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2 Bien démarrer
c) Pour tout nombre réel x, (x − 5)2 > 0 donc g(x) > −1.
6. a)
1. a) 5(x + 1)(3 − x) = 5(3x − x + 3 − x) = 5(−x + 2x + 3)
2 2
x – ∞ –
1 3
+ ∞
= −5x2 + 10x + 15 2 2
b) 4(x − 5)2 = 4(x2 − 10x + 25) = 4x2 − 40x + 100 2x + 1 – 0 + +
c) (2x − 3)(2x + 3) + 9 = (2x)2 − 32 + 9 = 4x2 3 – 2x + + 0 –
(2x + 1) (3 – 2x) – 0 + 0 –
2. a) f(− 4) = −2 × (− 4)
2
− 4 × (− 4) + 6
= − 2 × 16 + 16 + 6 = − 10 b) On lit dans le tableau que l’ensemble des solutions
f(2) =
− 2 × 22 − 4 × 2 + 6 de l'inéquation (2x + 1)(3 − 2x) < 0 est :
S
1 3
= − 8 − 8 + 6 = − 10
b) On note α l’abscisse du
– ∞ ; – ∪ ; + ∞ .
2 2
c) La calculatrice graphique permet de contrôler le
sommet S de la parabole.
signe de l’expression.
La droite d’équation x = α
est l’axe de symétrie de la
parabole. Les points de la
parabole d’abscisses − 4 et
2 ont la même ordonnée,
donc ils sont symétriques 1
par rapport à la droite 1
d’équation x = α. –1 O
– 4 + 2
Par conséquent α = = −1.
2 Fenêtre : − 2 < X < 2, pas 1 ; −10 < Y < 10, pas 1.
L’ordonnée du sommet est alors f(−1) = − 2 + 4 + 6 = 8.
3. 1) La hauteur du pont est 25 m et sa longueur est
80 m.
2) Le sommet de la parabole a pour coordonnées
3 Découvrir
(40 ; 25). 1 Déterminer l’équation d’une parabole
La forme canonique de f est donc f(x) = a(x − 40)2 + 25. 1. a) La fonction admet un maximum donc le coeffi-
1 cient a de x2 doit être négatif.
La condition f(0) = 0 donne a × 402 = −25, d’où a = – .
64 b) f(0) = 0 et f(0) = c donc c = 0.
L’expression de f(x) est donc l’expression 2).
c) f(10) = 10 et f(10) = 100a + b donc 100a + 10b = 10,
4. a) x2 = 4 équivaut à x2 − 4 = 0, c’est-à-dire à ou encore b = 1 − 10a.
(x − 2)(x + 2) = 0. L’équation admet donc deux solu- d) D'après les résultats précédents, f(x) = ax2 + (1 − 10a)x.
tions : −2 et 2. 2. a), b), c) Voir fichier page12.ggb
b) (x − 2)2 = 0 équivaut à x − 2 = 0, donc l’équation d) Le sommet de la parabole semble être d’ordonnée
admet une unique solution : 2. 18 pour a = − 0,5 et a = − 0,02.
6
5 1. a) Le discriminant est x –∞ 2 – 2 2 + 2 + ∞
Δ = 11 − 4 × (− 2) × (− 12) = 25.
2 f(x) + 0 – 0 +
Δ > 0 donc l’équation a deux solutions, b) D’après le tableau de signes, les solutions de
–11 – 5 –11 + 5
x1 = = 4 et x2 = = 1,5. l’inéquation x2 − 4x + 2 > 0 sont les nombres réels de
–4 –4
b) Le discriminant est Δ = 12 − 4 × 1 × 1= −3. l’ensemble ]− ∞ ; 2 − 2] ∪ [2 + 2 ; + ∞[.
Δ < 0 donc l’équation n’a pas de solution.
c) Le discriminant est Δ = (−4)2 − 4 × 4 × 1 = 0.
Δ = 0 donc l’équation a une solution unique,
(–4)
x0 = – = 0,5.
8
2. a) 2x + 7x2 = 0 équivaut à x(2 + 7x) = 0.
2
L’équation a donc deux solutions, x1 = 0 et x2 = – .
7
b) Pour tout nombre réel x , 2x2 > 0 donc 2x2 + 25 > 0.
L’équation n’a donc pas de solution. à l’écran de la calculatrice, la courbe représentative
3 de f semble bien être au dessus de l’axe des abscisses,
c) −3 + 4(x − 2)2 = 0 équivaut à (x − 2)2 = . sauf entre les racines du trinôme, environ égales à 0,6
4
L’équation a donc deux solutions qui sont telles que et 3,4.
3 3
x1 − 2 = et x2 − 2 = – , c’est-à-dire,
2 2 10 a) Δ = (− 26)2 − 4 × 2 × 3 = 0. Le trinôme
3 3 2x2 − 2 6x + 3 admet donc une solution unique :
x1 = 2 + et x2 = 2 − .
2 2 26 6
= . Comme le coefficient de x² est positif, le
2×2 2
6 a) x2 − 49 = 0 équivaut à (x − 7)(x + 7) = 0. trinôme est positif pour tous les nombres réels, sauf
L’équation admet donc deux solutions : x1 = 7 et x2 = −7. 6
b) (x + 3)2 − (1 − 2x)2 = 0 équivaut à en où il s’annule. L’inéquation 2x2 − 26x + 3 < 0
2
[(x + 3) + (1 − 2x)] [(x + 3) − (1 − 2x)] = 0, c’est-à-dire 6
admet donc une solution unique : .
(−x + 4)(3x + 2) = 0. 2
2
L’équation admet deux solutions : x1 = 4 et x2 = – .
3
c) 9x2 − 81 = 0 équivaut à x2 = 9. L’équation admet deux
solutions : x1 = −3 et x2 = 3.
8
Sinon
23 1. a) Pour x centaines de DVDs vendus, le revenu
Afficher « Pas de solution. »
Fin Si est 30 × x × 100 = 3 000x, c’est-à-dire 3x milliers d’euros.
Fin Si Le bénéfice est donc, en milliers d’euros :
Si d < 0 alors B(x) = 3x − C(x) = 3x − (− 0,06x2 + 1,8x + 1,26)
Si a > 0 alors = 0,06x2 + 1,2x − 1,26.
Afficher « Tout réel est solution. » b) La société est à l’équilibre, donc B(x) = 0, ce qui
Sinon équivaut à 0,06x2 + 1,2x − 1,26 = 0. Cette équation a
Afficher « Pas de solution. » pour discriminant Δ = 1,742 4 = 1,322, elle admet donc
Fin Si deux solutions :
Fin Si – 1,2 – 1,32 – 1,2 + 1,32
x1 = = −21 et x2 = = 1.
2 × 0,06 2 × 0,06
Seule la solution positive convient dans le contexte du
6
problème. La société produit donc 100 DVDs.
Travaux pratiques 2. a) Un millier d’euros dépensé en publicité fait
vendre 50 DVDs supplémentaires, donc engendre
22 1. a) Le nouveau carré, de côté x + 5, est 50 × 30 = 1 500 euros de recettes supplémentaires.
composé d’un carré d’aire x2, de deux rectangles Cela couvre donc les 1 000 euros de publicité.
d’aire 5x et d’un carré d’aire 25. On a donc (x + 5)2 = b) Si deux milliers d’euros sont investis, le bénéfice est
x2 + 10x + 25, c’est à dire diminué de deux milliers d’euros, donc :
x2 + 10x = (x + 5)2 − 25. B2(x) = 0,06x2 + 1,2x − 1,26 − 2 = 0,06x2 + 1,2x − 3,26.
La condition x2 + 10x = 39 équivaut donc à
c) L’équilibre est réalisé pour 0,06x2 + 1,2x − 3,26 = 0.
(x + 5)2 − 25 = 39, c’est-à-dire (x + 5)2 − 64 =0.
Seule la solution positive convient dans le
b) Cette équation équivaut à (x + 5 − 8)(x + 5 + 8) = 0
problème, soit x1 ≈ 2,423. L’équilibre est donc réalisé
qui admet deux solutions, 3 et −13. x est une longueur
pour 243 DVDs vendus.
et doit alors être positif. On trouve donc x = 3.
3. a) Si a milliers d’euros sont investis, alors le bénéfice
c) Al-Khwarizmi trouve pour solution unique la valeur 3.
devient Ba(x) = 0,06x2 + 1,2x − 1,26 − a.
b b 2 b 2
2. b = 10
2
= 5
2
= 25
2
+ c = 25 + 39 = 64 b) Le seuil de rentabilité est la solution positive de
b l’équation.
b 2
2 + b − 2 = 64 − 5= 3 Or,
–50a + 363 – 103
3
< 0, donc cette valeur
3. On complète les deux lignes :
ne convient pas.
Affecter à x la valeur x + c.
b Par contre, comme 363 > 103, alors
Affecter à x la valeur x − . 50a + 363 – 103
2 > 0, pour toute valeur de a posi-
4. a) Δ = 256. L’équation admet deux solutions : x1 = −13 3
et x2 = 3. La solution négative n’est pas trouvée par la tive. Le seuil de rentabilité est donc
méthode précédente, c’est normal puisque les nom- 50a + 363 – 103
.
bres négatifs n'étaient pas utilisés par Al-Khwarizmi. 3
b) Pour résoudre x2 + bx = c par la méthode du discri- c) Si pour chaque millier d’euros investis, on vend
minant, il suffit de remplacer a par 1 et c par –c dans 0,5 centaine de DVDs en plus, partant de l’équilibre,
les formules. On trouve alors Δ = b2 +4c. Comme c qui est la vente d’une centaine de DVDs, l’entreprise
est positif, Δ > 0. Il y a donc toujours au moins une devrait réaliser la vente de 1 + 0,5a centaines de DVDs.
solution. d) On compare les deux fonctions s et v, avec
La solution la plus grande est : 50a + 363 – 103
s(a)= et v(a) = 1 + 0,5a.
4 b + c
2
–b + Δ b b2 + 4c b 4 3
= – + = – + On constate que s(a) > v(a) pour 1 < a < 35.
2 2 2 2 2
b b 2+c 4. Il faut donc investir au moins 36 milliers d’euros pour
2
= – +
2
b 2
.
b
que l’augmentation des ventes permette de compen-
ser l’augmentation des coûts. Il serait alors vendu au
Comme + c > , cette solution est positive, et
2 2
c’est bien celle obtenue par la formule du programme
moins 1 700 DVDs car v(36) = 17. Cette augmentation
n’est sans doute pas réaliste pour l’entreprise. Cette
de la question 2. offre n’a donc aucun intérêt pour l’entreprise.
1
24 a) 3x2 + x − 2 ; a = 3 ; b = 1 ; c = − 2. β = f(α) = f(4)= × 42 − 4 × 4 + 1= −7.
2
b) − 4x2 + 5 ; a = − 4 ; b = 0 ; c = 5. 1
Donc f(x)= (x − 4)2 − 7.
c) – x2 +3x ; a = −1 ; b = 3 ; c = 0. 2
d) x2 + 2x − 3 ; a = 1 ; b = 2 ; c = − 3. 34 a) f(x) = 13 équivaut à 2x2 + 12x + 13 = 13,
c’est-à-dire 2x2 + 12x = 0.
