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2. La Planification : .............................................................................................................................. 9
2.1 Objectifs Stratégiques :................................................................................................................. 9
2.2 Objectifs opérationnels : ............................................................................................................. 10
3. Coordination : ................................................................................................................................ 11
Les mécanismes de coordination : ............................................................................................................................. 12
4. L’évaluation : ................................................................................................................................. 13
II. Thèmes proposés :...................................................................................................................... 14
1. Le choc culturel au sein des entreprises touristiques : ..................................................................... 15
2. La diversité signe d’efficacité dans les entreprises touristiques : ...................................................... 15
3. La communication interne : clés de succès du management interculturel d’une entreprise
touristique...................................................................................................................................... 15
4. Gestion de conflits pilier majeur pour la réussite de management interculturel d’une entreprise
touristique. ..................................................................................................................................... 15
5. L’intelligence interculturelle : une démarche qui stimule l’énergie et l’efficience des groupes au sein
de l’entreprise touristique. .............................................................................................................. 16
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I. La stratégie du cabinet
1. L’organisation :
Une organisation est un ensemble d’individus de divers horizons, de différentes qualifications
éducatives et de divers intérêts qui se réunissent pour travailler vers un but commun.
L’organisation du travail vise la meilleure efficacité des ressources humaines, matérielles et par suite
financières d’une organisation.
Cette vision sera réalisée par la mise en œuvre d’un organigramme de structure divisionnelle en
adoptant différentes méthodes et outils.
1.1 Organigramme :
Comme son nom l’indique, une structure divisionnelle permet la division du cabinet en plusieurs
postes relativement autonomes, avec une activité précise pour chacun. Ainsi, chaque poste a ses
propres ressources et sa gestion se fait comme une entité quasi-indépendante. Les objectifs généraux
et les décisions stratégiques restent, toutefois, fixés par le dirigeant (Directeur Général). Ainsi, la
structure divisionnelle se caractérise par un découpage des responsabilités, une coordination en
amont, une standardisation des qualifications et une formalisation des tâches à accomplir.
Pour notre cabinet la structure divisionnelle est la plus adapté à notre vision stratégique :
- Les divisions sont régulièrement évaluées, comparées et contrôlées afin de pouvoir détecter
les sources des éventuels problèmes.
- Les résultats restent, toutefois, suivis et contrôlés séparément, permettant une implication
importante de chaque consultant, et ce, au niveau de la stratégie de sa propre division et de
la stratégie globale du cabinet.
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Directeur
général
1.2 Méthodes :
Réussir à améliorer la qualité (interne et externe) et à inscrire durablement son entreprise dans une
réelle dynamique d'amélioration continue, ne peut pas être le fruit du hasard. Cela passe par :
Pour chaque situation, il existe un ou plusieurs outils de la qualité facilitant l'atteinte des objectifs
car ils apportent des méthodologies éprouvées, et permettent de "canaliser" les efforts de tous afin
d'éviter toute dispersion contre-productive. Cela est d'autant plus important qu'il faut souvent
travailler ensemble car tous les processus et activités de l'entreprise sont interdépendants.
La Méthode de DMAIC : (une méthode Six Sigma pour mieux gérer vos projets)
DMAIC est une stratégie de qualité axée sur les données utilisée pour améliorer les processus. Il fait
partie intégrante d'une initiative Six Sigma, mais en général, il peut être mis en œuvre en tant que
procédure autonome d'amélioration de la qualité ou dans le cadre d'autres initiatives d'amélioration
des processus telles que Lean.
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Définir
La première étape consiste donc à définir les zones problématiques au niveau des processus,
d’observer un problème ou alors de constater des pistes d’amélioration potentielles, tout cela en vue
d’augmenter l’efficacité et l’efficience de l’entreprise. Voici quelques questions habituellement
posées à ce stade :
L’entreprise ne doit pas seulement se contenter de définir les problèmes et leur envergure, elle doit
également se pencher sur la structure de l’organisation et les responsabilités de ses membres.
