Seigneur, et nous en sommes reconnaissants. Tous les
chemins mènent à Rome mais certains sont plus confortables que
d'autres.
Nous ne sommes pas logés à la même enseigne mais nous sommes une
communauté de foi, nous partageons la foi, le secret et donc l'âme.
Ensemble notre âme est forte et à tout malheur est bon car nous
partageons note foi, notre secret et notre âme.
Nous ne dirons rien pour nous préserver des ouïes des fauves qui sentent
le chacal agent de la mort qui rodent et érodent notre bon sentiment, nos
émotions nos émois.
Ensemble un peuple uni nous sommes les plus forts et rien peut nous
arriver, car nous partageons la foi le secret et l'âme.
Mais nous devons reste soudés et compact et ne pas laisser les fauves
attaquer notre troupeau, notre secret pourrait être dévoilé.
Nous devons préserver notre foi, notre secret et donc notre âme. Nous
sommes un corps uni contre l'ennemi qui veut nous violer. Honneur et
intégrité est la maxime que nous suivons, et les sacrifices du troupeau,
fortifie notre âme, préserve le secret et maintien notre foi.
Mais plus personne n' a faim et l'obésité gagne du terrain, la graisse a
remplacé les protéines alors asseyons sur notre entreprise et profitons de
ses rejetons.
Car nous sommes dorénavant nos propres dieux et nous tenons les clefs
de notre foi, notre secret et notre âme. Rien ne peut nous arriver, a part
la vérité, c 'est tout.
Mais ce n’est pas grave, on a aura perdu notre foi notre secret et notre
âme.
82
Tant qu'on ne nous fait pas de mal, on pourra feindre la réussite, et seule
l'usure rongera nos os. Car tel est le secret de notre réussite qui a forgé
notre foi et a constitué note âme.
Autant dire pas grand chose, même pas du vent. Notre dieu s'appelle
argent, mais il est tenu par l'Au-Râ.
Mais qui a entendu parler de notre foi de notre secret et de notre âme.
Vous voyez, pour vivre heureux vivons cachés.
Allah kafi
L’islam ouvre les yeux de l’Homme et lui rappelle l’Infini Puissant Allah,
dont la force est hypra contraignante, malgré sa douceur mielleuse. En
effet l’Islam est une ligne de conduite qui appelle à garde à l’esprit une
chose évidente et si délaissée : la vérité.
Allah est le Plus Grand, Il fait ce qu’Il veut, Il donne la vie et la mort et
châtie et pardonne Qui Il veut, et toujours en toute sainteté. Vaut mieux se
plier à ses injonctions afin de rentrer dans ses bonnes grâces et Le
remercier de nous avoir enseigné Ses Volontés, et ceci pour deux raisons
simples :
83
On peut renter dans Ses Bonnes Grâces et être continuellement
récompensé. IL sait ce que nous aimons et ce que l’on déteste, alors
auprès de Lui est la grande quiétude, et le grand bonheur, la voie vers la
félicité. Là aussi mon ignorance ne me l’aurait pas appris.
Je pense que les deux raisons sont suffisantes et pleines de bon sens, se
détourner de cela, c’est manqué de sagesse.
S’abandonner à Allah (swt) et n’invoquer que Lui et tourner son être vers
Lui et Le faire le centre de sa vie, et de son obéissance le but de sa vie, si
bien qu’Allah(swt) doit être Celui à qui on pense en premier lorsqu’on se
lève et par Lui on s’en dort, tel est le comportement du muslim.
En effet puisque Le Bien est entre Ses Mains alors Lui obéir ne peut que la
meilleure chose pour Sa créature, et en revanche Lui tourner le dos est
une folie et la folie est parmi les pires maux, cela fait croire que le feu
intense est doux comme du miel.
Il faut se rappeler que la création a été fixée et que notre imagination ne
forgera pas la vérité, mais permet de fabriquer un objet à teneur
technologique, plus ou moins élevée.
Alors il n’est pas sage d’imputer à la création hors de ce qui a été conférée
dans le but que rendre un culte à la création en lieu et place d’Allah (swt),
tout cela par lâcheté et couardise face à Allah(swt), alors que Lui tourner
le dos ne le fera pas mourir.
