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QUESTIONS
I- COMPREHENSION DE L’ECRIT :
1. El-Oued est :
• Une île entourée d’eau
• Une région
• Une oasis
• Un jardin planté de palmiers
Choisissez la bonne réponse. Justifiez votre réponse en relevez une expression du texte.
2. « El-Oued tire ses ressources de l’artisanat, de l’agriculture et du tissage. »
Relevez du texte les productions citées qui correspondent à chacune de ces activités que vous
présenterez comme suit :
3. « Des doigts que l’on suce avec le même plaisir gourmand qu’un enfant qui se barbouille de
confiture ».
« Savoir-faire des commerçants qui vous offrent haïks de soie ou de laine et tapis à Guemar. »
1
Réécrivez la phrase en commençant ainsi : « Les jardins ……………………………. »
6. Complétez le paragraphe ci-dessous avec les verbes pris dans la liste suivante :
7. Choisissez parmi les titres suivants celui qui convient le mieux au texte :
Sujet 1 : Vous avez visité un lieu. Décrivez-le puis donnez vos impressions sur ce que vous avez
vu et entendu au cours de votre visite ou de votre entourage.
Sujet 2 : Voici des éléments d’information concernant le quartier de la Casbah. Rédigez-les sous
forme d’un mini-reportage.
La Casbah :
• Maisons carrées, collées les unes aux autres, dédales de ruelles, lieu de résistance durant la
bataille d’Alger.
2
• Monuments historiques : Mosquée Ketchoua, palais du Dey, Amirauté
3
Sujet 2 :
Texte :
Ici, à Annaba, le tourisme a de beaux jours, hôtels luxueux, villas cousues et aménagement de zones de
villégiature voient le jour.
Les plages en été, et même au printemps, demeurent les lieux incontournables afin d’échapper au stress du
quotidien. Prendre des couleurs, se dorer au soleil, s’adonner aux joies de la baignade, admirer le coucher du
soleil…, les gens d’ici ne s’en lassent jamais. Et comme tous les estivants qui préfèrent les eaux calmes de la
méditerranée, ils s’en donnent à cœur joie.
La ville a aussi son charme. Son point de départ est le cours de révolution, ou tout s’organise. Agréable
promenade de 500 m de long plantées de ficus, jalonnée de squares, des jardins et de parterres fleuris et bordée de
maisons à arcades et de magasins, elle joint le quartier administratif ( wilaya, poste bibliothèque, APC) à l’un des
bassins du port de la gare.
Cette promenade très fréquentée, surtout le soir, fait penser aux fameuses Semblas de Barcelone. On y
déambule, tantôt on s’attarde sur des vitrines, tantôt on préfère s’attabler autour d’une glace ou autour de
rafraîchissements.
Par Amel Bakhouche,d’après « Melisse Nour »2002
Questions :
1/ COMPRÉHENSION (14PTS)
3- Relevez du texte quatre (4) mots qui appartiennent au champ lexical de l’ « été ».
6- Que remplace chacun des pronoms soulignés dans les phrases suivantes :
4
7- A qui s’adresse l’auteur ? Quel est son objectif ?
Sujet :
« Rédigez un court paragraphe dans lequel vous présenterez une ville ou un lieu que vous avez
visité et vous aimeriez faire découvrir. »
5
Sujet 3 :
Texte:
Tôt le matin, Ghardaïa est une machine qui s'emballe, même les touristes ont l'air très affairés. La place du
marché regorge déjà de monde. Sous les arcades, les marchands de produits artisanaux attendent le client dès
l'aube, leur commerce est fait d'autant de sens des affaires que de patience, les légumes en vente se comptent sur
les doigts d'une seule main : truffes, betteraves, salades vertes autrement que de jouer avec le feu.
Sommaires préparatifs et l'on saute dans la camionnette. La rue s'élève au dessus de la ville. Une œuvre à
graver dans la rétine « Une vue grandiose qu'on peut qualifier d'unique du monde, sans aucune exagération »
écrivent des spécialistes du tourisme. Béni Izguèn au premier plan, la cité et la palmeraie à ses côtés Mélika
légèrement à droite et Ghardaïa au fond de la vallée.
L'erg arriva plus tôt que l'on s'y attendait. A perte de vue il n’y a qu'un interminable plateau pierreux. Soleil de
plomb, l'eau irréelle vacille dans la fournaise, la route mène à la survie.
; un fait divers -
3-" L'erg arriva plus tôt que l'on s'y attendait " Le mot souligné signifie :
6
6-Relevez du texte :
(A) (B)
7
d-Chaleur infernale
« Lors de vos vacances, vous avez découvert un lieu qui vous a particulièrement séduit. »
Texte :
Le Hoggar, insolite et immense, est considéré comme un carrefour du monde Arabo-berbère et africain depuis
les temps les plus reculés. Actuellement, porte ouverte sur un tourisme qui n’a pas de semblant dans le monde :
circuit et expéditions comportant des marches à pied, des étapes à dos de chameaux, des bivouacs en plein air,
ainsi que des paysages des plus troublants. Au Hoggar, vous pourriez venir pour découvrir ou admirer l’un des
plus beaux et merveilleux couchers de soleil, ainsi, plusieurs heures avant ce moment, les touristes escaladent le
mont Assekrem qui s’ouvre sur l’un des plus beaux paysages.
L’autre grande curiosité du Hoggar est constituée par ces paysages grandioses, tourmentés et rudes. Des
gorges profondes se fraient le passage au milieu d’interminables plateaux et collines de grès d’un jaune ocre, ou
d’un gris sombre. Des hublots de l’avion, les plaines et les montagnes du nord s’estompant peu à peu pour laisser
place à ces grandes étendues désertiques. A partir de cet instant, le touriste aura l’impression de vivre un rêve. Il
n’ y a pas de doute : nous pénétrons dans le sud algérien comme dans un songe. Sincèrement, ce ne sont pas les
curiosités qui manquent dans cet endroit féerique, d’un coin à l’autre, on ne se lasse guère de partir à la conquête
de cette terre vierge. N’est-il pas merveilleux de contempler tous ces pics admirablement parsemés dans la nature
et les creusés dans le sol qui offre l’image d’un univers lunaire ? Nous ne serons rester indifférents devant un tel
spectacle. Cependant, le Hoggar, ce n’est pas seulement cette carte postale sur laquelle ce fixent les pellicules des
touristes. Mais c’est également la conquête et la découverte du passé « des hommes bleus » dont l’histoire se
confond avec ces chaînes des montagnes.
Si le terme « Sud » fait naître dans l’esprit de ceux qui ne l’ont jamais connu des images de chaleur , de
sécheresse d’un univers torride sans eau , ni ombre , il constitue pour les initiés un des plus envoûtant sites
auxquels on ne saurait rester indifférent . Pour partager des moments exaltants pour le goût du voyage et de
l’aventure, l’entreprise de gestion touristique de Tamanrasset spécialiste du Hoggar vous attend .
