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OOPArt est un sigle pour Out of Place Artifact, « objet fabriqué hors de place ». Il s'agit
d'un terme inventé par le zoologiste américain Ivan T. Sanderson pour désigner un artéfact
archéologique ou historique dont les caractéristiques diffèrent de celles attendues d'un
objet appartenant à la zone géographique ou temporelle du site où il a été découvert, au
point qu'il est impossible au monde scientifique de le reconnaître comme appartenant
réellement à la culture de ce site.
Beaucoup d'entre eux sont considérés comme des canulars (ex: pierres d'Ica, figurines
d’Acambaro, crânes de cristal); parfois leur existence même est contestée (ex: pierre de
Dashka). Les OOPArt sont en effet parfois mis en avant pour défendre le créationnisme,
l'ufologie (en avançant que des objets de ce type ne peuvent être que d'origines
extraterrestres), l'existence de civilisations oubliées et/ou nous dépassant techniquement
comme celle de l'Atlantide ou la validité d'une pseudoscience. Pour certains objets, la
contestation concerne leur interprétation et non leur appartenance à la culture ou à
l'époque concernée : des historiens qui considèrent la carte de Piri Reis comme ancienne
expliquent les contours dits « de l'Antarctique » par l'imagination du dessinateur ou une
déformation due au regroupement de plusieurs cartes et non par des connaissances
exceptionnelles pour l'époque.
Pour d'autres objets, comme les pièces de monnaie scandinaves anciennes découverte
dans l'État du Maine, une explication conforme aux connaissances historiques a été
découverte (transport par des Amérindiens à partir des villages vikings de Terre-
Neuve). Le mécanisme d'Anticythère, quant à lui, est un parfait exemple d'objet ayant
été tout d'abord considéré comme un OOPArt puis, avec un examen scientifique
approprié, permis une compréhension nouvelle de l'état de l'avancement scientifique de
la période antique, plus avancée qu'on l'imaginait communément. Le manuscrit de
Voynich est, malgré ses illustrations étranges et son écriture non déchiffrée, un livre et
ne saurait être classé parmi les OOPArt.
La carte du Vinland
Le monument de Yonaguni
La route de Bimini
Le rocher de Dighton
La tête de Tecaxic-Calixtlahuaca
La pierre de Gansu
L’artefact de Coso
Nanotechnologie ancienne
L’avion de Saqqarah
Quelques OOPARTS :
La carte de Piri Reis (carte du navigateur turc Piri Ibn Haji Mehmed
comprenant une portion de l’Antarctique).
La carte de Piri Reis est une carte ancienne, découverte en 1929 lors de la restauration du
Palais de Topkapi à Istanbul. Elle est attribuée à l'amiral et cartographe ottoman Piri Reis qui
l'aurait tracée en 1513. Dessinée sur une peau de gazelle, elle détaille les côtes occidentales de
l'Afrique et les côtes orientales de l'Amérique du Sud. Piri Ibn Haji Mehmed dit Piri Reis
était un grand amiral ("reis" en turc) de la flotte ottomane au XVIe siècle, né à Karaman
(province). Neveu du célèbre pirate Kemal Reis dit Camali, il est surtout connu pour son
œuvre de cartographe. Lettré, il se passionnait pour les cartes et les collectionnait. En 1513 et
en 1528, il dessina deux cartes du monde, reprenant les cartes et les données de sa collection
dont certaines remonteraient à l'antiquité. Il écrivit également un ouvrage, Kitab-i Bahriye ou
Livre de Navigation dans lequel on trouve en plus 200 cartes représentant principalement
l'Atlantique. Il semble que son oncle ait fait prisonnier un marin, ancien pilote de Christophe
Colomb et qui avait conservé un certain nombre de cartes des expéditions de l'explorateur
génois. Elle reste très mystérieuse car semble décrire des éléments géographiques non connus
à cette époque (par exemple les Andes avec des dessins de lamas) ou impossibles à connaître
avec les techniques de l'époque (les côtes de l'Antarctique alors que ces dernières sont
constamment prises par les glaces).
