Vous êtes sur la page 1sur 31

Bore

Pour les articles homonymes, voir Bore (homonymie).

Bore
Béryllium ← Bore → Carbone

↑ 5 B
B

Al

Tableau complet • Tableau étendu


Informations générales

Nom, symbole,numéro
Bore, B, 5
Série chimique
Métalloïdes
Groupe, période, bloc
13 (IIIA), 2, p

Masse volumique
2,34 g·cm-3 (cristaux)1
2,37 g·cm-3 (variété amorphe)1
Dureté
9,3 2
Couleur
Noir
No CAS
7440-42-8 3
No EINECS
231-151-2
Propriétés atomiques

Masse atomique
10,811 ± 0,007 u 1
Rayon atomique (calc)
85 pm (87 pm)
Rayon de covalence
84 ± 3 pm 4
Rayon de van der Waals
208 pm
Configuration électronique
[He] 2s2 2p1
Électrons par niveau d’énergie
2, 3
État(s) d’oxydation
3
Oxyde
faiblement acide
Structure cristalline
Rhomboédrique
Propriétés physiques

État ordinaire
solide
Point de fusion
2 075 °C 1
Point d’ébullition
4 000 °C 1
Énergie de fusion
50,2 kJ·mol-1
Énergie de vaporisation
480 kJ·mol-1 (1 atm,4 000 °C)1
Volume molaire
4,39×10-6 m3·mol-1
Pression de vapeur
1,56×10-5 atm à2 140 °C2
Vitesse du son
16 200 m·s-1 à 20 °C
Divers

Électronégativité(Pauling)
2,04
Chaleur massique
1 026 J·kg-1·K-1
Conductivité électrique
1,0×10-4 S·m-1
Conductivité thermique
27,4 W·m-1·K-1
Énergies d’ionisation5

1re : 8,29802 eV 2e : 25,1548 eV

3e : 37,93064 eV 4e : 259,37521 eV

5e : 340,22580 eV
Isotopes les plus stables

Ed
Iso AN Période MD PD
MeV

10
B 19,9 % stable avec 5 neutrons
11
B 80,1 % stable avec 6 neutrons
12
B {syn.} 20,20 ms β- 13,369 12
C
Précautions

Directive 67/548/EEC6

Xn

[+]

Phrases R : 22,
SGH6

Attention
H302,

[+]

Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire.

modifier

Cristaux de borax, un composé du bore

Le bore représente l'élément chimique de symbole B et de numéro atomique 5, placé dans la


colonne du groupe III A du tableau périodique. Ce corps simple est unmétalloïde trivalent7. Il est
plutôt rare dans l'écorce terrestre et le système solaire, mais plus abondant à la surface de
la Terre, notamment sous forme de boratesprincipalement de borax8, mais aussi d'acide borique.
Il constitue environ 0,001% de la croûte terrestre, soit 10ppm en moyenne (en particulier 5 mg/kg
dans lesbasaltes).
Depuis les années 2000, le bore est considéré (par l'Agence européenne des produits
chimiques (ECHA) notamment, et par le règlement REACH) comme une« substance hautement
préoccupante en raison de ses propriétés reprotoxiques » 9.

Sommaire
[masquer]

 1 Histoire
 2 Physicochimie et cinétique environnementale du bore
 3 Isotopes
 4 Caractéristiques notables
 5 Applications
 6 Production
 7 Fonctions et toxicité biologique
o 7.1 Oligo-élément à faible dose ?
 7.1.1 Pour les végétaux
 7.1.2 Pour les champignons
 7.1.3 Chez l'Homme et l'animal
o 7.2 Incertitudes toxicologiques
 7.2.1 Concernant sa reprotoxicité
 7.2.2 Concernant son utilité biologique
 7.2.3 Concernant le passage percutané
 7.2.4 Concernant ses seuils de toxicité ou d'écotoxicité
o 7.3 Toxicité chez l'enfant
o 7.4 Cinétique corporelle, excrétion
o 7.5 Le cas du bore en nanoparticules ou dans des nanoproduits
 8 Écotoxicité
 9 Épuration des eaux potables
 10 Aliments riches en bore
 11 Phrases de risque
 12 Dérivés du bore
 13 Notes et références
 14 Voir aussi
o 14.1 Articles connexes
 15 Lien externe
o 15.1 Bibliographie

Histoire[modifier | modifier le code]


Les composés du bore (arabe ‫ بورق‬- buraq, persanburah « brillant »), sont connus depuis des
milliers d'années. Dans l'Égypte antique, le procédé de momification dépendait du natron, un
minerai contenant en impuretés des borates ainsi que d'autres sels plus communs. Il est connu
par les métallurgistes et céramistes depuis la plus haute Antiquité. Les Chinois se servaient d'une
glaise à haute teneur en borax au moins depuis − 300 et les Romains, lointains héritiers des
Phéniciens, utilisaient des composés de bore pour la fabrication du verre.
Cet élément ne fut isolé qu'en 1808 par Sir Humphry Davy, Gay-Lussac et le baron Louis
Jacques Thénard, qui obtinrent une pureté de 50 %. Ils n'identifièrent toutefois pas la substance
comme un élément.
Ce fut Jöns Jacob Berzélius qui en 1824 identifia le bore comme un élément. Henri Moissan a
livré les premiers échantillons purifiés. Le premier échantillon de bore pur fut obtenu par le
chimiste américain W. Weintraub en1909.

Physicochimie et cinétique environnementale du


bore[modifier | modifier le code]
Il existe deux variétés allotropiques de bore à l'état decorps simple : le bore amorphe est une
poudre brune, tandis que le bore métallique est noir. Le bore métallique est dur — 9,3 sur
l'échelle de Mohs — et présente une faible conductivité électrique à température ambiante. Il
présente un grand intérêt tant pour la variété de ses composés, pour les progrès qu'il a rendu
possibles dans la compréhension de la liaison chimique, que pour son importance industrielle et
technologique. Il est utilisé essentiellement sous forme de perborate de
sodiumNa2B2O4(OH)4 dans les lessives et les détergents, ainsi que sous forme
de borax Na2B4O7·10H2O dans les matériaux enfibres de verre.
Le bore aisément adsorbé10 mais aussi solubilisé dans le sol (labouré notamment) est emporté
par le ruissellement (0.001 à 2 mg/L dans les eaux douces européenne, avec des valeurs
moyennes généralement inférieures à 0,6 mg/l selon l'OMS (200311). Des facteurs tels que des
précipitations abondantes, un apport de chaux récent (pH supérieur à 6,6), des sols sablonneux
(Acrisols,Podzols et à un niveau moindre Andosols, Luvisols et Oxisols12) ou riches en matière
organique favorisent les carences en bore des sols.
De là, il est lessivé vers les océans où il se retrouve concentré, essentiellement sous forme
d'acide borique. C'est là qu'est stocké la plupart du bore (4,5 mg/L en moyenne selon IPCS
(International Programme on Chemical Safety), 199813) qu'on retrouve en partie dans les
sédiments marins. Une petite partie du bore est volatilisé vers l'air et l'atmosphère via
les embruns, les incendies de forêt et l'évaporation d'acide borique marin ainsi qu'à partir de
l'activité volcanique, et depuis quelques siècles à partir des opérations minières, de la production
de verre et de céramiques, de l’épandage agricole de produits chimiques, et de la combustion du
charbon (centrales thermiques, usines métallurgiques...). Le bore particulaire retombe en mer ou
sur terre sous forme de dépôts secs ou humides. La teneur de l'air en bore ne dépasse pas 0.5 à
80 ng/m3. Dans le sol ou les sédiments le bore tend à être transformé en borates par les
champignons et bactéries et à s'adsorber sur le substrat quand il est alcalin (pH 7,5 à 9) (et à être
désorbé si le milieu s'acidifie, selon 'ATSDR (1992)14 et l'IPCS(1998) 13

Isotopes[modifier | modifier le code]


Article détaillé : Isotopes du bore.

Le bore possède 14 isotopes connus, avec un nombre de masse variant entre 6 et 19. Seuls
deux, 10B et11B sont stables et naturellement présents dans la nature, le second représentant
80 % du bore naturel. Les radioisotopes du bore ont une durée de vie courte (8B ayant la durée
de vie la plus longue a unedemi-vie de 770 ms) et se désintègrent pour les plus légers que les
isotopes stables en isotopes de l'hélium (via des isotopes du béryllium pour certains), les plus
lourds en isotopes du carbone.