Soraya GHEZLANE
: QUESTIONS
: I- COMPRÉHENSION DE L’ÉCRIT
: Ce texte est -1
; un fait divers -
Ce ne sont pas les curiosités qui manquent dans cet endroit féerique. » L’expression » -2
: soulignée veut dire
.a- Cet endroit effroyable
.b- Cet endroit céleste
.c- Cet endroit horrible
.d- Cet endroit modeste
.e- Cet endroit merveilleux
.Donnez les deux bonnes réponses
Complétez le tableau suivant en relevant dans le 1er paragraphe(4 )expressions qui montrent -3
.l’importance du Hoggar au plan Historique et au plan touristique
Hoggar de par le passé Hoggar actuel
.Le touriste aura l’impression de vivre un rêve. » Relevez du texte un synonyme du mot rêve » -4
Relevez du texte l’expression qui montre la ressemblance existante entre le Hoggar et « la -5
« Lune
Dans quel objectif l’auteur a-t-il écrit son texte ? Justifiez votre réponse en relevant une phrase -6
.du texte
.Donnez un titre au texte. Justifiez votre choix -7
.Relevez du texte une comparaison et précisez les éléments qui la composent -8
Vous avez visité un lieu qui vous a particulièrement plu. Parlez-en dans un texte de 12 lignes
.depuis l’arrivée jusqu’au retour
: Sujet 5
Texte:
Nous fîmes notre entrée à janina. II fallut tout de suite deviner que janina signifiait jardinet, diminutif de «
jenan » qui est « le jardin » en arabe, en turc, en kabyle. Les beaux platanes de ce jardin se mirent dans un lac
splendide, de même qu’un palais mauresque avec un minaret très fin, très élégant et très haut. C’est là, nous
expliqua-t-on, le palais du pacha Ali un pacha des mille et une nuit qui gouverna jadis la région.
Janina recèle tous les charmes d’une petite ville de province, un peu vieillotte Et endormie mais pleine de
santé et de confiance comme une paysanne naïve qui n’attend rien de personne. A la terrasse des cafés, on peut
regarder les passants tuer le temps comme tous les consommateurs, on peut écouter la musique au rythme lent et
se voir offrir le spectacle des danses locales. Cela ne dépend que du hasard. Dans la rue, on côtoie tout le peuple
de la ville, apparemment heureux de vivre en dehors, en foule.
Oui, c’était bien là une ville de province accueillante ou il n’y avait de curieux que cette soudaine apparition
d’experts internationaux qui eurent vite fait de se confondre avec les gens de la ville et qui passèrent inaperçus
dés qu’ils eurent fini de parcourir la grand-rue.
I / Compréhension :
- Un Journaliste.
- Un historien.
- Un sociologue.
3- Relève dans le premier paragraphe la phrase qui montre que janina a appartenu jadis
aux musulmans.
4 - Parmi les titres suivants, choisis celui qui convient le mieux au texte :
« A la terrasse des cafés, on peut regardes les passants tuer leur temps… »
6- « …jadis, le pacha gouverna la région » Réécris, la phrase en remplaçant le mot souligné par «
aujourd’hui ».
« janina est comme une paysanne naïve qui n’attend rien de personne »
Texte:
Momo* avait retrouvé sa belle assurance dès notre arrivée à Tamanrasset. Il nous a emmené dans des coins
d'une beauté extrême. Paysages à couper le souffle, rochers ciselés sur le sol sableux, quelques dunes
s'accumulant sur les parois, des peintures rupestres et gravures, des "cailloux" partout, bivouacs de rêve. Et pas
un seul touriste en dehors de nous... C'était magnifique, et je confirme, le plus beau des déserts est en Algérie.
Retour à Tamanrasset, encore, où nous sommes donnés une journée pour jouer les touristes (mais nous
étions les seuls en ville). Visite du musée de l'artisanat, des boutiques, thé à la terrasse des cafés, marché pour les
fruits et légumes, et puis aussi les pleins*
Accueil super sympa des commerçants, des passants dans les rues qui disent "bonjour" pour dire bonjour, et
non pas pour essayer de nous refiler quelque chose comme en Tunisie et au Maroc... Les prix dans les boutiques
de souvenirs pour touristes ne sont pas exagérés, à peine multipliés par deux pour permettre le plaisir de la
négociation... Quant au marché, dans les restaurants ou dans les boutiques pour les algériens, les prix sont les
mêmes pour nous comme pour eux.
QUESTIONS:
I- COMPRÉHENSION DE L’ÉCRIT :
3) Qui est le narrateur dans ce texte? Quelle est la marque qui le désigne dans le texte?
- Remplacez le pronom personnel "nous" par le pronom personnel "je" et faites les
transformations nécessaires.
II- PRODUCTION ÉCRITE: Utilisez les informations suivantes pour rédiger un reportage
touristique sur la ville d'In Salah:
Parmi ses villages: IGosten (20 km de In Salah – le village le plus ancien), Hasi lahdjr, Essahla,
Inghar.
Sujet 7 :
En Août 1806, il est en Grèce et découvre le Cap Sounion (ou Sunium), promontoire situé à 50 km d'Athènes, à
l'extrémité sud-est de l'Attique et au sommet duquel se trouvent les ruines du temple de Poséidon.
Je faisais ces réflexions à la vue des débris du temple de Sunium : ce temple était d'ordre dorique1, et du bon
temps de l'architecture. Je découvrais au loin la mer de l'Archipel, avec toutes ses îles : le soleil couchant
rougissait les cotes de Zéa et les quatorze belles colonnes de marbre blanc aux pieds desquelles je m'étais assis.
Les sauges et les genévriers répandaient autour des ruines une odeur aromatique, et le bruit des vagues montait à
peine jusqu'à moi.
Comme le vent était tombé, il nous fallait attendre une nouvelle brise pour partir. Nos matelots se jetèrent au
fond de leur barque, et s'endormirent. Joseph2 et le jeune Grec demeurèrent avec moi. Après avoir mangé et parlé
pendant quelque temps, ils s'étendirent à terre et s'endormirent à leur tour. Je m'enveloppai la tête dans mon
manteau pour me garantir de la rosée, et, le dos appuyé contre une colonne, je restai seul éveillé à contempler le
ciel et la mer.
Au plus beau coucher du soleil avait succédé la plus belle nuit. Le firmament répété dans les vagues avait l'air
de reposer au fond de la mer. L'étoile du soir, ma compagne assidue pendant mon voyage, était prête à disparaître
sous l'horizon ; on ne l'apercevait plus que par de longs rayons qu'elle laissait de temps en temps descendre sur
les flots, comme une lumière qui s'éteint.
Par intervalles, des brises passagères troublaient dans la mer l'image du ciel, agitaient les constellations, et
venaient parmi les colonnes du temple avec un faible murmure.
Toutefois ce spectacle était triste, lorsque je venais à songer que je le contemplais du milieu des ruines.
Autour de moi étaient des tombeaux, le silence, la destruction, la mort, ou quelques matelots grecs qui dormaient,
sans souci et sans songes, sur les débris de la Grèce.
(1) L'ordre dorique est le plus ancien et le plus sobre de l'architecture grecque.
(2) Joseph est un Milanais que l'auteur a pris à son service comme interprète.
QUESTIONS
1. a- Qui raconte et à quelle personne est faite la narration ?(Justifiez votre réponse)
a. Description de la mer
5. Recopiez le deuxième paragraphe en transformant les verbes selon les consignes suivantes.
Constellations, soleil couchant, silence, île, brise, destruction, mort, étoile de soir, vague,
tombeau, firmament, côtes
a. La présence de la mer
7. a. Quel est le rapport introduit par la structure "comme" dans la phrase suivante :
" Comme le vent était tombé, il nous fallait attendre pour partir une nouvelle brise …".
Sujet 1
� Champ d'observation
� Point de vue
Sujet 2
Choisissez un de ces pays, ou une autre région que vous avez visité et racontez votre voyage.
Votre texte doit comprendre un passage descriptif et vous devez reproduire l’impression
dominante.
Sujet 8 :
Le peuple thaï a fait la Thaïlande ; il l`a faite grâce au Ménam, le fleuve heureux, et à de vastes terres
transformées en rizières inondées.
