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INTRODUCTION
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content le PDG a adore, la décoration était réussie, le public n’a pas suivi,
le lieu était mal choisi….
C’est le plus souvent ainsi qu’un événement est mesuré, et l’agence ne
maîtrise pas grand-chose : elle fait valoir ses arguments sans disposer de
preuves tangibles. Le fait d’être recontacté pour une autre prestation est le
seul moyen de savoir si l’événement a plu.
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Pour l’ANAE (association des agences conseil en événement et tourisme
d’affaires), un événement est une action de communication ponctuelle,
destinée à marquer les esprits dans un but précis. Présenter un nouveau
produit à la presse, aller à la rencontre de ses consommateurs, motiver sa
force de vente, etc. chaque événement est une réponse unique a une
problématique qui intervient dans la vie d’une entreprise.
Aux cotes du sponsoring ou du mécénat, de la relation publique, du
marketing direct et de la promotion des ventes, l’événement fait partie de
l’univers de la communication hors media qui se démarque des actions
publicitaires.
L’événement est cependant difficile a cerner, car il est multiforme et
s’adresse a tous les publics : internes, cibles ou grand public.
Par sa capacité à transmettre une émotion, il est avant tout un ‘media
chaud’. S’il se nourrit de la dernière technologie, il demeure par essence
profondément et totalement humain. Dans le monde du câble et du virtuel,
l’événement permet de se rencontrer. De tous temps, les hommes ont eu
besoin de se retrouver pour échanger, s’apprécier ou faire la fête, pour créer
entre eux des temps forts.
1) Evolution :
Les événements ont-ils toujours existes ? Oui, bien sur. Mais avaient-ils
déjà dans un passe lointain un rôle précis autre que celui d’exister et de
divertir ? La encore on peut penser que oui. On ne pouvait évidemment
parler de communication événementielle à l’époque.
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Plus près de nous, avec le développement de la civilisation industrielle sont
nés de nouveaux besoins de communication. Pour mieux se faire connaitre,
pour parvenir à imposer des produits, les entreprises ont commencé à
organiser leurs propres manifestations festives, notamment dans le secteur
automobile.
On le voit, les événements ont toujours existés, sous toutes les formes
possibles et inimaginables. Mais la prise de conscience de leur importance
et de leur utilité est très récente. Ils sont aujourd’hui reconnus comme des
opérations spécifiques, constituant un métier propre.
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2) la dichotomie médias/hors medias :
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-Assemblés générales : un exercice difficile ou l'on cherche à transformer
une réunion à caractère légal en un véritable moment d'enthousiasme
partagé.
-Conventions de clients: le moment de tous les enjeux puisqu'il s'agit de
rendre l'effectif l'acte d'achat.
-Congrès: rencontres interprofessionnelles, débats d'idées ou de réflexions
stratégiques pour informer; débattre; échanger; initier, avancer.
-Expositions; stands, salons: Une toute autre forme de face à face ou le
message passe par le parti architectural; le décor; les techniques
audiovisuelles; la démonstration.
C. L’événement, un métier
1) les agences :
a) de la naissance à la maturité :
La naissance des agences d’événements remonte à la fin des années 70, et
trouve sa genèse dans deux faits d’importance :
- L’évolution des besoins de communication : le « tout communication » a
engendré beaucoup d’excès, notamment les entreprises supposant que
communiquer suffisait pour résoudre le manque de notoriété ou les
difficultés en management d’une société. Par ailleurs, la communication est
paradoxalement apparue comme un outil qui éloignait les annonceurs de
leurs consommateurs : la communication directe n’existait pas, et le rapport
humain était complètement absent/
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Un moment clé : la crise de 73 après le choc pétrolier : les entreprise, face
aux difficultés économiques, ont eu besoin de trouver de nouveaux modes
de communication moins chers, plus direct et aux actions « coups de
poing ».
b) De vrais professionnels :
L’activité événementielle s’articule autour de quatre grandes fonctions :
Le projet : le chef de projets est un véritable directeur de clientèle, il est le
grand coordinateur, l’interface entre le client et la production. Il élabore le
projet en réponse aux appels d’offre et le présente en collaboration avec les
commerciaux.
