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»
L
325
cr
«-isoJÙJb Ij 1 1 >*<-' ■«jl
rrt
324
J?o« mot. Le musc est cela même
qui seul le muse, et nou cela que le par-
funeur dit (en être). Le savant est com
me le plateau du parfumeur: silen
cieux, et. montrant son mérite, Et, l'i
gnorant ressemble au tambour du guer
rier : voix haute et intérieur vide, et
disant des choses vaines.
II.
Le savant au milieu des ignorants,
Les docteurs en ont fait un proverbe :
* «-i»"jt jïij'M •Litja C'est une belle au milieu des aveugles,
JU-I ^aj. Jjjjj Jj, J # C'est un Koran dans la maison des
impies.
I$Ê$Û#Ô$> ^~U ^^ . ik
&^^ifr*tz4U^4&-ïr~^4Ud;^^Uï3*^kz{&-
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fj-SUv»/^^/-
I
320
K,
J'arrivai daus le pays (dans la terre)
de Beïlakan, auprès d'un dévot.
Je lui dis : Purifle-moi de l'ignorance
par l'instruction.
11 répondit: Va, sois patient comme la
terre, ô docteur !
Ou tout ce que tu as appris (tu as lu)
mets-le totalement sous terre.
S. L'homme de mauvais caractère
est captif dans la main d'un ennemi,
parce que, dans quelque lieu qu'il aille,
il ne trouve pas délivrance de la griffe
de son tourment .
B.
Quand l'homme d'un mauvais carac
tère irait au-dessus du ciel, hors (de
l'atteinte) de la main du malheur.
il serait («7 sera) dans le malheur par
la main de son méchant caractère.
liUa* o;^<»H<Jkj~.».J^iJ((J (»*X>-) S. Il n'y a pas de belles mœurs dans
toute personne qui est bonne en appa
rence, parce que c'est l'intérieur, non
la peau , qui constitue (qui a) la con
duite. ..
K.
On peut connaître en un seul jour, aux
signes extérieurs de l'homme.
Jusqu'où est parvenu le degré de ses
connaissances.
Mais ne sois pas en sécurité sur son
intérieur, et ne sois pas séduit,
Parce que la corruption de l'âme ne de
vient pas connue en plusieurs années.
ru 319
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J Lit 1 <J il aliclli ai» »5 *
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(-U—UUiÂK i.)
ru 312
K.
* *Ls lj*- ^Llll J^jl. 0»ij Une fois un trouble survint en Syrie
Chacun s'en alla de son coin.
Des fils de paysans instruits
Parvinrent au vizirat (à la dignité de
vizir) du monarque.
Les fils du vizir, ayant une raison dé
fectueuse.
Allèrent dans les villages pour mendier.
B.
Veux-tu l'héritage de ton père? ap
prends la science de ton père;
Parce qu'on peut dépenser l'argent de
son père en dix jours.
Sur les convenances.
S. La richesse est pour la tranquillité
dela vie. Pour amasser de la richesse,
à—J-IJUS * 4-UUU^JlLMUjL. on demanda à un sage : Quel est celui
qui est heureux, et quel est le mal
heureux ? Il répondit : L'heureux est
celui qui a mangé et semé, et le mal
heureux est celui qui est mort et qui
a laissé.
B.
Ne prie pas pour cette personne de
rien qui n'a rien fait,
Parce qu'elle a vécu dans le désir
d'acquérir de la richesse et qu'elle n'a
pas consommé.
Monseigneur Moïse, la paix soit sur
lui ! conseilla Karoun (en lui disant) :
Fais du bien connue Dieu t'a fait du
bien. Il ne l'écouta point; et tu as
appris sa fin.
311
, . - ... I . .
. - *
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y
ri' âio
La belle prudence de l'homme de
lettres, et l'exposition de son discours,
furent agréables à l'esprit du roi. Il lui
donna un khilât et de l'argent, et il éleva
son grade au-dessus de ce qu'il était.
H
Un sage donnait un conseil à ses
enfants, (en leur disant) : Mes cliers
enfants (âmes de vutre père) ! appre
nez un talent, parce que la possession
a^j ._^U * LUI tfjf, * Uil'-lp et la fortune mondaine ne conviennent
pas à la confiance, et que les dignités
ne vont pas (avec vous) par la grande
porte (de la ville) ; et l'argent et l'or
sont une occasion (un lieu) de danger
en voyage; ou le voleur vous l'enlève
tout d'un coup, ou le maître le mangera
en détail; mais le talent est une source
vive et une fortune durable. Et si un
homme industrieux tombe de la fortu
ne il n'y a point d'inquiétude (à avoir),
parce que le talent est une fortune en
lui-même. . L'homme à talent voit l'es
time pouf lui partout où il va, et il s'
assied à la première place; et l'homme
sans talent ramasse la bouchée (il men
die) partout où' ii va, et il éprouve de
la peine.
^.AA D.
Il est dur, après avoir été en dignité,
d'être soumis au (de supporter le com
mandement,
(Et) de souffrir la violence des hommes
après avoir vécu dans la mollesse
309
(-tf)
308
lui dit : Tu ne te permets sur les enfa
nts d'aucun de mes sujets autant de
violence et correction que sur mon fils:
quel est le motif? 11 répondit : Parler
avec réflextion et faire des actions loua
bles est nécessaire à tout le monde,
particulièrement aux monarques; parce
que tout ce qui aura passé par la main
et par la langue des rois , sera néces
sairement dit par les bouches; et il n'y
a pas autant d'importance dans (pour)
la parole et l'action du vulgaire.
K
Quand même il proviendrait d'un pauv
re cent (actions) blâmables,
Ses amis n'en connaîtront pas un de
cent.
Et s'il en vient une blâmable du sultan,
(-»
306
M
Quoique le discours soit attachant et
agréable,
Il doit être (il sera) digne de croyance
et d'approbation.
Lorsque tu as dit une fois , ne répète
pas ensuite;
Car, lorsqu'on a mangé une fois des
confitures, c'est assez.
H
J'ai appris qu'un certan sage disait:
Jamais n'a avoué sa propre sottise ,
* *}£lll la-JJojvèj^Su^JS^l * Jh4*
excepté celui qui se met à parler lors
qu'un autre , qui est à discourir , n'a
pas encore fini .
M
Le discours a son commencement et
sa fin, ô homme prudent,
Ne porte pas la parole au milieu du
discours (d'un autre).