25 a) a = −6 b) a = −10 c) a = 1 d) a = 3
En factorisant, cette équation équivaut à 2x(x + 6) = 0,
26 La forme canonique est a(x − α)2 + β avec donc il y a deux solutions : 0 et − 6.
b 12 b) Les points d’abscisses 0 et − 6 sont symétriques par
α = – = = 3. L’expression d) est la seule qui puisse
2a 4 rapport à l’axe de symétrie de la parabole, car ils ont
convenir. la même ordonnée. Par conséquent le sommet de la
27 On prend le symétrique B du point A par rapport 0–6
parabole a pour abscisse = −3, et pour ordonnée
2
à l’axe de la parabole. f(−3) = −5.
a) L’axe a pour équation x = 2, donc B a pour coordon- c) La forme canonique de f est donc 2(x + 3)2 −5.
nées (−3 ; −2).
b) L’axe a pour équation x = −2, donc B a pour 35 a) On obtient les tableaux de valeurs ci-dessous.
coordonnées (−8 ; 5). x f(x) x f(x) x f(x)
c) L’axe a pour équation x = 1,5, donc B a pour − 5 − 104 − 1 − 8 3 − 8
coordonnées (6 ; 4). − 4 − 71 0 1 4 − 23
28 a) Le coefficient de x2 est négatif, donc f admet − 3 − 44 1 4 5 − 44
− 2 − 23 2 1
un maximum en −3, qui est égal à −1.
b) Le coefficient de x2 est positif, donc g admet un b) Les points d’abscisses −2 et 4 ont la même ordon-
–2 + 4
minimum en 1, qui est égal à 4. née, donc le sommet a pour abscisse = 1 et
2
c) Le coefficient de x2 est positif, donc h admet un pour ordonnée f(1) = 4.
minimum en 0, qui est égal à –3. c) La forme canonique de f est −3(x− 1)2 + 4.
d) Le coefficient de x2 est négatif, donc k admet un
maximum en 1, qui est égal à 2. 36 a)
29 a) 2x2 + 4x − 3 b) x2 + x −6
c) −3x − 3x + 6
2
d) 3x2 − 6x + 5
1 2 1 1 1 1 3
30 a)
2
x +x+
4
− = x2 + x −
2 2 2 8
L’expression est du second degré.
b) x2 − (x2 + 2x + 1) = −2x − 1
L’expression n’est pas du second degré. Fenêtre : − 5 < X < 5, pas 1 ; –4 < Y < 10, pas 1.
3 2 3 2 b) Le sommet de la parabole semble avoir pour
c) x2 − x + x − = x2 − 3
2 3 3 3
coordonnées ; 0 .
2 32
L’expression est du second degré.
2 2 2 4
La forme canonique serait donc 4 x − .
2
d) x2 −
5
= x − L’expression est du second degré.
25 En développant, on obtient 4 x −
32
= 4 x2 − 3x +
9
2 4
31 Les formes canoniques permettent de connaître = 4x2 − 12x + 9. On retrouve bien l'expression de f(x).
les coordonnées du sommet de chaque courbe repré-
37 Le sommet de la parabole a pour coordonnées
sentative. Celle de f est tracée en vert, celle de g est
(−1 ; −6). La forme canonique de f est donc du type
tracée en bleu et celle de h est tracée en rouge.
f(x) = a(x + 1)2 − 6. Alors f(0) = a − 6. Or on lit f(0) = −3,
32 On calcule la valeur de l’expression pour x = 4 : donc a − 6 = −3, d’où a = 3. Par conséquent la forme
− 42 + 8 × 4 − 15 = 1. Le terme manquant est donc +1. canonique de f est f(x)= 3(x + 1)2 − 6.
10
c) Les deux jets se croisent pour x positif tel que
38 f(−3) = 0 donc, dans ce cas, la forme canonique
−0,4x2 + 16 = −0,14x2 + 14.
est la même que la forme factorisée. 2
Cette équation équivaut à 0,26x2 = 2, donc x2 = .
0,26
2 168
39 Le sommet a pour coordonnées (3 ; 1), les
expressions b) et d) ne conviennent pas.
La hauteur est donc −0,4
0,26 2
+ 16 =
13
, ce qui fait
environ 12,9 dm.
Le sommet est un maximum, donc le coefficient a est
négatif. C’est l’expression c) qui convient. 44 a) m n'est pas solution de l'équation, car
0 + 0 + 1 = 1.
40 Le sommet a pour coordonnées (−2 ; 1) donc b) m est solution de l'équation, car −3 + 2 + 1 = 0.
f(x) = a(x + 2)2 + 1. c) m n'est pas solution de l'équation, car (−1 + 1)2 − 1 = −1.
D’autre part f(0) = 9, donc 4a + 1 = 9, d’où a = 2. d) m est solution de l'équation, car 22 − 5 × 2 + 6 = 0.
La forme canonique de f est f(x) = 2(x + 2)2 + 1.
45 1. Δ > 0 2. Δ < 0 3. Δ = 0 4. Δ < 0
41 a) Le sommet de la parabole a pour coordon-
nées (5 ; − 3) et a > 0 . 46 a) L’équation a deux solutions, donc Δ > 0.
b) L’équation n’a pas de solution, donc Δ < 0.
x – ∞ 5 + ∞
c) L’équation a une seule solution, donc Δ = 0.
d) L’équation a deux solutions, donc Δ > 0.
f(x)
–3 47 a) Δ = 1 ; x1 = −2,5 ; x2 = −2.
b) Le sommet de la parabole a pour coordonnées (−1 ; 2) 1
b) Δ = 25 ; x1 = −2 ; x2 = .
et a < 0. 2
x – ∞ –1 + ∞ 48 a) Le discriminant est Δ = 12 − 4 × 3 × (−2) = 25.
2 Δ >0 donc l’équation a deux solutions :
f(x) – 1 – 5 – 1 + 5 2
t1 = = −1 et t2 = = .
6 6 3
c) Le sommet de la parabole a pour coordonnées (4 ; 1) b) Le discriminant est Δ = (−28)2 − 4 × 4 × 49 = 0.
et a < 0. Δ = 0 donc l’équation a une solution unique :
(–28)
x – ∞ 4 + ∞ x0 = – =3,5.
8
1
f(x) 49 a) −a2 + 6a − 14 =0 ; Δ = −20, Δ < 0 donc l’équa-
tion n’a pas de solution.
10
b) Δ =0 donc l’équation a une solution : x0 = = 5.
42 a) f(x) = 0 équivaut à 2,2x − 0,2x2 = 0. 25
En factorisant on obtient 2x(1,1 − 0,1x) = 0. Cette équa- 50 a) Δ =289, l’équation a deux solutions :
tion a deux solutions : x = 0 et x = 11. La largeur de 13 – 17 13 + 17
l’arche au sol est donc de 11 m. x1 = = −0,2 et x2 = = 1,5.
20 20
b) Le sommet de l’arche est à la verticale du milieu des b) Δ = −3. L’équation n’a pas de solution.
deux extrémités, donc à x = 5,5.
f(5,5) = 6,05, donc la hauteur est de 6,05 m. 51 a) Δ =12. L'équation a deux solutions :
La forme canonique de f est f(x) = −0,2(x − 5,5)2 + 6,05. 2 – 12 2 + 12
x1 = = 1 − 3 et x2 = = 1 + 3.
2 2
43 a) Les sommets des paraboles se trouvent sur 1 8
b) L’équation équivaut à x2 + = 0. Elle n’a donc
l’axe des ordonnées, donc le nombre α de la forme 2 3
pas de solution.
canonique est nul. Les expressions de ces fonctions
sont donc bien de la forme a x2 + β. 52 a) L'équation
b) Pour le jet sortant à 16 dm du sol et touchant le sol équivaut à
à 5 dm, on a β = 16 et a × 52 + β = 0, donc a = −0,4. 2x2 + 2x − 4 = 0.
La forme canonique est donc −0,4x2 + 16. Le discriminant est
Pour le jet sortant à 14 dm du sol et touchant le sol à Δ = 36, donc l'équa-
10 dm, on a β = 14 et a × 102 + β =0, donc a = −0,14. tion a deux solutions :
La forme canonique est donc −0,14x2 + 14. x1 = −2 et x2 = 1.
12
Seule la solution positive convient dans le contexte b) Si f avait une forme factorisée, l’équation f(x) = 0
du problème, ainsi ABCD est un rectangle d’or lorsque aurait au moins une solution, ce qui n’est pas le cas.
1 + 5
x= . 69 a)
2
f g
61 Après les deux années, le montant sur le compte
t 1+t
est 20 807,5 e,donc20 000× 1 +
100
× 1+100
= 20 807,5.
t
En posant T = , l’équation devient :
100
20 000 (1 + T) (1,01 + T) = 20 807,5.
En développant puis en simplifiant par 100 :
200T 2 + 402T − 6,075 = 0.
Δ = 166 464. L’équation admet donc deux solutions : f semble avoir deux racines : −3 et 2.
1,5 202,5 g semble avoir une racine unique : 2,5.
T1 = et T2 = – . b) On prend pour a le coefficient de x2.
100 100
Le taux de rémunération étant positif, seul T1 convient 2(x + 3)(x − 2) = 2(x2 + x − 6) = 2x2 + 2x − 12 = f(x)
et on trouve t = 1,5. − 8(x − 2,5)2 = − 8(x2 − 5x + 6,25) = −8x2 + 40x − 50 = g(x)
x – ∞ –4 1 + ∞ 73 a) Un produit est nul si, et seulement si, l’un des
x2 + 3x – 4 + 0 – 0 + facteurs est nul.
Les solutions de l’équation sont donc les solutions des
66 a) − 4x2 − 1 est toujours strictement négatif car équations du premier degré 2x + 1 = 0 et x − 2 = 0,
inférieur ou égal à −1. Il n'y a pas de racine. 1
c’est-à-dire x1 = – et x2 = 2.
b) − 4(x − 1)2 a pour racine 1, et l’expression est stricte- 2
ment négative pour x ≠ 1. b) Les coefficients de x sont positifs dans les deux
c) 2(x − 3)2 a pour racine 3, et l’expression est stricte- facteurs, le coefficient de x2 le sera donc aussi dans la
ment positive pour x ≠ 3. forme développée. De plus, on sait que le trinôme est
du signe de ce coefficient, sauf entre les racines.
67 f s’annule pour x = −1 et x = −3. f(x) est donc de la On en déduit le tableau de signes ci-dessous.
forme a(x + 1)(x + 3). De plus f(−2) = −2, il faut donc que
1
a(−2 + 1)(−2 + 3) = −2, ce qui donne a = 2. x – ∞ – 2 + ∞
2
Donc f(x) = 2(x + 1)(x + 3).
f(x) + 0 – 0 +
68 a) Le sommet a pour coordonnées (2 ; −1) et 74 a) Le coefficient de x2 est −3.
f(0) = −2, donc f(x) = a(x − 2)2 − 1 avec f(0) = −2.
1 1 x – ∞ –2 7 + ∞
Alors 4a − 1 = −2, donc a = – et f(x) = – (x − 2)2 − 1. –3(x + 2)(x – 7) – 0 + 0 –
4 4
14
La parabole et la droite ont deux points d’intersection,
86 1. a) Vrai. En effet, f(x) n’a pas de racine donc
de coordonnées (– 0,64 ; 3,008) et (0,25 ; 11,75).
Δ < 0.
b) La parabole est au-dessus de la droite lorsque
b) Faux. En effet, pour f(x) = x2 + 2x + 1 = (x + 1)2, on a
– 5x2 + 14x + 12 > 4,7x + 4, c’est-à-dire –5x2 + 9,3x + 8 > 0.
Δ = 0, donc Δ > 0 et f(x) = 0 a une solution unique –1.
Comme a = –5, on a le tableau de signes :
c) Vrai. En effet, si ac < 0, alors – 4ac > 0 et par consé-
x – ∞ –0,64 2,5 + ∞
quent b2 – 4ac > 0.
–5x + 9,3x + 8
2
– 0 + 0 –
2. a) Si Δ < 0 alors pour tout nombre réel x, f(x) > 0.
La parabole est au-dessus de la droite sur l’intervalle Faux. En effet, f(x) est de signe constant mais peut être
]– 0,64 ; 2,5[, coupe la droite pour x = – 0,64 et x = 2,5, négatif.
et elle est sous la droite pour les autres valeurs de x. b) Vrai. En effet, si l’équation f(x) = 0 admet deux solu-
tions distinctes, alors Δ > 0.