La carte du Vinland
La « carte du Vinland » est un objet dont l'origine est controversée et qui représenterait le
monde connu en incluant des terres présumées inconnues au XVe siècle, notamment le
Groenland et le Japon. Elle est considérée comme un OOPArt. La carte, conservée à la
Bibliothèque Beinecke de Yale, daterait du XVe siècle et serait la copie d'un original du XIIIe
siècle. Son importance résiderait dans le fait que, outre la présence de l'Europe, de l'Asie et de
l'Afrique, elle montre une portion de terre au-delà de l'Atlantique Nord, appelé Vinland, qui
confirmerait le fait que les Européens auraient eu connaissance des voyages des Vikings au
XIe siècle, anticipant de quatre siècles la découverte du Nouveau Monde par Christophe
Colomb (1492). La carte indique un certain nombre d'îles, notamment une île nommée "Beati
Brandani" (île de Saint Brandan) et une île nommée "Branziliae" rappelant étrangement le
mot Brésil. La carte fut proposée en 1957 (3 ans avant la découverte du site de L'Anse aux
Meadows) à l’Université Yale par Laurence C. Witten II, ancien élève devenu antiquaire
spécialisé en livres anciens. Elle était fixée à un authentique codex, Historia Tartarorum
(Histoire des Mongols appelés par nous Tartares), version ancienne du texte du franciscain
Jean de Plan Carpin, lui-même autrefois relié en appendice au Speculum historiale de Vincent
de Beauvais. Le prix étant trop élevé et Witten refusant de révéler sa provenance, l’université
hésita. Un autre élève, Paul Mellon, l’acheta, se proposant de l’offrir à son alma mater si elle
s’avérait authentique. Il la fit expertiser par deux conservateurs du British Museum et un
bibliothécaire de Yale, mais en secret, procédure controversée. Ils aboutirent après plusieurs
années à la conclusion de son authenticité. La carte fut offerte à Yale et révélée au monde en
1965, accompagnée d’une publication de l’équipe de recherche. Une conférence sur la
question eut lieu l’année suivante à la Smithsonian Institution, dont le compte-rendu fut
publié 5 ans plus tard. Yale émit en 1995 une publication affirmant l’authenticité de la carte.
*
La pierre runique de Kensington (Minnesota)
La pierre runique de Kensington est une pierre plate rectangulaire en grauwacke couverte de
runes sur sa face et son côté. Son origine et sa signification ont été contestées depuis sa «
découverte » en 1898 près de Kensington, Minnesota. Elle suggère que des explorateurs
scandinaves auraient atteint le milieu de l'Amérique du Nord au XIVe siècle. Les savants et
historiens considèrent majoritairement que c'est une fraude, mais la question est toujours
débattue.
Conditions de la découverte : l’objet en question était incrusté dans une roche. La partie en
bois était fossilisée et la tête en fer était moulée dans la pierre.
Avant même qu’apparaisse l’hypothèse terrifiante selon laquelle, pour que le marteau puisse
se retrouver à l’intérieur de la roche c’est qu’il avait dû être construit avant que celle-ci ne soit
formée (quelques millions d’années auparavant), les scientifiques ont décidé de le mettre de
côté au Musée Somerwell au Texas. Des analyses ultérieures ont démontré que l’intérieur du
manche était carbonisé et que la tête, par ailleurs parfaitement formée, avait été construite
avec un fer dont le degré de pureté ne peut être obtenu que par la technologie moderne. Le
manche du marteau démontre qu’il n’a pas été exclu du processus de fossilisation mis en
évidence par les arbres des forêts texanes. Selon les géologues, le lent processus de
fossilisation préhistorique a eu lieu dans cette zone il y a près de 140 millions d’années. Une
rapide déduction du contexte de la découverte laisse supposer qu’il existait non seulement une
civilisation humaine antérieure au processus de solidification mais que cette civilisation
possédait une technologie suffisamment avancée pour créer un marteau ayant les
caractéristiques modernes. Selon les études de l’Institut métallurgique de Colombie, la tête du
marteau est constituée de 97 % de fer pur, de 2 % de chlore et d’1 % de soufre. Fait
surprenant, il a été démontré que le fer avait subi un processus de purification et de
durcissement digne des métallurgies du XXe siècle. La partie de terre qui entoure la tête du
marteau présente également certaines anomalies. Elle s’est totalement fondue à l’objet
formant ainsi une sorte d’étui pour le marteau. Comment l’existence de la preuve physique de
cet « emballage » peut-il être régulièrement remis en cause ? L’analyse chimique de cet étui a
permis de détecter des traces de potassium, de chlore, de soufre, de calcium et de silicium.
Cette composition contredit les hypothèses selon lesquelles la tête du marteau appartiendrait à
un fragment de météorite puisque les corps de notre système solaire ne possèdent pas tant de
variété dans la nature chimique. Selon les scientifiques, le fait que la tête se soit trouvée
fondue dans la roche semble démontrer que le processus d’incrustation a eu lieu sous des
conditions atmosphériques différentes de celles actuelles (pression atmosphérique différente)
qui correspondrait plus à une époque antérieure. Certains voient la possibilité peu
convaincante d’un morceau de bois d’un météorite de composition chimique très étrange et
de morphologie exceptionnelle datant de la préhistoire. Des scientifiques plus aventureux ont
vu dans cet oopart un indice supplémentaire de la découverte d’une période de l’histoire de
notre planète, de civilisations aux capacités techniques avancées, desquelles nous conservons
aujourd’hui seulement des légendes. Et peut-être aussi l’existence de vestiges retenus par la
roche.