Bangkok n`a pas échappé à l`envahissante présence occidentale, et pourtant même dans le quartier le plus
moderne comme l`avenue Raja Damno, la déception du premier contact disparaît. Atmosphère originale et méli-
mélo de couleurs orientales. Par endroits, des buildings avec murs blancs ; des enfants, petits, pruneaux aux yeux
bridés courent et gesticulent, des femmes, souriantes derrière leurs marchandises, rivalisent d`ingéniosité pour
attirer la clientèle et semblent se moquer du supermarché voisin ; des familles, installées sur le trottoir, partagent
un frugal repas.
Bangkok, peuplée dans sa majorité de Thaïlandais, abrite également un nombre important d`immigrés
chinois groupés dans les quartiers commerçants. Les rues sont de véritables bazars où l`on trouve selon les
boutiques des petits pots de porcelaine, des ustensiles de cuisine ou de vieilles revues déchirées. Mais quittons
Bangkok et partons pour la véritable Thaïlande, celle que le touriste des voyages organisés à grandes étapes ne
verra pas, Ayuthia, qui est l`ancienne capitale du Siam et qui fut une ville si active au 17ème siècle.
Nous embarquons aux portes de la ville et quittons alors la terre ferme où l`occident a voulu accéder pour
glisser sur l`eau boueuse du fleuve. Tous les bruits, toutes les poussières de la ville disparaissent comme par
enchantement. Le canal se rétrécit peu à peu et commence à s`enfoncer dans la merveilleuse végétation tropicale :
palmiers, cocotiers, manguiers nous abritent du soleil ardent et forment comme un tunnel. De la petite
embarcation, il n`y a qu`à tendre la main pour cueillir les plus belles fleurs sauvages et s`en faire des colliers. Là,
dans ce cadre enchanteur, où la campagne se libère de la ville, vit la population des Klongs. Sur chaque berge de
l`étroit canal, se dressent, du haut de leurs pilotis, des petites constructions en bois.
Des enfants, à moitié nus, la figure barbouillée de craie saluent et sourient au passage chaque bateau. Sur
les marches qui montent à une terrasse, une mère plonge son enfant dans l`eau grise du fleuve ; un pécheur tire
sur un immense filet tendu au-dessus de l`eau ; une jeune fille lave la vaisselle. Toute une petite vie s`organise au
bord des canaux : boutiques encombrées de toutes sortes de produits, pompes à essence, restaurants sont installés
sur les berges. La population est pauvre mais pas misérable : ce n`est pas l`univers angoissant de la survie.
QUESTIONS :
c) … et pourtant même dans le quartier le plus moderne comme l`avenue Raja Damno, la
déception du premier contact disparaît. »
3. Classez les qualifiants suivants comme il convient dans le tableau ci- dessous :
(01.5 pt)
Bangkok Ayuthia
Sujet 02 : Rédigez un texte publicitaire dans lequel vous inciterez des touristes étrangers à visiter
une ville algérienne de votre choix.
Sujet 9 :
Texte :
Annaba, le joyau de l’Est Actuellement, pôle économique de l’est du pays avec son complexe sidérurgique et
son port, Annaba a d’autres atouts : le charme de son site adossé au massif forestier de l’Edough couvert de
chênes liège, espace de verdure qui va à la rencontre de la Méditerranée.
Ici, à Annaba, le tourisme a de beaux jours, hôtels luxueux, villas cossues, aménagement de zones de
villégiature voient le jour.
Ses plages en été, même au printemps, demeurent les lieux incontournables afin d’échapper au stress du
quotidien. Prendre des couleurs, se dorer au soleil, s’adonner aux joies de la baignade, admirer le coucher du
soleil…, les gens d’ici ne s’en lassent jamais. Et comme tous les estivants qui préfèrent les eaux calmes de la
Méditerranée, ils s’en donnent à coeur joie.
La ville a aussi son charme. Son point de départ est le cours de la Révolution, où tout s’organise. Agréable
promenade de 500m de long plantée de ficus, jalonnée de squares, de jardins et de parterres fleuris et bordée de
maisons à arcades et de magasins, et joint le quartier administratif (wilaya, poste, bibliothèque, APC) à l’un des
bassins du port et à la gare.
Cette promenade très fréquentée, surtout le soir, fait penser aux fameuses remblais de Barcelone.
I- COMPRÉHENSION DE L’ÉCRIT :
1. Relevez du texte une expression qui montre qu’Annaba est une ville industrielle.
2. « Annaba est une ville du littoral algérien » Relevez un mot et une expression qui renvoient au
terme souligné.
4. Relevez du texte :
Complétez ce passage par des adjectifs qualificatifs, des CN, des relatives.
Il fait beau et le ciel est d’un beau bleu. Juste au dessous du soleil, un aigle ….. survole la
montagne.
Au bout de quelques instants, il pique droit sur les rochers……… : il vient de s’abattre sur un
mulot. L’aigle redéploie ses ….. ailes et regagne son royaume avec le…….. rongeur……….
D’ici, la vue est……………….. Sur la droite, les Babors sont……… l’été et…….. l’hiver.
Babors : montagnes
Sujet 10 :
QUESTIONS
2. L’auteur du texte a-t-il déjà visité l’Égypte ? Justifiez votre réponse (1.pt)
-Entrain d’écouter
-Entrain d’admirer.
Égyptien/richesses/intact/Toutankhamon/pharaons/heures
7- Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage. Qu’exprime le terme souligné ? (1pt)
a-Après tout, les pyramides font partie des 7 merveilles du monde et c'est la seule merveille que
l'ont peut encore observer alors pourquoi s'en priver ?
b-La pyramide de Khephren qui a gardé son faîte de pierres lisses et blanches.
c-Vendredi 5 décembre 2008 Mercredi, déjà le jour du départ. Notre avion décolle à 16 heures,
nous avons donc le temps de faire quelque chose ce matin.
Vous avez invité votre ami étranger à visiter votre ville. Racontez.
Sujet 11 :
Texte :
Séville, Ichebilya, c’est à la fois la douceur exquise des jardins de l’Alcazar, la grandeur majestueuse de la
Giralda, le minaret de la grande mosquée, symbole de la ville ; c’est aussi la beauté austère de la cathédrale
échouée tel un bateau sur les rives du Guadalquivir, et le frais quartier de Santa Cruz blanc et fleuri, sous un Ciel
bleu et intense.
Vous ne finirez jamais de découvrir cette ville andalouse par excellence ni, les hommes qui y vivent et en qui
se mêlent l’extrême politesse et la séduction ancestrale « Séville est la ville qui a vu naître Don Juan, symbole de
l’esprit espagnol tout entier, fier et passionné… » nous dit avec orgueil le cocher qui nous conduit à travers la
ville dans sa calèche aux rutilants chevaux.
Séville, nous l’avons découverte au printemps, quand l’air embaume encore le parfum des orangers. Elle
surgit de la plaine andalouse, sur les bords du Guadalquivir, le grand fleuve des arabes, ce fleuve dont on dit qu’il
a été créé pour elle et qui fait d’elle la capitale de l’Andalousie.
C’est sa situation privilégiée qui, dès l’antiquité, a favorisé « le développement de cette cité conquise par les
arabes en 712, elle conserve encore de splendides monuments que l’on peut admirer aujourd’hui » D’abord la
Tour de l’or plantée telle une Vigne sur les bords du fleuve. Ensuite la Giralda, joyau de l’art musulman qui date
de 1184 et s’élève à plus de 97 mètres. Enfin l’Alcazar, célèbre lieu de résidence des Califes de Séville, résultat
de plusieurs siècles d’activité architecturale, où s’expriment les traditions esthétiques arabo-andalouses.
Jardins magnifiques, bâtiments princiers, synthèse étonnante de l’art arabe et de l’art occidental.
C’est cela Séville qui, avec ses carrefours fleuris vous laissera une foule d’impressions inoubliables. C’est
cette ville étrange, intime et ardente que le voyageur cherche, elle ne le déçoit jamais.