82 a) Les deux courbes se coupent lorsque f(x) = g(x),
c) Si Δ > 0 alors ac < 0. Faux. Par exemple,
ce qui équivaut à 3x2 + 5x – 4 = 2x2 – 7x + 9,
f(x) = x2 + 5x + 4, Δ = 9 et ac > 0.
x2 + 12x – 13 = 0.
Le discriminant est Δ = 196, donc l’équation a deux 87 a) Faux. En effet, f(– 5) > 0.
solutions : x1 = –13 et x2 = 1. Les ordonnées correspon- b) Vrai. En effet, ]–3 ; 1,5[ ⊂ ]– 4 ; 4[.
dantes sont y1 = f(x1) = 438 et y2 = f(x2) = 4.
Les courbes se coupent en deux points de coordon-
nées (–13 ; 438) et (1 ; 4).
b) f(x) > g(x) équivaut à x2 + 12x – 13 > 0.
8 Pour se tester
x – ∞ –13 5 + ∞ 88 1. A 2. D 3. B 4. A
x2 + 12x – 13 + 0 – 0 +
89 1. A et C 2. C et D 3. A et C 4. B et C
1 est au-dessus de 2 sur ]– ∞ ; –13[ ∪ ]1 ; + ∞[.
1 est en dessous de 2 sur ]–13 ; 1[. 90 1. Faux. En effet, c = f(0) et on observe sur la
1 coupe 2 pour x = –13 et x = 1. courbe que f(0) < 0.
2. Faux. En effet, d’après l’orientation de la courbe,
83 a) Le discriminant est Δ = 64, donc le trinôme a
a < 0.
deux racines : x1 = 1 et x2 = 5.
3. Faux. En effet, d’après ce qui précède, a et c sont
x 0 1 5 10 tous les deux négatifs.
–2x2 + 12x – 10 + 0 – 0 + 4. Vrai. En effet, la courbe coupe l’axe des abscisses en
b) L’activité est rentable pour une production com- deux points, donc le trinôme f(x) admet deux racines.
prise entre 10 et 50 objets. 5. Faux. En effet, f(3) = 3, donc 3 est une solution de
f(x) > 3.
84 a) Soit p le prix de vente à la tonne. Comme il y a
9
équilibre pour 25 tonnes, 25p = 252 + 632 × 25 + 1 075
donc p = 700 e. Pour aller plus loin
b) B(q) = 700q – C(q) = – q2 + 68q – 1 075
c) L’activité est rentable lorsque B(q) > 0. 91 a) nx = 180 (E), et (n + 3)(x – 2) = 180 (F).
On cherche les racines de B(q). Δ = 324, il y a donc 180
b) L’équation (E) donne n = , puis en remplaçant
deux racines : 25 (déjà connue), et 43. x
180
Comme le coefficient de x2 est négatif, B(q) est positif dans (F), on obtient x
+ 3 (x – 2) = 180.
entre les racines. L’activité est rentable pour une pro-
Cette équation équivaut à (180 + 3x)(x – 2) = 180x,
duction comprise entre 25 et 43 tonnes de papier.
c’est-à-dire 3x2 – 6x – 360 = 0.
85 a) On cherche pour quelles valeurs de t dans Δ = 4 356, les solutions sont x1 = –10 et x2 = 12.
[0 ; 24], f(t) < 3. c) Dans le contexte du problème, seule la solution
Ceci équivaut à l’inéquation – 0,01t2 + 0,24t – 1,28 < 0. positive convient. Les parents ont donc demandé à
Le discriminant est Δ = 0,006 4 donc le trinôme a deux Florian de rembourser 12 e par mois, pendant 15 mois
180
racines : t1 = 8 et t2 = 16. De plus le coefficient de t 2 est car = 15.
12
négatif.
Le trinôme est donc négatif sauf entre les racines. 92 a) Le volume vendu est 8 000 – 200n L.
Le chauffage a fonctionné de 0 h à 8 h puis de 16 h à b) Le bénéfice total est
24 h. (0,02 + 0,001n) × (8 000 – 200 n) = – 0, 2n2 + 4n + 160.
16
Si L = 100, l’autre dimension est égale à 800 et si
105 a) – 2(x – 3)2 < 0
L = 800, l’autre dimension est égale à 100. Le terrain
b) Pour tout nombre réel x, – 2(x – 3)2 + 5 < 5.
fait donc 100 m sur 800 m.
De plus, f(3) = 5. Donc 5 est le maximum de f, qui est
100 On note (m ; 0) les coordonnées du point B. atteint en 3.
Si m = 2, alors la droite (AB) est parallèle à l’axe des Le sommet de la parabole a pour coordonnées (3 ; 5).
ordonnées et coupe une seule fois la parabole en A.
Si m ≠ 2, la droite (AB) a une équation du type y = ax + b 106 a) Forme développée : f(0) = – 6.
1–0 m b) Forme factorisée : 2(x – 1)(x + 3) = 0 a pour solutions
avec a = , et 0 = am + b, donc b = – .
2–m 2–m x1 = 1 et x2 = –3.
1 m c) Forme canonique : f(x) = –8 équivaut à 2(x + 1)2 = 0 ;
La droite (AB) a donc pour équation y = x– .
2–m 2–m la solution est –1.
La droite (AB) coupe deux fois la parabole, si et seule-
ment si l’équation d’inconnue x 107 a) Forme développée : f(0) = 24.
1 m b) (x – 2)(x – 4) = 0 pour x1 = 2 et x2 = 4.
2(x – 1)2 – 1 = x–
2–m 2–m 3(x – 2)(x – 4) = 0 a les mêmes solutions.
admet deux solutions.
m ≠ 2 donc cette équation équivaut à c) f(x) = – 3 équivaut à :
x2(4 – 2m) + x(4 m – 9) + 2 = 0. 3(x – 3)2 – 3 = –3
Le discriminant Δ est égal à : (x – 3)2 = 0
16 m2 – 56 m + 49 = (4 m – 7)2. x = 3.
7
Le discriminant est positif pour tout m ≠ et s’annule 108 a) Forme canonique : x0 = –1,5.
7 4
en . b) Forme factorisée : x1 = – 4 et x2 = 1.
4
Conclusion : (AB) coupe la parabole en deux points, c) Forme développée : – x2 – 3x = 0 se factorise en
sauf lorsque l’abscisse de B est égale à 2 ou 1,75. x(– x – 3) = 0. x1 = 0 et x2 = – 3.
Si l’abscisse est égale à 2, (AB) est parallèle à l’axe de la 109 a) Δ = 49, deux solutions : x1 = – 2 et x2 = 5.
parabole. Si l’abscisse est égale à 1,75, la droite (AB) est
b) x2 – 2x + 1 = 0. Soit on reconnaît (x – 1)2 = 0, soit
tangente à la parabole en A.
Δ = 0 et x0 = 1.
101 p est l’âge actuel du père et s l’âge actuel de c) Δ = – 83, pas de solution.
Stacey. d) Δ = 49, deux solutions : x1 = – 1 et x2 = 2,5.
p – 1 = 8(s – 1) et p = s2, donc s2 – 1 = 8(s – 1).
100 a) Δ = 144, deux solutions.
L’équation s2 – 8s + 7 = 0 admet deux solutions : 1 et 7.
b) x1 = – 5 et x2 = 7.
Dans le contexte du problème, la solution 1 ne
convient pas car il y a un an, Stacey aurait 0 an. Donc 111 a)
l’âge actuel de Stacey est 7 ans et son père a 49 ans.
10
1
Accompagnement c) Δ = 49, deux solutions : x1 = – 3 et x2 = .
2
personnalisé
103 Les coordonnées du sommet de la parabole 112 1. Δ = – 88, pas de solution.
sont (1 ; 4).
1
A B
O 1
b)
x – ∞ 1 3 + ∞
–2x2 + 8x – 6 – 0 + 0 –
18
2
Fonction racine carrée
Fonction cube
3
c) f(x) = – 3x.
2
2 Bien démarrer
1. 1. a) 25 = 5 b) 100 = 10
1
c) 9 = 3 d) 16 = 4
2. a) 45 = 35 b) 12 = 23 O 1
c) 75 = 55 d) 63 = 37
2. a) f(− 5) > f(− 4) b) f(0) < f(1)
c) f(2) et f(5) ne peuvent pas être comparés.
d) f(3) < f(− 6) e) f(− 1) > f(6)
3. a) f(x) = 2x – 1
x – ∞ + ∞
f (x)
4. 1. a) f(3) = 3 = 9
2
b) f(− 5) = (− 5)2 = 25
1 c) f(0, 1) = 0,1 = 0, 01
2
O 2.
1
x – ∞ + ∞
f (x)
1
1
b) f(x) = – x + 3 O 1
2
f(x)
0
20
4 Savoir-faire
10 a) Quel que soit le nombre réel x, x − 1 < x < x + 1,
donc (x − 1)3 < x3 < (x + 1)3.
b) Quel que soit le nombre réel positif x, – x < 0 < x,
2 La fonction racine carrée est croissante sur donc (− x)3 < 0 < x3.
[0 ; + ∞[, donc deux nombres positifs et leurs racines 1
c) Quel que soit le nombre réel positif x, x < x < 2x,
carrées sont rangés dans le même ordre. 1 3 2
a) 0 < x < 3 donc 0 < x < 3. 2
donc x < x3 < (2x)3.
2
b) x > 4 donc x > 4, c’est-à-dire x > 2.
c) 4 < x < 9 donc 4 < x < 9, c’est-à-dire 2 < x < 3. 11 a) Si 0 < x < 2, alors 0 < x3 < 8.
d) x > 0, 25 donc x > 0,25 , c’est-à-dire x > 0,5. b) Si x > −1, alors x3 > −1.
e) 1,21 < x < 6,25 donc 1,21 < x < 6,25, c’est- c) Si −1,5 < x < 1,5, alors − 3,375 < x3 < 3,375.
à-dire 1, 1 < x < 2, 5. d) Si − 2,4 < x < − 1,3, alors − 13,824 < x3 < − 2,197.
f) x > 2, 25 donc x > 2,25, c’est-à-dire x > 1, 5. e) Si x < 2,8, alors x3 < 21,952.
f) Si 10 < x < 255, alors 1 000 < x3 < 15 625.
3 Pour tout nombre réel x, x2 + 4 > 4. Or la g) Si x3 < − 20, alors x3 < −8 000.
fonction racine carrée est croissante sur [0 ; + ∞[, donc h) Si − 10 < x < −1, alors −1 000 < x3 < −1.
x2 + 4 > 4, c’est-à-dire x2 + 4 > 2. L’affirmation
12 Quel que soit le nombre réel x, x2 − 1 < x2 + 1,
de Mahdi est donc vraie.
donc, puisque la fonction cube est croissante sur R,
(x2 − 1)3 < (x2 + 1)3. L’affirmation de Perrine est donc
4 Le tableau de variation de la fonction racine
vraie.
carrée illustre le fait que cette fonction est croissante
sur [0 ; + ∞[.
a) x > 0, 01 donc x > 0,01, c’est-à-dire x > 0,1.
b) 2 < x < 8 donc 2 < x < 8. 5 Résoudre des problèmes
c) x > 4, 9 donc x > 4,9.
14 Dire que la vitesse initiale est supérieure à 50 m/s
signifie que v0 > 50, c’est-à-dire 10d > 50.
6 La fonction cube est croissante sur R, donc deux
Les nombres 10d et 50 sont positifs et la fonction
nombres et leurs cubes sont rangés dans le même
carré est croissante sur [0 ; + ∞[, donc l’inéquation
ordre.
10d > 50 équivaut à (10d)2 > 502, c’est-à-dire
a) −1 < x < 2 donc (−1)3 < x3 < 23, c’est-à-dire −1 < x3 < 8.
10d > 2 500. En divisant chaque membre par 10, qui est
b) x < 0 donc x3 < 03, c’est-à-dire x3 < 0.
positif, cela équivaut à d > 250. Ce morceau de lave va
c) 0, 5 < x < 1,5 donc (0,5)3 < x3 < (1,5)3, c’est-à-dire
donc parcourir plus de 250 m avant de toucher le sol.
