Vous êtes sur la page 1sur 22

LES OOPARTS

OOPArt est un sigle pour Out of Place Artifact, « objet fabriqué hors de place ». Il s'agit
d'un terme inventé par le zoologiste américain Ivan T. Sanderson pour désigner un artéfact
archéologique ou historique dont les caractéristiques diffèrent de celles attendues d'un
objet appartenant à la zone géographique ou temporelle du site où il a été découvert, au
point qu'il est impossible au monde scientifique de le reconnaître comme appartenant
réellement à la culture de ce site.

Beaucoup d'entre eux sont considérés comme des canulars (ex: pierres d'Ica, figurines
d’Acambaro, crânes de cristal); parfois leur existence même est contestée (ex: pierre de
Dashka). Les OOPArt sont en effet parfois mis en avant pour défendre le créationnisme,
l'ufologie (en avançant que des objets de ce type ne peuvent être que d'origines
extraterrestres), l'existence de civilisations oubliées et/ou nous dépassant techniquement
comme celle de l'Atlantide ou la validité d'une pseudoscience. Pour certains objets, la
contestation concerne leur interprétation et non leur appartenance à la culture ou à
l'époque concernée : des historiens qui considèrent la carte de Piri Reis comme ancienne
expliquent les contours dits « de l'Antarctique » par l'imagination du dessinateur ou une
déformation due au regroupement de plusieurs cartes et non par des connaissances
exceptionnelles pour l'époque.

Pour d'autres objets, comme les pièces de monnaie scandinaves anciennes découverte
dans l'État du Maine, une explication conforme aux connaissances historiques a été
découverte (transport par des Amérindiens à partir des villages vikings de Terre-
Neuve). Le mécanisme d'Anticythère, quant à lui, est un parfait exemple d'objet ayant
été tout d'abord considéré comme un OOPArt puis, avec un examen scientifique
approprié, permis une compréhension nouvelle de l'état de l'avancement scientifique de
la période antique, plus avancée qu'on l'imaginait communément. Le manuscrit de
Voynich est, malgré ses illustrations étranges et son écriture non déchiffrée, un livre et
ne saurait être classé parmi les OOPArt.

Dans l’ordre voici ces OOParts :

La carte de Piri Reis

La carte d'Oronteus Finæus

La carte du Vinland

La pierre runique de Kensington (Minnesota)

La pierre de Dashka (Russie)


Le marteau de Kingoodie (Écosse)

Les sphères parfaites du Costa Rica

Les pierres d'Ica (Pérou)

Les figurines d’Acambaro

Les crânes de cristal (Yucatán)

La pile électrique de Bagdad

Le monument de Yonaguni

La route de Bimini

Le rocher de Dighton

La tête de Tecaxic-Calixtlahuaca

Le pilier de fer de Delhi

La pierre de Gansu

La pierre étrange de Judaculla

Les sphères de Klerksdorp

L’artefact de Coso

Le cube du docteur Gurlt

Nanotechnologie ancienne

L’avion de Saqqarah

Quelques OOPARTS :

La carte de Piri Reis (carte du navigateur turc Piri Ibn Haji Mehmed
comprenant une portion de l’Antarctique).
La carte de Piri Reis est une carte ancienne, découverte en 1929 lors de la restauration du
Palais de Topkapi à Istanbul. Elle est attribuée à l'amiral et cartographe ottoman Piri Reis qui
l'aurait tracée en 1513. Dessinée sur une peau de gazelle, elle détaille les côtes occidentales de
l'Afrique et les côtes orientales de l'Amérique du Sud. Piri Ibn Haji Mehmed dit Piri Reis
était un grand amiral ("reis" en turc) de la flotte ottomane au XVIe siècle, né à Karaman
(province). Neveu du célèbre pirate Kemal Reis dit Camali, il est surtout connu pour son
œuvre de cartographe. Lettré, il se passionnait pour les cartes et les collectionnait. En 1513 et
en 1528, il dessina deux cartes du monde, reprenant les cartes et les données de sa collection
dont certaines remonteraient à l'antiquité. Il écrivit également un ouvrage, Kitab-i Bahriye ou
Livre de Navigation dans lequel on trouve en plus 200 cartes représentant principalement
l'Atlantique. Il semble que son oncle ait fait prisonnier un marin, ancien pilote de Christophe
Colomb et qui avait conservé un certain nombre de cartes des expéditions de l'explorateur
génois. Elle reste très mystérieuse car semble décrire des éléments géographiques non connus
à cette époque (par exemple les Andes avec des dessins de lamas) ou impossibles à connaître
avec les techniques de l'époque (les côtes de l'Antarctique alors que ces dernières sont
constamment prises par les glaces).

