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Thermodynamique TD3 TSI 2015-2016

Exercice 1 : Détente de Joule Thomson ℎ  ℎ représentent l’enthalpie massique en


amont et en aval du bouchon.
La détente de Joule Thomson consiste à étudier un
écoulement dans une conduite présentant une paroi Comme dans le cours, l’hypothèse stationnaire permet
poreuse et (ou) un étranglement contrariant le fluide d’affirmer que la masse de fluide dans le bouchon se
dans son écoulement. conserve :

 +  () =  +  ( + ∆)

Et donc  =  soit 
= 
= " = #
∆! ∆!

L’application du premier principe pour la masse étudie


conduit à (avec l’absence de paroi mobile et donc de
travail autre que celui du travail des forces de
pression):

∆ $ + ∆ % = 0
Nous nous placerons dans les conditions d’études
Et donc cette relation est valable pour 1kg de fluide :
suivantes :
 
En chaque point d’un volume de section () ℎ + = ℎ +
2 2
d’épaisseur  de la conduite, on peut affecter une
-

valeur toute grandeur physique. Dans toute la suite nous supposerons l’écoulement
- L’écoulement est stationnaire. stationnaire et homogène (masse volumique uniforme en
- La conduite est horizontale et calorifugée. tout point) : on considère la masse volumique ρ
- On néglige les échanges thermiques internes entre indépendante du temps et de l’espace. Cette hypothèse
tranches de fluide restreint en apparence notre étude aux phases
- L’écoulement est lent, on néglige le travail des condensées idéales cependant on montre qu’un fluide
forces de viscosité entre le fluide et les parois par compressible gazeux peut être considéré
rapport aux autres travaux. incompressible si la vitesse de l’écoulement n’excède
pas 300m/s en régime stationnaire. On peut donc parler

On notera  les pressions, 


d’écoulement incompressible pour un fluide gazeux en

l’écoulement,
 les températures,  les énergies
les vitesses de écoulement stationnaire et homogène.

internes,  et  les volumes et masses associés aux B) Refroidir en détendant

l’instant  une masse donnée de fluide occupe le volume


tranches de fluides situées en amont et en aval. A

homogène, que dire de  et  ?


1) L’écoulement est donc stationnaire et
 +  et à l’instant  + ∆ la même masse occupe
 +  . 2) Soient  et  les sections a priori

Si  <  , que dire de  par rapport à  ?


différentes en amont et en aval du bouchon.

3) Comment est-il possible de refroidir un gaz


supposé parfait ou une phase condensée idéale
fluide avec ce type de dispositif ? Proposer
alors une géométrie pour la canalisation
 ,
 ,  ,  ,
 ,  , assurant un refroidissement.
 ,  ,   ,  , 


implique la conservation du volume et donc  =  .
La conservation de la masse et de la masse volumique

A) Questions de cours :
Si les sections sont différentes alors un même volume
doit se répartir sur deux longueurs différentes et donc
1) Montrer que le régime stationnaire implique la

 <  alors  >  . Nous pourrons justifier ce résultat


être associé à une vitesse d’écoulement différente. Si
conservation du débit massique.
2) Montrer, à partir du premier principe des
ℎ + = ℎ +
 
plus quantitativement avec des éléments de mécanique
 
systèmes fermés que où
des fluides. En effet, pour un écoulement
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volumique "+ définit, pour un écoulement uniforme sur


incompressible, on observe une conservation du débit c) A quelle situation peut conduire le

la section droite , par "+ = , = #


refroidissement d’un gaz ?