0,125 < x3 < 3,375.
d) x < 0,1 donc x3 < (0,1)3, c’est-à-dire x3 < 0,001. 15 Dire que la fréquence dépasse 20 hertz signifie
e) −2 < x < 2 donc (− 2)3 < x3 < 23, c’est-à-dire − 8 < x3 < 8. que f > 20, c’est-à-dire 10T > 20. Les nombres 10T
f) x > −3 donc x3 > (−3)3, c’est-à-dire x3 > −27. et 20 sont positifs et la fonction carré est croissante
sur [0 ; + ∞[, donc l’inéquation 10T > 20 équivaut à
7 a) a > 4 donc a3 > 43, c’est-à-dire a3 > 64. (10T)2 > 202, c’est-à-dire 100T > 400. En divisant
b) −5 > a donc (−5)3 > a3, c’est-à-dire −125 > a3. chaque membre par 100, qui est positif, cela équivaut
à T > 4. La tension minimale est donc de 4 newtons.
8 a) a > 5 × 102 donc a3 > (5 × 102)3, c’est-à-dire
a > 125 × 106.
3 17 g(1) = 0 donc a + b = 0.
b) a < −2 × 10 −3 donc a3 < (−2 × 10 −3)3, c’est-à-dire g(4) = − 2 donc 2a + b = − 2.
a3 < −8 × 10 −9. a et b vérifient donc les équations :
1 3
9 a) < a < donc
1 3 3 3 5 a+b=0 .
2 4 2
< a3 <
4
, 2a + b = − 2
En soustrayant membre à membre la première
1 27
c’est-à-dire < a < . équation de la seconde, on obtient a = − 2.
8 64
5 2 5 3 2 3 En remplaçant a par − 2 dans la première équation, on
b) − < a < donc −
2 3
2
< a3 <
3
, obtient − 2 + b = 0, c’est-à-dire b = 2.
125 8 Par conséquent, pour tout nombre réel positif x,
c’est-à-dire – <a< .
8 27 g(x) = − 2x + 2.
6 Travaux pratiques 7
8
[50 ; 61]
[62 ; 74]
20 1. a) Dans la cellule B2 on saisit =3*SQRT(A2^3). 9 [75 ; 87]
10 [88 ; 102]
11 [103 ; 117]
12 [118 ; + ∞]
22
c) Tracés avec GeoGebra :
25 La fonction racine carrée est représentée sur
l’écran 4.
est égale à la demande. En se plaçant à ce prix, on ne 33 a) 17 ≈ 4,12 b) 2,5 ≈ 1,58
fabrique ni trop, ni pas assez de tablettes.
b) Si le prix x est supérieur à 100, alors la demande est c) 1,11 ≈ 3, 33 d) 38 ≈ 6,16
supérieure à l’offre. On produit 0,25x + 65 tablettes,
mais seulement 130 − 4x sont vendues. 34 a) L’antécédent de 8 est 64.
Le bénéfice est alors donné, en fonction de x, par la b) − 10 n’a pas d’antécédent par la fonction racine
fonction B définie sur [100 ; 200] par : carrée.
3 9
B(x) = (130 − 4x) × x − (0,25x + 65) × 25. c) L’antécédent de est .
4 16
En traçant la courbe représentative de cette fonction
d) L’antécédent de 23 est 23.
avec GeoGebra, on observe qu’elle est croissante sur
[100 ; 200]. Le prix d’équilibre n’est donc pas celui qui 35 L’ordonnée du point de la courbe d’abscisse
permet d’obtenir le bénéfice maximal. 5 est 5. Or 5 n’est pas égal à 2,24, donc le point A
7
n’appartient pas à la courbe .
Pour s’entraîner 36 a) 64 = 8 donc le point A appartient à la
22 a) 121 = 11 b) 49 = 7 c) 0 = 0 courbe .
d) 4 = 2 b) La fonction racine carrée n’est pas définie pour
x < 0, donc le point B n’appartient pas à la courbe .
23 a) L’antécédent de 4 est 16. c) 2 ≠ 1,41 donc le point C n’appartient pas à la
b) L’antécédent de 1 est 1. courbe .
c) L’antécédent de 0,01 est 0,000 1.
36 36 6
d) L’antécédent de 9 est 81. 37 = = = 1,2
25 25 5
24 L’affirmation de Marina est vraie. Tout nombre
réel positif x admet comme image unique le nombre 38 x est toujours positif, donc l’équation x = −1
x et comme antécédent unique le nombre x2. n’admet aucune solution réelle.
42 a) Si 0 < x < 3, alors x < 3. 50 a) v 2 = 160d donc v = 160d, soit v = 410d.
b) Si x > 5, alors x > 5. b) Pour que la distance de freinage soit égale à 10 m,
3 1 3 1 il faut rouler à une vitesse de 410 × 10 = 40 km/h.
c) > , donc > .
4 4 2 2 c) Pour que la distance de freinage soit égale à 20 m,
d) π < 4, donc π > 2. il faut que la vitesse soit de 410 × 20 ≈ 56,6 km/h.
e) 18 > 8, donc 32 > 22. L’automobiliste était donc en excès de vitesse.
43 a) 3,2 < 3,21 donc 3,2 < 3,21 et A < B. 51 a) Pour un tube de diamètre 7 mm, D = 7, donc
b) 17 > 11 donc 17 > 11 et A > B. P
c) 2 < 3 donc 2 < 3 puis −2 > −3. De plus,
3 > 2, donc en additionnant ces deux inégalités
30 = 7 soit, en élevant les deux membres au carré,
P
membres à membres, on obtient A > B. donc30 pas
= 49 et finalement P = 1 470. Ce diamètre n’est
suffisant pour transporter une puissance de
44 a) Quand 1 < x < 64,1 < x < 8, donc la 1 500 watts.
réponse est correcte. 3 000
b) La réponse est fausse, car x est toujours positif.
Si x ∈ [0 ; 4], alors x ∈ [0 ; 2].
b) Si P = 3 000, D =
30
= 10. Il faut donc un
diamètre supérieur ou égal à 10 mm.
c) La réponse est fausse, car l’intervalle solution doit c) Il faut des tubes de diamètres tels que
être fermé en 5. Si x ∈ [25 ; + ∞[, alors x ∈ [5 ; + ∞[. 1 000 20 000
24
56 Le tableau de variation de la fonction cube est 68 1. Tableaux de valeurs :
le tableau 2.
x – 10 – 9 – 8 – 7 – 6 – 5 – 4
57 La fonction cube est croissante sur R. x 3
– 1 000 – 729 – 512 – 343 – 216 – 125 – 64
a) 123 < 133 b) (− 42)3 < 423 c) (− 5)3 > (− 7)3
x – 3 – 2 – 1 0 1 2 3
58 a) Quand x ∈ [0 ; 1], x3 ∈ [0 ; 1].
b) Quand x ∈ ]2 ; 3], x ∈ ]8 ; 27].3 x 3
– 27 – 8 – 1 0 1 2 8
c) Quand x ∈ ]− 1 ; 1[, x3 ∈ ]− 1 ; 1[.
x 4 5 6 7 8 9 10
59 a) Tableau de valeurs :
x3 64 125 216 343 512 729 1 000
x 0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 2. a) x = 64 quand x = 4.
3
b) La fonction cube est strictement croissante. Ainsi, 72 a) Si 1 < x < 5, alors 1 < x3 < 125.
quel que soit le nombre réel k, la courbe représenta- b) Si x > 1,2, alors x3 > 1,728.
tive de la fonction cube dans un repère ne peut avoir c) −2 > − 2, donc − 22 > − 8.
qu’un point d’intersection avec la droite d’équation d) π < 3,5, donc π3 < 42,875.
y = k. Cela signifie que l’équation x3 = k ne peut pas
73 a) x3 < 27 quand x ∈ ]− ∞ ; 3].
avoir plus d’une solution.
b) x3 > −1 quand x ∈ ] − 1 ; + ∞[.
67 On a voulu résoudre l’équation x = 3. On a 3 c) x3 < − 64 quand x ∈ ]− ∞ ; − 4[.
obtenu comme solution x ≈ 1,443. d) x3 > 1 000 quand x ∈ [10 ; + ∞[.
81 1. A et D 2. A et C 3. A et C 4. A
26
1 200
84 a) Avec la calculatrice, on conjecture que est x3 >
4 184π
en-dessous de ’ sur [0 ; 1] et au-dessus de ’ sur x3 > 0,091 3.
[1 ; + ∞[. En tabulant la fonction cube à la calculatrice, on trouve
que r doit être supérieur ou égal à 0, 46 m.
4 184 3 x + 2x + 1 − 1 − x2 = 2y2
2
πx > 400
3 2x = 2y2
3
πx3 > × 400 y2 = x
4 184
1 200 y = x.
πx3 >
4 184 Ainsi, BD = x.
10 Accompagnement
personnalisé
x
f(x) – 27
– 3 – 2
– 8
– 1
– 1
0
0
1
1
2
8
3
27
94 a) 3 < 11 donc A < B. b), c) Courbe représentative et tracés :
b) 17, 02 < 17, 1 donc A < B.
c) π + 2 > 5 donc A > B. 10
28
b) g(1) = 1 donc A appartient à .
101 a) 14 < 20 donc A < B.
g(−2) = (−2)3 et (−2)3 ≠ 8 donc B n’appartient pas à .
b) −2,01 < −1,98 donc A < B.
g(1,1) = 1,13 et 1,13 ≠ 1,33 donc C n’appartient pas à .
c) 3 + 2 > 3 + 1 donc A > B.
g(−2,5) = (−2,5)3 et (−2,5)3 = −15,625 donc D appartient
d) π > − π donc A > B.
à .
e) 1 254 337 < 1 254 376 donc A < B.
g(3) = 33 et 33 ≠ 9 donc E n’appartient pas à .
g(2,1) = 2,13 et 2,13 = 9,261 donc F appartient à .
102
105 a) À l’aide de la calculatrice, on conjecture que la
courbe et l’axe des abscisses ont trois points d’inter-
section d’abscisses environ égales à 0,38, 0,98 et 2,62.
1
O 1
x2 − 3x + 1 (x − 1)(x2 − 3x + 1)
Fonction cube : trait plein noir. b) (x − 1) =
10 10
Fonction carré : trait plein gris. x3 − 4x2 + 4x − 1
Fonction racine carrée : petits traits noirs. =
10
Fonction inverse : petits traits gris. = f(x).
c) f(x) = 0 si, et seulement si, x − 1 = 0 ou x2 − 3x + 1 = 0.
103 a) Fenêtre : 0 < X < 9, pas 1 ; 0 < Y < 3, pas 1. L’unique solution de x − 1 = 0 est x0 = 1.
Le discriminant de l’équation x2 − 3x + 1 = 0 est
Δ = (−3)2 − 4 × 1 × 1 = 5. Les solutions de cette équation
3 – 5 3 + 5
sont x1 = et x2 = .
2 2
d) Les abscisses exactes des points d’intersection
de la courbe avec l’axe des abscisses sont donc 1,
3 – 5 3 + 5
et .
2 2
b) f(1) = 1 donc A appartient à .
f(2) = 2 donc B appartient à .
106 a) Le triangle ACM est rectangle en C, donc
f(6,25) = 6,25 et 6,25 = 2,5 donc C appartient à .
AM2 = AC2 + CM2 = x2 + 81, et ainsi AM = x2 + 81,
f(5) = 5 et 5 ≠ 2,236 donc D n’appartient pas à .
en km.
f(4) = 2 donc E appartient à .
Le gardien parcourt la distance AM à une vitesse de
f(3) = 3 et 3 ≠ 1, 7 donc F n’appartient pas à .
x2 + 81
4 km/h, donc en un temps égal à , en h.