Celui qui est doué de prudence , et
d'adresse, et d'intelligence.
Ne parlera pas tant qu'il ne verra pas
le silence.
Sur l'effet de l'éducation.
H
Un certain docteur faisait l'éducation
d'un fils de roi et le frappait sans mé
nagement, et lui faisait de dures cor
rections sans nombre. Un fois le fils,
n'y pouvant plus tenir se plaint à son
père et ôta sa robe de dessus son corps
meurtri (plein de douleur) Le père en
eut cœur serré. Il fit venir le maître et
r-o 305
(-u_^l*j\a^J» ri)
r»t 304
H
On a regardé (on a placé) Sahbani-
Vàïl comme incomparable dans la pu
reté du langage , par le motif qu'il par
lait toute une année en présence (élevé
au-dessus) d'une assemblée, et qu'il
ne répétait pas un mot {deux fois) ; et
si, par hasard, la même pensée se pré
sentait , il 1% disait avec d'autres ex
pressions. (Une) de toutes les belles
qualités des courtisans des rois est
celle-là.
/
303
(-")
*ù»x>Art"*.fi^ù9 ♦
302
M.
Quoique le pauvre âne soit sans discer
nement,
11 est précieux, puisqu'il traîne le far
deau.
Les bœufs et les ânes portant le far
deau
Valent mieux que les humains tour
mentant.
J^VI^I^i *5^U-îo* li>;>iyLJI Ui Un partie des vices de ses mœurs
fut connue du roi, il le mit à Ja torture,
et le fit mourir par diverses espèces de
tourments.
A'.
H)
* LU^«Li uyj\>y OJÛ-c» Qf\
• "* » •• • • I • *
H
J'ai entendu dire qu'un collecteur
désolait la maison de sujets, afin de
faire prospérer le trésor du sultan.
(// était) sans connaissance de la parole
des sages qui ont dit : Quiconque vexe
a_JpJ3L-)JL*î«JiU *^l/J>'ill) AÂli-^jU les créatures de Dieu tréshaut, pour
gagner le cœur d'une créature, Dieu,
qu'il soit élevé ! suscitera contre lui la
même créature pour arracher la racine
de son existence.
Il
* J-v <J «i«rj^i >»_ii jV La feu ardent ne fait pas sur (avec)
la rue
Ce que fait la fumée d'un cœur affligé.
Plaisanterie. On dit : Le chef de
tous les animaux, c'est le lion; et la
pire des bêtes , c'est l'âne. Mais , du
* JU-Vi A*ijJ jU-lûl OUJlJUTlj commun accord des sages , l'âne por
tant le fardeau vaut mieux que le lion
déchirant les hommes.
299
oV>b>bj^l«4bbj Jop^jb^^i'jJ
•" • • •
V1A 298
H
On a rapporté que, dans un lieu de
chasse, on faisait rôtir une pièce de
gibier pour Nouchirévan le juste. Il n'y
avait pas de sel. On envoya un jeune
esclave au village, afin qu'il apportât du
sel. Nouchirévan (lui) dit : Prends du
sel en le payant, afin que (cela) ne de
vienne pas une coutume et que le village
ne soit pas dévasté. On lui dit: De cette
quantité (de sel), quel dommage en naî-
tra-t-il? Il répondit: La base de l'injus
tice, dans le monde, a été d'abord peu
(de chose); et chacun, qui est venu, y a
ajouté, jusqu'à ce qu'elle fût arrivée à
cet excès (où nous la voyons).
297
• - • -
jL
f-U_*,LxJU<L«^ C'A)
296
ment l'empire lui fut-il assuré ? Il ré
JLâ» # «jal» Le ÔUUJl' Jii j * ojjJj pondit de la manière que tu l'as enten
du. Un peuple se réunit autour de lui
avec empressement et lui prêta main-
forte, de sorte qu'il obtint la royauté.
Le vizir dit: Puisque le concours du
peuple est une cause de la royauté, toi,
pourquoi disperses-tu le peuple? Peut-
être n'as-tu pas le désir de la royauté ?
B.
Même, il vaut mieux que tu prennes
soin de l'armée aux dépens de ta vie
(avec ta vie.
'ill ûlLUI Jic La * Parce que c'est avec l'armée que le sul
r tan exerce le commandement.
v^=î_«I IpliHJ i_>xJly>Lvl\HI JLS»
(Le roi) dit : La cause du concours
de l'armée et des sujets, quelle est-elle?
l>**î:i5*- * 0UaLJI(JcJjl_«Jl^*l J& (Le vizir) répondit : La justice est né
cessaire au roi, afin qu'ils se réunissent
autour de lui; et la clémence, afin
qu'ils reposent tranquilles à l'ombre de
sa puissance. Et toi, tu n'as pas chacu
ne de ces deux (qualités).
M.
Le métier de la violence ne fait pas
la souveraineté;
ll-*j S-1* «jlo ^a>V il * Parce que ce n'est pas du loup que
vient le métier de berger.
Un monarque qui jette le fondement
de l'oppression creuse le pied du
urUeiTL^^i^-* mur de son royaume.
295
294
Sur la' conduite des rois.
H
On fait l'histoire qu'un certain roi
de Perse avait étendu la main de la
tyrannie sur la propriété de ses sujets,
et qu'il avait commencé (o exercer) la
violence et la vexation. Les gens s'en
allèrent par le monde, à cause des
embûches de son oppression, et prirent
le chemin de l'émigration à cause du
malheur de sa violence. Lorsque les
sujets furent diminués, le revenu des
provinces éprouva un dommage, et le
trésor demeura vide, et les ennemis
apportèrent la violence de toutes parts.
K.
Quiconque voudra du secours au jour
■« • a • du malheur,
Dis (-lui): Occupe-toi (travaille) de gé
nérosité dans les jours de prospérité.
Si tu ne traites pas avec douceur l'es
clave (ayant) l'anneau à l'oreille, il
s'en ira.
Exerce la bonté, la bonté (te dis-je),
afin que l'étranger devienne l'an
neau à l'oreille.
Un jour, dans sa société, on lisait
le livre du Châh-nàmeh sur la chute
de l'empire de Dhohâq et sur siècle de
Féridoun. Le vizir interrogea le roi
(en lui disant) : Féridoun n'avait ni
4,\Ji * JiZ'ljÛUI^liUi * ^V, trésor, ni domaine, ni serviteurs; com-
îir 293
(^"-,„-»)
\ aa \ ^- JlAi/^î o S- fLi
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Ai *i—- ti
292
fî<7/e/ Simple.