D’autre part Il serait ahurissant d’attribuer à Allah (swt) des fausses
noms/attributs. Par exemple dire Allah (swt) est le méchant, le vicieux,
alors que ce sont des attributs qui sont propres à ceux qui manquent de
bonnes qualités. Allah (swt) l’Absolu, il n’y a aucune relativité qui Lui soit
propre.
Ainsi pour faire être bref, il faut savoir, et cela en vertu de la vérité
clairement exposée dans la preuve du monothéisme, Allah (swt) ne
ressemble pas à la création, donc Allah (swt) est au dessus de la matière
et de l’esprit, Allah (swt) est Transcendant.
Le muslim est celui, parmi tous les religieux fait preuve de la morale la
meilleure, le meilleur des muslim est celui qui déteint le plus de science.
Et l’homme de science est celui qui agit en accordance avec ce qu’il sait,
sinon il en doute.
Le but de l’islam politique sur Terre est d’instaure le royaume des cieux
sur Terre, un petit paradis, en effet avec la législation dont Allah(swt) nous
a fait cadeau, les autorités islamiques peuvent, avec un peu d’application,
de suivi et du bon cœur, arriver à réaliser cette œuvre intemporelle. Une
œuvre pousse à la transcendance et dépasse de facto les querelles et les
vanités du pouvoir, dont la vacuité est aussi profonde que lassante et
dangereuse.
En effet, l’exercice du pouvoir suscite des passions enflammées car il est
un levier de liberté, il augmente le champ du possible et feint de tromper
ainsi la mort. Mais le pouvoir nourrit l’égo et l’ego n’est jamais rassasié,
c’est une drogue pour les hommes de peu, ils peuvent s’es défaire, car il
croit plus en leur ego qu’en le bien.
Dans l’exercice de la justice le pouvoir sera amené à édicter des lois, qui
prennent leur source d’abord dans la jurisprudence et ensuite dans le bons
sens politique.
Que faut-il pour faire preuve de bons sens politique ?
Le bons sens politique consiste en une sage prévision des actions sociales
et les prises des mesures qui les siéent. Par exemple, si l’on sait que
l’exode rural explose, et que les ruraux ont un taux de natalité croissant, il
n’y a pas d’autre choix que de réaménager la ville, à moins que l’on
interdise l’exode rural.
A travers cet exemple on distingue une nécessité dans l’exercice du
pouvoir, l’information. L’information est cruciale car cela permet d’être
toujours sur la même ligne que la population afin de ne pas se laisser
déborder par un mécanisme social qui nous aurait échappé, dont les
conséquences politiques peuvent être fâcheuses. Donc le pouvoir se doit
de surveiller son territoire, ainsi il pourra prévenir des risques et prévoir
les tendances qu’il se doit de montrer qu’il comprend afin de rester
populaire parmi le peuple, car la popularité augmente la confiance, et la
confiance et ce sur quoi le pouvoir assoit son pouvoir.
Mais revenons à notre sujet qui est la nation, la nation qui pour s’épanouir
se doit de défendre le pouvoir et le maintenir en bonne forme.
En effet la nation s’épanouit par la richesse. La richesse permet de se
libérer des besoins, et ouvre la voie à d’autres expectatives. En effet, plus
un individu s’enrichit plus ses droits augmentent, donc même la nation
devient puissante, en s’enrichissant. La nation se forme et s’organise
établissant ce que l’on nomme une civilisation ou ce que les juristes
qualifient d’empires, vaste non pas par la taille du territoire, mais par
l’étendue des libertés effectives dont jouissent les citoyens.
Ainsi, la nation s’enrichit, et le pouvoir aussi ce qui permet de s’occuper de
considérations plus stratégiques telles que la sécurité, dont la formation
d’une milice professionnelle, qui d’ailleurs n’est pas obligatoirement
nationale, afin de rehausser le prestige du pays, et d’inspirer la sécurité
auprès des autres pays, permettant d’accroitre les échanges commerciaux
et attirer les populations, augmentant de facto le territoire, par la
population.
Une fois cela établit, le reste n’est que voyages officiels, banquets,
réceptions, bals et concubinages, une taché si rude qu’elle userait le plus
féroce des combattants, mais ici encore le jeu en vaut la chandelle.