Caractéristiques notables[modifier | modifier le code]

Granules de bore élémentaire15

Le bore est le seul élément non métallique de sa colonne (groupe) du tableau périodique. À ce
titre, ses propriétés chimiques diffèrent de celles de l'aluminium, du gallium, de l'indium et
duthallium. Ainsi, il ne présente pas de chimie ionique en solution aqueuse. Le bore possède
une orbitale-p presque vide (un seulélectron sur les six pouvant occuper cette sous-couche).
Trivalent (susceptible de former trois liaisons covalentes), il est utilisé
enélectronique comme dopant de type p (accepteur d'électrons / riche en trous) pour
le silicium (tétravalent). Les composés du bore se comportent souvent comme des acides de
Lewis, se liant aisément avec des espèces riches en électrons afin de combler son déficit
électronique.
Le bore est transparent à la lumière infrarouge. À température ambiante, le bore est un
mauvaisconducteur électrique mais est un bon conducteur à température élevée.
Le bore possède la résistance à la traction la plus élevée de tous les éléments connus[réf. nécessaire].
Le nitrure de bore cubique peut être employé pour faire des matériaux aussi durs que le diamant.
Le nitrure agit également en tant qu'isolant électrique, mais conduit la chaleur comme un métal.
Le nitrure de bore hexagonal a des qualités lubrifiantes semblables à celles du graphite. Le bore
ressemble également au carbone car il a la possibilité de former des réseaux moléculaires
stables par liaisons covalentes.
Il est présent dans les lessives, ce qui en fait un traceur de pollution urbaine dans les réseaux
d'assainissement. On le détecte dans l'eau grâce à la curcumine, avec laquelle il forme le rouge
de rosocyanine16.
Curieusement, le bore n'entre dans la composition que d'une seule molécule ayant un rôle
biologique connu : AI-2 (autoinducer 2), découvert en 1994 par Bonnie L. Bassler, est un agent
qui permet à desbactéries de communiquer entre elles pour évaluer leur nombre et de ne
déclencher certaines actions (comme la luminescence) que si elles sont relativement
nombreuses. Cette molécule est un sucre qui enserre un atome de bore.[réf. souhaitée]
Le bore présente également, à haute pression (plus de 10 GPa, ou 100 000 atm), la faculté de
pouvoir former un cristal ionique à lui seul, alors que d’ordinaire un tel cristal est constitué d’au
moins deux types d’atomes différents. Cette propriété s’explique par le fait que, sous l’effet de la
pression, les atomes de bore s’assemblent en deux types d’amas aux caractéristiques ioniques
différentes, l’un se comportant comme un cation et l’autre comme un anion, permettant ainsi la
formation d’un cristal ionique17.

Applications[modifier | modifier le code]

 Le composé du bore ayant la plus grande importance économique


est le borax ou tétraborate de sodium Na2B4O7·5H2O, qui est
notamment utilisé pour la fabrication de fibre de verre isolante, et
comme agent de blanchiment.
 Pour la couleur verte qu'il donne dans la flamme, le
bore « amorphe » est utilisé dans les effetspyrotechniques.
 L'acide borique est un composé important de certains produits
textiles.
 L'acide borique et ses sels ont été très utilisés en médecine comme
médicaments biocides, mais ils sont peu à peu remplacés par
d'autres produits plus sûrs. « Divers agents borés hypolipémiants,
anti-inflammatoires ou anti-cancéreux ont été proposés et/ou
développés dans les années 1970-1980, mais la plupart de ces
composés ont aussi été jugés hautement toxiques lorsqu'ils ont été
testés aux doses thérapeutiques nécessaires chez les animaux »18.
 Conservateur alimentaire : Après qu'on ait constaté au 19e siècle
qu'un mélange de trois parties d'acide borique et d'une partie de
borax semblait faire un conservateur très efficace pour le lait, le
beurre ou des produits carnés, il a été utilisé par certaines
industries comme conservateur alimentairejusqu'à ce que des
empoisonnements mortels ou graves (par surdosage ou
consommation accidentelle) aient fait reculer ces pratiques et
l'aient fait interdire aux États-Unis, en France, Allemagne, Pays-
Bas, Italie et Espagne et plus tardivement en Grande-Bretagne (un
peu avant 1928, après une enquête prolongée sur différentes
méthodes de conservation des aliments). Le lait traité au bore
(Boricized milk) ayant notamment provoqué des troubles
intestinaux graves chez les nourrissons19.

 Des composés du bore sont utilisés en synthèse organique et pour


produire des verres borosilicatés tels que le Pyrex.
 Certains sels de bore ont longtemps été utilisés
comme pesticides insecticides et anti-puce ; ovicide20et larvicide21,22
 Des sels de bore ou de l'acide borique ont aussi été utilisés
comme fongicide et ignifugeant pour le bois, puis pour la ouate de
cellulose avec l'avantage supposé de présenter une faible toxicité
pour l'homme.
Mais, outre une écotoxicité à terme (toxicité pour les invertébrés
notamment), on a montré que les sels de bore
étaient toxiques pour les mammifères (réduction du poids fœtal,
malformations du squelette et de viscères, chez le rat, la souris et
le lapin23) et a priori pour le développement fœtalhumain23 ;
Sur cette base notamment, le 16 février 2007, l'acide borique et ses
sels ont été classés« Reprotoxique de catégorie 2 » à l'annexe de
la 30e A.T.P. de la directive 67/54824,25.
 l'acide borique, le borate de sodium, l'eau boriquée et eau
oxygénée boriquée ont été utilisés comme médicaments26, par
exemple pour le traitement profond de certaines plaies, à la suite
d'un article scientifique de 199027qui a été ensuite considéré
comme présentant des défauts méthodologiques27 ;
les symptômes de l'intoxication par l'acide borique ou ses sels
diffèrent de ceux directement induits par le bore, ce sont des
troubles digestifs (vomissements, douleurs abdominales…, 63,7%),
des troubles neurologiques (vertiges, ébriété, hypotonie…, 13,0%),
des manifestations cutanéo-muqueuses de type allergique
(érythème…, 11,0%) et des troubles respiratoires (5,5%) et/ou
généraux (5,5%)25. Tout ou partie de ces symptômes ont été
constatés chez 22,3% de 367 personnes recensées comme ayant
été exposées (par voie orale le plus souvent) à de l'acide borique
(84,2%) ou à du borate de sodium, de l’eau boriquée ou de l’eau
oxygénée boriquée), dans le cadre d'accidents ou d'erreurs
thérapeutiques25.
 Le bore naturel ou enrichi en 10B est utilisé, sous forme d'acide
borique dilué dans l'eau, commeabsorbant neutronique dans
les réacteurs nucléaires à eau pressurisée. Il joue aussi un rôle de
bouclier contre les radiations neutroniques et dans les détecteurs
de neutrons.
 On le trouve en alliage avec le fer et le néodyme (Nd2Fe14B) dans
de puissants aimants permanents.
 En métallurgie, le bore renforce la résistance des joints de grains.
La combinaison du bore et du titane(appelé « couple titane-bore »)
dans les aciers influe considérablement sur les propriétés
mécaniques de ces derniers. Le dosage doit être très précis,
certaines normes d'élaboration interdisent les concentrations en
bore supérieures à 0, 0005 % (en masse).
 Des composés de bore sont étudiés pour un très grand nombre
d'applications comme dans les membranes perméables au sucre,
les capteurs d'hydrate de carbone.
 Dans l'industrie des semi-conducteurs, le bore est
un dopant accepteur (type-P), notamment dans lesilicium.
 Le diborane est un ergol étudié dans le domaine de
l'astronautique pour son impulsion spécifiqueélevée avec
le difluorure d'oxygène.
 Le bore (combiné à de l’hydrogène) est également pressenti
comme futur combustible thermonucléaire dans le cadre de
la fusion aneutronique.

Production[modifier | modifier le code]


On ne trouve pas de bore dans la nature sous sa forme élémentaire, mais sous forme combinée
par exemple dans le borax (tinkalite), l'acide borique, la colémanite, la kernite, l'ulexite et divers
borates. On trouve parfois de l'acide borique dans les sources d'eau volcanique. L'ulexite est un
minerai de bore qui possède naturellement les propriétés de la fibre optique.
Les États-Unis (avec le gisement économiquement le plus importantes de minerai de rasorite,
dans ledésert des Mojaves en Californie) et la Turquie (avec ses vastes réserves de minerai de
borax) sont les deux plus grands producteurs de bore.
La Turquie détient près de 65 % des réserves mondiales et les États-Unis environ 13 %.
Le bore pur n'est pas facile à préparer. Les premières méthodes impliquaient la réduction de
l'acide borique avec un métal tel que le magnésium ou l'aluminium. Toutefois le produit est
presque toujours contaminé par des borides métalliques.
Le bore très pur est préparé en réduisant des halogénures de bore volatils avec de l'hydrogène à
haute température.
Fonctions et toxicité biologique[modifier | modifier le code]
Oligo-élément à faible dose ?[modifier | modifier le code]
Pour les végétaux[modifier | modifier le code]
Ce métalloïde est présent sous forme ionique ou minéral amorphe de manière courante dans
l'environnement. C'est l'un des 7 composants essentiels des végétaux28 ; associé à la pectine, il
contribue à maintenir l'intégrité de leurs parois cellulaires 29, et il est indispensable à la croissance
des tubes polliniques. Seuls les végétaux bioaccumulent fortement le bore. Certains légumes en
contiennent de 0.025 à 0,05 mg/g de poids sec, devant les fruits (de 0.005 à 0,0005 mg/g) eux-
mêmes plus riches en bore que les céréales et leur grains (de 0.001 à 0,005 mg/g)30. Dans le
bois de l'arbre il se stabilise dans le phloème d'où il est peu transféré aux autres tissus sauf chez
certaines espèces dont le pommier (les pommes sont riches en bore) et chez les espèces riches
en sorbitol31. Les racines en contiennent le moins, les feuilles le plus13.
En revanche, un taux de bore dépassant 1 ppm dans le sol peuvent provoquer
une nécrose marginale des feuilles et affecter la croissance de plantes sauvages ou cultivées
(tomate32 par exemple). Certains dérivés du bore ont d'ailleurs été utilisés comme
pesticides désherbants 29 et une forte dose de bore tue les plantes.
Inversement, des niveaux trop bas (<0,8 ppm) peuvent provoquer ces mêmes symptômes chez
des végétaux particulièrement sensibles au bore dans le sol (arbres fruitiers par exemple).
Selon une étude (2010) faite dans la vallée de San Joaquin (SJV) en Californie, l'acidité (pH bas)
du sol, même faible serait un des facteurs aggravant le plus la phytotoxicité du bore. Il est
associé à une inhibition des symbioses bactériennes de la Rhizosphère chez
des concombres cultivées sur un sol salinisé par l'irrigation avec une eau dure ; l'augmentation
du taux de bore dans un sol légèrement acide s'accompagnant d'une chute de la diversité
bactérienne associée aux racines33.
Pour les champignons[modifier | modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !

Le bore s’accumule dans les végétaux


Chez l'Homme et l'animal[modifier | modifier le code]
Le bore est largement présent dans l'alimentation animale et humaine. Il ne semble pas être
bioaccumulé (sauf dans l'os où le bore s'accumule fortement. Chez le rat exposé au bore par
l'alimentation, les os l'accumulent fortement puis après que l'apport alimentaire ait cessé, la
charge osseuse en bore diminue en quelques mois, mais se stabilise définitivement à une teneur
trois fois supérieure à la moyenne34).
Chez les invertébrés il est toxique à faible doses, quelques dizaines de mg/L d'eau chez
la crevette (chezLitopenaeus vannamei par exemple, avec une toxicicité variant selon la salinité
de l'eau35). D'après des études faites sur la limande (Limanda limanda) ou le mulet à grosses
lèvres (Chelon labrosus), les poissons marins s'y montrent moins sensibles que les invertébrés36.
Ses rôles (positif ou négatif) dans la physiologie animale sont mal compris. À faible dose, il est au
moins impliqué dans le transport membranaire, et stimule l'activité ATPase, le pompage des ions
H+ de pompage et l'absorption des ions K+. Depuis qu'on sait qu'il a une activité biologique, la
recherche sur la chimie de ses composés s'est développée. Certains de ces composés se sont
montrés être de puissants agents anti-ostéoporotiques, anti-inflammatoires, hypolipémiants, anti-
coagulant et anti-néoplasiques à la fois in vitro et in vivo chez l'animal de laboratoire29.
Il n'est pas certain qu'il s'agisse d'un élément vraiment indispensable à lui seul29 ; des
expériences avec supplémentation ou privation de bore ont un impact sur le métabolisme
du calcium osseux, mais avec des effets nettement plus marqués quand il y carence d'autres
nutriments (cholécalciférol, magnésium)29.
Quelques études épidémiologiques laissent penser qu'il pourrait - à faible dose (1 à 13 mg/jour,
fourchette de non-toxicité selon l'OMS11)- jouer un rôle positif pour la santé37.
Des épidémiologistes ont observé que le nombre de cancers et de maladies musculo-
squelettiques sont très rares chez les gens qui vivent dans les zones minières où l'on exploite le
bore37, mais s'il existe un lien de cause à effet, il est encore incompris.
Dans certaines régions, l'eau de forage peut naturellement présenter des teneurs conjointement
trop élevés en bore et fluor, en étant cause de fluorose dentaire38. Le bore a été massivement
utilisé comme ignifugeant et a contaminé les eaux de surface en tant qu'additif de produits
nettoyants, mais une étude anglaise (2010) montre que cette source particulière de pollution est
en diminution39.
Associé au fluor sous forme de trifluorure de bore (BF3) et inhalé, en 2 semaines, tous les rats
exposés à180 mg/m3 sont morts avant la sixième exposition (CL50 à 4 h est de 1,21 mg/L d'air),
et ceux exposés à 66 et 24 mg/m3 ont montré des signes cliniques d'irritation respiratoire, une
chute de poids, une augmentation du poids des poumons, et diminution du poids du foie, avec
une nécrose et pycnose de l'épithélium tubulaire proximal des reins dans le groupe le plus
exposé. Une accumulation de matières sèches a aussi été constatée autour du nez et de la
bouche, ainsi que des râles et des larmoiements, associés à une dépression réversible du taux
de protéines du sérum et des globulines, avec augmentation du taux de fluor osseux et urinaire.
Les effets semblent tous de type « dose-dépendant ». La toxicité rénale est significative
à 17 mg/m3 d'air alors que l'exposition à 6 mg/m3, bien que montrant une élévation des fluorures,
n'a pas abouti à une réponse toxique visible40.
Incertitudes toxicologiques[modifier | modifier le code]
Concernant sa reprotoxicité[modifier | modifier le code]
Des données toxicologiques (sur la reproduction notamment) sont issues de l'expérimentation
animale. Elles ne semblent cependant pas directement extrapolables à l'Homme car certains
effets négatifs chez l'animal (rat, souris, lapin) n'ont pas été confirmés par les données
épidémiologiques disponibles pour l'homme37,41. Aux doses d'exposition des ouvriers travaillant
dans un environnement industriel riche en bore, on n'a pas non plus constaté de corrélation entre
le taux sanguin ou du liquide séminal en bore et la fréquence ou gravité de paramètres
indésirables pour le sperme (mais dans ces études, les expositions n'atteignaient pas celles qui
en laboratoire provoquent des effets indésirables chez l'animal42.
Concernant son utilité biologique[modifier | modifier le code]
Elle est évidente chez les végétaux, mais moins chez l'homme ou l'animal.
Le bore semble impliqué dans la fonction cérébrale (via ses effets sur le transport
transmembranaire), il affecte la synthèse de la matrice extracellulaire et semble bénéfique pour
la cicatrisation de plaies29. Si une supplémentation en bore augmente le taux sérique de β-
estradiol et de testostérone, il a néanmoins des effets reprotoxiques (inhibition de la fonction
reproductive29).
Comme la quantité de bore de l'eau potable doit (les borates sont concernés par une directive
européenne en Europe43) et peut être contrôlée et que la quantité de bore est faible dans les
aliments (un adulte moyen en consommerait 1 à 2 mg/jour29), on suppose que dans un contexte
« normal », il n'a pas d'effets négatifs sur la santé humaine37, mais une évaluation complète des
risques nécessiterait de clarifier l'importance positive ou négative du bore sur tous les processus
cellulaires et physiologiques.
Le bore est présent dans tous les aliments d'origine végétale. Depuis 1989, sa valeur nutritive a
été confirmée[réf. souhaitée]. On pense que le bore joue un rôle biochimique chez plusieurs animaux,
y compris les humains. Le ministère américain de l'agriculture a mené une
expérience[réf. souhaitée] dans laquelle les femmes ménopausées ont pris 3 mg de bore par jour. Les
résultats ont montré que le bore réduit l'excrétion de calcium de 44 %, et active la production
d'œstrogène et de vitamine D, ce qui suggère un rôle possible dans la prévention de
l'ostéoporose.
Concernant le passage percutané[modifier | modifier le code]
Selon les premières données (études in vivo) disponibles, la peau humaine résiste bien au
passage percutané, hormis, quand elle est endommagée, abrasée ou en cas de blessure44.
Cependant, ces études sont parfois anciennes, et elles ont été produites alors que la sensibilité
des méthodes d'analyse du bore dans une matrice biologique était faible45.
Une étude in vitro récente (1998) a été faite par le département de dermatologie de l'Université
de Californie (San Francisco), avec un matériel d'analyse plus performant. Ses résultats
questionnent les scientifiques, car montrant pour certaines formes de bore un passage percutané
de 10 à 1000 fois plus important que ce qui avait été trouvé dans des études in vivo plus
anciennes45. Selon les auteurs, ces résultats devraient remettre en cause les évaluations de
risque toxicologique antérieures45.
Concernant ses seuils de toxicité ou d'écotoxicité[modifier | modifier le code]
Comme pour d'autres éléments, ces seuils peuvent varier selon les espèces (et les individus s'il
existe des vulnérabilités génétiques). Et il faut à la fois considérer la toxicité aiguë et chronique.
Selon une réévaluation toxicologique récente (2013) basée sur le modèle animal (mammifères),
les deux facteurs critiques pour sa toxicité chez les mammifères sont46 une toxicité testiculaire et
une inhibition du développement fœtal47 . Au-delà de certains seuils, un excès de bore est en
effet