La carte d'Oronteus Finæus (carte du carthographe français Oronce Finé


présentant l'Antarctique).
La mappemonde d'Oronce Fine est une représentation cartographique de la sphère terrestre
réalisée selon une projection cordiforme (en forme de coeur) en 1536. Outre cette projection,
elle présente aussi l'originalité de représenter avec une apparence de grande précision les
terres australes. La représentation de terres australes apparaît avec la naissance de la
cartographie de la sphère terrestre dans l'antiquité grecque et s'est transmise tout au long du
moyen-âge. Les voyages d'explorations ont relancé à la renaissance l'intérêt pour ces
spéculations géographiques, ainsi en 1529 Franciscus Monachus faisait figurer des terres
australes dans sa représentation du monde. La reprise de la Géographie de Ptolémée a poussé
les cartographes de la renaissance à représenter ces continents supposés avec des profils de
côtes en apparence précis, et à le peupler.

La carte du Vinland
La « carte du Vinland » est un objet dont l'origine est controversée et qui représenterait le
monde connu en incluant des terres présumées inconnues au XVe siècle, notamment le
Groenland et le Japon. Elle est considérée comme un OOPArt. La carte, conservée à la
Bibliothèque Beinecke de Yale, daterait du XVe siècle et serait la copie d'un original du XIIIe
siècle. Son importance résiderait dans le fait que, outre la présence de l'Europe, de l'Asie et de
l'Afrique, elle montre une portion de terre au-delà de l'Atlantique Nord, appelé Vinland, qui
confirmerait le fait que les Européens auraient eu connaissance des voyages des Vikings au
XIe siècle, anticipant de quatre siècles la découverte du Nouveau Monde par Christophe
Colomb (1492). La carte indique un certain nombre d'îles, notamment une île nommée "Beati
Brandani" (île de Saint Brandan) et une île nommée "Branziliae" rappelant étrangement le
mot Brésil. La carte fut proposée en 1957 (3 ans avant la découverte du site de L'Anse aux
Meadows) à l’Université Yale par Laurence C. Witten II, ancien élève devenu antiquaire
spécialisé en livres anciens. Elle était fixée à un authentique codex, Historia Tartarorum
(Histoire des Mongols appelés par nous Tartares), version ancienne du texte du franciscain
Jean de Plan Carpin, lui-même autrefois relié en appendice au Speculum historiale de Vincent
de Beauvais. Le prix étant trop élevé et Witten refusant de révéler sa provenance, l’université
hésita. Un autre élève, Paul Mellon, l’acheta, se proposant de l’offrir à son alma mater si elle
s’avérait authentique. Il la fit expertiser par deux conservateurs du British Museum et un
bibliothécaire de Yale, mais en secret, procédure controversée. Ils aboutirent après plusieurs
années à la conclusion de son authenticité. La carte fut offerte à Yale et révélée au monde en
1965, accompagnée d’une publication de l’équipe de recherche. Une conférence sur la
question eut lieu l’année suivante à la Smithsonian Institution, dont le compte-rendu fut
publié 5 ans plus tard. Yale émit en 1995 une publication affirmant l’authenticité de la carte.

*
La pierre runique de Kensington (Minnesota)

La pierre runique de Kensington est une pierre plate rectangulaire en grauwacke couverte de
runes sur sa face et son côté. Son origine et sa signification ont été contestées depuis sa «
découverte » en 1898 près de Kensington, Minnesota. Elle suggère que des explorateurs
scandinaves auraient atteint le milieu de l'Amérique du Nord au XIVe siècle. Les savants et
historiens considèrent majoritairement que c'est une fraude, mais la question est toujours
débattue.