Mais il y a plusieurs façons d’organiser la vie sociale, d’entretenir le peuple
et de faire vivre dans l’harmonie, de croitre et le permettre de servir Allah
(swt) dans les meilleures conditions. Mais selon mon analyse, cela ne
dépend que de la trinité du pouvoir que je rappelle est
91
conduisant à terme à plus d’ignorance, ce qui ouvre la voie aux
comportements barbares qui détruisent le climat de sécurité de départ.
La mauvaise nouvelle est que cet état peut durer longtemps, ou en tout
cas paraitre long. Ainsi certains pays d’Afrique tropicale ont connu leur
temps où la barbarie a connu son paroxysme à cause de l’ignorance, qui a
été élevée par manque de justice et un excès de corruption.
On peut nommer le Rwanda, La république démocratique du Congo, le
Kenya, la Côte d’Ivoire, le Soudan, la Somalie le Zimbabwe aussi risque de
connaitre le même sort, et j’en passe.
Mais la réalité africaine est celle d’un contient meurtri par les intérêts
étrangers plus cupides que ceux des habitants eux-mêmes et dont la
satisfaction et le maintien du niveau de satisfaction a mis en place des
régimes dépendants et soumis, afin de maintenir la main mise sur les
matières premières. Une des façons de maintenir effectivement le contrôle
n’est autre que l’exacerbation des divergences au sein de la population,
l’instauration d’un climat de guerre civile, une guerre ou les intérêts
étrangers prennent part en vendant des armes aux deux parties et leur
soutien en cas de victoire, qui disons-le n’arrivera pas.
Ainsi, les autochtones enragés et ruinés à terme reviendront vers leur
secoureurs et leurs défenseurs docile et amicaux, alors que leur prétendus
défenseurs ne sont ni plus ni moins que les instigateurs de leur propre
perte. Mais tout cela pour dire quels sont les ravages évidents que peut
faire la corruption.
Ainsi je pense que nous avons fait le tour de tous les aspects de la société
92
Epilogue
Ainsi nous avons étudié avec plus ou moins de rigueur l’ordre du monde
contemporain.
Et la conclusion est que notre vie dans ce bas monde ne devrait pas être
qu’une course aux richesses : les biens matériels.
Il y a tellement d’autres sources de jouissance sur cette Terre, comme
l’acquisition de science ou sagesse, aider ceux qui sont dans le besoin et
grandir, d’une façon transcendantale au delà de la monnaie.
Essayer de devenir quelqu’un de bon, quelqu’un de meilleur.
En cela, œuvrer pour son salut semble une occupation digne d’intérêt, en
tout état de cause. Car si l’on n’œuvre pas pour son salut alors il nous
échappe. Alors comment atteindre son salut si ce dernier nous a échappé.
Le hasard ne peut rien, il ne peut rien pour lui-même, alors pour autrui
c’est objectivement absurde, et subjectivement une chimère. Qui a intérêt
à œuvrer pour la damnation ? Personne.
En effet je pense que l’Homme doit éviter l’égarement le plus possible, car
lorsqu’on est égaré les dangers relatifs deviennent absolus et se
concrétisent, in fine. N’y a-t-il pas des gens qui œuvrent pour la
damnation ? Si l’on ne se met pas en danger, le danger peut venir des
autres . Et si l’on est égaré alors on devient une proie facile pour l’enfer en
tant que personne morale dont le corps commerciale est la damnation.
Donc il faut prendre garde à comment on dépense son argent à défaut de
délaisser les considérations pécuniaires et de prendre soin de l’âme et
aussi faire attention à comment on l’acquiert et le gagne. Il ne faut pas
faire affaire avec n’importe qui, et bien choisir ses partenaires
commerciaux, car parfois
celui que tu vois n’est pas celui qui se fait voir, mais il est caché.
En d’autres termes on peut être hypocrites.
Trèves des inquiétudes, tant qu’on a une bonne assurance…
93
Annexe : Le Statut Civil et le droit des entreprises
Du statut civil
Fondamentaux inextinguible de la personne humaine.
Article 1.
Est un Homme tout être masculin ou féminin qui nait d’une femme.