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Les activités commerciales : le commercial exploite son carnet d’adresses
et les retombées des meilleures opérations.
a- La prise de brief :
C’est le rendez-vous avec le client qui marque le début de l’appel d’offres.
Il est très rare que le client convoque simultanément toutes les agences qu’il
met en compétition. En effet, les questions posées par les commerciaux et
chefs de projets durant le brief permettent de disposer de bases solides, en
rapport avec les objectifs de l’entreprise ; or, aucune agence ne prendra le
risque de se dévoiler et de renseigner ses concurrentes dans une réunion
collective.
Le feeling est souvent essentiel. Les relations entre client et agence
commencent dés la prise du brief.
Le brief, qui au final rarement un document écrit et formel, doit contenir les
informations indispensables : type d’événement, historique dans le cas d’un
événement existant-type convention -, objectifs, cible, date, lieu- s’il est
imposé-, enveloppe et date de présentation de la recommandation.
b- La réunion créative :
Cette réunion créative aussi appelée brainstorming peut regrouper beaucoup
de personnes ; dans une petite structure, il est fréquent que tout le monde y
assiste, même les personnes qui ne seront pas amenées à travailler sur ce
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projet. C’est le temps de se retrouver autour d’une table, d’informer tout le
monde du contenu du brief, et de faire fuser les idées.
De plus en plus novatrices, à la recherche perpétuelle de nouvelles
thématiques toujours plus fortes, cette étape est primordiale car c’est le
thème retenu qui fera la différence, plus que les aspects logistiques qui
peuvent toujours être modifiés avec le client.
c- La vente :
Le jour du rendu de son travail, l’agence passe son regard oral. Elle rend
son travail, qui se décompose en deux parties : la recommandation et le
devis.
La recommandation regroupe toutes les données issues de l’imagination de
l’agence (réponse au brief, thématique, aspect logistique, planning, etc.) et
est le véritable dossier qui circulera ensuite dans l’entreprise auprès de tous
les services concernés par l’événement, et auprès de la direction. Etre
original dans la forme dés la recommandation est un souci important des
petites agences ; il faut marquer les esprits, montrer que forme et fond
peuvent s’accorder en pleine cohérence, faire valoir ses capacités artistiques
et esthétiques, et surtout se différencier de la concurrence.
Peu de temps après la présentation, les agences sont prévenues du résultat
de la compétition. Par définition, il y a plus de perdants que de gagnant ;
perdre un projet est donc une étape certes toujours douloureuse mais
normale et banalisée dans la vie d’une agence. Il est alors important de
savoir pourquoi un projet n’a pas été retenu, et de s’inspirer des goûts des
décideurs pour la prochaine consultation. De plus, le simple fait d’avoir
répondu au brief de manière cohérente peut être une garantie d’être à
nouveau consulté à l’avenir.
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En règle générale, les appels d’offre ne sont pas rémunérés. C’est le plus
sensible de la vie en agence, car les moyens dépensés peuvent être
importants en termes de temps certes, mais également en termes de
prestations extérieures (graphistes, scénographes, scripts, etc.)
d- La production :
Une fois le projet gagné, il faut enclencher le processus de productions de
l’événement ; en premier lieu, il faut faire approuver le budget, ce n’est
qu’à ce stade que l’agence peut commencer à gagner des frais (location,
embauche d’intermittents, confirmations de lieux, etc.).
e- la mesure de l’efficacité :
Mesurer l’efficacité est une demande de plus en plus fréquente dans le
secteur de l’événement. Formulé par les clients, à laquelle les agences ont
beaucoup de mal à répondre pour plusieurs raisons : d’une part elles n’en
ont pas l’habitude, il n y’a pas de discipline développée en la matière, au
contraire de l’efficacité publicitaire par exemple ; d’autre part elles ne
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savent pas mesurer des critères propres à l’événement, qu’elles considèrent
comme de l’intangible. De l’éphémère et de l’unique.
Tous les modes de communication possèdent leurs propres spécificités,
leurs propres objectifs, leurs propres spécialistes, et donc leurs propres
méthodes de mesure d’efficacité, on site :
Les médias, l’événement, le sponsoring, les retombées medias, les relations
pressent.
