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de
mathématiques
LIVRE DU PROFESSEUR
Sous la direction d’ÉRIC BARBAZO
Dominique GRIHON
Benoît LAFARGUE
Sébastien MAIMARAN
Sandrine POLLET-MOURLAN
avec la participation de
Marie-Luce ABADIE
Pour animer la classe, les diaporamas sont gratuitement téléchargeables
sur le site www.hachette-education.com.
www.hachette-education.com
ISBN 978-2-01-135597-3
Tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés pour tous pays.
Le Code de la propriété intellectuelle n’autorisant, aux termes des articles L. 122-4 et L. 122-5, d’une part, que les « copies ou reproductions
strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective », et, d’autre part, que « les analyses et les
courtes citations » dans un but d’exemple et d’illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consen-
tement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite ».
Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, sans autorisation de l’éditeur ou du Centre français de l’exploitation
du droit de copie (20, rue des Grands-Augustins 75006 Paris), constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants
du Code pénal.
Sommaire
Avant-propos 4
Fonctions
1 Les fonctions
7 7 L’échantillonnage
131
Pour construire le cours 8 Pour construire le cours 132
Diaporamas 16 Diaporamas 136
Corrigés des exercices 18 Corrigés des exercices 138
2 Le premier degré
33
Pour construire le cours 34
Diaporamas 36 Géométrie
Corrigés des exercices 38
8 Le repérage
149
3 Le second degré
53 Pour construire le cours 150
Pour construire le cours 54 Diaporamas 155
Diaporamas 58 Corrigés des exercices 157
Corrigés des exercices 60
9 Les droites 165
4 La fonction inverse Pour construire le cours 170
et ses applications
73 Diaporamas 174
Pour construire le cours 74 Corrigés des exercices 176
Diaporamas 78
Corrigés des exercices 80
10 La trigonométrie
191
Pour construire le cours 192
Diaporamas 196
Probabilités et statistiques Corrigés des exercices 198
5 Les probabilités
95 11 Les vecteurs
209
Pour construire le cours 96 Pour construire le cours 210
Diaporamas 100 Diaporamas 214
Corrigés des exercices 102 Corrigés des exercices 216
6 Les statistiques
113 12 L’espace
231
Pour construire le cours 114 Pour construire le cours 232
Diaporamas 118 Diaporamas 237
Corrigés des exercices 120 Corrigés des exercices 239
Sommaire 3
Avant-propos
La classe de Seconde générale et technologique accueille de plus en plus d’élèves. Cette augmentation des
effectifs engendre une hétérogénéité de niveau de plus en plus importante au sein d’une même classe. Cette
réalité impose avec plus d’acuité aux professeurs de pouvoir disposer d’une grande variété d’outils pédagogiques
adaptés à tous les niveaux.
Ce manuel se veut pour tous les élèves. Il est important de leur montrer que, quel que soit leur niveau, quelle
que soit leur volonté, ils vont rencontrer des mathématiques partout, à la fois dans leur cursus scolaire, mais
aussi dans leur vie professionnelle et quotidienne.
Une culture mathématique est indispensable à tout citoyen. Une base mathématique solide est obligatoire pour
les futurs économistes, ingénieurs, scientifiques. Ce sont ces deux obligations qu’il faut mener de front dans les
classes de Seconde générale et technologique d’aujourd'hui.
Ce manuel axe l’apprentissage des mathématiques sur la découverte des notions nouvelles à travers des situa-
tions dont les sujets d’étude sont issus de domaines variés : en sciences expérimentales, en économie, en sciences
humaines, en médecine, en architecture, en sport, en mathématiques…
Pour laisser aux élèves une liberté d’expression maximale et pour préparer le travail du professeur, les situa-
tions sont accompagnées :
– d’une présentation de remarques utiles à la conduite de la recherche des élèves.
– d’une proposition de trace écrite des connaissances qui doivent émerger du travail des élèves pendant la séance.
Ces situations ne sont pas des activités préparatoires classiques avec des enchaînements de questions liées qui
empêchent souvent des élèves faibles ou moyens d’avoir du recul sur ce qui est demandé. Elles permettent, au
contraire, de mener tous les élèves, par l’activité orale ou écrite, avec des questions suffisamment ouvertes et
simples, vers une trace écrite des notions nouvelles à savoir. Ainsi, deux choix sont possibles :
• réaliser les traces écrites constitutives du cours à l’issue de ces situations ;
• introduire les notions nouvelles du cours avant qu’elles ne soient découvertes par les élèves.
Dans ce livre du professeur, dans la correction des algorithmes écrits en langage naturel, il a été décidé de
n'indiquer que la partie de l'algorithme demandée. La déclaration des variables et les mots-clés de début ou de
fin sont souvent manquants. Dans le cadre d'une correction avec les élèves (projection en classe ou distribution
sur feuille), compléter les algorithmes par la déclaration des variables et les mots-clés sera un bon prolonge-
ment de l'exercice.
D’une manière générale, le manuel est construit sur la totalité des notions et compétences exigées par le
programme et inclut les objectifs majeurs des trois domaines : Fonctions, Statistiques et probabilités et
Géométrie.
Les chapitres sur les fonctions sont construits avec, comme fil conducteur, la résolution des équations et des
inéquations qui permettent de résoudre des problèmes.
Les chapitres de géométrie privilégient le calcul des distances (dans le plan ou l’espace) ainsi que les éléments
essentiels de raisonnements et de démonstrations.
Les chapitres concernant les statistiques et probabilités sont basés sur l’analyse de données et l’apprentissage
de leurs utilisations dans la vie courante.
4
Avant-propos
• Il est indispensable de mettre en place le repérage en début d’année. Il est utilisé dans pratiquement tous les
chapitres.
• Les généralités sur les fonctions doivent être également mises en place dès le début de l’année puisqu’elles
sont utiles dans de nombreux chapitres.
• Dans chaque progression, l’analyse (étude des fonctions de référence et résolution d’équations et d’inéquations
associées à ces fonctions) est étalée sur l’ensemble de l’année.
• L’échantillonnage n’est jamais traité en dernier chapitre.
Chaque chapitre est construit de manière à pouvoir éventuellement être déplacé dans les progressions proposées.
Ainsi, les notions transversales d’algorithmique et de raisonnement ont un poids et une gradation identiques
dans chaque chapitre.
Cette structure du manuel permet ainsi au professeur de disposer et proposer des activités de découverte,
d’approfondissement ou de synthèse, quel que soit le moment de l’année où il traitera le chapitre.
Cette interchangeabilité des chapitres donne également l’opportunité au professeur de conduire une progression
spiralée.
Le choix d’une progression relève de la liberté pédagogique de chaque professeur. La place d’un chapitre selon le
moment de l’année où il est traité, induit des apprentissages différenciés. Les progressions proposées permettent
de tenir compte de cette réalité en ne « reléguant » pas la géométrie ou les probabilités-statistiques à des
chapitres subalternes.
La première progression propose de traiter les statistiques tôt dans l’année et place les chapitres de géométrie
plutôt à la fin. Les probabilités arrivent en milieu d’année scolaire.
La deuxième progression met l’accent sur un enseignement des probabilités en début d’année. Les statistiques
sont étudiées plutôt en deuxième partie d’année. Une grande partie concernant la géométrie, avec les vecteurs
et l’espace, est davantage diffusée en cours d’année, en alternance avec l’analyse.
La troisième progression place la géométrie en début d’année et resserre les statistiques, les probabilités et
l’échantillonnage dans un temps plus court et plutôt en fin d’année.
Les auteurs
Avant-propos 5
1 Les fonctions
Présentation du chapitre
Ce chapitre prolonge et complète les premières notions vues au Collège sur la notion de fonction d’une variable
réelle.
• Il pose les bases des savoirs et savoir-faire nécessaires à la résolution de problèmes qui utilisent les fonctions
et leurs propriétés.
• Il présente la notion de fonction à travers trois modes de définitions : fonction définie par une formule explicite,
par un tableau de valeurs et par une courbe.
• Le programme stipule que la notion de variation est un attendu de fin d’année scolaire. On a pris le parti
d’introduire la définition d’une fonction croissante ou décroissante sur un intervalle dès le début des chapitres
d’analyse, afin que cette notion soit petit à petit utilisée et développée dans les chapitres qui suivent et qui traitent
des fonctions de référence.
• De même, un fil conducteur des chapitres d’analyse du manuel de Seconde a été lancé ici : il s’agit de la résolu-
tion d’équations et d’inéquations, qui se décline dans les trois chapitres suivants. Dans ce chapitre, on présente
la résolution graphique des équations et inéquations qui seront utiles tout au long de l’année. Ces notions ont
été introduites dans le cours sous forme de méthodes.
1. Les fonctions 7
Pour construire le cours
Objectifs :
Définir un lien fonctionnel entre variables.
Faire émerger la notion d’intervalle d’étude de la fonction introduite.
Définir une fonction par une expression algébrique.
Il est nécessaire de laisser un temps de recherche en groupe et de faire émerger chez les élèves les éléments
mobiles et variables et les éléments fixes et constants de la figure. Notamment laisser quelques minutes puis
introduire le point I’ si nécessaire.
On approche la notion de lien fonctionnel et d’intervalle d’étude d’une fonction.
1. On pose AH = x ⋅ x ne peut varier qu’entre 0 et 1, car M varie de I à J.
On peut faire conjecturer une expression de l’aire avec un logiciel de géométrie dynamique.
Le calcul de l’aire est simple pour que la technicité ne cache pas l’enjeu de l’activité qui doit être rapide.
L’aire du triangle vaut :
AB × MH = MH
2
Le calcul de MH se fait en complétant la figure avec le rectangle AHI'I. Il faut démontrer que IMI' est un triangle
isocèle rectangle en I'.
On peut à cette occasion préciser la nature de IDJ pour faire oralement émerger D J C
l’idée que le triangle IMI' est lui aussi rectangle isocèle, avec des égalités d’angles
par exemple. Mais la démonstration formelle n’est pas ici un objectif. Cela permettra
M
de réutiliser le vocabulaire vu au collège.
Le chapitre est traité après le repérage, il est intéressant de montrer qu’on peut I I’
également choisir un repère pour traiter cet exercice.
On a alors MH = MI' + I'H = x + 1. Aire MAB
= 1,37
On définit ensuite une fonction par une expression algébrique. H
A B
L’aire du triangle est alors une fonction affine connue des élèves : x = 0,37
Aire = MH = x + 1
L’aire est liée à la variable x par le lien ci-dessus.
On résout alors une équation. La résolution d’équation f(x) = k est un objectif à mettre en place graduellement.
Il s’agit ici de le mettre en forme sans excès de formalisme.
8
Pour construire le cours
Objectifs :
Comprendre la notion de « quantité exprimée en fontion d’une autre ».
Fonction définie par une formule explicite.
Objectifs :
Définir une fonction par un programme de calcul.
Prouver une égalité pour tout x.
Les programmes de calculs sont vus de nombreuses fois au Collège. L’objectif est de les lier à la notion de
fonction : établir la variable x et son image f (x) en montrant que l’on trouve une formule explicite (ou algébrique).
On prend un réel x.
On le multiplie par 2 et on ajoute 7, on obtient 2x + 7.
On multiplie le résultat par 3, on obtient 3(2x + 7).
On soustrait 6 fois le nombre x, on obtient 3(2x + 7) - 6x.
La variable Résultat de l’algorithme s’écrit en fonction de x. On peut noter le résultat f(x) = 3(2x + 7 - 6x)
1. On obtient le tableau suivant (l’explication du choix des noms des variables peut être faite à ce moment là).
x -3 -2 1 3 5
Résultat 21 21 21 21 21
On peut présenter une fonction par une formule explicite : une formule explicite est
un programme de calcul qui fait intervenir l’antécédent pour aboutir à l’image.
1. Les fonctions 9
Pour construire le cours
Objectifs :
Savoir relier des points de manière cohérente lorsqu’on connaît le modèle.
Prendre conscience qu’à partir d’un nuage de points, si on ne possède pas de modèle, on ne peut pas savoir
ce qui se passe entre deux points.
S’interroger sur la légitimité de relier des points donnés par une courbe même s’ils montrent une tendance.
Cette situation est la première qui insiste sur l’importance du modèle, connu ou non, de la fonction
sous-jacente.
Dans le cas d’une fonction définie par des points sur un graphique ou un tableau de valeurs, si le modèle est
connu, on peut relier les points et déterminer d’autres images ou d’autres antécédents que ceux présents dans
le tableau des valeurs. Sinon, seules les valeurs du tableau définissent la fonction.
10
Pour construire le cours
Objectifs :
Introduire la notion de fonction définie par un tableau de valeurs.
Exploiter un graphique grâce au modèle induit.
1. On fait le graphique correspondant au tableau de valeurs.
40
30
20
10
0 5 10 15 20
2. Les points semblent être alignés. On peut considérer un modèle affine de la forme h = at + b.
C’est l’occasion de rappeler le vocabulaire des fonctions affines et les étapes de calcul du coefficient directeur
et de l’ordonnée à l’origine.
On calcule a = 25 − 17 = 2 et on calcule b = 17 - 2 × 5 = 7.
9−5
Le modèle qui semble être en jeu est h = 2t + 7.
On peut vérifier avec les autres valeurs et on voit que cela coïncide (table des valeurs de la calculatrice par
exemple).
3. Au bout de 31 jours, le plant de tomates devrait mesurer 2 × 31 + 7 = 69 cm.
Il peut être intéressant de faire remarquer que le graphique n’est pas la seule manière pour voir un modèle
affine. On peut rappeler ici qu’il y a proportionnalité des accroissements ou utiliser un raisonnement moins
expert du type : « quand on ajoute 4 h, ça ajoute 8 cm, quand on ajoute 2 h, ça ajoute 4 cm (donc 2 fois moins) ».
Ainsi, quand on ajoute 1 jour, cela va ajouter 2 cm. Cela permet de trouver la valeur pour 31 h par raisonnements
successifs : on part de 20 et on ajoute 4 h + 4 h + 2 h + 1 h soit 11 h. Cela va donc ajouter 8 + 8 + 4 + 2 cm soit
22 cm. La hauteur au bout de 31 h sera donc de 47 + 22 cm, soit 69 cm.
Cela peut être également l’occasion de revenir sur le coefficient directeur par un autre biais et de refaire le
lien entre les différents points de vue.
1. Les fonctions 11
Pour construire le cours
Objectifs :
Faire comprendre qu’une fonction peut être définie par un tableau de valeurs.
Questionner sur la possibilité de relier les points du graphique et comment si l’on peut le faire.
Travailler sur une fonction qui modélise une situation.
Travailler sur les images, antécédents.
89 230 265
0 50 100 150 200 250
R (ohms)
2. a. La résistance pour laquelle la puissance est maximale se situe entre 160 et 170 ohms.
Les élèves auront des résultats différents selon le graphique qu’ils auront tracé. Seule la cohérence entre leur
graphique et leur résultat est ici attendue. Il est important de faire remarquer aux élèves qu’il est normal d’avoir
obtenu des résultats différents mais néanmoins assez proches. Le professeur de physique pourrait donner la
valeur exacte fournie par la formule.
12
Pour construire le cours
c. On utilise le tableau comme hypothèse. La puissance de 15,3 W ⋅ m-2 correspond à une résistance de 100 ohms.
100 est un antécédent de 15,3, car on a 15,3 = f(100).
Mais il existe un autre antécédent de 15,3 W ⋅ m-2. On lit sur le graphique environ 230 ohms.
La résolution des équations f(x) = k est à mettre en place progressivement. La formalisation de cette recherche
est un objectif de fin d’apprentissage de tous les chapitres sur les fonctions.
d. Il est nécessaire de résoudre sur le graphique.
La puissance est supérieure à 14 W ⋅ m-2 lorsque la courbe de la fonction est au-dessus de la droite d’équation
y = 14.
On trouve graphiquement que la puissance est supérieure à 14 W ⋅ m-2 pour une résistance comprise environ
entre 89 et 265 ohms.
1. Les fonctions 13
Pour construire le cours
Objectifs :
Introduire l’expression algébrique d’une
Faire comprendre qu’une fonction peut être définie par une courbe.
Introduire la notion de fonction croissante, décroissante sur des intervalles.
Introduire la notion de maximum.
Introduire la notion d’équation ou d’inéquation du type f(x) = k ou f(x) > k.
Pour les trois concentrations : réintroduire rapidement les notions de quantité exprimée en fonction d’une autre
quantité, et de domaine de définition.
Une courbe tracée dans un repère du plan peut présenter une fonction.
Une fonction est croissante sur un intervalle D lorsque les images f(x) sont rangées
dans le même ordre que les nombres x (« la courbe monte »).
Une fonction est décroissante sur un intervalle D, lorsque les images f(x) sont rangées
dans l’ordre contraire des nombres x (« la courbe descend »).
Le maximum d’une fonction sur un intervalle est la valeur la plus grande des images
f(x). Si M est le maximum d’une fonction, alors il existe au moins un réel a tel
que M = f(a). On dit que M est atteint en a.
De plus, si M est le maximum d’une fonction, pour tout réel x appartenant à D,
f(x) ¯ M.
Cette activité peut être une première approche des tableaux de variation qui peuvent être introduits ici.
Les points de la courbe représentative d’une fonction situés au-dessus d’une droite
d’équation y = k indiquent les nombres réels x tels que f(x) k.
Les points de la courbe représentative d’une fonction situés au-dessous d’une droite
d’équation y = k indiquent les nombres réels x tels que f(x) ¯ k.
14
Pour construire le cours
Objectifs :
Faire comprendre qu’une fonction peut être définie par une courbe
Introduire la notion de fonction croissante, décroissante sur des intervalles.
Introduire la notion d’inéquation du type f(x) g(x).
La transition démographique est étudiée par les élèves en histoire-géographie en classe de Seconde.
1. On peut utiliser cette situation pour introduire la notion de fonction définie par une courbe.
La fonction représentée par la courbe en vert est quasiment constante sur un intervalle de temps appelé phase
pré-transitionnelle et Première phase.
Cette fonction est décroissante sur l’intervalle de temps appelé « Seconde phase ». Puis cette fonction est à
nouveau quasiment constante sur le dernier intervalle de temps appelé « Transition achevée ».
On fait de même pour la fonction représentée en rouge.
Une courbe tracée dans un repère du plan peut présenter une fonction.
Une fonction est croissante sur un intervalle D lorsque les images f(x) sont rangées
dans le même ordre que les nombres x (« la courbe monte »).
Une fonction est décroissante sur un intervalle D, lorsque les images f(x) sont rangées
dans l’ordre contraire des nombres x (« la courbe descend »).
2. a. La fonction qui représente le taux d’accroissement naturel est représentée en violet. Elle représente la
différence entre le taux de natalité et le taux de mortalité.
Sur l’intervalle de temps appelé « Phase pré-transitionnelle », les deux fonctions représentées en rouge et en
vert sont quasiment constante. Leur différence est donc quasiment constante.
Sur l’intervalle de temps appelé « Première phase », la fonction en vert reste constante et la fonction tracée en
rouge décroît fortement. La différence entre les deux fonctions est donc fortement croissante.
Durant la « Seconde phase », le taux de mortalité reste quasiment constant alors que le taux de natalité décroît.
La différence entre ces deux fonctions est alors décroissante.
Durant la dernière phase, on retrouve les deux fonctions en rouge et en vert quasiment constante. La fonction
en violet est donc quasiment constante.
Cette activité peut être une première approche des tableaux de variations qui peuvent être introduits ici.
Dans tous les cas, si on note f la fonction représentée en vert et g la fonction représentée en rouge, on a toujours
f(x) ¯ g(x).
b. La fonction « taux d’accroissement naturel » représentée en violet est d’abord croissante puis décroissante.
Elle admet un maximum à la fin de la « Première phase ».
1. Les fonctions 15
Diaporamas
1− 1
Le résultat de 1 × 2 × 3 × 4 × 5 × 6 × 7 est : Le résultat de 2 est :
5× 4 × 3×2×1
1+ 1
a. 55 2
a. 1
3
b. 42
b. - 2
c. 36 3
c. 2
d. 13 3
d. - 1
© Hachette Livre – Mathématiques 2de 3 © Hachette Livre – Mathématiques 2 de
c. 10 c. 5
4
d. 5 d. 3
2
© Hachette Livre – Mathématiques 2de © Hachette Livre – Mathématiques 2de
b. 999 b. 1
c. 1 001 c. 8 979
d. 1 000 d. -1
© Hachette Livre – Mathématiques 2de © Hachette Livre – Mathématiques 2de
x2 + 2x + 1 − ( x + 1)2
Le résultat de est :
x2 + 1
a. 1
b. 1
x2 + 1
c. 0
d. 2x + 1
© Hachette Livre – Mathématiques 2de
16
Diaporamas
Soit f la fonction définie par f(x) = 2x2 - 3x + 1. Soit f la fonction définie par f(x) = (x2 + 1 )(3x -5).
Par la fonction f, l’image de 5 est : f(4) vaut :
a. 26 a. -51
b. 46 b. 63
c. 36 c. 119
d. 56 d. 175
© Hachette Livre – Mathématiques 2de © Hachette Livre – Mathématiques 2de
d. -2 et 3
© Hachette Livre – Mathématiques 2de © Hachette Livre – Mathématiques 2de
x –2 –1 0 1 2
Images –5 –8 –9 –8 –5
Ce tableau de valeurs est celui de la fonction définie par :
a. f(x) = x - 3
b. g(x) = –3x - 11
c. h(x) = x2 - 9
d. m(x) = x2 + x - 3
© Hachette Livre – Mathématiques 2de
Quelle courbe ne représente pas une fonction ? Quelle courbe ne représente pas une fonction ?
a. y
b. y
a. y
b. 1
y
x
2 2 0 1
0 x 0 2 x
2
1
0 1 x
c. y
d. y
c. 1
y
d. y
2 2
0 1 x
0 x 0 2 x
2
1
0 1 x
1. Les fonctions 17
Exercices
( )
d. 4 × – 1 + 3 = 2.
4
Gamme 4 La fonction carré est l’intruse.
Gamme 2 a. Le A s’échange avec le Z, le B avec le Gamme 5 La droite verte (l’image de 26 est 1).
Y et ainsi de suite jusqu’à M qui s’échange avec le N.
b. CESAR devient XUHZR. Gamme 6 a.Faux. b. Vrai. c. Vrai.
0 1 x
1
A
0 1 x
3. L’antécédent de 0 est 1.
4. 5 On peut penser à déterminer des images, des antécé-
x –2 3
1
dents, à résoudre des inéquations avec f (x) ou avec g(x).
variation 3
de f
–3
5. 6 = [–2 ; 3]
18
Exercices
x -1,5 -1 0,5 1
10 a. f(1) = 2. b. f(-2) = 11.
f(x) 1 -1 ()
c. f 1 = 1.
2
d. f 3 = 4 .
2 ()
0,25 -2,5
11 1. La valeur exacte probable est π.
2. La valeur exacte probable est 2 .
8 3. La valeur exacte probable est 3 .
12 -1 - x2 ¯ - x2 ¯ 1 - x2 ¯ 1 ¯ 1 + x2
13 1. Réponse b.
2(x - 1)2 + 1 = 2(x2 - 2x + 1) + 1 = 2x2 - 4x + 3 = f(x)
1 2. Réponse c.
0 3(x - 1)(x + 4) = 3(x2 + 4x - x - 4) = 3x2 + 9x - 12 = g(x)
1
0− 1
3. Réponse b. h (0) = 2 = −1
0+ 1
2
1. Les fonctions 19
Exercices
17
Phrase Représentation Intervalle Inégalité
Ensemble des réels
[-3 ; + [ x > -3
supérieurs ou égaux à -3 –5 –4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4
18 a. Vraie, tous les nombres réels strictement d. Vraie, ]- ; 4[ ⊂ [- ; 4].
inférieurs à 0 sont négatifs. e. Vraie, [0 ; 2] ⊂ [-1 ; 5].
b. Vraie, x 0 2. 19 1. L’algorithme permet de vérifier si un nombre
c. Vraie, si x - 2 ¯ 0, alors x ¯ 0 + 2 ⇔ x ¯ 2. x appartient ou pas à l’intervalle [ a ; b].
20
Exercices
2. Premier cache : « x [ a ; b] ». calcul qui permet d’obtenir l’image d’un nombre x
Deuxième cache : « x [ [ a ; b] ». devra ressembler au programme suivant :
3. • choisir un nombre x plus grand ou égal à - 3
VARIABLES 2
a EST DU TYPE NOMBRE
• multiplier ce nombre par 2
x EST DU TYPE NOMBRE • ajouter 3
DEBUT ALGORITHME • enfin, calculer la racine carrée du résultat
AFFICHER « entrer une valeur de a »
LIRE a ( )
2. f (0) = 3 ; f (11) = 5 ; f ( −1,5) = 0 ; f − 1 = 2,.
2
AFFICHER « entrer une valeur de x »
LIRE x Remarque : Il n’est pas possible de calculer l’image du
nombre -4 car celui-ci n’appartient pas au domaine
SI (x ¯ a) ALORS
de définition de la fonction f (cf. question 1.).
DEBUT_SI
AFFICHER x ]- ; a] 26 1. D’après le théorème de Pythagore :
FIN_SI l2 = x2 + 32.
SINON Soit, l = x2 + 9 car l est une longueur, donc positive.
DEBUT_SINON Pour x = 5, on a l = 6.
AFFICHER x [ ]- ; a] Pour x = 7, on a l = 58 .
FIN_SINON
FIN ALGORITHME
27 D’après la deuxième colonne du tableau, on peut
supposer que la fonction v(x) cherchée est une fonction
20 1. f(0) = 1. linéaire. D’après la dernière colonne, on peut supposer
( ) ( ) ( )
3. f 11 = 11; f −17 = −17; f 251 = 251.
4 4 4
phique viendrait confirmer cette hypothèse, en obser-
vant que les points sont alignés entre eux et avec
22 1. f(0) = -1 ; f(1) = 2. l’origine du repère.)
2. Si -1 est un antécédent de -10 par la fonction f, 3. D’après la troisième colonne du tableau, il semble
alors f(-1) = 10. que le coefficient directeur de la fonction linéaire
f(-1) = -2 - 3 - 4 - 1 = -10 cherchée est 0,2. On confirme cette hypothèse avec
-1 est bien un antécédent de -10 par la fonction f. les colonnes une et deux :
23 1. La fonction f(x) est définie sur l’intervalle f(x) = 0,2x.
]- ; 6[ ]6 ; + [, le réel 6 est une valeur interdite, 30 1. À chaque valeur de x du tableau, on associe
il est donc possible de calculer les images par f des une image et une seule, ce tableau peut donc tout à
réels 11, 7, 0 et 1. fait représenter une fonction.
2. Le programme de calcul est : 2. Les points alignés entre eux sur le graphique font
choisir un nombre x différent de 6 penser que la fonction cherchée est une fonction affine.
soustraire 6 à ce nombre 3. Calcul du coefficient directeur de la fonction affine :
prendre l’inverse du résultat y A − yB 14 − 6
ajouter 2 = = 8 = −2 .
xA − xB −5,5 − ( −1,5) −4
24 « Un rectangle est deux fois plus long que Calcul de l’ordonnée à l’origine b de la fonction affine :
large » se traduit mathématiquement par :
f(x) = -2x + b ;
L = 2l
f(-3) = -2 × (-3) + b ;
P = 2 (l + L) = 2 × (l + 2l) = 6l
9 = 6 + b ;
A = L × l = 2l × l = 2l2
b = 3.
25 1. La fonction f ( x ) = 2x + 3 a pour domaine L’expression algébrique de y en fonction de x est
de définition l’intervalle [ − 3 ; +∞[ . Le programme de y = -2x + 3.
2
1. Les fonctions 21
Exercices
31 • La courbe 1 est représentative d’une fonction, 33 1. Graphiquement, l’image de 5 est 18. La loca-
car tout réel de l’axe des abscisses a une image unique. tion coûte donc 18 euros par jour, soit 5 × 18 = 90
• La courbe 2 est représentative d’une fonction, car euros pour l’intégralité du séjour.
tout réel de l’axe des abscisses a une image unique. 2. Graphiquement, l’image de 7 est 16. La location
• La courbe 3 n’est pas représentative d’une fonc-
coûte donc 16 euros par jour, soit 7 × 16 = 112 euros
tion, car certains points de la courbe ayant la même
pour l’intégralité du séjour.
abscisse ont des ordonnées différentes.
• La courbe 4 n’est pas représentative d’une fonc- 3. Si le client a payé 176 euros, il a forcément loué
tion, car certains points de la courbe ayant la même la voiture 22 euros par jour ou 16 euros par jour, car
abscisse ont des ordonnées différentes. 176 n’est pas divisible par 18.
• La courbe 5 est représentative d’une fonction, car S’il l’a loué 22 euros par jour, cela correspond à 8 jours
tout réel de l’axe des abscisses à une image unique. de location. Or le tarif de 22 euros n’est proposé que
• La courbe 6 n’est pas représentative d’une fonc- pour 2 jours au plus. La seule possibilité est donc
tion, car certains points de la courbe ayant la même d’avoir loué la voiture 11 jours à 16 euros par jour.
abscisse ont des ordonnées différentes. 34 1. La courbe représentant le cours en bourse
32 1. La courbe représentant l’altitude (en km) en du café en fonction du temps est représentative d’une
fonction de la température (en °C) n’est pas repré-
fonction, car tout réel de l’axe des abscisses à une
sentative d’une fonction, car certains points de la
image unique.
courbe ayant la même abscisse ont des ordonnées
différentes. Par exemple les points d’abscisse -40 °C 2. Le prix du café à atteint son maximum, environ
et -20 °C. 2043 $/t, le 8 février vers 3 h 00 du matin.
2. On peut par exemple souligner que l’on trouve la 3. Le 7 février à 0 h 00, le prix du café était entre 2020
température -40 °C à quatre altitudes différentes. et 2025 $/t. La courbe ne permet malheureusement
3. Pour obtenir la courbe d’une fonction il suffit de pas d’être plus précis.
représenter la température (image) en fonction de V − VI 2 043 − 2 020
4. t = F = ≈ 0,0114 , soit environ
l’altitude (antécédent), dans ce cas tout réel de l’axe VI 2 020
des abscisses a une image unique. 1,14 % d’augmentation.
35
En maths Avec le verbe être Avec le verbe avoir Autre formulation
36 f(-1) = -2 et f(2) = 1 : le tableau de valeurs d b. La proposition est fausse. La droite d’équation y = 4
correspond à la fonction f(x). coupe la courbe représentative de h en 5 points, donc
h(-1) = 0 ; h(0) = -1 ; h(1) = 0 ; h(2) = 3 ; h(3) = 8 : seul 4 à 5 antécédents par h.
le tableau de valeur c correspond à la fonction h(x). c. La proposition est vraie, graphiquement l’image de
g(-1) = 0 ; g(0) = -1 ; g(1) = 0 ; g(2) = 3 ; g(3) = 8 : seul 3 par la fonction h est 4.
le tableau de valeurs c correspond à la fonction g(x). d. La proposition est fausse, graphiquement l’image
k(-1) = 0 ; k(0) = -1 ; k(1) = 0 ; k(2) = 15 : les tableaux de 3 par la fonction h est 4 et cette image est diffé-
de valeurs a et c correspondent à la fonction k(x). rente de l’ordonnée du point M.
37 a. f(5) = 2 × 5 − 3 = 7 : la proposition est vraie. e. La proposition est vraie, graphiquement l’image de
b. f(9) = 2 × 9 − 3 = 15 : la proposition est fausse. 5 par la fonction h est 4.
c. f(x) = −1 ⇔ 2x − 3 = −1 ⇔ x = 1: la proposition est f. La proposition est vraie, la droite d’équation y = 8
vraie. n’a aucun point d’intersection avec la courbe repré-
d. f(0) = 2 × 0 − 3 = −3 : −3 est différent de l’ordonnée sentative de h.
du point P, la proposition est donc fausse. g. La proposition est fausse, y = 4 est une fonction,
e. f(−4) = 2 × (−4) − 3 = −11: la proposition est fausse. donc à chaque réel est associée une unique image.
38 1. π est l’image de −2 par la fonction h. 40 a. L’image de 3 est égale à 2.
2. 2 est un antécédent de 7 par la fonction s. b. f(1) est environ 1,5.
39 a. La proposition est fausse, graphiquement c. 6 a pour image environ 1.
l’image de 2 par la fonction h est −1. d. Au nombre 0 on associe le nombre 1.