Tout Homme nait libre et égal face à la Loi. La Loi s’applique similairement
à chaque Homme, on dit que les actes légaux sont abstraits.
L’état civil d’un homme peut être inclusif alors que celui d’une femme est
exclusif.
Tout Homme a le droit à l’alimentation, à l’habillement et au logement
principal.
Tout Homme nait avec capacité future à commercer à moins d’une
naissance miracle.
Toute personne capable peut être un héritier testamentaire.
Il existe plusieurs statuts civils que l’on distingue selon leur états effectifs.
Situation pénale
Atricle1.1
Toute personne est innocente jusqu’à preuve de sa culpabilité.
Article 1.1.1
Toute personne coupable se voit intégrée un espace juridique à mesure
de sa sanction telle que prévue par la Loi.
Ainsi le coupable risque
1.L’amende,
2.Les travaux d’intérêt général (TIG)
3.La prison à durée déterminée (P)
4.Les châtiments corporels pouvant entrainer le mort (CC)
5. Nota Bene :
6.Seule l’amende n’ampute nullement du statut civil tel que stipulé par la
l’article 1.
7.
8.Les autres sanctions frappent le coupable d’incapacité dont le degré est
relatif à la faute.
9.TIG diminue partiellement la capacité d’exercice jusqu’à extinction de la
sanction.
10.P diminue la capacité totale jusqu’à extinction de la sanction.
11.CC ne diminue en rien la capacité juridique.
12.
13.Exception :
14.L’amputation et la mort.
94
Etat Civil
On distingue plusieurs états civils :
I.l’esclavage
II.Le concubinage.
III.Le mariage
IV.le célibat
I.De l’esclavage
L’esclavage est l’état du prisonnier de guerre ou toute personne remettant
sa liberté et sa capacité à un tiers jouissant de la capacité, il n’y a
incapacité totale. L’esclave est dans le harem du maitre.
On dit que la personne dans l’état d’esclavage est un captif pour le
prisonnier de guerre ou un valet/servante pour le lâche.
Il est du droit de tout Homme de renoncer à sa liberté afin de se mettre
sous « l’aile » d’un maitre. L’esclave à devoir d’obéissance absolu envers
son maitre, tant que celui-ci ne prône pas la désobéissance.
L’esclave n’agit jamais en son nom propre ni pour son compte, mais au
nom et pour le compte de son maitre. L’esclave n’est pas tenu pour
responsable des fautes que son maitre lui a ordonné de faire, ni peut il
être sanctionné. Le maitre n’a pas le droit de brutalisé injustement
l’esclave à moins d’une faute excessive et avérée.
Le maitre est un homme capable et aucune femme ne peut être maitresse
d’esclave.
Les esclaves ont devoir d’obéissance à leur maitre et à sa dynastie sans
que cela ne contrevienne aux souhaits du maitre.
Tout maitre ne pouvant subvenir aux besoins physiques de ses esclaves se
doit de les libérer ou les vendre, à moins que les esclaves ayant des
deniers subviennent à leurs besoins physiques (alimentaire, vestimentaire,
et résidence principale).
Malgré l’invalidation due au régime civil l’esclave reste sous la protection
de l’état contre la tyrannie du maitre, qui peut le déposséder de son bien
si cela est jugé bon. L’esclave a le droit de refuser d’être libéré par des
tiers et son prix lui revient de droit pour pourvoir à sa libération future si
tant est.
L’esclave qui meurt voit ses biens transités par les autorités, qui en
héritent.
Les libérateurs sont considérés comme ayant libérés et charitables.
95
Un esclave n’a pas le droit de jouir de rapports sexuels avec la femme de
son maitre ou la fille de son maitre ou le fils de son maitre, ni aucune
autre personne sans le consentement du maitre.
L’esclave ne peut être puni comme un Homme libre, mais est en droit à
être défendu comme tel.
Pour tout esclave il existe un prix de sa liberté.
Lorsque l’esclave exprime la volonté de se libérer le maître se doit de lui
donner le droit de travailler librement afin d’y subvenir.
Le prix de libération de l’esclave musulman est toujours inférieur à celui
de l’esclave non musulman.
96
II.Du concubinage
Définition et constitution.