Mesurer
Cette deuxième phase consiste à réunir différents types d’informations afin de mieux évaluer la
situation actuelle de l’entreprise à l’aide de chiffres et de données, permettant ainsi de mieux
quantifier le problème et de pouvoir comparer les résultats au fil du projet. Cette étape consiste ainsi
à utiliser des outils afin d’évaluer les processus de manière précise à l’aide de variables, de
statistiques, de relations cause à effet.
Analyser
Cette phase est fondamentalement reliée à la précédente car elle consiste à étudier en détails les
mesures obtenues au cours de la deuxième phase. Le processus pour déterminer les causes
profondes de la variation, les mauvaises performances (défauts). Le Six Sigma repose largement sur
l’analyse des chiffres et des statistiques et cette phase d’analyse permet donc de se baser sur les
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mesures récemment obtenues pour mieux comprendre la source des problèmes, qu’il s’agisse de
délais, d’inefficacité, d’un taux de défauts trop élevé.
Améliorer
Une fois les causes du problème définies, il est alors nécessaire de passer à la phase de résolution du
problème qui est cruciale et particulièrement complexe. En effet, les problèmes varient d’une
entreprise à l’autre. Il faut donc traiter les performances en traitant et en éliminant les causes
profondes.
Contrôler
Cette phase permet de s’assurer que les innovations et les améliorations sont implantées
correctement. Il est important de s’assurer qu’un système de suivi soit en mis en place afin de
toujours être au fait de l’évolution des nouvelles méthodes et d’effectuer des corrections si
nécessaire
1.3 Outils :
A chaque étape de la méthode de DMAIC, nous allons voir les différents outils a adopté pour la
réussite de ces étapes.
Méthode QQOQCP :
Le choix de QQOQCP pour la première étape de DMAIC est motivé par le fait qu’il cherche la route
du problème en prenant en compte tous les situations susceptibles par les différentes questions.
Principe :
Il s’'agit de poser les questions de façon systématique afin de n'oublier aucune information connue:
Quoi?
Qui?
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Cette question permet une meilleure description des exécutants, acteurs ou personnes
concernées
Où?
Quand?
Comment?
Pourquoi?
Cette question peut se poser à la suite des autres questions mais il convient aussi de la poser
pour toutes les questions Quoi ? Qui ? Ou ? Quand ? Comment ?
Pour mener une analyse critique, à chaque réponse des questions précédentes se demander
Pourquoi ?
Brainstorming :
Cette deuxième phase consiste à réunir différents types d’informations afin de mieux évaluer la
situation actuelle de l’entreprise. Ce qui nous a poussé de choisir l’outil de Brainstorming qui va
rassembler toutes les informations nécessaires à pouvoir trouver les vraies sources du problème et
les solutions susceptibles à les résoudre.
Le brainstorming est une méthode participative qui est basée sur la créativité des participants. Elle
doit permettre de trouver de nouvelles et meilleures idées. L’animateur recueille tous les échanges,
sans trop de contrainte afin de ne pas limiter le processus de réflexion. En rebondissant d’une idée à
l’autre, un maximum d’idées pourra être collecté assez rapidement. Une synthèse devra ensuite être
réalisée en triant, hiérarchisant et organisant les informations.
Même si c’est bien la spontanéité qui est attendue dans ce genre de démarche, pour que cet outil
fonctionne, il faut qu’il soit cadré et que l’équipe qui a préparé ait bien fixé ses objectifs.
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On note tout : surtout ne rien perdre de ce qui est dit ;
On fait le ménage : regroupement des idées ;
On trie et on regroupe ;
On retient les meilleures idées en tenant compte du contexte et de la problématique ;
Cause 1 -
Cause 2 -
Causes
Cause 3 -
Effet 1 -
Effets
Effet 2 -
Effet 3 -
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Plans D'expériences (DOE) :
La suite ordonnée d'essais d'une expérimentation, chacun permettant d'acquérir de nouvelles
connaissances en contrôlant un ou plusieurs paramètres d'entrée pour obtenir des résultats validant
un modèle avec une bonne économie (nombre d'essais le plus faible possible, par exemple).