V"
Je soussigné, reconnais devoir à Mon
sieur N. la somme de cent Livres Tur
ques que je m'engage à lui payer à la
première occasion.
Damas le 10 mars 1881
J. Le bel.
Quittance ou Reçu.
Lettre de change.
tf/b*VU& ->ûl>li^<!
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Endossement.
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Jt»^»1 . . .
"... /'-•/••- f
• • • • J^l/
TAÀ 288
Pour remercier.
A un marchand nu ouvrier.
Autre.
Autre.
• a . U^*-lv—>U>- Je prie Monsieur R. de remettre à
mon domestique ou au porteur, l'habit
qu'il m'a promis pour aujourd'hui.
TAV 287
^lojôc^ (^-'/^y)
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A titre.
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Autre
Réponse.
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Réponse
Cher ami, J'aurai le plaisir de me
. . . >-)«]iif.t rendre à votce aimable invitation, et
-xïJl 3°jÀ \j\f\j <j\~*\ (♦OLsil^ de vous renouveler ainsi qu'a Madame
A. mes sentiments de sincère amitié.
Votre affectionné (etc)
COli
Attire
*X_àiJjl.^^-ajl«^Jvr*
. . . «JUb «^Ajj'fcJ^-»^
(*t_-ui\*i^i ri)
TA* 280
Réponse
M. et Mme B. auront l'honneur d'ac
cepter l'invitation de M. et Mme G. et
leur présentent leurs sincères compli
ments.
• • • çJ&
Autre
. . . ffW?%*M$ M. et Mme. D. prient M.E. de leur
faire l'amitié de venir dîner avec eux
mercredi prochain à six heures, et lui
renouvellent tous leurs compliments.
. . . jTU-JieVj
Réponse
M.E. accepte l'invitation de M. et
Mme. D. et leur fait mille compliments
affectueux.
Autre
• • • IgJ^ugf Cher ami, si vous n'êtes pas engagé
pour demain, venez partager notre
dîner sans cérémonie.
Ma femme et moi, nous serons char
més de vous avoir, croyez aux senti
ments.
tvi 279
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• i- . •
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. . . ojl^-'ll-l . . . d>?w>'>
• » / . •
A un Consul général
Adresse: A Son Excellence, Monsieur
le Consul Général de.
Adresse.
Monsieur
Négociant de
\ O •/« J>UJI
Rue N°. 15
au Caire
Monsieur :
Constantinople.
Billets d'invitations
M. et Mme. G. prient M. et Mme.
B. de vouloir bien venir dîner avec
eux, mercredi prochain à cinq heures,
et leur présentent leurs meileurs com
pliments.
ïVV 277
(2) '«/-v>
• • • * •
(il) »s^s
• * • • • •
tvi 276
Son altesse le Grand-Vizir
(£1) f&ji
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. . . ^>j^e-\j jj ji^ii^;U-(/it;<:i>^-j'iyî>yi/
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Titre: Sire,
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4-S- .JLVaA^
A~Ujjtu5i fart
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(«^UJ^I ro^
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Conseil sanitaire
Tribunaux
Cour religieuse Musulmane.
» Ecclésiastique.
Cour d'Appel.
Cour d'Assises.
» Criminelle.
» Militaire.
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eîV, Un capitaine
Un sergent-major.
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Conseils.
Parlement ou Sénat
Conseil de la Justice
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-S- £• i
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Directeur des Douanes.
Ambassadeur.
Attaché àl'ambassade.
Interprète de l'ambassade.
Maréchal.
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«'• - ....
Vil 266
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Ministre de l'Intérieur.
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LJ|^.li_'-^-J^iiJI-ûâJy « 4JLU/JJ Ministre des Finances.
*>>MjeJ»ij •I^Sillj.UJtjjb-UH
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(^XjISa^s rt)
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Il y a remède à tout, hors à la mort.
Dignités.
oUAJI _ 3W Empereur.
Roi, Prince.
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Roi héréditaire.
Roi absolu.
Roi constitutionnel; Vice-roi.
Grand-vizir.
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J^jljjliJL^UW^^f-ijjiiilUïlc
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Ul-^LUJIj/j^ Bonne renommée vaut mieux que cein
ture dorée.
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beaucoup.
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Til 244
Voulez-vous jouer ?
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Nous voulons jouer.
Voulez-vous partir?
Il veut sortir.
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S C %.
Je veux le vendre.
ôj-ji JIljI*js\ùjjuj;j»« Voulez-vous aller au marché ?
Je veux y aller.
j^-ip'Xf** ù' c>j-vj» Voulez-vous lire votre leçon?
Je veux la lire.
hjD^ \jtl\J^) \ Oj jj ./<-}*> Voulez-vous écrire une lettre?
Dites-moi
«>J[>>- _ 4 ld»9 Dites-lui
Etudier, apprendre
Je l'ai apprise.
A—j j lLui>-u I N'avez-vous pas appris votre leçon ?
Je ne l'ai pas encore apprise.
Je l'apprendrai demain.
Demander et répondre
j—^-n*/ou*
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c^-<j
I
rrA 838
SX\lOUjt Je veux vous parler.
Je leur ai parlé.
Parlez haut.
Parlez bas .
Parlez-moi.
Parlez-nous
Parlez-lui .
Parlez-leur.
Parlez peu.
Ne parlez pas beaucoup.
Taisez-vous.
Jj^lj Dire.
Que dites-vous ?
Je ne dis rien.
Qu'avez-vous dit ?
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Il vliendra après-demain.
Vros amis ne sonl-il pas encore venus ?
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Parlez-vous français ?
Je parle français .
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Je ne le parle pas.
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Allez-vous en.
Je m'en vais.
Allons ensemble.
Allons vile.
* i/rU * Venir.
D'où venez-vous?
Je viens de l'école.
Voulez-vous venir avec moi ?
^ .e e c
Je veux aller avec vous.
Pourquoi n'ètes-vous pas venu hier?
Viendrez-vous demain?
Ai/1
C * :
o£J
u. .-un
m •
Jl r.)
m 232
Voulez-vous prendre une tasse de café?
ô^5\) lai»JjUT 1 0 1Juj I Je veux prendre une tasse de café.
Prenez-vous du thé chaque matin?
» olwllj * Aller
Où allez-vous?