 source d'infertilité masculine par délétion de la spermatogenèse à


la suite d'une atrophie testiculaire (avec aplasie germinale48). Cet
effet, plus ou moins réversible selon la dose de bore acquise, est
démontré chez le rat, la souris de laboratoire, la souris sylvestre et
le chien, « à des doses inférieures à celles requises pour
provoquer d'autres effets indésirables »49,50,51 Dixon et al. 1979,
L'infertilité est dans ce cas dose-dépendante, c'est-à-dire d'autant
plus importante que l'exposition de l'individu au bore a été élevée,
avec lésion du testicule (chez le rat adulte nourri à 9000 ppm
d'acide borique (équivalent de 1 575 ppm de bore pur) avec aussi
une réduction légère du taux de testostérone sérique basale49.
Ces effets sont réversibles tant que la dose ingérée n'a pas
entrainé la destruction des cellules germinales.
Un effet de perturbation hormonale est soupçonné52 en raison d'un
épuisement germinal bien corrélé avec l'augmentation des teneurs
plasmatiques de la FSH, bien que les taux d'autres hormones
(testostérone et LH ne sont pas toujours affectés). la NOAEL
pourrait être de 17,5 mg B / kg pc / jour chez le rat53,54,55 pourrait être
dérivé.
Chez des lots de rats alimentés avec 9000 ppm d'acide borique
additionnés à leur nourriture durant 1 à 7 jours, on constate une
rapide augmentation du taux de bore dans le plasma (2 à 20 fois
après 24 h), mais le testicule n'accumule pas particulièrement le
bore (à la différence des os)49.
 une perte de fertilité a aussi été observée chez des femelles de
rats et souris expérimentalement exposés52,56 et 58,8 mg B/kg
pc/jour avec diminution de la fertilité chez les souris femelles
à 111,3 mgB/kg pc/jour56.
Chez des femelles prégnantes de rats de soucheSprague-
Dawley exposées à une alimentation enrichie en bore, il y a
corrélation entre les concentrations sanguines de bore et
l'exposition de la mère, et la dose sans effet nocif observé est
de 10 mg de bore/kg de poids corporel et par jour, avec des effets
adverses pour le fœtus apparaissant à 13 mg de bore /kg de poids
corporel et par jour57.
 un impact sur le ratio Y/X des spermatozoïdes a également été mis
en évidence lors d’une étude sur plusieurs centaines d'ouvriers
chinois exposés au bore (comparés à une population témoin moins
exposée au bore) a montré une différence de ratio Y/X (réduit chez
les travailleurs de l'industrie du bore), mais sans effets directs et
statistiquement significatifs sur les autres caractéristiques
du spermeou le nombre d'enfants faits par environ 1000 travailleurs
de l'industrie du bore de la province deLiaoning en Chine du
Nord 58 . Soit l'être humain est moins sensible au bore que les
souris, rats et chiens utilisés en laboratoire, soit ces résultats sont
biaisés par une baisse de fertilité due au bore est ici cachée par
une baisse générale de fertilité dans les populations étudiées, due
à d'autres facteurs et/ou par le cadre de la politique de l'enfant
unique conduite en Chine.
 Une toxicité rénale est également observée, avec
des « changements dégénératifs histopathologiques observés en
particulier dans les cellules des tubules proximaux qui étaient dose-
et temps-dépendants »59.
Toxicité chez l'enfant[modifier | modifier le code]
Le mésusage accidentel d'antiseptiques contenant de l'acide borique était encore dans
les années 1980l'une des premières causes d'accident toxiques (parfois mortels60) du nouveau-
né et du nourrisson.
Des empoisonnements ont aussi eu lieu à la suite de l'absorption accidentelle de pesticides (dont
insecticides) domestiques61, comme chez les animaux qui y sont exposés62.
Dans d'autres cas, ce sont des produits ménagers contenant des borates qui étaient en cause63,
ou lors d'accidents du travail dans un contexte de production ou d'utilisation de boranes.
Chez l'enfant les cas de toxicité aigue sont plus facilement détectés, mais il existe aussi des
situations d'empoisonnement chronique64.
Cinétique corporelle, excrétion[modifier | modifier le code]
Chez l'Homme et l'animal de laboratoire, 100 % du bore ingéré passe en quelques heures
la barrière intestinale vers le sang, pour être ensuite passivement diffusé dans l'ensemble du
corps65. On l'y retrouve dispersé de manière inhomogène : dans les heures qui suivent
l'exposition, il est moins concentré (20 % moins chez le rat) dans les tissus gras, et plus
concentré dans l'os, certains tissus du cerveau et la moelle osseuse (4 fois plus dans la moelle
que dans le sang65).
L'acide borique ne semble pas métabolisé chez l'animal ni chez l'Homme, sans doute en raison
de l'importante quantité d'énergie nécessaire qu'il faut pour rompre la liaison BO, mais il y a une
affinité chimique pour les groupes chimiques cis-hydroxy, qui pourrait expliquer certains de ces
effets biologiques65.
Une grande partie de cet acide borique est ensuite assez rapidement (un peu plus d'une centaine
d'heures) filtré par les reins et excrété via l'urine (de même que pour la plupart du bore
expérimentalement injecté en intraveineuse66,37).
La teneur urinaire en bore est donc considérée comme indicatrice d'une exposition récente67.
Chez la femelle du rat prégnante, le rein élimine un peu plus vite le bore, bien que sa clairance
soit inférieure à celle de la créatinine, ce qui suggère une réabsorption tubulaire68.
Chez des volontaires humains ayant reçu du bore dans l'alimentation, sa demi-vie était de 21 h
en moyenne, et chez d'autres volontaires ayant une dose unique de 562 à 611 mg d'acide
borique par perfusion en 20 minutes (dans le cadre d'une étude de pharmacocinétique) avaient
après 120 heures éliminé 98.7 (+/-9%) de la dose, excrétée via l'urine69.
La cinétique du bore semble similaire chez l'homme et le rat65, mais chez le rat la durée de demi-
vie du bore est de 14 à 19 h environ, significativement plus courte que chez l'Homme.
La part du bore qui n'est pas rapidement excrété peut être plus ou moins durablement absorbé
par le cerveau et surtout par les os. Chez la femme enceinte, comme pour le lithium (présent à
dose relativement élevée dans l'eau avec le bore dans certaines zones d'Argentine70 ou
du Chili70 il a été montré (2012) que le placenta n'est pas une barrière pour le bore70, montrant
une exposition fœtale directe avec jusqu'à 1 700 mg de lithium/L et 14.000 de bore mesurés dans
la première urine du nouveau né) ; dont les conséquences n'ont pas été étudiées70.
Par contre le nourrisson semble moins exposé via le lait maternel (qui contient moins de bore que
le sang de la mère) que par le lait maternisé reconstitué avec l'eau du robinet de ces régions70.
Le cas du bore en nanoparticules ou dans des nanoproduits [modifier | modifier le
code]
Le développement des nanotechnologies utilisant le bore pose de nouvelles questions aux
toxicologues et écotoxicologues et à la biologie cellulaire, avec notamment le développement
dans les années 2000 denanotubes constitués de nitrure de bore71,72,73

Article détaillé : Nanotoxicologie.

Écotoxicité[modifier | modifier le code]

Tous les végétaux accumulent du bore.


Le charbon étant surtout constitué de restes végétaux il contient une quantité significative de bore (alors
que lepétrole et le gaz naturel plutôt issus de matière organique animale en contiennent moins).
Les fines cendres volantes issues descentrales thermiques au charbon (ici vue en microscopie
électronique) sont riches en bore et peuvent être une source de contamination environnementale (comme
la combustion du charbon)74

À la suite des rejets anthropiques (combustion du charbon notamment), on a mesuré (à la fin des
années 1960 dont au Royaume-Uni) une élévation régulière des teneurs en bore des eaux de
surface et des cours d'eau75 qui a ensuite diminué (années 2010 au Royaume-Uni) avec le
développement des stations d'épuration39 et de nouvelles formulations des détergentsà partir des
années 1990 (perborates remplacé par d'autres agents blanchissants)39.
Le bore n'est pas considéré comme mutagène ni comme cancérigène et c'est un oligoélément à
faible dose pour les plantes. Certaines régions ont cependant été polluées par les activités
humaines, des sols et milieux salinisés76, et certaines nappes ou le sol de certaines régions
minières sont naturellement plus riches en bore (comme au sud des États-Unis où la roche-mère
affleurante est naturellement riche en bore77 ou dans certaines régions turques ; de Kirka)78 ou
d'Hisarcik ( dans la province de Kutahya) où l'on trouve de 2,05 à 29,00 mg de bore par litre
d'eau79 (4,08 mg/L en moyenne)79, avec dans cette même région une excrétion urinaire humaine
variant de 0,04 à50,70 mg/L de bore (8,30 ± 10,91 mg B/L en moyenne) chez l'adulte.
La toxicité environnementale de ce bore et de celui qui peut être émis dans les milieux (cours
d'eau notamment) fait l'objet de quelques études80,79,78 notamment pour évaluer la toxicité du bore
sur les plantes aquatiques et sur les insectes aquatiques. Selon les résultats disponibles, les taux
de bores de certaines régions d'Europe sont proches des niveaux de toxicité pour les insectes
aquatiques et d'autres espèces81, ce qui laisse penser que les introductions anthropiques de bore
dans l'environnement peuvent déjà poser problème dans les régions où le taux de bore était
naturellement plus élevé et/ou pour les espèces qui y sont le plus sensibles (invertébrés,
certaines plantes...). Les eaux d'irrigations trop riches en bore pourraient peut-être à terme poser
problème, de même que les cendres issues de la combustion du charbon82 ou de bois traités au
bore, notamment quand ces cendres sont utilisées comme amendements pour le sol74. Par
exemple le maïs ayant poussé sur un sol acide amendé avec des cendres de charbon a absorbé
et accumulé plus de bore83. La taille des particules de cendre influe sur leur capacité à adsorber
ou relarguer le bore84.
Parmi les sources de bore susceptibles de poser des problèmes environnementaux figurent le
bore de certains détergents, celui de biocides de traitement du bois, de tissus ou d'isolants
thermiques (ouate de cellulose) notamment. Ils posent problème en fin de vie du matériau, et
peut-être à la suite des contacts que des oiseaux, chauve-souris ou autres mammifères peuvent
avoir avec le matériau traité.

Épuration des eaux potables[modifier | modifier le code]


À haute dose le bore est un contaminant indésirable des eaux potables et d'irrigation (il est
phytotoxique au-delà d'un certain seuil)85. Dans certaines régions (de Turquie ou du sud des
États-Unis notamment), les eaux peuvent contenir des quantités élevées de bore 86, susceptibles
de poser des problèmes de toxicité87.
L'épuration du bore de l'eau est assez coûteuse, mais techniquement possible, par exemple
parélectrocoagulation, osmose inverse88 par exemple ou par des procédés hybrides déjà utilisés
pour ladessalinisation (la mer contient une grande partie du bore « terrestre ») 89,90 utilisant une
résine ou d'autres matériaux91 absorbant sélectivement certains sels (résumé)92. Une alternative
par bioremédiation par une micro algue (Chlorella) récemment isolée, a été testée et proposée en
201293.
Une méthode moins couteuse pourrait utiliser les propriétés adsorbantes de certaines argiles
(naturelles ou modifiées) pour adsorber le bore94.