22
Exercices
42 1. t −2 −1 0 1 2 3 4 5 6 7 8
u(t) −22 −10 0 8 14 18 20 20 18 14 8
1. Les fonctions 23
Exercices
Plus le côté d’un tétraèdre régulier augmente, plus la 55 1. La fonction f est décroissante sur l’intervalle
hauteur et l’aire de la base de celui-ci augmentent, et [−4 ; −1] et croissante sur l’intervalle [−1 ; 1].
donc plus son volume augmente. 2.
51 a. La proposition est vraie, le tableau de varia- x -4 -2 -1 1
tion de h permet de vérifier qu’au nombre −2 est 2 1
associé l’image −1. f(x) -2
b. La proposition est fausse, sur l’intervalle [3 ; 5], -3
la fonction h est décroissante et les images appar-
tiennent à l’intervalle [4 ; −2], il existe donc une valeur 56 La fonction est le nombre de véhicules diesel
vendus (images) en fonction du temps exprimé en
α appartenant à l’intervalle [3 ; 5], tel que f(α) = −1.
année (antécédents).
c. La proposition est vraie, sur l’intervalle [−6 ; 3},
f(x) > −1 et f(−2) = −1. 57
d. La proposition est fausse, h est croissante sur x -2 1 3
l’intervalle [−1 ; 3]. 2
f(x)
e. La proposition est vraie.
f. La proposition est fausse, si −6 ¯ x ¯ 3, alors
58 1. Df = [−2 ; 5].
−1 ¯ h(x) ¯ 4.
2. 0 a quatre antécédents par f (la courbe représen-
52 a. f(3) > f(−1,5) tative de f coupe quatre fois l’axe des abscisses).
b. f(5) > f(7) 3. Le minimum de f sur son ensemble de définition
c. La fonction f n’est pas strictement monotone sur est −5 et ce minimum est atteint pour x = 3.
l’intervalle [−1 ; 6], on ne peut donc pas conclure. 3. a. Le maximum de f sur son ensemble de définition
53 1. est 4 et ce maximum est atteint pour x = 5.
b. Le maximum de f sur [−1 ; 2] est 2 et ce maximum
x -2 0 1 2 5
est atteint pour x = 1.
0 2
5. a. La fonction f est négative sur l’intervalle [−2 ; 4].
f(x) 0
b. La fonction f est décroissante sur l’intervalle [1 ; 3].
-3 0
6. Si x [1 ; 5], alors −5 ¯ f(x) ¯ 4.
2. 7. a. 6 n’a pas d’image par f car 6 n’appartient pas
y
au domaine de définition de f.
1 b. 5 n’a pas d’antécédent par f, la droite d’équation
0 x
y = 5 ne coupe jamais la courbe représentative de f.
1
8. Les abscisses des points de la courbe en dessous
ou sur la droite d’équation y = −1,5 appartiennent à
l’intervalle [2 ; 4].
59 a. −1,5 [−2 ; 1]. b. − π [−4 ; −3].
3. La fonction f est négative sur l’intervalle [−1 ; 0]. c. −5,5 ]−6 ; −5,5]. d. 3,15 [ [−3,113 ; 3,149].
4. 0,5 , 1,5 or la fonction f est croissante sur l’inter-
e. 1 ” ⎡ 1 ; 1 ⎤ . f. 2 2 [ [2 ; 3] .
valle [0 ; 2], les images sont donc rangées dans le 7 ⎣6 5 ⎦
même ordre que les antécédents : f(0,5) f(1,5). g. 5 − 3 ” [0 ; + [ . h. 2 ” [2 ; 3] .
3
54 1. a. On ne peut pas savoir.
b. La proposition est fausse, car la fonction k est stric- 60 1. 0 ¯ x ¯ 4. 2. −3 ¯ x ¯ −2.
tement décroissante sur l’intervalle [ 9 ; 11]. 3. x [−7 ; −6].
c. La proposition est vraie, car 0 est un nombre entier 4. −x + 3 > 0 ⇔ x ¯ 3, donc x [− ; 3].
positif. 61 1. Il y a 23 nombres entiers dans l’intervalle
d. La proposition est vraie, car 1 > k(10) > 0 et [0,5 ; 23,4[.
−3 > k(0) > −6. 2. Il y a 91 nombres entiers dans l’intervalle
e. La proposition est vraie, les antécédents de 0 par [− 60,4 ; 30,2[.
la fonction k sont 7 et 11. 3. Les nombres 2000 et 8787 appartiennent à l’inter-
f. −6 ¯ k(6) ¯ 0, mais cette information est insuffi- valle [103 ; 104].
sante pour savoir si la proposition est vraie ou fausse. 4. Les nombres 2 × 10− 6 et 9 × 10− 6 appartiennent à
2. a. La fonction k est positive sur l’intervalle [7 ; 11], l’intervalle [10− 6 ; 10− 5].
et négative sur l’intervalle [−2 ; 7]. 62 1. La formule = B1 + 0,5 tapée dans la cellule
b. La fonction k est décroissante sur l’intervalle C1 permet de fixer un pas de 0,5 entre chaque abs-
[−2 ; 5] [9 ; 11] et croissante sur l’intervalle [5 ; 9]. cisse dont on veut calculer l’image.
24
Exercices
0 1
()1
69 1. f (0) = 0 ; f (2) = 2a ; f 3 = 3 .
a 0 1
1. Les fonctions 25
Exercices
73 1. 0 a pour image 7 par la fonction h. Ablanche = (aire du rectangle ABCD) - (aire du carré
2. -5 a pour antécédent -3 par la fonction h. AMPQ + aire du rectangle PRCT)
3. Sur l’intervalle [2 ; 7] la fonction h est strictement Ablanche = 80 - (x2 + (10 - x)(8 - x))
croissante, de plus h(2) = -3 et h(7) = -2, donc tous Ablanche = 80 - (2x2 - 18x + 80)
Ablanche = -2x2 + 18x
les nombres appartenant à l’intervalle ]-3 ; -2[ sont
Pour connaître la position du point M afin que l’aire
susceptibles d’être des images de 4 par la fonction h.
blanche soit égale à quatre fois l’aire du carré AMPQ,
-2,5 est une valeur possible.
il faut résoudre l’équation :
4. a. h(0) = 7 et -2 h(50), donc l’inégalité
Ablanche = 4 × AAMPQ ⇔ -2x2 + 18x = 4x2
h(0) h(50) est fausse.
⇔ -6x2 + 18x = 0
b. h(-5) = 2 et -5 h(-4) 2, donc l’inégalité ⇔ -6x(x + 3) = 0.
h(- 5) h(-4) est vraie. -2x(x + 3) = 0 est un équation produit nul avec deux
c. -3 h(1) 7 et h(2) = -3, donc l’inégalité solutions, x = 0 et x = -3. Dans cet exercice, seule la
h(1) h(2) est vraie. solution où AM = 0 est acceptable.
74 1. Df = Dg = ]−4 ; 4[. 76 1. Df = [−4 ; 5].
2. a. f(x) = 3 a pour solutions x = 0 et x = 3. 2. a. f(x) = 4 a pour solutions x = -4, x = -1 ou x = 1.
b. f(x) = −1 a pour solution x = −3. b. f(x) = 5 a pour solution x = -2.
c. g(x) = 1 a pour solutions x = −1 et x = 0,5 environ. c. f(x) = -1 a pour solution x = 3,5 environ.
d. f(x) = g(x) a pour solutions les abscisses des points 3. a. f(x) 4, a pour solutions x ]−4 ; −1[.
d’intersection des courbes Cf et Cg, soit x = −1 et x = 3. b. f(x) 3 a pour solutions x ]2 ; 5].
3. a. f(x) 0, pour x ]−2 ; 4]. c. f(x) > 0 a pour solutions x [−4 ; 3].
b. f(x) > 1 pour x ]−1 ; 4]. 77 1. Pour déterminer l’instant où le projectile
c. f(x) ¯ g(x), pour x ]−4 ; −1] ou x = 3. retombera sur le sol, il faut résoudre l’équation h(t) = 0.
75 Soit AM = x. h(t) = 0 ⇔ −5t2 + 100t = 0 ⇔ −5t(t − 20) = 0
L’aire du rectangle ABCD est égale à 8 × 10 = 80. −5t(t − 20) = 0 est un équation produit nul avec deux
L’aire du carré AMPQ est égale à x2. solutions, t = 0 (origine) et t = 20. La balle retombera
L’aire du rectangle PRCT est égale à (10 - x)(8 - x). sur le sol au bout de 20 secondes.
2. a.
t 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
h(t) 0 95 180 255 320 375 420 455 480 495
10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
b. D’après le tableau de la question 2. a., la hauteur maximale semble être 500 m et est atteinte pour t = 10 s.
3. h(10) − h(t) = 500 − (−5t2 + 100t) = 500 + 5t2 − 100t = 5(t2 − 20t + 100) = 5(t − 10)2.
Or 5(t − 10)2 > 0 ⇔ h(10) − h(t) > 0 ⇔ h(10) > h(t).
À t = 10 s, le projectile a bien atteint son altitude maximale.
78 1. T(x) = −2 a pour solutions x = 0 et x = 7,25 2. Le point d’intersection des deux courbes est le
environ. point d’équilibre pour lequel l’offre est égale à la
T(x) > −6 a pour solutions x [0 ; 2] [6 ; 20]. demande.
y
2. Les antécédents de 0 °C par la fonction T sont 8 h 81 1.
et 20 h.
3. T(x) > 0 a pour solutions x [8 ; 20].
4. Le maximum de la courbe représentative de T est
5 °C et il est atteint pour x = 15 h.
0 x
79 a. Y3 b. Y6 c. Y1 y
d. Y5 e. Y4 f. Y2 2.
26
Exercices
3. y
84 1. f(x) = (x + 2)2 − 1 = x2 + 4x − 3.
2. f(x) = (x + 2)2 − 1 = (x + 2 + 1)(x + 2 - 1) = (x + 3)(x + 1).
3. a. f ( 2 ) = ( 2)2 + 4 2 + 3 = 5 + 4 2 .
b. f(−2) = (−2 + 2)2 − 1 = −1.
c. f(x) = 3 ⇔ x2 + 4x + 3 = 3 ⇔ x2 + 4x = 0 ⇔ x(x + 4) = 0
équation produit nul dont les solutions sont 0 ou −4.
0 x
d. f(x) = 0 ⇔ (x + 3)(x + 1) = 0 équation produit nul dont
4. y les solutions sont −3 ou −1.
e. f(x) = 4x + 3 ⇔ x2 + 4x + 3 = 4x + 3 ⇔ x2 = 0 ⇔ x = 0.
f. f(x) = x2 + x ⇔ x2 + 4x + 3 = x2 + x ⇔ 3(x + 1) = 0 ⇔ x = −1.
85 1. x [0 ; 5].
2 (5 − x )2 .
2. A
AMQ= x , ABMN =
2 2
0 x AMNPQ = AABCD - 2 × AAMQ - 2 × AMBN
2 (5 − x )2
5. y AMNPQ = 52 − 2 × x − 2 ×
2 2
AMNPQ = 25 - x2 - (25 - 10x + x2)
AMNPQ = 10 x - 2x2
3.
x 0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4 4,5 5
f(x) 0 4,5 8 10,5 12 12,5 12 10,5 8 4,5 0
0 x
4. y
6. y
10
0 5
x
1. Les fonctions 27
Exercices
87 1. La hauteur d’un triangle équilatéral de côté Graphiquement, la fonction f(l) semble admettre un
c 3 maximum de 12 cm2 atteint pour l = 4 cm.
c est égale à .
2
Le point M étant sur une hauteur du triangle équila- 91 2. L’équation f(x) = 0 semble admettre deux
3 3 solutions d’après la courbe.
téral x [ 0 ; .
2 3 3
( )
3. La conjecture semble toujours la même avec la
−x ×3 nouvelle fenêtre.
2
2. ABMC = MH × BC = = 9 3 − 3x . 4. a. ( x − 1,4)( x − 2 )( x + 2 )
2 2 4 2
= (x - 1,4)(x 2 - 2)
88 1. Non, il faudrait élargir la taille de la fenêtre
= x3 - 1,4x2 - 2x + 2,8
du graphique ou bien connaître la forme algébrique
Donc, f ( x ) = ( x − 1,4)( x − 2 )( x + 2 ) , équation pro-
de la fonction f.
duit qui admet trois solutions, x = 1,4, x = 2 et x = - 2 .
2. Même réponse qu’à la question 1.
b. La conjecture de la question 2. est fausse car les
89 1. La production est rentable lorsque la courbe valeurs de 1,4 et 2 sont très proches et la résolu-
représentative de la recette est située au dessus tion graphique de la calculatrice ne permet pas de
de la courbe représentative du coût de production . distinguer ces deux solutions de l’équation f(x) = 0.
Graphiquement, la production est rentable pour
une production en tonne appartenant à l’intervalle 92 1.
]500 ; 2000[. n 4 3 2 1
2. Le bénéfice est maximal lorsque, pour une même 3 17 577
a 1 2 12 408
abscisse, l’écart absolu entre la courbe et est
maximal. Graphiquement, il semble que le bénéfice 1. a. Lorsque n est suffisamment grand, l’algo-
est maximal lorsque 1 250 tonnes sont produites. rithme semble afficher toujours le même résultat :
90 1. l [0 ; 8] 1,414213562.
2. Il semble que la fonction f est croissante sur l’inter- b. Le nombre affiché semble être une très bonne
valle [0 ; 4] et décroissante sur l’intervalle [4 ; 8]. approximation du nombre réel 2 .
3. (SM) parallèle à (AB), S [CA] et M [CB] . D’après 93 Sur l’intervalle 21 ; 2 , la copie d’écran laisse
le théorème de Thalès : supposer que la courbe représentative de la fonction
CS = SM = CM ; CS = l ; CS = 6l = 3l
6 8 8 4 f(x) est constante.
CA AB CB
Un zoom approprié sur l’intervalle 1 ; 2 permet
Donc SA = 6 − 3l et l’aire du rectangle ASMR est 2
4 de constater que la supposition est fausse et que la
(
égale à l 6 − 3
4)
l 2
= 6l − 3l .
4
courbe représentative de la fonction f(x) est décrois-
sante sur cet intervalle.
94
Âge des feuilles
0 2,5 6 10,5 55 67
(en millions d’années)
x (indice stomatique en %) 8,5 9 15,8 10,5 8,42 6,95
y (taux de CO2 atmosphérique
-12,836 × 8,5 + 489,04 ≈ 380 374 286 354 381 400
arrondi à l’unité)
95 1. La vitesse de propagation de l’onde varie en fonction de la profondeur de l’océan. Plus la profondeur
est importante, plus la vitesse de propagation de l’onde est grande. La vitesse est donc bien une fonction de la
profondeur de l’océan.
3. a.
Profondeur (m) 7000 4000 2000 200 50 10
Vitesse théorique (km ⋅ h–1)
3,6 9,8 × 7000 ≈ 943 713 504 159 80 36
arrondie à l’unité
Vitesse enregistrée (km ⋅ h–1) 943 713 504 159 79 36
b. Les vitesses théoriques issues du modèle sont égales aux vitesses enregistrées à l’unité près : on peut donc
considérer que le modèle des physiciens est tout à fait satisfaisant.
96 Lorsque le point M est confondu avec le point B, D’après le domaine de définition des deux fonctions,
l’aire du triangle BMC est égale à 0 et l’aire du trapèze x [0 ; 5]. Lorsque x = 0, M est confondu avec le
AMCD est maximale. Donc la fonction linéaire en bleu point B et lorsque x = 5, le point M est confondu avec
est l’aire du triangle BMC en fonction de la longueur A. Donc la longueur du segment [AB] est égale à 5.
x et la fonction affine en rouge est l’aire du trapèze Lorsque x = 5, l’aire du triangle BMC est égale à 10 u.a.
AMCD en fonction de la longueur x. Or l’aire du triangle est égale à la hauteur multipliée
28
Exercices
par la longueur de la base et divisée par 2. Lorsque b. Dans le problème, on cherche à maximiser l’aire du
le point M est confondu avec le point A, on a donc : rectangle jaune. Or l’aire d’un rectangle est le produit
ABMC = DA × AB ⇔ 10 = DA × 5 ⇔ DA = 4 . de sa longueur avec sa largeur ; avec les données de
2 2 l’énoncé, cela revient à chercher le maximum de la
Lorsque x = 0 le point M est confondu avec le point B
fonction f ( x ) = 2x × 2 R2 − x2 = 4 x R2 − x2 .
et l’aire du trapèze AMCD est égale à 16 u.a. Or l’aire
d’un trapèze est égale à h × (b + B ) . On a donc : 2. a. Arectangle = 2 × x × 2R = 2xR .
2 2
DA × (DC + AB) 4 (DC + 5) b. x est la longueur du segment joignant un point
AAMCD = ⇔ 16 = ⇔ DC + 5 = 8 ⇔ DC = 3
2 2 du cercle et le projeté orthogonal de ce point sur le
DA × (DC
+ AB) 4 ( DC + 5 ) diamètre du cercle. La longueur x appartient donc à
MCD = ⇔ 16 = ⇔ DC + 5 = 8 ⇔ DC = 3
2 Lorsque le point M2est situé sur [AB] de sorte que le l’intervalle [0 ; R]. D’après la réponse à la question
triangle CMB est rectangle en M, alors CM = 4, MB = 2 2.a., l’aire du rectangle est une fonction linéaire de
et, d’après le théorème de Pythagore : x, elle sera maximale pour la plus grande valeur per-
CB2 = CM2 + MB2 mise de x, soit x = R.
CB2 = 20. c. Amaxi du rectangle = 2R2 .
CB = 20 . d. Lorsque x = R, les diagonales du rectangle sont
97 1. a. D’après le théorème de Pythagore, on a : perpendiculaires, le rectangle est alors un carré.
()
2 l = R2 − x2
R =x +
2 2 l ;
2 2
l = 2 R2 − x2 .
Accompagnement personnalisé
98 1. • La fonction f est définie sur l’intervalle [-5 ; 5]. c. 2 + 6 x = 1 + 3 x = 1 + 3 x , la proposition est
• Le point de coordonnée (0 ; 1) appartient à la courbe f. 4 2 2 2
• L’image de -5 par la fonction f est 0. fausse.
• La fonction f(x) est croissante sur l’intervalle d. 22 = 4, la proposition est vraie.
[- 5 ;- 4]. e. x2 = 4 ⇔ x = 2 ou x = -2, la proposition est fausse.
• L’équation f(x) = 0 admet exactement deux solutions. f. (x - 2)(x + 4) = x2 + 2x - 8, la proposition est vraie.
• 1 admet exactement deux antécédents par la fonc- g. 3 × 1 = 1 est un contre-exemple, la proposition est
tion f(x). 3
fausse.
• Le maximum de la fonction f(x) est 3.
h. x = 2,5 est un contre-exemple, la proposition est
• Le minimum de la fonction f(x) est -5. fausse.
• L’abscisse du maximum est -2.
i. Tout nombre réel supérieur à 3 est supérieur à 2,
• L’ordonnée du point d’abscisse 5 est -5.
la proposition est vraie.
99 Le volume d’un prisme est égale à Aire de la base j. L’ensemble des images de x par la fonction racine
× Hauteur, donc d’après les conventions de l’exercice, carré appartient à l’intervalle [0 ; + [. La proposition
V = 1 pqs . La somme des longueurs des arêtes est est fausse.
2
(
égale à 2p + 2q + 2r + 3s = 2 p + q + r + 3s .
2 ) k. Pour tout nombre x non nul, x + 2 = x + 2 = 1 + 2 ,
la proposition est vraie.
x x x x
La surface totale du prisme est la somme de l’aire de
deux triangles rectangles (pq) et de trois rectangles 102 Tableau de valeurs :
de longueur s et de largeur respective p, q et r. x -2 -1,5 -1 -0,5 0 0,5 1
Donc S = s(p + q + r) + pq. f(x) 13 6,75 2 -1,25 -3 -3,25 -2
100 f ( x ) = 3 × x +1 4 définie sur l’intervalle x 1,5 2 2,5 3 3,5 4 4,5
]- ; -4[ ]-4 ; + [. f(x) 0,75 5 10,75 18 26,75 37 48,75
1. f (1) = 3 .
5 Expression algébrique :
2. f ( x ) = 1 ⇔ 3 × 1 = 1 ⇔ x + 4 = 9 ⇔ x = 5 , f(x) = 3x2 - 2x - 3
3 x+4 3 Représentation graphique :
1
cet antécédent est l’unique antécédent de 3 .
3. f(-1) = 1.
4. f ( x ) = 0 ⇔ 3 × 1 = 0 , cette équation quotient
x+4
n’a pas de solution, Valentin a certainement commis 20
une erreur.
0
101 a. f(-1) = 2, la proposition est fausse. 2
b. 2x + 4 = 1 ⇔ x = − 3 = −1,5 , la proposition est vraie.
2
1. Les fonctions 29
Exercices
No problem
104 1. PP==22(l(l++LL))⇔ l l==P2P2−−LL. 4. 5A − 6 = A ⇔ 5A − 6 = 4A ⇔ A = 6.
4
A= L×l = L P −L .
2 ( ) 5. B = 5A − 6 = 5A − 6 = 4B ⇔ A = 4B + 6 .
4 5
2 ( 2 )
2. A = L P − L ⇔ P − L = A ⇔ P = 2 A + L .
L L ( ) 110 1. The domain of f is [-5 ; 4].
105 2. a. f(-1) = 0, is wrong f(-1) = -4.
Radius of the
b. One antecedent of -2 by f is 1, NPC.
22 242 352 c. f(-4) f(-2), is Right, f is decreasing when x below
trunk (mm)
Ages (years) 5 55 80
to the interval [-5 ; -1].
d. The image of -3 by f is greater than 1 is wrong f(-3)
1. If the radius of the trunk is 242 mm, the tree is 55 below to the interval [-4 ; -2].
year old. e. f(1) f(2) is wrong, f is increasing when x below to
2. If the tree is 80 year old, its radius is 352 mm. the interval [-1 ; 2].
f. f(-5) f(2) is Right, f(-5) = -2 ; f(2) = 3.
106 4x = x3 ⇔ 4x - x3 = 0 ⇔ x(4 - x2) = 0,
g. The maximum of f on the interval [-4 ; 2] is 4 is
x = 0, x = 2 or x = -2.
wrong, the maximum on this interval is 3.
107 Jane increases lineary her speed during the h. The maximum of f on the interval [-3 ; -1] is -3,
first 20 seconds of her run to reach 4m/s, then she NPC.
maintains her speed during the next 30 seconds and i. For every x belonging to [-1 ; 2], -6 f(x) 5 is
during the last 50 seconds she decreases her speed right.
lineary to reach 0 m/s. j. f(-2,5) f(2,5) is right -2 f(-2,5) -4 and
0 f(2,5) 3.
108 k. f(1,9) f(2,1), NPC.
3 cm
B C
E
111 1. The degree Celsius is the temperature unit
which is used in most countries. The 0°C was defi-
6 – x cm
9
M
3. 5(100 − 32) ≈ 37,8 , the doctor should not worried,
x cm
9
37,8°C is the normal body temperature.
A D
4. C = 5(F − 32) ⇔ 5(F − 32) = 9C ⇔ F = 9C + 32 .
If we want C and C' to be tangent, MBE should be a 9 5
rectangular triangle with the following condition (see 5. F(0) = 32 °F ; F(100) = 212 °F .
the draw): 6. Fahrenheit 451 is a science fiction book written by
(x + 3)2 = 32 + (6 - x)2 ; 18 x - 36 = 0 ; x = 36 = 2 . Ray Bradbury.
18
109 1. • Choose a real number 112 1. 451 is the number mentioned in this extract.
• Multiply this number by 5 2. a. Fahrenheit 451 is a science fiction book written
• Subtract 6 by Ray Bradbury and published on 1953.
• Divide the result by 4 b.The title refers to the temperature that Bradbury
2. If A = -10, then B = -14. understood to be the autoignition point of paper.
3. 5A − 6 = 2 ⇔ 5A − 6 = 8 ⇔ A = 14 3. C(451) ≈ 233 °C. See the previous exercice.
4 5
30
Exercices
1. Les fonctions 31
2 Le premier degré
Présentation du chapitre
Ce chapitre est l’un des plus importants de l’année de Seconde en raison de sa position charnière dans l’apprentissage
de la proportionnalité et des phénomènes linéaires et affines pour les élèves issus de Collège.
• Ce chapitre réactive les connaissances développées au Collège en présentant la définition des fonctions affines et
en les complétant par l’utilisation du coefficient directeur.
• Les fonctions affines permettent de mettre en œuvre la définition des variations. Elles sont aussi l’occasion de pré-
senter la notion de signe d’une fonction et d’introduire les tableaux de signes.
• Le chapitre suit le fil conducteur de tous les chapitres d’analyse en présentant la résolution complète des équations et
inéquations du premier degré. C’est ici l’occasion de compléter la première étude graphique de résolutions d’équations
et d’inéquations en montrant aux élèves que les fonctions affines permettent aussi une résolution algébrique et donc
la résolution exacte des problèmes qui utilisent ces fonctions. Les exercices utilisent donc tour à tour les résolutions
algébriques ou graphiques selon l’intérêt des situations. L’utilisation de calculatrices ou de logiciels est ici une bonne
occasion de résoudre des problèmes et de procéder à des vérifications à la portée des élèves.
• Ce chapitre est enfin l’occasion de développer des démonstrations simples mais complètes.
2. Le premier degré 33
Pour construire le cours
Objectif :
Reconnaître une situation affine.
1. On réalise ce graphique avec un logiciel de géométrie.
2. On constate que les points représentant les variétés A et B sont alignés, mais pas les points représentant la
variété C.
Cette situation réactive la fonction affine vue en Troisième.
Une fonction affine est une fonction définie sur (ensemble des nombres réels)
par la relation :
f (x) = mx + p, où m et p sont des réels fixés.
Si p = 0, l’écriture devient f (x) = mx ; on dit alors que f est une fonction linéaire.
Si m = 0, l’écriture devient f (x) = p ; on dit alors que f est une fonction constante.
Objectif :
Déterminer les éléments caractéristiques d’une fonction affine : coefficient directeur, ordonnée à
l’origine.
1. On note x le nombre d’heures réservée et f (x) le montant à payer chaque mois.
On a donc f (x) = mx + p.
34
Pour construire le cours
2. En mai, le client joue 8 heures. Il va payer un montant égal à f (8) euros : f (8) = 7,5 × 8 +11 = 71.
Le client va payer 71 €.
Objectif :
Exploiter le graphique d’une fonction affine et son expression.
1. Chaque droite représente une fonction affine.
2. À une température de 50°, la longueur de la tige en acier est de 300,18 cm.
C’est l’occasion de réactiver la lecture graphique de l’image d’un nombre par une fonction. Cette question est
aussi l’occasion de faire travailler sur les éléments caractéristiques d’une fonction affine : coefficient directeur
de la droite et ordonnée à l’origine.
Le rail s’allonge donc de 3 001,8 – 3 000 = 1,8 cm. Le joint de dilatation doit permettre l’allongement de deux rails.
Il doit donc être d’une longueur de 3,6 cm
2. Le premier degré 35
Diaporamas
a. –2
Développer (2x + 1)2. b. 0
c. 2
d. 1
2
a. –2 a. 3
b. 0 b. 30
c. 2 c. 300
d. 1 d. 15
2
a. 3x 0
Calculer l’image de 1 par la fonction f définie par :
b. 2x + 1 0 5
f (x) = 2x – 1.
c. 5 – x 0
f (x) = 3 x – 1.
Quel est le signe du nombre π × (−5) × 2 × − 1 ?
3 ( )
4
36
Diaporamas
Parmi les droites ci-contre, quelle est celle qui représente Parmi les droites ci-contre, quelle est celle qui
la fonction définie par f (x) = –2x + 3 ? représente la fonction définie par g (x) = x – 2 ?
a. d1 d3 a. d1 d1
d1 d4 d2
b. d2 b. d2
d4
c. d3 1 1
c. d3
0 1 0 1
d. d4 d2 d. d4 d3
Parmi les fonctions affines définies par les expressions par f (x) = 5x + 1 est :
suivantes, quelles sont celles qui sont croissantes sur ? a. 1
5
a. f ( x ) = 3 x − 2 b. g( x ) = 5 − 3 x b. –5
5
c. h( x ) = x d. k( x ) = −1 + x c. − 1
3 5
d. –4
© Hachette Livre – Mathématiques 2de © Hachette Livre – Mathématiques 2de
a. f : x ∞ 3x – 1 b. f : x ∞ –3x – 1 a. f : x ∞ –2 + 4x b. f : x ∞ –2 – 4x
c. f : x ∞ –3x + 1 d. f : x ∞ 3x + 1 c. f : x ∞ 2 + 4x d. f : x ∞ 2 – 4x
2. Le premier degré 37
Exercices
38
Exercices
3
Ainsi, 3x − 3>0 ⇔ f(x) >0 ⇔ x[ ⎡⎣ 3 ; +` ⎡⎣ .
13 Les équations qui ont –1 comme solution sont
2 b. et d..
3 1 5
1 14 a. 6 = ; −1. b. 6 = 7 ; − . c. 6 = 0 ; − .
–5 –4 –3 –2 –1 1 2 3 4 2 3 2
1 3
x 15 1. f ( x) = − x . 2. g (x) = –3x. 3. h( x) = − 2 x .
–1 2
3 7 3
–2 16 a. f ( x) = x − , m = 0 , donc f est crois-
2 2 2
sante sur .
–3 4
b. g( x ) = −3x + , m = –3 0, donc g est décroissante
sur . 3
–4
c. h (x) = –x, m = –1 0, donc h est décroissante sur
–5
.
3. 3 5 − 5 = f ( 5 ) et 3 7 −5 = f ( 7) . 2 3 2
d. k ( x ) = x − , m = 0, donc k est croissante sur
3 4 3
Comme 5 7 et que f est croissante, on en déduit .
1
( ) ( )
que f 5 f 7 et donc 3 5 − 5 3 7 − 5. 17 f (x) = 2x + 2. g (x) = –x + 3. h(x) = x .
2
6 1. f (x) = 2x – 5, m = 2 0, donc la fonction f est 18 1. Vrai. 2. Faux. 3. Faux.
croissante sur . 4. Vrai. 5. Vrai. 6. Vrai.
2. 2x – 5 = –1 ⇔ x = 2 donc 2 apour image –1 par f. 19 a. 2 × 3 − 6 = 6 − 6 = 0 , 3 est bien solution de
( )
3. 2. 3 ⇒ f (2) .f 3 ⇒1.2 3 − 5 (car la fonction l’équation 2x − 6 = 0 .
2. Le premier degré 39
Exercices
5 10 5
b. 2 × − = − = −5 , − n’est pas solution de g. Fonction non affine.
2 2 2
h. Fonction affine, m = –1 et p = –1, car :
l’équation 2x = 5.
f ( x ) = x − (2x + 1) = x − 2x − 1 = − x − 1 .
c. 3(0 + 1) = 3 et 2 × 0 + 3 = 3, 0 est bien solution de
27
l’équation 3(x + 1) = 2x + 3.
Coefficient Ordonnée Fonction
Droite
20 1. Vrai : f (3 253 ) =
3 253 directeur à l’origine associée
− 1 = 1− 1 = 0 .
3 253 d1 –3 2 x ∞ −3x + 2
1
2. Faux : ≠ 0,3333333333 .
3 d2 2 –3 x ∞ 2x − 3
10 000 2− 3
3. a. h (1) = = 100 . b. r (1) = = −1 . 3
100 3− 2 d3 4 0 x∞ 3x
4
21 La droite verticale de couleur orange ne repré-
sente pas une fonction affine. d4 −2 5 x∞ −2 x+5
3 3
22 S’il existe une telle fonction f, on a f (x) = mx + p.
x ∞ 2x − 3
f ( 2) = 2 2 + 4 ⇔ 2m + p = 2 2 + 4 .
d5 2 –3
f ( 7) = 2 7 + 4 ⇔ 7m + p = 2 7 + 4 . y −y
28 m = M N =
2+4
=
6
= −5
Ce qui donne p = 4 et m = 2. xM − xN 0,2 − 1,4 −1,2
Or, dans ce cas, f (1005) = 2 × 1 005 + 4 = 2014 . f(0,2) = 2 ⇔ −5 × 0,2+ p = 2 ⇔ p = 3 .
Donc la proposition est vraie. La fonction f cherchée est f (x) = –5x + 3, réponse c.