QUESTIONS :
I- COMPRÉHENSION DE L’ÉCRIT :
2. Relevez du texte :
Le cocher nous a dit : « Séville est une ville qui a vu naître Don Juan ».
b) « … la séduction ancestrale »
9. Complétez le tableau suivant à l’aide d’une comparaison et d’une métaphore contenues dans le
texte
II- EXPRESSION ÉCRITE : Présentez en une dizaine de lignes un lieu que vous avez visité et
que vous avez particulièrement apprécié.
Sujet 12 :
Texte :
Jordanie pays aux trois climats et aux milles et une séduction .Beautés naturelles et richesses architecturales
y alternent et s'y confondent .Géographique et Histoire sont les meilleurs guides pour la visiter. "Ici ; nous a
déclaré un jeune étudiant, nous sommes à l'un des carrefours du monde oÙ ; depuis des millénaires, les
civilisations s'affrontent, se mêlent et se superposent. La mémoire d'une bonne partie de l'humanité est concentrée
sur cette terre qui a vu défiler peuples et conquérants. Notre visite commence par Amman, la capitale du royaume
hachémite ; Amman creusent vivant vibrant, bruissant, odoriférant, où côtoient bédouins et citadins, Européens
venus en touristes ou en coopération, l'architecturent est pas moins variée puisqu'elle va du théâtre romain à l'art
musulman et turc, illustré par de merveilleuses mosquées, la mosquée bleue et celle d'Abu Darwish.
Après Mabada ; royaume des mosaïques byzantines et Djaraché, l'antique Gerasa, site archéologique
impressionnant, nous arrivons, en allant toujours vers le sud, à Pétra, l'unique double chef d'oeuvre de la nature et
de l'homme. Décor féerique, inoubliable. Puis, c'est Aquaba et Songolfe .Site antique ou débarqua, comme le
racontent les livres sacrés, la reine de Saba, la fameuse Balkis du coran avec de grandes richesses destinées au roi
Saloman, Aujourd'hui, c'est un important centre économique et une station balnéaire très agréable.
Non lion d'Aquaba, la vallée Saharienne de Wadi Ram, traditionnel passage des Bédouins et des caravanes
entre l'Arabie et le Hidjaz. La plaine de sable offre à nos regards émerveillés d'étranges mirages pétrifiés et nous
laissons, peu à peu, imprégner par la poésie de la lumière et les couleurs du soleil couchant.
QUESTIONS
1. COMPRÉHENSION
3) la description se fait :
D’Est en Ouest
6) "Ici ; nous a déclaré un jeune étudiant, nous sommes à l'un des carrefours du monde ; où ;
depuis des millénaires, les civilisations s'affrontent, se mêlent et se superposent……"
7) Relevez du texte deux subordonnées relatives, et dites pour chacune si elle est .déterminative
ou explicative
8) Relevez du texte les mots qui permettent de reconstituer l'itinéraire suivi par les visiteurs
Texte :
Balade à l’Assekrem
On ne le connaît pas encore qu’on l’aime déjà. Et quand on le découvre, on ne veut plus s’en
défaire. Rien que pour le plaisir on revient toujours le voir. L’Assekrem envoûte et charme. Au
naturel.
Une grande habitation de pierre nichée à son pied est entourée de véhicules. Le refuge des
touristes est à l’heure du déjeuner. Peu de monde.
En une demi-heure les 2700 mètres d’altitude sont atteints. Au sommet, un froid cingle le
visage. Sur le plateau immense, une impression d’infini fait marcher et encore marcher jusqu’à
épuisement. Le bonheur est là sous les pieds et en face des yeux. Au loin, plus rien. « Nous
atteignons le point culminant de la région. Admirez la féerie de ce paysage lunaire. N’est- ce pas
hallucinant ? » Nous dit un des responsables qui nous accompagnait.
Le soleil qui s’apprête à partir tisse une couverture phosphorescente dans le ciel et borde le
Hoggar d’un arc en ciel. Le mauve doucement descend sur le rose, entoure le rouge, borde le
violet, agrémente le marron aux contours orangés. L’Ahaggar ainsi enveloppé garde longtemps
une teinte nuancée jusqu’à faire de la rocaille une verdure et des montagnes des ombres colorées.
Horizons : 29-3-1989
QUESTIONS
1. COMPRÉHENSION :
- L’immensité du désert ?
6- Relevez du texte :
- Un adjectif qualificatif
- Un complément du nom :
7-« Le soleil qui s’apprête à partir ….» Retrouvez l’expression équivalente.
Sujet 14 :
Nous prenons au départ de Casablanca, le train rapide à destination de Marrakech. Trois heures plus tard, la
perle rouge du sud nous souhaite la bienvenue. Notre première impression, si intense tient simultanément du
baiser et de la gifle. Si Marrakech< est rouge, c’est non seulement par la couleur de ses murs mais surtout
d’émotion. De la gare, en traversant Gueliz un quartier de la ville moderne, nous nous dirigeons vers la place
Djemâa El-fina, au centre de la médina ; là rêve Marrakech, s’initie son mystère et se cultive son amitié : «
Chroub ou chouf ». Nous nous désaltérons et puis nous regardons : magiciens Gnaouas dont la musique s’inspire
du sable et ressemble aux tatouages. « Il n’y a pas de ville comme Marrakech », nous confie un habitant.
Jongleurs, charmeurs de serpents, gamins entreprenants qui essayent de vendre des colifichets, diseuses de
bonnes aventures, là un monde en rétribue un autre et le divertit, et même si les mains sont tendues, les bras
restent grands ouverts, et le cœur tenace.
Le grand Youcef Tachfin fonda Marrakech en 455 de l’hégire et en fit 40 ans plus tard, la capitale d’un
empire. Aujourd’hui, elle garde jalousement les vestiges de son riche passé, et le minaret de la Kouroubia
témoigne dans le ciel de la ville, d’un art serein et d’une prodigieuse passion. Nous nous promenons dans les
souks et nous voyons que le peuple de Marrakech a encore les mains agiles. Ici, de merveilleux tapis, des
poignards incrustés d’argent, des miroirs ornés d’arabesques, là, des plateaux de cuivre et mille trésors qui
emplissent nos souvenirs.
Dans un restaurant de la médina, nous nous offrons, pour une vingtaine de dirhams, un repas de roi. Puis, à la
tombée du soir, après avoir flâné dans les jardins de l’Agdal, nous en retournons, emportant dans nos yeux
Marrakech, le plus beau mirage du désert.
Questions :
I- Compréhension : (13points)
8. « Aujourd’hui, elle garde jalousement les vestiges de son riche passé ». Par quel autre
indicateur temporel pouvez-vous remplacer « aujourd’hui » ? (1pt)
9. Tracez l’itinéraire de voyage suivi par le journaliste. (1pt)
10. Quel est l’objectif de l’auteur dans ce texte ? (1pt)
II- Expression écrite : (07 points)
Rédigez un court reportage dans lequel vous présentez une ville ou un lieu que vous avez
visité et que vous aimeriez faire découvrir.
Sujet 15
Texte :
Au printemps, toutes les tribus du Hoggar entament une lente progression vers Daghmouli et son marabout.
A travers la grisaille de l’asphalte ou le pourpre des montagnes, elles emporteront dans leurs paquetages des
milliers de couleurs qui éclateront le jour de la cérémonie.
Mille kilomètres d’asphalte gris, des derniers reliefs du M’Zab aux premières montagnes du Hoggar.Platitude
parfaite.
Montagnes pourpres caractéristiques du Hoggar. En tamacheq, la langue des touaregs, Ahaggar désigne
justement cette couleur pourpre. Grand comme la France. Pauvre comme l’Afrique. Vieux comme le monde, le
Hoggar, dernier refuge des hommes qui ne croient pas aux maisons. Surgi du néant, en semblant n’aller nulle
part, trois touaregs au pas rapide coupent la montagne avec des couvertures sous les bras, ils vont à
Daghmouli….