4
104 a) Fenêtre : −3 < X < 3, pas 1 ; −27 < Y < 27, Il parcourt ensuite la distance BM = 15 − x, à une
pas 10. 15 – x
vitesse de 5 km/h, donc en un temps égal à ,
5
en h.
Le temps de trajet total est donc bien, en h,
x2 + 81 15 – x
f(x) = + .
4 5
b) À l’aide de la calculatrice, on observe que le gardien
doit accoster à 12 km du point C. Son temps de par-
cours est alors de 4,35 heures, soit 4 h et 21 min.
b)
1 Au fil des siècles
La controverse est née d’une incertitude : qui de
Newton et Leibniz a développé les principes de la dé- 1
rivation avant l’autre ? Certaines personnes, à la suite
de Newton lui-même, accusaient Leibniz de plagiat, O 1
car il aurait eu accès à des manuscrits non publiés de
Newton. Les autres prouvaient sans conteste l’antério-
rité des publications de Leibniz et la supériorité de son
système de notation. Il semble bien que Newton avait
effectivement développé ses idées avant Leibniz, mais
que, même si ce dernier a eu accès à des manuscrits de
Newton, il a travaillé de façon indépendante. 2. a) Le coefficient de x 2
est négatif donc f admet un
• http://ljk.imag.fr/membres/Bernard.Ycart/mel/dc/node maximum sur R.
15.html b) f(0) = 3 et f(2) = − 2 × 22 + 4 × 2 + 3 = 3.
f(0) = f(2) donc, par symétrie, l’abscisse du sommet
• http://www.nicolasderauglaudre.net/philosophie/New- de la parabole est 1. L’ordonnée du sommet est donc
ton/Newton-Leibniz_controverse1.htm f(1) = − 2 × 12 + 4 × 1 + 3 = 5.
• http://fr.wikipedia.org/wiki/Isaac_Newton#Newton_et_ c)
Leibniz
O 1
30
b) Le coefficient directeur de (CD) est sont (1 + h ; − h2 − 2h + 3). Le coefficient directeur de la
y D – yC – 2 – 7 droite (AM) est donc :
= = – 3.
xD – xC 2 – (– 1) yM – yA –h2 – 2h + 3 – 3 –h2 – 2h
= = = – h – 2.
c) Le coefficient directeur de (EF) est 0 car E et F ont la xm – xA 1+h–1 h
même ordonnée. b) Lorsque h se rapproche de 0, − h − 2 se rapproche
d) Le coefficient directeur de (GH) est de − 2. Par conséquent, f’(1) = − 2.
y H – yG 7–5 2 c) L’équation de la droite est de la forme y = − 2x + p.
= = .
xH – xG – 1 – (– 4) 3 Le point A(1 ; 3) appartient à la droite donc 3 = − 2 + p,
p = 5. L’équation de la tangente est donc y = − 2x + 5.
6. a) Trait plein noir. b) Trait plein gris. c) Pointillés.
d) On cherche la valeur de x telle que y = 0. Il faut donc
résoudre l’équation − 2x + 5 = 0. L’unique solution de
cette équation est x = 2,5. L’artiste doit donc poser la
poutre à 50 cm à droite du bas de la sculpture.
Chapitre 3 Dérivation 31
f(2,5) = (2,5 − 2)2 − 3 = − 2,75 et f ’(2,5) = 1 donc la tan- y = f ’(4)(x − 4) + f(4)
gente au point d’abscisse 2,5 est la droite de coeffi- 1 1
y = − (x – 4) +
cient directeur 1 qui passe par le point C(2,5 ; − 2,75). 16 4
1 1
y = – x + .
16 2
c) f(4) = 4 = 2
1
Pour tout nombre réel x, f ’(x) = .
2x
1 1 1
En particulier, f ’(4) = = = .
24 2 × 2 4
1 L’équation de la tangente à la courbe au point
d’abscisse 4 est : y = f ’(4)(x − 4) + f(4)
O 1 1
y = (x – 4) + 2
4
1
y = x + 1.
4
6 a) Faux. Pour tout nombre réel x, f ’(x) = 4x3.
b) Vrai. f(1) = 1 et f ’(1) = 4.
3 a) Pour chaque valeur x = a du tableau, la L’équation de la tangente à la courbe au point
tangente au point d’abscisse a est la droite de d’abscisse 1 est : y = f ’(1)(x − 1) + f(1)
coefficient directeur g’(a) passant par le point de y = 4(x − 1) + 1
coordonnées (a ; g(a)). y = 4x – 3.
b) On trace une courbe passant par les points de coor-
7 a) Pour tout nombre réel x, k’(x) = 3x2.
données (a ; g(a)) et dont la pente est donnée par la
b) k(2) = 8 et k’(2) = 12.
tangente en chacun de ces points. L’équation de la tangente à la courbe au point
d’abscisse 2 est : y = k’(2)(x − 2) + k(2)
y = 12(x − 2) + 8
y = 12x – 16.
1 1 2 x3 x 2
10 g’(x) = (4x3) – (2x) + = – +
5 a) f(4) = 4 = 64
3
40 10 7 10 5 7
Pour tout nombre réel x, f ’(x) = 3x2.
En particulier, f ’(4) = 3 × 42 = 48. 3 2 1 2
11 f ’(x) = (4x3) + (3x2) – (2x) – 1 –
4 3 2 x2
L’équation de la tangente à la courbe au point d’abs- 2
cisse 4 est : f ’(x) = 3x + 2x − x − 1 − 2
3 2
x
y = f ’(4)(x − 4) + f(4)
y = 48(x − 4) + 64 12 a) L’erreur de Greg se trouve au numérateur de
y = 48x − 128. la dérivée : 0(x2 + 1) est égal à 0, et non à x2 + 1.
1 – 4x
b) f (4) = En corrigeant cette erreur on trouve f ’(x) = 2 .
4 (x + 1)2
1 1
Pour tout nombre réel x, f ’(x) = − 2 . b) f est de la forme f(x) = 2g(x) avec g(x) = 2 .
x x +1
1 1 ’ –v’
En particulier, f ’(4) = − .
16 En appliquant la formule 1 2
v
= 2 avec v(x) = x2 + 1,
v
L’équation de la tangente à la courbe au point – 2x – 4x
on obtient g’(x) = 2 et donc f ’(x) = 2 .
d’abscisse 4 est : (x + 1)2 (x + 1)2
32
5 Résoudre des problèmes
14 Les tangentes sont parallèles si, et seulement si,
f ’(4) = g’(4).
Pour tout nombre réel x > 0,
1 x+8
f ’(x) = 1 × x + (x + 8) × = x + .
2x 2x On observe que C’(8) = C’(12).
4+8 12 Le minimum de la fonction C’ est donc atteint pour
Donc f ’(4) = 4 + =2+ = 2 + 3 = 5.
24 2×2 q = 10.
Pour tout nombre réel x ≠ 3, b) C(10) = 3 500. Pour la quantité q = 10 qui minimise le
– (3x – 9) – (– x – 13) × 3 48 coût marginal, le coût total s’élève à 3 500 e.
g’(x) = = .
(3x – 9)2 (3x – 9)2
30 48 20 La courbe passe par le point A(1 ; 1) donc
Donc g ’(4) = = , soit g’(4) ≈ 5,33.
(12 – 9)2 9 f(1) = 2.
f ’(4) ≠ g’(4) donc l’affirmation de Pablo est fausse.
La droite (AB) est la tangente à la courbe au point A.
15 Avec la méthode d’Éléonore : y –y 0–1
Son coefficient directeur est B A = = 1, donc
f est de la forme uv avec u(x) = x + 3 et v(x) = 2x − 1, xB – xA 0 – 1
f ’(1) = 1.
donc u’(x) = 1 et v’(x) = 2. Pour tout nombre réel x de l’intervalle [0,2 ; 5],
Pour tout nombre réel x, b b
f ’(x) = 1(2x − 1) + (x + 3) × 2 = 4x + 5. f(x) = a + donc f ’(x) = − 2 .
x x
En particulier, f ’(1) = 9. Donc f(1) = a + b et f ’(1) = − b.
Avec la méthode d’Alina : Puisque f ’(1) = 1, alors b = − 1.
Pour tout nombre réel x, Puisque, f(1) = 1, alors a + b = 1 et donc a = 2.
f(x) = 2x2 +5x − 3 donc f ’(x) = 4x + 5. 1
L’expression de la fonction f est donc f(x) = 2 − .
En particulier, f ’(1) = 9. x
Chapitre 3 Dérivation 33
Δ = (− 8)2 – 4 × (− 1) × (− 16) = 0. Il y a donc une unique
6 Travaux pratiques –8
solution, x0 = − = – 4. La courbe et la droite (B1C1)
–2
22 1. Figure réalisée avec GeoGebra. ont donc bien un unique point commun D1, d’abscisse
1
− 4 et d’ordonnée f(− 4) = − .
3
1
f) Pour tout nombre réel x, f ’(x) = − x.
6
4 2
En particulier, f ’(4) = − = – . On retrouve le coeffi-
6 3
cient directeur de (B1C1), qui est donc bien la tangente
à la courbe au point D1.
3. a) Sur deux côtés d’un triangle isocèle, on place
un même nombre de points découpant chaque
segment en un même nombre de segments de
même longueur. On relie ensuite ces points deux
à deux, en commençant du même côté de chaque
2. a) Les coordonnées de B3 sont (3 ; 1) et celles de C3 segment. On trace ainsi des tangentes à la courbe
sont (− 3 ; 1). Les coordonnées du milieu D du segment d’une même fonction polynôme de degré 2.
[B3C3] sont donc (0 ; 1).
Le point D appartient à la parabole donc f(0) = 1.
23 1. a) À l’aide de la calculatrice, on constate que
Or, f(0) = c, donc c = 1.
f(4) = 2 et g(4) = 2, donc f(4) = g(4).
b) Les points B3 et C3 ont la même ordonnée, donc le
1 1
coefficient directeur de la droite (B3C3) est égal à 0. b) f ’(x) = − × 2x + 1 = − x + 1
8 4
Pour tout nombre réel x, f ’(x) = 2ax + b. 1 15
En particulier, f ’(0) = b. Par conséquent, b = 0. c) g’(x) = × 3x2 − × 2x + 18
4 4
c) D’après les questions précédentes, f(x) = ax2 + 1. 3 15
g’(x) = x2 − x + 18
Par conséquent f(6) = 36a + 1. 4 2
Le point B(6 ; − 2) appartient à la parabole donc d) À l’aide de la calculatrice, on constate que f ’(4) = 0 et
f(6) = − 2. g’(4) = 0, donc f ’(4) = g’(4).
1 La tangente à la courbe au point d’abscisse 4 est paral-
On en déduit que 36a + 1 = − 2, soit a = − .
12
lèle à l’axe des abscisses.
Par conséquent, pour tout nombre réel x,
1 2. a) À l’aide de la calculatrice, on constate que
f(x) = – x2 + 1. g(7) = 2. D’autre part, h(7) = 49a + 7b + c.
12
2 7 Par conséquent, a, b et c doivent vérifier la relation
d) × 1 + = 3, donc B1 appartient à la droite d’équa-
3 3 49a + 7b + c = 2.
2 7
tion y = x + . b) h’(x) = 2ax + b
3 3
2 7 c) À l’aide de la calculatrice, on constate que g’(7) = 2,25.
× (− 5) + = – 1, donc C1 appartient à la droite
3 3 D’autre part, h’(7) = 14a + b.
2 7 Par conséquent, a et b doivent vérifier la relation
d’équation y = x + .
3 3
2 7 14a + b = 2,25.
L’équation de la droite (B1C1) est donc bien y = x + .
3 3 d) Le point de coordonnées (8 ; 3) appartient à la
e) x est l’abscisse d’un point commun à et (B1C1) si, et courbe si, et seulement si, h(8) = 3.
seulement si, x est solution de l’équation : Or, h(8) = 64a +8b + c. Par conséquent, a, b et c doivent
1 2 7 vérifier la relation 64a + 8b + c = 3.