Au cours d’une détente de joule pour un écoulement

l’énergie cinétique et l’énergie thermique (car ℎ(


) pour
On comprend alors la possibilité d’échange entre incompressible, la conservation de la section assure le
maintien de la vitesse et dons de l’énergie cinétique :
les GP et phase condensée idéale). Augmenter la vitesse une détente de Joule est donc isenthalpique.
revient à diminuer la température du fluide si la
canalisation se réduit (c’est le cas lorsque l’on expire en Pour un gaz parfait :

∆ℎ = 0 implique également que ∆


= 0.
pinçant les lèvres)

C) Détente de Joule-Thomson
Rq : Avec l’hypothèse adia mec rev, on a une
Au cours d’une détente de Joule, on a  =  mais un
ℎ = . = , = 0.
transformation isentropique et l’identité
bouchon poreux ou un capillaire (tuyau fin) est placé thermodynamique impose Cela

écoulement parfait ≠ gaz parfait)


entre les deux sections. L’écoulement est encore revient à considérer l’écoulement parfait (attention
supposé incompressible.

écoulement pour lequel nous avons ici 0 = 0 :


1) Ecrire le premier principe des systèmes en On utilise le second principe des systèmes en
écoulement pour une canalisation encore

∆ . = .
horizontale.
2) Cas d’un gaz parfait
a) Un gaz à faible pression supposé parfait Avec l’identité thermodynamique :

ℎ ,
pénètre de le détendeur de Joule. Quelle est

1 =1 . + 1 =0

2é!!

sa variation de température ?
b) Dans notre réflexion nous avons négligé le 2é!! 2é!!

travail des forces de frottement du fluide sur


Soit :
les parois par rapport aux travaux des forces

42é!! . = .5é = − 42é!! , = − 42é!! =


de pression. Cependant, ces frottements sont 7829
:9

ln = > ≥ 0 soit  ≥ 
78 9
bien une source d’irréversibilité. Montrer, à
l’aide du second principe, que l’écoulement ne : 9

peut être qu’une détente.


L’égalité traduit le retour a un modèle d’un écoulement
3) Détente d’un fluide réel
parfait

fixant les conditions en entrée, on mesure l’état


 , -
Expérimentalement, avec plusieurs bouchons poreux, en
Pour un gaz réel :

42é!! ℎ = 42é!! @8 
+ 42é!! @9  = 0 et donc 
et
@A @A
de sortie. On obtient le graphe ci-dessous lors de

 peuvent être différents de zéro simultanément. Et


l’étude de transformations isenthalpiques :

une détente peut être associée à un chauffage ou un


@A
@9
refroidissement (il faut connaître le signe de ). Le
graphe fourni montre qu’une détente isenthalpique peut
être associée à la fois un chauffage ou un
refroidissement. Le refroidissement ne s’opérant qu’au
dessous d’une température d’inversion et une pression
minimale donnée.

Il n’est donc pas toujours possible de refroidir par


détente de Joule, mais ce mode de refroidissement
reste une étape finale dans les étapes de liquéfaction
a) Est-il toujours possible de refroidir un
de certains gaz (comme le diazote et le dioxygène).
fluide par détente de Joule ?
b) Dans le cas du fluide frigorigène R134 A,
la température maximale d’inversion
est 1000K alors que pour le dihydrogène
elle est de 200K. Conclure.
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de masse molaire N ≈
30H. OP ; R ≈ 1,5  T ≈ 10U. M . OPJK . On suppose la
D) Etude d’un détendeur de plongée équivalent à un gaz parfait
JK JK

dans des bouteilles à la pression  = 200BCD et


Pour pratiquer la plongée sous-marine, l'air est stockée compression adiabatique et mécaniquement réversible
et on néglige la variation d’énergie potentielle.
nécessite deux détendeurs de type capillaire pour
« oxygéné » le plongeur.