10 7
23 a. m = 3 et p = 4. b. m = –4 et p = 1. 29 1. f (3) = 1 ; f (5) = − 1= ;
c. m = 1 et p = 5. d. m = –2 et p = 4. 3 3
3 2 3 1 1
e. m = 0 et p = –7. f. m = 7 et p = 0. f = × − 1 = − 1 = − ; f 2 =
4 3 4 2 2
( )
2 2−3
3
24 1. f (5) = −3 × 5 + 2 = −13 .
L’image de 5 par f est –13 2. On résout l’équation f (x) = 2, qui équivaut à :
8
2. −3x + 2 = 10 ⇔ −3x = 8 ⇔ x = − . 2 2 9
3 x −1= 2 ⇔ x = 3 ⇔ x = .
8 3 3 2
L’antécédent de 10 par f est − . 9
3 est donc l’antécédent de 2 par la fonction f. Par la
3. f (–2) = –3 × (–2) + 2 = 8. 2
25 7
même méthode, on trouve que est l’antécédent de
2
y 4 15 3
#f par la fonction f et que est l’antécédent de
4 3 4 2
#g
par la fonction f.
3 2 2 3
3. f (x) = 0 équivaut à x −1= 0 ⇔ x = 1⇔ x = .
3 3 2
2 3
Donc 6 = .
1 2
–5 –4 –3 –2 –1 1 2 3 4 x 2 2 3
f (x) 0 équivaut à x −1>0 ⇔ x >1⇔ x > .
3 3 2
–1 3
Donc 6 = ; + .
#h 2
–2
30 La fonction g est associée à d1.
–3
La fonction f est associée à d3.
–4 La fonction h est associée à d2.
31 f1 (x) = x + 2. f2 (x) = – 4 x + 3.
5
–5
f3 (x) = 2x. f4 (x) = 1 x – 2. f5 (x) = –1.
La fonction f est représentée en rouge. 2
32 1.
La fonction g est représentée en bleu.
La fonction h est représentée en vert. 5
Antécédent x −2 0 2
26 a. Fonction affine, m = –2 et p = 1. 4
b. Fonction non affine car : Image f (x) –13 0 –5 3
f ( x ) = (2 + x )(2x − 1) = 2x2 + 3x − 1 2. Il ne s’agit pas d’un tableau de proportionnalité
c. Fonction affine, m = –2 et p = 3 . −2 2
d. Fonction affine, m = 0 et p = 2 . ≠ . C’était prévisible, car la fonction f n’est
−13 3
2 pas une fonction linéaire (f (0) ≠ 0), elle n’est donc pas
e. Fonction affine, m = et p = 0.
3 représentative d’une situation de proportionnalité.
2 1
f. Fonction affine, m = − et p = . 33 1. a. f (x) = 5,25x. g (x) = 3,50x + 12.
3 3
40
Exercices
y − y A −2 − 2 4 2 1
m= B = =− =− .
xB − x A 3 + 3 6 3 –5 –4 –3 –2 –1 1 2 3 4 x
⎛ 2⎞
f ( −3) = 2 ⇔ −3 × ⎜ − ⎟ + p = 2 ⇔ 2+ p = 2 ⇔ p = 0 . –1
⎝ 3⎠
2 –2
(x) = − x .
Ainsi,ff (x)
3 –3
2
(6) = − × 6 = −4, donc C [ (AB).
Alors ff (6)
3 –4
1. 4.
y
x – ` 3 4 + `
6
x–3 – 0 + +
5
x–4 – – 0 +
4 r (x) + 0 – +
9 000
40 1. a.
8 000
x – ` −3 + `
2
7 000
2x + 3 – 0 +
b. 6 000
5 5 000
x – ` 4 + `
–4x + 5 + 0 – 4 000
c. 3 000
x – ` –7 + ` 2 000
x+7 – 0 +
1 000
d.
0
x – ` 8 + ` 0 1 000 2 000 3 000 4 000 5 000 6 000 7 000 8 000 9 000 x
–x + 8 + 0 –
2. f (x) = 0,5x + 6 000, m = 0,5 0, donc la fonction
2. On peut proposer les valeurs suivantes d’offre est croissante.
g (x) = –0,375x + 13 000, m = –0,375 0, donc la fonc-
fonction f fonction g fonction h fonction j
tion de demande est décroissante.
x1 0 0 –5 0 3. Graphiquement, le point d’intersection de ces deux
x2 –10 10 –15 12 droites a pour coordonnées (8 000 ; 10 000).
Donc f (x) = g (x) pour un prix d’équilibre de 10 000 e.
41 1. 4. f (x) = g (x) ⇔ 0,5x + 6 000 = –0,375x + 13 000
x – ` 2 + ` ⇔ 0,875x = 7 000 ⇔ x = 8 000.
3x – 6 – 0 + f (8 000) = 0,5 × 8 000 + 6 000 = 10 000.
2. 45 1.
x – ` 2 + ` 3
x – ` 2 + `
–4x + 8 + 0 –
f1 – 0 +
h (x) = (3x – 6)(x – 2) = 3 (x – 2)(x – 2) = 3 (x – 2)2 2.
3. 4
x – ` + `
x – ` 2 + ` 5
h (x) + 0 + f2 + 0 –
42
Exercices
1
D’où = ]– ; –3]< ; + . 5
2
4
48 1. f (x) = 3x – 4, m = 3 0, donc la fonction f est
croissante sur . 3
4
x − ` + `
3 2
f (x) 0 1
–5 –4 –3 –2 –1 1 2 3 4 x
–2 x 5.
Donc f (–2) f (x) f (5) car la fonction f est croissante –1
sur .
–2
–10 f (x) 11.
Ainsi, si x [ [–2 ; 5], f (x) [ [–10 ; 11] . –3
49 1. et 2.
–4
a. Fonction affine : f (x) = 3x – 4, donc m = 3, p = –4.
m est positif, donc f est croissante sur R. –5
b. Fonction affine : f (x) = –x + 17, donc m = –1, p = 17.
m est négatif, donc f est décroissante sur R. 3. m = f(2) – f(–1) = –4 – 5 = –3.
2 – (–1) 2+1
c. Fonction non affine. f (–1) = 5 ⇔ –3 × (–1) + b = 5 ⇔ b = 2, donc f (x) = –3x + 2.
2. Le premier degré 43
Exercices
4. 56 a.
1
x –6 –1 0 3 2 5 47 1
x – ` 0 2 + `
image f (x) 20 5 2 1 –4 –13 –139
52 1. L’algorithme affiche 2. x – 0 + +
2. L’algorithme permet de calculer l’image d’un 2x – 1 – – +
0
nombre x par la fonction f définie par f (x) = 3x – 4.
y +4
3. y = 3x – 4 ⇔ 3x = y + 4 ⇔ x = x (2x – 1) + 0 – 0 +
3
4.
1
x et y sont deux variables réelles 6 = 0 ; .
Lire y 2
x prend la valeur y + 4 b.
Afficher x 3
−1 5
x – ` 3 2 + `
53 1.
Prix avant 3x + 1 – 0 + +
100 60 45 90 125 77 24
soldes
Nouveaux 5 – 2x + + 0 –
75 45 33,75 67,5 93,75 57,75 18
prix
f (x) – 0 + 0 –
2. f (x) = 0,75x.
1 4 1 5
g ((xx)) =
3. g x= x . 6 = − ; .
0,75 3 3 2
54 1.
Prix affiché en c.
15 53 93,5 125 x
euros P1
x – ` – 3 1 + `
Montant en euros 4
3 10,6 18,7 25 0,2x
de la remise P2 x – 1 – – 0 +
Prix soldé en
12 42,4 74,8 100 0,8x 4x + 3 – 0 + +
euros P3
2. f (x) = 0,2x. 2 (x – 1) (4x + 3) +0 – 0 +
3. g (x) = 0,8x.
4. On peut constater que : 3
6 = − ;1 .
1 4
f(x) = 0,2x ⇔ x = f(x) ⇔ x = 5f(x) .
0,2 57 1. a.
Ainsi, on peut passer de P2 à P1 par la fonction h 5
x – ` 3 + `
définie par h (x) = 5x. 2
55 a. Vrai, une fonction linéaire est une fonction 3–x + + 0 –
affine pour laquelle p = 0. 5 – 2x + 0 – –
b. Faux, contre-exemple : A (x) + 0 – 0 +
x ∞ f (x) = 3x + 4 n’est pas de la forme f (x) = mx. b.
c. Vrai, une fonction constante est une fonction affine
x – ` –1 0 + `
pour laquelle m = 0. 2
d. Vrai, la représentation graphique d’une fonction x – – 0 +
affine est une droite. 2x + 1 – 0 + +
e. Faux, contre-exemple : la fonction f définie par B (x) + 0 – 0 +
f (x) = x2 + 2 vérifie f (1) = 3 et f (2) = 6 mais n’est pas c.
affine, donc pas linéaire. 3
x – ` –7 + `
f. Faux : si g était affine, on aurait : 2
x+7 – 0 + +
g (5) − g(1) 7 − (−1) 8
m= = = = 2 et également : 2x – 3 – – 0 +
5 −1 5 −1 4
C (x) + 0 – +
g ( −2) − g(1) −6 − (−1) −5 5
m = = = = . 2. a. 6 = ⎤–` ; 5 ⎡ < ]3 ; + `[.
−2 − 1 −3 −3 3 ⎦ 2⎣
5 1
Or 2 ≠ , donc g n’est pas affine. b. 6 = ⎡⎣− ;0⎤⎦ . c. 6 = ⎤–7; 3 ⎡.
3 2 ⎦ 2⎣
44
Exercices
12 2.
58 1. 3x − 5 = −2x + 7 ⇔ 5x = 12 ⇔ x = .
5
2. La solution de l’équation de la question 1. est l’abs- x – ` –2 1 + `
cisse du point d’intersection des représentations gra- x–1 – – 0 +
phiques des fonctions affines f et g . x+2 – 0 + +
59 (x – 1) (x + 2) + 0 – 0 +
y –(x – 1) (x + 2) – 0 + 0 –
3.
5 C
B x – ` –3 2 + `
4
x–2 – – 0 +
A
3
x+3 – 0 + +
2 D x −2 0
x+3 + – +
1 4.
–5 –4 –3 –2 –1 1 2 3 4 1 2
x – ` 2 3 + `
x
–1 – 2x + 1 + – 0 –
E
3x – 2 – 0 – +
–2
−2x + 1
3x − 2 – 0 + –
–3
–4
64 a. d4 b. d1 c. d5
d. d2 e. d3 f. d6
–5 65 On cherche la fonction f représentée par la droite
y − yA 3 − 1 2
La droite qui passe par M et qui a pour coefficient (AB) : f (x) = mx + p avec m = B = = .
directeur 2 est la représentation graphique de la xB − x A 2 + 1 3
fonction f définie par f (x) = 2x – 3 2 2 5
f ( −1) = 1⇔ × ( −1) + p = 1⇔ − + p = 1⇔ p = .
(car f (2) = 1 ⇔ 2 × 2 + p = 1 ⇔ p = –3). 3 3 3
Alors on a f (1) = –1, f (3) = 3 et f (4) = 5. 2 5
Ainsi, f ( x ) = x + .
Donc les points E et C sont situés sur cette droite. 3 3
60 1. f (x) = 0,15x. g (x) = 0,09x + 12. 2 5 11
Alors f (3) = × 3 + = et f (3) ≠ 4, donc C ” (AB).
2. g (x) f (x) ⇔ 0,09x + 12 0,15x 3 3 3
⇔ –0,06x –12 ⇔ x 200. Les points A, B et C ne sont pas donc alignés.
À partir de 201 tirages, on a intérêt à choisir la for- 66 1.
mule avec forfait.
1 y
61 1. × 97,20 = 90 euros.
1,08 900
1
2. × 46,50 = 50 euros.
0,93 800
D2
62 1. x et y sont deux variables de type nombre 700
D1
Lire x
600
y prend la valeur 0,85x
Afficher y 500
2. 400
x, y et t sont trois variables de type nombre
Lire x et t 300
y prend la valeur (1+ t )x
Afficher y 100 200
100
(L’utilisateur devra entrer la valeur de t en pourcen-
tage précédé d’un signe moins s’il s’agit d’une baisse.) 0
63 1.
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 x
1 D1 est représentée en rouge.
x – ` 2 3 + `
D2 est représentée en bleu.
2x – 1 – 0 + +
2. Graphiquement le nombre de jours au bout des-
–x + 3 + + 0 –
quels Monsieur D. et Madame L. pourront passer
(2x – 1) (–x + 3) – 0 + 0 – leur commande ensemble correspond à l’abscisse
2. Le premier degré 45
Exercices
x – ` −2 3 + ` 3
3
x–4 – – 0 + 2
3x + 2 – 0 + +
1
f (x) + 0 – 0 + –5 –4 –3 –2 –1 1 2 3 4 5 x
2
6 = − ; − <]4 ; + [ . 0
3 –1
c. (6x − 5)(2x + 3) (2x + 3)(7 − x ) –2
⇔ (6x − 5)(2x + 3) − (2x + 3)(7 − x ) 0
⇔ (2x + 3) (6x − 5) − (7 − x ) 0 –3
⇔ (2x + 3)(7x − 12) 0 .
–4
( x ) = (2x + 3)(7x − 12).
En posantff (x)
−3 12 –5
x – ` + `
2 7
2.
2x + 3 – 0 + + x, y et t sont des variables de type nombre
Lire x
3x + 4 – – 0 +
Si x –2 , y← 2x + 3
f (x) + 0 – 0 + Si –2 x 4 , y← –x + 1
Si x 4 , y← 2x + 5
3 12
6 = − ; . Afficher le point de coordonnées (x ; y)
2 7
46
Exercices
2. Le premier degré 47
Exercices
x – 1, x, x + 1 et x + 2. 2. U1 ( I ) = U2 (I )
On cherche donc x tel que : ⇔ E − rI = E ’ + r ’I
( x + 1)2 + ( x + 2)2 = x2 + ( x − 1)2 + ( x − 2)2 ⇔ −rI − r ’I = E ’ − E
⇔ x2 + 2x + 1+ x2 + 4 x + 4 = x2 + x2 − 2x + 1+ x2 − 4 x + 4 ⇔ − (r’ + r )I = E’ − E
x2 + 2x + 1+ x2 + 4 x + 4 = x2 + x2 − 2x + 1+ x2 − 4 x + 4 ⇔ (r’ + r )I = E − E’
⇔6x = x2 − 6x E − E’
⇔ x2 − 12x = 0 ⇔ I= .
r’ + r
⇔ x ( x − 12) = 0 83 Les longueurs sont en cm et les aires en cm2 .
⇔ x = 0 ou x = 12 .
1. Pour x = 2, A = 2 × 7 = 14.
Les cinq nombres entiers consécutifs peuvent donc Pour x = 7, A = 3 × 7 + 2 × 5 + 2 × 2 = 35.
être –2, –1, 0, 1, 2 ou 10, 11, 12, 13, 14.
2. a. A (x) = 7x pour x [ [0 ; 3].
81 1. b. A (x) = 3 × 7 + (x – 3) × 5 = 5x + 6 pour x [ [3 ; 5].
A (x) = 3 × 7 + 2 × 5 + (x – 5) × 2 = 2x + 21 pour x [ [5 ; 8].
A (x) = 3 × 7 + 2 × 5 + 2 × 3 + (x – 8) × 9 = 9x – 35 pour
x [ [8 ; 9].
84
y
1 400
2. 1 300 #h
1 200
1 100
1 000
900
800
700 #g
600
L’abscisse du point d’intersection des deux droites
500
qui représentent f et g est x ≈ 0,22.
400
f (x) = g(x) #f
300
⇔ 2x + 1 = −2x + 3 200
⇔ ( )
2 + 2 x = 3 −1 100
0
3 −1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 x
⇔x= ≈ 0,21.
2 +2 La première offre est représentée en rouge
82 1. (f (x) = 120x), la deuxième en bleu (g (x) = 50x + 500),
U(V) et la troisième en vert (h (x) = 1 200).
La 1re offre est la plus intéressante si le nombre
450 d’intervention ne dépasse pas 7. Entre 8 et 14 inter-
400 ventions, la 2e proposition est la plus avantageuse, et
à partir de 15 interventions, il faut choisir la 3e offre.
350 85 Les longueurs sont en m les volumes en m3.
1. Si la hauteur est de 60 cm soit 0,6 m:
300 #U1
V1 = 3 × 2 × 0,60 = 3,6 .
250 Si la hauteur est de 2 m : V2 = 3 × 2 × 1,5 + 0,5 × 1× 1 = 9,5.
2. Lorsque le premier parallélépipède est plein, la
200 #U2 hauteur h de fuel est de 1,5 m et le volume de fuel
150 correspondant est de 9 m3. Donc, si le volume est de
9,4 m3, on a dépassé la hauteur de 1,5 m.
100
D’après les dimensions du petit parallélépipède
50 (1 m × 1 m × 1 m), pour que le volume de fuel soit de
9,4 cm3, il faut que le volume dans le petit cube soit de
0 0,4 m3. Ainsi, si on appelle h la hauteur dans le petit
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 x
cube, on doit avoir 1 × 1 × h = 0,4 soit h = 0,4.
U1(I ) = −10I + 300 . Finalement, la hauteur totale de fuel est donc de
La représentation graphique de U1 est tracée en 1,9 m (1,5 + 0,4).
rouge. 3. a. V ( h ) = 6h pour h [ [0 ; 1,5[.
U2 (I ) = 5I + 200. b. V ( h ) = 3 × 2 × 1,5 + (h − 1,5) × 1× 1 = 7,5 + h
La représentation graphique de U2 est tracée en bleu. pour h [ [1,5 ; 2,5[
48
Exercices
4. y V (cm3)
9 90
8 80
7 70
6 60
5 50
4 40
3 30
2 20
1 10
or (g)
0 0
0 1 2 x 0 100 200 300 400 500 600 700 800 900
2. Le premier degré 49
Exercices
−7 − 1 −8
88 1. f (x) = mx + p avec m = = = −2 . 6.
5 −1 4
f (1) = 1 ⇔ –2 × 1 + p = 1 ⇔ p = 3 x – `
3
+ `
2
Ainsi f (x) = –2x + 3.
2. m = –2 0, donc f est décroissante sur . f1 – 0 +
225
–1
200
–2
–3 175
150
–4
–5 125
50
Exercices
Accompagnement personnalisé
90 1. U = RI .
2. Adisque = πR2 .
1
3. Ec = mv 2 .
2
4π2 3
4. T 2 = a .
GMS
5. v = gh où h est la profondeur de l’océan.
91 1. Les frais réels, en euros, sont de :
Puissance
fiscale Pour 5 000 km Pour 5 0001 km
No problem
94 1. In French a « fonction linéaire » is defined by f (6) =
3. f (6)
112
= 22.4
22,4 euros.
the equation of the form f (x) = mx. A linear function in 5
English is a « fonction affine ». 97 1. P ( x ) = (70 + 2x ) × 2 + (50 + 2x ) × 2 = 8x + 240.
2. m is called the « slope » or the « gradient » and p 2. The slope of the graph of P is 8.
is called the « y-intercept ». 3. P (10) = 320 meters.
95 1. The corresponding value of y if x = 0 is the 4. P(x) = 280 ⇔ 8x + 240 = 280 ⇔ 8x = 40 ⇔ x = 5 .
y-intercept: y = 2 . The corresponding point has coor- The width x has to be equal to 5 meters for the peri
dinates (0 ; 2). meter P to be 280 meters.
2. The corresponding value of y if x = 1 is y = 3 × 1+ 2 = 5
98 1. Perimeter with one brick: 5 by 5.
. The corresponding point has coordinates (1 ; 5).
Perimeter with 2 bricks: 5 by 5 + 5 by 4.
3. The corresponding value of x if y = –2 is such as:
4 Perimeter with 3 bricks: 5 by 5 + 5 by 4 by 2.
3x + 2 = −2 ⇔ 3x = −4 ⇔ x = − . Perimeter with 4 bricks: 5 by 5 + 5 by 4 by 3.
3 4
The corresponding point has coordinates − ; −2 . Perimeter with n bricks: 5 by 5 + 5 by 4 by (n – 1).
3 2. The relation of perimeter in term of number n of
96 1. The y-intercept indicates the subscription bricks is P = 25 + 20(n – 1) = 20n + 5.
cost (20 euros). Just an observation: for the last brick, we must add 5
2
f ( x ) = x + 20 .
2. f (x) to the perimeter because the last brick ends length.
5
2. Le premier degré 51
Exercices
94 « Linear functions » vs « Fonctions linéaires » 2. Sachant que la durée des appels est évaluée en
En anglais, les fonctions linéaires sont définies par une minutes, calculez l’expression de la fonction affine qui
équation de la forme y = mx + p. permet d’obtenir le coût des communications en fonc-
1. Explicitez la différence entre cette équation et celle tion de leur durée.
de la définition française d’une fonction linéaire. 3. Quel est le coût d’un appel d’une durée de 6 minutes ?
2. Question internet : Comment nomme-t-on m et p en
anglais ?
97 Le jardin
Un jardin rectangulaire de 50 m de large sur 70 m de
95 Relations entre variables long est entouré d’une allée de largeur constante x,
Les égalités montrent des relations entre les variables.
exprimée en mètres.
Par exemple, l’équation y = 3x + 2 exprime une relation
entre deux nombres x et y. x
1. Si x = 0, quelle est la valeur correspondante de y ?
Donnez alors les coordonnées du point. x
2. Si x = 1, quelle est la valeur correspondante de y ? 50
Donnez alors les coordonnées du point.
3. Si y = –2, quelle est la valeur correspondante de x ?
Donnez alors les coordonnées du point. 70
4. Placez les trois points précédents dans un repère et
reliez-les entre eux. 1. Exprimez le périmètre extérieur P en fonction de x.
2. Déterminez le coefficient directeur du graphe de la
96 Coûts de communication fonction P.
de la téléphonie mobile 3. Déterminez le périmètre lorsque x = 10.
Le graphique ci-dessous montre le coût des communi- 4. Calculez la valeur de x telle que P = 280 mètres.
cations par mois pour un seul téléphone mobile. Ce coût
dépend du nombre de minutes passées au téléphone. 98 Motifs géométriques
Coût (en euros)
Certains détails architecturaux sont réalisés à partir de
50 motifs.
Dans le mur ci-dessus, chaque brique est constituée de
40 deux carrés de 5 cm de côté.
1. Quel est le périmètre d’une série de briques arran-
20 gées pour former un motif en escalier ? Vous pouvez
commencer avec une brique, puis deux, puis trois, et
10 ainsi de suite.
Temps de communication 2. Déterminez la relation entre le nombre de briques et
(en minutes) le périmètre d’un motif en escalier.
0 10 20 30 40 3. Question Internet
1. Quelle information est donnée par l’ordonnée à Trouvez différents motifs dans des photographies de
l’origine ? mosaïques ou d’architecture.
52
3 Le second degré
Présentation du chapitre
Ce chapitre présente aux élèves des fonctions nouvelles et différentes des modèles linéaires et affines qu’ils
ont vus au Collège.
La démarche du manuel a été de regrouper en un seul chapitre l’ensemble du second degré. Il s’agit donc de
présenter la fonction carré en tant que nouvelle fonction de référence et les fonctions du second degré dans
leur ensemble.
• La fonction carré est présentée avec toutes ses propriétés. C’est l’occasion de faire une démonstration en lien
avec la symétrie de la courbe. C’est aussi l’occasion de faire fonctionner la définition des variations d’une fonction
en proposant la démonstration des variations de la fonction carré sur l’ensemble des réels.
• Pour les fonctions du second degré, il n’est pas question de reprendre ce qui se faisait avant en classe de
Première, en partant de la forme canonique qui justifie les variations ou les solutions de l’équation du second
degré. L’idée est d’admettre que la courbe est une parabole, de proposer aux élèves des méthodes de détermi-
nation du sommet de la parabole et de connaître les variations sur l’ensemble des réels.
• Pour trouver le sommet, les différentes formes de f (x) permettent de présenter des méthodes adaptées : la
forme canonique donne immédiatement les coordonnées du sommet ; la forme factorisée (lorsque c’est possible)
permet de déterminer facilement les coordonnées de deux points symétriques par rapport à l’axe de symétrie de
la parabole et d’en déduire l’abscisse du sommet. Enfin, la forme développée permet aussi de déterminer facile-
ment les coordonnées de deux points symétriques par rapport à l’axe de symétrie de la parabole (en résolvant
l’équation ax2 + bx + c = c c’est-à-dire en résolvant f (x) = f (0)) et d’en déduire l’abscisse du sommet.
• La résolution graphique d’équations et d’inéquations est approfondie dans ce chapitre. En revanche, il n’y a pas
de systématisation de la résolution d’équation du second degré en général, mais des méthodes de résolutions
dans des « cas qui marchent ».
3. Le second degré 53
Pour construire le cours
Objectif :
Découvrir la fonction carrée et quelques unes de ses propriétés.
M2
MA = 1,25
MN = 1,25
M1
A
0,2 M3
M4 M6
0 0,2
N4 N5 N3 N1 N2 N
1. On crée un point M1 puis on trace la perpendiculaire à la droite d passant par M1 qui coupe d en N1. On demande
la valeur des distances M1A et M1N1 puis on déplace M1 jusqu’à que ces distances soient égales. On fait de même
pour les quatre autres points.
2. Il semble que le carré de l’abscisse de chaque point soit égal à son ordonnée.
3. Après avoir créé le curseur m puis le point M(m ; m2), on crée le point N et on fait afficher la distance MA puis
la distance MN. On constate que MA = MN quelle que soit la valeur de m.
4. En activant la trace du point M, on obtient des points sur la courbe d’équation y = x2 puisque l’ordonnée du point
M est le carré de l’abscisse de M. On peut conjecturer l’existence d’un axe de symétrie qui est la perpendiculaire
en A à la droite d : l’axe des ordonnées.
Le professeur peut alors exposer l’enjeu du chapitre : l’étude de cette fonction f définie sur par f (x) = x2 dont
la courbe est une parabole qui a des propriétés géométriques particulières, dont un axe de symétrie.
Cette activité permet de percevoir une parabole comme le lieu des points M équidistants d’un point et « d’une
droite ».
54
Pour construire le cours
Objectif :
Découvrir des fonctions dont les courbes sont similaires à celle de la fonction carré.
On appelle fonction polynôme du second degré toute fonction f pouvant s’écrire sous la forme
f (x) = ax2 + bx + c avec a, b et c réels donnés et a ≠ 0.
La forme f (x) = ax2 + bx + c s’appelle forme développée de f (x).
La courbe de cette fonction admet un axe de symétrie parallèle à l’axe des ordonnées.
Cette courbe s’appelle une parabole. Le sommet S (a ; β) de cette parabole est placé sur l’axe de
symétrie de la courbe.
Propriété
• Si a 0 la fonction est décroissante sur • Si a 0 la fonction est croissante sur ]- ;
]- ; a] puis croissante sur [a ; + [ et a] puis décroissante sur [a ; + [ et admet
admet un minimum en a qui vaut b. La parabole un maximum en a qui vaut b. La parabole est
est tournée « vers le haut ». tournée « vers le bas ».
y y
S
1 β
α
0 1 x
0 1 α x
β
S
Certaines fonctions polynômes du second degré de la forme f (x) = ax2 + bx + c peuvent également s’écrire
sous la forme f (x) = a(x - x1) (x - x2).Cette forme est appelée forme factorisée de f (x). (voir question 2.)
Toute fonction polynôme du second degré de la forme f (x) = ax2 + bx + c peut également s’écrire sous
la forme f (x) = a(x - a)2 + b. Cette forme est appelée forme canonique de f (x). (voir question 1.)
3. Le second degré 55
Pour construire le cours
Objectif :
Résoudre un problème à l’aide d’une fonction du second degré.
Expliquer aux élèves qu’ici, on donne la fenêtre pour tracer la courbe, mais que sinon, c’est en regardant la
table de valeurs de la fonction qu’on peut conjecturer la bonne fenêtre de tracé. Le faire avec eux.
3. Cette courbe admet un axe de symétrie parallèle à l’axe des ordonnées.
Ainsi, deux points de la trajectoire situés à la même hauteur sont les extrémités d’un segment dont le milieu est
sur l’axe de symétrie.
Pour x = 0 et x = 125, la hauteur est égale à 0. Le milieu du segment correspondant à ces deux points au sol
appartient donc à l’axe de symétrie. Cet axe est donc la droite d’équation x = 0 + 125 = 62,5 .
2
Le sommet de la parabole appartient à l’axe de symétrie, c’est donc le point d’abscisse x = 62,5 et d’ordonnée
y = - 0,004 × 62,52 + 0,5 × 62,52 = 15,625
La hauteur maximale de la balle est donc de 15,625 m.
Confronter les points de vue des élèves sur la méthode de détermination de la hauteur maximale pour s’accorder
sur le point méthode qui va suivre.
Dire aux élèves qu’il suffit de trouver des valeurs x1 et x2 avec la table de la calculatrice en cherchant des
valeurs de x qui ont la même image.
Faire remarquer aux élèves que si on a trouvé les coordonnées du sommet de la parabole, alors on peut aisé-
ment tracer le tableau de variation de la fonction du second degré associée.
56
Pour construire le cours
Objectifs :
Modéliser un problème par une inéquation.
Résoudre algébriquement une inéquation nécessaire à la résolution d’un problème
à partir de l’étude du signe d’une expression produit.
1. On sait que le grand carré doit avoir une aire inférieure à 225 cm2. Le côté du grand carré est 10 + 2x. On a
donc à résoudre l’inéquation (10 + 2x)2 ¯ 225, ce qui équivaut, en développant, à :
4x2 + 40x + 100 ¯ 225 ⇔ 4x2 + 40x - 125 ¯ 0.
D’autre part, (2x - 5)(2x + 25) = 4x2 + 50x - 10x - 125 = 4x2 + 40x - 125.
Donc l’inéquation (10 + 2x)2 ¯ 225 équivaut bien à (2x - 5)(2x + 25) ¯ 0.
On peut, à cette occasion, expliquer la notion d’équations et d’inéquations équivalentes (qui ont le même
ensemble de solutions).
2. La fonction f est une fonction affine de coefficient positif, donc croissante sur .
5
x −– 5 = 0 ⇔ x = 5 . Donc f (x) est strictement négatif sur − ; 2 et strictement positif sur 5 ; + .
22x
2 2
On peut proposer de dresser le tableau de signes de f.
La fonction g est une fonction affine de coefficient positif, donc croissante sur .
25 == 0 ⇔ x = − 25 . Donc g(x) est strictement négatif sur − ; − 25 et strictement positif sur − 25 ; + .
x ++ 25
22x
2 2 2
On peut proposer de dresser le tableau de signes de g.
On peut alors distinguer trois intervalles − ; − 25 , − 25 ; 5 et 5 ; + et compléter un tableau de signes
2 2 2 2
en appliquant la règle des signes :
x - - 25 5
+
2 2
Signe de f (x) = 2x - 5 - - 0 +
Signe de g(x) = 2x + 25 - 0 + +
Signe de (2x - 5)(2x + 25) + 0 - 0 +
On pourra signaler, dans un point-méthode, qu’il est préférable de ramener l’inéquation qui modélise le
problème à une inéquation :
• avec un second membre égal à 0 ;
• un premier membre factorisé ;
On cherche ensuite le signe de chaque facteur et on dresse un tableau de signes.
On a donc S = − 25 ; 5 .
2 2
Retour au problème : x désigne une longueur, il ne peut dons pas être négatif. Ainsi, la largeur de la bande peut
être comprise entre 0 cm et 2,5 cm.
On peut à cette occasion faire remarquer aux élèves qu’il ne faut pas simplement résoudre l’inéquation mais
faire attention à ce que les résultats trouvés soient cohérents avec les conditions du problème initial.
3. Le second degré 57
Diaporamas
a. - 7 a. croissant
b. - 25 b. positif
c. 11 c. négatif
d. 25 d. décroissant
{
c.S== 7 ; −5
2 3 } c.
x
3
- 2 +
d.
x
-3
- 2 +
d.S== {0} Signe de f (x) - 0 + Signe de f (x) - 0 +
a. - 16
b. - 8
c. 32
d. 24
58
Diaporamas
0 1 1
a. f (x) = (x - 5)(x + 1)
0 1
b. f (x) = x2 - 4x - 5
c. f (x) = (x - 2)2 - 9
1
1
0 1
0 1 d. f (x) = (x + 5)2 - 14x - 30
Le tableau de signes de la fonction f définie sur La courbe représentative d’une fonction polynôme
par f (x) = (- x + 3)(5x + 30) est : du second degré f est présentée ci-dessous.