Aliments riches en bore[modifier | modifier le code]


On trouve du bore principalement dans les légumes-feuilles (chou, laitue, poireau, céleri, etc.),
les fruits (sauf ceux du genre citrus), les légumineuses et les noix. Parmi les aliments les plus
riches, on compte l'avocat, l’arachide, la prune, le raisin, la poudre de chocolat et
le vin [réf. nécessaire].

Phrases de risque[modifier | modifier le code]


Tout ou partie des dérivés du bore et de l'acide borique en Europe, depuis 2010 sont qualifiés par
lesphrases de risque suivantes :

 R 60 – Peut altérer la fertilité


 R 61 – Risque pendant la grossesse d’effets néfastes pour l’enfant
 S 45 – En cas d’accident ou de malaise, consulter immédiatement
un médecin (si possible lui montrer l’étiquette)
 S 53 – Éviter l’exposition – se procurer des instructions spéciales
avant utilisation
 X 02 – Réservé aux utilisateurs professionnels. Attention ! Éviter
l’exposition – se procurer des instructions spéciales avant
utilisation

Dérivés du bore[modifier | modifier le code]


Les principaux dérivés commercialisés du bore ou industriellement utilisés sont95 :

 sels disodiques : Borate de sodium (ou borax anhydre ; diborate de


sodium ; tétraborate de sodium) ;n°CAS : 1330-43-4
 Borate de triméthyle (ou Ester triméthylique de l'acide borique ;
UN2416) ; n°CAS : 121-43-7
 Oxyde de bore (ou Sesquioxyde de bore; trioxyde de
bore ; trioxyde de dibore) ; n°CAS : 303-86-2
 Tribromure de bore (ou Bromure de bore ; UN2692) ; n°CAS :
10294-33-4
 Trichlorure de bore (ou Chlorure de bore ; UN1741) ; n°CAS :
10294-34-5
 Trifluorure de bore (ou Fluorure de bore, UN1008) ; n°CAS : 7637-
07-2
 Trifluorure de bore (éthérate) ; n°CAS : 109-63-7
 Borohydrure de sodium (ou Tétrahydroborate de sodium ;
UN1426) ; n°CAS : 16940-66-2
 Décaborane (ou UN1868) n°CAS : 17702-41-9
 Diborane (ou Boroéthane ; hydrure de bore ; hexahydrure de
dibore ; UN1911) ; n°CAS : 19287-45-7
 Pentaborane (UN1380) n°CAS : 19624-22-7
 Perborate de sodium(ou Peroxyborate de sodium ; peroxoborate
de sodium) ; n°CAS : 7632-04-4
 Tétraborate de sodium, décahydraté (ou Biborate de
sodium ; diborate de sodium décahydraté ;pyroborate de
sodium ; pyroborate de sodium décahydraté ; tétraborate de
sodium ; borax) ; n°CAS : 1303-96-4
 Triéthylborane ; n°CAS : 97-94-9

Notes et références[modifier | modifier le code]

1. ↑ a, b, c, d, e et f (en) David R. Lide, CRC Handbook of Chemistry and

Physics, CRC Press Inc, 2009,90e éd., Relié, 2804 p. (ISBN 978-1-420-

09084-0)

2. ↑ a et b « BORON, ELEMENTAL » [archive] dans la base de


données Hazardous Substances Data Bank, consulté le 1 mai 2010

3. ↑ Base de données Chemical Abstracts interrogée via SciFinder Web le


15 décembre 2009 (résultats de la recherche)
4. ↑ (en) Beatriz Cordero, Verónica Gómez, Ana E. Platero-Prats, Marc

Revés, Jorge Echeverría, Eduard Cremades, Flavia Barragán et Santiago


Alvarez,« Covalent radii revisited », Dalton Transactions,2008, p. 2832 -

2838 (DOI 10.1039/b801115j)

5. ↑ "Ionization Energies of Atoms and Atomic Ions," in CRC Handbook of

Chemistry and Physics, 91st Edition (Internet Version 2011), W. M.


Haynes, ed., CRC Press/Taylor and Francis, Boca Raton, FL., p. 10-203

6. ↑ a et b SIGMA-ALDRICH [archive]

7. ↑ Le Bore, accepteur d'électrons, présente une chimie covalente très

riche. Les autres éléments du groupe III a, à savoir l'aluminium Al,

le gallium Ga, l'indium IN et le tellure Tl ont un comportement chimique de

plus en plus métallique, avec des manifestations de plus en plus basiques


et des liaisons de plus en plus fortement ioniques

8. ↑ Une des raisons de l'importance relative du borax serait le fait de la


solubilité élevée de nombreux borates.

9. ↑ ECHA (2010) Boric acid as a substance of very high concern because

of its CMR properties [archive](CMR : carcinogenic, mutagenic or toxic for


reproduction), 2010-06-09

10. ↑ Biggar JW & Fireman M (1960), Boron adsorption and release by soils,

Soil Sci Soc Am Proc , 24, 115-120


11. ↑ a et b OMS (2003) Boron in drinking - water. Background document for

development of WHO Guidelines for drinking ; water quality. 17 p.

Organisation mondiale de la santé, Genève

12. ↑ The occurrence and correction of boron deficiency - Victor M. Shorrocks


- 1997 [archive]

13. ↑ a, b et c International Programme on Chemical Safety


(1998) Environmental Health Criteria 204, Boron. 201 p. OMS (World

Health Organisation), Genève

14. ↑ ATSDR (1992) – Toxicological profile for boron and compounds. Agency

for Toxic Substances and Disease Registry. U.S. Public Health Service

15. ↑ Photographie prise au Museu de la Ciència i de la Tècnica de


Catalunya (à Terrassa, Espagne, le1er avril 2009)
16. ↑ (en) Stanley E. Manahan, Fundamentals of Environmental

Chemistry, vol. 26, Boca Raton, CRC Press LLC, 2001

17. ↑ futura-sciences.com ; « Stupéfiant : le bore forme à lui seul un cristal


ionique ! » [archive], publié le 3 février 2009

18. ↑ Locatelli C, Minoia C, Tonini M, Manzo L. G (1987) "Human toxicology

of boron with special reference to boric acid poisoning" ; Ital Med Lav.

1987 May-Jul; 9(3-4):141-6


(http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/3334378 [archive]résumé])

19. ↑ William D. McNally (1928) The distribution of boric acid in human organs

in six deaths due to boric acid epoisoning M.D.; C. A. RUST, M.S. JAMA.

1928-02-04 ; vol 90, no 5 p. 382-383 ;


Doi:10.1001/jama.1928.02690320044013

20. ↑ Marchiondo AA, Riner JL, Sonenshine DE, Rowe KF, Slusser JH.

(1990), Ovicidal and larvicidal modes of action of fenoxycarb against the

cat flea (Siphonaptera: Pulicidae) ; J Med Entomol. septembre 1990 ;


27(5):913-21 (résumé [archive])

21. ↑ Hinkle NC, Koehler PG, Patterson RS (1995) "Larvicidal effects of boric

acid and disodium octaborate tetrahydrate to cat fleas (Siphonaptera:


Pulicidae)" ; J Med Entomol. juillet 1995 ;32(4):424-7 (résumé [archive])

22. ↑ Klotz JH, Moss JI, Zhao R, Davis LR Jr, Patterson RS. (1994) Oral

toxicity of boric acid and other boron compounds to immature cat fleas

(Siphonaptera: Pulicidae) ; J Econ Entomol. décembre 1994 ; 87(6):1534-


6

23. ↑ a et b [1] [archive] (2010) Annex 1 to the opinion on new scientific evidence
on the use of boric acid and borates in photographic applications by
consumers [archive], Background Document (adopté 2010-04-29, consulté
2013-07-04) ; Committee for Risk Assessment RAC

24. ↑ Ineris () présentation de la Directive no 67/548/CEE du

27/06/67 [archive] concernant le rapprochement des dispositions

législatives, réglementaires et administratives relatives à la classification,

l'emballage et l'étiquetage des substances dangereuses (ou


voir EurLex [archive]

25. ↑ a, b et c Comité de coordination de toxicocovigilance (2009) Acide

borique ; Analyse des cas d'intoxication rapportés aux CAPTV entre 2000

et 2007 [archive]Groupe de travail « Médicament » du Comité ; juin 2009 ;

voir p. 5/20

26. ↑ Le Louet H, Thomas L. Point sur les médicaments à base d’acide

borique et / ou de borates. Analyse des cas de la Base Nationale de


Pharmacovigilance de 1997 à 2007

27. ↑ a et b Blech MF, Martin C, Borrelly J, Hartemann P.Traitement des plaies

profondes avec perte de substance. Intérêt d’une solution d’acide borique


à 3 p. cent. Presse Med 1990; 19(22): 1050-2.