Bien qu'encore au stade de projet, on connait toute fois les grands principes
de l'outil à venir. Le référentiel ANAé /Occurrence repose sur un parti pris:
centrer la mesure sur les effets produits par l'événement, plutôt que sur la
prestation elle-même .Adieu donc les questions classiques sur la qualité de
l'organisation, la beauté de la scénographie, le choix du lieu etc. Autant de
critères certes importants, mais qui doivent servir l'événement plus qu'ils
n'en constituent le fond. C'est ainsi au seul résultat que le référentiel
s'attaque; est c'est sans doute sa plus grande nouveauté.
L'ANAé précise:"d'un diagnostic approximatif et subjectif, on passe ainsi
avec cet outil à une question de toute autre nature: que vaut, en terme
d'investissement, l'émotion générée lors d'un événement?..."
Fort d'une méthodologie rigoureuse, le référentiel ANAé /Occurrence
comprend deux phases:
une mesure de l'efficacité de chaque événement:
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Quelle que soit sa nature, son public, ou son envergure, appréhendé par une
série de huit indicateurs qui correspondent aux spécificités et aux forces du
média événement, parmi lesquels:
-mémorisation
-valorisation personnelle
-évolution de l'attitude et des comportements
Ces indicateurs seront ensuite complétés d'indices de satisfaction, de durée
et de cout ou contact.
un référentiel issu de la somme des résultats recueillis:
Servant de base de comparaison, qui constituera à terme des standards pour
la profession. Dans un premier temps; Occurrence bâtira le référentiel sur la
base d'un panel de 600 personnes réparties sur une vingtaine d'événements
organisés par les agences membres l'ANAé. Chaque mesure d'événement
viendra ensuite enrichir la base du référentiel auquel chacun pourra venir se
comparer, dans sa catégorie.
La normalisation des relations avec le client une fois le projet gagné amène
de plus en plus à considérer l’agence non plus comme un simple
organisateur d’événements, mais comme une agence de conseil en
communication événementielle.
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Cependant, une grande incertitude existe dans le secteur. En effet,
contrairement aux agences de publicité, qui en général gagnent une
compétition non pas sur un projet mais sur tout une orientation, et donc
pour une période longue, l’événement est par définition éphémère et
unique. De plus, il n’existe pas d’exclusivité entre agences et annonceurs en
la matière. Ainsi même lorsqu’un client travaille souvent avec une agence,
tout est remis en cause à chaque nouveau projet.
Conclusion
On le voit donc le Référentiel ANAé/Occurrence a été crée pour répondre à
une demande, formulée de plus en plus souvent par les clients.
Pouvoir s'appuyer sur des données objectives devient pour eux une
nécessité, que ce soit pour faire le bilan d'une opération , évaluer le travail
d'une agence , ou même pour pouvoir argumenter en interne et défendre un
projet auprès des supérieurs récalcitrants.
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A: Présentation du festival
Créée pour offrir au public de Rabat-Salé une animation culturelle d'un haut
niveau, Maroc Cultures, Association à but non lucratif, s'est fixée comme
mission principale de veiller à l'organisation d'un Festival à thème, digne
d'une grande capitale et qui respecte les normes professionnelles en la
matière.
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Ainsi, le Festival Mawâzine-Rythmes du Monde est au rendez-vous
annuellement en mois de mai, dans la ville de Rabat, capitale culturelle du
Maroc.
Le festival se fait l’écho d’une société riche de ses différences avec une
naturelle vocation à l’ouverture. D’où la diversité culturelle des continents
vedettes de chaque édition, tels que l'Afrique, l'Amérique Latine et du
Nord, l'Europe, le Moyen-Orient et l'Asie, l'ambition de Mawâzine étant
d'apporter la joie, l'émerveillement et le divertissement à tous.
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D’année en année, cette rencontre internationale a su relever le défi de
satisfaire et anticiper à chaque édition les besoins et rêves de chacun en
offrant une programmation artistique inégalée.