3. Le second degré 59
Exercices
60
Exercices
f (x) 18
d. Faux. Par exemple si on prend x = –1, on a bien –1
b. - 1 et 2 sont les solutions de l’équation g(x) = 0. –3 mais x 2 = (–1)2 = 1 donc x 2 n’est pas supérieur à 9.
Par symétrie de la courbe, l’abscisse du sommet e. Vrai. Si x [ ]–2 ; 0], alors x 2 [ ]0 ; 4[ et si x [ [0 ; 2[
est la moyenne de ces deux valeurs et vaut donc alors x 2 [ ]0 ; 4[.
−1 + 2 = 0,5 et f (0,5) = -6,75. Le sommet S a pour f. Vrai. x 2 9 équivaut à x [ [–3 ; 3].
2 g. Faux. (2x – 4)(2x + 4) = (2x)2 – 16 = 4x 2 – 16.
coordonnées S(0,5 ; –6,75). Comme a = 3, a est positif, h. Faux. Si on prend x = 0 : x [ [–1 ; 2] mais x 2 = 02 = 0
la parabole est tournée « vers le haut ». On a donc le n’appartient pas à [1 ; 4].
tableau de variation suivant. i. Vrai. x = 0 convient car 02 – 2 = –2.
x - 0,5 +
9 Fonction f associée au tableau d.
f (x) Fonction g associée au tableau c.
- 6,75
Fonction h associée au tableau a.
c. La fonction h est donnée sous forme canonique
avec a = -3, a = -1 et b = -2. Comme a est négatif 10 p = 3 et q = –9.
la parabole est tournée « vers le bas ». On a donc le 11 Fonction f associée au tableau b.
tableau de variation suivant. Fonction g associée au tableau e.
x - -1 + Fonction h associée au tableau a.
-2 Fonction i associée au tableau d.
f (x)
12 f (x) = (x + 1)(x – 3).
5 1. –2x 2 – 9 = 0 ⇔ x 2 = –4,5, donc = ∅.
2. –x 2 + 3 0 ⇔ –x 2 –3 ⇔ x 2 3, donc
13 a est positif ; b est négatif ; c est positif ; d est
positif ; e est négatif ; f est positif ; g est positif ; h est
= ]– ; – 3] < [
– 3 ; + [. positif.
6 1. On trace la courbe représentative de la fonc-
tion − x2 + 4 x + 2 . On lit x1 ≈ –0,5 et x2 ≈ 4,5. 14 f (x) est la somme des termes (x + 1)2 et (2x + 1)2.
g (x) est le produit des facteurs (3x – 1) et (x – 2).
y
h (x) est la somme des termes x 2 et –9.
i (x) est le produit des facteurs (2x – 1) et (2x – 1).
15 –0,572 –0,431 ⇔ (–0,572)2 (–0,431)2, car la
fonction x 2 est décroissante sur ]– ; 0].
16 1. x2x 2==55 ⇔ x = 5 ou x = − 5 .
2. x2 = −1, pas de solution.
1
3. x 2 = 0 ⇔ x = 0.
0 1 x
17 1. x 2 9, = ]–3 ; 3[.
2. x 2 –4, = ]– ; + [.
2. On trace la courbe représentative de la fonction 3. x 2 3, = ]– ; – 3 [ < [ 3 ; + [.
x2 + 5 x − 1 . On lit x1 ≈ –5,2 et x2 ≈ 0,2. 4. x 2 –2, = ∅.
Donc = ]– ; –5,2] < [0,2 ; + [. 18 a. x appartient à l’intervalle [4 ; 7], donc on a :
y 16 x 2 49.
1 b. –6 x –3, donc on a 9 x 3 36.
0 c. x compris entre –2 et 5 au sens large, donc on a :
1 x
0 x 2 25.
19 xA = − 2 et xB = 7 .
1. et 2. On trouve xB − xA = 7 + 2 ≈ 4,06 .
20 1. 2,3 R 2,4 ⇔ 5,29 R2 5,76.
2. π × 5,29 × 10 V π × 5,76 × 10 .
52,9 π ¯ V ¯ 57,6π en cm3.
0,17 V 0,18 en L.
3. Le second degré 61
Exercices
62
Exercices
3.
3. 3x2 − 14 = 0 ⇔ x2 = 14 ⇔ x = 42 ou
x – 2 + 3 3
1 x = − 42 .
Var. 3
de h 4. x ( x − 2) = x2 + 16 ⇔ x2 − 2x = x2 + 16 ⇔ x = −8 .
4. 5. (3x − 1)2 = 0 ⇔ 3x − 1 = 0 ⇔ x = 1 .
3
x – 2,5 + 6. (x + 2)2 = 9 ⇔ (x + 2)2 –32 = 0
Var. ⇔ (x – 1)(x + 5 ) = 0 ⇔ x = 1 ou x = –5.
de i –0,25 40 1. (3x − 2)(5x + 4) = 0 ⇔ 3x − 2 = 0
34 1. ou 5 x + 4 = 0 , soit x = 2 ou x = −4 .
3 5
x -4 3 5 2. x2 − 2x = 0 ⇔ x ( x − 2) = 0 ⇔ x = 0 ou x = 2 .
17 3. (x − 1)2 = 0 ⇔ x − 1 = 0 ⇔ x = 1.
h(x)
41 1. Graphiquement, il semble que l’équation
- 81 9
x2 − x − 6 = 0 admet deux solutions qui sont - 2 et 3.
2. y
2. a = 1, donc a 0, et donc la courbe représentative
10
de la fonction x2 - x - 6 est tournée « vers le haut ».
0 1 x De plus a = 0,5 et b = –6,25, la courbe admet donc un
minimum. Comme - 6,25 0, la courbe admet deux
points d’intersection avec l’axe des abscisses.
La fonction x2 - x - 6 peut donc se factoriser sous la
forme ( x - x1 )( x - x2 ) ou x1 et x2 sont les abscisses
de ses deux points d’intersection.
3. ( x + 2)( x − 3) = x2 + 2x − 3 x − 6 = x2 − x − 6 .
42 1. On pose x = AM .
AADM = 50 x = 25 x
2
35 Les fonctions h(x) et j(x) (la dernière proposée) 30(70 − x )
peuvent avoir le tableau de variation proposé (a 0, ABCM = = 15(70 − x ) = 1050 − 15 x
2
a = –1 et b = 3). AADM = ABCM ⇔ 25x = 1050 − 15x ⇔ 40x = 1050
36 ⇔ x = 26,26 m.
x - 3 + 2. DM2 = 502 + x2 = x2 + 2500
CM2 = 302 + (70 − x )2 = 900 + 4900 − 140 x + x2
g(x) = x2 − 140 x + 5800
-2 DM = CM2 ⇔ x2 + 2500 = x2 − 140x + 5800 ⇔
2
= f (x) 140 7
2. 43 (x + 1)2 − x2 = 31 ⇔ x2 + 2x + 1− x2 = 31 ⇔ x = 15
(x + 1)2 − x2 = 31 ⇔ x2 + 2x + 1− x2 = 31 ⇔ x = 15 .
x - 1 3 +
Les deux nombres entiers consécutifs cherchés sont
x -3 - - 0 +
15 et 16.
x -1 - 0 + +
44 1.
f (x) + 0 - 0 +
3. a. l’inéquation f (x) 0 a pour ensemble de solu-
tions = ]1 ; 3[.
) = =33 ⇔xx
f ( xf (x)
b. 2 2−–44x
x + 3 = 33 ⇔ x x22–−4x4 x= =
00
x ( x − 4) = 0.
On obtient = {0 ; 4}.
38 La fonction i ( x ) est la seule fonction qui a pour
représentation graphique la courbe de l’exercice.
39 1. 3x2 = 8 ⇔ x2 = 8 ⇔ x = 2 6
3 3
ou x = − 2 6 . 2. À partir du tracé de la courbe de f et de la droite
3
d’équation y = 2, on peut donner une valeur appro-
2. 2x2 + 3 = 0 ⇔ x2 = − 3 . L’équation n’a pas de chée des solutions de l’équation f (x) = 2, soit 1,7 et
2
solution. 4,2.
3. Le second degré 63
Exercices
x -3 - - 0 + = ]− ; – 1[ < ]11; + [ .
3x - 2 - 0 + + 51 1.
f (x) + 0 - 0 + P
2. ( x - 3)(3 x - 2) 0 .
47 1. ( x - 5)(2x - 1) 0.
1
x - 2 5 +
x -5 - - 0 +
2x - 1 - 0 + +
1
f (x) + 0 - 0 +
= − ; 1 < <[[5 [
5 ;;++ [.
2
2. x (3 - x ) 0. E (V)
x - 0 3 + 0 1
x - 0 + + La courbe représente une demie branche d’une para-
3 -x + + 0 - bole tournée vers le haut et de sommet S(0 ; 0).
f (x) - 0 + 0 - 2. Graphiquement, PR 2 pour S ¯ 10,2 V.
= ]− ; 0[ < ]3 ; + [.
( R E+ r ) R < 2 ⇔ E 2(R + r )2
2
2 <
48 1. f (x) = –x 2 + 4 est de la forme ax 2 + bx + c avec R
a = –1. Le coefficient a est négatif donc la parabole est ⇔ E < 2 × (R + r ) ⇔ E < 10,2 V.
R
tournée vers le bas. b = 0 donc l’axe de symétrie est
52 1. 1 ¯ ϕ ¯ 2.
l’axe des ordonnées. La fonction f est donc croissante 2. Graphiquement, on observe que le nombre ϕ est
sur ]– ; 0] et décroissante sur [0 ; + [. compris entre 1 et 2. À l’aide de la calculatrice, on
2. Dans un repère (O, I, J ), on trace la courbe symé- va dans defTable et on fixe le début de la table à 1
trique de la courbe de la fonction carré par rapport à avec un pas de 0,1. On va ensuite dans Table et on
l’axe des abscisses. Puis on applique une translation de repère pour quelles valeurs de x la fonction change
vecteur –4OJ. On accepte une explication du style : on de signe (entre 1,6 et 1,7). On retourne dans defTable
fait « glisser la courbe de quatre carreaux vers le bas ». pour fixer le début de la table à 1,6 et un pas de 0,01,
49 1. En cellule B3, la formule est =B2-0,10 . ensuite, dans Table on repère pour quelles valeurs
En cellule C3, la formule est =C2+30 . de x la fonction change de signe et ainsi de suite
En cellule D2, la formule est =B2*C2 . jusqu’à obtenir la précision demandée sur l’enca-
drement de ϕ.
2. Simulation faite, la dame doit fixer un bénéfice
3. 1,618 ¯ ϕ ¯ 1,619.
de 4,80 euros par boîte (soit un prix de vente de
4. On reprend l’algorithme de dichotomie de la page
8,80 euros). Dans ce cas elle vendra 1 460 boîtes pour
85 en changeant les lignes 5 et 7 : ligne 5 : Tant que
un bénéfice maximal de 7 008 euros.
b - a 0,001 faire et ligne 7 : Si m² - m - 1 0 alors
50 1. x2 − 4 < 0 ⇔ x2 < 4 ⇔ −2 < x < 2. et on obtient comme encadrement :
2. 3x − x2 , 0 ⇔ x(3 − x) , 0. 1,61718 ¯ ϕ ¯1,61817.
64
Exercices
3. Le second degré 65
Exercices
65 1. La droite d’équation y = 2x + 1 et la parabole 69 On remarque que f (-3) et f (2) sont nuls. Donc
d’équation y = x 2 semblent avoir deux points d’inter- α = − 0,5.
section, dont les abscisses (x ≈ –2,5 et x ≈ 0,4) sont L’expression de la fonction f est de la forme
les solutions de l’équation x 2 = –2x + 1. f (x) = ax² + bx + c. f (0) = − 24, donc c = − 24 ; f (1) = − 16,
2. (x + 1)2 – 2 = x 2 + 2x + 1 – 2 = x 2 + 2x – 1. donc a + b − 24 = − 16 et f (− 1) = − 24,
3. x 2 + 2x – 1 = 0 ⇔ (x + 1)2 – 2 = 0 donc a − b − 24 = − 24 ; on trouve a = b = 4.
⇔ (x + 1 – 2)(x + 1 + 2) = 0. On a donc f (x) = 4 x² + 4x - 24.
Équation produit nul dont les solutions sont x = –1 + 2 On calcule f (-0,5 ) = -25 et on peut alors faire le
ou x = –1 – 2.
tableau de variation de f.
Résoudre l’équation x 2 = –2x + 1 revient à résoudre l’équa-
tion x 2 + 2x – 1 = 0. x - - 0,5 +
Les solutions cherchées sont donc :
x = –1 + 2 ou x = –1 – 2.
Les valeurs approchées des solutions sont cohérentes f (x)
avec la conjecture de la question 1. - 25
66 1. f (0) = −28,7. 70 1. a. DR = 30000 ≈ 8,3 m
3600
2. f ( x ) = f (0) ⇔ 10x2 − 34x = 0 ⇔ x (10x − 34) = 0. 1000 × v
DR = 5
= v
3. Équation produit nul dont les solutions sont x = 0 3600 18
ou x = 3,4. b.
3,4 + 0
α= = 1,7, β = f (α ) = −57,6 , de plus a = 10, v (km . h–1) 30 50 90 110 130
2
donc a 0, la parabole représentative de la fonction DR (m) 8,3 13,9 25,0 30,6 36,1
f est tournée vers le haut, elle admet donc un mini- DF (m) 5,8 16,1 52,3 78,1 109,0
mum à − 57,6 qui est atteint pour x = 1,7.
DA (m) 14,1 30 77,3 108,7 145,1
67 L’aire de l’allée est égale à l’aire du triangle ADC 2. a. Voir tableau ci-dessus.
moins l’aire du triangle EDF.
b. Voir graphique ci-après.
Soit x la longueur AE. Le problème revient à résoudre
c. La disposition des points sur le graphique laisse
l’équation suivante :
deviner l’existence d’une fonction qui permettrait de
(20 − x )2 1 (20 − x )2
200 − = × 400 ⇔ 200 − = 100 les relier entre eux.
2 4 2
66
Exercices
2
isocèle de côté 5 - x).
2. g(x) = 2x (aire d’un rectangle de côtés x et 2).
100 3.
50
10
v (km/h)
0 10 50 100 150
( x −2 y ) > 0 ⇔ −( x −2 y ) < 0
cisse - 2, alors le point B(–2 ; 0) est le sommet de la 2 2
parabole . 2.
⇔(
2 ) ( 2 )
<(
2 )
En utilisant la forme canonique de f (x) on trouve 2 2 2
x+y x−y x+y
f ( x ) = a( x + 2)2 . −
⇔ xy < (
2 )
De plus f ( −1) = 3 ⇔ a = 3 . x+y 2
.
Donc f ( x ) = 3( x + 2)2 .
3. Le second degré 67
Exercices
( x +2 y ) ⇔ xy = x + 2xy4 + y
2 2 2 Or, si un quadrilatère a ses côtés opposés deux à deux
3. xy = de même mesure, alors c’est un parallélogramme.
Conclusion : le quadrilatère MNPQ est un parallélo-
⇔ x2 − 2xy + y2 = 0 ⇔ ( x − y )2 = 0 ⇔ x = y.
gramme.
4. a. 2x + 2y = 50 ⇔ x + y = 25 . 2. Il semble que l’aire de MNPQ est minimale lorsque
x = 5 cm et y = 20 cm, donc A = 100 cm2. AM = 3.
x = 10 cm et y = 15 cm, donc A = 150 cm2. 3. L’aire du parallélogramme MNPQ est égale à l’aire
x = 12,5 cm et y = 12,5 cm, donc A = 156,25 cm2. du rectangle ABCD à laquelle on soustrait l’aire des
b. D’après les questions 2. et 3., le rectangle dont le triangles AQM, MBN, NCP et PQD.
périmètre est égal à 50 cm et dont l’aire est supé-
rieure à celle de tous les autres rectangle de 50 cm Or, AAQM = ANCP et AMBN = APDQ donc :
de périmètre est celui dont la largeur est égale à la AMNPQ = AABCD − 2 × AAMQ − 2 × AMBN
x (4 − x ) x (8 − x )
longueur, soit le carré de 12,5 cm de côté. AMNPQ = 8 × 4 − 2 × −2×
2 2
76 Le point Q est l’intersection des droites d’équa-
AMNPQ = 32 − 4 x + x2 − 8 x + x2
tion y = 1 x et x = 1 . Le point Q a donc pour coor-
4 4
AMNPQ = 2x2 − 12x + 32
( ) ()
2
données 1 ; 1 . Or xQ2 = 1 = 1 = yQ , donc le
4 16 4 16
point Q appartient bien à la parabole d’équation y = x 2. α = 12 = 3 , a = 2, donc a 0 : la parabole représen-
4
Le point R est l’intersection des droites d’équation tative de la fonction AMNPQ est tournée vers le haut,
y = 1 x et x = 1 . Le point R a donc pour coordon- elle admet un minimum qui est atteint pour x = 3. La
2 2 conjecture de la question 2. est ainsi validée.
( ) ()
2
nées 1 ; 1 . Or xR2 = 1 = 1 = yR , donc le point R
2 4 2 4 80 1. Il semble que la longueur AB ne doit pas
appartient bien à la parabole d’équation y = x 2. dépasser 20 cm.
Le point S est l’intersection des droites d’équation 2. Soit x la longueur FC. Le triangle DFC est iso-
y = 3 x et x = 3 . Le point S a donc pour coordonnées cèle rectangle F donc FD = x et DC = AB = 2x. Le
4 4 périmètre du rectangle ABCD est de 50 cm donc
( ) ()
2
3; 9
. Or xS2 = 3 = 9 = yS , donc le point S BC = y = 25 − 2x . Le problème revient à résoudre
4 16 4 16
l’inéquation suivante :
appartient bien à la parabole d’équation y = x 2.
AFCD AABCD
77 1. f (0) = 2, le ballon est à 2 m du sol au départ
de sa trajectoire. ( (
x2 2x × 25 − 2x
2
))
2. f (10) = 3, le filet mesurant 2,43 m, la balle passera 2
x 25 2x - 2x2
bien le filet situé à une abscisse égale à 10. 2
3. f (19) = -4,65, la ligne de fond ayant une abscisse 2,5 x2 - 25 2x 0
égale à 19 et comme f (19) 0, la balle à bien rebondi 2,5 x ( x − 10 2 ) 0 .
avant la limite du terrain.
Or, 2,5 x 0 , on cherche donc à résoudre
78 1. Il semble que les coordonnées du point M qui x − 10 2 < 0 ⇔ x < 10 2 ⇔ AB < 20 cm.
minimise AM sont (1,5;1,3) environ.
a. Le point M d’abscisse x appartient à la courbe 81 Soit x le nombre d’élèves de la classe et p le
représentative de la fonction x , il a donc pour coût du transport en bus par personne. Le coût du
coordonnées M ( x ; x ) . transport est de 576 euros se traduit par l’équation :
AM = ( x − 2)2 + ( x − 0) = x2 − 3 x + 4 .
2 x × p = 576 ⇔ p = 576 (1).
x
b. AM est une longueur, elle est donc positive et la Deux élèves ne pouvant payer, le coût augmente de
fonction carré est croissante sur l’intervalle [0 ; + [, 1,20 euros pour chacun des autres participants se
donc minimiser AM revient à minimiser AM2. traduit par l’équation : 1,20 × ( x − 2) = 2p (2).
c. Minimiser AM2 revient à trouver l’abscisse du mini- En substituant p dans l’équation (2) on obtient :
mum de la courbe représentative de la fonction poly- 1,20 × ( x − 2) = 2 × 576
nôme du second degré f ( x ) = x2 − 3 x + 4 . x
1,20 x ( x − 2) = 1152
α = 3 = 1,5 et β = f (α ) = 1,75 .
2 1,20 x2 − 2,40 x − 1152 = 0
Pour que la distance AM soit minimale, il faut que x2 − 2x − 960 = 0
le point M situé sur la courbe représentative de la
À l’aide d’un tableur, on trouve que la solution pos-
fonction x ait une abscisse égale à 1,5. Dans ce
sible pour ce problème est x = 32. En injectant cette
cas la distance AM est égale à 1,75 .
solution dans l’équation (1), on a p = 18.
79 1. Les triangles AMQ et CPN d’une part et MBN Finalement il y a 32 élèves qui participent à la visite
et PDQ d’autre part sont isométriques, donc QM = PN et le prix du transport à payer par élève est de
et MN = QP. 19,20 euros.
68
Exercices
Accompagnement personnalisé
86 Soit d la distance entre la base du mur et la base
()
2
3. L(L − l ) = l2 ⇔ L2 − lL = l2 ⇔ L − L = 1.
de l’échelle. l l
En utilisant le théorème de Pythagore, on a On pose x = L .
l
h2 + d2 = 6,25 (1).
On a x2 = x + 1.
( )( )
En utilisant le théorème de Thalès, on a
h − 0,7 = 0,7 ⇔ hd = 0,7(h + d) 4. x − 1+ 5 x − 1− 5
(2). 2 2
h d
1
= x2 − x + 5 x − x − 5 x + 1 (1− 5)
1
En « bricolant » l’équation (1), on a : 2 2 2 2 4
h2 + d2 + 2hd − 2hd = 6,25 = x2 − x − 1.
(h + d )2 − 2hd = 6,25 .
On substitue hd à l’aide de l’équation (2) : 5. x2 = x + 1 ⇔ x2 − x − 1 = 0
(h + d )2 − 1,4(h + d ) = 6,25 (3)
Soit x = h + d , l’équation (3) devient :
( )(
⇔ x − 1+ 5 x − 1− 5 = 0.
2 2 )
x2 − 1,4 x − 6,25 = 0 (4) Équation produit nul dont les solutions sont
À l’aide d’un logiciel de calcul formel ou d’un x = 1 + 5 ou x = 1 − 5 (solution négative à exclure).
tableur, on trouve que la seule solution possible est 2 2
x = h + d = 3,30 ⇔ h = 3,30 − d (5). On trouve pour le nombre d’or ϕ = 1+ 5 ≈ 1,618 .
2
On substitue maintenant h dans l’équation (1) :
88 On demande la valeur de la taille (en m) notée
(3,30 − d )2 + d2 = 6,25
T.
2d2 − 6,60d + 4,64 = 0 (6) On demande la valeur de la masse (en kg) notée M.
Avec un logiciel de calcul formel ou d’un tableur, on L’IMC prend la valeur M/T2.
trouve que les solutions de l’équation (6) sont : Afficher l’IMC.
d = 1,01 soit h = 2,29 m et d = 2,29 soit h = 1,01 m Si l’IMC est inférieur à 18, afficher « 18 »
87 1. DC = l . Sinon, si l’IMC est strictement compris entre 18 et 25,
ED L − l afficher « entre 18 et 25 »
2. BC = DC ⇔ L = l ⇔ L(L − l ) = l2 . Sinon afficher « 25 »
BA ED l L−l
3. Le second degré 69
Exercices
89 1. ( x − 3)2 = x2 − 6 x + 9 . La somme des aires de tous les rectangles est égale à :
2. x2 − 6 x + 7 = ( x − 3) − 2 .
2 Arectangles = 0,1 × (f (0,1) + f (0,2) + … + f (1))
3. x2 − 6x + 7 = 0 ⇔ ( x − 3)2 − 2 = 0 Arectangles = 0,1 × (0,12 + 0,22 + … + 12 ) = 0,385 .
⇔ ( x − 3 − 2 )( x − 3 + 2 ) = 0 2. En renouvelant le calcul avec 20 rectangles de lon-
Équation produit nul dont les solutions sont gueur 0,05, on a :
x = 3 + 2 ou x = 3 − 2 . Arectangles = 0,359.
4. x2 + 4x − 5 = 0 ⇔ ( x + 2)2 − 9 = 0 3. En répétant l’opération ainsi avec des rectangles
⇔ ( x + 5)( x − 1) = 0 de longueurs de plus en plus petites, on obtient une
estimation de plus en plus précise de l’aire située
Équation produit nul dont les solutions sont x = -5 entre la courbe de la fonction x2 , l’axe des abscisses
ou x = 1. et les droites d’équation x = 0 et x = 1.
90 1. La longueur des rectangles dessinés est de 4. La valeur final semble être Arectangles = 0,333.
0,1.
La largeur du premier triangle est f (0,1) où f est
la fonction x2, la largeur du deuxième rectangle est
f (0,2) … la largeur du dixième rectangle est f (1) .
No problem
91 The functions 1 and 4 are quadratic functions. 96 1. « x 2 + 3x – 4 = 0 is equivalent to x 2 = –3x + 4 ».
2.
92 1. (4 − 2x )(6 − 2x ) = 21 × 24 y
⇔ 24 − 8x − 12x + 4x2 = 12 ⇔ x2 − 5x + 3 = 0.
2. x ≈ 0.697 m.
70
Exercices
99 1. The shape of the poem evokes the shape of not dependent on people, therefore they are true even
the moon. on never inhabited places.
2. The laws of mathematics are universal so they 3. a. These poems are called “calligrammes”.
function everywhere, even on the moon. There are b. Guillaume Apollinaire wrote Calligrammes.
3. Le second degré 71
La fonction inverse
4
et ses applications
Présentation du chapitre
Le chapitre intitulé Fonction inverse et ses applications est le dernier des chapitres d’analyse.
Sa structure respecte l’idée générale du manuel qui consiste à mettre en place de nouvelles fonctions (fonction
inverse et fonctions homographiques) dans le but de la résolution de problèmes.
Ce chapitre complète enfin la résolution d’équations et inéquations quotients (dont les prémices ont été présen-
tées dans le chapitre Le second degré).
74
Pour construire le cours
Objectif :
Introduire la fonction inverse par une formule.
Objectif :
Étudier la courbe d’une fonction homographique.
1. Le coup de fabrication de 10 violons est C (10) = 3 ×10 + 2 = 32 milliers d’euros, soit 32 000 euros.
On fera remarquer l’unité ici : le millier d’euros.
Le coût moyen est C10 = C(10) = 3200 euros par violon.
10
Le coût moyen est une notion dont les élèves de seconde n’ont pas l’habitude. On fera le lien avec le calcul
d’une moyenne.
2. Cm (q) = C(q) = 3q + 2 = 3q + 2 = 3 + 2
q q q q q
Le calcul se détaille plus ou moins selon les classes.
76
Pour construire le cours
Objectif :
Introduire l’expression algébrique d’une fonction homographique.
vmax × [P ]
1. On donne v = .
K + [P ]
Il est important de faire le lien avec la notation mathématique des fonctions et leurs variables, notamment la
notation utilisée souvent en sciences expérimentales « v = » qui en mathématiques est plutôt « v ([P]) ».
Ici, il faut amener les élèves à bien identifier les variables et les constantes. Quelle est la variable qui joue le
rôle de x ? Quel est l’intervalle d’étude (ici [0 ; + [).
Un travail sur les unités est aussi nécessaire.
10[P ] 10[P ]
vmax = 10 mol . L–1 et K = 4 mol . L–1 donne v = ou encore v ([P ]) = .
4 + [P ] 4 + [P ]
La réduction au même dénominateur avec les variables non traditionnelles n’est pas facile pour les élèves.
On peut généraliser ensuite l’expression de la fonction v en revenant aux notations mathématiques tradition-
10x
nelles : f (x) = et faire remarquer qu’il y a une valeur interdite, deux branches pour la courbe…
4+x
Une fonction homographique f est définie pour tout réel x tels que cx + d = / 0 soit
pour x =/ - .
d
c
On peut noter pour l’ensemble de définition D = ⎤-` ; - d ⎡ ¯ ⎤- d ; +` ⎡
⎦ c⎣ ⎦ c ⎣
ou D = - - . { } d
c
La courbe représentative d’une fonction homographique est une hyperbole.
b. − 1 5
b. 7
6
c. − 6 c. – 7
5
© Hachette Livre – Mathématiques 2de © Hachette Livre – Mathématiques 2de
f (x) = 2 +1
x −1
a. est homographique
78
Diaporamas
a. –5 a. –5
1
b. 0,1 b. 5
c. 0,2 c. 0,2
a. –3 a. 7
10
b. 1 b. 7
3
c. 0,3333 c. 1,3
a. 100 km . h–1 a. 3
b. 70 km . h–1 b. 5
c. 90 km . h–1 c. 1
5
© Hachette Livre – Mathématiques 2de © Hachette Livre – Mathématiques 2de
3
a. − 20
1
b. 20
c. 3
20
© Hachette Livre – Mathématiques 2de
0,0008
L’ensemble des solutions est = 2 . {} 3
b. On résout l’équation pour tout réel x ≠ 0 .
0,0006
3
g ( x )= =0 0⇔
g(x)
0,0004
2x
L’ensemble des solutions est = ∅, car la fraction
0,0002
ne peut être nulle.
0,0000
1000 1200 1400 1600 1800 x
7 On fait un tableau de signes pour répondre à
chaque question.
b. y –3x = 0 ⇔ x = 0 et 2x + 8 = 0 ⇔ x = –4.
–0,3
x – 4 0 +
–0,4 –3x + + 0 –
–0,5 2x + 8 – 0 + +
–0,6
h(x) – + 0 –
18 La proposition est vraie. Si on prend des 4. V 0 0,001 0,01 0,1 0,5 1 2 4 5 10
nombres de la forme 1010, 1020 … leurs inverses sont
P 1000 100 10 2 1 0,5 0,25 0,2 0,1
de la forme 10–10, 10–20, c’est-à-dire des nombres de
plus en plus proches de 0.
P = 1 =1 1−3 = 3103 Pa.4
1 ; f 5. 13
19 1. f (3) = 31 ; f (4) = 0,25 ; f (5) = 0,2 ; f (11) = 11 ( ) =V 13 ( )
10; f − = − ; f ( −32) = − 1 ; f (0,002) = 500 ; f ( −1
4 3
6. 1L = 1 dm3 = 1000 cm3 et P = 13 = −10
32
( )
−3 Pa.
25 ; f (5) = 0,2 ; f (11) = 1 ; f ( 13 ) = 1 ; f − 3 = − 4 ; f ( −32) = − 1 ; f (0,0021) = 500 ; f ( −10000) = −10 1 × 10 4.
11 13 4 3 32 7. P = .
( )
; f − 3 = − 4 ; f ( −32) = − 1 ; f (0,002) = 500 ; f ( −10000) = −1 × 10−4.
4 3 32
8. a.
V
P (Pa)
1
V
0 1 5
1
b. Le point d’abscisse 0 ne peut pas être placé sur le
0 1 x graphique car la fonction P est définie sur +*.
24 1. La fonction inverse est décroissante sur
]0 ; + `[.
2. Si 0 x 2, alors 1 ≤ 1 , car la fonction inverse
2 x
est décroissante sur ]0 ; + `[. Réponse b.
2. a. Voir la courbe en pointillés ci-dessus. 25 1. x –4 –1
b. Pour tracer la courbe représentative de la fonction 3 5
f il faut tracer la courbe représentative
de la fonction –3
f (x) 4
inverse et la translater du vecteur 2 j .
–5
21 1. y
2. y
0 1 x
0 1 x
26 1. Si 1 x 2, alors 21 1x 1 et 32 3x 3.
2. a. Voir la courbe en pointillés sur le dessin ci-des- 2. Si − 2 x − 1 , alors −2 1 − 3
3 2 x 2
sus. et −6 3 − 9 .
b. Les courbes représentatives des fonction 1 et − 1 x 2
x x 27 1. Figure sur logiciel.
sont symétriques l’une de l’autre par symétrie d’axe 2. Il semble que le point P se déplace sur l’hyperbole
la droite des abscisses du repère. représentative de la fonction inverse.
3. Les droites (AI) et (JM) sont parallèles, les points
22 1. Faux. La fonction inverse est définie sur *.
O, A, M et O, I, M sont alignés dans le même ordre.
2. Faux. La fonction inverse est décroissante sur *.
D’après le théorème de Thalès :
3. Vrai. C’est une propriété de la fonction inverse.
OA = OI ; OA = OJ × OI = 1
23 1. P = V1 = 21 = 0,5 Pa. OJ OM OM x
2. V = 1 = 1 = 0,25 cm3.
(
Les coordonnées du point P sont x ; 1 .
x )
P 4 On voit avec ses coordonnées que le point M décrit
3. La pression est une fonction inverse du volume, donc la représentation graphique de la fonction inverse
plus le volume augmente, plus la pression diminue. lorsque x décrit l’intervalle ]– ; 0 []0 ; + [.