 ,

On conserve les hypothèses précédentes (écoulement

calorifugée et frottements sur la paroi négligés : ℎ ≈


stationnaire, homogène, conduite horizontale

- ,
-
0). Le gaz est ici supposé « réel ».
Le détendeur primaire, placé sur la bouteille, assure la
détente de la haute pression (200 bar) vers une
moyenne pression (10 bar). Un détendeur secondaire,
placé au niveau de la bouche du plongeur, assure la
détente vers la basse pression (1 bar). La première
détente est accompagnée d'une baisse importante de
température. L'air se réchauffe ensuite de manière
isobare en circulant dans le tuyau arrivant jusqu'au
deuxième détendeur. La deuxième détente est 1) On différencie deux types de diagramme pour
pratiquement isotherme, et le plongeur ne ressent pas le traitement thermodynamique d’un fluide en

( 5éV!5 )
une sensation d'air froid lors de l'inspiration. écoulement. Le diagramme de Watt
Tracer ces transformations sur le graphe donné à la fin (point de vue du réacteur :

diagramme de Clapeyron ( ) (point de vue du


du TD. admission, refoulement et compression) et le

gaz : seule la compression d’une quantité


Exercice 2 : Compresseur à air donnée de gaz est représentée). Dessiner ces
deux diagrammes si le fluide à comprimer est
Un compresseur à air fonctionne sur le principe
un kilogramme de gaz.
suivant :

- Une phase d’injection du fluide à comprimer : le


fluide pousse la soupape A et pousse le piston.
- On ferme ensuite la soupape d’injection A et on
comprime le gaz (on diminue le volume de la
chambre en modifiant la position du piston et le
gaz reçoit du travail par le compresseur) Dans le diagramme de Watt, on représente tout le
- Une phase d’éjection du gaz comprimé vers une travail (celui des forces de pression responsable de
autre chambre lorsque la pression du gaz est l’écoulement et celui de la compression). Dans le
suffisante pour ouvrir la soupape R. diagramme de Clapeyron, on ne représente que le travail
de compression. Ce dernier diagramme ne rend pas
compte du travail des forces de pression lors de
l’admission et du refoulement.

2) Justifier que le fonctionnement du

∆ℎ peut être obtenu graphiquement à l’aide du


compresseur soit réversible et montrer que

diagramme de Watt.

un débit permanent " = 100GH. ℎJK dans l’atmosphère à


On va étudier un compresseur qui prélève de l’air avec

la pression  et à la température
 = 300M, et l’envoie
Pendant la phase d’admission, de compression et de
refoulement le gaz n’est pas en déséquilibre avec

 = 10 BCD
comprimé dans un grand réservoir de stockage à
l’extérieur et l’hypothèse GP+mec rev assure que le
pression constante alimentant une
cycle est réversible.
installation industrielle (la vitesse de l’air est nulle dans
l’atmosphère et dans le réservoir). L’air est supposé
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D’après l’identité thermodynamique : ∆ℎ = 49  , ce qui


9

l’état 1 (K = 1BCD,


K = 300M), jusqu’à un état 2 ( ,
 ).
compression adiabatique mécaniquement réversible de
W

correspond à l’air sous la courbe de la fonction ,() qui

(l =  ,
l =
K )
s’identifie au cycle du diagramme de Watt : Un refroidissement isobare est alors amorcé entre

compression jusqu’à l’état 4 (x = 10BCD,


x ). Un nouveau
l’état 2 et l’état 3 puis une
9W
K
  Z
9W 9W J \K
K K
∆ℎ = 1 , = Y Z ,Y 1 = Y Z ,Y [ ]
K 1
Z − +1
refroidissement isobare est ensuite opéré pour revenir
R
9X 9X
9X
R = 1,5.
à 300K. Le gaz sera considéré parfait et le facteur
K
Y Z ,Y ZJK ZJK
=R ^K − Y Z _
isentropique Les refroidissements sont
Z
R−1
effectués au contact d’échangeurs thermiques (aucun
travail échangé pour ces transformations avec le gaz en
ZJK ZJK
Y ,Y K Z T
Y K Z
∆ℎ = R `^ _ − 1a = R `^ _ − 1a
écoulement).
R − 1 Y (R − 1)N Y
1) Exprimer le travail massique total de
compression en fonction de R,
K , N,
9 9y

On a donc :∆ℎ = b (
K −
Y ) = c ∗ = b
Y = W − 1> =
8 9W 9
et
8X
fgW fgW

intermédiaire  = ,
2) Déterminer et calculer la pression
b
Y e= > − 1h = R (ZJK): e= > − 1h
9W f X 78 9W f