La pierre de Dashka (Russie)


La pierre de Dashka, aussi dite « carte du créateur », serait une pierre représentant une carte
de la Sibérie des années – 120 000 000, prétendument découverte en 1999 par l'équipe du
docteur Alexandre Chuvyrov, de l'Université de Bachkirie, lors d'un programme d'étude sur
les migrations chinoises en Sibérie. Cette pierre, témoignant de systèmes d'irrigation très
développés qui tendraient en outre à attribuer à l'actuelle rivière Balaya une origine
artificielle, serait un témoignage de la présence d'une civilisation avancée sur Terre il y a 120
millions d'années. La seule source concernant cette découverte est un article paru dans le
quotidien russe La Pravda le 30 avril 2002.

Le marteau de Kingoodie (Écosse).


Caractéristiques de la découverte- lieu : Londres, Etat du Texas, Etats-Unis en 1934

Conditions de la découverte : l’objet en question était incrusté dans une roche. La partie en
bois était fossilisée et la tête en fer était moulée dans la pierre.

Avant même qu’apparaisse l’hypothèse terrifiante selon laquelle, pour que le marteau puisse
se retrouver à l’intérieur de la roche c’est qu’il avait dû être construit avant que celle-ci ne soit
formée (quelques millions d’années auparavant), les scientifiques ont décidé de le mettre de
côté au Musée Somerwell au Texas. Des analyses ultérieures ont démontré que l’intérieur du
manche était carbonisé et que la tête, par ailleurs parfaitement formée, avait été construite
avec un fer dont le degré de pureté ne peut être obtenu que par la technologie moderne. Le
manche du marteau démontre qu’il n’a pas été exclu du processus de fossilisation mis en
évidence par les arbres des forêts texanes. Selon les géologues, le lent processus de
fossilisation préhistorique a eu lieu dans cette zone il y a près de 140 millions d’années. Une
rapide déduction du contexte de la découverte laisse supposer qu’il existait non seulement une
civilisation humaine antérieure au processus de solidification mais que cette civilisation
possédait une technologie suffisamment avancée pour créer un marteau ayant les
caractéristiques modernes. Selon les études de l’Institut métallurgique de Colombie, la tête du
marteau est constituée de 97 % de fer pur, de 2 % de chlore et d’1 % de soufre. Fait
surprenant, il a été démontré que le fer avait subi un processus de purification et de
durcissement digne des métallurgies du XXe siècle. La partie de terre qui entoure la tête du
marteau présente également certaines anomalies. Elle s’est totalement fondue à l’objet
formant ainsi une sorte d’étui pour le marteau. Comment l’existence de la preuve physique de
cet « emballage » peut-il être régulièrement remis en cause ? L’analyse chimique de cet étui a
permis de détecter des traces de potassium, de chlore, de soufre, de calcium et de silicium.
Cette composition contredit les hypothèses selon lesquelles la tête du marteau appartiendrait à
un fragment de météorite puisque les corps de notre système solaire ne possèdent pas tant de
variété dans la nature chimique. Selon les scientifiques, le fait que la tête se soit trouvée
fondue dans la roche semble démontrer que le processus d’incrustation a eu lieu sous des
conditions atmosphériques différentes de celles actuelles (pression atmosphérique différente)
qui correspondrait plus à une époque antérieure. Certains voient la possibilité peu
convaincante d’un morceau de bois d’un météorite de composition chimique très étrange et
de morphologie exceptionnelle datant de la préhistoire. Des scientifiques plus aventureux ont
vu dans cet oopart un indice supplémentaire de la découverte d’une période de l’histoire de
notre planète, de civilisations aux capacités techniques avancées, desquelles nous conservons
aujourd’hui seulement des légendes. Et peut-être aussi l’existence de vestiges retenus par la
roche.

Les sphères parfaites du Costa Rica


Il existe disséminées sur la planète des sphères parfaites de granit appelées aussi parfois
boules, certaines peuvent peser jusqu'a 12 tonnes, découvertes notamment dans les forêts du
Costa Rica, elles représentent une énigme dont la science officielle n'a pas trouvé la solution.
On les découvre souvent éparpillées au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières, de
toute évidence elles seraient ouvres de la main de l'homme et l'on se demande encore
comment en des temps anciens ceux-ci ont pu transporter ces sphères jusque leur position
actuelle.