82
Exercices
28 P (W)
10 000
5 000
XMIN=0 et XMAX=3.
YMIN=0 et YMAX=2.
29 1. En cellule B2, on fait afficher l’image du réel
de la cellule A2 par la fonction inverse.
2. En B7, le tableur indique que 0 n’a pas d’image par 1 000
d (s)
la fonction inverse. 0 10 50
4. Le graphique n’est pas satisfaisant car la courbe
obtenue passe par le point de coordonnées (0 ; 0) ce 293020 = 293020 ≈ 59
3. d = s.
qui est faux. P 5000
5. En éliminant le point de coordonnées (0 ; 0), on 33 1. On résout l’équation pour tout réel x ≠ 4 .
obtient un graphique plus proche de la courbe atten- f ( x )==0 0⇔
f(x) x − 2 = 0 ⇔x x−–22==00⇔ x =x 2= 2.
due de la fonction inverse. x−4
L’ensemble des solutions est = {2}.
30 y1 = 3 est une fonction homographique définie
x 2. On résout l’équation pour tout réel x ≠ −2 .
pour x ≠ 0 .
f ( x )= =0 0⇔
f(x) 3 x + 6 = 0 ⇔ 3 x3x+ +6 6==00⇔ x =x −=2–2.
y2 = x + 1 est une fonction homographique définie x +2
x +2
pour x ≠ −2 . L’ensemble des solutions est = {∅} car –2 n’appar-
y3 = 12 n’est pas homographique. tient pas au domaine de définition de f.
x 3. On résout l’équation pour tout réel x ≠ 4 .
y4 = 2x + 1 est affine donc pas homographique. 3
3 x − 1 3 1 (
f(x)
f xf )
(
= x=
0) ⇔
=
0 05x5+x 3+ =3 0=⇔ 05 x +
5x
5 x ++
3 3=
3 =
0= 0
0 ⇔
x =xx −
== 3− 3 .
y5 = = x − est aussi affine. 3 x3−x 4− 4 55
2 2 2
31 1. f est définie si et seulement si 3x – 6 ≠ 0. L’ensemble des solutions est S= − . { }3
5
Or 3x – 6 = 0 ⇔ x = 2.
4. On résout l’équation pour tout réel x ≠ 3 .
f est définie sur l’ensemble I = \ {2}. 10 + 1
()
− x− x+5+8 8= =04
( )
+ x x+ +7 7= =2−x32x− −11⇔ ⇔x− –x
x+=+8+14
8=8=0=× x4⇔ = 8.
2. f (1) = 2 1 = 3 1 1
= −1 ; f (0) = − ; f − = 0 = 0 ; fx( −x−2−3) =3 x x− −3= 3 x; fx− −3 3= 0
1 − 00 x8
x= ==8 − 14
3 − 6 −3 6 2 10−7,5
+1 −12 4 4 15 − 6= {8}. 4 − 9 9
−1 ; f (0) = − 1
6 ( )
;f − =1
2
0
−7,5
= 0 ; f ( −2) = − 3
−12 4
1
= ;f 5
4
= ()
4
15 − 6
= 14 L’ensemble
×
4 5. On
4 =−
−9 résout
14 des solutions est 4
9 l’équation pour tout réel x ≠ 2 .
4 44x x−−22==44x x++66 −−
10 + 1 ⇔ 88 ==00
−2) = −3 = 1
−12 4
;f ()
5
4
= 4
15 − 6
= 14
4
× 4
−9
=− 14
9
. 2 2x x− −4 4 2 2
x x−−4 4 22x x− −44
L’ensemble des solutions est = {∅}, car la fraction
4
3. ne peut être nulle.
34 1. L’ensemble des solutions de l’inéquation
1 1 est = ]– ; 0[[1 ; + [. L’ensemble des
x
solutions avec x 0 est donc = [1 ; + [. Vrai.
y
0 1 x
0 1 x
35 1.
x – –3 2 +
4x – 8 – – 0 +
x–3 – 0 + +
g(x) + – 0 +
2x + 1 – 0 + +
x–3 – – 0 +
2x + 1
x−3 + 0 – +
= − 1 ; 3
2
2.
x – −1 2 +
Le point d’intersection a pour coordonnées (2 ; 3).
2
La solution de l’équation f(x) = 3 est x = 2.
–x + 2 + + 0 –
On calcule f ( x ) = 2 + 1 = 3 = 3 .
–2x + 1 + 0 – – 2−1 1
−x + 2 II. Avec Casio
x−3 + – 0 +
1. On écrit l’expression de la fonction :
= − ; 1 <[2 ; +[
2
3.
x – 0 2 +
3x – 0 + +
x–2 – – 0 +
3x
x −2 + 0 – +
= ]0 ; 2[
38 I. Avec TI
1. 2. Les courbes
On choisit une fenêtre assez grande :
2. Les courbes
On choisit une fenêtre assez grande :
84
Exercices
12
10
3. a. f(x) = –1 a pour ensemble de solution = {–1}.
b. f(x) 1 a pour ensemble de solution = ]1,5 ; 2,3] .
8
f (2f=)(2
45 1. f(2) =2)2
⇔=22a 2+a1+=12=
⇔ 2+a+1+1
a2a
22 =1=2= =a 1= 1
22a⇔
2 −21− 1 2 2
6 y
I (A)
4
0 4 12 20 28 36
15
15
15 40 ⇔ 11
I40
II 40 11 ⇔ 220
11 220 220
220 220
220 5,5
5,5 44
RR 44 1
40
40 II 15 15 40
40 II 15
15 33
1 220 220
220 ⇔ 5,5 R 44 .
0 1 x
15 40 I 15 3
41 Le problème revient à résoudre l’équation
x = 1 pour tout réel x ≠ 0 .
x
x = 1 ⇔x2x2==11, donc x = 1 ou x = –1.
x
4. La fonction inverse et ses applications 85
Exercices
86
Exercices
f. f6 = 5 x −
1 = 5 x2 + 20 x − 1
x+4 x+4
, f6 n’est pas une a b( )
On a S (a + b ; 0), yR = 1 + 1 et R 0 ; 1 + 1 .
a b
( ) ( )
fonction de la forme ax + b ce n’est donc pas une MR − a ; 1 + 1 − 1 , donc MR − a ; 1 .
cx + d a b a b
( ) ( )
fonction homographique. 1 1
SNb − a − b ; donc SN − a ; .
3. C’est la fonction f3. b b
54 2. x varie sur l’intervalle [0 ;10] On a bien MR = SN .
MN ××xx==55⇔
3. MN MN == 5 et
MN
x
60 1. f ( −3) = 0 ⇔ −3a + b = 0 ⇔ −3a + b = 0
2x − 3
(10 –− x)
NH × (10 x )==20
20⇔
NHNH== 20
10 − x f (0) = −2 ⇔ − b = −2 ⇔ b = 6
3
Or, MH = MN + NH , donc MH = f ( x ) = + 5 20 . ⎧ −3a + b = 0 ⎧ a=2
x 10 − x ⎨ ⇔⎨
⎩ b = 6 ⎩ b=6
4. Il semble que la fonction f soit décroissante sur
2x + 6 .
[0 ; 4,5] puis croissante sur l’intervalle [4,5 ;10]. Pour tout x ≠ 3 , f ( x ) =
2 2x − 3
f ( )
10
3
= 5 + 20
10 10 − 10 2
3
= +3= 9
2
2. f ( x ) = 4 ⇔ 2x +
2x − 3
6 = 4 ⇔ 2x + 6 = 8x − 12 ⇔ −6x = −18 ⇔ x = 3
3 3 f (x) = 4 ⇔ 2x + 6 = 4 ⇔ 2x + 6 = 8x − 12 ⇔ −6x = −18 ⇔ x = 3
5 20 9 5 × 2 × (10 − x ) + 20 × 2 × x − 9 x (10 2x − x −) 3 9 x2 − 60 x2x+ +1006 = (3 x2x − 10)2 0
5. + − = 3. f=( x ) =21x (⇔
x 10 − x 2 2x (10 − x ) − x−) 3 = 1 ⇔
10 2x 2x (10 + − 6x )= 2x − 3 ⇔ 6 = −3
2x + 6(3=x1−⇔
5 + 20 − 9 = 5 × 2 × (10 − x ) + 20 × 2 × x − 9 x (10 − x ) = 9 xf2( − x )60
=1x⇔+ 1002x −=3
2x
10) 2 + 6 = 2x − 3 ⇔ 6 = −3 , l’égalité est
0
x 10 − x 2 2x (10 − x )
2x (10 − x )fausse,2xl’équation
(10 − x ) f ( x ) = 1 n’admet donc pas de solu-
x − 9 x (10 − x ) 9 x2 − 60 x + 100 (3 x − 10)2 tion. Graphiquement, 1 n’admet aucun antécédent par
= = 0
2x (10 − x ) 2x (10 − x ) la fonction f.
55++ 20 20 −−99 61 L’aire du rectangle vaut x × 1x = 1. L’aire est
00 ⇔ ff((xx))−−99 99
00⇔ ff( (xx) )
xx 10 10−−xx 22 22 22 donc constante pour tout point M.
La courbe représentative de la fonction f atteint un 62 1. x doit être supérieur ou égal à la largeur de
minimum en x = 10 et ce minimum est . 9 l’allée qui passe de part et d’autre de l’espace en
3 2 herbe. Donc x 4. Même chose pour y.
55 La distance parcourue est 2d et le temps mis est 2. Dimensions du terrain en herbe : largeur : y – 2 ;
t1 + t2. Mais t1 = d et t2 = d , donc v = 2 d , et en longueur : x – 4.
v1 v2 d + d Donc l’aire du terrain en herbe étant égale à 1000, on
v1 v2
a bien : ( x − 4)( y − 2) = 1000 .
simplifiant par d, on retrouve la formule donnée.
3. On exprime y en fonction de x :
56 1. Réponse b. 2. Réponse c. 3. Réponse a.
(x − 4)(y − 2) = 1000 ⇔ y − 2 = 1000 ⇔ y = 2 + 1000
57 1. La fonction f est définie sur \ {2} et la fonc- x−4 x−4
tion g est définie sur \ {3}. (x − 4)(y − 2) = 1000 ⇔ y − 2 = 1000 ⇔ y = 2+ 1000 .
x−4 x−4
2. h n’est pas une fonction de la forme ax + b , ce n’est
4. L’aire totale du terrain est alors :
cx + d
donc pas une fonction homographique.
(
x + 1 + 2x − 1 = ( x + 1)( x − 3) + (2x − 1)( x − 2) = x + 4 x + 3 + 2x − 5 x + 2 = 3 x2 − x + 5
2 2
)
A = xy = x 1000 + 2 = 2x + 1000 x .
x−4 x−4
5. On entre l’expression de la fonction dans la calcu-
x −2 x +3 ( x − 2)( x + 3) ( x − 2)( x + 3) ( x − 2)( x + 3)
)( x − 3) + (2x − 1)( x − 2) latrice. On cherche une bonne échelle.
= x + 4 x + 3 + 2x − 5 x + 2 = 3 x − x + 5
2 2 2
( x − 2)( x + 3) ( x − 2)( x + 3) ( x − 2)( x + 3)
58 x2 = 2 pour x = 2 ou x = − 2 .
D’après le graphique, l’abscisse du point d’intersec-
tion des courbes représentatives des fonctions f et g
est positive, il s’agit donc de x = 2 .
g (g (g2()2=)2=2
) =2⇔2aa=a2=2=2a2⇔a= a=2 =2222 2 .
22
59 2. MR = SN
1−1
y − yM b a = a − b = −1
3. a. m = N =
xN − xM b−a (b − a)(ab) ab
b. 1 = −1 × a + b ⇔ b = 1 + 1
a ab a b
1 1
4. −3−<3−< −2 2 − 1< −
⇔− < − 1 , car la fonction inverse
22 33
est strictement décroissante sur ]– ; 0[. Faux.
66 1. x1 = 2 pour tout réel x ≠ 0.
1 1= =2
2⇔
x x= =1 1 .
xx 22
L’ensemble des solutions est S= 1 .
2 {}
2. 1 3 pour tout réel x 0.
x
On trouve que pour une longueur de 49 mètres Graphiquement, pour tout réel x 0, la courbe repré-
(arrondie au mètre), l’aire minimale du terrain est sentative de la fonction inverse est en dessous ou sur
1187 m² (arrondie au m²). La largeur du terrain est la droite d’équation y = 3 sur l’intervalle 1 ; + .
3
alors de 22 mètres (arrondi au mètre).
L’ensemble des solutions est S = 1
; + .
63 1. La fonction définie par l’algorithme est la 3
fonction homographique f ( x ) = ax + b . 1
3. −1 pour tout réel x ≠ 0.
cx + d x
1 −1 ⇔ x + 1 0 .
2. x x
Demander d
i prend la valeur –d/c x – –1 0 +
afficher i x – – 0 +
1
2
0 5 v (km/h)
x (kg)
0 20
4. Il semble que le minium de la fonction C est atteint
en x ≈ 50 km . h–1.
5.
x 0 50 140
0
Bm ( x ) = 4 x − 40 C (v)
x 0
( )
Bm (15) = 4 × 15 − 40 20 4 ( x − 50)
= 0,05 x − 100 x + 2500 = 0,05 x − 100 + 2500
2
= = ≈ 1,33 euros/kg 6. a. 0,05
2
15 15 3 x x x
33 ⇔ 44xx −− 4040
Bmm ((xx))
5. B
xx
33 44xx −− 40
⇔ 4x – 40 3x ⇔ x 40 kg
33( xx − 50)
40
0,05
x
40
xx 2 40 x2 − 100 x + 2500
= 0,05
x (
= 0,05 x − 100 + 2500
x )
= 0,05 x + 125
x
− 5 = C (x
x ( x)
100 x + 2500 = 0,05 x − 100 + 2500 = 0,05 x + 125 − 5 = C ( x ) − 5
x
(x − 50) 2
> 0 ⇔ C ( x ) − 5 > 0 ⇔ C(x) > 5
2. 2 2< < 3 3⇔1 1< <1 1 , car la fonction inverse est b. 0,05
x
33 22
strictement décroissante sur ]0 ; + [. Faux. 7. C (50) = 0,05 × 50 + 125 = 2,5 + 2,5 = 5
50
3. Faux, car la fonction inverse est strictement La fonction C admet un minimum de 5 L atteint pour
décroissante sur ]– ; 0[. v = 50 km . h–1.
88
Exercices
70 1. AR = x – 1 ; AP = y – 1. y
x – 1 2 +
0 1 x
signe de + + –
–2x + 4 0
signe de
– 0 + +
x–1
a. M doit être différent de A, sinon la droite (AM) n’est
signe de
pas définie.
−2x + 4 – + 0 –
x −1 b. (AM) devient tangente à la courbe lorsque M devient
très proche de A.
Accompagnement personnalisé
72 1. 75 1.
x – –3 4 +
x–4 – – 0 +
2x + 6 – 0 + +
x−4
2x + 6 + – 0 +
x−4 0
2x + 6
2.
x – –2 1 +
x+2 – 0 + + 2. La parabole est l’intersection d’un plan avec un
3x – 3 – – 0 + cône de révolution lorsque le plan est parallèle avec
un autre plan tangent à la surface du cône.
x +2
3x − 3 + 0 – + Une ellipse est une courbe plane fermée obtenue par
l’intersection d’un cône ou d’un cylindre droit avec un
x +2 0 plan, à condition que celui-ci coupe l’axe de rotation
3x − 3
du cône ou du cylindre.
73 2. Le point M appartient à la droite (AB) et ABC- 76 I. 1. On remplace les valeurs :
DEFGH est un cube.
( )
2
Les droites (AB) et (HG) sont donc parallèles et défi- 3 5 45
32 − 2 = − 4 = 9 − 5 =1,
9
nissent un plan. 4 9 4 9 4 4
Les droites (HM) et (GB) sont coplanaires et non paral-
lèles, elles sont donc sécantes en un point P. donc B appartient à .
3. Les droites (HG) et (BM) sont parallèles et les points 2. On remplace les valeurs :
12 − 22 = 1 − 4 = 5 ≠ 1 ,
B, P et G d’une part, et M,P et H d’autre part, sont ali-
4 9 4 9 36
gnés dans le même ordre. donc C n’appartient pas à .
D’après le théorème de Thalès :
3. Courbe tracée avec un logiciel de géométrie :
BP = BM .
PG HG
BP = x( 2 − BP) ⇔ BP (1+ x ) = 2x ⇔ BP = 2x
1 x +1
= x( 2 − BP) ⇔ BP (1+ x ) = 2x ⇔ BP = 2x
1 x +1
La fonction qui, à x, associe la longueur BP, est une
fonction homographique.
4. Si x = 0,2, BP ≈ 0,24.
5.
y
0,2
0 1 x
90
Exercices
No problem
77 The function f defined on the set ]– ; 0[<]0 ; + [ y
by f ( x ) = 1 is called inverse function or hyperbolic
x
function.
The number 0 has no inverse. That’s why f is unde-
fined for x = 0.
This function is decreasing on ]– ; 0[ and on 0 ; + [.
Its curve is an hyperbola. The graph of f ( x ) = 1 has
x
two axes of symmetry: the lines y = x and y = –x.
About these two lines, one half of the hyperbola is a
mirror image of the other half. 1
78 1. y 0 1 x
x×y =4⇔y = 4
x
80 1. Choose a real number
1 Add 1
Compute the inverse of the result
0 1 x Multiply by 2
Substract 3
2 − 3 = −3,5 ; 2
2. − 3 = 53
−5 + 1 0,1 + 1 11
3. 2 −3=2⇔ 2 = 5 ⇔ 2 = 5x + 5 ⇔ x = − 3
4 + 2 = 0 ⇔ 4 = −2 ⇔ x = 4 = −2 x +1 x +1 5
x x −2 2
4. − 3 = x ⇔ 2 = ( x + 3)( x + 1) ⇔ x + 4x + 3 = 2 ⇔ ( x + 2)2 = 3
2
The x-intercept is –2. x +1
There is no y-intercept because the function2is unde-
− 3 = x ⇔ 2 = ( x + 3)( x + 1) ⇔ x2 + 4x + 3 = 2 ⇔ ( x + 2)2 = 3
fined for x = 0. x +1
2. Find the intersection between the straight line y = 2 x = 3 − 2 or x = − 3 − 2
and the curve means solve the following equation
y +1
4 + 2 = 2 ⇔ 4 = 0 which has no solution. y = 2 − 3 ⇔ y + 3 = 2 ⇔ x ( y + 3) + y + 3 = 2 ⇔ x = −
x x x + 1 x + 1 y +3
8 2 2 y +1
4
79 1. 1,5 × y = 4 ⇔ y = 1,5 = 3 y= − 3 ⇔ y + 3 = ⇔ x ( y + 3) + y + 3 = 2 ⇔ x = −
x +1 x +1 y +3
92
Exercices
Présentation du chapitre
Ce chapitre propose une formalisation de la notion de probabilités que les élèves ont découverte en classe de
Troisième. Il s’agit de passer de notions intuitives à la présentation d’expériences aléatoires, de modèles de
probabilité, de vocabulaire et de quelques propriétés qui s’y réfèrent.
• Le vocabulaire est nouveau : expérience aléatoire, évènements élémentaires, univers, modèle de probabilité.
Il est important de faire travailler les élèves sur ces nouvelles expressions.
• L’enjeu est de montrer des modélisations en probabilités : le modèle équiréparti et le modèle posé lorsqu’on
réalise un très grand nombre d’expériences aléatoires. Il est ici primordial d’associer l’outil informatique pour
faire comprendre la notion de stabilisation de la fréquence.
• La notion de probabilité d’un évènement est formalisée et approfondie avec l’évènement contraire, l’intersection
et la réunion de deux évènements et leurs probabilités respectives.
• L’utilisation d’arbres pondérés est très largement utilisée car elle s’avère être un outil très maniable et explicatif.
Le chapitre est source de nombreuses utilisations de tableur, d’algorithmes et de logiciels traceurs de diagrammes
ou de courbes.
5. Les probabilités 95
Pour construire le cours
Objectifs :
Constater la stabilisation de la fréquence.
Proposer un modèle de probabilité à partir de fréquences observées.
1.
Nombre de lancers cumulés 50 100 150 200
2.
3.
Le professeur a l’occasion, au moment de compléter les cellules, de développer ou de rappeler des capacités
de base liées à l’utilisation d’un tableur : entrer une formule avec « = », compter le nombre d’items dans une
plage donnée avec « NB.SI(plage ; item) »…
96
Pour construire le cours
4.
5. Dans la question 2., on peut constater un début de stabilisation de la fréquence autour d’une valeur à peu près
égale à 0,31. Dans la question 4., cette tendance à la stabilisation se confirme, mais plutôt autour d’une valeur
légèrement supérieure de 0,33.
On peut expliquer que, par exemple dans le cas du lancer d’un dé équilibré, pour des raisons de « symétrie »,
chaque issue a autant de chances de se produire qu’une autre. On parle alors d’équiprobabilité. Ainsi, si une
expérience comporte 6 issues équiprobables, la probabilité de chacune d’entre elle qui sera choisie comme
modèle vaudra 1/6.
Autre exemple : On fait tourner la roue présentée ci–dessous. Les issues possibles sont « obtenir rouge »
(noté R) et « obtenir bleu » (noté B).
Étant donné qu’un quart du contour est bleu et que les trois autres quarts sont rouges, on choisit le modèle
suivant :
Issue R B
Probabilité 0,75 0,25
5. Les probabilités 97
Pour construire le cours
Objectifs :
Définir l’intersection et la réunion de deux évènements et l’évènement contraire.
Découvrir la formule p(A < B) = p(A) + p(B) – p(A B).
Les élèves peuvent être laissés en autonomie pour mener l’activité jusqu’à son terme, car ils ont déjà utilisé
les probabilités au collège. Il faut juste rajouter un peu de formalisme proposé par l’énoncé.
( )
2. a. p M =
113
200
= 0,565 .
( )
b. p(M) + p M = 1.
4. a. La probabilité pour que la fiche choisie soit celle d’une personne habitant une maison ou ayant des enfants
est égale à 11 + 5 + 71 + 26 = 113 = 0,565 .
200 200
b. On peut ajouter l’effectif des personnes habitant une maison et celui ayant des enfants, mais dans ce cas on
a compté deux fois les 71 personnes qui ont ces deux caractéristiques. On peut donc écrire :
p(M < E) = p(M) + p(E) − p(M > E) ⇔ p(M < E) = 87 + 97 − 71 ⇔ p(M < E) = 113 = 0,565 .
200 200 200 200
98
Pour construire le cours
Objectif :
Utiliser un arbre et appréhender les règles de calcul qui s’y rattachent.
1. On appelle A l’évènement « ses parents amènent à la gare » et T l’évènement « il prend son train ». On peut
alors représenter la situation par un arbre, en utilisant les évènements contraires de A et de T :
Pour faire comprendre aux élèves les règles de calcul avec un arbre pondéré, on peut 2
revenir à un arbre de choix avec : 3 T
– 2 A
• deux branches qui mènent à A et trois branches à A ; 5 1
– T
• de chacune de ces branches partent deux ou une branches pour T et T. 3
– – 2
On a ainsi quinze branches dont quatre mènent à (A et T), deux à (A et T), six à (A et T)
– – 3 3 T
et trois à (A et T), ce qui explique la multiplication des probabilités rencontrées sur un 5 A
chemin donné : 4 , 2 , 6 et 3 . 1 T
15 15 15 15 3
La somme de ces quatre probabilités étant égale à 1, on peut expliquer que pour avoir la probabilité de l’évè-
nement T, on peut faire la somme des probabilités « des chemins » qui mènent à l’évènement T.
2. L’adolescent ne marche pas quand il prend son train. On cherche donc la probabilité de l’évènement T. D’après
ce qui précède, on a p(T) = 2 × 2 + 3 × 2 = 10 = 2 .
5 3 5 3 15 3
5. Les probabilités 99
Diaporamas
900 − 100
()
3
Le résultat de est : Le résultat de 1 − 2 est :
800 − 100 3
900 −5
a. a.
800 3
700 1
b. b.
800 27
8 3
c. c.
7 9
1 19
d. d.
8 27
© Hachette Livre – Mathématiques 2de © Hachette Livre – Mathématiques 2de
( )
Le résultat de 1 − 1 est :
3
8
a.
27
26
b.
27
6
c.
9
8
d.
9
© Hachette Livre – Mathématiques 2de
100
Diaporamas
Hommes Femmes
Adultes 18,1 % 27,3 %
Enfants 31,7 % 22,9 %
Quel est le pourcentage d’enfants dans ce groupe ?
a. 53,6 %
b. 54,6 %
c. 49,8 %
d. 45,4 %
© Hachette Livre – Mathématiques 2de
102
Exercices
3 = 1 4 = 1 p = 36 = 9 .
Probabilité 5 52 13
12 4 12 12 3
9 On doit avoir p = p(1) = p(3) = p(5) = p(7) = p(9).
3 1. On doit aussi avoir 2p = p(0) = p(2) = p(4) = p(6) = p(8).
Et par ailleurs, pour respecter la dernière condition,
Issue 17 h 30 17 h 35 17 h 40
on a 5 p + 10 p = 1 soit p = 1 .
5 = 1 240 = 12
15
10 = 1 On en déduit le modèle de probabilité suivant.
Probabilité 500 100 500 50 500 25
Issue 0 1 2 3 4
Issue 17 h 45 17 h 50 17 h 55
2 1 2 1 2
Probabilité
110 = 11 80 = 4 55 = 11 15 15 15 15 15
Probabilité
500 50 500 25 500 100
Issue 5 6 7 8 9
2. p(« 17 h 50 ») = 4 . 1 2 1 2 1
25 Probabilité
15 15 15 15 15
3. p(« + ou – 5 min ») = 1 + 12 + 11 = 36 = 18 .
50 25 50 50 25
4 On suppose le dé équilibré, la situation est équi- 10 Tous les nombres compris entre 0 et 1 sont
susceptibles d’être une probabilité associée à un
probable donc p(« 3, 6, 9, 12 ») = – 4 – 1 .
12 3 événement.
5 1. p(F Mi) = 0,16. Les bonnes réponses sont :
2. p(Ma F) = p(Ma) + p(F) – p(F Ma)
()
7
1 − 1 ; 2 ; 3 − 1 ; 10−20 .
= 0,69 + 0,49 – 0,33 = 0,85. 2 3
+ 30 = 11
6 1. p(F) = 801000 100
6
11 1. p (H) = 9 = 23 .
2. p (F S) = p (F) + p (S) − p (F S) 2. p (F G) = 2 .
9
= 110 + 90 + 30 − 30 3. p (F K) = 0 .
1000 1000 1000
4. p (F H) = 7 .
= 200 = 2 . 9
1000 10 12 Les phrases 1, 2 et 4 utilisent des probabilités.
7 1. Faux, pour que la fréquence de « Face » soit 13 1. Vrai, car p(A) + p( A ) = 1.
égale à 0,5, le nombre de lancers doit être pair. 2. Faux, car p ( A B) = p ( A ) + p (B) − p ( A B).
2. p (P F) = 1 × 3 = 1 , la proposition est vraie. 3. Faux, car p ( A B) = p ( A ) + p (B) − p ( A B).
2 6 4
3. 4 × 3 × 2 × 1 = 24, la proposition est vraie. 4. Faux, car p(A) = 0,6 et p(B) = 0,8.
4. Faux, il y a une combinaison permettant d’obtenir 14 1. La situation n° 1 correspond au modèle C.
la somme 2 (1 + 1), alors qu’il y a trois combinaisons 2. La situation n° 2 correspond au modèle A.
permettant d’obtenir la somme 4 (1 + 3 ; 2 + 2 ; 3 + 1). 3. La situation n° 3 correspond au modèle B.
5. p(M N) = p(M) + p(N) – p(M N)
15 a. → p3 b. → p5 c. → p4
⇔ p(M N) = –p(M N) + p(M) + p(N) d. → p1 e. → p2
= –0,41 + 0,55 + 0,38 = 0,52.
16
La proposition est fausse.
Nombre
6. p = 1 × 1 = 1 , la proposition est fausse. de lancers
10 100 1 000 10 000 100 000
2 2 4
Nombre
7. p = 4 , la proposition est fausse. 4 54 507 4 984 50 028
5 de « Pile »
8. Il y a six façons différentes d’ordonner les trois
Fréquence
lettres O, L et E, Léo a donc une probabilité égale à 0,4 0,54 0,507 0,4984 0,50028
à 5 décimales
1 d’écrire le mot Olé. La proposition est fausse.
6 Lorsque l’on répète un grand nombre de fois une
9. La proposition est vraie. expérience aléatoire, la fréquence se stabilise autour
10. 1 2 × random() + 1 3 , la proposition est vraie. de la probabilité de l’issue.
()
29 0 21 1, donc 1 devient proche de 0 et
n
2. L’instruction = ENT(ALEA() + 0,4) permet d’afficher
2
()
n
un 1 dans 40 % des cas et 0 dans 60 % des cas envi- 1− 1 devient proche de 1 lorsque n se rapproche
ron si on répète l’expérience un grand nombre de fois. 2
de + .
18 Avec la calculatrice on a :
( )
1. p (Blanche) = 1− p Blanche = 1− 0,3 = 0,7 .
()
n
pour n = 3, 1 − 1 = 0,875 ;
2. p (Bleue) = 1 − p ( Verte) − p (Blanche) 2
= 1 − 0,2 − 0,7 = 0,1.
()
n
pour n = 4, 1 − 1 = 0,9375 .
4 = 0,4 . 2
19 1. p ( A) = 10 La probabilité d’avoir au moins une fois « Face »
dépasse 0,9 à partir de 4 lancers.
2. p (B) = 7 = 0,7.
10 30 1. Le sac d’Aline ne contient que des billes
20 1. rouges, c’est donc elle, avec une probabilité de 1, qui
Nombre a la plus grande probabilité de tirer une bille rouge.
1 2 3 4 5 5 2. Le sac de Bernard contient 10 billes rouges et
de sonneries
Probabilité 0,05 0,2 0,3 0,2 0,1 0,15 30 billes noires, celui d’Aline contient 5 billes rouges
soit deux fois moins que dans le sac de Bernard. Pour
p( 5) = 1 –0,05 – 0,2 – 0,3 – 0,2 – 0,1 = 0,15 qu’ils aient la même probabilité de tirer une bille rouge
2. p( 4) = p(1) + p(2) + p(3) = 0,15 + 0,2 + 0,3 = 0,55 il faut que le sac d’Aline contienne deux fois moins de
21 1. p ( A) = 150 = 5 .
360 12
billes noires que celui de Bernard, soit 15 billes noires.
45 = 0,9.
31 1. p (D) = 50
2. p (B) = 210 = 7 .
360 12
2. p (F) = 20 = 0,4.
50
3. p (C) = 75 = 5 . 0,6
360 24 3. Femme
22 p (cœur ) = 13 ; p (as) = 4 ; p ( figure) = 12 ; 0,1 Gaucher
Homme
53 53 53 0,4
p ( joker ) = 1 17
53 45 Femme
p(joker) p(as) p(figure) p(coeur) 0,9
Droitier
28 Homme
23 1. A = {ter ; sur ; ver ; bar ; pur}. 45
2. B = {ter ; ver ; net} .
4. p (D F) = 0,9 × 17 = 0,34 .
3. A B = {ter ; ver}. 45
b. p ( A B) = 2 = 1 . = 1 + 13 − 1 = 15 = 5 , réponse a.
30 15 4 24 6 24 8
2. a. Avec les évènements A et B, la probabilité de 33 1. Par lecture du diagramme, 34 % des conseil-
gagner 2 euros s’écrit p(A<B). lers municipaux sont des femmes, donc p = 0,34.
2. De même, on obtient une probabilité égale à 0,21.
b. p ( A B) = 10 = 1.
30 3 3. On obtient ici une probabilité de 0,67.
26 p(A > B) = p(A) + p(B) – p(A B) = 0,73 + 0,54 – 1 34 1. La zone mauve compte les 20 élèves qui ont
= 0,27. choisi les deux options.
27 a. V A La zone bleue compte les 60 élèves qui ont choisi
b. V A l’option 1 mais pas la 2.
La zone verte compte les 160 élèves qui ont choisi
c. V
l’option 2 mais pas la 1.
d. A On peut signaler que tous les élèves ont choisi au
28 a. O moins une option.
104
Exercices
2. p (B) =
14
.