9X 9X
conduisant au travail
minimal.
Estimer la température
 de l’air après
z(ℎ) fourni à la fin du TD
3) Tracer les transformations sur le diagramme

compression et la puissance mécanique iVj


3)

4) Comparer ce compresseur à celui de l’exercice

réservoir. On prendra 10K/l ≈ 2


reçue par l’air entre l’atmosphère et le
précédent en utilisant un diagramme de
Clapeyron.
Cette transformation est donc en équilibre mécanique
mais aussi en équilibre thermique interne. L’absence de Pour la première compression :

1−R
TR TR
K K
frottement la rend donc réversible. La transformation
R
cK = (

K) = `^ _ − 1a
N(R − 1)  N(R − 1) 
est donc adiabatique et réversible, nous pouvons utiliser
les formules de Laplace :

 Z = # Pour la deuxième compression :


ZJK = #
KJZ
TR TR l Z
c = (

l ) = `
^ _ −
K a
KJZ
N(R − 1) x N(R − 1) K x

 Z = #
1−R
TR
1 3 R
c = − 1a
Wgf

Donc :
 =
 = >
9 `e h
N(R − 1) 4
f
9

AN :
 ≈ 600M Et le travail est :

Si on considère l’écoulement d’une masse alors, pour ZJK


TR
K x
ZJK
Z 2 Z
c= `^ _ +^ _ − 2a
N(R − 1)  1
cette transformation adiabatique, on a rapidement :

∆($iVj ) = 9 (
 −
 ) = niVj
Il faut ensuite chercher la valeur de , 

Ainsi pour une masse élémentaire oniVj =  + (


 −
 )
minimisant le
travail et donc associé à une dérivée qui s’annule en

D’où : iVj = = " 9 (


 −
 ) = (
 −
 )
pqrst
changeant de signe pour cette valeur :
7uv Z
2! :(ZJK)
JK
c TR
K R − 1 x x Z 1 2 R
−1

= `−  ^ _ + ^ _ a
AN : iVj ≈ −10Gn  N(R − 1) R   1 1

JK
c T
K 1 2 R x 1 x K Z
Exercice 3 : Compresseur multi étagé −1

= ^ _ `1 −  e  h a
Le compresseur précédent présente un défaut : sa  N 1 1  
compression adiabatique mécaniquement réversible
ZJK
c T
K 1 2 R x K
−1
Z
= ^ _ `1 − e  h a
échauffe le gaz ce que ne facilite pas sa compression.
On propose dans cet exercice d’étudier une  N 1 1 
alternative : une compression étagée avec une première
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Donc ,  = {K x et correspond bien à une inversion Exercice 4 : Turbopropulseur à hélice
de signe de la dérivée associée à un minimum.
Une turbine est un dispositif en rotation lorsqu’il est
Donc : traversé par un écoulement et susceptible de
ZJK ZJK
TR
K x Z {K x Z
c= |e h +e h − 2}
transmettre cette énergie de rotation à, par exemple,

N(R − 1) {K x 1
une hélice. C’est sur ce principe que fonctionne certains
turboréacteurs. On peut utiliser les turbines avec un

ZJK
2TR
K x Z
fluide renouvelé en permanence ou dans un circuit

c= `^ _ − 1a
N(R − 1) K
fermé. Dans les deux cas, de l’énergie est récupérée via
un agent thermique subissant les transformations
suivantes toutes supposées mécaniquement réversible.
 ≈ 3BCD et avec le graphe : On suppose également l’écoulement stationnaire, on
néglige les variations d’énergie cinétique macroscopique

K = 1BCD,  ≈ 3BCD, l ≈ 3BCD, K = 10BCD,


Etat 1 Etat 2 Etat 3 Etat 4 et les variations d’énergie potentielle de pesanteur.