Les figurines d’Acambaro ont été découvertes en 1945 au Mexique par l'allemand Waldemar
Julsrud, puis par des paysans du cru rémunérés pour leurs trouvailles. Elles représentent, entre
autres, des sortes de dinosaures, des chameaux et des animaux inconnus (voir cryptozoologie).
Elles servent parfois d’argument aux créationnistes mais sont considérées comme une fraude
par l’immense majorité des archéologues. Certaines sont visibles au musée d'Acambaro.
Charles Hapgood, professeur d'histoire et d'anthropologie à l'université du New Hampshire,
est le premier scientifique à s'y être intéressé et les a fait analyser par le laboratoire d'Isotopes
Inc. du New Jersey en 1968 et l'université de Pennsylvanie en 1972. Le matériau remonterait
à plus ou moins 3000 ans avant JC. Néanmoins, dans le cas de poteries, la datation au
radiocarbone indique seulement l’ancienneté des matériaux organiques (ossements ou
végétaux) que la terre peut contenir et non la date de fabrication des objets.
Le monument de Yonaguni
Lors d’un repérage en 1985 par un tour opérateur en plongée sous-marine, Kihachiro Aratake
découvrit dans les eaux claires d’Arakawa Point, à la pointe sud de l’Ile Yonaguni dans les
Îles Ryūkyū, une énorme structure de pierre qui semble être mégalithique. Cette structure est
pourvue d’immenses terrasses interrompues par de très grandes marches angulaires et de très
grandes parois à l’apparence lisse. La structure mesure plus ou moins 75 mètres de long et 25
mètres de haut. Il faudra au moins dix ans pour que les médias relatent la découverte.
La route de Bimini
Le rocher de Dighton
Le rocher de Dighton (Dighton Rock) est un bloc erratique de pierre d'une quarantaine de
tonnes qui se trouvait à l'origine dans le lit du fleuve Taunton, à Berkley (qui faisait autrefois
partie de la ville de Dighton), dans le comté de Bristol (Massachusetts), aux États-Unis. Il est
célèbre pour ses mystérieuses inscriptions, qui ont donné lieu à plusieurs hypothèses sur la
découverte de l'Amérique du Nord.
La tête de Tecaxic-Calixtlahuaca
La tête de Tecaxic-Calixtlahuaca est une tête d’homme barbu portant une sorte de chapeau
pointu, de style romain, probablement fragment d’une figurine en terre cuite, découverte en
1933 dans une tombe précolombienne de Tecaxic-Calixtlahuaca. Elle est considérée comme
un OOPArt et aucune hypothèse expliquant sa présence sur le site n’a encore été confirmée.
Le Pilier de fer de Delhi ou Pilier de fer de Mehrauli est un vestige archéologique et une
curiosité métallurgique se trouvant dans le complexe du Qûtb Minâr dans la banlieue de
Delhi. Le pilier — mesurant plus de sept mètres, en comptant la partie enterrée et le
chapiteau, et pesant plus de six tonnes — a été érigé par le râja Kumaragupta de la dynastie
des Gupta qui régna sur l'Inde du Nord du milieu du IIIe siècle à 535. D'après le professeur
Balasubramanian, le pilier se trouvait probablement à Udaygiri ou Vishnupadagri dans le
Madhya Pradesh, en Inde centrale avant de rejoindre son emplacement actuel. Les historiens
indiens pensent que, conformément l'inscription en pâḷi qu'il comporte, il était surmonté par
un symbole de Vishnou, un chakra probablement, qui a été retiré par les envahisseurs
musulmans. Le pilier aurait été ensuite installé à Delhi par Ânand Pâl, le fondateur du clan
râjput des Tomara en 1052.
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La pierre de Gansu(Chine)
M. Wang Zhilin a trouvé cette pierre (2002) lors de recherche à Mazong dans la zone de
montagne située à la frontière des provinces du Gansu et du Xijiang. La pierre en forme de
poire a une mystérieuse couleur noire. Elle mesure environ 8 x 7 cm et pèse 466 grammes. Le
plus surprenant dans cette pierre c’est quelle comporte un filetage. Ce mystérieux objet a
attiré l'attention de nombreux géologues et collectionneurs. Plus de 10 géologues de
renommées mondiales sont venus étudier la pierre. Celle-ci est ancrée avec une vis et une
barre de métal et est suspectée d'être venue de l'espace.
http://www.judacullarock.com/
Depuis plus de 30 ans, des mineurs extraient d'une mine d'argent en Afrique du Sud, la
Wonderstone Silver Mine, d'étranges sphères métalliques. Ce sont environ 200 sphères qui
ont ainsi été trouvées. Cela n'aurait rien d'extraordinaire si la datation des roches ne remontait
à environ 3 milliards d'années. Ces sphères ou billes ont un diamètre de 3 à 10 cm. Elles sont
composées d'un alliage à base de nickel et d'acier. Cet alliage n'existe pas à l'état naturel.