Plus d’infos : http://diaporamas-libres.chez-alice.fr/insolite.htm

Les pierres d'Ica (Pérou)


Les pierres d’Ica sont des pierres en andésite gravées supposées représenter des cohabitations
entre hommes et dinosaures (représentations et scènes de chasse), des opérations
chirurgicales, des technologies de pointe: télescopes, fusées, etc. Leur authenticité est
fortement mise en doute par différentes études. Ces pierres ont été données vers 1966 par des
fermiers au Dr. Javier Cabrera qui en posséderait plus de dix mille dans son musée privé à Ica
au Pérou. Elles ont servi par les tenants du créationnisme pour soutenir leurs thèses.

Les figurines d’Acambaro

Les figurines d’Acambaro ont été découvertes en 1945 au Mexique par l'allemand Waldemar
Julsrud, puis par des paysans du cru rémunérés pour leurs trouvailles. Elles représentent, entre
autres, des sortes de dinosaures, des chameaux et des animaux inconnus (voir cryptozoologie).
Elles servent parfois d’argument aux créationnistes mais sont considérées comme une fraude
par l’immense majorité des archéologues. Certaines sont visibles au musée d'Acambaro.
Charles Hapgood, professeur d'histoire et d'anthropologie à l'université du New Hampshire,
est le premier scientifique à s'y être intéressé et les a fait analyser par le laboratoire d'Isotopes
Inc. du New Jersey en 1968 et l'université de Pennsylvanie en 1972. Le matériau remonterait
à plus ou moins 3000 ans avant JC. Néanmoins, dans le cas de poteries, la datation au
radiocarbone indique seulement l’ancienneté des matériaux organiques (ossements ou
végétaux) que la terre peut contenir et non la date de fabrication des objets.

Les crânes de cristal (Yucatán)


Un crâne de cristal est une représentation en cristal de roche d'un crâne humain. La popularité
de ce type d’artefact débute au XIXe siècle parmi les amateurs d'antiquités mésoaméricaines
précolombiennes. Considérés comme représentatifs des cultures aztèque et maya, les
exemplaires les plus prestigieux sont le « crâne de Paris » (aujourd'hui au Musée du quai
Branly) et le « crâne de Londres » (British Museum), qui ont fait l’objet de nombreux articles
et dont le prêt aura souvent été sollicité. Par ailleurs, ces objets ont attiré dès le début du XXe
siècle les amateurs d'ésotérisme, qui leur prêtaient une origine surnaturelle, ainsi que des
pouvoirs de guérison physique et spirituelle. Le plus remarquable était celui que l’explorateur
F.A. Mitchell Hedges prétendait avoir découvert dans les années 1920 à Belize. Les fouilles
du XXe siècle ne confirment pas la place supposée du crâne de cristal dans les cultures
précolombiennes. Dans les années 1990, les pièces des collections publiques font l’objet
d’expertises dont les résultats semblent indiquer qu’il s’agirait de créations tardives du XIXe
siècle, ou tout au moins de l’époque coloniale pour les plus anciennes. Néanmoins, les crânes
de cristal gardent leur pouvoir de fascination. Malgré la remise en question de leur
authenticité, ceux de Paris et de Londres ont retrouvé leur place dans les expositions et le
monde New Age croit toujours en leur pouvoir.

La pile électrique de Bagdad


La pile électrique de Bagdad est le nom d'une poterie datant du IIIe siècle av. J.-C.,
découverte dans un village près de Bagdad en 1936. Elle est devenue célèbre depuis que
quelques archéologues, tels que Wilhelm König, ont émis l'hypothèse qu'elle aurait servi de
pile électrique. Cette thèse est actuellement toujours controversée.