Je vais chez-moi.
Où allez-vous présentement ?
Je vais chezmon frère.
Où allez-vous si vile?
Je vais à l'école.
J'irai demain.
.A—A* ^L«t^
m • ■
(•-A-1I^Sil
Avez-vous dîné?
Quand dînerez-vous ?
Voulez-vous souper ?
Je veux souper.
Boire
Avez-vous soif?
Je veux boire.
Que voulez-vous boire ?
+*%(*{- +/><s
çj^i'fi^ {*£(*>>/!$*
^jCaii^ut >^U>->j>^Lit'
• •*•
-j* l*UL>jji4Ji3J.i>-
^Cac^q^O
r^jrgfùjG ("?'jZ&*'"'x
j:xyu _ ^uipu^î i/ftà — ijk(\*b <m*,3\sl>m[
f-XllJJI»^» {i/tfJf~(>'rï*f.i/'
e#)£js' llfto^ll^gS +»'S4^-+y'f^£^}
f-^JJl^^-i ff>SifjWm.[}j/iSjW'rl
JX~a-»Â--\cJLt' ^l«^é*v5Jjt"
rt&>,f<s^"J
m 228
Avez-vous appétit ?
fUUUl>lfi»J J'ai grand appétit.
f- . ç . Voulez-vous manger ?
Je veux manger.
Avez-vous mangé ?
Je n'ai pas encore mangé.
N'avez-vous pas mangé aujourd'hui ?
Je n'ai rien mangé aujourd'hui.
Il a mangé.
Avez-vous déjeûné ?
J'ai déjeûné.
N'avez-vous pas encore déjeûné ?
** «
Vf'
-lrtjl
* J\*& # # yuftf*$.% #
>l.
•
r
Ttl 226
Fait-il chaud?
Il fait trèschàud .
Fait-il froid?
11 fait froid.
li pleut.
Il neige.
Il y a des éclairs.
J-oLaJJlcJI Il tonne.
Il fait sombré.
1l fait nuit.
y** Manger
Avez-toùs faim ?
J'ai fdim.
s
rvo 225
\£J&- \£ji .*"-'■"
ZJ>/jS'jt J^\.-
jy-*r ô&yo\£j\^t\*»
j&-£-jC+s\lm .^-ixj^^^h-
-/i**i >J> jWAj Ç>\ \ \Zt£\** ^'^,,.^1-
^jJLj\J^\lftûJ*cL. •V * ■ - cl
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jj^4ijj(JfJio aj-.j i^eu*
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jJlâsi^ « \ tj^clui ^-+*\ f > t—'Z~ïl-
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* •
j-UjjTiy.
jJLxIma _ jjlj^fly. ^-'J>*' — —" l^i^"*?
(v-.u\:w*3l ï1)
ïfl 224
•
Il est une heure passée.
«_»JjâjL>-\j4*LJ \ Il est une heure un quart.
<_&â>ja^>-jj4£uJ ' Il est une heure et demie.
«jj^bULM^U' Il est deux heures moins un quart.
J^Wjâyvi^illoUiriicLJI Il est deux heures moins'dix minutes.
^«\icl-J\IoJ Il n'est pas encore deux heures.
'■£$ji2J\à Âcl—J \ H est trois heures passées.
*«j^>^r*iiM*ui Il est trois heures moins vingt minutes
l_B-3JJ 4j ^yO Af-l—H Il est trois heures et demie.
* ,î>*l\>v^yj * Du temps.
(^JlIjLc^w" _ |»J^.j\(Jj)
c?w
* j \s*ï\ijj$- * ms&i-f,> #
1X*»jôA1»uIj^b
De Paye.
Il a trente ans.
De l'heure.
ULA\f Quelle heure est-il ?
L jâïljt»-\ji*LJ I Il est près d'une heure.
221
. » " M •
« ^«olj». *
jO»j>• .^.^JOA»
• • - - '
Qu'en dites-vous?
Qu'en pensez-vous?
m *
>;U"^^
. -• '•11/- I
-<»
*■* • »"
i 4,1)4. — iùJu'A>
MA 218
Cela m'a causé un grand plaisir.
Cela m'a fait le plus grand plaisir.
Dp fafflirtMi .
Etes-vous fâché ?
Je suis bien fâché.
Pour consulter.
Hue faire ?
N
nv 217
i
I • * • • * •
i - • . # •
>ji^'lf
j£ tltr-V-
r r^</
('
UN *ll VA)
216
Cela se peut-il?
Cela se peut.
Cela ne se peut-il pas?
De la joie.
Êtes-vous content ?
\-k>- isj—l.»|j I Je suis très content.
N'ètes-vous pas content de moi?
Je suis bien content de vous.
J'ensuis enchanté.
no 215
jXXyy*!~à£j m m
- • - *
m 214
ÎJb-JârfûUi Cela est bien certain.
ililj-O^ÎA-aïJ* Le croyez-vous ?
* JUt-tfJ * De la probabilité
- ■
- G
IJ*»/J U
m 212
(j&iij) Pm0/- remercier
_^jbbj>,—»&J^jj\jy\ —' t»> i y i_ i > j j > > «>^_^_--vi^ -_• l_y' '/*
$ J_-^i/^ #
j»y-j»Wft^Xw_ij_-
^_-f_i>u__/frî;i
f ùJ L> 'j^JjW» «IX.Z^Ji_-
JX>-_&>Jjj__j>
210
Il régna Egypte 1 7 ans et plus.
Après Ismaïl Pacha qui fut nommé
vice-roi d'Egypte ?
Après la chute d'Ismaïl Pacha son fils
Mohamed Tewfick moula sur le trône
. • w • v
l'an 1296 I1 règne encore.
« » » •
m - ^- » «
W^Jl-^L^lJ^I
(^Ul^i vv)
VA 208
Après Mohamed Aly, Ibrahim Pacha
prit le gouvernement de l'Egypte pen
dant que son père Mohamed Aly vivait.
Ibrahim Pacha combien de temps gou-
verna-t-il ?
Il gouverna 1 1 mois .
*,»,C
I • T
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* «» ••
Cjj"*** JUjv—1 aïyjc-j <1**~J «i-^y -C-J)I
s>\?~t-<*##"*p^
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- m
*jyJu\ ^ljJ4.JX*Jyj*Z>j\
ï"l 204
DIALOGUE
1/ Egypte sous le règne de la Famille
Mohamed Ali Pcha.