Le concubinage est l’état d’une femme se mettant sous le régime dit de
concubinage, elle est une concubine.
La concubine de par son état se voit autoriser les rapports sexuels avec un
homme qui de facto devient son tuteur, il est son cheikh. La concubine
rentre dans le harem du cheikh parmi les favorites. La femme remet sa
capacité physique à son cheikh quant à la jouissance de son corps,
uniquement. On dit que le concubinage a une fonction sexuelle libératoire,
pour le cheikh et la concubine.
Principes
La concubine n’est pas, en l’état, la femme de son cheikh, les enfants de
la concubine ne sont pas les enfants du cheikh, au regard de la Loi, mais il
garde l’option de tutelle jusqu’à la majorité.
Mais le cheikh a le devoir d’exercice tutélaire sur les enfants de sa
concubine dont il est le géniteur, tant qu’il est le maitre de la concubine.
Le défaut d’exercice de ce droit entrainera sa transition vers le tuteur en
l’état de la femme jusqu’à la majorité de l’enfant si il est male. Sinon
l’exercice tutélaire est remis au tuteur en l’état de la femme.
Une femme n’a pas besoin de l’autorisation de son tuteur pour se mettre
en concubinage, elle est réputée libre et consentante à sa majorité. Mais
elle ne doit souffrir d’aucune incapacité, en cela elle doit être innocente et
capable. Le concubinage est l’état civil d’une femme qui souhaite jouir de
rapports sexuels sans entrer dans le régime matrimonial et sans pour
autant de commettre de fornication. On dit que la femme est dans le
harem du cheikh. Elle garde de par la loi sa capacité d’exercice et de
jouissance, la concubine peut posséder, acheter et vendre, les dons faites
à la concubine appartiennent à la concubine tant qu’ils ne sont pas
illicites.
Modalités du concubinage
97
•Le cheikh se voit octroyé la capacité de jouissance sur la concubine, qui
de facto perd cette liberté au profit de son nouvel état. La concubine n’a
aucun devoir d’obéissance envers son cheikh, seul une obligation de
consommation sexuelle, qu’elle a formulée de son plein gré.
Transition d’état :
1.Du concubinage au mariage
2.Du concubinage à l’esclavage
Le cheikh peut épouser une concubine, le tribut doit être supérieur à celle
de la remise en liberté, les enfants deviennent par effet rétroactif les
enfants du cheikh qui devient père.
Le cheikh ne peut épouser de concubines ni esclaves s’il n’en a pas les
moyens, que ce soit affectif, pécuniaire, émotionnel.
Le mariage de la concubine doit se faire dans les conditions de la femme
libre, (cf. mariage)
Le cheikh en se mariant doit se délaisser de ses concubines à moins
qu’elles deviennent esclaves.
La dot du mariage ne peut pas être celle du tribut du concubinage, la dot
doit être supérieure aux plancher prévu par la loi.
98
La concubine peut se constituer esclave pour rester auprès de son cheikh
(maître), par le simple affirmation et témoignage auprès des autorités.
Puisque son maitre était son ancien cheikh, l’esclave reste liée tant qu’elle
ne réclame pas sa dot, qui est celui d’une femme libre. Ici l’esclave
nouvelle possède des droits supérieurs aux lâches et donc sa libération est
d’autant plus facile et facilitée.
Afin de parfaire les actes administratifs le tribut de l’esclave sera remis
aux autorités et l’esclave sera maitre absolue de sa libération. C’est un
sacrifice des droits pour la fidélité.
II.Le mariage
Le mariage est l’union religieuse de deux personnes consentantes et
capables.
Le mariage relève de l’intervention de trois parties :
Le prétendant, le tuteur et la femme désirée.
On dit que les motifs de refus du tuteur sont limités alors que celle de la
femme sont illimités.
Motifs de refus du tuteur :
100
Le mariage est la plus haute marque de vertu qui soit en société, c’est une
marque de distinction et de sacralité supérieure. En effet le mariage est
l’aboutissement de la foi.
Le divorce est l’acte par lequel l’un des époux se sépare unilatéralement
de son conjoint.
Les modalités de divorce de l’époux sont une double répétition verbale de
la volonté de séparation, elle devient effective si l’époux ne revient pas
sur sa décision.