40 1. Lors du premier tirage, il y a 7 chocolats au
49 lait parmi 11 chocolats dans le ballotin. Lorsqu’un
chocolat au lait a été tiré, il n’y a plus que 6 chocolats
3. p (C) = 2 .
49 au lait parmi 10 chocolats dans le ballotin.
2.
4. p (D) = 26 .
6
49 10 Au lait
7 Au lait
36 1. Un diagramme de Venn convient ici. Noir
11 4
155 69
( )
2. p S = 1− p ( S ) = 1− =
500 100
10
7
( )
3. p S A = 1− p (S A ) 4
11
10 Au lait
Noir
= 1− p (S ) − p ( A ) + p (S A ) 3 Noir
155 235 105 43 10
= 1− − + = .
500 500 500 100 3. p = 7 × 4 + 4 × 7 = 28 .
11 10 11 10 55
37 On construit un arbre dont les premières 41
branches indique le choix de l’urne puis les secondes
Dé 2
branches donnent la répartition des billets. 2 4 8 16 32 64
Dé 1
Il conduit au calcul suivant :
2 4 6 10 18 34 66
p = 7 × 1 + 2 × 2 + 1 × 1 = 11 . 4 6 8 12 20 36 68
10 10 10 5 10 3 60
8 10 12 16 24 40 72
38 1. = ENT(6*ALEA())+1 : la formule permet de
16 18 20 24 32 48 80
simuler aléatoirement le résultat du lancer d’un dé
32 34 36 40 48 64 96
cubique.
64 66 68 72 80 96 128
= MAX(B13 ;C13) : la formule permet de conserver
Il y a 10 issues favorables pour 36 issues au total. La
le plus grand des deux chiffres indiqués par les dés.
= NB.SI($D$13:$D$1012;E13) : la formule permet de probabilité cherchée est donc 10 = 5 .
36 18
dénombrer, sur 1 000 lancers, le nombre de fois ou 42 1. On construit un arbre dont les premières
le plus grand des deux chiffres indiqués par les dés branches indiquent le choix du premier jeton, puis
est respectivement 1,2, 3, 4, 5 et 6. les secondes branches donnent le choix du 2e jeton.
Chaque branche de l’arbre est pondérée par le même
= F13/1000 : la formule permet de calculer la fré-
nombre 0,25 (tirage avec remise).
quence de chacun des 6 résultats possibles.
On obtient pour l’univers Ω = {AA, AB, AC, AD, BA,
2. f1 < f2 < f3 < f4 < f5 < f6. BB, …, DC, DD}, soit 16 issues équiprobables au total.
Il semble que les fréquences du plus grand des deux
2. p(BD) = 1 .
chiffres indiqués par les dés sont rangées dans 16
l’ordre croissant. 3. p(AC, BC, CC, DC) = 4 = 1 .
16 4
3.
4. p(« pas de A ») = 9
16
Dé 2
1 2 3 4 5 6 43 1. La somme des branches partant d’un nœud
Dé 1
vaut 1, donc on complète facilement l’arbre.
1
2
1
2
2
2
3
3
4
4
5
5
6
6
( )
2. p(S) = p (M S ) + p M S = 1 × 3 + 2 × 1 = 7 .
3 4 3 2 12
3 3 3 3 4 5 6 44 1. L’arbre obtenu présente trois étapes, la pre-
4 4 4 4 4 5 6 mière propose trois choix et les deux suivantes deux
choix, ce qui donne un univers à 3 × 2 × 2 = 12 issues
5 5 5 5 5 5 6
équiprobables.
6 6 6 6 6 6 6
2. Le mot CIO a une probabilité de 1 .
12
p (1) = 1 < p (2) = 3 < p (3) = 5 < p (4) = 7
36 36 36 36 45 Un diagramme de Venn donne :
< p (5) = 9 < p (6) = 11 . a. p(N < V) = 1 – 13 = 15 .
36 36 28 28
5. Les probabilités 105
Exercices
1 S=3 64 1.
2 S=4 Acceptées Refusées Total
2
3 S=5 Valables 93 100 1 900 95 000
4 S=6 Non valables 1 000 4 000 5 000
Total 94 100 5 900 100 000
1 S=4
1 94100
2 S=5
16 3 2. a. p ( A ) = = 0,941.
3 S=6 100 000
1000
4 S=7 b. p (acheteur ) = = 0,01 .
1
100 000
8 1 S=5 1900
p (vendeur ) = = 0,019 .
2 S=6 100 000
4
3 3 S=7 65
16
4 S=8
1 2 3 4 5 6
1 S=6
1 1 2 3 4 5 6 7
4 2 S=7
5
3 S=8 2 3 4 5 6 7 8
3 4 S=9
16 3 4 5 6 7 8 9
1 S=7 4 5 6 7 8 9 10
1
2 S=8
8 6 5 6 7 8 9 10 11
3 S=9
1 4 S = 10 6 7 8 9 10 11 12
16
1 S=8 Sur 36 issues, 18 sont impaires. On obtient l’arbre
2 S=9 suivant :
7 0,5 Pile
3 S = 10 Impaire
0,5
4 S = 11 0,5 Face
Accompagnement personnalisé
71 1. a. F G. ( )
p F G = 0,06 .
b. F G.
c. F G. p ( F G) = 0,43 .
2. a. Le dossier tiré est celui d’un garçon gaucher.
p(F < G) = 0,49 + 0,11− 0,06 = 0,54 .
b. Le dossier tiré est celui d’un garçon droitier.
c. Le dossier tiré est celui d’un garçon ou d’un gaucher.
3. p(F G) = 0,05.
72 À faire en classe.
( )
p F G = 0,46 . 73 Travail sur tableur : il peut s’avérer utile d’orien-
p(F G) = 0,51 + 0,11 – 0,05 = 0,57. ter les élèves les plus bloqués vers le n° 47 page 147.
74 On suppose que par « obtenir deux « Pile » » on Moins de Entre 31 et Plus de
Total
entend « obtenir au moins deux « Pile » » 30 ans 60 ans 61 ans
On calcule la probabilité d’obtenir au moins deux Effet 2 2,4 7,5 11,9
« Pile » en lançant quatre fois la pièce équilibrée. On
Pas
obtient p = 1 – 0,54 – 4 × 0,54 = 0,6875. 18 27,6 42,5 88,1
d’effet
On suppose que par « obtenir trois « Pile » » on
entend « obtenir au moins trois « Pile » ». Total 20 30 50 100
On calcule la probabilité d’obtenir au moins 3 « Pile »
Avec l’arbre : p(S) = 0,2 × 0,1 + 0,3 × 0,08 + 0,5 × 0,15
en lançant 6 fois la pièce équilibrée. On obtient
= 0,119
p = 1 – 0,56 – 6 × 0,56 – 15 × 0,56 = 0,65625
Avec le tableau : p(S) = 11,9 %.
On a donc plus de chance d’obtenir au moins deux
2. Les résultats obtenus avec l’arbre ou le tableau
« Pile » en lançant quatre fois la pièce équilibrée.
sont identiques.
75 1. Il y a 12 × 11 × 10 × 9 = 1 180 possibilités
pour que les quatre personnes n’aient pas leur anni- 77 Après un travail autour du tableur ou d’un algo-
versaire le même mois, parmi 12 × 12 × 12 × 12 = 20 rithme, on peut inviter les élèves à mettre en place
11880 une table de vérité.
736 possibilités, donc p = ≈ 0,57 .
20 736 b
2. On calcule la probabilité qu’aucune des dix per- 1 2 3 4
a
sonnes ait leur anniversaire le même mois. On obtient
1 F F F F
p = 12 × 11 × 10 × 9 × 810× 7 × 6 × 5 × 4 × 3 ≈ 0,004 .
12 2 V F F F
La probabilité de l’évènement recherchée dans la 3 V V F F
question est la probabilité de l’événement contraire,
4 V V V F
soit
p = 1 − 12 × 11 × 10 × 9 × 810× 7 × 6 × 5 × 4 × 3 On obtient alors p(a b) =
6 =3
.
12 16 8
≈ 0,996. 78 p
3. p = 1 − 365 × 364 × 363 ×10362 × … × 356 = 0,1169 P
365 p P
4. À faire en fonction du nombre d’élèves dans la 1–p P
classe. p P
5. p = 1 − 365 × 364 ×23… × 343 = 0,5073 , à partir de 1–p P
365 1–p P
23 personnes on a plus d’une chance sur deux d’avoir
L’énoncé demande à trouver p tel que p(« au moins
au moins deux anniversaires le même jour.
un moteur fonctionne ») 0,5.
76 1. 0,1 Or p(« au moins un moteur fonctionne »)
S
– 30 = 1 – p(« les deux moteurs en panne »)
ans = 1 – p2
0,2 0,9 S
0,08 Ainsi il reste à résoudre 1 – p2 0,5 avec p positif.
S
0,3 31 et 61 On obtient p 0,5 .
ans
0,92 S
0,5 0,15 S
+ 61
ans
0,85 S
No problem
79 1. Let N the number of surveyed people. So we 81
can write down: N × 0,1 = 30. So: N = 30 = 300. Number
10 50 100 150 200
0.1 of trials
2. 300 × 0.63 = 189. 189 people opted for route B.
Frequency
80 1. Impossible. 2 14 23 39 51
of letter A
2. Even.
Relative
3. Likely. frequency 20 28 23 26 25,5
4. Certain. of letter A (%)
5. Likely.
6. Unlikely.
110
Exercices
1. The table above watch that when we make the 2. There are 50 girls in the school. 8 go to school
experience a large number of time the frequency of by car and 42 girls don’t use car. The probability is:
appearance of A is close to the theoretical frequency 42 = 0.84.
which is 25%. 50
3. There are 25 pupils who ride to school. Among
2. them, there are 20 boys. The probability is: 20 = 0.8.
25
84 0.4 L
0.4 L
0.6 L
0.4 L
0.6 L
0.6 L
Les jetons sont mis dans un sac et l’un d’eux est pioché 84 À l’heure ?
au hasard. La probabilité qu’Amanda soit en retard à l’école est
1. Calculez la probabilité que le jeton soit rouge. de 0, 4.
2. Quelle est la probabilité que le jeton soit bleu et porte Utilisez un arbre pondéré afin d’évaluer la probabilité
le numéro 1 ? que pendant deux jours consécutifs :
83 En chemin pour l’école 1. elle soit en retard deux fois ;
2. elle soit en retard une seule fois précisément ;
Ce tableau indique par quel moyen les élèves du niveau 7
se rendent à l’école de Lindfield. 3. elle ne soit jamais en retard ;
4. que peut–on vérifier ?
Garçon Fille
À pied 23 17 85 Gargantua
En bus 15 20
Comment Gargantua fut instruit par Ponocrates et ainsi
soumis à la discipline, de façon à ne pas perdre une heure
En voiture 12 8
de la journée.
En vélo 20 5
1. À quel domaine des mathématiques le narrateur fait–
1. Un élève de 7e est choisi au hasard. Quelle est la il référence dans la première phrase ?
probabilité que cet élève se rende à l’école à pied ? 2. Questions Internet
2. Une élève de 7e est choisie au hasard. Quelle est la a. Qui est François Rabelais ? Qu’est–ce qui rend le
probabilité qu’elle ne se rende pas à l’école en voiture ? personnage Gargantua si particulier ?
3. Un élève de 7e qui va à l’école en vélo est choisi au b. Pourquoi les œuvres de Rabelais ont–elles été une
hasard. Quelle est la probabilité que cet élève soit un source d’inspiration pour Les voyages de Gulliver de
garçon ? Jonathan Swift ?
112
6 Les statistiques
Présentation du chapitre
Ce chapitre approfondit les notions de statistiques déjà vues en grande partie au Collège. Il reprend les trois
types d’outils : outils de synthèse des observations, outils de représentations des séries statistiques et outils de
caractérisations numériques.
• Les notions de moyenne et de médiane sont déjà bien connues. Il s’agit dans ce chapitre de mettre en valeur
les différentes utilisations de ces deux indicateurs et de montrer la pertinence de chacun dans des situations
de comparaison.
• Les utilisations des logiciels d’outils graphiques, du tableur et de la calculatrice sont particulièrement néces-
saires dans ce chapitre. En particulier, le fonctionnement de la calculatrice, exigible en Seconde, doit être bien
établi pour l’utilisation des listes de valeurs.
• Le travail d’un statisticien doit être réalisé sur des données le plus souvent tirées de situations réelles. C’est
pourquoi les exercices présentent soit des valeurs d’une série statistique en grand nombre, qu’il faut savoir trier
avant de traiter l’étude quantitative, soit des situations déjà observées et triées pour lesquelles il est nécessaire
de mettre en œuvre les indicateurs de position ou de dispersion, dans un but d’analyse ou comparatif.
Objectif :
Revoir la notion de médiane.
Il s’agit donc de faire deux groupes de 40 personnes. En cumulant les effectifs, les 40 personnes les moins
assidues sont celles qui ont fait 15 visites mensuelles ou moins (1 + 1 + 2 + 2 + 3 + 14 + 17 = 40), la quarantième
personne en a fait 15. La quarante et unième personne a fait 20 visites.
Il semble donc qu’il faille réaliser 20 visites pour obtenir sa carte de fidélité. Mais si la quarante et unième
personne avait réalisé 16 visites, la réponse à la question aurait été 16 !
On peut montrer ici la nécessité d’une convention : fixer une valeur, la médiane, pour répondre à ce genre de
problème.
Toute valeur entière entre 15 et 20 pourrait convenir pour ce problème.
Par convention, on calcule la médiane de la manière suivante : Me = 15 + 20 = 17,5 .
2
La médiane est donc égale à 17,5.
C’est l’occasion alors de :
– r appeler que c’est en cumulant les effectifs qu’on peut déterminer la médiane quand les données sont dans
l’ordre croissant ;
– faire remarquer que la médiane n’est pas forcément une valeur de la série de données et que lorsque l’effectif
total est pair, on calcule la moyenne des deux valeurs « centrales » ;
– prolonger l’activité dans le cas d’un effectif total impair (rajouter une valeur par exemple) afin de préciser
que dans ce cas, il n’y a qu’une valeur centrale et que la médiane est alors égale à cette valeur.
– mettre l’accent sur l’utilité de ce paramètre dans un cas comme celui-ci, en interprétant par une phrase la
valeur de la médiane.
Etant donné une série statistique dont on a rangé les termes dans l’ordre crois-
sant, une médiane est une valeur telle que 50 % des valeurs de la série lui soient
inférieures ou égales et 50 % des valeurs lui soient supérieures ou égales.
Dans la pratique, si les valeurs sont rangées par ordre croissant :
- si le nombre de termes est impair, de la forme 2n + 1, la médiane de la série
est le terme de rang n + 1;
- si le nombre de termes est pair, de la forme 2n, la médiane de la série est la
demi-somme des valeurs des termes de rang n et n + 1 (par convention).
Objectifs :
Passer des effectifs aux fréquences puis aux fréquences cumulées croissantes.
Calculer une moyenne pondérée.
Représenter une série statistique.
1. Le caractère étudié ici est le nombre d’exercices traités par les candidats d’un concours. Les valeurs qu’il peut
prendre sont les nombres entiers entre 0 et 8.
2. L’effectif total de la série est 76 + 92 + … + 4 = 800.
3. Le nombre moyen d’exercices traités se calcule grâce à la moyenne pondérée :
0 × 76 + 1× 92 + 2 × 84 + … + 7 × 32 + 8 × 4 = 2584 = 3,23 .
800 800
114
Pour construire le cours
4. 200
180
160
140
120
100
80
60
40
20
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8
5. Pour calculer chaque fréquence, on divise l’effectif correspondant par l’effectif total (ici 800).
Nombre d’exercices traités 0 1 2 3 4 5 6 7 8
Effectif des candidats 76 92 84 184 176 100 52 32 4
Fréquence 0,095 0,115 0,105 0,23 0,22 0,125 0,065 0,04 0,005
Fréquence cumulée croissante
7. La fréquence cumulée croissante pour la valeur 6 est égale à 0,955. Cela signifie que 95,5 % des candidats
ont résolu 6 exercices ou moins.
8. Les candidats qui ne sont pas reçus sont donc ceux qui ont résolu 4 exercices ou moins. La fréquence
cumulée croissante pour la valeur 4 est 0,765, donc le pourcentage cherché correspond donc à la fréquence
1 – 0,765 = 0,235.
23,5 % des candidats sont donc reçus à ce concours.
On peut aller jusqu’à évoquer les fréquences cumulées décroissantes si besoin.
Un travail utile sur les expressions « au moins », « au plus », « 4 ou moins », « 5 ou plus » peut être mené.
L’effectif d’une valeur est le nombre d’individus ayant cette valeur suivant le
caractère étudié.
L’effectif total est le nombre d’individus de la population. C’est la somme des
effectifs de toutes les valeurs du caractère.
La fréquence d’une valeur xi est le quotient de l’effectif de cette valeur par l’effectif
effectif de x i
total : fréquence de xi = .
effectif total
Objectif :
Utiliser la moyenne et un paramètre de dispersion pour évaluer position et homogénéité d’une série.
Pour estimer la régularité, on peut calculer les quartiles et l’écart interquartile de chaque joueur :
5 = 1,25 et 3 × 5 = 3,75 si les valeurs sont rangées dans l’ordre croissant, le 1er quartile est donc la 2e valeur
4 4
et le 3e quartile la 4e valeur.
• Nora : Q1 = 12 et Q3 = 12, Q3 – Q1 = 0 ; • Oscar : Q1 = 10 et Q3 = 18, Q3 – Q1 = 8 ;
• Pam : Q1 = 10 et Q3 = 14, Q3 – Q1 = 4.
C’est donc Nora qui, avec ce critère, est la plus régulière et Oscar le tireur le plus irrégulier.
La moyenne d’une série nous renseigne sur le niveau des valeurs de cette série.
Deux séries qui ont la même moyenne peuvent être très différentes en termes de
régularité des valeurs.
La dispersion d’une série peut se mesurer de diverses façons.
On appelle étendue la différence entre la plus grande valeur du caractère et la plus
petite.
116
Pour construire le cours
Objectifs :
Étudier une série statistique regroupée en classes et comprendre le sens et la courbe des effectifs cumulés
croissants.
Estimer une médiane.
1. Cette valeur est l’effectif cumulé croissant pour l’intervalle [20 ; 30[. Cela signifie que 32 dossiers ont été
traités en moins de 30 minutes.
C’est la borne de droite de l’intervalle qui permet d’interpréter cette valeur.
2. L’effectif total est dossiers, car l’effectif cumulé croissant pour le dernier intervalle est .
3.
Durée en minutes [0 ; 10[ [10 ; 20[ [20 ; 30[ [30 ; 40[ [40 ; 50[
Effectif 5 10 17 12 6
Le premier effectif est égal au premier effectif cumulé croissant, les suivants sont les différences entre deux
effectifs cumulés consécutifs.
4. L’effectif cumulé croissant utile ici est celui de l’intervalle [20 ; 30[ : 32. Le pourcentage correspondant est lié
à la fréquence cumulée croissante correspondante : 32 = 0,64.
50
64 % des dossiers ont été traités en moins de minutes.
5. Dans le cas de données regroupées en intervalles, on calcule la moyenne en prenant des valeurs égales à la
valeur centrale de chaque intervalle.
m = 5 × 5 + 10 × 15 + …6 × 45 = 1290 = 25,8 minutes. C’est le temps moyen de traitement d’un dossier.
50 50
6. Avec le graphique, il suffit de lire la durée en minutes correspondant à un effectif de (moitié de l’effectif total).
On lit donc l’abscisse du point de la courbe qui a une ordonnée égale à . On obtient une médiane environ égale
à minutes. Cela signifie que la moitié des dossiers est traitée en moins de minutes, et l’autre moitié en plus de
minutes.
On peut évoquer la manière de construire le graphique des effectifs cumulés croissants à partir du tableau qui est
donné ; on fait remarquer qu’un graphique équivalent peut être tracé avec les fréquences cumulées croissantes.
5 – 7 – 8 – 10 – 12 – 14 – 15
118
Diaporamas
Quelle note manque-t-il dans cette série pour avoir une Fréquences 10 23 7 9 8
moyenne de 11 ? Fréquences cumulées 33 40 83
Que valent le 1er quartile, la médiane et le « 1 123 candidats reçus sur les 4 432 qui se
3e quartile de la série statistique suivante ? sont présentés » .
Cela représente environ :
–7 ; –2 ; 3 ; 4 ; 7 ; 9 ; 10 ; 15 ; 23
a. 40 %
b. 25 %
a. 0,5 ; 7 ; 9,5 b. -2 ; 7 ; 10
c. 50 %
c. 3 ; 9 ; 15 d. 3 ; 7 ; 10 d. 60 %
© Hachette Livre – Mathématiques 2de © Hachette Livre – Mathématiques 2de
Gamme 2 a. Sur 10 boules, 3 sont rouges, soit une Gamme 6 a. Il faut compter 83 jeunes au total.
fréquence de 0,3. b. 48 jeunes ont plus de 15 ans.
b. Sur 10 boules, 7 sont vertes, soit un pourcentage de 70 %. c. 28 ≈ 0,337, soit 33,7 %.
83
d. 83 – (7 + 8) = 68, donc 68 ont au moins 12 ans.
Gamme 3 3 × 6 + 2 × 8 × 11+ … + 2 × 19 = 11,96.
25
Gamme 7 Sur 1600 élèves, 420 + 600 sont demi-
1020
Gamme 4 a. Faux, il faut utiliser la médiane ici. pensionnaires, soit = 63,75 %
1600
3 On utilise le centre de chaque classe. valeurs de rang 5 et 6, soit 12 + 13 = 12,5. Pour aug-
2
x = 15 × 16 + 25 × 22 + 40 × 34 + 55 × 48 + 65 × 80 = 9990menter = 49,95la médiane d’un point, il faut augmenter le 13
200 200
55 × 48 + 65 × 80 = 9990 = 49,95 . de deux points.
200 4. La médiane ne peut augmenter que d’un point en
4 1. La série est quantitative à caractère discret. changeant le 13 en 15 ; en l’augmentant plus, c’est la
2. Nombre d’appartements note de rang 7 (15) qui deviendrait la note de rang 6.
350
300
5. En augmentant le 13 de deux points et en baissant
le 5 de deux points, la médiane augmente d’un point
250
et la moyenne reste inchangée.
200
6. Pour diminuer la moyenne d’un point il faut baisser
150 une note de 10 points. Il est possible de le faire avec
100 une note supérieure ou égale à 10, mais, dans ce cas,
50 l’ordre des notes est modifié et la médiane aussi.
0 11 17 = 4,25 et 17 × 3 = 12,75, donc toutes les
0 1 2 3 4 5 6 7 8 4 4
Nombre de pièces séries de 17 valeurs qui, classées dans l’ordre crois-
5 1. Effectif sant, admettent 30 comme valeur de rang 5 et 50
comme valeur de rang 13 sont possibles.
105 12 1. Pays A : x = 5 0005000 euros,
60 Me = 100, Smax = 49 100 euros.
20 Pays B : x = 2100 euros, Me = 2 000, Smax = 3 000
Me = 2 000, Smax = 3 000 euros.
2. a. On peut supposer que la personne gagnant 49
100 euros par mois est la plus prédestinée pour
0 5 10 15 20 25 30 35 acheter un bijou de 10 000 euros, le choix du pays A
Distance (en km) serait donc préférable.
2. x = 2,5 × 20 + 10 × 60 + 22,5 × 105 ≈ 16,3 km
b. La moyenne n’est ici pas le bon indicateur de la
185 qualité de vie dans les deux pays. Il vaut mieux regar-
3. N = 92,5 , la médiane est la 93e valeur, soit environ der la médiane et, dans ce cas, il est préférable de
2
16 km. vivre dans le pays B.
6 1. La fréquence de parties gagnées est de 0,3. c. Même si la richesse est une valeur toute relative,
2. La fréquence de Français droitiers est de 0,88. on peut raisonnablement supposer que la personne
3. La fréquence de Français ne parlant aucune langue gagnant 49 100 euros dans le pays A est riche.
étrangère est de 0,4. 13 Le maire et son opposant ont tous les deux
4. La fréquence de filles dans la classe de ma voisine raison. Chaque graphique est juste. Mais l’échelle
est de 0,6. choisie sur l’axe des ordonnées permet à chacun de
5 1 donner une interprétation différente.
7 La fréquence d’apparition du 3 est 20 = 4 (la
Le maire a choisi une échelle pour laquelle les
somme des fréquences est égale à 1).
colonnes sont toutes d’une hauteur à peu près iden-
8 8 + 14 + 5 +610 + 11+ x = 10 ⇔ x = 12 . tique. Son graphique permet de montrer une régula-
rité, donc peu de fluctuation du chômage.
9 1re situation : à l’intérieur du premier groupe, Son opposant a choisi une échelle qui donne l’impres-
les 10 personnes ont 16 ans et, à l’intérieur du deu-
sion d’une grande irrégularité, donc une moins bonne
xième groupe, les 10 personnes ont 14 ans. Chloé
maîtrise du nombre de chômeurs.
aura intérêt à choisir le premier groupe.
2e situation : à l’intérieur du premier groupe, 5 per- 14 1. f = 12 25
= 0,48 .
sonnes ont 12 ans et 5 personnes ont 20 ans, et à 2. f = 7 ≈ 0,47 .
l’intérieur du deuxième groupe, 5 personnes ont 16 15
ans et 5 personnes ont 12 ans. Chloé aura intérêt à 3. f = 12 + 8 = 20 = 0,5, soit 50 %.
40 40
choisir le deuxième groupe.
10 1. On peut, par exemple, augmenter la note 15 La fréquence d’apparition du 1 est :
12 d’un point et diminuer la note 13 d’un point sans f = 65 = 0,1625 .
400
changer la moyenne.
12 + 15 + 8 + 10 + 25 + 21 + 14 + 14 = 119 = 14,875
2. On peut augmenter de 10 points une note inférieure 16 x =
12 + 15 + 8 + 10 + 25 + 8
21 +814 + 14 = 119 = 14,875
à 10, si la note 8 par exemple se transforme en 18, la x = 8 8
.
moyenne augmente d’un point. La proposition est donc vraie.
3. 5 ; 6 ; 7 ; 8 ; 12 ; 13 ; 15 ; 16 ; 18 ; 19 17 1. x = 5 × 54 + 8 ×273 96 + 12 × 123 = 2514 = 9,21
273
10 = 5 , la médiane est la demi-somme entre les x= 5 × 54 + 8 × 96 + 12 × 123 = 2514 = 9,21 euros.
2 273 273
6. Les statistiques 121
Exercices
2. 123 ≈ 0,45 , donc environ 45 % des membres du 2. Au moins la moitié des élèves ont obtenu une note
273
inférieure ou égale à 7. Au moins 25 % des élèves ont
club ont payé l’entrée au tarif le plus haut.
obtenu une note inferieure ou égale à 4. Au moins 75 %
+ 86 = 111 = 0,888 .
18 1. f = 1425
+ 25 + 86 125 des élèves ont obtenu une note inférieure ou égale à 8.
29 6 ; 10 ; 14 ; 30.
12,5 × 14 + 17,5 × 25 + 22,5 × 86 30 1 ; 1 ; 32 ; 33 ; 33.
2. x = ≈ 20,4 kg.
125
31 8 ; 15 ; 28 ; 30 ; 40 ; 58 ; 60 ; 70 ; 72 ; 100 ; 123.
19 xAlexia = 12 + 2 × 11 + 3 × 9 = 61 ≈ 10,2 . 32 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 4 ; 4 ; 5 ; 5 ; 6 ; 6 ; 6 ; 7 ; 7 ; 7 ; 8 ; 8 ;
6 6
8 ; 9 ; 9 ; 10 ; 12 ; 14.
xLauriane = 15 + 2 × 8 + 3 × 10 = 61 ≈ 10,2 . N = 22 = 11 : la médiane est la demi-somme entre
6 6
2 2
Les deux élèves sont de même niveau en mathéma- la valeur de rang 11 et la valeur de rang 12, soit
tiques ce trimestre.
Me = 6 + 7 = 6,5 .
20 2
24,5 × 105 + 39,5 × 102 + 59,5 × 74 + 85 × 28 N 22
1. x = ≈ 43,324 = 4 = 5,5 : le premier quartile est la valeur de
309
+ 59,5 × 74 + 85 × 28 rang 6, soit Q1 = 6 .
≈ 43,32 euros. 3N = 75 = 16,5 : le troisième quartile est la valeur
2. f = 207 ≈ 0,67 . 4 4
309 de rang 17, soit Q3 = 8 .
21
Couleur Rouge Jaune Bleu Noir Blanc
33 1. 0 ; 1 ; 3 ; 4 ; 5 ; 5 ; 7 ; 7 ; 8 ; 8 ; 8 ; 9 ; 9 ; 10 ;
12 ; 13 ; 14 ; 28 ; 45 ; 68 ; 87.
Effectif 45 81 18 9 27 N = 21 = 10,5 : la médiane est la valeur de rang 11,
Fréquence en % 25 45 10 5 15 2 2
soit Me = 8 .
22 1. Vrai : si la moyenne du groupe est de 13, N = 21 = 5,25 : le premier quartile est la valeur de
il peut être vu comme si l’ensemble des personnes 4 4
constituant le groupe avait eu 13 (13 × 20 = 260). rang 6, soit Q1 = 5 .
3N = 63 = 15,75 : le troisième quartile est la valeur
2. Faux.
4 4
3. Faux en général et vrai si la taille des deux groupes de rang 16, soit Q3 = 13 .
est la même. 2. Q3 − Q1 = 13 − 5 = 8 et e = 87 – 0 = 87.
4. Vrai. 34 1. Me = 9,5 : au moins la moitié des souris
5. Faux : la moyenne augmente de 3 = 0,6 point. adultes du laboratoire mesure 9,5 cm ou moins.
5
2. Q1 = 9 : au moins 25 % des souris adultes du labo-
23 1. Faux (exemple : 1 ; 2 ; 6, x = 3, Me = 2 ). ratoire mesure 9 cm ou moins.
2. Faux, le premier quartile peut aussi être égal à la Q3 = 11 : au moins 75 % des souris adultes du labo-
médiane. ratoire mesure 11 cm ou moins.
3. Faux, voir exercice 12. 35 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 1 ; 4993.
4. Vrai. Me = 1, x = 5000 = 625 .
24 1 ; 2 ; 3 ; 3 ; 3 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8 ; 9. 8
36 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7.
25 5 ; 7 ; 9 ; 15 ; 16 ; 18 ; 19. Me = 4, x = 28 = 4 .
26 5 ; 7 ; 8 ; 10 ; 10 ; 11 ; 12 ; 12 ; 16 ; 17. 7
N = 5 , la médiane est la demi-somme 37 1. 8 ; 10 ; 11 ; 12 ; 12 ; 12 ; 15 ; 18 ; 20 ; 22 ; 22 ; 22.
2 Me = 13,5 .
entre les valeurs de rang 5 et de rang 6, soit 2. Q 1 = 11 ; Q3 = 20 .
10 + 11 3. 3 ; 7 ; 8 ; 14 ; 14 ; 15 ; 16 ; 18 ; 22 ; 22 ; 22 ; 36 ; 43.
Me = = 10,5 .
2 Me = 16 .
27 26 ; 27 ; 30 ; 32 ; 40 ; 42 ; 47 ; 51 ; 58. 4. Q1 = 14 ; Q3 = 22.
N = 4,5 , la médiane est la valeur de rang 5, soit 5. On remarque que les indicateurs (médiane, pre-
2 mier quartile et troisième quartile) sont supérieurs
Me = 40 .
dans la série des garçons, on peut en déduire que
28 1. 1 ; 2 ; 2 ; 3 ; 3 ; 3 ; 4 ; 4 ; 4 ; 5 ; 6 ; 6 ; 7 ; 7 ; 7 ; globalement les garçons passent plus d’heures par
8 ; 8 ; 8 ; 8 ; 8 ; 9 ; 9 ; 10 ; 10 ; 10. semaine devant la télévision que les filles.
N = 25 = 12,5 : la médiane est la valeur de rang 13,
2 2 38 1. x1 = 195 15
= 13 et x2 = 200 = 12,5 .
16
soit Me = 7 . 2. Groupe 1 : ∆ Q = Q3 − Q1 = 15 − 11 = 4 .
N = 25 = 6,25 : le premier quartile est la valeur de Groupe 2 : ∆ Q = Q3 − Q1 = 15 − 10 = 5 .
4 4
3. Les moyennes des groupes 1 et 2, ainsi que les écarts
rang 7, soit Q1 = 4 .