K = 300M
 ≈ 450M
l = 300M
x ≈ 450M

On considère l’air comme un gaz parfait, en écoulement


et subissant les transformations cycliques suivantes :


de l’état „(… ,
… ) à l’état †(‡ ,
‡ ). On note
On voit sur le diagramme de Clapeyron que les compression adiabatique dans un compresseur

cK
refroidissements successifs permettent de diminuer le
travail de compression par rapport à une seule le travail massique fourni par le

adiabatique. On comprend alors qu’en se rapprochant compresseur.



combustion) de
‡ à
ˆ . On note ‰ le
d’une compression isotherme avec une multitude de chauffage isobare (échangeur ou chambre à

paliers, on améliore l’efficacité du système (mais en


perd en rapidité car il faut un échange thermique avec transfert thermique reçu par l’unité de

un échangeur pour assurer le refroidissement et le masse.


• détente adiabatique dans la turbine de l’état
# à l’état "(u = … ,
u ) : c’est la phase
système est plus complexe !).

Pour N étapes identiques à celle étudiée, on a (en motrice. On note c le travail massique fourni
remplaçant les facteurs 2 par N) par la turbine à l’air.

ZJK
~TR
K  €Z
refroidissement isobare (dans un échangeur

c= `^ _ − 1a
N(R − 1) K
ou dans l’atmosphère) jusqu’à l’état initial.

… = 1,0C ,
… = 300M, ‡ = 10C ,
ˆ = 1000M,

Le comportement asymptotique de cette fonction est le R = 1,5, N = 30H. OPJK

Représenter le diagramme de Clapeyron ( )


travail isotherme
a)
On peut comparer le travail mis en jeu pour les du cycle décrit par une masse quelconque d’air
compresseurs entre les mêmes pressions initiale et
finale :

ZJK ZJK
 Z 
2 ‚= x > − 1ƒ − ‚= x > − 1ƒ
Z

c !Vi − c K K
=
b
c b 
ZJK

‚= x > − 1ƒ
Z
K

Soit 20% d’économie !


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Le travail fourni à l’hélice est |c | − |cK | = 200GU. GHJK

Le rendement est donc : D = = 0,5


| |J|W |
Ž

e) Comparer le rendement à un moteur


réversible ditherme de Carnot qui
fonctionnerait entre les températures
extrêmes atteintes au cours du cycle.

Le rendement est inévitablement supérieur,


l’irréversibilité s’accompagnant inévitablement d’une
V dégradation de l’énergie supplémentaire par rapport au
cycle de Carnot : DV5! = 1 − = 0,7

Exprimer dans l’ordre


‡ , cK , ‰,
u et c

b)

Cette transformation est donc en équilibre mécanique


mais aussi en équilibre thermique interne. L’absence de
frottement la rend donc réversible. La transformation
est donc adiabatique et réversible, nous pouvons utiliser
les formules de Laplace :

 Z = #


ZJK = #

KJZ

 Z = #

Wgf

Donc :
‡ =
… = Š>
9 f

- Ensuite, il suffit d’appliquer le 1e principe à cet


Wgf

écoulement :∆ℎ = cK = b
… (= Š> − 1)
9 f

e
- On applique toujours le 1 principe en se rappelant

en compte dans l’enthalpie : ∆ℎ = ‰ = b (


ˆ −
‡ ) =
que le travail des forces de pression est déjà pris

Wgf

b e
ˆ −
… = Š > h
9 f

Wgf


u =
ˆ = ‹ >
9 f

-
Wgf

∆ℎ = c = b
ˆ e= ‹> − 1h
9 f

-

c) Faire les applications numériques et estimer


les énergies massiques.


‡ ≈ 600M

cK ≈ 300GU. GHJK

‰ = 400GU. GHJK


u ≈ 500M

c = −500GU. GHJK

d) Quel est le travail fourni à l’hélice. Définir et


calculer le rendement du turbopropulseur
sachant que la turbine fournie de l’énergie au
compresseur pour son fonctionnement.
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