Toutes les tribus sont là… Tous les touristes sont là …. Sur les collines avoisinantes, des milliers de couleurs
s’échappent des tisseghnass, voile très fin dans lequel s’enroulent les femmes touareg. Rose, jaune, indigo, le ciel
s’embrasse. A terre, la course de chameaux a commencé ; la poudre parle et les hommes vont chanter et mimer un
combat séculaire à l’épée, la takouba, dans une rythmée par le tindi, une peau de chèvre tendue, et les battements
des longues mains desséchées par le soleil.
En coulisse, Moulay Cherif, le marabout, redistribue les récoltes aux plus pauvres e règle les conflits tribaux.
Un islam local, superposition de plusieurs civilisations… Mais le ciel commence déjà à s’obscurcir. La « Ziara »,
véritable pèlerinage, va s’achever à l’appel de la prière.
La poussière est retombée. Le soleil s’est éteint sans bruit. C’est la grande prière du coucher du soleil, le
Maghreb …. Une heure plus tard, cette couleur se prendra dans les sables nocturnes et le vent se lèvera pour
effacer leurs traces. L’année prochaine, il y aura encore un printemps et l’éternel retour de l’homme vers ses
repères.
Asphalte : calcaire imprégné de bitume qui sert au revêtement des trottoirs, des chaussées.
QUESTIONS
I- COMPRÉHENSION :
2- Le voyage est-il vécu par le journaliste seul ? Relevez une phrase justifiant votre réponse.
5- Dans le texte, le Hoggar est caractérisé par une couleur particulière. Laquelle ?
Trouvez un synonyme à cette couleur.
« ….. Une heure plus tard, cette couleur se prendra dans les sables nocturnes et le vent se lèvera
pour effacer leurs traces. »
Relevez dans le texte les éléments auxquels renvoient les termes soulignés.
9- « Le marabout redistribue les récoltes aux plus pauvres et règle les conflits tribaux ».
11- « …sur les collines, des milliers de couleurs s’échappent …mains desséchées par le soleil ».
« Née des inondations du Nil, l’Egypte fut pendant des millénaires ……………….et le carrefour
de l’orient et de l’Afrique.
Au pied ……., le Caire, El Qahira, la victorieuse. Là parmi ……. des premières églises
chrétiennes, jaillissent ……..de la cité magique. Ses souks sont connus dans tout le Moyen
Orient. Le Caire est devenu, depuis quelques années…..du XXe siècle……nous a déclaré notre
guide en nous montrant avec orgueil l’aiguille ciselée d’un minaret en voie de
construction, qui s’élance vers le ciel …….rendant grâce à Dieu pour les bienfaits qu’il dispense
au fier et courageux peuple égyptien.
Complétez l’énoncé ci-dessus par les éléments suivants donnés dans le désordre :
Le plus vaste chantier du monde/ comme une prière ardente/ des grandes pyramides/ les mille
minarets/ Nous voulons relever le défi des grands rois bâtisseurs de l’Égypte ancienne/ le centre
du monde civilisé/ les coupoles byzantines.
Sujet 16 :
Texte :
Êtes-vous tenté par une randonnée à pied à travers le désert ? Alors suivez le guide qui vous entraîne dans les
lieux inviolés du Hoggar : le décor, quasi lunaire, est jalonné de cavernes aux murs peints voici des milliers
d’années.
Deux heures et quinze minutes séparent Alger de Tamanrasset. La distance est plus longue que celle de Paris à
Alger. De Tamanrasset, Tam pour les intimes, point de départ des expéditions dans le Hoggar et les Tassilis, ou
des pèlerinages à l’ermitage du père de Foucauld. Nous n’aurons vu aujourd’hui que l’aéroport, où nous nous
asseyons en tailleur en attendant l’avion suivant qui apportera le reste des bagages. Quand il atterrit deux heures
plus tard, nous vivons déjà différemment, au rythme du désert.
A bord de trois véhicules tout terrain, notre groupe s’engage sur la transsaharienne en direction du nord. Après
une halte pour se ravitailler en eau, les trois chauffeurs touaregs se dirigent vers un ensemble de tamaris à
l’ombre desquels nous déjeunons. Après avoir traversé une région où le sable s’étend comme un lac infini, nous
arrivons au lieu de notre bivouac, parmi les tamaris et les coloquintes*. Un silence comme celui du désert, vous
n’en avez jamais « entendu » et vous n’en entendrez jamais plus. Vous sombrez dans ce silence immense,
profond, réparateur, la tête dans les étoiles si proches et si lumineuses qu’elles vous permettent des déplacements
sans lampe de poche (…)
Nous sommes arrivés dans le Tassil N’immidir. C’est là que la vraie aventure commence.
Sept jours durant, El Faki nous conduira dans les regs et les falaises tourmentées du Tassili N’immidir,
escaladant comme un mouflon des rochers de grés avec les sandales qu’il a lui-même confectionnées. Sept jours
durant, nous ne rencontrerons pas d’autres humains que les membres de notre groupe marchant comme des
forcenés dans le plus vaste désert du monde (…).
QUESTIONS
I- COMPRÉHENSION :
1- Ce texte est :
- Un récit de fiction
- Un fait divers.
- Un récit de voyage.
- Des dunes
- Des arbres.
- Une comparaison.
12- « Les trois chauffeurs touaregs se dirigent vers un ensemble de tamaris à l’ombre desquels
nous déjeunons. »Écrivez les verbes de la phrase ci-dessus au passé composé.
Rédige un reportage de quelques lignes sur un lieu touristique de ton choix (un lieu que tu as
visité et apprécié.)
Sujet 17
Texte :
Cherchell aujourd’hui
Cherchell aujourd’hui, ville longtemps enserrée entre ses remparts, éclate enfin de part et d’autre, le long du
littoral, en lotissements publics, ensembles collectifs, immeubles, villas et pavillons résidentiels. Ses monuments
et ses musées sont les témoins d’un passé glorieux. L’antique capitale est aujourd’hui une ville paisible et
accueillante. Elle offre à ses visiteurs éblouis tout le prestige de son histoire.
La promenade est agréable, tant son décor est somptueux et ombragé d’arbres vigoureux appelés Belombra.
Elle offre aux visiteurs des vestiges apparents. Son front de mer est un balcon. Et tel un tableau de peinture, le
port, le phare, la mer et ses couleurs enivrent le visiteur. Au milieu de l’esplanade, une fontaine moderne décorée
de moulages en ciment, des têtes colossales et des fragments d’architecture antique. Des débris de colonnes, des
bases et des chapiteaux de la plus riche matière sont tellement bien ordonnés et disposés qu’ils donnent encore un
aspect antique à cette esplanade appelée également place romaine, aujourd’hui place des Martyrs.
Le port est le témoin millénaire de Cherchell. Construit en 1870, il a une superficie de 70.000m2 et peut
contenir 38 embarcations de pêche. Des fouilles en 1960 ont démontré qu’il existait sur l’îlot un phare antique
d’architecture hellénistique.
Un peu plus au sud de l’esplanade, la vieille ville appelée Ain Ksiba accueille le visiteur dans une ambiance
XVIe siècle. Petite Casbah avec ses rues étroites et tortueuses, ses maisons sont construites selon un style
hispano-mauresque.
En traversant la route nationale, nous accédons par une piétonnière à la mosquée « El Rahmane », à l’origine
une église construite vers 1897 en utilisant des matériaux antiques de récupération. La grande mosquée de
Djemâa el Kebir dite la mosquée aux 100 colonnes, située en plein coeur de la ville, demeure remarquable par sa
superficie et son architecture. Elle fut construite en 1571-72 au temps des andalous sur un modèle maghrébin ou
hispano-mauresque.