Lorsque l'on désire connaître la dépendance d'une variable de sortie F d'un tel processus ou
propriété, on se trouve confronté à plusieurs difficultés :
L'audit Processus :
L’audit est un examen méthodique et indépendant en vue de déterminer :
si les activités et résultats relatifs à la qualité satisfont aux dispositions préétablies,
si ces dispositions sont mises en œuvre de façon effective,
si ces dispositions sont aptes à atteindre les objectifs.
Les objectifs de l'audit processus sont les suivants:
Déterminer la conformité ou la non-conformité des éléments du système qualité aux exigences
prescrites dans un référentiel,
Déterminer l’efficacité du système qualité mis en œuvre en regard des objectifs prescrits satisfaire aux
exigences réglementaires.
La performance des processus clés : rendement des processus de réalisation, délai de réalisation d'un
service et réduction des temps morts entre les étapes.
Déploiement : l'étendue des processus identifiés et managés, nombre de processus décrits, nombre
de propriétaires de processus nommés, nombre de processus de support et de processus
managériaux décrits et optimisés.
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Evaluations : l'efficacité des audits et des revues, nombre d'audits de processus réalisés, nombre de
revues de processus réalisées et taux de réalisation des demandes d'amélioration sur les écarts
constatés.
Innovations : les innovations apportées dans le fonctionnement des processus nombre de solutions
innovantes apportées aux processus évolution de la performance des processus ou des projets
engendrée par les solutions innovantes.
Temps de cycle : la performance dans l'enchaînement des tâches et des étapes temps de cycle moyen
par atelier, par procédé et par processus.
Taux de défaut : il s'agit de défauts sur les produits et dans les opérations de production évolution
du nombre de défauts ou de rejets en cours de fabrication taux de re-travail par processus capabilité
des processus bénéfices de la démarche 6 sigma.
Maturité : évolution cumulée des niveaux de maturité des processus de résolution des problèmes
aux interfaces des processus.
Productivité : production par processus divisé par la main d'œuvre directe affectée au processus.
2. La Planification :
Toute destination touristique a besoin d'un plan visionnaire mais réalisable qui trace la voie à suivre.
Nous sommes d'excellents penseurs stratégiques. Nous développons les politiques en matière de
destination et des stratégies de destination pour de nombreuses destinations à travers le monde.
Avec la planification, nous allons définir les objectifs stratégiques et les objectifs opérationnels du
travail.
Expriment de façon concrète la finalité et les effets recherchés. Ils sont liés à une des
orientations politiques assignées à un programme. La finalité rend compte de la pertinence
du périmètre du programme.
Doivent être définis en nombre limité pour garantir la lisibilité et l’efficacité (environ six par
programme)
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2.2 Objectifs opérationnels :
Les objectifs opérationnels sont la traduction pour chaque service des objectifs stratégiques du
programme. Ils représentent la cible assignée à l’action des services définie pour un territoire ou une
activité. Ils permettent d’organiser la gestion.
Intitulé de l’objectif :
Code de l’objectif :
Service porteur de l’ojectif :
Description de l’objectif :
Type de Specialiste Coût Annuel Résultat Moyen Coût Total
travail Responsable Attendu d’évaluation
Objectif
Action 1
Action 2
Action 3
Action 4
Action 5
FICHES OBJECTIFS
Expertise Responsable L’objectif est porté par un des expertises clairement
identifiées qui sera chargé de s’occuper de sa réalisation
et de son suivi.
Code Objectif Afin de classifier les objectifs et d’avoir une meilleure
vision des buts assignés aux différents travaux, il convient
de préciser de quel secteur s’inscrit l’objectif.
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Résultats attendus : Les résultats attendus indiquent la finalité de l’atteinte de
Caractère quantitatif l’objectif en termes quantitatifs et/ou qualitatifs.