28. ↑ Borax.com Solubor Flow [archive]

29. ↑ a, b, c, d, e, f, g et h M. Benderdour, T. Bui-Van, A. Dicko, F. Belleville


(1998) In Vivo and In Vitro Effects of Boron and Boronated Compounds ;

Journal of Trace Elements in Medicine and Biology ; Vol 12,no 1, mars

1998, Pages 2–7 (résumé [archive])

30. ↑ Santé Canada (1991) Le bore. Site internet santé

Canada : http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/pubs/water-eau/doc_sup-
appui/boron-bore/index_f.html [archive]

31. ↑ Brown P.H. and Hening Hu (1996), Phloem Mobility of Boron is Species

Dependent : Evidence for Phloem Mobility in Sorbitol-rich Species ;

Annals of Botany, 77, 5, 497-506

32. ↑ Huseyin Tombuloglu, Nihan Semizoglu, Serdal Sakcali, Guzin Kekec


(2012) Boron induced expression of some stress-related genes in

tomato ; Chemosphere, vol. 86, no 5, février 2012, p. 433-

438(résumé [archive])

33. ↑ A.M. Ibekwe, J.A. Poss, S.R. Grattan, C.M. Grieve, D. Suarez
(2010) Bacterial diversity in cucumber (Cucumis sativus) rhizosphere in

response to salinity, soil pH, and boron ; Soil Biology and Biochemistry

Volume 42, Issue 4, April 2010, Pages 567–575 (résumé [archive])


34. ↑ Moseman, R.F. (1994) Chemical disposition of boron in animals and

humans [archive] ; Environmental Health Perspectives 102, 113-117 (voire

page 4/5 du PDF)

35. ↑ Erchao Li, Zequan Xiong, Liqiao Chen, Ceng Zeng, Kang Li
(2008) Acute toxicity of boron to juvenile white shrimp, Litopenaeus

vannamei, at two salinities Aquaculture ; Volume 278, Issues 1–4, 10 juin

2008,p. 175-178 résumé [archive]

36. ↑ D. Taylor, B.G. Maddock, G. Mance (1985) The acute toxicity of nine

‘grey list’ metals (arsenic, boron, chromium, copper, lead, nickel, tin,

vanadium and zinc) to two marine fish species: Dab (Limanda limanda)

and grey mullet (Chelon labrosus) ; Aquatic Toxicology, Vol 7, no 3,

novembre 1985, Pages 135-144 (résumé [archive])

37. ↑ a, b, c, d et e M. Korkmaz (2011) Boron: Environmental Exposure and

Human Health, Encyclopedia of Environmental Health, Pages 442–

445 http://dx.doi.org/10.1016/B978-0-444-52272-6.00376-
7 [archive] (résumé [archive])

38. ↑ Angela Queste, Martin Lacombe, Wolfgang Hellmeier, Frank

Hillermann, Bianca Bortulussi, Markus Kaup, Klaus Ott, Werner Mathys


(2001) High concentrations of fluoride and boron in drinking water wells in

the Muenster region - Results of a preliminary investigation; International

Journal of Hygiene and Environmental Health Volume 203, no 3, Pages


221–224 (résumé [archive])

39. ↑ a, b et c Colin Neal, Richard J. Williams, Michael J. Bowes, Michael C.

Harrass, Margaret Neal, Philip Rowland, Heather Wickham, Sarah

Thacker, Sarah Harman, Colin Vincent, Helen, P Jarvie,


(2010)Decreasing boron concentrations in UK rivers: Insights into

reductions in detergent formulations since the 1990s and within-

catchment storage issues ; Science of The Total Environment Vol

408,no 6, 15 février 2010, p. 1374–1385(résumé [archive])

40. ↑ G.M. Rusch, G.M. Hoffman, R.F. McConnell, W.E. Rinehart


(1986) Inhalation toxicity studies with boron trifluoride ; Article

Toxicology and Applied Pharmacology, Vol 83, N°1, 1986-03-30, p. 69-


78(résumé [archive] )

41. ↑ Bekir Sitki Sayli, Ersöz Tüccar, Atilla Halil Elhan (1998) An Assessment

of Fertility in Boron-exposed Turkish Subpopulations ; Reproductive

Toxicology Vol12, no 3, Mai-juin 1998, p. 297–304(résumé [archive])

42. ↑ Wendie A. Robbins, Lin Xun, Juan Jia, Nola Kennedy, David A.
Elashoff, Liu Ping (2010) Chronic boron exposure and human semen
parameters ; Reproductive Toxicology ; Vol 29, no 2, avril 2010,p. 184–

190 (résumé [archive])

43. ↑ Jallut D.(1997) Les borates dans les eaux : légilation, origine, toxicité,

dosage, élimination par traitement des eaux, incidences de la future

directive européenne sur les eaux destinées à la consommation

humaine. Thèse de l’Université Paris V pour l’obtention du diplôme d’État

de Docteur en pharmacie. 54 p

44. ↑ Wester RC, Hui X, Maibach HI, Bell K, Schell MJ, Northington DJ,

Strong P, Culver BD. (1998), "In vivo percutaneous absorption of boron

as boric acid, borax, and disodium octaborate tetrahydrate in humans: a


summary" ; Biol Trace Elem Res. hiver 1998 66(1-3):101-9

45. ↑ a, b et c Wester RC, Hartway T, Maibach HI, Schell MJ, Northington DJ,

Culver BD, Strong PL. (1998) "In vitro percutaneous absorption of boron

as boric acid, borax, and disodium octaborate tetrahydrate in human skin:

a summary" ; Biol Trace Elem Res. 1998 Winter; 66(1-3):111-20


(résumé [archive]).

46. ↑ Ryuichi Hasegawa, Mutsuko Hirata-Koizumi, Michael L. Dourson, Ann


Parker, Atsushi Ono, Akihiko Hirose (2013) Safety assessment of boron

by application of new uncertainty factors and their subdivision ;

Regulatory Toxicology and Pharmacology, Volume 65, no 1, février 2013,


Pages 108-114 (résumé [archive])

47. ↑ Heindel J.J., Price C.J., Field E.A., Marr M.C., Myers C.B., Morrissey
R.E., and Schwetz B.A. (1991)Developmental toxicity of boric acid in mice
and rats. Fundamental and Applied Toxicology 18, 266 - 277

48. ↑ I.P. Lee, R.J. Sherins, R.L. Dixon (1978) Evidence for induction of

germinal aplasia in male rats by environmental exposure to boron ;

Toxicology and Applied Pharmacology, Vol. 45, no 2, aout 1978,p. 577-


590 ([2] [archive])

49. ↑ a, b et c Warren W. Ku, Robert E. Chapin, Robert F. Moseman, Robert E.


Brink, Katherine D. Pierce, Kelly Y. Adams (1991) Tissue disposition of

boron in male Fischer rats ; Toxicology and Applied Pharmacology ;

Vol111, no 1, Oct.1991, p. 145–151(résumé [archive])

50. ↑ Weir R.J., and Fisher R.S., (1972) Toxicologic studies on borax and
boric acid. Toxicology and Applied Pharmacology 23, 351-364

51. ↑ Treinen KA, Chapin RE. (1991) Development of testicular lesions in

F344 rats after treatment with boric acid. Toxicol Appl Pharmacol
107:325-335
52. ↑ a et b Fail P.A., Chapin R.E., Price C.J., and Heindel J.J.(1998) General,

reproductive, developmental, and endocrine toxicity of boronated


compounds ; Reproductive toxicology, 12, 1-18

53. ↑ Weir RJ (1966) Two-year dietary feeding study - albino rats. Boric

acid. Final Report. Hazleton Laboratories Inc., Falls Church, VA, July 8th,

1966 and Addendum to Final Report. Unpublished report to US Borax


Research Corporation, April 10, 1967

54. ↑ Weir RJ (1966), Three-generation reproductive study - rats. Boric

acid. Final Report. Hazleton Laboratories Inc., Falls Church, VA.

Unpublished re port to US Borax Research Corporation, July 8, 1966.

55. ↑ Weir RJ (1966), Two-year dietary feeding -dogs - Bo ric acid. Hazleton

Laboratories Inc., Falls Church, VA. Unpublished report to US Borax


Research Corpora tion, 8 July 1966

56. ↑ a et b Fail PA, George JD, Seely JC, Grizzle TB and Heinde l JJ
(1991) Reproductive toxicity of boric acid in Swiss (CD-1) mice:

assessment using the continuous breeding protocol. Fund. Appl. Toxicol.

17: 225- 239

57. ↑ Catherine J. Price, Philip L. Strong, F.Jay Murray, Margaret M. Goldberg


(1997) Blood boron concentrations in pregnant rats fed boric acid

throughout gestation ; Reproductive Toxicology Vol 11, no 6, p. 833–842 ;

(Résumé [archive])

58. ↑ Anthony R. Scialli, Jens Peter Bonde, Irene Brüske-Hohlfeld, B. Dwight


Culver, Yanhong Li, Frank M. Sullivan (2010) An overview of male

reproductive studies of boron with an emphasis on studies of highly

exposed Chinese workers ; Reproductive Toxicology, Vol 29, no 1, janvier

2010, p. 10-24(résumé [archive])

59. ↑ Sabuncuoglu BT, Kocaturk PA, Yaman O, Kavas GO, Tekelioglu M.


(2006) Effects of subacute boric acid administration on rat kidney tissue ;

Clin Toxicol (Phila). 2006; 44(3):249-53 (résumé [archive])

60. ↑ Aniol-Strzyzewska K (1976) "Accidental lethal poisoning of a newborn

infant with boric acid" ; . Pediatr Pol. décembre 1976 51(12):1475-7 (lien

(polonais) [archive]).

61. ↑ Hamilton RA, Wolf BC. (2007)"Accidental boric acid poisoning following

the ingestion of household pesticide" ; J Forensic Sci. 2007 May;

52(3):706-8 (résumé [archive])

62. ↑ Kiesche-Nesselrodt A, Hooser SB. (1990) "Toxicology of selected


pesticides, drugs, and chemicals. Boric acid" ; Vet Clin North Am Small
Anim Pract. 1990 Mar; 20(2):369-73 (résumé [archive]).
63. ↑ Hubbard SA (1998) "Comparative toxicology of borates" ; Biol Trace
Elem Res. hiver 1998 66(1-3):343-57.