En prenant la rue Sidi Ali, une perpendiculaire à la rue principale Abdelkader (ex Césarée), le visiteur se
retrouve sur la place du marché. A sa gauche, une petite et charmante mosquée, Djamâa Esseghir. C’est un lieu de
culte où règnent calme, paix et silence. Elle fut construite vers l’année 1695 et recevait des enfants qui y
apprenaient le Coran.
Ville deux fois millénaire, plusieurs fois colonisée, brûlée, secouée par de violents cataclysmes, déchirée par
des luttes internes, Cherchell aujourd’hui, est l’une des villes les plus riches d’Algérie par sa diversité, ses
couleurs et ses thèmes. C’est à travers ses monuments que se perpétue sa gloire. Iol- Césarée n’a jamais été
abandonnée par ses hommes.
QUESTIONS
I- COMPRÉHENSION DE L’ÉCRIT :
2- Le journaliste a-t-il fait recours à une description statique ou itinérante ? Justifiez votre
réponse.
Antique Moderne
- -
5- Pourquoi, le journaliste, dans la description de Cherchell, met-il en valeur l’aspect antique de
la ville ?
7- Relève du texte :
- Une métaphore ;
- Une comparaison ;
- Une personnification ;
9-« Des débris de colonnes, des bases et des chapiteaux sont tellement bien ordonnés qu’ils
donnent encore un aspect antique à Cherchell. » Quel est le rapport exprimé dans cette phrase ?
Vous avez certainement visité, pendant les vacances une région d’Algérie dont vous gardez
de bons souvenirs. Rédigez quelques lignes pour nous faire part de l’itinéraire de votre voyage
Sujet 18 :
Texte :
La traversée dura huit jours interminables. Le vent d’Est séchait les outres. Toute la nuit, nous marchâmes
mais je ne pus dormir sur mon chameau. Et c’est épuisée par la soif que la caravane fit halte à neuf heures du
matin.
Une véritable trombé qui traversa notre camp, culbuta les tentes en nous faisant tournoyer comme des brins
de paille, et le sable nous enveloppait comme un brouillard. Nous étions étendus sur le sol, sans mouvement,
mourant de soif et brûlés par le sable. On n’entendait que lamentations. Les chameaux poussaient leurs cris
sourds puisqu’ils n’avaient rien mangé depuis quatre jours. Nous n’osons toucher à notre eau car nous pensons
que certains puits sont à sec. Nous nous remîmes en marche avec nos animaux exténués. Le désespoir était
général.
Le jour suivant, nous nous arrêtâmes dans une plaine où croissait un peu d’herbe qui fut bientôt dévorée par
nos animaux. Il ne nous restait plus qu’une outre d’eau pour onze bouches (….) Après avoir avalé quelques
gouttes, nous nous couchâmes en attendant ceux qui étaient allés à la provision. Plus tard, ces malheureux
revinrent à moitié morts de soif : ils avaient trouvé le puits à sec. Nous nous décidâmes alors de tuer un chameau
pour récupérer l’eau contenue dans son estomac volumineux….
Deux jours plus tard, après avoir gravi une côte, nous descendîmes dans un basfond formé par des montagnes
de granit rose : c’est là que se trouvent les puits de Téligh. Il faut d’abord faire boire les bêtes qui sentaient le
voisinage de l’eau et qu’on ne pouvait plus retenir. La première eau était noire pourtant les chameaux la burent.
I- COMPRÉHENSION :
3- Quel est l’intention de l’auteur dans le premier paragraphe ? Justifiez votre réponse.
9- « Les chameaux poussaient leurs cris sourds puisqu’ils n’avaient rien mangé depuis quatre
jours ».
- Remplacez le terme souligné par l’un des articulateurs suivants : si bien que/ vu que/ mais/ c’est
pourquoi.
10- « Tout la nuit, nous marchâmes mais je ne pus dormir sur mon chameau. »
11- Relevez une comparaison - deux adjectifs qualificatifs – deux compléments du nom.
Un journaliste prépare un article sur votre ville, il vous demande de l’aider. Rédige un court
reportage dans lequel tu lui parleras de ta ville.
Sujet 19 :
Texte :
Il faut préparer le départ sur Iherir, trouver une voiture auprès d’une
agence, compléter les vivres et se décider à partir. Nous nous arrachons à la quiétude de Djanet un lundi,
direction Bordj El Haoues. La piste est correcte nous traversons l’Erg
Admer en longeant le plateau. Accueil chaleureux et premiers contacts avec les légendes
Touaregs. Soirée chez Brahim, notre guide jusqu’à Iheder.
Mardi de bonne heure, départ sur Ihedir en passant par le col de Tin Teredjeli. Visite sur
la route des peintures de Tanezrekou, traversée de la vallée de Dider. Ici et là, des
campements nomades en attente de l’ouverture des pâturages… Les sensations sont fortes
et nous sommes silencieux. Nous surplombons Tdaren, zeribas en série au fond du canyon,
puis Iherir nous accueille avec ses palmiers et son oued à l’écoulement régulier. Nuit
étoilée, couscous chez le chef du village, thé et échange de nouvelles puis soirée Tindé
avec Brahim et Ahmadou. Mercredi, brève remontée de l’oued Tdaren et retour sur Iherir.
Brahim nous invite pour une nuit à la belle étoile dans la vallée de Dider. Nuit glaciale et
blanche.
QUESTIONS :
I . COMPRÉHENSION DE L’ÉCRIT :
1. Quelle est la région visitée ?
2. Quelle est la date du voyage ?
3. Qui est Brahim ?
4. Indiquez le jour du départ de Djanet et le jour du retour.
5. Le texte correspond-il à :
- un reportage ?
- un récit de voyage ?
- des notes de voyage ? Choisissez la bonne réponse.
- informer,
II EXPRESSION ÉCRITE :
Sous forme de reportage, faites la description d’une région qui vous a particulièrement marquée.
Sujet 20 :
Texte :
Djanet : une oasis de rêve
Djanet. Un coin paradisiaque situé à 2000 kilomètres au sud-est d’Alger, dans le millénaire
Tassili N’Ajjer. Les nuits y sont merveilleusement belles. A une altitude de 1200 mètres, les millions
d’étoiles qui scintillent sont presque à portée de main.
Si chaque région du sud a ses couleurs, celles de Djanet sont multiples. Elles sont dorées quand
le soleil darde ses rayons sur les immenses dunes. Elles sont blues quand le soleil est mourant sur le
massif rocheux du Tassili. Le vent quant à lui ressuscite depuis les pluies d’automne. La végétation est
omniprésente. Il y a la palmerais de Djanet, le cyprès de Tamrit, les acacias, les eucalyptus…
Djanet, c’est aussi et surtout le célèbre plateau du Tassili, merveilleux musée à ciel ouvert qui
recèle un ensemble de peintures et de gravures rupestres uniques au monde. Ce dernier n’est pas que
silence… silence de la nature et silence des hommes…les rythmes, les chants et les danses targuis sous
le ciel étoilé relèvent presque de la magie… la magie des hommes bleus, grands et fiers dont les
mouvements pleins de grâce et de force sont captivants quand ils exécutent la danse des guerriers.
Djanet est un paradis sur terre, pour qui sait apprécier la belle nature à sa juste valeur et pour
qui sait écouter le silence. Et quand le soleil décline et que le massif du Tassili bleu se dessine dans un
beau ciel où les étoiles ne tarderont pas à illuminer la terre on a la conviction que le sud, on y
reviendra.
