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Exercices
E1. On utilise l’équation obtenue à l’exemple 6.2 et qui associe la position d’une frange sur
E2. On utilise, pour chaque longueur d’onde, l’équation obtenue à l’exemple 6.2, qui associe
la position d’une frange sur l’écran aux autres paramètres. Avec = 2 I = 480 nm et
II = 650 nm, on obtient
2(480×10−9 )(20)
I = 2I = 40×10−4
= 48 × 10−3 m
2(650×10−9 )(20)
II = 2I I = 40×10−4 = 65 × 10−3 m
∆ = II − I = 170 mm
E5. Si la distance entre les deux franges d’ordre = 4 est de 7 cm, on a 4 = 35 cm. En
utilisant l’équation obtenue à l’exemple 6.2, on obtient
(35×10−2 )(2×10−4 )
4 = 4
=⇒ = 44
= 4(30) = 583 nm
2 = 6
On obtient en utilisant l’une ou l’autre des longueurs d’onde dans l’équation de l’exemple
6.2 :
1 1 7(480×10−9 )(12)
= = 24×10−4
= 168 cm
E10. On adapte l’équation obtenue à l’exemple 6.2 à une situation d’interférence destructive
¡ ¢
= ³ + 12 ´ et on obtient,³ pour´
= 7:
1 1
+ 2 7+ 2 (75)(589×10−9 )(12)
= =⇒ = 7 = 65×10−3
= 0816 mm
E11. Pour les deux premières franges d’interférence constructive qui suivent le pic central, les
équations 6.2 et 6.4 donnent
sin 1 = (1) =⇒ = sin 1 (i)
sin 2
sin 2 = 2 =⇒ = 2 (ii)
On veut que 2 = 1 + 10◦ On combine les équations (i) et (ii), et on remplace 2 dans
le résultat :
sin(1 +10◦ )
sin 1 = 2 =⇒ 2 sin 1 = sin (1 + 10◦ ) = sin 1 cos (10◦ ) + cos 1 sin (10◦ ) =⇒
E12. Si les angles sont faibles, la distance entre chaque frange est à peu près constante. Si
= 1 cm correspond à la distance entre la première et la huitième frange, la distance
La frange est décalée vers le haut , car c’est ainsi que l’on fait parcourir une plus grande
E14. On sait, par l’équation = que la longueur d’onde du son émis est
340
= = 200 = 170 m
On cherche la distance au mur, telle qu’elle est décrite dans cette figure :
Soit 1 et 2 la longueur de chacun des trajets sonores, selon, respectivement, qu’il rejoint
directement le point ou se réfléchit sur le mur. S’il doit se produire de l’interférence
E15. Si la fréquence vaut 1000 Hz, la longueur d’onde est de 34 × 10−1 m. La distance entre
le maximum central d’intensité sonore et le premier minimum est donnée par le résultat
de l’exemple
³ ´
6.2 adapté à une situation d’interférence destructive ( = 0) :
1
+ 2 (34×10−1 )(8)
= =
2 = 2(1) = 136 m
340
E16. On calcule, avec l’équation 2.5c, une longueur d’onde = = 95 = 359 m pour le son
émis par l’un ou l’autre des haut-parleurs.
(a) Si l’intensité sonore est nulle au point P, c’est qu’il se produit de l’interférence destructive.
Dans une telle situation, la différence de marche entre les sons émis par S1 et S2 est
¡ ¢
donnée par l’équation 6.3, = + 12 .
La figure 6.30 et le théorème de Pythagore permettent d’établir une équation pour qui
contient la distance :
√
= 42 + 2 − 4
Comme on cherche la valeur minimale de on pose encore une fois que = 0 dans
E17. L’équation 2.5c nous donne = 68 × 10−1 m. Puisqu’un des haut-parleurs est déphasé
de radians par rapport à l’autre, on doit créer une différence de marche de 2 pour
obtenir une interférencerconstructive. On cherche tel que
q¡ ¢2 ³ ´2
2 = 68×10−1
= 2 + 4 − 4 2 + 4 − 42 = 168 m
E18. Chercher la fréquence la plus basse équivaut à chercher la longueur d’onde la plus élevée
ou l’ordre de marche le plus bas.