64. ↑ O'Sullivan K, Taylor M. (1983) "Chronic boric acid poisoning in infants" ;


Arch Dis Child ; septembre 1983 ; 58(9):737-9. (résumé [archive])

65. ↑ a, b, c et d Murray FJ. (1998) A comparative review of the pharmacokinetics

of boric acid in rodents and humans. Biol Trace Elem Res. Hiver 1998 ;

66(1-3):331-41 (résumé [archive])

66. ↑ Farr LE, Konikowski T (1963) The renal clearance of sodium


pentaborate in mice and men. J Am Assoc Clin Chem 9:771-726

67. ↑ Kan Usuda, Koichi Kono, Tomotaro Dote, Kaori Miyata, Hiroyuki
Nishiura, Masashi Shimahara, Katsuichi Sugimoto (1998) Study on urine

boron reference values of Japanese men: Use of confidence intervals as

an indicator of exposure to boron compounds ; Science of The Total

Environment, Vol 220, no 1, 1998-09-04, p. 45-53(résumé [archive])

68. ↑ Vaziri ND, Oveisi F, Culver BD, Pahl MV, Andersen ME, Strong PL,

Murray FJ (2001). "The effect of pregnancy on renal clearance of boron in

rats given boric acid orally" ; Toxicol Sci. Avril 60(2):257-63


(résumé [archive])

69. ↑ Jansen JA, Andersen J, Schou JS. (1984) Boric acid single dose

pharmacokinetics after intravenous administration to man ; Arch

Toxicol. Mars 1984 ; 55(1):64-7. résumé [archive]

70. ↑ a, b, c, d et e Florencia Harari, Ana María Ronco, Gabriela Concha, Miguel

Llanos, Margaretha Grandér, Francisca Castro, Brita Palm, Barbro


Nermell, Marie Vahter (2012) Early-life exposure to lithium and boron from

drinking water ; Reproductive Toxicology, Vol34, Issue 4, décembre 2012,

Pages 552-560 (résumé [archive])

71. ↑ Gianni Ciofani, Serena Danti, Delfo D’Alessandro, Stefania Moscato,


Arianna Menciassi (2010)Assessing cytotoxicity of boron nitride
nanotubes: Interference with the MTT assay ; Biochemical and

Biophysical Research Communications, Vol. 394,no 2, 2 avril


2010, p. 405-411 (résumé [archive])

72. ↑ Serena Del Turco, Gianni Ciofani, Valentina Cappello, Mauro Gemmi,

Tiziana Cervelli, Chiara Saponaro, Simone Nitti, Barbara Mazzolai,


Giuseppina Basta, Virgilio Mattoli (2013)Cytocompatibility evaluation of

glycol-chitosan coated boron nitride nanotubes in human

endothelial cells ; Colloids and Surfaces B: Biointerfaces, Volume

111, 1er novembre 2013,p. 142-149 (résumé [archive])


73. ↑ Gianni Ciofani, Serena Del Turco, Giada Graziana Genchi, Delfo
D’Alessandro, Giuseppina Basta, Virgilio Mattoli (2012) Transferrin-

conjugated boron nitride nanotubes: Protein grafting, characterization,

and interaction with human endothelial cells ; International Journal of

Pharmaceutics, Vol.436, N°1–2, 2012-10-15, p. 444-453 (résumé [archive])

74. ↑ a et b Clark R. B., S. K. Zeto, K. D. Ritchey and V. C. Baligar


(1999) Boron accumulation by maize grown in acidic soil amended with
coal combustion products, Fuel , 78, 2, 179-185

75. ↑ A Waggott (1969) An investigation of the potential problem of increasing

boron concentrations in rivers and water courses ; Water Research Vol

3, no 10, octobre 1969, p. 749–765http://dx.doi.org/10.1016/0043-


1354(69)90039-6 [archive],

76. ↑ Malgorzata Bebek, Krzysztof Mitko, Jerzy Kwapulinsk


(1996) Determination of aluminum, barium, molybdenum, scandium,

berylium, titanium, vanadium, fluoride and boron in highly salinated

waters ; Water Science and Technology, Vol 33, no 6,p. 349-

356 (résumé [archive])

77. ↑ Lucy Butterwick, Nicolaas de Oude, Karen Raymond (1989) Safety

assessment of boron in aquatic and terrestrial environments ;

Ecotoxicology and Environmental Safety, Vol 17, no 3, juin 1989,p. 339–


371(résumé [archive])

78. ↑ a et b Mehtap Kutlu, Gözde Aydoğan, Emel Mumcu (2007) Mutagenicity

analysis of water samples from Seydisuyu (Kırka, Turkey) stream under

the influence of boron production complex ; Food and Chemical

Toxicology Volume 45, no 10, Octobre 2007,p. 2064–


2068 (résumé [archive])

79. ↑ a, b et c Meltem Çöl, Cavit Çöl (2003) Environmental boron contamination

in waters of Hisarcik area in the Kutahya Province of Turkey ; Food and

Chemical Toxicology, Volume 41, no 10, octobre 2003, pp 1417-1420


(résumé [archive])

80. ↑ Lucia Schoderboeck, Simone Mühlegger, Annemarie Losert, Christian


Gausterer, Romana Hornek (2011) Effects assessment: Boron

compounds in the aquatic environment ; Chemosphere, Vol 82, no 3,

januvier 2011, Pages 483-487 (résumé [archive])

81. ↑ « These evaluations indicate that boron compounds could be hazardous

to aquatic organisms at concentrations close to the natural environmental


background in some European regions » in L. Schoderboeck & al.

(2011) Effects assessment: Boron compounds in the aquatic


environment ; Chemosphere, Vol 82, no 3, janvier 2011, pp483-487

(résumé [archive])

82. ↑ Elseewi A.A., I. R. Straughan and A. L. Page (1980)Sequential cropping

of fly ash - amended soils : Effects on soil chemical properties and yield

and elemental composition of plants, The Science of The Total

Environment , 15, 3, 247 - 259

83. ↑ Clark R. B., S. K. Zeto, K. D. Ritchey and V. C. Baligar (1999), Boron

accumulation by maize grown in acidic soil amended with coal


combustion products, Fuel , 78, 2, 179-185

84. ↑ Hollis JF, Keren R, & Gal M (1988), Boron release and sorption by fly
ash as affected by pH and particle size, J Environ Qual, 17, 181-184

85. ↑ Tourneur I. (1994) Le bore, origine, répartition dans les eaux,

inconvénients ; Thèse de l’Université Paris V pour l’obtention du diplôme

d’État de Docteur en pharmacie. 61 p

86. ↑ US EPA (2004) Estimated per capita water ingestion and body weight in

the United States ; An update ; 521p. U.S. Environmental Protection

Agency, Washington, DC

87. ↑ US EPA (2004) Toxological review of boron and compounds. 114 p.

U.S. Environmental Protection Agency, Washington, DC,

88. ↑ Yunus Cengeloglu, Gulsin Arslan, Ali Tor, Izzet Kocak, Nesim Dursun
(2008c) Removal of boron from water by using reverse osmosis ;

Separation and Purification Technology, Vol 64, no 2, 2008-12-17 pp 141-


146

89. ↑ N. Hilal, G.J. Kim, C. Somerfield (2011) Boron removal from saline

water: A comprehensive review ; Desalination, Vol 273, no 1, 2011-06-

01, p. 23-35(résumé [archive])

90. ↑ Kha L. Tu, Long D. Nghiem, Allan R. Chivas (2010)Boron removal by

reverse osmosis membranes in seawater desalination applications ;

Separation and Purification Technology, Vol 75, no 2, 2010-10-13,p. 87-


101 (résumé [archive])

91. ↑ Öznur Kaftan, Müge Açıkel, Ahmet E. Eroğlu, Talal Shahwan, Levent
Artok, Chaoying Ni (2005)Synthesis, characterization and application of a

novel sorbent, glucamine-modified MCM-41, for the

removal/preconcentration of boron from waters ; Analytica Chimica Acta,

Vol.547, no 1, 2005-08-15,p. 31-41

92. ↑ M. Bryjak, J. Wolska, N. Kabay (2008) Removal of boron from seawater


by adsorption–membrane hybrid process: implementation and
challenges ; Desalination, Vol. 223, Issues 1–3, 2008-03-01,p. 57-

62 (résumé [archive])

93. ↑ Burcu Ertit Taştan, Ergin Duygu, Gönül Dönmez (2012) Boron

bioremoval by a newly isolated Chlorella sp. and its stimulation by growth


stimulators ; Water Research, Vol46, no 1, 2012(01-01, p. 167-175

94. ↑ Karahan S., Mürüvvet Yurdakoç, Yoldas Seki and Kadir Yurdakoç
(2006), Removal of boron from aqueous solution by clays and modified
clays, Journal of Colloid and Interface Science, 293, 1, 36 - 42

95. ↑ ILO/ONU (International Labour Organisation),Propriétés du bore et de


ses dérivés [archive], par David L. Hinkamp, consulté le 6 juillet 2013

Voir aussi[modifier | modifier le code]


Sur les autres projets Wikimedia :
 Bore, sur Wikimedia Commons

 bore, sur le Wiktionnaire

 Bore sur Commons


Articles connexes[modifier | modifier le code]

 Acide borique
 Borate
 Borax
 Délétion de la spermatogenèse
 Boron Neutron Capture Therapy(BNCT)

Lien externe[modifier | modifier le code]

 (fr) Bore - santé et environnement résumé de GreenFacts d'un


rapport du Programme International sur la Sécurité Chimique de
l'OMS
Bibliographie[modifier | modifier le code]