3N = 75 = 18,75 : le troisième quartile est la valeur interquartiles, sont relativement proches, les deux
4 4 groupes ont des résultats et une dispersion des notes
de rang 19, soit Q3 = 8 . à l’intérieur de chaque groupe qui sont comparables.
122
Exercices
Me = 11 + 11 = 11 . 3.
x = 1 × 15 + 2 × 12 + 3 × 14 + 4 × 8 + 5 × 6 + 6 × 5 + 7 × 5 = 208 = 3,2
2
3. x ≈ 11,1.
11,1 65 65
x = 1 × 15 + 2 × 12 + 3 × 14 + 4 × 8 + 5 × 6 + 6 × 5 + 7 × 5 = 208 = 3,2 .
45 1. Note 0 1 2 653 4 5 65
Effectif 1 4 7 12 8
51 1. Classe d’âges Effectif cumulé Effectif
3
ECC 1 5 12 24 32 35 [0 ; 3[ 4 4
[3 ; 6[ 9 5
2. N = 17,5 : la médiane est la valeur de rang 18, soit [6 ; 9[ 20 11
2
Me = 3 . [9 ; 12[ 35 15
− 12 = 7 = 0,28 , soit 28 % de salariés
46 1925 25
[12 ; 15[ 44 9
2. N = 50 = 25 . La médiane est la demi-somme 56 1 240 × 0,3 = 372 , soit 372 élèves du lycée pré-
2 2 fèrent l’hiver.
entre la valeur de rang 25 et la valeur de rang 26. La
1 240 × 0,1 = 124 , soit 124 élèves du lycée préfèrent
médiane est donc située dans l’intervalle [9 ; 12[.
le printemps.
Au moins 50 % des enfants de moins de 18 ans du
1 240 × 0,45 = 558 , soit 558 élèves du lycée pré-
village ont entre 9 et 12 ans et moins.
fèrent l’été.
3.
1 240 × 0,15 = 186 , soit 186 élèves du lycée préfèrent
4 × 1,5 + 5 × 4,5 + 11 × 7,5 + 15 × 10,5 + 9 × 13,5 + 6 × 16,5 489
x= == 9,78
50 l’hiver.
50
9 × 13,5 + 6 × 16,5 489 57 Avant la publicité :
= = 9,78 ans.
50 x ≈ 2,23 ; Me = 3 ; Q1 = 1 ; Q3 = 3 .
52 1. L’étude statistique a porté sur : Après la publicité : x ≈ 3,03 ;Me = 3 ; Q1 = 2 ; Q3 = 4 .
334 + 52 + 14 = 400 villes. Avant la publicité, le nombre moyen de vélos vendus
2. x = 1 000 × 334 + 3 000 × 52 + 7 000 × 14 = 1 470 par jour est d’environ 2,23, au moins 25 % des jours
400 du mois ont connu 1 vente ou moins, et au moins 75 %
× 52 + 7 000 × 14 = 1 470 habitants. des jours du mois ont connu 3 ventes ou moins. Après
0 3. la publicité, le nombre moyen de vélos vendus par
jour est d’environ 3,03, au moins 25 % des jours du
mois ont connu 2 ventes ou moins, et au moins 75 %
des jours du mois ont connu 4 ventes ou moins. À la
vue de ces paramètres statistiques, on peut considé-
rer que la campagne publicitaire a eu un réel impact
sur la vente de vélos.
58 1. N = 70 ; e = 130 − 70 = 60 km . h–1 ;
0
0
00
00
00
00
00
00
00
00
00
61 4. x = 14 × 350 + 36 × 600 = 530 euros. 66 x ≈ 11,92 min ; Me = 10 ; Q1 = 5 ; Q3 = 15.
50
62 1. Total Effectif
18
Effectif 30 25 17 72 16
Angle au centre 150° 125° 85° 360° 14
12
10
2. 8
6
Cornflakes : 30
4
Muesli : 25
2
Porridge : 17 0
0 5 10 15 20 25 30 35
Temps (en min)
× 144 = 288 pins.
63 1. 54 27 67 L’échelle d’aire est 1 carreau pour 2,5 employés.
65 + 2,5 + 2,5 + 1 = 71, il y a 71 employés dans l’entre-
2. 348 × 27 = 174. prise.
54 68 1. Vrai. 2. Vrai. 3. Vrai.
360 − (174 + 144 + 27) = 15°. L’angle au centre qui 69 1. Le caractère étudié est le nombre de deman-
correspond aux frênes est de 15°, ce qui correspond deurs d’emplois hommes de moins de 25 ans dans
à un effectif de 15 × 54 = 30 frênes. 36 communes de la région centre. Le caractère est
27 quantitatif discret.
3. 54 + 288 + 348 + 30 = 720, il y a 720 arbres dans la 2. x ≈ 62,4 . 3. Me = 14,5 ; Q1 = 8 ; Q3 = 43 .
forêt. 4. ΔQ = 43 − 8 = 35 .
64 1. 40 filles et 48 garçons ont été mesurés. 5. La médiane étant inférieure à la moyenne, le pré-
2. La plus grande des filles mesure 160 cm. Il semble sident de la Région privilégiera la médiane pour
que 3 garçons mesurent plus de 160 cm, ce qui repré- mettre en valeur les résultats de ces communes.
6. 1 008 semble très loin des autres valeurs du tableau.
sente 3 = 0,0625 , soit 6,25 % des garçons.
48 7. x ≈ 35,4 ; Me = 14 . Le fait de supprimer la valeur
3. Filles : min = 120 ; Q1 ≈ 130 ; Me ≈ 136 ; Q3 ≈ 143 ; extrême 1 008 fait baisser quasiment de moitié la
max = 160. moyenne, alors qu’elle ne fait baisser la médiane que
Garçons : min = 125 ; Q1 ≈ 142 ; Me ≈ 147 ; Q3 ≈ 152 ; d’un demi-point.
max = 170 70 1.
70
65 1. Temps en min Fréquence FCC
[0 ; 15[ 3% 3% 60 55,5
[15 ; 30[ 8% 11 %
[30 ; 60[ 27 % 38 % 50
[60 ; 120[ 43 % 81 % 40
[120 ; 240[ 19 % 100 % 37
30
2. 20
100 18,5
10 Me = 82
Q1 = 62 Q3 = 97
80 0
75 0 20 40 60 80 100 120 140
On détermine l’équation de la droite passant par les sième quartile correspond à l’abscisse du point d’or-
points A(1 000 ; 0) et B(1 500 ; 62,5) . donnée 200 × 0,25 = 50 , soit Q3 ≈ 21 .
62,5 Pour la moyenne, on trouve
m= = 0,125 .
500
0 = 0,125 × 1000 + p ⇔ p = −125 . 19 × 2,5 + 22 × 7,5 + 40 × 12,5 + 56 × 17,5
y = 0,125 x − 125 . + 51 × 22,5 + 7 × 27,5 + 5 × 35
t = ≈ 16 min
On calcule l’abscisse du point d’ordonnée 25 qui cor- 200
respond au premier quartile : 73 x = 0,5 × 0,20 + 1 × 0,45 + 1,5 × 0,30 + 2 × 0,05 = 1,1
25 = 0,125x − 125 ⇔ x = 1 200 . x = 0,5 × 0,20 + 1 × 0,45 + 1,5 × 0,30 + 2 × 0,05 = 1,1 L.
Au moins 25 % des salariés gagnent 1 200 euros ou 74 1. 24 × 20 = 480 .
moins dans le mois. Il y a 480 employés dans l’usine.
On calcule l’abscisse du point d’ordonnée 50 qui cor- 2. d = 2,5 × 140 + 7,5 × 100 + 160 × 15 + 80 × 30 = 5 900 = 14,75
respond à la médiane :
2,5 × 140 + 7,5 × 100 + 160 × 15 + 80 × 30 5 900 400 400
d = = = 14,75 km.
50 = 0,125x − 125 ⇔ x = 1 400 400. 75 1. 400
Au moins 50 % des salariés gagnent 1 400 euros ou
moins dans le mois. Hommes Femmes Total
On détermine l’équation de la droite passant par les Bonne 142 56 198
points B (1 500 ; 62,5) et C (2 000 ; 60). Mauvaise 59 78 137
27,5 Total 201 134 335
m= = 0,055 .
500 201
90 = 0,055 × 2000 + p ⇔ p = −20 . 2. = 0,6. Il y a 60 % d’hommes dans l’entreprise.
335
y = 0,055 x − 20 .
3. 137 ≈ 0,41 . Il y a environ 41 % de salariés mécon-
On calcule l’abscisse du point d’ordonnée 75 qui cor- 335
respond au troisième quartile : tents dans l’entreprise.
75 = 0,055x − 20 ⇔ x ≈ 1727 .
4. 56 ≈ 0,17 . Il y a environ 17 % de femmes satis-
Au moins 75 % des salariés gagnent 1 727 euros ou 335
moins dans le mois. faites dans l’entreprise.
On constate que la moyenne est supérieure au troi-
5. 78 ≈ 0,58. Parmi les femmes, elles sont environ
sième quartile, on peut donc suspecter une valeur 134
extrême qui fait de la moyenne une valeur non repré- 58 % à être mécontentes dans l’entreprise.
sentative de la série. 76 1. Trois séries statistiques sont exploitées
72 1. 63 personnes attendent 20 minutes ou plus dans ce tableau. Le caractère étudié est le nombre
à la caisse. de jeunes âgés de moins de 26 ans bénéficiant de
2. 200 − 181 = 19 : il y a 19 personnes qui attendent mesure d’aide à l’emploi, c’est un caractère quantitatif
moins de 5 minutes à la caisse. discret.
3. 63 − 12 = 52 : il y a 52 personnes qui attendent 2. En 2010, 419 jeunes en alternance ont bénéficié
entre 20 et 25 minutes. d’un apprentissage.
4. L’ordonnée du point E indique le nombre de per- 3. En 2012, 49 jeunes étaient dans un emploi non
sonne (63) qui attendent au moins le temps indiqué marchand.
par l’abscisse du point E (20 min). 4. 15 + 8 = 23 ≈ 0,0177 , soit environ 1,77 %
658 + 642 1 300
5. Graphiquement, la médiane correspond à l’abscisse des jeunes ont bénéficié en 2011 et 2012 d’un emploi
marchand hors alternance parmi les jeunes de moins
du point d’ordonnée 200 = 100 , soit Me ≈ 16,5 . Le de 26 ans bénéficiant de mesures d’aide à l’emploi.
2
premier quartile correspond à l’abscisse du point 5. En 2010, sur 100 emplois occupés par des jeunes,
d’ordonnée 200 × 0,75 = 150 , soit Q1 ≈ 11 . Le troi- 24,7 sont des emplois bénéficiant de mesures d’aide.
Accompagnement personnalisé
77 1. Le pluviomètre est un instrument qui mesure par remplir la cuve de 4 000 L qu’il souhaite installer.
la quantité de précipitations (pluie, neige, etc.) tombée 4. (voir tableau ci-après) Ces résultats montrent une
durant un intervalle de temps donné et en un endroit grande variabilité des précipitations d’une année à
précis. l’autre pour le mois d’avril.
2. 1 × 1 × 0,001 = 0,001 m3, soit 1 L. Le mois d’avril 2012 est celui qui, en moyenne, a connu
3. Au cours du mois d’avril 2013, il est tombé 92,1 mm le plus de pluie avec une médiane plus élevée aussi.
d’eau, soit l’équivalent de 92,1 L par m2. La surface 5. Le jardinier s’il focalise son attention sur l’année
totale de la toiture du jardinier étant de 240 m2, il était 2012 a raison d’espérer pouvoir remplir sa cuve. Il
susceptible de récupérer 240 × 92,1 ≈ 2 482 L durant faudrait les données de plusieurs années pour obte-
le mois d’avril 2013, ce qui est nettement insuffisant nir des moyennes plus constructives.
126
Exercices
4.
78 Il est intéressant de se rapprocher des collègues de SES et de STMG qui ont des logiciels dédiés.
79
Budget pour mise en peinture de la salle à manger
Taux de TVA en %
Fourniture 20
Main d’œuvre 10
Description Prix unitaire HT Prix unitaire TTC Quantité Total HT Total TTC Montant TVA
Peinture au kg 4,83 5,80 7 33,83 40,60 6,77
Pinceau 1 3,75 4,50 1 3,75 4,50 0,75
Pinceau 2 3,25 3,90 2 6,50 7,80 1,30
Rouleau 7,92 9,50 2 15,83 19,00 3,17
Divers 8,33 10,00 1 8,33 10,00 1,67
Main d’œuvre 17,00 18,7 9 153,00 168,30 15,30
No problem
80 1. Frequency means “effectif” in French. 3. Carbon dioxide represented a little more than the
2. three fourths of global emissions in 2007.
Number of times late 0 1 2 3 4 5 4. The right answer is b.: a pie chart.
11 8 3 3 3 2
5. As emissions have increased by 70 % since 1970,
Frequency
if x was the quantity in 1970, then x × 1.7 = 49 so
Added frequency 11 19 22 25 28 30
x = 49 .
N = 30 = 15 , the median is the half sum between 1.7
2 2 So, in 1970, the global emissions were around 28.8
the data of rank 15 and the data of rank 16: Gt CO2e.
Me = 1 + 1 = 1 . If y was the global emissions in 1990, then
2 49 . Therefore, in 1990, the
y × 1.24 = 49 so y =
3. x = 11 × 0 + 8 × 1 + 3 × 2 + 3 × 3 + 3 × 4 + 2 × 5 = 1.5 1.24
30 global emissions were around 39.5 Gt CO2e.
x = 11 × 0 + 8 × 1 + 3 × 2 + 3 × 3 + 3 × 4 + 2 × 5 = 1.5 .
30 6. Percentage increase between 1970 and 1990 :
81 2 ; 3 ; 4 ; 13 ; 17 ; 20 ; 20 ; 20 ; 20 ; 20 ; 20 ; 20 39.5 − 28.8 × 100 = 37.2% .
N = 12 = 6 , the median is the half sum between the 28.8
2 2 84 1. The world population increases from year 0
data of rank 6 and the data of rank 7: to year 2100
Me = 20 + 20 = 20 . 2. m = 2,52 − 1,65 = 0.0174 and 1.65
2 50
x ≈ 14.9 . = 0.0174*1 900 + p so, p = –31.41.
The mean is more representative to describe the y = 0.0174 x − 31.41.
data. 3. y = 0.0174 × 2100 − 31.41 ≈ 5.13 which is not rea-
82 sonable to forecast the world population in 2100 if we
1. x = 1 250 × 125 + 1 750 × 55 + 11 000 × 20 = 2 362.5 compare the value to 9.46.
200
x = 1 250 × 125 + 1 750 × 55 + 11 000 × 20 = 2 362.5 euros. 85 1. “Lies, damned lies, and statistics” is a phrase
200
The median belongs to the interval [1 000 ; 1 500[. describing the persuasive power of numbers, partic-
2. The median is the best value to comment the data, ularly the use of statistics.
the mean is biased by one or few “extrem values”. 2. Illustrations of facts can lead to opposite conclu-
83 1. As given in the text, GHG means “greenhouse sions (ie using different scales on same data).
gases”. 3. a. Mark Twain was an American author and humor-
2. The quantity of gas is measured in Gt CO2e, which ist.
means gigaton of CO2 equivalent. b. He wrote The Adventures of Tom Sawyer (1876).
128
Exercices
M r
s
r il
ai
J u in
Se A t
em t
O c bre
ve r e
ce r e
e
e
pt oû
ie
br
M
Ju
il l
N o to b
D é mb
Av
nv
vr
m
Ja
M r
s
r il
ai
Ju n
Se A t
em t
O c bre
ve r e
ce r e
e
e
pt oû
ie
ar
br
i
M
Ju
il l
N o to b
D é mb
Av
m
Ja
Population
4,44 5,27 5,98 6,06 6,79
(en milliards)
Année 2020 2030 2040 2050 2100 3. Questions Internet
Population a. Qui est Mark Twain ?
7,50 8,11 8,58 8,91 9,46
(en milliards) b. Quel est le plus célèbre roman de Mark Twain ?
Présentation du chapitre
Il est donc indispensable, dans ce chapitre particulièrement, d’allier un discours mathématique rigoureux à l’uti-
lisation pertinente des outils informatiques : discours rigoureux pour mettre en place la notion d’échantillons,
d’intervalle de fluctuation, d’utilisation de la règle de décision ou de l’estimation ; utilisation de l’outil informatique
pour expliquer des résultats et bel et bien les « valider » sans qu’ils n’aient l’air de « sortir du chapeau ».
Le cours contient les définitions exigibles illustrées de nombreux exemples. En particulier, il est indispensable de
montrer, avec la simulation informatique, la fluctuation d’échantillonnage et la notion d’intervalle de fluctuation
au seuil de 95 %. Un effort tout particulier a été fait dans l’utilisation de l’intervalle de fluctuation, en mettant en
place une règle de décision.
Les Outils et méthodes montrent, par l’expérimentation, la notion d’échantillon et la notion d’estimation d’une
proportion par un intervalle de confiance (non exigible).
Les rubriques S’organiser pour apprendre et Faire un bilan de ses capacités sont particulièrement importantes
dans ce chapitre. En effet, les contextes sont particulièrement riches en textes à lire, à analyser et à comprendre.
Les élèves ont souvent du mal à trier l’information et à ajuster leurs raisonnements et leurs réponses. Ils se
trouvent rapidement pris au dépourvu. Il est donc nécessaire de leur montrer que les notions sont plus faciles
à mettre en œuvre si on perçoit bien la situation à laquelle on est confronté.
7. L’échantillonnage 131
Pour construire le cours
Objectifs :
Identifier les paramètres n, p et f.
Situer un échantillon par rapport à une « norme ».
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
31 32 33 34 35 36 37 38 39 40
41 42 43 44 45 46 47 48 49 50
51 52 53 54 55 56 57 58 59 60
61 62 63 64 65 66 67 68 69 70
71 72 73 74 75 76 77 78 79 80
81 82 83 84 85 86 87 88 89 90
91 92 93 94 95 96 97 98 99 100
Crible d’Eratosthène pour les entiers de 1 à 100
Il reste à trouver la proportion théorique du caractère et pour cela, il faut connaître le nombre de nombres
premiers compris entre 1 et 100.
Ce sont les nombres en gris dans le tableau, il y en a 25, d’où p = 25 = 0,25.
100
3. L’échantillon est constitué des 50 nombres entiers tirés au hasard entre 1 et 100.
Le tirage au sort de 50 nombres constitue un échantillon de taille 50.
Un échantillon de taille n est constitué des résultats obtenus par n répétitions indé-
pendantes d’une même expérience aléatoire.
4. La fréquence de nombres premiers qui est observée dans cet échantillon est f = 38 = 0,76.
50
On peut dire dans un premier temps que cette fréquence est relativement éloignée de la proportion théorique et
donc penser qu’elle relève plutôt de l’extraordinaire.
Le professeur peut alors exposer l’enjeu du chapitre : comment savoir si un échantillon relève du banal ou de
l’extraordinaire ?
Pour cela, il peut proposer de simuler sur tableur un certain nombre d’échantillons et montrer que la fréquence
varie d’un échantillon à l’autre mais de manière relativement « encadrée » pour finir de convaincre les élèves.
Lorsque qu’on considère un caractère dont on connaît la proportion théorique p dans une
population, on peut observer un échantillon et se demander si celui-ci est « représentatif »
de la population au regard de ce caractère. On calcule la fréquence d’apparition f
de ce caractère dans cet échantillon et il s’agit maintenant de déterminer une méthode
permettant de décider si celui-ci relève du banal ou plutôt de l’extraordinaire.
La différence entre p et f est-elle « significative » ou pas?
Cette activité n’est qu’une première approche et cette notion est développée de manière plus détaillée dans
les autres situations.
132
Pour construire le cours
Objectifs :
Interpréter une simulation.
Comprendre la notion d’intervalle de fluctuation.
Les deux parties sont à faire dans le même temps de recherche car elles sont liées.
On met à disposition des élèves le fichier tableur correspondant.
• 1. L’instruction =ENT(2*ALEA()) renvoie un nombre entier aléatoire entre 0 et 1, donc ici 0 ou 1. Si on convient
que le 1 correspond à l’obtention d’un « Pile » et le 0 à l’obtention d’un « Face », on peut considérer que la formule
saisie simule le lancer d’une pièce équilibrée.
On peut interroger les élèves sur la signification des colonnes de la feuille de calcul intitulées échantillon.
2. =NB.SI(B3:B102;1)/100 : cette formule compte le nombre de « 1 » dans la colonne B et on calcule la fréquence
du « 1 ».
3. Le nombre trouvé varie d’un échantillon à l’autre mais celui-ci doit rester relativement faible à chaque
simulation.
• 1. Il y a un point commun aux deux situations : en effet, le tirage aléatoire de 100 élèves d’Aquitaine, si on
s’intéresse au genre (garçon ou fille), peut être assimilé à un tirage de pièce (Pile ou Face) dans la mesure où la
proportion théorique de chaque caractère est considérée comme égale à 0,5.
2. On peut donc utiliser la même simulation sur tableur pour décider si la fréquence de filles dans l’échantillon
respecte la parité annoncée par le Président du Conseil régional.
On peut observer, grâce à la simulation, que la grande majorité des échantillons simulés à parité (p = 0,5), ont une
fréquence entre 0,4 et 0,6 (la fréquence fluctue mais reste proche de 0,5 sans lui être forcément égale).
Ainsi la fréquence observée de 0,44 ne paraît pas anormale en terme de respect de la parité.
Pour cette partie, il est important de faire remarquer aux élèves que c’est une situation similaire à la précédente
et donc que la simulation est identique.
Pourtant les deux situations ont une présentation différente dans les questionnements.
Un échantillon de taille n est la liste des résultats obtenus par n répétitions d’une
même expérience aléatoire dans des conditions strictement identiques.
On a simulé des échantillons de taille 100 et les résultats obtenus sont les listes de
cent chiffres 0 ou 1 correspondant à Pile (1) ou Face (0).
Lorsqu’on s’intéresse à la fréquence d’apparition d’un caractère (ici « Pile »), cette
fréquence fluctue autour d’une valeur théorique qu’on appellera p (ici la probabilité
d’obtenir « Pile », c’est-à-dire p = 0,5).
Ce phénomène s’appelle la fluctuation d’échantillonnage.
Néanmoins, cette fluctuation, bien que due au hasard, peut être quantifiée.
En effet, on observe (et on admet ici) que 95 % au moins de ces fréquences appar-
tiennent à l’intervalle [0,4 ; 0,6].
On obtient cet intervalle par le calcul : ⎡p − 1 ; p + 1 ⎤ .
⎣⎢ n n ⎦⎥
On peut faire vérifier aux élèves que cette formule donne bien l’intervalle [0,4 ; 0,6] dans le cas étudié.
Sous certaines conditions (par exemple n 25 et 0,2 p 8 ou encore n 30 et np 5 et n(1 – p) 5)
qui ne sont pas à connaître des élèves, 95 % des échantillons ont une fréquence qui se trouve dans cet intervalle.
7. L’échantillonnage 133
Pour construire le cours
Objectif :
Prendre une décision à partir d’une simulation.
Un échantillon de taille n est la liste des résultats obtenus par n répétitions d’une
même expérience aléatoire dans des conditions strictement identique. Ici, on a simulé des
échantillons de taille 50 et les résultats obtenus sont les listes de cinquante « 1 » ou
« 0 » correspondant à la présence du défaut ou non.
Lorsqu’on s’intéresse à la fréquence d’apparition d’un caractère (ici, le défaut),
celle-ci fluctue autour d’une proportion théorique qu’on appelle p (la probabilité
d’obtenir ce défaut, c’est-à-dire p = 0,2).
Ce phénomène s’appelle la fluctuation d’échantillonnage.
Néanmoins, cette fluctuation, bien que due au hasard, n’est pas si chaotique qu’on
pourrait le croire. On peut mathématiquement la quantifier : en effet, on peut prouver
(et on admet ici) que 95 % au moins de ces fréquences appartiennent à l’intervalle
⎡p − 1 ; p + 1 ⎤ sous certaines conditions (qui ne sont pas à connaître : n 25
⎣⎢ n n ⎦⎥
et 0,2 p 0,8 ou encore n 30 et np 5 et n(1 - p) 5).
Cet intervalle s’appelle intervalle de fluctuation au seuil de 95 % de la fréquence
du caractère observé.
Ainsi, lorsqu’on trouve un échantillon pour lequel la fréquence du caractère observé
appartient à l’intervalle de fluctuation, on n’a pas de raison de penser qu’autre
chose que le hasard intervient.
134
Pour construire le cours
Objectif :
Simuler et utiliser l’intervalle de fluctuation.
1. et 2.
Un échantillon de taille n est la liste des résultats obtenus par n répétitions d’une
même expérience aléatoire dans des conditions strictement identique. Ici, on a simulé
des échantillons de taille 64 et les résultats obtenus sont les listes de soixante quatre
0 ou 1 correspondant à des garçons ou des filles.
Lorsqu’on s’intéresse à la fréquence d’apparition d’un caractère (ici, les filles),
celle-ci fluctue autour d’une proportion théorique qu’on appellera p (ici : probabilité
d’obtenir une fille, c’est-à-dire p = 0,5).
Ce phénomène s’appelle la fluctuation d’échantillonnage.
Néanmoins, cette fluctuation, bien que due au hasard, n’est pas si chaotique qu’on
pourrait le croire. On peut mathématiquement la quantifier : en effet, on peut prouver
(et on admet ici) que 95 % au moins de ces fréquences appartiennent à l’intervalle
⎡p − 1 ; p + 1 ⎤ sous certaines conditions (qui ne sont pas à connaître n 25
⎢⎣ n n ⎥⎦
et 0,2 p 0,8 ou encore n 30 et np 5 et n(1 - p) 5).
Cet intervalle s’appelle intervalle de fluctuation au seuil de 95 % de la fréquence
du caractère observé.
Ainsi, lorsqu’on trouve un échantillon pour lequel la fréquence du caractère observé
n’appartient pas à l’intervalle de fluctuation, on peut raisonnablement penser (avec un
risque d’erreur de 5 %) que ce phénomène est dû à un autre facteur que le hasard.
Une règle de décision peut alors être mise en place (voir page 188 du manuel).
7. L’échantillonnage 135
Diaporamas
L’échantillonnage Diaporama
calcul mental L’échantillonnage Diaporama
calcul mental
Calculer de tête :
Garçons 120
a. 0,5 – 1 Filles 80
25
Quelle est la fréquence de filles ?
b. 0,5 + 1
25
L’échantillonnage Diaporama
calcul mental L’échantillonnage Diaporama
calcul mental
L’échantillonnage Diaporama
calcul mental L’échantillonnage Diaporama
calcul mental
1
vaut : 76 est compris entre :
400
a. 1 b. 1 a. 75 et 77 b. 7 et 8
200 20
c. 8 et 9 d. 4 900 et 6 400
c. 0,05 d. 20
L’échantillonnage Diaporama
calcul mental
[0,359 ; 0,417] ?
136
Diaporamas
L’échantillonnage Diaporama
QCM chrono L’échantillonnage Diaporama
QCM chrono
b. ⎡⎢0,4 – 1 ; 0,4 + 1 ⎤ a. 10 b. 10
⎣ 10 000 10 000 ⎦⎥
L’échantillonnage Diaporama
QCM chrono L’échantillonnage Diaporama
QCM chrono
L’échantillonnage Diaporama
QCM chrono L’échantillonnage Diaporama
QCM chrono
L’échantillonnage Diaporama
QCM chrono
7. L’échantillonnage 137
Exercices
4. 5. p = 0,33 (connu)
n = 893
f = 340 ≈ 0,381
893
I = ⎡⎢0,33 – 1 ; 0,33 + 1 ⎤⎥
⎣ 893 893 ⎦
I = [0,296 ; 0,364]
f ” I, donc on peut considérer (avec un risque d’erreur
de 5 %) que cette ville n’est pas représentative de la
population.
2
5 a. D’après le graphique, la fréquence de boules
Groupe 1 Groupe 2 Groupe 3
rouges au bout de 60 tirages vaut environ 0,34. L’af-
0,25 0,24 0,278 firmation est donc fausse.
L’étendue des fréquences est de : b. Si l’urne contient exactement 15 boules rouges,
0,278 – 0,24 = 0,038. la fréquence observée, lorsque n est grand, doit se
Elle a baissé par rapport à la question 2. de l’exercice rapprocher de 15 = 0,3. Or, ce n’est pas le cas gra-
50
résolu 2.
phiquement (elle se rapproche de 0,4), la proposition
est donc fausse.
3 1. Le caractère étudié est : « Le foyer regarde- c. Lorsque n est grand, la fréquence observée se sta-
t-il Direct 2 à 20 h ? ». La proportion théorique du
bilise autour de 0,4, on peut donc raisonnablement
caractère vaut p = 0,31. La taille de l’échantillon
penser que la probabilité de tirer une boule rouge est
est de 1 000. Pour le caractère étudié, l’échantillon
de 0,4. La proposition est vraie.
présente une fréquence égale à f = 260 = 0,26.
1000
2. n = 1 000 25 6 p est le centre de l’intervalle de fluctuation.
et 0,2 p 0,8
Or 0,48 + 0,38 = 0,43 , donc p = 0,43.
I = ⎡p – 1 ; p + 1 ⎤ 2
⎢⎣ n n ⎥⎦ L’amplitude de l’intervalle de fluctuation vaut : 0,48
= ⎡⎢0,31– 1 ; 0,31+ 1 ⎤⎥ – 0,38 = 0,10, elle est égale à 2 .
⎣ 1000 1000 ⎦ n
= [0,278 ; 0,342] 0,10 = 2 ⇔ n = 20, donc n = 400.
L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est n
I = [0,278 ; 0,342]. La fréquence f observée dans
l’échantillon n’est pas dans l’intervalle. On peut dire, 7 Graphiquement, on peut penser que p = 0,3 et
avec un risque d’erreur de 5 %, que la proportion que [0,2 ; 0,4] est l’intervalle de fluctuation au seuil
théorique avancée par Direct 2 est fausse. de 95 %. L’échantillon de taille 100 et de fréquence
0,45 ne semble donc pas représentatif du caractère
4 n = 500 25 et 0,2 0,27 0,8 étudié, avec un risque de 5 % de se tromper.
7. L’échantillonnage 139
Exercices
8 Graphiquement, on peut penser que p = 0,6 et que probabilité de 0,2. Cette formule permet, par exemple,
[0,5 ; 0,7] est l’intervalle de fluctuation au seuil de 95 %. de simuler le tirage d’une boule rouge dans une urne
Dans ce cas, il semble que . contenant 10 boules, dont 2 rouges.
Il semble donc que 0,2 = 2 ⇔ n = 10. 14 1. La population est l’ensemble des coques de
n
Il semble que n = 100. protection pour téléphones portables produites par
l’entreprise.
9 1. La fréquence théorique d’obtenir « Pile » avec
une pièce équilibrée est p = 0,5. 2. Le caractère étudié est : « La masse de la coque
est-elle supérieure à 13 grammes ? ».
n = 50 25 et 0,2 p 0,8.
3. p = 2 640 .
I = ⎡0,5 – 1 ; 0,5 + 1 ⎤ = [0,35 ; 0,65]. 12 000
⎣⎢ 50 50 ⎦⎥ 4. La taille de l’échantillon est 150.
La fréquence observée est f = 34 = 0,68 : cette fré-
50 15 1. Population concernée : les personnes de 30
quence n’appartient pas à l’intervalle de fluctuation, à 34 ans dans l’Union européenne.
on peut affirmer, avec un risque de 5 %, de se trom- 2. Caractère étudié : « La personne a-t-elle achevé
per, que la pièce de monnaie est truquée. ses études supérieures ? ».
2. 2 802 ≈ 0,21, réponse c. 3. p = 0,36.
13 456 4. L’échantillon est composé de personnes vivant
1 = 2 ⇔ n = 60, donc n = 3 600. en France et ayant entre 30 et 34 ans. La taille de
10 30
n l’échantillon est 1 000.
5. f = 380 = 0,38.
11 I = ⎡p – 1 ; p + 1 ⎤ 1000
⎢⎣ n n ⎥⎦
16 1. La population concernée est l’ensemble des
= ⎡0,65 – 1 ; 0,65 + 1 ⎤ entreprises créées dans le secteur industriel français
⎢⎣ 1600 1600 ⎥⎦ en 2011.