QUESTIONS :
I- COMPRÉHENSION: (14POINTS)
1. Par qui est prise en charge la description ? Justifiez votre réponse (1pt)
2. Le côté culturel de Djanet est décrit dans le texte, relevez l’exemple qui le montre.(1pt)
3. Parmi les lieux décrits, quel est celui qui est le plus connu à Djanet ? Pourquoi ?(1.5)
4. « Elles sont dorées quand le soleil darde ses rayons sur les immenses dunes ».
Le mot souligné signifie : a. lance ;
b. cache ;
c. garde.
Recopiez la bonne réponse. (1pt)
5. Complétez le passage suivant par les pronoms relatifs qui conviennent (2pts) :
« Djanet …..les nuits sont merveilleusement belles et ……les couleurs sont multiples est un
coin paradisiaque. Les couleurs ….possèdent Djanet et ….font sa beauté sont multiples ».
6. « Ils exécutent la danse des guerriers »
A qui renvoie le pronom souligné ? (1pt)
: Sujet 21
: Texte
Un Orage au Hoggar
Il était six heures du matin, le soleil était né. Mais on le cherchait en vain au ciel étonnamment lisse. Et pas un
souffle d’air, pas un souffle.
Soudain, un de nos chameaux piaula1. Une énorme antilope venait de surgir et s’en était allée donner de la
tête, affolée, grelottant sur ses minces jambes, contre la muraille rocheuse
Les yeux de Morhange me fixèrent, puis se reportèrent vers l’horizon, sur un point sombre : « un orage, n’est-
ce pas ?- Oui, un orage ».
« Que devons-nous faire ? demanda-t-il- Remonter immédiatement sur nos chameaux avant qu’ils ne soient
complètement affolés et nous hâter de chercher un abri. »
Nous eûmes toutes les peines du monde à les faire agenouiller. Lorsque chacun de nous fut juché sur le sien,
ils filèrent à une allure que la terreur faisait de plus en plus désordonnée. Brusquement, un vent s’éleva, un vent
formidable. Au-dessus de nos têtes, le ciel était devenu en un clin d’œil plus ténébreux que les parois noires du
couloir où nous dévalions.
Un éclair aveuglant déchira l’obscurité. Un coup de tonnerre, répercuté à l’infini par la muraille rocheuse,
retentit et, aussitôt, d’énormes gouttes tièdes se mirent à tomber. En un instant, nos burnous, tendus par la vitesse
horizontalement derrière nous, furent collés à nos corps ruisselants. « Sauvés ! » Clamai-je soudain.
Brusquement, sur notre droite, une petite grotte s’ouvrait. Boudjemaâ réussit à y abriter les chameaux. Et c’était
sans interruption le fracas du tonnerre et celui, plus fort encore, de pans entiers de murailles sapées par
l’inondation, qui s’écroulaient d’un seul coup au milieu du flot déferlant.
Tout le temps que dura le déluge, une heure, deux peut-être, Morhange et moi demeurâmes, sans un mot,
penchés sur cette immense cuve….
: QUESTIONS
: I- COMPRÉHENSION
? Conte -
? Bande dessinée -
? Où se passe l’action -2
.Justifiez votre réponse en relevant deux (02) éléments précis qui le montrent
; murmura -
; cria -
Sujet : Un certain vendredi, vous aviez décidé, tes parents et toi, de faire un déjeuner sur l’herbe.
.…La nappe et les assiettes étaient déjà posées…soudain, la pluie se mit à tomber
Racontez. (en respectant les étapes du récit,, les temps du récit et la ponctuation.)
: Sujet 22
La Casbah d’Alger
Que de clichés la Casbah n’a-t-elle pas inspirés ! Le mot signifie simplement « citadelle », ou vieille ville
fortifiée, et chaque ville d’Afrique du Nord possède ou possédait la sienne. Le quartier se présente comme un
inextricable dédale, avec des maisons si hautes et si serrées qu’elles empêchent le soleil de pénétrer dans le lacis
des ruelles. Les toits, par endroits, sont reliés par un second réseau de galeries. La population s’y avère
probablement plus dense que jamais en raison d’un taux de natalité élevé et d’années de migration vers les villes.
Aussi tout le secteur est-il surpeuplé. On ne saurait dire que la propreté y règne, mais la Casbah présente un tel
intérêt historique que vous ne pouvez vous dispenser de la parcourir.
Le meilleur moyen pour en avoir un aperçu consiste encore une fois à commencer par le haut, près du fort du
XVI e siècle, et descendre à loisir, en passant entre les marchands de légumes, les vendeurs d’épices et les
boucheries, qui empiètent sur les ruelles et les escaliers aussi étroits que tortueux. Il y a également ici quantité de
petits restaurants modestes, ou vous pourrez faire connaissance avec la nourriture quotidienne de l’Algérien
moyen. Un guide n’est pas absolument nécessaire, mais il aurait peut être la possibilité de vous faire pénétrer
dans quelque maison et monter sur une terrasse ou un toit pour vous permettre de jouir de la vue…..
: I /COMPRÉHENSION
b/ population moyenne
5/ Relevez du texte une comparaison en mettant en évidence les éléments qui la composent.
6/ « On ne saurait dire que la propreté y règne » A qui renvoie chacun des pronoms soulignés ?
En vous inspirant du texte, présentez à vos lecteurs un quartier ou un endroit touristique de votre
.région
: Sujet 23
: Texte
Nous traversons pendant trente minutes des paysages de plaine ensablée, stérile, ponctuée de
rares oasis qui apparaissent comme des mirages.
La verdure nous étonne. De grands arbres nous abritent du soleil et derrière chaque mur, des
jardins jaillissent
Notre guide, Brahim, est silencieux pendant qu’il conduit et sans avertir, il sort de la route.
Nous sommes surpris et bousculés par la piste de « tôles ondulées ». Il nous faut quelques heures
de route avant d’être accoutumés aux rebondissements constants de la voiture. Nous prenons le
chemin vers le cœur du
Hoggar. Le paysage devient de plus en plus étrange ; les chaînes de montagnes sont comme le
sol lunaire et donnent au Hoggar son originalité.
C’est le site le plus visité par les touristes, de plus la région offre une très belle vue
panoramique où l’on peut admirer de splendides couchers de soleil, images inoubliables à saisir
par les amateurs de photos.
A la fin du séjour, on en a plein les yeux, et une idée fixe en tête : revenir……
: QUESTIONS
: I- COMPRÉHENSION
? De quel type de texte s’agit-il -1
un fait divers -
un reportage-
- plaque ;
- fine feuille ;
6- Complétez le tableau suivant à l’aide d’une comparaison et d’une métaphore contenues dans le
texte
Vous avez un ami qui vit à l'étranger. Vous lui écrivez pour l'inciter à venir visiter
Tipaza ou une autre ville algérienne que vous aimez particulièrement.
Rédigez votre texte en respectant les critères d’un reportage touristique.
: Sujet 24
« Noces à Tipaza »
Nous arrivions par le village qui s'ouvre sur la baie. Nous entrons dans un monde
jaune et bleu où nous accueille le soupir odorant et âcre de la terre d'été en Algérie. Partout,
des bougainvillées rosat dépassent les murs des villas ; dans les jardins, des hibiscus au
rouge encore pâle, une profusion de roses thé épaisses comme de la crème et de délicates
bordures. A l'heure où nous descendons de l'autobus. Couleur de bouton d'or, les bouchers
dans leurs voitures rouges font leur tournée matinale et les sonneries de leurs trompettes
appellent les habitants.
A gauche de port, un escalier de pierres sèches mène aux ruines, parmi les lentisques
et les genêts. Le chemin passe devant un petit phare pour plonger ensuite en pleine
campagne. Déjà, au pied de ce phare, de grosses plantes grasses aux fleurs violettes, jaunes
et rouges descendent vers les premiers rochers que la mer suce avec un bruit de baisers.