B: Sponsors et Partenaires :
Sponsors Partenaires
PARTENAIRES
LES CATÉGORIES DE
SPONSORS:
MAJEUR:
OFFICIEL:
PARTENAIRES
INSTITUTIONNELS
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PARTENAIRES MEDIA
OFFICIELS
D: Les cibles :
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Le festival Mawâzine appelé Rythmes du Monde est un événement ouvert à
toutes les composantes de la société, par la diversité de sa programmation
artistique, la neuvième édition confirme l’importance mondiale d'un
rendez-vous musical hors norme.
Une stratégie artistique bien défini a été mise en place pour satisfaire et
combler le rêve de chacun, intéressant ainsi des cibles bien précises des
plus jeunes au plus grands.
E: Le mix marketing :
1) La politique produit:
Génération Mawazine :
L’Association « Maroc Cultures » organise chaque année un concours intitulé
«Génération Mawazine» destiné à découvrir de jeunes formations dans les domaines de la
musique, Cette compétition met en avant la créativité musicale et la recherche rythmique
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des jeunes groupes, c'est une manière de découvrir de nouveaux talents, de jeunes groupes
marocains, en leur donnant la chance de réussir une carrière dans la musique.
Pour intéresser même les plus jeunes, des spectacles pour enfants ont été programmés pour satisfaire
le gout de différents publics, cette programmation a donné lieu a des cirques folkloriques, comme le
cirque de Pierre Fatus, il mime, danse, jongle, joue de sept instruments, et sort de son chapeau un
théâtre excentrique.
Ateliers pour tous âges :
Quatre ateliers ont été programmés et prennent en compte les gouts et âges de différents publics, afin
de les initier à la culture au travers des différents instruments et danses proposés:
Un voyage à travers une prestigieuse collection d'art contemporain, cette exposition est le fruit d’une
étroite collaboration avec la « Source du Lion » et l’Association « Moussem » (dirigée par de jeunes
marocains issus de l’immigration), l’exposition d’Anvers-Mukha constitue une véritable chance pour
les artistes marocains résidents à l'étranger, qui n’ont pas eu l’occasion de se faire connaître auprès
du public marocain.
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Spectacles de rue:
Parmi les produits, les spectacles de rue ont traversé les principales artères de la
capitale, proposant des représentations inédites animées par de célèbres fanfares, le but
est de donner plus de visibilité au festival et de faire participer toute la population de
Rabat, afin de découvrir les différentes cultures.
2) La politique prix
Billetterie
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SCENE ACCES
1- Communication B to B
Cette communication s'adresser au entreprise, et tente a commercialiser les
différents produits qui leurs sont réservés à savoir:
Stands Village: Des stands de 16m² sont offerts aux sponsors
majeurs et officiels, et ils sont en vente pour les autres catégories
de sponsors ou des entreprises,
Chars: qui déambulent dans les rues et qui sont proposées en
branding aux sponsors sous réserve d’un coût
Palissade
Pack TV/Radio
Cette communication repose sur un contact direct avec les responsables
sponsor des plus grandes boites au Maroc: Coca cola compagny, Addoha,
CIH, la poste, Attijariwafabank, CDG, JLEC, Maroc Telecom…
2- Communication B to C
Afin de réussir sa communication media, Maroc cultures a crée des
partenariats avec plusieurs medias, afin de toucher toutes les catégories
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sociales, et cela en sélectionnant les medias les plus prisés que ce soit à
l'échelle nationale ou internationale.
Maroc cultures a choisi de communiquer par le biais de 4 média, en
cohérence avec sa cible:
Télévision, Affichage, Presse, Radio, Internet
a) Télévision
C’est un média de masse très puissant, 82% de foyers en sont équipés, et
75% des marocains la regarde chaque jour, c'est un media qui:
Maroc cultures, a mené une campagne publicitaire en trois mois et en trois
phases, et le lancement de la première phase a débuté le 20 mars, sous
forme de spot de 30 secondes, et était purement institutionnelle, la
deuxième phase a commencé le 15 avril pour être à la fois institutionnelle
et commerciale et cela en communiquant à la fois l’aspect accessible/gratuit
du festival, ainsi que la partie payante, pour enfin lancer des la deuxième
semaine de mai, une campagne commerciale agressive.