– x2 + 1 = x +
12 3 3
e) On trouve que les solutions du système
1 2 2 4
– x – x – = 0
5
12 3 3 49a + 7b + c = 2
− x2 − 8x − 16 = 0. 14a + b = 2,25
On a multiplié par 12 pour avoir des coefficients 64a + 8b + c = 3
entiers. sont a = − 1,25, b = 19,75 et c = − 75.
Le discriminant de cette équation du second degré est Ainsi, h(x) = − 1,25x2 + 19,75x − 75.
34
3. Figure construite avec GeoGebra. b) Pour tout nombre réel h ≠ 0,
1 1
g(3 + h) = = .
3–h–2 1+h
1
g(3 + h) − g(3) = –1
1+h
1 1+h
g(3 + h) − g(3) = –
1+h 1+h
– h
g(3 + h) − g(3) =
1+h
g(3 + h) − g(3) – h 1
h
=
1+h h 2
×
g(3 + h) − g(3) 1
= –
h 1+h
On retrouve bien la formule affichée par le logiciel.
c) On en déduit que g’(3) = − 1.
Chapitre 3 Dérivation 35
b) b) La tangente passe par le point de coordonnées
1 (2,5 ; f (2, 5)), donc f (2, 5) = 4 × 2,5 − 1 = 9.
36
x = − 4. Les coordonnées de ce point d’intersection f(1) = 1 donc le point de coordonnées (1 ; 1) appartient
3 1 1
4 à la tangente. Par conséquent, 1 = + p, p = .
3
sont donc – ; 3 . 2 C’est donc Imane qui a raison.
2 2
48 f ’(x) = 3x2 donc f ’(0) = 0, f ’(1) = 3 et f ’(− 1) = 3. 56 a) Pour tout nombre réel x, g’(x) = 3x2.
b) L’unique solution de l’équation 3x2 = 0 est α = 0. La
49 f ’(x) = nx n−1
donc f ’(1) = n. tangente à la courbe au point d’abscisse α est paral-
1 – 1 lèle à l’axe des abscisses.
50 Pour tout x ≠ 0, f ’(x) = − = donc Anissa et c) L’équation 3x2 = 3 équivaut à x2 = 1. Elle admet donc
x2 x2
Lauriane ont raison. deux solutions, a = − 1 et b = 1. Puisque g’(a) = g’(b), les
tangentes à la courbe aux points d’abscisses a et b
1
51 Pour tout x ≠ 0, f ’(x) = − donc f ’(1) = − 1 et sont parallèles.
x2
1 1
f ’(2) = − . 57 1. Pour tout x ≠ 0, f ’(x) = − 2 .
4 x
1 1 1 1
52 Pour tout x > 0, f ’(x) = 1 donc f ’(1) = et f ’(4) = . 2. a) f ’(x) = − 4 équivaut à 2 = 4, c’est-à-dire x2 = .
x 4
2x 2 4 1 1
Cette équation admet deux solutions, x = et x = − ,
53 a) f ’(x) = 4x3 2 2
qui correspondent aux points de la courbe de coor-
b) f ’(2) = 32
1 1
L’équation de la tangente est de la forme y = 32x + p. 2
données ; 2 et – ; – 2 .
2 2 2
f(2) = 16 donc le point de coordonnées (2 ; 16) appar- b) f ’(x) est toujours négatif et ne peut donc jamais être
tient à la tangente. égal à 9.
Par conséquent, 16 = 32 × 2 + p puis p = − 48.
L’équation de la tangente est donc y = 32x − 48. 58 a) Il semble exister une tangente parallèle à la
c) Fenêtre : 0 < X < 3, pas 1 ; − 5 < Y < 50, pas 5. droite d.
b) On doit résoudre l’équation f ’(x) = 6, c’est-à-dire,
x2 = 2. Cette équation à deux solutions : x = −2
et x = 2. Les tangentes à la courbe aux points
d’abscisses x = −2 et x = 2 sont donc parallèles à d.
Chapitre 3 Dérivation 37
4 9 16 4 2 2 f ’(x) = u’(x)v(x) + u(x)v’(x)
Par conséquent, = × + p, = + p, p = .
9 8 81 9 9 9 f ’(x) = 2x(3x − 1) + (x2 + 1) × 3
9 2 f ’(x) = 6x2 − 2x + 3x2 + 3
L’équation de la tangente est donc y = x + . Ce n’est
8 9 f ’(x) = 9x2 − 2x + 3.
pas l’équation de la droite d, qui n’est donc pas tan- 2. a) f(x) = (x + 1)(3x − 1)
2
38
1 3
f ’(x) = (2x + 4)x + (x2 + 4x − 3) × f(x) = x + 3g(x) donc f ’(x) = 1 + 3g’(x) = 1 − .
2x (x + 1)2
2x 1 La réponse de Sarah est donc correcte.
f ’(x) = (2x + 4)x × + (x2 + 4x − 3) ×
2x 2x On peut mettre f ’(x) sur le même dénominateur et
(2x + 4) × 2x x2 + 4x – 3 développer le numérateur :
f ’(x) = + (x + 1)2 3
2x 2x f ’(x) = –
4x + 8x + x + 4x − 3
2 2 (x + 1)2 (x + 1)2
f ’(x) = (x + 1)2 – 3
2x f ’(x) =
5x2 + 12x − 3 (x + 1)2
f ’(x) = x2 + 2x + 1 – 3
2x f ’(x) =
5 2 3 (x + 1)2
x + 6x − x + 2x – 2
2
f ’(x) = 2 2. f ’(x) = .
(x + 1)2
x
La réponse de Chloé est donc correcte.
72 a) f est de la forme u avec u(x) = x + 1 et v(x) = x. 76 a) f est de la forme u avec u(x) = − x + 5 et
v
u’(x) = 1 et v’(x) = 1, donc : v
v(x) = 2x − 1.
u’(x)v(x) − u(x)v’(x) u’(x) = − 1 et v’(x) = 2, donc :
f ’(x) =
[v(x)]2 u’(x)v(x) − u(x)v’(x)
x−1–x f ’(x) =
f ’(x) = [v(x)]2
x2 – (2x – 1) − (– x + 5) × 2
1 f ’(x) =
f ’(x) = 2 . (2x – 1)2
x – 2x + 1 + 2x – 10
1 x 1 x+1 f ’(x) =
b) 1 + = + = = f(x) (2x – 1)2
x x x x – 9
1 1 f ’(x) = .
f ’(x) = 0 + 2 + 2 (2x – 1)2
x x b) f ’(0) = − 9
L’équation de la tangente au point d’abscisse 0 est de
73 f est de la forme u avec u(x) = 2x − 1 et v(x) = x + 3. la forme y = − 9x + p.
v
u’(x) = 2 et v’(x) = 1, donc : f(0) = − 5 donc le point de coordonnées (0 ; − 5) appar-
u’(x)v(x) − u(x)v’(x) tient à la tangente.
f ’(x) = Par conséquent, p = − 5.
[v(x)]2
2(x + 3) − (2x − 1) L’équation de la tangente au point d’abscisse 0 est
f ’(x) = donc bien y = − 9x − 5.
(x + 3)2
2x + 6 − 2x + 1 c) f ’(1) = − 9
f ’(x) = L’équation de la tangente au point d’abscisse 0 est de
(x + 3)2
7 la forme y = − 9x + p.
f ’(x) = 2 .
x + 6x + 9 f(1) = 4 donc le point de coordonnées (1 ; 4) appartient
à la tangente.
74 a) h est de la forme 1 avec v(x) = 2x − 1 et donc Par conséquent, 4 = − 9 + p, p = 13.
v
v’(x) = 2. L’équation de la tangente au point d’abscisse 1 est
− v’(x)
Par conséquent, h’(x) = donc bien y = − 9x + 13.
[v(x)]2
d) f ’(0) = f ’(1) donc les tangentes aux points d’abs-
− 2
h ’(x) = . cisses 0 et 1 sont parallèles.
(2x – 1)2
1
b) Pour tout nombre réel x ≠ , g(x) = 3h(x) 77 f est de la forme u avec u(x) = 3x + 5,9 et
2 v
− 6 v(x) = x − 2.
donc g’(x) = 3h’(x) = . u’(x) = 3 et v’(x) = 1, donc :
(2x – 1)2
u’(x)v(x) − u(x)v’(x)
75 On pose g(x) = 1 pour tout nombre réel x ≠ −1. f ’(x) =
[v(x)]2
x+1
1 3(x – 2) − (3x – 5,9)
g est de la forme avec v(x) = x + 1 et donc v’(x) = 1. f ’(x) =
v (x – 2)2
− v’(x) 3x – 6 – 3x + 5,9
Par conséquent, g’(x) = f ’(x) =
[v(x)]2 (x – 2)2
− 1 – 0,1
g ’(x) = . f ’(x) = .
(x + 1)2 (x – 2)2
Chapitre 3 Dérivation 39
– 0,1 b) La tangente à une courbe en un point passe forcé-
f ’(4) = = −0,025 et 0,025 ≠ 0 donc l’affirmation
(4 – 2)2 ment par ce point.
de Victor est fausse. c) Si f ’(a) = 0, la tangente au point d’abscisse a a une
équation de la forme y = p, elle est donc bien parallèle
78 a) f est de la forme u avec u(x) = 3x + 2 et
v à l’axe des abscisses.
v(x) = x − 1.
2. a) Si f ’(x) = 2x, alors f(x) = x2 : Faux.
u’(x) = 3 et v’(x) = 1, donc :
b) Si une droite T passe par le point A, alors T est la
u’(x)v(x) − u(x)v’(x)
f ’(x) = tangente à la courbe au point A : Faux.
[v(x)]2
3(x – 1) − (3x + 2) c) Si la tangente au point d’abscisse a est parallèle à
f ’(x) = l’axe des abscisses, alors f ’(a) = 0 : Vrai.
(x – 1)2
3x – 3 – 3x – 2
f ’(x) = 82 a) Faux. f ’(x) = 3x2 −1 donc f ’(0) = − 1. Il existe
(x – 1)2
donc un nombre réel x tel que f ’(x) < 0.
– 5
f ’(x) = . b) Vrai.
(x – 2)2
u c) Faux. f(0) = 0 et f ’(0) = − 1. Il existe donc un nombre
g est de la forme avec u(x) = 4x2 + 5 et v(x) = x − 1.
v réel x tel que f ’(x) < f(x).
u’(x) = 8x et v’(x) = 1, donc : d) Vrai.
u’(x)v(x) − u(x)v’(x)
g ’(x) =
[v(x)]2
g ’(x) =
8x(x – 1) − (4x2 + 5)
(x – 1)2
8 Pour se tester
8x2 – 8x – 4x2 – 5
g ’(x) = 83 1. B 2. A 3. A 4. C
(x – 1)2
4x – 8x – 5
2
g ’(x) = . 84 1. B et C 2. D 3. D 4. B et C
(x – 1)2
b) On doit résoudre l’équation g’(x) = f ’(x). 85 1. Faux. En effet, la courbe coupe la droite d’équa-
4x2 – 8x – 5 – 5
= tion y = 2 en deux points.
(x – 1)2 (x – 1)2
2. Vrai. En effet, la courbe est en-dessous de l’axe des
4x2 – 8x – 5 = –5
abscisses sur l’intervalle [0 ; 0,5[.
4x2 − 8x = 0
3. Vrai. En effet, le coefficient directeur de la droite T
4x(x − 2) = 0
5 – (– 4)
Cette équation a deux solutions, x = 0 et x = 2. est = 9.
1–0
Les courbes des fonctions f et g admettent donc des
Or, la droite T est la tangente à la courbe au point A
tangentes parallèles aux points d’abscisse 0 d’une
d’abscisse 0, donc f ’(0) = 9.
part, et aux points d’abscisse 2 d’autre part.