= [0,625 ; 0,675]. 2. Caractère étudié : « L’entreprise est-elle une auto-
Réponse c. entreprise ? ».
12 ALEA() renvoie un nombre aléatoire de l’intervalle 3. p = 7 888 ≈ 0,40.
19 940
[0 ; 1[. 4. L’échantillon est composé d’entreprises créées
ALEA()+0,4 renvoie donc un nombre aléatoire de dans le secteur industriel français en 2011.
l’intervalle [0,4 ; 1,4[.
La taille de l’échantillon est 10 × 19 940 = 1 994.
ENT renvoie la partie entière d’un nombre. 698 100
Ainsi, la formule =ENT(ALEA()+0,4) renvoie 0 avec 5. f = ≈ 0,35.
1994
une probabilité de 0,6 (car 1 – 0,4) et 1 avec une pro-
babilité de 0,4 (car 1,4 – 1). 17 1. Pour la copie d’écran présente dans l’exercice
et en considérant que l’on complète avec des zéros si
La formule considérée peut donc simuler le tirage
le nombre n’a pas suffisamment de décimales, cela
d’un nombre entier 0 ou 1 avec une probabilité de 0,6
donne :
pour l’obtention du 0.
La proposition a. est donc inexacte. GF-GG-GF-FF-GF
La proposition b. est correcte à condition de faire cor- GG-GG-GF-GF-GG
respondre à « 0 » le tirage du jeton vert et à « 1 » le FG-FF-GG-FG-FF
tirage d’un jeton d’une autre couleur. FG-FG-GG-GF-GG
La proposition c. est exacte. GG-FG-GF-GG-GF
La proposition d. est correcte à condition de faire cor- 2.
respondre à « 1 » le tirage du jeton rouge et à « 0 » Fratrie Garçon/Garçon Garçon/Fille Fille/Fille
le tirage d’un jeton d’une autre couleur. Effectif 9 13 3
13 1. =ENT(ALEA()+0,5) simule le tirage d’un 3. D’après le tableau ci-dessus, il y a 9 familles avec
nombre entier 0 ou 1 avec une probabilité de 0,5 2 garçons.
pour chacun. Cette formule simule, par exemple, le 4. f = 9 = 0,36.
25
résultat du lancer d’une pièce non truquée (« 0 » pour 5. Les résultats dépendent des simulations obtenues.
« Pile » et « 1 » pour « Face », par exemple). 6. Les résultats dépendent des simulations obtenues.
2. =ENT(10*ALEA()) simule le tirage, de façon équi-
probable, d’un nombre entier compris entre 0 et 9 18 1. =ENT(ALEA()+0,5) ou
(bornes comprises). =ALEA.ENTRE.BORNES(0 ;1) ou =ENT(2*ALEA())
3. =ALEA.ENTRE.BORNES(1;20) simule, de façon équi- 2. I = ⎡ p – 1 ; p + 1 ⎤
probable, le tirage d’un nombre entier entre 1 et 20 ⎢⎣ n n ⎥⎦
(bornes comprises). = ⎡0,5 – 1 ; 0,5 + 1 ⎤ .
⎢⎣ 100 100 ⎥⎦
4. =ENT(ALEA()+0,2) simule le tirage du nombre 0
avec une probabilité de 0,8 et du nombre 1 avec une 3. =NB.SI(B3:B102 ;1)/100
140
Exercices
4. L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est dans l’échantillon n’est pas dans l’intervalle. On peut
I = [0,4 ; 0,6]. La fréquence observée dans l’échantillon dire, avec un risque d’erreur de 5 %, que la chaîne
est dans l’intervalle. On n’a pas de raison de dire que est déréglée.
l’échantillon n’est pas représentatif de la population
24 I = ⎡⎣⎢0,21– 1 ; 0,21+ 1 ⎤⎦⎥
pour le caractère étudié. On considère que le maire 380 380
n’a pas tort. = [0,158 ; 0,262].
L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est
19 1. I = ⎡⎢ p – 1 ; p + 1 ⎤⎥
⎣ n n⎦ I = [0,158 ; 0,262]. La fréquence f =
76
= 0,2 observée
380
= ⎡0,38 – 1 ; 0,38 + 1 ⎤ dans l’échantillon est dans l’intervalle. Le cabinet de
⎣⎢ 800 800 ⎦⎥
= [0,344 ; 0,416]. contrôle n’a pas de raison de penser que l’affirmation
2. L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est du responsable de la fabrication est fausse.
I = [0,344 ; 0,416]. La fréquence f = 200 = 0,28
800
25 I = ⎡⎢⎣ 31 – 50
1 ; 1 + 1 ⎤ = [0,19 ; 0,47].
3 50 ⎥⎦
observée dans l’échantillon n’est pas dans l’inter- L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est
valle. On peut dire, avec un risque d’erreur de 5 %, I = [0,19 ; 0,47]. Les fréquences observées par les
que l’échantillon n’est pas représentatif de la popu- pêcheurs 4 et 7 sont dans l’intervalle. En revanche,
lation française au regard du caractère étudié (avoir les fréquences observées par les pêcheurs 1, 2, 3,
au moins un chat). 5, 6 et 8 ne sont pas dans l’intervalle de fluctuation.
3. À faire en classe. 75 % des pêcheurs observent un excès de gardons
20 1. I = ⎡⎢ p – 1 ; p + 1 ⎤⎥ dans l’étang, ce qui devrait pousser les pêcheurs à
⎣ n n⎦ parler d’une seule voix pour affirmer que l’annonce
= ⎡0,39 – 1 ; 0,39 + 1 ⎤ du club est fausse (avec un risque d’erreur).
⎣⎢ 1342 1342 ⎦⎥
= [0,362 ; 0,418]. 26 I = ⎡⎢⎣0,04 – 500
1 ; 0,04 + 1 ⎤
500 ⎥⎦
L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est = [–0,005 ; 0,085].
I = [0,362 ; 0,418]. La fréquence f = 0,26 observée L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est
dans l’échantillon n’est pas dans l’intervalle. I = [–0,005 ; 0,085]. Les fréquences observées sont
On peut dire, avec un risque d’erreur de 5 %, que 32
f1 = 26 = 0,052 et f2 = 500 = 0,064, ces deux fré-
l’échantillon n’est pas représentatif de la popula- 500
tion française vis-à-vis du caractère étudié (être du quences sont dans l’intervalle de fluctuation, on ne
groupe A+). peut donc pas conclure que la chaîne de production
fonctionne mal.
8
21 1. p = 32 = 0,25.
27 53 % des élèves qui passent leur baccalauréat
2. I = ⎡0,25 – 1 ; 0,25 + 1 ⎤ en France ont une mention. Un professeur souhaite
⎣⎢ 200 200 ⎦⎥
expliquer dans une conférence internationale sur
= [0,179 ; 0,321].
l’enseignement que dans 95 % des échantillons, le
3. L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est I = pourcentage des élèves français ayant leur bac avec
[0,179 ; 0,321]. La fréquence f = 56 = 0,28 observée une mention reste compris entre deux valeurs assez
200
dans l’échantillon est dans l’intervalle. On n’a pas de proches de 53 %.
raison de dire que l’échantillon n’est représentatif. Écrire un algorithme qui permet de simuler
200 échantillons de taille 500, de calculer les fré-
22 La probabilité d’obtenir un nombre pair avec un quences d’élèves qui ont une mention dans chaque
dé cubique équilibré est p = 0,5. échantillon et de représenter graphiquement la situa-
I = ⎡0,5 – 1 ; 0,5 + 1 ⎤ = [0,485 ; 0,515]. tion.
⎢⎣ 5 000 5 000 ⎥⎦
L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est 28 1. Au premier coup d’œil, il semble que les faces
I = [0,485 ; 0,515]. 4 et 6 ont une fréquence d’apparition bien différente
La fréquence f = 2 375 = 0,475 observée dans des autres et qui pose question sur le bon équilibrage
5 000 du dé.
l’échantillon n’est pas dans l’intervalle. On peut dire,
2. Si le dé n’est pas truqué, la fréquence d’apparition
avec un risque d’erreur de 5 %, que le dé est truqué.
de chacune des faces est f = 1 .
Il serait donc bon de mener une enquête pour usage 6
de dés truqués ! 3. I = ⎡ 1 – 1 1
; + 1 ⎤
⎣⎢ 6 500 6 500 ⎦⎥
23 I = ⎡⎢⎣0,05 – 1 ; 0,05 + 1 ⎤⎥⎦ = [0,121 ; 0,212].
2 500 2 500
Les fréquences d’apparition observées des faces 6
= [0,03 ; 0,07].
et 4 ne sont pas dans l’intervalle de fluctuation, on
L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est I = peut donc affirmer, avec un risque d’erreur de 5%,
[0,03 ; 0,07]. La fréquence f = 180 = 0,072 observée que le dé est truqué.
2 500
7. L’échantillonnage 141
Exercices
142
Exercices
Le Pen. Les intervalles se « chevauchent », il n’est donc La taille de l’échantillon est de 1 600.
pas possible de déterminer, à partir de ces estimations IB = ⎡f − 1 ; f + 1 ⎤
(fourchettes), le classement des candidats. ⎣⎢ n n ⎦⎥
Les statisticiens ont donc eu raison d’affirmer que ce = ⎡0,285 − 1 ; 0,285 + 1 ⎤
scénario ne pouvait pas être écarté. ⎣⎢ 1 600 1 600 ⎦⎥
2. On aurait pu éviter cette surprise si les instituts = [0,26 ; 0,31].
de sondage fournissaient une fourchette et non un 100 − (39 + 28,5) = 32,5. Il y a donc 32,5 % des per-
pourcentage brut. sonnes de l’échantillon qui ont déclaré vouloir voter
pour le candidat C.
38 p = 0,66 +2 0,74 ⇔ p = 0,7.
IC = ⎡f − 1 ; f + 1 ⎤
0,74 – 0,66 = 2 ⇔ n = 2 ⇔ n = 28 ⎣⎢ n n ⎦⎥
n 0,08 ⎡ 1 1 ⎤
= 0,325 − ; 0,325 +
⇔ n = 625. ⎣⎢ 1 600 1 600 ⎦⎥
39 1. Le programme simule le tirage d’une boule = [0,30 ; 0,35].
dans l’urne. Il affiche en sortie un numéro associé 2. La borne inférieure de l’intervalle de confiance
à la couleur de la boule tirée, « 1 » pour une boule à 95 % du candidat A est supérieure aux bornes
blanche, « 2 » pour une boule rouge et « 3 » pour une supérieures des intervalles de confiance à 95 % des
boule noire. candidats B et C. Il est donc possible de dire que le
2. Cela donne en langage naturel (sous algobox) (à candidat A arrivera en tête le soir des élections, mais
traduire selon les modèles de calculatrice). on ne peut pas classer les candidats B et C car les
fourchettes se « chevauchent ».
7. L’échantillonnage 143
Exercices
144
Exercices
1 = 0,2, S = 0,3 + 1 = 0,4. 53 1. Au premier coup d’œil, il semble que les faces 4
52 1. I = 0.3 – 100 100 et 2 ont une fréquence d’apparition nettement différente
2. L’algorithme permet de calculer les bornes infé- des autres, ce qui pose question sur le bon équilibrage
rieure et supérieure d’un intervalle de fluctuation du dé.
connaissant la proportion p et la taille de l’échan-
2. Si le dé n’est pas truqué, la probabilité d’apparition
tillon n.
3. de chacune des faces est p = 1 .
6
3. I = ⎡ 1 − 1 1
; + 1 ⎤
⎣⎢ 6 300 6 300 ⎦⎥
= [0,108 ; 0,225].
Les fréquences d’apparition observées des diffé-
rentes faces sont toutes dans l’intervalle de fluctua-
tion, on ne peut donc pas exclure que le hasard seul
peut expliquer ces écarts.
54 1. Réponse b.
2. Réponse b.
3. Réponse c.
4. Réponse c.
5. Réponse b.
Accompagnement personnalisé
7. L’échantillonnage 145
Exercices
Cependant, sur le 2nd sondage, les fourchettes « se 3. Pour que le chef d’établissement soit davantage
chevauchent », il est donc devenu impossible d’en convaincu du changement, il faudrait que la borne
tirer une conclusion sur le classement des candidats. inférieure de l’intervalle de confiance soit supérieure
58 1. I = ⎡⎣⎢0,548 − 1 ; 0,548 + 1 ⎤⎦⎥ ou égale à 0,5, soit 181 – 1 0,5.
338 338 338 n
= [0,493 ; 0,603] On calcule la valeur de n minimale pour que cette
L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est condition soit remplie.
I = [0,493 ; 0,603]. La fréquence observée dans 181 – 1 0,5 ⇔ – 1 > –12
l’échantillon est dans l’intervalle. On ne peut pas dire 338 n n 338
que l’échantillon n’est pas représentatif de la popula-
⇔ 1 < 12
tion étudiée, on considère donc qu’il l’est. n 338
2. I’ = ⎡ 181 − 1 ; 181 + 1 ⎤ ⇔ n > 338
⎣⎢ 338 338 338 338 ⎦⎥ 12
= [0,481 ; 0,590].
( )
2
⇔n 338
Ainsi, le pourcentage d’élèves préférant se servir 12
eux-mêmes est compris entre 48,1 % et 59 %. L’inten- Il suffit de prendre n 794.
dance ne peut donc pas être sûre que cela concerne Pour convaincre définitivement le chef d’établisse-
une majorité d’élèves. ment, il faudra interroger au moins 794 élèves.
No problem
59 1. No female have been taken into account in if the supermarket is closed to an university, then
this survey, neither male under 11 were interviewed. he will interview mainly students. He would like to
In a more general view, not enough people have been interview only women whereas he should select men
interviewed. and women, as they both do shopping.
2. There is a total of 630 students in Years 9, 10 and Finally, his study will be biased by interviewing people
11.The student’s frequency of each Year is the fol- only on Tuesday morning, as only a few people can
lowing: shop on that day.
f9 = 210 = 1 , f10 = 225 ≈ 0,36, f11 = 195 ≈ 0,31. 61 1. When you toss a fair coin you have equal
630 3 630 630
A sample of 50 students should be composed as fol- probability to obtain head or tail (50 per cent). When
lowing to be representative of the population: you compare this probability to the frequency of heads
obtained with a sampling you can notice a difference
N9 = 50 × 210 ≈ 17, N10 = 50 × 225 ≈ 17, that comes from statistical effects due to the sample
630 630
size. The larger the sampling is, the smaller the diffe-
N11 = 50 × 195 ≈ 15. rence will be.
630
2. I = ⎡0,50 − 1 ; 0,50 + 1 ⎤ = [0,358 ; 0,641].
60 1. Susan’s question is not a very good question, ⎣⎢ 50 50 ⎦⎥
as the answer could be subjective and not a number. The relative frequency belongs to the sampling inter-
Her question could be: « How many hours do you val at 95%.
watch television per day? », and she can also provide
under the question tick boxes with different answers. 62 1. When you flipped a coin, there is an equal chance
2. How many kilometers from the supermarket do to obtain tail or head, but the character obtains 98 heads
you live? out of 100 trials, and then 196 heads out of 200 trials. As
How many times do you come to the supermarket it’s possible but very unlikely, the character feels “under
per month? a curse”.
When you come to the supermarket, how much 2. a. and b. The brothers Arkady and Boris Strugatsky
money do you spend in average? were Soviet-Russian science fiction authors who col-
3. It’s not a good idea to interviewed people at the laborated on their fiction.
local supermarket because only people who lives not c. He seems to think that where there is fluctuation,
far away from the supermarket will be studied, the- which involves randomness, we can’t do mathema-
refore his investigation could be biased. For example, tics.
146
Exercices
59 Les statistiques : différentes méthodes 1. Susan mène une enquête sur les habitudes des
d’échantillonnage téléspectateurs. L’une des questions proposée dans
Lorsqu’il est nécessaire d’obtenir des informations le sondage est : « Combien de temps passez-vous à
représentatives d’une population constituée d’un grand regarder la télévision ? »
nombre d’individus, il n’est pas possible d’interroger Son amie Sheila lui dit que cette question n’est pas très
chaque individu. Alors, on a recours à un échantillon appropriée. Pouvez vous expliquer pourquoi la ques-
d’opinions. L’échantillon choisi doit être assez vaste tion de Susan ne convient pas et trouver deux façons
pour que les résultats soient représentatifs de l’en- de l’améliorer. Rédigez vos réponses.
semble de la population ciblée. Si ce n’est pas le cas, 2. Jerry effectue une enquête sur les habitudes de
les résultats peuvent être faussés ! consommation des personnes effectuant leurs achats
1. Une étude doit être menée afin de tester l’hypothèse dans les supermarchés. Il déclare : « Les gens qui
suivante : « les enfants ont trop de devoirs ». L’âge et le habitent loin des supermarchés viendront moins
sexe des personnes participant à cette enquête ont été fréquemment et dépenseront plus d’argent chaque fois
reportés dans le tableau suivant. qu’ils feront leurs courses. »
Rédigez trois questions qui permettraient à Jerry de
Âge
prouver qu’il a raison.
11 11-16 17-25 26-50 50 3. Byron étudie les habitudes des consommateurs. Il
Homme 0 5 7 7 6 a prévu d’interroger 50 femmes ayant l’habitude de
Femme 0 0 0 0 0 faire leurs courses dans un supermarché de proximité
le mardi matin. Donnez trois raisons pour lesquelles il
Trouvez trois raisons qui montrent que ces résultats pourrait obtenir des résultats biaisés.
sont erronés. Les conclusions sont plus fiables lorsque
l’échantillon de la population est large. Avec un échan- 61 Fluctuation d’échantillonnage,
tillonnage aléatoire simple, tout le monde peut être intervalle de fluctuation
sélectionné sur un pied d’égalité. Avec un échantillon-
« Supposons que l’on tire à Pile ou Face 50 fois et que l’on
nage aléatoire semblable à la structure de la population, tombe 27 fois côté Face et 23 fois côté Pile. Le côté Face est
le groupe sélectionné est divisé en différentes catégo- envisagé comme un succès. La fréquence observée du côté
ries ou strates, tels que le sexe, les groupes d’âge. Un n 27
Face est : = = 54 %.
échantillon aléatoire proportionnel à chaque catégorie N 50
La probabilité que la pièce tombe côté face est de 50 %. La
est alors prélevé. Ainsi, en tenant compte de la taille de
différence entre la fréquence observée de 54 % et la probabilté
la catégorie, il est possible de parer au manque d’exac-
de 50 % est due à la petite taille de l’échantillon. »
titude de l’échantillonnage aléatoire simple.
2. Une enquête sur les pratiques sportives est menée 1. Expliquez la différence entre « probabilité » et
auprès d’une population d’élèves en classe de niveaux « fréquence observée ».
9, 10 et 11 (équivalents aux niveaux 4e, 3e et 2de). 2. Dans l’exemple cité ci-dessus, la fréquence observée
L’établissement compte 210 élèves de 4e, 225 élèves appartient-elle à l’intervalle fluctuation à 95 % ?
de 3e et 195 élèves de 2de. On prélève un échantillon de
50 étudiants. Combien d’étudiants sélectionneriez-vous 62 L’hypothèse de la marche aléatoire
dans chaque niveau ? 1. Sachant que la probabilité de tomber sur Pile ou Face
est égale à 0,5, pouvez-vous expliquer la raison pour
60 Construire un questionnaire laquelle le personnage pense être « sous le coup d’une
Un questionnaire est un ensemble de questions destiné malédiction » ?
à collecter des données pour un sondage. Il doit : 2. Questions Internet
• être formulé dans un langage simple ; a. Qui sont Arkady et Boris Strugatsky ?
• inclure des questions courtes auxquelles les gens b. À quel genre littéraire se sont-ils consacrés ?
peuvent répondre avec précision ; c. Dans le passage précédant cet extrait, l’homme
• inclure des cases à cocher ; déclare au personnage principal : « Comment pourrais-
• ne pas proposer de questions ouvertes ; je être mathématicien, moi qui suis fluctuation ? » À
• ne pas proposer de questions orientées ; la lumière de la fluctuation d’échantillonnage, pouvez-
• présenter les questions dans un ordre logique. vous expliquer ce que cet homme veut dire ?
7. L’échantillonnage 147
8 Le repérage
Présentation du chapitre
Ce chapitre doit être traité dès le début de l’année scolaire. Il formalise la notion de repère (orthonormé) et met en
place précisément la notion de coordonnées d’un point dans un repère, de coordonnées du milieu d’un segment
et de la distance entre deux points.
• Ce chapitre permet dès le début de l’année d’introduire des algorithmes simples avec les premières instructions
d’affectation, d’entrées et de sorties.
• Il permet également de réaliser des démonstrations simples et de mettre en place des raisonnements : impli-
cation, réciproque, appartenance d’un point à un ensemble, etc.
• Il est l’occasion également de lier géométrie et algèbre par l’étude de situations qui présentent des problèmes
géométriques dans lesquels les grandeurs numériques et les méthodes algébriques entrent en jeu.
• Enfin, il réinvestit toute la géométrie plane vue au collège, dans l’utilisation régulière des propriétés des figures
géométriques classiques et les transformations (symétries axiales, centrales, etc).
8. Le repérage 149
Pour construire le cours
Objectifs :
Apprendre à se repérer dans le plan.
Justifier le recours au repérage.
Mettre en place le vocabulaire : abscisse et ordonnée.
Cette activité peut être menée en classe uniquement à l’oral. Chacun des élèves pouvant donner son avis.
On peut orienter les débats en signalant que chaque carreau de la grille doit pouvoir être repéré, d’où le recours
à une numérotation sur le modèle du « touché-coulé », de l’échiquier, d’un plan de ville ou plus scientifiquement
de la boîte de Pétri avec sa grille de comptage en SVT…
Pour ne pas commettre de confusion, ces exemples utilisent des lettres d’un côté et des nombres de l’autre. En
proposant une grille n’utilisant que des nombres, il devient important d’être rigoureux pour ne pas intervertir
des « cases ». La justification de n’utiliser que des nombres se fait par le besoin de repérer tous les points du
plan et donc de passer du discret au continu.
4
3
2
1
1 2 3 4
La case repérée par les nombres 2 et 3 par exemple n’est pas évidente à identifier, il y a deux possibilités. Il est
nécessaire de donner un ordre bien défini aux deux nombres.
Il est alors temps de mettre en avant la notion d’abscisse, d’ordonnée et de couple de coordonnées.
Dans un repère (O, I, J ) du plan, on peut associer à tout point M un unique
couple de nombres réels (x M ; y M ) appelé couple de coordonnées du point M dans le
repère (O, I, J ).
x M est appelé abscisse du point M et y M est appelé ordonnée du point M.
Une barrière à lever est ce passage du discret au continu qui bloque certains élèves : pour accompagner ce
passage, il est utile de proposer un repère (orthonormé) et de faire placer des points de coordonnées entières
1
puis petit à petit faire intervenir des nombres non entiers positifs : –3 ; 2,5 ; –4,25 ; …
3
Chaque point du plan est alors repérable…
Il reste à rentrer dans la généralisation du repérage en mettant en avant des repères non orthonormés.
150
Pour construire le cours
Objectif :
Introduire la notion de repérage.
1. Le cavalier blanc occupant la case F5 peut se déplacer sur les cases D4,
D6, E3, E7, G3, G7, H4 ou H6. 8
On fait remarquer que les cases possibles sont repérées par une lettre et 7
un chiffre. Il faut donc deux éléments pour repérer une case et ces deux 6
éléments désignent une case unique.
5
Aucune de ces positions ne met le cavalier en position d’attaquer le roi noir.
4
1
A B C D E F G H
2. Si la reine se place en G7, elle est protégée par le cavalier et elle met le roi « Échec et Mat ».
Dans un repère (O, I, J ) du plan, on peut associer à tout point M un unique
couple de nombres réels (x M ; y M ) appelé couple de coordonnées du point M dans le
repère (O, I, J ).
x M est appelé abscisse du point M et y M est appelé ordonnée du point M.
8. Le repérage 151
Pour construire le cours
Objectif :
Construire l’abscisse du milieu d’un segment sur une droite graduée.
Pour chacune des questions, il convient de placer les valeurs sur une droite graduée (la même pour toutes les
x + x2
questions) pour faire émerger la formule 1 .
2
1. 5 litres d’eau à 38 °C mélangés à 5 litres d’eau à 20 °C donnent 10 litres d’eau à une température de
38 + 20 = 29 °C.
2
A C B
19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44
Température
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
Nombre de cuillères
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17
Notes
4. M R N
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17
Notes
L’abscisse de R est 5 + 13 = 9.
2
5.
yM M
yR R
yN N
O I xN xR xM
On fait le lien avec la question précédente pour déterminer les valeurs de l’abscisse et de l’ordonnée de R.
Soient deux points A (xA ; yA ) et B (xB ; yB ) dans un repère (O, I, J ).
Le milieu M du segment [AB] est le point de coordonnées (x M ; yM ) définies par :
y + yB
x M = xA + xB et y M = A .
2 2
152
Pour construire le cours
Objectif :
Revoir de façon synthétique des résultats sur les quadrilatères.
Il s’avère efficace de vidéo-projeter un quadrilatère avec un logiciel de géométrie et de déplacer ses sommets
au fur et à mesure de la discussion qui s’instaure en classe.
On peut dans un premier temps ne remplir l’organigramme qu’en s’intéressant aux côtés puis refaire un orga-
nigramme uniquement avec les diagonales…
Les choix pédagogiques sont variés et peuvent être dictés par les besoins du chapitre : on montrera notamment
qu’un quadrilatère est un parallélogramme en précisant que ses diagonales se coupent en leur milieu…
A D
Quadrilatère
B
Deux côté opposés parallèles C
A D
Les deux côtés parallèles Parallèlogramme
de même longueur
B C
A D A
Rectangle B Losange D
B C C
A D
Carré
B C
8. Le repérage 153
Pour construire le cours
Objectif :
Construire la formule de la longueur d’un segment dans un repère orthonormé.
154
Diaporamas
Le repérage Diaporama
calcul mental Le repérage Diaporama
calcul mental
Le repérage Diaporama
calcul mental Le repérage Diaporama
calcul mental
c. 2x = –6 c. x = 2
5
Le repérage Diaporama
calcul mental Le repérage Diaporama
calcul mental
b. 2 a. –1,7
c. 4 b. –1,6
c. –1,5
© Hachette Livre – Mathématiques 2de © Hachette Livre – Mathématiques 2de
Le repérage Diaporama
calcul mental
–4 –3 –2 –1 0 1 2 3
a. –6
b. - 2
c. –3
© Hachette Livre – Mathématiques 2de
8. Le repérage 155
Diaporamas
Le repérage Diaporama
QCM chrono Le repérage Diaporama
QCM chrono
Dans un repère (O, I, J ), on donne A(1 ; 2) et B(3 ; 0). Dans un repère (O, I, J ), on donne A(1 ; 2) et B(3 ; 0).
Le milieu I de [AB] a pour coordonnées : La longueur AB est :
a. (–1 ;1) a. 20
b. (2 ; 1) b. 8
c. (4 ; 2) c. 0
Le repérage Diaporama
QCM chrono Le repérage Diaporama
QCM chrono
Dans la figure ci-dessous, ABCD est un parallélogramme. Dans la figure ci-dessous, ABCD est un parallélogramme.
D C D C
A B
M
A B
Dans le repère (A, B, D), les coordonnées de D sont : Dans le repère (A, B, D), le point M a ses coordonnées :
a. (0 ; –1) b. (1 ; 0) c. (0 ; 1) a. positives b. négatives c. de signe contraire
© Hachette Livre – Mathématiques 2de © Hachette Livre – Mathématiques 2de
Le repérage Diaporama
QCM chrono Le repérage Diaporama
QCM chrono
b. 9 b. –5
c. 4 c. –2
156
Exercices
F D B
1
1
C 0 x
1
0 1 x
D A
B
2. r = AB = (xA – xB )2 + (y A – yB )2
4 1. E (3 ; 2), F (1 ; 3), G (–1 ; 1). = (2 – 3)2 + (–2 – 1)2 = 1+ 9 = 10.
2. Soit K le milieu de [EG]. 3. On calcule la distance AC et on la compare au rayon
x + xG 3 – 1 du cercle de centre A et passant par B.
xK = E = =1
2 2 AC = (xA – xC )2 + (y A – yC )2 = (2 + 1)2 + (–2 + 4)2
y + yG 2 + 1
et yK = E = = 1,5.
2 2 = 9 + 4 = 13 .
8. Le repérage 157
Exercices
La longueur AC est différente de r, le point C n’appar- Ainsi, les droites (AB) et (AC) ont le même coefficient
tient pas au cercle de centre A et passant par B. directeur et un point commun, elles sont donc confon-
4. On calcule la distance AD et on la compare au rayon dues. On peut donc en déduire que les points A, B et
du cercle de centre A et passant par B. C sont alignés.
AD = (xA – xD )2 + (y A – yD )2 = (2 – 1)2 + (–2 – 1)2 14 Le point A à pour abscisse –2.
= 1+ 9 = 10 . Le point B à pour abscisse 5.
La longueur AD est égale à r, le point D appartient au Le point C à pour abscisse –0,5.
cercle de centre A et passant par B. Le point D à pour abscisse 2.
6 1. 6 5. Le point E à pour abscisse 3,5.
2. –2 5 . Le point O à pour abscisse 0.
3. 0. Le point I à pour abscisse 1.
4. 13 . 15
C D O D A
7 1. Réponse b.
2. Réponse c. –5 –4 –3 –2 –1 0 1 2 3 4 5
3. Réponse b.
4. Réponse a. 16 A (2 ; 3), B (–4 ; 2), C (4 ; –3), D (0 ; –2,5) et
E (–3 ; –4).
5. Réponse b.
6. Réponse c. 17 1. a. Les points Q, M et N ont une ordonnée posi-
7. Réponse a. tive.
8. Réponse a. b. Le point P a une abscisse et une ordonnée stricte-
ment négatives.
8
y 2. M (3 ; 2), N (1,5 ; 0), P (–1,5 ; –1), Q (–2 ; 2) et R (0 ; –2).
18 1. A (–4 ; 2), D (0 ; 4), E (2 ; 1) et H (0 ; –1).
F 2. C y
B D
1
A A
H B E
1
0 1 x K
0H1 x
D G
G F
E C
3. Les points K et A ont la même abscisse.
Les points B et A ont la même ordonnée.
9 1. F (0,5 ; 0,5) et G (–2 ; 1). Les points D et H ont une abscisse nulle.
2. H (–0,5 ; 5,5). Les points K et I ont une ordonnée nulle.
3. Dans un repère (O, I, J ) tous les points de la bis- Les points E et G ont des abscisses opposées.
sectrice de l’angle IOJ! ont leur abscisse égale à leur
Les points B et G ont des ordonnées opposées.
ordonnée. 19 a. Musée des Beaux-Arts (–1 ; –2).
10 1. Tous les points appartenant à l’axe des abs- b. Cathédrale Saint-André (1 ; –2).
cisses d’un repère du plan ont pour ordonnée 0. c. Archives municipales (3 ; –2).
2. Tous les points appartenant à l’axe des ordonnées d. Place Gambetta (–1 ; 1).
d’un repère du plan ont pour abscisse 0. e. Marché des grands hommes (1 ; 3).
11 1. Faux, si un point est à égale distance des 20
extrémités d’un segment alors il appartient à la
Point A B C D E F
médiatrice du segment.
Couleur Jaune Orange Orange Blanc Rouge Jaune
2. Faux, le trapèze est un contre exemple.
3. Vrai, c’est la définition du symétrique dans une Score 5 10 10 0 20 5
symétrie centrale. Le score de Zoé est de 50 points.
x +x 4,2 – 5,2
4. Vrai, c’est la définition d’un cercle. 21 1. xI = A 2 C = 2 = –0,5
5. Faux, xM = xM’ . y + yC –3,6 + 1
12 Les calculs sont justes mais l’égalité de lon- et yI = A = = –1,3 .
2 2
gueur AC = BC implique juste que le point C appartient 2. On remarque que le point B est le milieu du seg-
à la médiatrice du segment [AB], cela ne signifie pas ment [AC].
qu’il soit au milieu du segment.
22 1. Soit L le milieu de [AC] :
y –y
13 xB – x A = 2015 – 2014 = 1.
2014 – 2013 xL =
xA + xC –1+ 1
= =0
B A 2 2
yC – y A 2016 – 2014 y + yC 4 – 1
= = 1. et yL = A = = 1,5 .
xC – xA 2015 – 2013 2 2
158
Exercices
8. Le repérage 159
Exercices