Partenaires du festival: 2M et la SNRT.
b) Affichage
Maroc cultures a choisi pour le festival un Format : 4x3 pour une meilleure
lisibilité et une plus forte accroche, ainsi que des oriflammes Mawâzine
affichés dans les quatre coins de la ville, et cela pendant une durée de trois
mois.
Partenaire: FCom
c) Presse:
L'information sur le festival a été relayée de façon très satisfaisante par la
presse écrite, sous la forme d'avant papiers. Les grands journaux « Al
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Ahdath Al Maghribiya», « Aujourd’hui le Maroc», « le Matin», « Femme
du Maroc », « La vie éco », … ont consacré plusieurs articles sur le
déroulement du festival, afin de toucher différentes cibles, la presse
internationale a elle aussi était au rendez vous, "lecturas", "el mundo", "le
journal de dimanche"….
d) Internet:
Internet est un média en augmentation d'audience, et de crédibilité, c'est
pour cette raison que Maroc cultures a crée un site internet en trois langues
différentes: Français, Espagnol, et Anglais, pour communiquer toutes les
informations liées au festival a différent public, un site qui assiste
parfaitement les internautes dans leurs recherches et leurs permet d'acheter
directement les tickets des différents concerts, le site:
www.festivalmawazine.ma
e) Radio:
Le festival a bénéficié cette année d'un très bon relais de la presse radio,
avec des interviews sur les ondes des radios nationales et internationale,
Medi1 radio, Hit Radio, Atlantic Radio, Beur FM…, Plusieurs interviews
ont été réalisées avant et pendant le Festival avec les organisateurs, et les
artistes du Festival. Le festival a bénéficié également de la couverture
médiatique de plusieurs émissions de radios.
4) La politique distribution :
Maroc cultures distribue ses produits culturels sur des scènes stratégiques,
chaque scène appelle un a style d'artistes bien défini et a une cible bien
déterminée, les scènes ont été sélectionnées dans des endroits stratégiques
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de la ville pour accueillir près de 100 spectacles, et pour toucher la majorité
de la population Rbati, Par leur Diversité:
- des Artistes : Internationaux, Marocains, Moyen Orientaux.
- des genres : Musique Classique, Rock & Pop, Danse, DJ, spectacles
pour enfants.
- des cibles : Adultes, Adolescents, enfants
les spectacles ont été distribués sur cinq grandes scènes ainsi que trois
petites et moyennes:
• Chellah:
C’est dans la féérie de ce lieu chargé d’histoire et de sens que s’illustrent
depuis 9 ans les plus belles mélodies venues du monde entier. L’histoire et
l’aura de ce lieu en font un écrin de prestige pour les artistes qui étaient
présents.
Conclusion :
La deuxième partie a traité tout d’abord les outils marketing du festival
Mawazine, au niveau stratégique et opérationnel, décrivant ainsi les atouts
de cet événement, son mix marketing,….
Conclusion
Aussi bien à destination d’un public ciblé que des médias, la
communication événementielle se distingue par son caractère dynamique et
sa brièveté dans le temps contrairement aux principes de l’exposition pure
et simple davantage installée dans la durée. L’événement qui en résulte
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induit en principe, des retombées presse aussi bien qu’un marquage
inaugural ou le relèvement de l’image de marque. Une des originalités de la
communication événementielle consistant précisément à focaliser l’intérêt
des consommateurs et des médias, en les faisant participer à l’événement
proprement dit.
Bibliographie et source:
Ouvrage:
-l'événementiel, une communication sans limites ou presque –William
perkins, histoire d'être 2003
- le marketing événementiel –jacques stocquant, les éditions de
l'organisation, 1991
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-l'événement : la communication du XXiéme siècle –sous la direction de
Lionel couchan & Frédéric bedin ; LPM, 2000
-La communication événementielle, Arnauld de moulin de labarthéte,
démos 2001 guide pratique à l'usage des organisateurs de colloques,
journées d'études, séminaires –dominiques tissoires, édition de puits fleuri
2002
- le communicator , 2éme édition marie éléne
Sites internet:
www.anae.org
www.evenements.enligne-fr.com
www.bedouk.fr
www.evenements-hebdo.com
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