Le monument de Yonaguni

Lors d’un repérage en 1985 par un tour opérateur en plongée sous-marine, Kihachiro Aratake
découvrit dans les eaux claires d’Arakawa Point, à la pointe sud de l’Ile Yonaguni dans les
Îles Ryūkyū, une énorme structure de pierre qui semble être mégalithique. Cette structure est
pourvue d’immenses terrasses interrompues par de très grandes marches angulaires et de très
grandes parois à l’apparence lisse. La structure mesure plus ou moins 75 mètres de long et 25
mètres de haut. Il faudra au moins dix ans pour que les médias relatent la découverte.

La route de Bimini

La « route de Bimini » (Bimini Road en anglais) désigne un alignement de blocs de calcaire


reposant dans les fonds sous-marins de l'archipel de Bimini dans les Bahamas, non loin du
triangle des Bermudes. Du fait de l'organisation apparente des pierres et de la forme même de
certaines d'entre-elles, différents auteurs considèrent cet alignement comme une ancienne
route, un mur ou le vestige d'une structure réalisée par l'homme. Parmi ceux-ci, certains
croient qu'il s'agit d'un vestige lié à la civilisation mythique de l'Atlantide confirmant les
prédictions d'Edgar Cayce. Différentes explications scientifiques permettent de considérer que
la « route de Bimini » résulte de phénomènes naturels.

Le rocher de Dighton
Le rocher de Dighton (Dighton Rock) est un bloc erratique de pierre d'une quarantaine de
tonnes qui se trouvait à l'origine dans le lit du fleuve Taunton, à Berkley (qui faisait autrefois
partie de la ville de Dighton), dans le comté de Bristol (Massachusetts), aux États-Unis. Il est
célèbre pour ses mystérieuses inscriptions, qui ont donné lieu à plusieurs hypothèses sur la
découverte de l'Amérique du Nord.

La tête de Tecaxic-Calixtlahuaca

La tête de Tecaxic-Calixtlahuaca est une tête d’homme barbu portant une sorte de chapeau
pointu, de style romain, probablement fragment d’une figurine en terre cuite, découverte en
1933 dans une tombe précolombienne de Tecaxic-Calixtlahuaca. Elle est considérée comme
un OOPArt et aucune hypothèse expliquant sa présence sur le site n’a encore été confirmée.

Le pilier de fer de Delhi

Le Pilier de fer de Delhi ou Pilier de fer de Mehrauli est un vestige archéologique et une
curiosité métallurgique se trouvant dans le complexe du Qûtb Minâr dans la banlieue de
Delhi. Le pilier — mesurant plus de sept mètres, en comptant la partie enterrée et le
chapiteau, et pesant plus de six tonnes — a été érigé par le râja Kumaragupta de la dynastie
des Gupta qui régna sur l'Inde du Nord du milieu du IIIe siècle à 535. D'après le professeur
Balasubramanian, le pilier se trouvait probablement à Udaygiri ou Vishnupadagri dans le
Madhya Pradesh, en Inde centrale avant de rejoindre son emplacement actuel. Les historiens
indiens pensent que, conformément l'inscription en pâḷi qu'il comporte, il était surmonté par
un symbole de Vishnou, un chakra probablement, qui a été retiré par les envahisseurs
musulmans. Le pilier aurait été ensuite installé à Delhi par Ânand Pâl, le fondateur du clan
râjput des Tomara en 1052.

*
La pierre de Gansu(Chine)

M. Wang Zhilin a trouvé cette pierre (2002) lors de recherche à Mazong dans la zone de
montagne située à la frontière des provinces du Gansu et du Xijiang. La pierre en forme de
poire a une mystérieuse couleur noire. Elle mesure environ 8 x 7 cm et pèse 466 grammes. Le
plus surprenant dans cette pierre c’est quelle comporte un filetage. Ce mystérieux objet a
attiré l'attention de nombreux géologues et collectionneurs. Plus de 10 géologues de
renommées mondiales sont venus étudier la pierre. Celle-ci est ancrée avec une vis et une
barre de métal et est suspectée d'être venue de l'espace.