4. Faux. En effet, la tangente à la courbe au point
79 La fonction dérivée f ’ est du second degré. d’abscisse 2,5 est parallèle à l’axe des abscisses, donc
Elle est donc représentée par la parabole tracée en le nombre dérivé de f en 2, 5 est 0.
pointillés. 5. Vrai. En effet, le maximum de la fonction f sur
La fonction f est représentée par la courbe tracée en [0 ; 10] est égal à 4.
trait plein.
40
CM(6) ≈ 210,33 et Cm(6) = 425 sont supérieurs au prix
87 1. f ’(− 1) = 0
de vente unitaire, l’entreprise n’a donc pas intérêt à
2. a) f ’(0) est le coefficient directeur de la droite (BD).
produire six voitures.
Par conséquent,
y –y 0–2 92 f ’(x) = − 4x3 + 4x + 1
f ’(0) = D B = = – 1.
xD – xB 2 – 0 f ’(− 1) = 1 donc l’équation de la tangente à la courbe
b) f ’(2) est le coefficient directeur de la droite (FE). au point d’abscisse − 1 est de la forme y = x + p.
Par conséquent, f(− 1) = 0 donc le point de coordonnées (− 1 ; 0) appar-
y –y 0,5 – 1 tient à la tangente. Par conséquent, 0 = − 1 + p, p = 1.
f ’(2) = E F = = – 0,25.
xE – xF 2–0 L’équation de la tangente au point d’abscisse − 1 est
c) f ’(x) ne s’annule que pour x = −1, donc la courbe donc y = x + 1.
2 ne convient pas. f ’(0) = − 1 donc la courbe 1 ne Si cette droite est aussi tangente à la courbe en
convient pas. L’unique courbe qui convient est donc un autre point d’abscisse a, alors a est solution de
la courbe 3. l’équation : f ’(a) = 1
88 a) f ’(x) = – 1002 donc : − 4a3 + 4a + 1 = 1
(x + 1) − 4a3 + 4a = 0
x − 4a(a2 − 1) = 0
E(x) = × f ’(x)
f(x) − 4a(a − 1)(a + 1) = 0.
x + 1 – 100
E(x) = x × × Cette équation admet trois solutions.
100 (x + 1)2
x La solution − 1 correspond à la tangente étudiée.
E(x) = − . L’équation de la tangente au point d’abscisse 0 est :
x+1
b) Pour tout nombre réel x de [0 ; 100], 0 < x < x + 1, y = f ’(0)(x − 0) + f(0)
x y = x.
donc ∈ [0 ; 1] et E(x) ∈ [−1 ; 0]. Par conséquent, la
x+1 Ce n’est pas la même droite.
demande est inélastique. L’équation de la tangente au point d’abscisse 1 est :
89 a) a = 1, b = − 3, c = 1 et x = 2. y = f ’(1)(x − 1) + f(1)
y prend la valeur 2 × 1 × 2 − 3 = 1. y=x−1+2
b) a = − 5, b = 4, c = 7 et x = 1. y = x + 1.
y prend la valeur 2 × (− 5) × 1 + 4 = − 6. La tangente au point d’abscisse − 1 est donc aussi
c) Cet algorithme calcule le nombre dérivé de la fonc- tangente à la courbe au point d’abscisse 1.
tion x ax2 + bx + c en la valeur x saisie en entrée. 93 f ’(x) = − 1
d) Pour tout nombre réel x, f ’(x) = 2ax + b, donc c (x + 1)2
n’intervient pas dans le calcul du nombre dérivé. Pour tout nombre réel a différent de 1, l’équation de la
tangente à la courbe au point d’abscisse a est :
90 a) f(0) = 0, g(0) = 0, h(0) = 0 et k(0) = 0 donc cette y = f ’(a)(x − a) + f(a)
partie de l’affirmation est vraie. 1 a
b) Pour tout x ∈ [0 ; +∞[, f ’(x) = 6x2 − 6x. y = − (x − a) + .
(a – 1)2 a–1
– 2x
Pour tout x ∈ [0 ; +∞[, g’(x) = 2 . Le point de coordonnées (1 ; 1) appartient à cette
(x + 1)2
tangente si, et seulement si :
5x2 + 1 1 a
Pour tout x ∈ ]0 ; +∞[, h’(x) = . 1 = − (1 − a) +
2x (a – 1)2 a–1
Pour tout x ∈ [0 ; +∞[, k’(x) = 4x − 3x2 + 2x.
3
a–1 a
c) f ’(0) = 0, g’(0) = 0, h’ n’est pas définie en 0, k’(0) = 0. 1= +
(a – 1)2 a – 1
L’affirmation de Sofia est donc fausse. L’énoncé juste 1 a
est : « Ces quatre fonctions s’annulent en 0 et leurs 1= +
a–1 a–1
fonctions dérivées aussi, sauf la fonction dérivée de h 1+a
qui n’est pas définie en 0 ». 1=
a–1
91 a) CM(q) = 22q2 − 231q + 821 − 100 a − 1 = 1 + a.
q Or, cette équation n’a aucune solution. L’affirmation
b) Cm(q) = 33q2 − 462q + 821 de Céline est donc vraie.
c) Le prix de vente unitaire est 200 milliers d’euros.
CM(5) = 196 et Cm(5) = 161 sont inférieurs au prix de 94 f(x) = xn et f ’(x) = nxn−1.
vente unitaire, l’entreprise a donc intérêt à produire Les abscisses des points d’intersection des courbes de
cinq voitures. f et f ’ sont les solutions de l’équation :
Chapitre 3 Dérivation 41
f(x) = f ’(x) On a multiplié par 4 pour avoir des coefficients entiers.
xn = nxn−1 Le discriminant de cette équation du second degré
x − nx = 0
n n−1
est Δ = 22 − 4 × 1 × (− 8) = 36. L’équation a donc deux
xn−1(x − n) = 0. – 2 – 6 – 2 + 6
solutions, x1 = = −4 et x2 = = 2.
Cette équation admet deux solutions, x = 0 et x = n. 2 2
L’affirmation d’Isaure est donc vraie. f(− 4) = 4 et f(2) = 1 donc les points A et B ont pour
coordonnées respectives (− 4 ; 4) et (2 ; 1).
95 f est de la forme f(x) = ax2 + bx + c avec a, b et c
trois réels, a non nul.
f ’(x) = 2ax + b
f(0) = 5 et f(0) = c donc c = 5.
f ’(0) = 5 et f ’(0) = b donc b = 5.
f ’(1) = 1 et f(1) = 2a + 5 donc 2a + 5 = 1, a = −2.
10 Accompagnement
personnalisé
Par conséquent, f(x) = − 2x2 + 5x + 5. 98 a) y = f ’(2)(x − 2) + f(2)
b) f(2) = 3
96 En multipliant le numérateur et le dénominateur c) y = 7(x − 2) + 3, ce qui donne y = 7x − 11.
par x, on obtient :
1 2 1
x x + (x − 1)
x
99 a) y = f ’(a)(x − a) + f(a)
f(x) = b)
1 2
x x2 –
1
x
A
(x2 + 1)(x − 1) f(a) f’(a)
f(x) = 1
x3 – 1 1
x − 1 = (x − 1)(x + x + 1) donc :
3 2
(x2 + 1)(x − 1) f O 1 a
f(x) =
(x − 1)(x2 + x + 1)
x2 + 1
f(x) = 2 .
x +x+1
u 100 a) L’équation est y = f ’(0)(x − 0) + f(0), avec f ’(0) = 3
f est de la forme avec u(x) = x2 + 1 et v(x) = x2 + x + 1. et f(0) = −1. On obtient bien y = 3x − 1.
v
u’(x) = 2x et v’(x) = 2x + 1, donc : b) L’équation est y = f ’(1)(x − 1) + f(1), avec f ’(1) = −1 et
u’(x)v(x) − u(x)v’(x)
f ’(x) = f(1) = 0. On obtient y = − (x − 1), c’est-à-dire y = − x + 1.
[v(x)]2
2x(x2 + x + 1) − (x2 + 1)(2x + 1) 101 L’équation est y = f ’(−1)(x + 1) + f(−1), avec f ’(−1) = 11
f ’(x) =
(x2 + x + 1)2
et f(−1) = −4. On obtient y = 11(x + 1) − 4, c’est-à-dire
2x + 2x + 2x − 2x3 – x2 – 2x – 1
3 2
f ’(x) = y = 11x + 7.
x4 + 2x3 + 3x2 + 2x + 1
x2 – 1
f ’(x) = 4 . 102 a) f ’(x) = 0 b) g’(x) = 1
x + 2x + 3x2 + 2x + 1
3
c) h’(x) = 2x d) k’(x) = 5x4
1
97 On note f la fonction définie par f(x) = x2. 1 1
4 e) t’(x) = − 2 d) r ’(x) =
1 x 2x
Alors f’(x) = x.
2
Pour tout nombre réel a, l’équation de la tangente à la 103 f(x) f ’(x) f(x) f ’(x)
courbe au point d’abscisse a est : k 0 x3 3x2
y = f’(a)(x − a) + f(a)
1 1 x 1 x 4
4x3
y = a(x − a) + a2.
2 4 x2 2x xn nxn−1
Le point T(−1 ; − 2) appartient à cette tangente si, et
1 1
seulement si : −2 = a(−1 − a) + a2 104 f est de la forme uv avec :
2 4
1 1 2 1 2 u(x) = 2x − 1 et v(x) = − x2 + 6.
−2 = – a – a + a
2 2 4 u’(x) = 2 et v’(x) = − 2x, donc :
1 1 2 f ’(x) = u’(x)v(x) + u(x)v’(x)
−2 = – a – a
2 4 f ’(x) = 2(− x2 + 6) + (2x − 1)(− 2x)
1 2 1
a + a−2=0
4 2 f ’(x) = − 2x2 + 12 − 4x2 + 2x
a2 + 2a − 8 = 0. f ’(x) = − 6x2 + 2x + 12.
42
105 a) u(x) 3x − 1 u’(x) 3 110 h est de la forme u avec u(x) = x2 et v(x) = x − 1.
v
v(x) 5x + 2 v’(x) 5 u’(x) = 2x et v’(x) = 1, donc :
b) (uv)’ = u’v + uv’ u’(x)v(x) − u(x)v’(x)
g ’(x) =
c) f ’(x) = 3(5x + 2) + (3x − 1) × 5 [v(x)]2
f ’(x) = 15x + 6 + 15x − 5 2x(x – 1) − x2
g ’(x) =
f ’(x) = 30x + 1 (x – 1)2
2x – 2x – x2
2
g ’(x) =
(x – 1)2
106 a) u(x) x2 + 5 u’(x) 2x x – 2x
2
g ’(x) = .
v(x) x –3
2
v’(x) 2x (x – 1)2
Chapitre 3 Dérivation 43
4
Applications
de la dérivation
Δ = 81, x1 = – 2 et x2 = 1.
1 Au fil des siècles x – ∞ – 2 1 + ∞
f (x) – 0 +
44
c) L’instruction « Maximum » de la calculatrice permet
3 a) Pour tout x de [0 ; 2], g’(x) = 3x2 – 1.
de conjecturer que le maximum de B est 2,687 5 et
qu’il est atteint pour x = 2,5. b) 1
x 0 2
2. a) Pour tout x de ]0 ; 3], B’(x) = – 4x3 + 18x2 – 24x + 10. 3
En développant l’expression on retrouve B’(x) : g’ (x) – 0 +
– 2(x – 1)2(2x – 5) = – 2(x2 – 2x + 1)(2x – 5) 0 6
= (– 2x2 + 4x – 2)(2x – 5) g (x) 2
–
= – 4x3 + 10x2 + 8x2 – 20x – 4x + 10 33
= – 4x3 + 18x2 – 24x + 10
= B’(x). 1
4 a) Pour tout x de [1 ; 4], h’(x) = 1 + .
b) 2x
x 0 1 2,5 3 1 > 0 et x > 0 donc h’(x) > 0.