Allez-vous à l'école?
c/^iV' Instruire
«jj ^\
lic# c?"f j*jt Instruire (s')
jU£^!l Attendre
^Ui-JUli Atteindre
pi» Comprendre
u^l Craindre
a*j J£ll Descendre
pleJl Etendre
JUI Eteindre
vi^-r-^ Détruire
Ul Construire
M^ai Lire
igÛl Ecrire
>1UJI Rire
j^ai Dire
jâJ^oJI _ W>UI Contredire
£>yijjb^ii.u Prédire
j4i Maudire
^uivi Médire
j^i Prendre
ôWvJi Rendre
cl*Ojl &ij»\\f* V)t3l Rendre
X'\ . 201
Venir
Revenir
C invenir
Convenir
Parvenir
Parvenir
Troisième conjugai
son
Apercevoir
Asseoir
Concevoir
Devoir
Devoir
Falloir
Falloir
Pleuvoir
Pouvoir
Pecevoir
ai- Savoir
». •• Valoir
Voir
Vouloir
Ça. é»\««i
V"
200
•
j\j^\ Avertir
ti>A\j/f-y*>*\s%
?
(Oui — ji-Jl Partir
fi Trouver
Visiter
m
Voler
Voler
Voyager
Deuxième conjugai
(JUI son.
•l^l.-liv» Accomplir
Affaiblir
*5a 198
,}~~àjl _ Avait Laver
rUll Lever (se)
Louer
Louer
Manger
.-
* » •» .Marcher
Monter
Montrer
Nettoyer
Oublier
Pardonner
Parler
>
Passer
Payer
iiidl Prononcer
w m
Penser
Pleurer
Prier
Supplier
Porter
Porter
Promener (se)
m 197
r ■ • ' a •
Demander
Demeurer
Désirer
IjLill Dîner
Donner
Écouter
Employer
Enseigner
Entrer
Envoyer
Espérer
A»^ 31 Essayer
au- ^r-" Essuyer
Eveiller
Eveiller (s')
jUI-_JUli Fermer
iji'j Frapper
Goûter
Habiller (s')
Déshabiller (s')
, Inviter
Jouer
Laisser
in 196
/• .. .
ifcljjj j^ai Accepter
jl\OyU «/>/ •ij^Vi Acheter
«
^1*Lé — £)-•>>• j-Xdi-^i Achever
^•vjJCr-^'t>- j^-t/^J' tJ^l^j^J1*!— c^i-^ Aimer
JA^T tf>
oUJll Aller
Première conjugaison
193
*M>Vlftfflf
• • -
M m
# jJôX^U^jtliiDàjyw.aJ «
m
\*s 192
«M'
'-iX.fVa* N'ont-ils pas de maisons ?
Ils n'en ont pas.
^n.^\S?
Avaient-ils des amis?
Vous en avez ?
En avons-nous beaucoup?
Vous en avez beaucoup.
Aurons-nous des amis?
Vous en aurez.
Quand aurons-nous des amis?
Quand vous serez riche vous en aurez
beaucoup.
Des conjugaisons
•r • • •
m m
• m
■ m
* m •
1«0
Nous en aurons après-demain.
Votre frère a-t-il un habit neuf?
Il .en a plusieurs.
Combien d'ùabits a-t-il?
Il en a cinq.
Il en a eu beaucoup.
Combien de moutons a-t-il eu ?
Il en a eu quinze.
Il eu aura une.
Quand l'aura-t-il ?
• -
Il l'aura demain ou après-demain.
Vos amis ont-ils de l'argent ?
Us en ont beaucoup.
VM 189
«i 4 • m
w •
JjyulU'ÎJil
IAA 188
N'avez-vous pas de plumes?
Nous n'eu avons pas ?
Aviez-vous du papier hier?
*iT*A>fi'*
-;l>„^
,,.*>j.vA'V
fm>*.t>~f-»*Ltf fi"*
"r? o1
/,•; trt/
« • *
tA1 186
Passé
Plus-que-parfait
J'en ai trois.
185
# <JW<~rLljl"«*~-9 #
»'<3al •/
(5—.U«S\ luuâll çt
)
U'I 184
S'il avait été riche, il aurait été généreux.
Si nous avions été généreux, nous au
rions été aimés.
Si vous aviez été hier avec nous vous
auriez été enchantés.
Impératif
Sois fidèle
Soyons intimes
Soyez amis
Subjonctif présent
Imparfait
* *.U*». La*
-J- «» *
le>-L<«0^1.«*»J^a-^Ju'jl IkjliI^-wSl
Conditionnel présent
ij*Mj\'/JlSi\
* • • •
l^-jj.5
*À' 180
N'avez-vous pas été paresseux ?
Passt* antérieur
Plus-que-parfait
Futur simple
•* m
• • • *
• m• .
tVÀ
178
Nous avons été grands.
Vous avez été fidèles.
* La * Négativement
Interrogativement
Interrog-Négativement
jXijtfljLl-^is^v- »yjii>'lr
■ -Y■
>jy jy 1/ ty
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* Av5^'- * # fVl *
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* Aj»*^*»** * * (t/V1 *
fjJjUlLl;/
r'< g> - P*.*\>sy? tf
UjuI^-IcUpI/,-. tfiï.J^s}'?*
- *
(4.—Uil 4*^ *r)
\v\ 176
N'est-il pas avare ?
«jv9>~^>U—1 I Ne sommes-nous pas prodigues ?
N'êtes-vous pas polis ?
Imparfait
J'étais studieux.
Tu étais paresseux.
Il était heureux.
Nous étions malheureux.
Passé défini
Je fus malade.
Tu fus fort.
Il fut faible.
Passé indéfini
Il a été petit.
ÏY<J 1T5
# S• 'jy*s>
j><s? ly '
• • •*
>Coi j ly I if'. X'^^jily f l ï
\» « •
fris» ù 6*^'
^
1Vt 174
Vous êtes sages.
Ils sont bons.
L* Négativement
Inlerrogativement
Suis-je riche?
. • - .» ■ Es-tu pauvre?
Est-il avare?
Sommes-nous prodigues ?
Ètes-vous polis ?
Sont-ils impolis ?
i l
hiterrog - Négativement
i .• . i*
Ne suis-jô pas riche ?
* f^is*** *
(\ti>>i'r^Srf
m * •
r
"S 172
* a/llt^ui * .Pass^
» ^I^UI * Plus-que-parfait
Tu es bien aise.