Le mari revient sur sa décision s’il s’acquitte de l’une des injonctions
coraniques prévues par Le Rab Allah(swt) (swt).
Quant à la femme, le divorce lui est permis mais les modalités sont non
stipulées afin de maintenir le couple et d’éviter toute séparation qui
pourrait, in fine nuire à la femme dans sa vertu , à cause de la haute
moralité dont elle jouit dans le régime matrimonial, et que la religion ne
veut pas lui faire perdre.
Lorsque le divorce est mû par le mari, le père reste tuteur des enfants
matrimoniaux qui demeurent à sa charge et se doit de dispenser une
rente à la mère de ses enfants jusqu’à son prochain mariage.
Le père peut transmettre son droit de garde à la mère qui n’obtient pas le
droit de tutelle, tant qu’il subvient aux besoins de la mère et de ses
enfants matrimoniaux.
III.Le célibat
1. les libres
Le célibat protège de la fornication, on dit que le célibataire est en état de
siam.
On dit que l’adultère est une fornication aggravée et l’inceste est un
adultère aggravé.
101
Un homme est dit célibataire tant qu’il maintient sa constitution en toute
légalité, il n’a ni concubine, ni femme.
Une femme est dite célibataire si elle n’est ni concubine ni mariée.
La femme célibataire se trouve de facto dans un régime civil qui l’oblige à
préserver sa chasteté, toute enfreinte à cet état est une fornication si elle
le commet avec un homme célibataire, un adultère si elle le commet avec
un homme marié.
L’homme célibataire ne commet pas de fornication s’il possède des
esclavages féminins ou s’il est cheikh.
L’homme commet l’adultère s’il fornique avec une femme mariée ou
l’inceste (c’est-à-dire des rapports sexuels avec des femmes interdites).
Tous les Hommes naissant libres et égaux face à la loi, ainsi le choix
fondamental de leur appartenance ne peut leur être retiré ou imposé par
aucun Homme.
Il en suit que nul ne peut être retenu par la force sans raison valable
exprimée par la Loi, dans sa forme incompressible. Ainsi la capacité de
jouissance est garantie de facto à tout Homme.
Donc sauf mention contraire stipulée par une source de loi tout Homme à
la naissance est un commerçant potentiel.
La Qualité commerciale
Cela consiste en la confirmation de la capacité de jouissance en cela que
l’Homme n’est point aliéné, et donc qu’Il est doué de raison sinon le souci
de préservation oblige à invalider ses actes si ce n’est avec l’autorisation
d’un tuteur qui est avéré capable. Cela signifie que la personne capable
est en mesure de juger les risques encourus et d’assumer sa
responsabilité.
Ainsi une femme, un orphelin ou un enfant jusqu’à sa majorité ainsi que
l’esclave sans autorisation de leur tuteur/maitre, un ivrogne ou tout être
en état d’aliénation ne peut être considéré comme capable.
Le Code de commerce
Le code de commerce est un ensemble de règles qui régissent les rapports
entre Hommes répondant aux critères sus mentionnés (Statut civil et
Qualité commerciale).
102
La réunion des deux points permet la constitution de l’Homme en
commerçant, au regard de la Loi.
1.L’employé
L’employé est un commerçant qui en intégrant l’entreprise ne cherche pas
à faire dans l’immédiat d’actes commerciaux.
Il annule sa capacité commerciale et concentre son travail sur le suivi des
ordres de ces supérieurs hiérarchiques en conformité avec
l’organigramme de l’entreprise.
Ainsi l’employé suivant le contrat de travail exécute des tâches au nom de
l’administrateur, et cela de façon inextinguible.
La recherche du travail par l’employé est un acte commercial, qui lorsqu’il
intègre l’entreprise se détache d’un élément constitutif de son statut
commercial : sa qualité commerciale. Son renoncement à sa qualité
commerciale est un acte commercial en soi, mais les rapports entre
administrateur et employé sont régis par le code du travail.
2.L’entreprise
L’entreprise est constituée de deux éléments garantissant sa validité
juridique.
Article 1.
Article1.