Caractère qualitatif
Les échéances Ici est fixée la date à laquelle l’objectif devra être atteint.
3. Coordination :
Notre objectif est de rendre votre destination plus compétitive tout en respectant les principes de
durabilité de la destination.
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Généralement, la plupart des initiatives visant à adopter des pratiques durables de gestion des
affaires et des destinations sont fractionnées et isolées. Notre objectif est de créer des solutions
durables aux problèmes sociaux et environnementaux complexes auxquels nos clients sont
confrontés.
Les efforts doivent être coordonnés autour d'objectifs clairement définis et la collaboration est
nécessaire dans la gestion interne et externe. C'est pourquoi nous (LinkYou Consulting) somme en
existence.
Il n'est pas facile de générer une compréhension commune des différents problèmes rencontrés par
des personnes de différents milieux culturels et socio-économiques. Néanmoins, notre équipe avec
des différents spécialistes vont mettre en place des mesures appropriées pour aboutir à un bon
résultat.
L’ajustement mutuel :
Il réalise la coordination du travail par le simple processus de la
communication informelle.
Exemple : contacts de gré à gré entre quelques employés du même
niveau. La coordination se fait par échange, négociation et compromis.
La supervision directe :
Elle réalise la coordination du travail par le biais d’une seule personne qui
donne les ordres et les instructions à plusieurs autres qui travaillent en
interrelations.
Exemple : un patron explique à ses employés ce qu’ils doivent faire.
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La standardisation des procédés de travail :
Processus d’homogénéisation, d’uniformisation des règles de
fonctionnement et de méthodes de travail. Formalisation dans des manuels
de procédure. Généralement ce sont les ingénieurs de la technostructure qui
élaborent les standards (en recourant à l’OST) pour la base opérationnelle.
Exemple : la « bible » chez Mc Do dans laquelle se trouvent toutes les
manières de faire de l’entreprise.
4. L’évaluation :
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La facilité d'une évaluation est directement tributaire d'une bonne planification. Si les objectifs
préétablis sont clairs et précis, les résultats ont été précisés, on sait ce que l'on entend par réussite
du projet, l'évaluation devient relativement facile. L'évaluation par une personne ressource
indépendante est à encourager.
Une évaluation finale pour déterminer l'impact de l'action sur les bénéficiaires boucle le projet, et
pour ceci on va adopter la méthode 360° et l’adapter à notre projet.
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1. Le choc culturel au sein des entreprises touristiques :
Le choc culturel est la désorientation qu’une personne ressentie lors d’une confrontation avec un
mode de vie qui ne lui est pas familier. Il peut être éprouvé lors de la visite d'un pays étranger (cas
des touristes), et face à l'immigration (cas des employés des entreprises internationales). Le « choc
des cultures » que l’on constate aujourd’hui au sein des équipes, entre les managers et les jeunes
recrues, mais aussi avec les clients de différents cultures a nécessité de faire évoluer les pratiques
managériales interculturelles. Dans ce thème, on va rapprocher ce constat avec des solutions
pratiques afin de mieux gérer ce choc culturel chez l’entreprise choisi.
Il y a plusieurs façons d’aborder les conflits interculturels. Les divers auteurs ne s’entendent pas sur
la définition des genres de conflits, sur leurs causes et sur les solutions mais tous sont d’accord sur
un point : dans tous les secteurs de notre vie, les conflits sont non seulement inévitables mais ils
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sont également nécessaires à notre dynamique de travail, et même plus, à notre vitalité ! Toutefois,
si ces conflits ne sont pas gérés convenablement, ils peuvent avoir des conséquences négatives voire
dramatiques; tout d’abord sur l’individu (perte de confiance, de performance, de dynamisme,
problèmes de santé…), ensuite sur l’entreprise (baisse de productivité, mauvaise image externe,…).
Il est donc nécessaire d’appréhender sérieusement cette gestion des conflits en installant un climat
propice à la communication et un style de management adapté à l’organisation (taille, activité,
direction…).
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