Debout dans le vent léger, sous le soleil qui nous chauffe un seul coté du visage, nous
regardons la lumière descendre du ciel, la mer sans une ride, et le sourire de ses dents
éclatantes. Avant d'entrer dans le royaume des ruines, pour la dernière fois nous sommes
spectateurs.
Au bout de quelques pas, les absinthes nous prennent à la gorge. Leur laine grise
couvre les ruines à perte de vue. Leur essence fermente sous la chaleur, et de la terre au
soleil monte sur toute l'étendue du monde un alcool généreux qui fait vaciller le ciel.
Albert CAMUS, Noces, 1939 .
QUESTIONS
I. COMPRÉHENSION :
1. Qu’entendez-vous par « Noces à Tipaza » ?
2. a) Relevez dans le texte trois expressions qui vous permettent de suivre l'organisation du
texte.
b) Donnez un titre à chacun des paragraphes qui composent le texte.
3. Classez les expressions suivantes dans le tableau ci-dessous :
Les sonneries de trompettes de bouchers/Un monde jaune et bleu/Toutes les pierres sont
chaudes/ Le soupir "odorant" de la terre d'été
7. « Leur laine grise couvre les ruines à perte de vue » ; L’expression soulignée veut dire :
- Jusqu’à l’horizon ;
- à coté ;
- pris. Recopiez la bonne réponse.
8. Quel est l’objectif de l’auteur ?
9. « Nous entrons dans un monde » ; « font leur tournée matinale »
A qui renvoie chacun des pronoms soulignés ?
En vous appuyant sur les éléments qui composent le paysage, indiquez comment
s'organise la description.
: Sujet 25
Texte :
Si vous n’avez pas d’endroit en tête pour voyager, songez qu’il existe un endroit en Algérie ou le lever du
soleil sur les lacs ou la mer réinvente chaque jour le premier matin du monde. C’est el kala, un parc national
longeant la frontière tunisienne, 78000 hectares face à la mer méditerranée.
Imaginez , d’une part , des terres sauvages , ébouriffées de chênes –lièges ou il n’ya pas de place pour
l’homme , mais ou vit le peuple de la foret : porcs-épics , lièvres , renards , chacals , sangliers , perdrix et d’autres
animaux qui trouvent en el kala un sanctuaire .
D’autre part, des lacs qui ne tarissent jamais en été faisant ainsi d’el kala le royaume de l’eau. La végétation
aquatique y foisonne à plaisir, transformant le lac en un champ de fleurs ; lotus, nénuphars, blancs, massettes, iris
…
Enfin le foret et la mer peignent les couleurs vert et bleu d’un paysage qui n’existe nulle part ailleurs. Donc el
kala est bien l’endroit qui mérite votre visite.
Fantasia magazine
A / compréhension du texte :
4 / Parmi ces expressions quelles sont celles qui reprennent les idées du texte :
9/ Le bleu et le vert sont les couleurs dominantes dans ce paysage. Que représente chacune de ces
deux couleurs ?
Sujet : Vous avez certainement visité une ville qui vous avez charmé par sa beauté, que vous
avez trouvée très intéressante et vous voulez convaincre vos camarades de la visiter.
Rédigez un petit paragraphe descriptif dans lequel vous la décrivez en vantant ses
qualités.
Sujet 26
Questions :
I- Compréhension de l’écrit :
1. A quelles informations correspondent les chiffres suivants :
15 millions de degrés - 4.6 milliards d’années - 1 milliard et demi de Kms ?
2. Sans recopier le texte, définissez :
- le soleil ; Une nébuleuse
3. Nominalisez la phrase suivante :
Les étoiles naissent, se développent, vieillissent et meurent
4. Relève du texte deux procédés explicatifs :
- Une définition
- Une comparaison
5. Remplace les (:)dans la première phrase du texte par un
articulateur logique choisi dans la liste suivante : donc, mais, ainsi.
6. « Pour lui, ce n’était rien ».
A quoi renvoie le terme souligné ?
7. Le titre et la dernière phrase du texte sont donnés sous forme de
quel type de phrase ? Pourquoi ?
II- Production écrite :
Résume le texte en une dizaine de ligne
Sujet 27
Texte : Ghardaïa
Le M’Zab est devenu certainement l’un des principaux pôles d’attraction du tourisme en
.Algérie
Pour le touriste, Ghardaïa est d’un accès très facile : elle se situe à la rencontre de la grande
route d’Alger vers Tamanrasset et des deux itinéraires de la boucle orientale des oasis et celle de
.la Saoura
Ghardaïa est bâtie au pied des montagnes qui dominent le flanc sud de la vallée de l’oued
M’Zab, elle offre la forme d’une pyramide. Les maisons sont étagées les unes au dessus des
autres. Accompagné ou non, il faut flâner dans ses rues tortueuses, contourner l’introuvable
.mosquée. On se retrouvera sur la place du marché
Questions
: Dans ce texte l’auteur (1
: a) L’auteur
; Explique -
; Décrit -
.Raconte -
: ? b) Quoi
; le désert -
; une ville -
.la montagne -
; b) chemin
; c) ville
Texte :
Pour connaître la Grande Kabylie et s’émerveiller, on quitte Tizi Ouzou et on
emprunte une route qui monte en lacets au milieu d’une végétation riche en couleurs,
multiple en genres. Cela va du genêt au coquelicot en passant par la menthe sauvage,
la figue de Barbarie et l’olivier.
Direction Tigzirt sur Mer, le plus surprenant village de la côté à cause…de sa
propreté. Des vestiges relativement bien conservés témoignent encore de l’époque
romaine. En longeant la côte, on arrive à Azzefoun… un port de pêche modeste situé
au pied de la montagne. Et quelle montagne ! L’immense Djurdjura composé de
plusieurs chaînes de montagnes parallèles à la mer. Après un détour par Azazga,
nous atteignons Ain El Hammam à 1080m d’altitude (……) Pour le touriste, comme
pour le simple visiteur, c’est le régal des sens. Après Aïn El Hammam, c’est Larbâa
Nath Irathen qui nous accueille. Ancienne forteresse, elle offre un merveilleux
panorama sur les crêtes des villages et les profonds ravins qui descendent vers la
plaine de Sebaou. On notera à quelques kilomètres, la crête d’Icheriden où se
déroulèrent en 1857 de violents combats et où s’organisa une héroïque résistance à
l’occupation coloniale.
Beni Yenni, pays du bijou, d’argent et du corail. Boghni, Dräa El Mizan sont à
visiter également pour mieux connaître cette région.
D’après Jamel Moknachi
« Parcours Maghrébins » n°12
Questions :
1- « Poursuivant notre périple » Le nom souligné veut dire :
- Visite.
- Voyage.
- Conversation.
Soulignez la bonne réponse.
2- L’auteur est-il présent dans ce texte ? Justifiez votre réponse.
3- Que fait l’auteur dans ce texte ? Quelle est sa visée ? (son but)
4- Relevez du texte une information issue de la culture du journaliste.
5- Citez deux noms propres des villages kabyles visités par le journaliste.
6- Trouvez les verbes correspondant aux noms suivants :
- La découverte → v…………………………………
- La direction → v………………………………………
7- Relevez du texte :
a) (02) adjectifs qualificatifs :…………………………………..
b) (02) compléments du nom :………………………………………
c) (02) subordonnées relatives :………………………………….
d) (01) une métaphore :………………………………………………….
8- « Le touriste découvre la grande Kabylie en visitant ses villages panoramiques. Il filme tous
les paysages ».
Conjuguez les verbes de la phrase au passé composé de l’indicatif.
Sujet 28
Texte :