E21. Partant simultanément de la source, les trajets de deux rayons parallèles diffèrent une
première fois parce qu’ils sont incidents, en faisant un angle avec la normale aux niveaux
des fentes. Une des fentes, la fente supérieure, est ainsi plus éloignée de la source d’une
(a) À la position angulaire indiquée dans la figure 6.32, une distance de sin s’ajoute au
trajet du rayon provenant de la fente inférieure, de sorte que la différence de marche pour
la fente inférieure la différence entre les deux contributions :
= (sin − sin )
(b) Le maximum correspondant au pic central apparaît pour une différence de marche nulle :
= (sin − sin ) = 0 =⇒ =
E23. L’équation de la différence de trajet pour produire des maxima est = sin = Si
on utilise l’équation de la position des maxima, on en déduit que
(147×10−2 )(04×10−3 )
= =⇒ = =⇒ = = (600×10−9 )(14)
=7
La frange brillante observée est donc la septième après le pic central. Il y a donc 7 franges
sombres entre le centre et cette frange brillante.
E24. On doit trouver les hauteurs minimale et maximale où il y a interférence par réflexion
sur le miroir. En utilisant l’approximation des petits angles (sin ≈ tan ) et la loi de la
¡ ¢
réflexion = 0 , on obtient
max
= 24 =⇒ max = 24 = 96 × 10−3 m
min
5 = 20 =⇒ min = 4 = 16 × 10−3 m
E25. L’intensité sur une figure d’interférence est donnée par l’équation 6.9. Si la phase
Ainsi, on obtient
³ ´ ³ ³ ´´ ³ ´
= 40 cos2 2 = 40 cos2 12 2
=⇒ = 40 cos2
=⇒ CQFD
E29. Puisque l’intensité du maximum central est égale à 40 on cherche tel que
³ ´ ³q ´ ¡ ¢
27×10−9
cos2 2 = 14 =⇒ = arccos 1
4 = 3 = 209 mm
2 sin
E30. Avec = et = 2 l’équation 6.9 devient
³ ´
= 40 cos2 2 =⇒ = 40 cos2 (2 sin )
restart;
I_:=4*(cos(2*Pi*sin(theta)))^2;
plot(I_,theta=0..1.5);
E31. Cette situation est similaire à celle de l’exemple 6.5a du manuel. Mais, contrairement à
y aura interférence destructive. Selon l’exemple 6.5a, l’équation qui permet de calculer
l’épaisseur de la pellicule est
³ ´
= (2+1)
4
0
p
Pour = 34 et 5, on obtient les longueurs d’onde faisant partie de la lumière visible
pour lesquelles il y aura interférence destructive, soit 417 nm, 509 nm, 655 nm .
E32. On suppose que le rayon initial voyage dans l’air (1 = 1) Comme p = 14 et que
2 = 15 on a = = . Au moyen de l’équation 6.12, on exprime la différence de
phase subie par le rayon qui voyage dans la pellicule mince :
2 2 4p 1583×10−6 m
∆ = ∆PS + ( − ) = p + ( − ) = p = 0 = 0
E33. (a) On donne p = 15. On calcule le résultat au moyen des équations 6.15 et 6.11 :
p 0 600×10−9
∆ = 2 = 2p = 2(15) = 200 nm
(b) Comme on peut le voir à la figure 6.17b du manuel, l’angle du coin de verre possède la
même valeur que celui formé par les segments ∆ et qui correspondent respectivement
à la variation d’épaisseur et à la distance entre deux franges brillantes successives. Comme
∆
tan = ,
la valeur de l’angle est
¡ ∆ ¢ ³ −9
´
= arctan = arctan 200×102×10−3 = 100 × 10−4 rad
1 cm
E34. On utilise le résultat de l’exemple 6.7 avec = 6 = 167 × 10−3 m et on calcule
l’épaisseur maximale du coin :
(480×10−9 )(12×10−2 )
= 2 = 2(167×10−3 )
= 1724 × 10−5 m
E35. (a) Il s’agit d’une situation similaire à celle de la partie (b) de l’exemple 6.5. Ainsi, pour une
épaisseur minimale ( = 1), on détermine que
p 0 550×10−9
= 2 = 2p = 2(133) = 207 nm
(b) Il s’agit d’une situation similaire à celle de la partie (a) de l’exemple 6.5. Ainsi, pour une
épaisseur minimale ( = 0), on obtient
(2+1)p 0 550×10−9
= 4 = 4p = 4(133) = 103 nm
E36. (a) Si on adapte l’équation (ii) de l’exemple 6.7 à l’interférence destructive, on obtient
0 42(640×10−9 )
= 2 = 2 = 134 × 10−5 m
(b) Si on utilise ce résultat dans l’équation (i) de l’exemple 6.7 avec , le rayon de la 42e
frange, on obtient
2
2 (11×10−2 )
= 2 = 2(134×10−5 )
= 451 m
E38. On considère que le décalage d’une frange équivaut à une longueur d’onde et que la
lumière parcourt deux fois la distance = 8 × 10−5 m. On peut donc écrire que
8×10−5
2 = 240 =⇒ = 120 = 120 = 667 nm
E57. On suppose que le rayon initial voyage dans l’air (1 = 1) Comme p = 14 et que
2 = 133 on a = et = 0.