La propriété de l’entreprise
103
En vertu de son rôle commercial, tous les biens de l’entreprise sont la
propriété du/des propriétaires conformément à la forme commerciale
décidée et mise en place par le conseil d’administration.
Article2.
Du titre de propriété et le propriétaire
Caractéristiques du propriétaire
-Droits de revente du titre
-Obligation de participer à la nomination de l’administrateur
-Droit de révoquer l’administrateur
-Le propriétaire a le droit à un pourcentage du bénéfice, conformément à
la loi en vigueur, cela est un devoir de l’administrateur envers les
propriétaires, et lorsqu’il n’y a profit, alors le propriétaire ne peut
revendiquer.
Explication
De par son statut commercial et la nomination de l’administrateur, le
propriétaire réalise un acte commercial qui lui donne droit à une
rémunération.
Cela ne devient un revenu que lorsque la rémunération dépasse le coût
historique du titre de propriété.
De la nomination de l’administrateur
De l’administrateur
104
Apres proposition du conseil d’administrateur, la confirmation du nominé
confirme son statut au sein de l’entreprise.
L’administrateur a un devoir, de fait, d’écoute des propositions du conseil
d’administration avec lequel il peut traiter.
Modalités d’administration
L’administrateur agit pour le compte de l’entreprise en son nom propre.
L’administrateur veille au bon déroulement de l’entreprise et s’assure du
respect des lois.
L’administrateur peut embaucher des commerçants pour le seconder ou
des employés afin de réguler l’administration.
L’administrateur est chargé de payer les salariés de son entreprise.
-l’entreprise dichotomique
-l’entreprise patronale
-l’entreprise mixte
l’entreprise dichotomique.
105
L’entreprise mixte
Est une entreprise mixte, toute formation commerciale où un membre du
conseil d’administration se dévoue pour occuper le poste
d’administrateur.
L’entreprise patronale
N.B
Les transitions d’une forme à une autre se font surtout de gré à gré et
sont entérinées par l’inscription au registre de commerce faisant de
facto la publicité de l’évènement. Et les modalités d’exercice de ce
droit est juste un détail.
Nouvelle comptabilité
Des actifs
Parts : les parts sont des pourcentages dans une ou plusieurs entreprises
qui génèrent des gains qui sont positifs.
106
Soit Pp le prix de la part à l’acquisition et c : le cash flow engendré et g le
gain
Alors g>0 quand Pp – c = g
Les investissements
Un investissement est un accord de partenariat dans une autre affaire
pour un montant I.
Cet investissement est amorti à une valeur a dans le temps jusqu’à, s’il y
a lieu, ce que
I-a = 0 et il y a gain lorsque I-a= g
On met soit 0 soit g dans la rubrique investissement.
Les clients
Les clients montrent la vigueur de l’entreprise à créer un réseau de clients
à desservir, cela montre que l’entreprise écoule sa marchandise. Mais gare
aux disproportions avec la caisse ce qui montrerait une difficulté
financière.
Les stocks
Les stocks montrent l’état de l’inventaire à un moment donné.
Cas à traiter :
Lorsque l’investissement et/ou les parts ne produisent aucun gain, ces
deux rubriques sont classés dans le passif, jusqu’à ce que l’un deux au
moins produise des gains.
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Il est important de noter que cette structure juridique ne freine nullement
la financiarisation de l’économie, cette structure ne tue pas la finance,
mais établit un espace nouveau de travail pour les financiers qui devront
prendre inéluctablement en compte le côté commercial des affaires.
En effet les propriétaires ont droit à des dividendes et peuvent échanger
leurs titres de propriété contre d’autres ou les vendre. Cette possibilité
seule permet de poursuivre des opérations financières vastes mais moins
périlleuses pour l’économie et l’entreprise, ce qui est actuellement le cas à
cause de ladite structure juridique et l’usure injectée de force dans
l’économie.
Comment se conjuguera cette démarche nouvelle ? Selon toute
vraisemblance, similairement à maintenant, mais la moralisation de
l’économie fera que les excès du capitalisme seront résorbés et la
nécessité du socialisme sera inclus de façon simultanée.
Après sur les détails de l’application cela dépendra surtout de la volonté
des Etats à opter pour telle ou telle démarche, procédé, ratio ou étalon.
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