I • * »•
UjiJjL"ilU^-jU/l
vv' no
Si vous aviez eu de l'argent vous auriez
eu des chevaux.
* -r^v*1 * Impératif
Subjonctif présent
- - •
Mon père veut que j'aie du blé.
!yu*iwl}k:ù\ Que tu aies de l'orge.
"^JJ^o' Qu'il a# des fèves.
U-uJ^jl Que nous ayons des lentilles.
«j-iO^Ocûl Que vous ayez du maïs.
^'l/Jlcûl Qu 'ils aient du riz.
* u^'Ul l5iU1 * Imparfait
Mon père voulait que j'eusse des
oignons.
Que tu eusses des carottes.
l—a-iJliOoJ Qu'il eût des laitues.
ijU-IUciTj) Que nous eussions des concombres.
l'IfilO^CU^J Que vo:is eussiez des milaugènes.
Icyq^Ciçi^irj Qu'ils eussent des courges
ni 169
Jl..
v - «
Conditionnel présent
w^r- it;
«V* wi ,
l»»*•,.
>>y »>U-^Ly>/.
- • <
>.»y i 'k-*/.
fi H*/*-*»
• •» .
411 166
Quand vous eûtes eu de la fortune vous
devîntes orgueilleux
Quand ils eurent eu beaucoup de biens
ils devinrent plus avares
Plus-que-parfait
J'avais eu un pantalon
Il aura un cachet
Futur antérieur
,r w » " m
. ».
i* » " •
ut 164
* Ulfrâ", m\ * Interrogalivement
Ai-je eu un coq ?
A-t-il eu un pigeon ?
Avons-nous eu un canard?
Avez-vouseu un oie?
Ont -ils eu un grue?
( Interrog-Négatkemenl )
Passé antérieur
>t"tj ajJfi\.
^^ .* | m mm
\"K 162
J'eus un cheval
Tu eus une jument.
Il eût un poulain
Noue eûmes un âne
Passé indéfini
* Là» * Négativement
W• «• .
/AÀnjr'Ji^^J
iK>-«_il\<».ojL.-l9U(^*3(j^jl)(^iU *
* t£"*'
à*H u)
*a**
160
Interrogativement
Ai-je une grenade ?
Interrogativement et négativement
Imparfait
J'avais du papier.
Tu avais de l'encre.
Il avait un encrier.
J'ai un abricot
Tu as une amande
H a une banane
Noiis avons un coing
Vous avez une cerise
Ils ont une figue
Négativement
>^i/>^-i('^^-^)j^/rien ^*
J-iJiH pas a—jIjjJj> l^1 rien >J<jl/*J>r pas £il> >>/?)* à*
\o-[
15©
JUJI Le pass<
Le futur
ta»
«S-ï
» ■ cT^
r
r
\ot 152
UII Le sujet est le terme qui fait l'action
exprimée par le verbe.
Le sujet est le plus souvent représenté
par un nom ou par un pronom ou par
un infinitif.
2jIc J*à] I *Jûl Je LU I Le sujet se place ordinairement avant
le verbe.
J*al IJUO %Ù>J \jtUtiL-c-l J^»âll oIS^I il Le complément exprimé par un nom
se place après le verbe.
J^IJ^IJJ«^>I^J^ll0l^==lil Le complément exprimé par un pro
nom se place devant le verbe, excepté
au mode de l'Impératif.
L'impératif
151
/"
• m
•OjyO:
(»
Du verbe
Le verbe est un mot qui exprime
l'existence on l'action.
Si* 149
j^o»x^u«u^>»/L<v2? $ # -#*>>0U,J #
<*>
tv-ë'VcU cs'^-cj'y Quiconque
^pW* #
^"#
0 *"
$i^jj}jjfj,<~lf *#'</!:*
^Jj^jy<j*—f 'fj^
\Jj\jA~.t$ ùà\jj ^»«J- i^Mf-Sir^tf
jS»j*~S$jfPel\jJ? ^•S-Sï-o
\fjyl*\ - <Jjj\JiS<~& 4*X - 'é'Sf-^V
jjy<j?»<s~ij. 'tf^&'S^.
On
Chacun
Que dit-on?
On dit que la paix a eu lieu.
Est-il bien de prendre les choses
d'autrui ?
11 n'est pas bien de prendre les choses
d'autrui.
Voyez-vous quelqu'un ?
Je ne vois personne.
Y a-t-il quelqu'un ici?
l>jb-lo>.y>l Il n'y a personne ici.
Quelqu'un me cherche-t-il ?
Quelqu'un vous cherche.
Qui me cherche?
Attendez-vous quelqu'un ?
Qui attendez-vous ?
uv 147
•• I • • "«
» ' • . - -.» »
\t1 146
Lequel connaissez-vous ?
Je connais celui que vous ne connaissez
pas.
Avez-vous vu la femme que j'ai vue?
Je n'ai pas vu celle que vous avez vue.
Laquelle avez-vous vu ?
De quoi parlez-vous?
Nous parlons de cette affaire.
A quoi pensez-vous ?
• •• •
* *
-^ - ».
m »
^^c/Ivj i/
(4r-.UII^^\ \1)
\ii 144
Que faites-vous ?
Je ne fais rien.
Qu'avez-vousfait?
J'ai écrit ma leçon.
Masculin pluriel
Lesquels
Desquels
Auxquels
Auxquelles
Quoi
ù^JLMa _ ^j]»^ U\hJ ~ i)\f Dont
•• •
JA*«JS JoJ^y Jj Jl.>. lj
m
uv 142
* îI^^ll^Lc^l^ Des pronoms relatifs
Lequel
Cul - ^ >l A — / Duquel
4 ^1 Auquel
Féminin singulier
Laquelle
De laquelle
A laquelle
/ Qui
à*
ù--u Que
EXEMPLES
EXEMPLES
J'ai le vôtre.
Elle a le sien.
Avons-nous nos chemises ou celles
de nos frères ?
Nous avons celles de nos frères.
Vous avez vos billets ou ceux de vos
amis ?