(c) Au moyen de l’équation 6.12, on exprime la différence de phase subie par le rayon qui
E59. On suppose que le rayon initial voyage dans l’air (1 = 1) Comme p = 122 et que
(a) Comme on cherche les longueurs d’onde renforcées, la différence de phase doit prendre
les valeurs de l’interférence constructive. Ainsi, ∆ = 2 avec ∈ N et on calcule
4p 2p 2p 1098 nm
0 = 2 =⇒ 0 = =⇒ 0 = =
(b) On cherche maintenant les longueurs d’onde atténuées et la différence de phase doit
prendre les valeurs de l’interférence destructive. Ainsi, ∆ = (2 + 1) avec ∈ N et
on calcule
4p 4p 4p 2196 nm
0 = (2 + 1) =⇒ 0 = 2 + 1 =⇒ 0 = 2+1 = 2+1
E60. Comme il s’agit d’une pellicule mince d’air entre deux blocs de verre, toutes les réflexions
subies par un rayon voyageant à l’intérieur de la pellicule seront dures. À la figure 6.35
du manuel, le changement de phase supplémentaire ∆ que subit le rayon qui sort de la
pellicule en haut à droite par rapport à celui qui sort en bas est donc de + = 2 pour
les deux réflexions dures qu’il subit, additionné au changement de phase PS qui vient du
parcours supplémentaire dans la pellicule mince. Comme on néglige l’aller initial, pour
lequel les deux rayons subissent un changement de phase identique, l’expression pour PS
est la même que celle des autres situations décrites à la section 6.5, avec p = 1. Ainsi,
2 2(2)p 4
∆ = 2 + p = 2 + 0 = 2 + 0
E61. On suppose que le rayon initial voyage dans l’air (1 = 1) Comme p = 138 et que
2 = 15 on a = = . On donne = 540 nm et la pellicule est éclairée par de la
lumière blanche (400 nm ≤ 0 ≤ 700 nm). Au moyen de l’équation 6.12, on exprime la
différence de phase subie par le rayon qui voyage dans la pellicule mince :
2 4p
∆ = ∆PS + ( − ) = p + ( − ) = 0
Comme on cherche les longueurs d’onde atténuées, la différence de phase doit prendre les
valeurs de l’interférence destructive. Ainsi, ∆ = (2 + 1) avec ∈ N et on calcule
4p 4p 4p 2981 nm
0 = (2 + 1) =⇒ 0 = 2 + 1 =⇒ 0 = 2+1 = 2+1
Pour = 2 et 3, on obtient les longueurs d’onde faisant partie de la lumière visible pour
lesquelles il y aura interférence destructive, soit 426 nm, 596 nm .
E62. On suppose que le rayon initial voyage dans l’air (1 = 1) Comme p = 122 et que
E63. Comme il s’agit d’un coin d’air (p = 1) entre deux lames de verre, on a = 0 et
= . Au moyen de l’équation 6.12, on exprime la différence de phase subie par le
rayon qui voyage dans la pellicule mince :
2 4p 4
∆ = ∆PS + ( − ) = p + = 0 + = 0 +
Comme on s’intéresse aux franges sombres, la différence de phase doit prendre les valeurs
. Comme ces deux segments sont perpendiculaires, on peut écrire = tan , avec
= 004◦ = 698 × 10−4 rad, l’angle au sommet du coin. En remplaçant dans (i) par
cette relation, on obtient
0
2 ( tan ) = 0 =⇒ = 2 tan
E65. Comme il s’agit d’un coin de verre (p = 15) plongé dans l’air (1 = 2 = 1), on a =
et = 0. Au moyen de l’équation 6.12, on exprime la différence de phase subie par le
Comme on s’intéresse aux franges sombres, la différence de phase doit prendre les valeurs
On donne 0 = 420 nm et 0 = 425 nm, les deux longueurs d’onde dont on veut
= 84
Comme possède une valeur entière, il est inutile d’explorer les autres éventualités.