La pierre étrange de Judaculla


Dans le comté de Jackson, à la sortie de Sylva, Caroline du Nord, se trouve une grande pierre
déconcertante. Il s'agit d'un bloc en pierre qui est recouvert d'une multitude de dessins
étranges que certains archéologues datent de 2000 à 3000 ans. La roche a été étudié par des
chercheurs à travers le monde, mais personne n'a jamais déchiffrer l'étrange pétroglyphes sur
la pierre. Selon la légende Cherokee, les inscriptions sur la roche ont été créées par Judaculla,
un géant aux yeux obliques qui a dominé le long des montagnes, dans les années passées. Il a
été le "grand seigneur de la chasse», un puissant qui pouvait se déplacer d'une montagne à
l'autre, et qui avait le pouvoir de contrôler la météo. Ils ont estimé que le rock, non seulement
marquait son territoire, mais encore que celui-ci porte son empreinte de sept doigts, car il a
une fois utilisé pour stabiliser le roc lui-même lors d'une chute. Pour de nombreuses
générations, les Indiens de l'endroit considèrent l’endroit comme un site sacré. Et, même au
cours des dernières années, il a été utilisé dans le secret, tard dans la nuit pour des initiations
par de nombreux groupes d'étudiants venant de la Western Carolina University à proximité.
Parmi la population étudiante, il est bien connu que les cérémonies à la roche ont provoqué de
nombreux incidents étranges. Les bruits « fantômes » sont fréquents sur le site (d'autant que la
roche n'est qu’à quelques centaines de mètres d'un ancien cimetière). Il y a même des rapports
de « lumières étranges » autour de la pierre. Dans l'ensemble, il est largement reconnu comme
un endroit très propice pour des manifestations paranormales.

http://www.judacullarock.com/

Les sphères de Klerksdorp

Depuis plus de 30 ans, des mineurs extraient d'une mine d'argent en Afrique du Sud, la
Wonderstone Silver Mine, d'étranges sphères métalliques. Ce sont environ 200 sphères qui
ont ainsi été trouvées. Cela n'aurait rien d'extraordinaire si la datation des roches ne remontait
à environ 3 milliards d'années. Ces sphères ou billes ont un diamètre de 3 à 10 cm. Elles sont
composées d'un alliage à base de nickel et d'acier. Cet alliage n'existe pas à l'état naturel.
Certaines de ces sphères possèdent une sorte de coquille. Si on la casse, on trouve à l'intérieur
une substance spongieuse qui se désintègre au contact de l'air. Les sphères ont été extraites
d'une couche rocheuse de pyrophyllite. A l'aide de divers isotopes radioactifs, la datation
géologique de ces roches remonterait entre 2,8 et 3 milliards d'années. En 1979, plusieurs de
ces sphères ont été examinées par J.R. McIver, Professeur de géologie à l'Université de
Witwaterstand de Johannesburg et le géologue Andries Bisschoff. Des experts de la NASA
ont également analysé ces sphères. A ce jour, nul n'est parvenu à fournir une explication
plausible. La composition pourrait être d'origine météorique mais la fabrication n'a rien de
naturelle et semble bien artificielle. Roelf Marx, conservateur du musée Klerksdorp, a
découvert que la sphère qui est exposée dans une vitrine du musée, tourne lentement sur son
axe sans la présence d'aucune vibration extérieure. Il y aurait-il à l'intérieur de ces sphères une
énergie qui fonctionnerait toujours au bout de 3 milliards d'années ? D'autres sphères du
même type auraient été trouvées au Texas en 1997 et dans trois autres Etats. D'où viennent
ces sphères ? A quoi servaient-elles ? L'énigme reste entière.

L’artefact de Coso

En février 1961, les habitants de la montagne de Coso à Olancha en Californie, ont


découvert une pièce de quartz extrêmement dure à une altitude de plus de 122 mètres, 12
mètres plus haut que le lit de la rivière Owens. Les surfaces coupées du quartz rappellent un
des restes de certains appareils mécaniques. Leurs structures montrent l'extrême complexité
d'un équipement fait par l'homme. Ce qui est le plus remarquable c'est que ce quartz peut être
estimé avoir 500 000 ans. Le quartz de Coso a été surnommé « l'objet de Coso » et la
mystérieuse matière est connue comme la bougie d'allumage d'un engin à combustion interne.
L'objet de Coso est peut être une preuve de l'existence dans le passé de civilisations
techniques avancées. Cet objet a toutes les apparences d'une bougie moderne d'allumage. Un
géologue (non désigné) aurait, dit-on, examiné l'objet et aurait déclaré que le nodule avait au
moins 500 000 ans.