. - • • * » *
I ^•
^•^^«XJU/Lt* ^ * A^/^.-'
Les vôtres
J&j- c;tVo irV^1
jS?j\ ^>ï*u&,mnfm Les leurs
Masulin singulier
Le leur
M t- aa * « | • • •
r,)\/tf^ &"*&>'tfiS^^
•uTcrj
Igfi
r-u—.bJUi^Ji tA)
tri 136
jr-j Ce
Ceci
ai Cela, ça
5sge£$@S
^11 Celui
Celui-ci
3i Celui-là
Celle
•a» Celle-ci
Celle-là
\Masculin pluriel
Ceux
Ceux-ci
Ceux-là
m
Féminin pluriel
Celles
Celles-ci
Celles-là
irr 163
* JJbu4ii) # # /'d1-^
#^tfUU<te<£j #
• • •
\r- 13a
Je te pardonne
Lève-toi
Je vais me lever
Tais-toi
Je me tais
Connais-toi toi-même
Il est difficile de se connaître soi-même
4,aJÛj
jÇj.WjÇj^-Jj' ^t-^tVl^iti
J^t.r'Jîi •
(<~*u «u3l w)
WA
128
..♦
REMARQUE
ô^'ûUô. Moi, toi, U>jùU«:Jlûta
Moi, toi, s'emploient tantôt comme
sujet et tantôt comme régime direct et
(J) jÂUIV^j (U)j (J)> indirect.
EXEMPLES
Aimez-moi
Je vous aimerai
Croyez-moi
Je vous crois
Aidez-moi
Je vous aiderai
Donnez-moi ce livre
Je vous le donnerai quand je l'aurai lu
Montrez-moi ces livres
Mi Excepté moi
Excepté lui
Excepté eux
J A moi
3 A toi
4 A lui
1,1 u A nous
^ A vous
^ A eux
Devant vous
U Devant eux
(*"
- ^
fil *->•£•
&
(yijC^Uôay
^A*—L«ll«<Âli \i)
If 1*0
Jf |§ur efl ai donné.
Avant moi
Avant toi
Jjlûu'l 4-i Avant lui
119
iS*>j en J'c/J^'M^.JK^Ç»^
# jJbr # # J^" #
. • . *r « •
j*j\jpj\ ^Ojy
APPLICATION
Avez-vous de l'argent?
J'en ai.
Voulez-vous me donner dix francs ?
Je veux t'en donner vingt.
»>l*.
,r • • •
m 116
Voulez-vous me le donner ?
Je veux te le donner,
i Voulez-vous me donner votre plume?
r if^i\-»\,i
Je n'en ai pas.
Avez-vous des sœurs ?
J'en ai.
Il n'en a pas.
N'a-t-il pas de papier?
-
11 n'en a pas.
REGLE
APPLICATION
Avez-vous un livre?
J'en ai un.
\ir 113
r
ifMlfjS-iftoZfict'
H\i iT
i^rl?
>'Ki
V
en, y, tfpwâJÏI-wPjLM.rùAl en>y ^ — *'* — ^ — ';'
ir$*S'{èg*4\i
(4—.bJiii^i \o)
m 112
alfHI Je te parle.
JJCJT Parlez-moi.
•
^toUjN Je ne veux pas te parler.
a^UiliU Que t'ai-je fait?
JUï# EXERCICES
^jIIjùcJ» Avez-vous de l'argent?
J'en ai.
^«7
Cv* ^
fi '.if
tki/}:
110
EXERCICES
* M'aimez-vous ?
!
Je t'aime beaucoup.
Me voyez-vous?
'Jtjitf Je te vois.
Nous reconnaissez-vous ?
Nous vous reconnaissons.
Nous aimez-vous ?
Il vous connaît.
EXERCICES
pU
Sur me, te, nous, vous, employés
comme régime indirect .
Voulez-vous me parler ?
Je veux te parler.
Me parlez-vous ?
\'1 109
fijjyà l^r
'(&'**
£-?JjmJjfj^*JJ •£ÉV/l'>lf
jjyjydS'j f$f\j>\l
- ■• . ^C*m\Mi\u\\.'
j^kS^'j g\z>;\M\\.
jC^'vjL^^jUj» • * - .
Jjy±\iS)i\j
i-
.# #
*^"# ^*
(•>'') j (1^1) COL^Ï.JJ^Uib (*t) ;'t^';p* jjyi. u' i ,/^ i ^
4^Jjjl Zi^)j#"
0*)'
tjf^Xj JkJj yt. <*j2>\j ^-^^L «jS^i^f
Je le vois.
». *
Ne voyez-vous pas ma sœur ?
EXERCICES
j» i>»i o Se
J» \j>\ — >\
l*_« Le, la
>•'
Ly'-^J o*-r* Les
* JUj # *
^
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(j~**jySw
*•
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Je chéris ma mère
Tu chéris ta mère
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Nous chérissons notre mère
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(Féminin singulier)
Ma ma mère
Ta ta mère
Sa sa mère
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(Masculin pluriel)
( Féminin pluriel)
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EXEMPLES
Culte fleur est belle
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(là») loU-JJ!
EXEMPLES
(JLklûll-JI là» Ce jardin est beau
J'j^l là» Ce garçon est intelligent
JLul.o&Jt là» Ce livre est intéressant
«-i-ilJ^i^JI I à& Ce cahier est propre
^J» J«ll là» Ce maître est bon
o^yu^i là» Ce domestique est fidèle
Ce roi est généreux
j^-l^-cLUI Ij» Ce poète est célèbre
(là»)
EXEMPLES
Cet homme est poli
Cet ami est sincère
jif^ùpnà» Cet élève est studieux
*-.k.JjUa)l là» Cet enfant est docile
" Ju J>-ô a— Xjl 0 Jl»
•• • -^ Cet habit est neuf
&>; jljl là» Cet enfant est mauvais
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De petits enfants
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«_Jwl JL» _ mZji'JcJs-j Un bon homme
JjiJ*>1 m. ,_u>J:*.J Un homme bon
JL-Jv Un honnête homme
uû*- - ^-Wr-> Un homme honnête
■jj.ijJ5-j*jijjya?,
Un pauvre homme
• •• De belles maisons
icAî^CjL.'J' D'anciens habits
ÂcJlîliljU D'anciennes habitudes
De bons pères
■^ • • •
V1 79
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VA 78
f jt-> - r-Ah-J Un vieil homme
j^Êlt^l Une vieille femme
juLô^jài» Un petit enfant
«J«^L> Une petite fille
Aot-Js-J Un homme heureux
M\Xyyf\^\ Une femme heureuse
J/Jl^Js^ Un homme malheureux
sJLÀllJJiS^^aki Une personne malheureuse
EXEMPLES
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Y1 70
Par coDsé'juent
Au reste, du reste
RÈGLES
L' ailjeclif s' accorde en genre et en
nombre avec le nom ou le pronom qu' il
qualifie.