Soit la distance entre l’extrémité du coin et une frange sombre d’épaisseur . Comme
ces deux segments sont perpendiculaires, on peut écrire = tan , avec
= 008◦ = 140 × 10−3 rad, l’angle au sommet du coin. On revient à l’équation (i) pour
0 et on calcule
( +1)0 ( +1)0 85(420×10−9 )
2p = tan =⇒ = 2p tan = 2(15) tan(140×10−3 ) = 850 mm
E66. Cet exercice est très similaire à l’exercice 60. La différence est qu’il s’agit d’une pellicule
mince de verre placée dans l’air et qu’ainsi, toutes les réflexions subies par un rayon
(a) Comme on cherche à établir les conditions d’un maximum, la différence de phase doit
(b) Dans le cas d’un minimum, la différence de phase doit prendre les valeurs de l’interférence
destructive. Ainsi, ∆ = (2 + 1) avec ∈ N et on obtient
4p 2p 1 2p
0 = (2 + 1) =⇒ 0 =+ 2 =⇒ 0 = 1
+ 2
L’épaisseur de la pellicule est = 125 m = 1250 nm et elle est éclairée par de la lumière
blanche (400 nm ≤ 0 ≤ 700 nm). Au moyen de l’équation 6.12, on exprime la différence
de phase subie par le rayon qui voyage dans la pellicule mince :
2 4p
∆ = ∆PS + ( − ) = p = 0
Comme on cherche les longueurs d’onde atténuées, la différence de phase doit prendre les
valeurs de l’interférence destructive. Ainsi, ∆ = (2 + 1) avec ∈ N et on calcule
4p 4p 4p 7800 nm
0 = (2 + 1) =⇒ 0 = 2 + 1 =⇒ 0 = 2+1 = 2+1
E68. On suppose que le rayon initial voyage dans l’air (1 = 1) Comme p = 125 et que
Comme on s’intéresse aux longueurs d’onde atténuées, la différence de phase doit prendre
les valeurs de l’interférence destructive. Ainsi, ∆ =³ (2´+ 1) avec ∈ N et on calcule
1
4p 4p + 2 0
0 = (2 + 1) =⇒ 0 = 2 + 1 =⇒ = 2p (i)
Cette équation n’a de solution que pour des valeurs entières de et on donne
0 = 483 nm et 0 = 621 nm, les deux longueurs d’onde qui sont atténuées pour la
même épaisseur de pellicule . Comme 0 0 , l’équation (i) permet de conclure que
, donc que = + 1 si on s’intéresse à la valeur minimale de l’épaisseur.
À
³
partir
´
de l’équation
³
(i),´on écrit
1 1
+ 2 0 + 2 0 ¡ ¢ ¡ ¢
2p == 2p =⇒ + 1 + 12 0 = + 12 0 =⇒
¡ ¢ ¡ ¢
+ 32 (483 nm) = + 12 (621 nm) =⇒ 483 + 7245 = 621 + 3105 =⇒
E69. Comme il s’agit d’une pellicule d’indice p = 131 plongée dans l’air (1 = 2 = 1), on a
Les équations (i) et (ii) n’ont de solution que pour des valeurs entières de . On donne
0 = 620 nm, qui est renforcée, et 0 = 465 nm, qui est atténuée. Dans les deux cas,
il s’agit de la même épaisseur de pellicule . Comme 0 0 et que l’on s’intéresse
à la valeur minimale de l’épaisseur, les équations (i) et (ii) permettent de conclure que
la même valeur d’ordre apparaît dans les deux équations. À partir des équation (i) et
(ii), on écrit
¡ ¢ ¡ ¢
+ 12 0 = 2p = ( + 1) 0 =⇒ + 12 0 = ( + 1) 0 =⇒
¡ ¢
+ 12 (620 nm) = ( + 1) (465 nm) =⇒ 620 + 310 = 465 + 465 =⇒
155 = 155 =⇒ = 1
Si on reprend
³ ´
l’équation
³ ´
(i), on calcule
1 3
+ 2 0 2 (620 nm)
min = 2p = 2(131) = 355 nm
E70. Comme il s’agit d’une pellicule d’indice p = 14 comprise entre deux lamelles de verre
(1 = 2 = 15), on a = 0 et = . On donne = 12 m = 1200 nm et la pellicule
est éclairée par de la lumière blanche (400 nm ≤ 0 ≤ 700 nm). Au moyen de l’équation
6.12, on exprime la différence de phase subie par le rayon qui voyage dans la pellicule
mince :
2 4p 4p
∆ = ∆PS + ( − ) = p + = 0 + = 0 +
pour lesquelles il y aura interférence destructive, soit 420 nm, 480 nm, 560 nm, 672 nm .