Certaines de ces sphères possèdent une sorte de coquille. Si on la casse, on trouve à l'intérieur
une substance spongieuse qui se désintègre au contact de l'air. Les sphères ont été extraites
d'une couche rocheuse de pyrophyllite. A l'aide de divers isotopes radioactifs, la datation
géologique de ces roches remonterait entre 2,8 et 3 milliards d'années. En 1979, plusieurs de
ces sphères ont été examinées par J.R. McIver, Professeur de géologie à l'Université de
Witwaterstand de Johannesburg et le géologue Andries Bisschoff. Des experts de la NASA
ont également analysé ces sphères. A ce jour, nul n'est parvenu à fournir une explication
plausible. La composition pourrait être d'origine météorique mais la fabrication n'a rien de
naturelle et semble bien artificielle. Roelf Marx, conservateur du musée Klerksdorp, a
découvert que la sphère qui est exposée dans une vitrine du musée, tourne lentement sur son
axe sans la présence d'aucune vibration extérieure. Il y aurait-il à l'intérieur de ces sphères une
énergie qui fonctionnerait toujours au bout de 3 milliards d'années ? D'autres sphères du
même type auraient été trouvées au Texas en 1997 et dans trois autres Etats. D'où viennent
ces sphères ? A quoi servaient-elles ? L'énigme reste entière.
L’artefact de Coso
Ou se trouve la vérité ?
Nanotechnologie ancienne
A partir de 1991, des prospecteurs d'or, puis des expéditions scientifiques (mandatées par
l'institut central de recherche scientifique de géologie et de prospection de métaux précieux et
non-ferreux de Moscou), ont découvert des objets, métalliques, spiralés pour la plupart, dont
la taille varie de 3 centimètres pour les plus gros à 3/1 000e de millimètre !!!
Des milliers de ces artefacts ont été trouvés sur de nombreux sites dans la partie orientale des
montagnes de l'Oural, sur les rives de plusieurs cours d'eau dans des couches sédimenteuses
datant du pléistocène supérieur, à des profondeurs variant de 3 à 12 mètres. Ces objets ont été
étudiés par l'Académie des Sciences russe de Syktyvka, Moscou et St Petersbourg, ainsi que
par un institut scientifique d'Helsinki en Finlande :
Les plus gros de ces objets sont en cuivre, tandis que les plus petits sont en tungstène (point
de fusion de 3410°c.) ou en molybdène (point de fusion de 2650°c.). En fonction du site et de
la profondeur où ils ont été trouvés, l'âge de ces objets est estimé entre 20 000 et 318 000 ans
!!! L'Institut de Moscou a publié un rapport d'expertise n° 18/485 du 29/11/96 qui conclut :
"Les données obtenues permettent d'envisager la possibilité d'une technologie d'origine extra-
terrestre."
L’avion de Saqqarah
En 1898, on a trouvé dans une tombe à Saqqarah en Egypte, un objet ailé daté de 200 ans av.
J.C. Comme les avions n'existaient pas dans l'ancienne Egypte, il fut répertorié comme
figurine d'oiseau en bois et classé sous le n° 6347 dans le "rayon jouets" au sous-sol du musée
du Caire. Il demeura ignoré jusqu'en 1969, quand le Dr Khalil Messiha qui étudiait les
maquettes des anciens égyptiens, fut intrigué par cet oiseau bizarre. Aux formes
aérodynamiques comparables à nos planeurs modernes. Qui a une queue verticale et non
horizontale. Avec comme inscription : "don d'Amon", le dieu du vent.
Comme l'ont démontré les répliques en balsa qui ont été faites, en y rajoutant une pièce
fendue à l'endroit marqué sur la queue faisant office de gouverne de profondeur. Il est
maintenant étiqueté comme maquette d'avion, ainsi qu'une quinzaine d'autres artefacts ailés, et
a fait l'objet d'une exposition spéciale dans le hall central du musée du Caire en 1972. Il y a 2
200 ans, qui pouvait avoir de telles connaissances aérodynamiques ? A noter que les égyptiens
étaient connus pour faire des maquettes de leurs projets de construction ainsi que des objets
familiers au mort afin de les placer dans sa tombe pour l'éternité. Pour certains, ces "oiseaux"
ne sont que de simples girouettes... indicatrices de la direction du vent, d'où la queue
verticale...
*
Tyron pour la taverne de l’étrange- 24 janvier 2009
Liens :
http://www.ldi5.com/archeo.php
http://tyron29.kazeo.com/
http://secretebase.free.fr/civilisations/technologies/decouvertes/decouvertes.htm
http://www.onnouscachetout.com/forum/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Oopart