Le cube du docteur Gurlt


Un des vestiges les plus célèbres que des extra-terrestres aurait laissé sur Terre au cours de
l'une de leurs visites, est un objet extrêmement mystérieux qui fut découvert en 1885. Le cube
fut conservé au Oberosterreichisehes Landesmuseum de Linz, Autriche, où l'objet original a
été également exhibé de 1950 à 1958. Une copie en plâtre fut également réalisée, parce que
l'objet original a souffert de la manipulation, et fut abîmé par des échantillons prélevés par des
investigateurs pour la recherche. Le cube est actuellement sous la garde de Hern O.R.
Bernhardt du musée de Heimathaus à Vocklabruck. Des descriptions détaillées et des
commentaires concernant ce que l'on appelle le « cube du docteur Gurlt » ont fait l'objet de
nombreux articles dans diverses revues scientifiques. En automne 1885, dans une fonderie de
fer possédée par les fils de Herr Isidor Braun situé à Schondorf près de Bocklabruck, en
Haute-Autriche, un ouvrier appelé Riedl cassant un bloc de lignite tertiaire qui avait été extrait
des puits de Wolfsegg, près de Schwannstadt, et qui était sur le point d'être employé pour
alimenter les fours géants de la fonderie, constata quand le bloc fut désagrégé en plusieurs
morceaux, un étrange cube qui s’en échappa. Cette lignite (charbon) s'étant formée il y a
plusieurs dizaines de millions d’années (60 millions d’années), on a ainsi une idée de
l'ancienneté du « cube » emprisonné dans la masse de carbone. Ce cube est en fait un
parallélépipède dont les dimensions sont 67 X 67 X 47 mm et qui a été légèrement arrondi sur
deux faces opposées. Une incision relativement profonde en fait le tour à mi-hauteur. II pèse
785 grammes et l'analyse chimique de l’époque aurait révélé qu'il s'agissait d'un bloc d'acier
nickel carbone d'une dureté remarquable et, dont le très faible taux de soufre exclut la
possibilité d'un alliage naturel d'origine pyritique. Enfin l'aspect de sa surface incline
fortement à penser que le cube a été usiné. Il n'y aurait donc guère de doute au sujet de
l'ancienneté de ce bloc d'acier et celui-ci représenterait un témoignage d'une valeur
exceptionnelle. D'autant plus que la probabilité est pratiquement nulle de retrouver un objet
façonné il y a des millions d'années et qui a subi et vécu toutes les transformations qu'a
connues la Terre pendant cette immense période. Pas si vite, durant les années 1966-67, le
cube a été soigneusement analysé par des experts au musée de Vienne (Naturhistorisehes), en
utilisant la microanalyse par électron faisceau. Ils n'ont trouvé aucune trace de nickel, de
chrome ou de cobalt dans le fer, ce qui signifie que l'objet n'était pas d'origine météorique.
Aucun soufre n'a été détecté non plus, éliminant qu’il soit une pyrite, un minerai normal prend
parfois des formes géométriques. En raison d'une concentration basse de magnésium, le Dr.
Kurat du musée, et Dr. R. Gill du Geologisehe Bundesanstalt de Vienne, émettent l'opinion
que l'objet aurait été fait de fonte. En 1973, Hubert Mattlianer a conclu encore dans une autre
recherche détaillée que l'objet aurait été façonné à partir d'un morceau cire sculptée ou à partir
d’argile compressée dans une base de sable, ceci formant le moule dans lequel le cube aurait
été coulé. On peut raisonnablement conclure que cet objet est manufacturé, ce qui est
inexplicable c’est que faisait ce cube enchâssé dans un carbonifère de plus de 60millions
d’années. Des habitants d'un autre monde seraient venus sur Terre durant l'ère tertiaire ? Si
c’est le cas, il est raisonnable de penser que ce fait n'a pas été unique et plus on se rapproche
de l'époque actuelle plus il doit être facile de déceler des preuves et des vestiges de telles
visites. Une contre-enquête, de la revue « Pursuit », aurait mis fin au mythe dans le n°
d'octobre 1973, en effet elle révélerait que le cube ne fut pas découvert dans la lignite, mais
serait un vestige de la fonderie, ce que contredit totalement la note du docteur Gurlt présentée
par M. Daubrée à l’Académie des sciences / Institut de France en 1886.