E72. Comme il s’agit d’une pellicule d’indice p = 14 plongée dans l’air (1 = 2 = 1), on a
= et = 0. Au moyen de l’équation 6.12, on exprime la différence de phase subie
par le rayon qui voyage dans la pellicule mince :
2 4p 4p
∆ = ∆PS + ( − ) = p − = 0 − = 0 −
(a) L’équation (i) n’a de solution que pour des valeurs entières de et on donne
0 = 411 nm et 0 = 685 nm, les deux longueurs d’onde qui sont renforcées pour la
même épaisseur de pellicule . Comme 0 0 , l’équation (i) permet de conclure que
, donc que = + 1 si on s’intéresse à la valeur minimale de l’épaisseur.
À
³
partir
´
de l’équation
³
(i),´on écrit
1 1
+ 2 0 ¡ ¢
+ 2 0 ¡ ¢
2p == =⇒ + 1 + 12 0 = + 12 0 =⇒
2p
¡ ¢ ¡ ¢
+ 32 (411 nm) = + 12 (685 nm) =⇒ 411 + 6165 = 685 + 3425 =⇒
274 = 274 =⇒ = 1
Si on reprend
³
l’équation
´ ³ ´
(i), on calcule
1 3
+ 2 0 2 (685 nm)
min = 2p = 2(14) = 367 nm
E73. Le passage d’une frange indique une longueur d’onde. On considère donc la différence du
Problèmes
P1. Comme il s’agit d’une pellicule d’indice p = 16 plongée dans l’air (1 = 2 = 1), on a
P2. On suppose que le rayon initial voyage dans l’air (1 = 1) Comme p = 122 et que
2 = 133 on a = = . Au moyen de l’équation 6.12, on exprime la différence de
phase subie par le rayon qui voyage dans la pellicule mince :
2 4p
∆ = ∆PS + ( − ) = p + ( − ) = 0
Les équations (i) et (ii) n’ont de solution que pour des valeurs entières de . On donne
0 = 680 nm, qui est brillante, et 0 = 544 nm, qui est absente. Dans les deux cas,
il s’agit de la même épaisseur de pellicule . Comme 0 0 et que l’on s’intéresse
à la valeur minimale de l’épaisseur, les équations (i) et (ii) permettent de conclure que
la même valeur d’ordre apparaît dans les deux équations. À partir des équation (i) et
(ii), on écrit
¡ ¢ ¡ ¢
0 = 2p = + 12 0 =⇒ 0 = + 12 0 =⇒
¡ ¢
(680 nm) = + 12 (544 nm) =⇒ 680 = 544 + 272 =⇒
136 = 272 =⇒ = 2
(b) Pour = 3 dans l’équation (i), on obtient la seule autre longueur d’onde faisant partie
de la lumière visible pour laquelle il y aura interférence constructive. En effet,
2m in p 1361 nm
0 = = 3 = 454 nm
P3. La phase étant de 4 on peut dire que la différence de marche sera de
(600×10−9 )(4)
2 = =⇒ = 2 = 2 = 12 × 10−6 m
Ainsi, par = sin = on a
4( 12×10−6 )
= = 3×10−4
= 160 cm
Le décalage de 16 cm se fait vers le haut , car le trajet du rayon du haut est le plus
court.