Un ami fidèle
Une personne affable
Un élève capable
^ V/.^>/u±<>
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LOCUTIONS PREPOSITIVES
» • «^ • • ■ D' après
Quand
Par-dessus
Vis - à - vis de
La terre est petite à l' égard du soleil
jLlcVl^,...) Prendre faveur
LOCUTIONS CONJONCTIVES
«
En effet
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Bien que '
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Peu à peu
Petit à petit
Mot à mot
Tout à fait
Tour à tour
Tout de bon
Tout de même
Ujy-.-û'Vl Tout de suite
vu Tout à P heure
Tout à coup
A l' improviste
A propos
Mal à propos
A la bonne heure
A tort et à travers
Au plus; de plus
Au moins; du moins
De plus; en plus
Au fur et à mesure
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70
(fw) rA> Le dessin (dessinateur)
(jj~) -tr^'j* La peinture (peintre)
(*•)
.W La sculpture (sculpteur)
fjfc) ai-i^ La gravure (graveur)
(W) .i^'o* La musique (musicien)
D' abord
Dès lors
Du tout
De suite
j^lJc-JU-IJ Tout de suite
Là - bas
A loisir
D' ailleurs
Je _ J-^i -iHlijùe-_JU-l IJ*JiU.J
Là - dessus
Peut-être
Tant pis
Tant mieux
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(dr) uhMr:
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^uiiôL.ucl^-Uj^iyit La cosmologie
Al L' algèbre
«JiâlUc La jurisprudence
Âc^U Ij4.>-U»âj 1 Je
(<yo L' éloquence (éloquent)
A*SpM Jàà^IU .X* L' hygiène
j\ï4ïj^JP>J.Clja*
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jftJlll^lcl^^iu'V^Wl
^ La logique
Le style; la composition
La prose (prosateur)
J*jjS\j-e. I La prosodie
(y^) y^'j» La poésie (poêle)
ûUI-jJu1Ij«-jjJI le La rhétorique
La philosophie (philosophe)
L' arithmétique
fe>0 L' histoire (historien)
La géométrie (géomètre)
(/.»)
cKld\j« U astronomie (astronomique)
lo 05
Ç/\m+% J*\^) (tf^V'jf.c^) ^^S^yà) (Accidents et maladies)
Une indisposition
Une faiblesse
.y 'y'
Un mal; une douleur
Le mal de poitrine
Mal à l'estomac
Une indigestion
L' insomnie
• •
Des frissons
• •* *
Des vomissements
L' étourdissement
Un évanouissement
La constipation
J+ La diarrhée
Un rhume
La palpitation
ùUJl-COtf'l La démangeaison
Un panaris
^ »-« « La petite vérole
Vérole
Une verrue
(«—.UJIiàJl i)
04
L' hyacinthe
L' agate
La cornaline
Le lapis-lazuli
Les perles
Le corail
La pierre à chaux
g/ La chaux vive
Le caillou
Le porphyre
Le granit, pierre à feu
Le grès, pierre à aiguiser
Le marbre
La craie
Le souffre
Le borax
JJLI1 L' argile
Le nitre, salpêtre
L' alun
63
L'or
L' argent
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La platine
Le plomb
Le cuivre
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L' aimant
J
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L' étain
L-p' Le zinc
Le mercure
Des joyaux
Le diamant
■* V* Le brillant
V*J» L' émeraude
ôjîUI Le rubis
Le saphir
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J*S j La topaze
La turquoise
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Jfjpfl». *U^f ôLL*-
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Un moulin à eau
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Des côtelettes
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(f\niïjï\»jL»\ (iivi»l/ii) (^i-JlOljjiJ) (Utensiles de table)
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'(JlMjJS**) (SASWnh*) (rJ:'*'>:'^) (Parties du corps)
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>>r» L'épaule
rA 38
(yb-a-IU>l) (Ujl(^c/k,i) (j^l'U-lj) ^es noms des moi*},
v". ^ Janvier
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(j^^j***) ( Des phénomènes )
La lumière
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L'obscurité
L'arc-en-ciel
Le brouillard
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4.<âÛ La bourrasque
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Les nuages
Le vent
La chaleur
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Le froid
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La neige
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L'éclair
15 Le tonnerre
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L'orage
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La rosée
La température
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La tempête
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Le démon
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Les cieux
La terre
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Le midi
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La lune
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La pleine-lune
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Vous lisez
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jS\£ù\»\ Vous chantez
* Vous frappez
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m 216 De la joie
ri a 218 De l'affliction
ri a 218 Pour consulter
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rrr 999 De l'âge
m 224 Du temps
rn 226 Manger
rr« 230 Boire
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m 234 Venir
rn 236 Parler
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11 61 La ville et ses parties
ir 63 Métaux et pierres précieuses
■u 64 Des pierres, des terres, etc.
65 Accidents et maladies
n 66 Des sciences et arts
v» 70 Locutions adverbiales
AT 72 Des adjectifs démonstratifs
AA 88 Des adjectifs possessifs
<\l 94 Des adjectifs numéraux
!•• 100 Des adjectifs indéfinis
I •* 104 Du pronoms
irA 138 Des pronoms possessifs
i f r 142 Des pronoms relatifs
I iA 148 Des pronoms indéfinis
lo. 150 Du verbe
k_JU y»dûl lia*![•>'J nr 192 Des conjugaisons
ni 214 De la probabilité
£ III
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II
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TABLE DES MATIÈRES
«U^IJlj^j 1 c1 L'alphabet
• ir 43 Des arbres
e^âJlôljjlj *o 45 Ustensiles de table
4*1»*J fo 45 Des repas
i-yjllOljilj *v 47 Objets classiques
<JUl*jjOJl j *A 48 De la maison
ôL--jJdl j n 49 Des habillements
^IâHj-jUJ ltj\,jîj 0 • 50 Artisans et commerçants
r^ij o I 51 Des domestiques
ôVI^A-IJ o| 51 Des animaux
j^U'J or 53 Des oiseaux
ûl^lj 00 55 Des insectes
JlA-^iijjTjU^ljôUJij 00 55 Des qualités les plus usitées
VJjW»J>^lj !• 60 Des parents
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COLLEGE
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