Ou se trouve la vérité ?

Nanotechnologie ancienne

A partir de 1991, des prospecteurs d'or, puis des expéditions scientifiques (mandatées par
l'institut central de recherche scientifique de géologie et de prospection de métaux précieux et
non-ferreux de Moscou), ont découvert des objets, métalliques, spiralés pour la plupart, dont
la taille varie de 3 centimètres pour les plus gros à 3/1 000e de millimètre !!!

Des milliers de ces artefacts ont été trouvés sur de nombreux sites dans la partie orientale des
montagnes de l'Oural, sur les rives de plusieurs cours d'eau dans des couches sédimenteuses
datant du pléistocène supérieur, à des profondeurs variant de 3 à 12 mètres. Ces objets ont été
étudiés par l'Académie des Sciences russe de Syktyvka, Moscou et St Petersbourg, ainsi que
par un institut scientifique d'Helsinki en Finlande :

Les plus gros de ces objets sont en cuivre, tandis que les plus petits sont en tungstène (point
de fusion de 3410°c.) ou en molybdène (point de fusion de 2650°c.). En fonction du site et de
la profondeur où ils ont été trouvés, l'âge de ces objets est estimé entre 20 000 et 318 000 ans
!!! L'Institut de Moscou a publié un rapport d'expertise n° 18/485 du 29/11/96 qui conclut :
"Les données obtenues permettent d'envisager la possibilité d'une technologie d'origine extra-
terrestre."

L’avion de Saqqarah
En 1898, on a trouvé dans une tombe à Saqqarah en Egypte, un objet ailé daté de 200 ans av.
J.C. Comme les avions n'existaient pas dans l'ancienne Egypte, il fut répertorié comme
figurine d'oiseau en bois et classé sous le n° 6347 dans le "rayon jouets" au sous-sol du musée
du Caire. Il demeura ignoré jusqu'en 1969, quand le Dr Khalil Messiha qui étudiait les
maquettes des anciens égyptiens, fut intrigué par cet oiseau bizarre. Aux formes
aérodynamiques comparables à nos planeurs modernes. Qui a une queue verticale et non
horizontale. Avec comme inscription : "don d'Amon", le dieu du vent.

L'objet en sycomore léger pèse 39 grammes, fait 14 centimètres de longueur pour 18


d'envergure. Ses ailes sont en dièdre inverse, ce qui procure une meilleure manoeuvrabilité en
vol au détriment de la stabilité. Il est parfaitement "centré" ; son centre de gravité se situe au
tiers de la corde de l'aile. Il peut donc voler !!!

Comme l'ont démontré les répliques en balsa qui ont été faites, en y rajoutant une pièce
fendue à l'endroit marqué sur la queue faisant office de gouverne de profondeur. Il est
maintenant étiqueté comme maquette d'avion, ainsi qu'une quinzaine d'autres artefacts ailés, et
a fait l'objet d'une exposition spéciale dans le hall central du musée du Caire en 1972. Il y a 2
200 ans, qui pouvait avoir de telles connaissances aérodynamiques ? A noter que les égyptiens
étaient connus pour faire des maquettes de leurs projets de construction ainsi que des objets
familiers au mort afin de les placer dans sa tombe pour l'éternité. Pour certains, ces "oiseaux"
ne sont que de simples girouettes... indicatrices de la direction du vent, d'où la queue
verticale...

*
Tyron pour la taverne de l’étrange- 24 janvier 2009

Liens :

http://www.ldi5.com/archeo.php

http://tyron29.kazeo.com/

http://secretebase.free.fr/civilisations/technologies/decouvertes/decouvertes.htm

http://www.onnouscachetout.com/forum/

http://fr.wikipedia.org/wiki/Oopart

Vous aimerez peut-être aussi