P4. On suppose que le rayon initial voyage dans l’air (1 = 1) Comme p = 12 et que
(a) Comme on s’intéresse aux longueurs d’onde atténuées, la différence de phase doit prendre
les valeurs de l’interférence destructive. Ainsi, ∆ = (2 + 1) avec ∈ N et on calcule
³ ´
1
4p 4p + 2 0
0 = (2 + 1) =⇒ 0 = 2 + 1 =⇒ = 2p (i)
Cette équation n’a de solution que pour des valeurs entières de et on donne
0 = 406 nm et 0 = 522 nm, les deux longueurs d’onde qui sont atténuées pour la
116 = 348 =⇒ = 3
Pour = 3 et 4, on obtient les longueurs d’onde faisant partie de la lumière visible pour
lesquelles il y aura interférence constructive, soit 457 nm, 609 nm
P5. Comme il s’agit d’une pellicule d’indice p = 15 plongée dans l’air (1 = 2 = 1), on a
= et = 0. On donne = 900 nm et la pellicule est éclairée par de la lumière
blanche (400 nm ≤ 0 ≤ 700 nm). Au moyen de l’équation 6.12, on exprime la différence
de phase subie par le rayon qui voyage dans la pellicule mince :
2 4p 4p
∆ = ∆PS + ( − ) = p − = 0 − = 0 −
(a) On cherche les longueurs d’onde atténuées et la différence de phase doit prendre les
valeurs de l’interférence destructive. Ainsi, ∆ = (2 + 1) avec ∈ N et on calcule
4p 4p 2p 2700 nm
0 − = (2 + 1) =⇒ 0 = 2 + 2 =⇒ 0 = +1 = +1
(b) On cherche maintenant les longueurs d’onde renforcées et la différence de phase doit
prendre les valeurs de l’interférence constructive. Ainsi, ∆ = 2 avec ∈ N et on
calcule
4p 2p 1 2p 2700 nm
0 − = 2 =⇒ 0 − 2 = =⇒ 0 = 1 = 1
+ 2 + 2
Pour = 4 5 et 6, on obtient les longueurs d’onde faisant partie de la lumière visible
pour lesquelles il y aura interférence constructive, soit 415 nm, 491 nm, 600 nm .
P6. Les rayons subissent un déphasage de en raison des indices de réfraction des milieux
2
¡ ¢
qu’ils rencontrent. Selon l’exemple 6.6, on sait que
= ∆
et que 2 p = + 1
2 0
On peut maintenant calculer la longueur d’onde pour laquelle on aurait, au même endroit,
0 = 064 (40 ) :
³ ´ ³ ´ ¡ ¢
064 (40 ) = 40 cos2 2 =⇒ cos2 2 = 064 =⇒ cos = 07800 =⇒
(100×10−9 )
= arccos(0800) = arccos(0800) = 488 nm
P9. Par l’équation 2.5c, on sait que = Ainsi, on obtient les positions des maxima et des
minima recherchés au moyen des équations 6.4 et 6.5 :
³ ³ ´´ ³ ³ ´´
(a) = 10 tan arcsin 340
= 10 tan arcsin 2(300) = 688 m
³ ³ ´´ ³ ³ ´´
340
(b) = 10 tan arcsin 2 = 10 tan arcsin 2(2)(300) = 688 m
P10. (a) Les franges qui apparaissent par intermittence sont associées à l’alternance des
P12. (a) On observe des franges circulaires dont on pourra trouver les rayons en posant que
l’avance parallèle du rayon 1 sur le rayon 2 après sa réflexion sur la face du haut,
2 sin sin
1 = 2 sin sin = cos .
2 sin2
À cause de la loi de la réfraction, sin = sin de sorte que 1 = cos
Avec p = , la condition d’interférence destructive entre les deux rayons s’exprime
comme suit ( ∈ N) :
³ ´
(2 + 1) = ∆ = 2 p
2
+ − 2
1
=⇒ = 2 − 1 =⇒
2 sin2
¡ ¢
= 2
cos − cos = 2
cos 1 − sin 2
=⇒ = 2cos =⇒
= 2 cos =⇒ CQFD
P15. Avec la condition de départ fournie, on sait, puisqu’il y a déjà un déphasage de rad,
p 0
que la pellicule possède une épaisseur 2 donc que 2 =