 (en) Astier A, Baud F, Fournier A. (1988) Toxicokinetics of boron


after an acute intoxication, J Pharm Clin 7 (special issue 2), 57-62
 (en) ECHA (2010) Boric acid as a substance of very high concern
because of its CMR properties, 2010-06-09
 (en) NTP (1987) Toxicology and carcinogenesis studies of boric
acid in B6CF3F1 mice. NTP TR 324. 126 p. Research Triangle
Park, North Carolina, US Department of Health and Human
Services, Public Health Service, National Institutes of Health
publication : N°88-2580
 (en) Nielsen F.H. (1994) Biochemical and physiological
consequences of boron deprivation in humans. Environmental
Health Perspectives 102, 59-63
 (en) K.K. Fox, M. Daniel, G. Morris, M.S. Holt (2000) The use of
measured boron concentration data from the GREAT-ER UK
validation study (1996–1998) to generate predicted regional boron
concentrations (Yorkshire) ; Science of The Total Environment,
Vol.251–252, 2000-05-05, p. 305-316(résumé)
 (en) Donald M. Valerino, Magdi R.I. Soliman, Kevin C. Aurori,
Spencer L. Tripp, Arthur A. Wykes, Elliot S. Vesell (1974) Studies
on the interaction of several boron hydrides with liver microsomal
enzymes ; Toxicology and Applied Pharmacology, Vol 29, no 3,
septembre 1974, p. 358-366
 (en) Yining HOU, Jiuhui QU, Xu ZHAO, Huijuan LIU
(2009) Electrochemical incineration of dimethyl phthalate by anodic
oxidation with boron-doped diamond electrode ; Journal of
Environmental Sciences, Vol 21, no 10, p. 1321-1328 (résumé)
 (en) Kenjiro Koga, Akira Kaji, Kenichi Hirosaki, Yukako Hata,
Tsutomu Ogura, Osamu Fujishita, Kazuhiro Shintani
(2006) Cytotoxic evaluation of cubic boron nitride in human origin
cultured cells ; Toxicology in Vitro, Volume 20, no 8, décembre
2006, p. 1370-1377 (résumé)
 (en) Food Standards Agency (2002) ; Revised review of boron.
Expert group on vitamins and minerals.Ref
EVM/99/23/P.REVISEDAUG2002.
 (en) Golaszewski G. (1996), Rapport sur les concentrations en
bore des eaux douces en France. Ministère de l’Environnement ;
Direction de l’eau
 (en) Price C.J., Strong P.L., Marr M.C., Myers C.B., and Muray
F.J. (1996) Developmental toxicity NOAEL and postnatal recovery
in rats fed boric acid during gestation. Fundamental and Applied
Toxicology 32, 179-193
 (en) Price C.J., Marr M.C., Myers C.B., Seely J.C., Heindel J.J.,
and Schwetz B.A. (1996) The developmental toxicity of boric acid in
rabbits. Fundamental and Applied Toxicology 34, 176-187
 (en) Tarasenko NY, Kasparov AA, and Strongina OM (1972)
Effect of boric acid on the generative function in males, Gigiena
Truda i Professionalnye Zabolevaniaya, 11, 13-16
 Weir RJ, (1962) 90 Day dietary administration - rats Boric acid.
Hazleton Laboratories Inc., Falls Church, VA. Unpublished report to
US Borax Research Corporation, 1962-12-12
 (en) Weir R.J., and Fisher R.S. (1972) Toxicologic studies on
borax and boric acid. Toxicology and Applied Pharmacology 23,
351-364
 (en) Whorton D., Haas J., and Trent L. (1994) Reproductive
effects of inorganic borates on male employees : birth rate
assessment ; Environmental Health Perspectives 102, 129-132
 (en) Woods, W.G. (1994) An introduction to boron : history,
sources, uses and chemistry ; Environmental Health Perspectives
102, 5-11
 (en) M Dourson & al. (1998) Boron tolerable intake ; Biological
trace element research, 66(1-3), 453-463.
(en) Moseman, R.F. (1994) Chemical disposition of boron in animals and humans ;
Environmental Health Perspectives 102, 113-117 (PDF, 5p)

 (en) Ku WW, Chapin RE, Moseman RF, Brink RE, Pierce KD,
Adams KY (1991) Tissue distribution of boron in male Fischer rats ;
Toxicol Appl Pharmacol 3:145.
 (en) Wilding JL, Smith WJ, Yevitch P, Sicks ME, Ryan SG and
Punte CL (1959) The toxicity of boron oxide. Am. Ind. Hyg. J.
20:284-289
s1 s2 g f1 f2 f3 f4 f5 f6 f7 f8 f9 f10 f11 f12 f13 f14 d1 d2 d3 d4 d5 d6 d7 d8 d9 d10 p1 p2 p3 p4 p5 p6
1H He
2 Li Be B C N O F Ne
M
3 Na Al Si P S Cl Ar
g
M G
4 K Ca Sc Ti V Cr Fe Co Ni Cu Zn Ge As Se Br Kr
n a
M
5 Rb Sr Y Zr Nb Tc Ru Rh Pd Ag Cd In Sn Sb Te I Xe
o
P S T L
6 Cs Ba La Ce Pr Nd Eu Gd Tb Dy Ho Er Yb Hf Ta W Re Os Ir Pt Au Hg Tl Pb Bi Po At Rn
m m m u
A C F M Uu Uu Uu Uu
7 Fr Ra Ac Th Pa U Np Pu Bk Cf Es No Lr Rf Db Sg Bh Hs Mt Ds Rg Cn t Fl p Lv s o
m m m d
Uu Ub Uq Uq Uq Uq Uq Uq Uq Uq Uq Uq Up Up Up Up Up Up Up Up Up Up Uh Uh Uh Uh Uh Uh Uh Uh Uh
8 e n * Ute n u b t q p h s o e n u b t q p h s o e n u b t q p h s o


g1 g2 g3 g4 g5 g6 g7 g8 g9 g10 g11 g12 g13 g14 g15 g16 g17 g18
Ub Ub Ub Ub Ub Ub Ub Ub Ub Ut Ut Ut Ut Ut Ut Ut
* u b t q p h s o e n u b
Utt
q p h
Uts
o
Métalloïdes Non-métaux Halogènes Gaz rares
Métaux alcalino-
Métaux alcalins Métaux de transition Métaux pauvres
terreux
Lanthanides Actinides Superactinides Éléments non classés

 Portail de la chimie
Catégories :
 Produit chimique nocif
 Élément chimique
 Métalloïde
| [+]
Menu de navigation
 Créer un compte

 Se connecter
 Article
 Discussion
 Lire
 Modifier
 Modifier le code
 Historique
Lire

 Accueil
 Portails thématiques
 Article au hasard
 Contact
Contribuer
 Débuter sur Wikipédia
 Aide
 Communauté
 Modifications récentes
Faire un don
Imprimer / exporter
 Créer un livre
 Télécharger comme PDF
 Version imprimable
Autres projets
 Wikimedia Commons
Outils
 Pages liées
 Suivi des pages liées
 Importer un fichier
 Pages spéciales
 Adresse de cette version
 Information sur la page
 Élément Wikidata
 Citer cette page
Autres langues
 Afrikaans
 አአአአ
 Aragonés
 ‫العربية‬
 Asturianu
 Azərbaycanca
 Беларуская
 Беларуская (тарашкевіца)
 Български
 বাাংলা
 Brezhoneg
 Bosanski
 Català
 Mìng-dĕ̤ng-ngṳ̄
 Cebuano
 ‫کوردی‬
 Corsu
 Čeština
 Чӑвашла
 Cymraeg
 Dansk
 Deutsch
 ަ ‫ިދ ެވ ިހ‬
ް‫ބސ‬
 Ελληνικά
 English
 Esperanto
 Español
 Eesti
 Euskara
 ‫فارسی‬
 Suomi
 Nordfriisk
 Furlan
 Frysk
 Gaeilge
 Gagauz
 Gàidhlig
 Galego
 ગુજરાતી
 Gaelg
 客家語/Hak-kâ-ngî
 Hawai`i
 ‫עברית‬
 हिन्दी
 Fiji Hindi
 Hrvatski
 Magyar
 Հայերեն
 Interlingua
 Bahasa Indonesia
 Ido
 Íslenska
 Italiano
 日本語
 Lojban
 Basa Jawa
 ქართული
 Қазақша
 ಕನ್ನ ಡ
 한국어
 Kurdî
 Коми
 Latina
 Lëtzebuergesch
 Limburgs
 Ligure
 Lingála
 Lietuvių
 Latviešu
 Māori
 Македонски
 മലയാളം
 मराठी
 Кырык мары
 Bahasa Melayu
 မြန်ြာဘာသာ

 Эрзянь
 Nāhuatl
 Plattdüütsch
 ने पाली
 አአአአአ አአአአ
 Nederlands
 Norsk nynorsk
 Norsk bokmål
 Novial
 Occitan
 ଓଡ଼ିଆ
 ਪੰਜਾਬੀ
 Polski
 Piemontèis
 ‫پنجابی‬
 Português
 Runa Simi
 Română
 Armãneashti
 Русский
 संस्कृतम्
 Sicilianu
 Scots
 Srpskohrvatski / српскохрватски
 සිංහල
 Simple English
 Slovenčina
 Slovenščina
 Soomaaliga
 Shqip
 Српски / srpski
 Seeltersk
 Svenska
 Kiswahili
 தமிழ்
 తెలుగు
 Тоҷикӣ
 ไทย
 Tagalog
 Türkçe
 Татарча/tatarça
 ‫ ئۇيغۇرچە‬/ Uyghurche
 Українська
 Oʻzbekcha/ўзбекча
 Vepsän kel’
 Tiếng Việt
 Winaray
 Хальмг
 ‫ייִדיש‬
 Yorùbá
 中文
 文言
 粵語
Modifier les liens
 Dernière modification de cette page le 20 avril 2015 à 18:46.
 Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité
partage à l’identique ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions
d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation
des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence.
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de
bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.

Vous aimerez peut-être aussi