–2(x – 1)2 – 0 – – b)
x 1 4
2x –5 – – 0 +
h’(x) +
B’(x) + 0 + 0 –
6
c) h (x)
x 0 1 2,5 3 2
2,687 5
B (x) 1
1 5 Pour tout x de [– 10 ; 10], f ’(x) = x + 3.
d) D’après le tableau de variation, le maximum de x – 10 –3 10
B est 2,687 5 et il est atteint pour x = 2,5. Donc le f’ (x) – 0 +
bénéfice quotidien maximal est 2 687,50 €, il est 16 76
atteint pour la production et la vente de 250 L. f (x)
e) Pour qu’une fonction f admette un maximum en x0, – 8,5
il faut que f ’(x0) = 0 et que f ’ change de signe autour
de x0. 1
6 Pour tout x de [1 ; 8], f ’(x) = – 1 – .
x2
4 Savoir-faire x 1
f’(x) 0 –
4
46
ture que f ’(x) < 0 pour x ∈ ]0 ; α] et f ’(x) > 0 pour Donc la tangente en x0 = 6 à la courbe représentative
x ∈ ]α ; 2]. de C a pour équation y = 36(x – 6) + 216, c’est-à-dire
y = 36x. Elle est représentée par une droite passant par
l’origine du repère.
f)
c) f ’(0,5) = – 2.
3. a) Pour tout x de [1 ; 12], Cm(x) = 3x2 – 24x + 72.
Variables : x, y sont des nombres réels
b) Pour tout x de [1 ; 12], C’m(x) = 6x – 24.
Traitement : Affecter à x la valeur 0,5
Affecter à y la valeur – 2 c) x 1 4 12
Tant que y < 0 faire
C’m(x) – 0 +
Affecter à x la valeur x + 0,001
1 51 216
Affecter à y la valeur 2x + 1 – 2 Cm(x)
x
Fin Tant que 24
Sortie : Afficher x
d) Cm(6) = 36 et CM(6) = 36 donc Cm(6) = CM(6).
On trouve x ≈ 0,658.
e)
6 Travaux pratiques
22 1. a) Pour tout x de [1 ; 12], C’(x) = 3x2 – 24x + 72.
Δ = – 288 < 0. De plus, le coefficient de x2 est positif. 4. a) La fonction C M
admet un minimum en x0 = 6
car sa courbe admet, en x0 = 6, une tangente
Donc, pour tout x de [1 ; 12], C’(x) > 0.
horizontale.
b) C’(x) > 0 sur [1 ; 12], donc C est croissante sur [1 ; 12].
Cm(x) = CM(x) lorsque les courbes se croisent (au point
c) Fenêtre : 0 < X < 12, pas 1 ; 0 < Y < 900, pas 100.
d’abscisse 6).
b) Pour tout x de [1 ; 12],
C’(x) × x – C(x) × 1
C’M(x) =
x2
C (x) × x – C(x)
= m .
x2
Ainsi, C’M(x) = 0 est équivalent à Cm(x) × x – C(x) = 0,
C(x) C(x)
2. a) Pour tout x de [1 ; 12], CM(x) = . c’est-à-dire Cm(x) = ou encore Cm(x) = CM(x).
x x
CM(x) = x – 12x + 72
2
b) De l’expression ci-dessus, on peut déduire que, 32 On conjecture les tableaux de signes ci-dessous.
pour tout v de [40 ; 150], d3(v) = d2(v) + 0,5 × d1(v). x – 2 0 3 4
Or, les fonctions d1 et d2 sont croissantes sur [40 ; 150],
donc d’1(v) > 0 et d’2(v) > 0. f (x) – 0 – 0 +
Ainsi, d’3(v) = d’2(v) + 0,5 × d’1(v) > 0.
La fonction d3 est donc croissante sur [40 ; 150]. x – 2 0 2 4
v 40 150
f’ (x) + 0 – 0 +
d’3(v) +
282,7
d3(v) 33 La fonction dérivée f’ doit vérifier :
20,7
f’(x) < 0 pour x ∈ [– 3 ; – 1] ∪ [2 ; 3], et f’(x) > 0 pour
4. a) Lorsque la vitesse augmente, la distance d’arrêt x ∈ [– 1 ; 2].
augmente. Il s’agit donc du graphique ➂.
48
34 44 Pour tout x de [0 ; 2], f ’(x) = 6x – 4.
2
x – 7 – 2 1 3 7 f ’(x) s’annule pour x = . On en déduit le tableau de
3
f’ (x) – 0 + 0 – 0 +
signes de f ’(x) et le tableau de variation de f.
f (x) 2
x 0 2
3
f’ (x) – 0 +
35 1 5
f (x) 1
–
3
O 1 x – 5 0,2 5
f’ (x) + 0 –
36 La fonction f doit être croissante sur [– 2 ; – 1] et –2,8
[0 ; 2] et décroissante sur [– 1 ; 0]. f (x)
Il s’agit donc de la courbe ➁. –138 –118
37 La courbe rouge est celle de la dérivée et la 46 Pour tout x de [– 3 ; 1], f’(x) = 3x2 + 6x = 3x(x + 2).
bleue celle de la fonction.
x – 3 – 2 0 1
En effet, on observe que la courbe rouge est située
sous (resp. au-dessus de) l’axe des abscisses lorsque la f’ (x) + 0 – 0 +
courbe bleue descend (resp. monte). 4 4
f (x)
38 a) Pour tout x de [– 2 ; 2], f ’(x) = 3x2.
0 0
b) f est croissante sur [– 2 ; 2].
1 2
39 a) Pour tout x de ]0 ; 10], g’(x) = – 2 . 47 Pour tout x de [– 5 ; 0[, f’(x) = 3 + .
x x2
b) g est décroissante sur ]0 ; 10]. x – 5 0
1 f’ (x) +
40 a) Pour tout x de [20 ; 50], h’(x) = .
2x
b) h est croissante sur [20 ; 50]. f (x)
–13,6
41 • f doit être décroissante sur [– 10 ; – 3] ;
• f doit être croissante sur [– 4 ; 5] ; 48 Pour tout x de ]0 ; 4], f’(x) = 4 + 1 .
• il faut que f(– 10) > f(– 3) ; 2x
• Eugénie a inversé les places de – 4 et – 3 dans la x 0 4
première ligne. f’ (x) +
1 17
42 a) Pour tout x de [– 5 ; 0[ ∪ ]0 ; 5], f ’(x) = – 2 . f (x)
x
b) x – 5 0 5
f’(x) – – 49 a) On peut conjecturer que f est décroissante sur
–3,2 [– 3 ; – 1,5].
f(x) – 4
b) Pour tout x de [– 3 ; – 1[ ∪ ]– 1 ; 3], f ’(x) = ,
–2,8 (x + 1)2
donc f ’(x) < 0.
c) f est décroissante sur [– 5 ; 0[ et sur ]0 ; 5]. Ainsi, f est décroissante sur [– 3 ; – 1[ et sur ]– 1 ; 3]. La
conjecture était correcte mais incomplète.
43 a) f(– 0,5) = 1 et f(0,2) = – 3,2.
Ainsi, f(– 0,5) > f(0,2) ce qui contredit l’affirmation 50 a) On conjecture que g est décroissante
d’Hervé. sur [– 1 ; 0] et croissante sur [0 ; 2].
b) f est croissante sur [– 3 ; 0[ et sur ]0 ; 3]. b) Pour tout x de [– 1 ; 2], g’(x) = 5(4x3 – 3x2) = 5x2(4x – 3).
50
b) Du tableau précédent, on déduit le tableau de
61 a) Pour tout x de [– 3 ; 2], f’(x) = 10x + 10.
variation de f.
b) f’(x) s’annule pour x = – 1. On en déduit le tableau de
x – 1 0 1 2 signes de f’(x) et le tableau de variation de f.
1 3
– – x – 3 – 1 2
2 2
f(x) f’(x) 0
– +
– 2 – 2
16 41
c) f(0,2) < f(0,8) ; f(1,2) > f(1,8) ; f(– 0,2) < f(– 0,8). f(x)
1 –4
d) Aïsha a raison car, pour tout x de [– 1 ; 2], f(x) < – ,
2
donc f(x) < 0. c) f admet un minimum local égal à – 4, atteint en – 1.
57 1. Pour tout x de [– 6 ; 2], g’(x) = 2x2 + 7x – 4. 62 a) Pour tout x de [– 5 ; 5], f’(x) = 6x2 + 3x – 30.
On étudie le signe de g’(x) à l’aide du discriminant de On étudie le signe de f’(x) à l’aide du discriminant de
l’expression 2x2 + 7x – 4. l’expression 6x2 + 3x – 30.
Δ = 81, les solutions de l’équation 2x2 + 7x – 4 = 0 sont Δ = 729 > 0, donc l’équation 6x2 + 3x – 30 = 0 possède
1 5
donc x1 = – 4 et x2 = – . deux solutions : x1 = – et x2 = 2.
2 2
De plus, le coefficient de x2 est positif. On en déduit le De plus, le coefficient de x2 est positif. On en déduit le
tableau de signes de g’(x). tableau de signes de f’(x).
1 5
x – 6 – 4 2 x – 5 – 2 5
2 2
g’ (x) + 0 – 0 + f’ (x) + 0 – 0 +
2. Du tableau précédent, on déduit le tableau de b) Du tableau précédent, on déduit le tableau de
variation de g. variation de f.
1 5
x – 6 – 4 2 x – 5 2 5
2 2
2 56 56,125 35
– –
3 3 g(x)
g(x)
745 19 – 35
– 24 –
24
c) f admet un minimum local sur [– 4 ; 4] égal à – 35 et
3. a) Vrai. En effet, g est croissante sur [– 5,8 ; – 5,6].
atteint en x = 2.
b) Faux. En effet, g est décroissante sur [– 2 ; 0].
f admet un maximum local sur [– 4 ; 4] égal à 56,125 et
c) Vrai. En effet, g est décroissante sur [– 2 ; 0,5]. 5
2 atteint en x = – .
d) Vrai. En effet, pour tout x de [– 6 ; 2], g(x) < – , 2
3
donc g(x) < 0. 63 a) Pour tout x de ]1 ; 5],
1 745
e) Faux. Par exemple, g 1 2
2
= –
24
< – 24. f’(x) =
2x(x – 1) – x2 × 1
(x – 1)2
=
x2 – 2x x(x – 2)
=
(x – 1)2 (x – 1)2
.
2
f) Faux. Par exemple, g(– 4) = – > – 0,7. b) x 1 2 5
3
x + +
58 f atteint, en x = – 1, un maximum égal à 4. x–2 – 0 +
f atteint, en x = 1, un minimum égal à – 2. (x – 1)2 0 + +
f’(x) – 0 +
59 f admet un maximum local égal à 7, atteint en
c)
– 1. f admet un minimum local égal à – 5, atteint en 2. x 1 2 5
6,25
60 a) Sur I = [– 5 ; 10]. f(x)
Maximum local de f : 10, atteint en x = 3. 4
Minimum local de f : – 4, atteint en x = 0. d) f admet un minimum égal à 4 et atteint pour x = 2.
b) Sur I = [– 5 ; 3]. Minimum de f : – 4, atteint en x = 0.
c) Sur I = [0 ; 10]. Maximum de f : 10, atteint en x = 3. 64 a) On conjecture que f est décroissante sur ]0 ; 2]
d) Sur I = [0 ; 3]. f n’admet pas d’extremum. et croissante sur [2 ; 12].
65 a)
52
x – 4 – 2 0 d)
x2 + + 0
–4 + x2 + 0 –
f’(x) + 0 –
6
f(x)
5
f admet un maximum égal à 6 et atteint en x = – 2.
69 a) Pour tout x de [– 1 ; 4], 71 a) Pour tout x de [0 ; 250], C’(x) = – 4x + 580.
f’(x) = 12x3 – 48x2 – 84x + 120. b) C’(x) s’annule pour x = 145. On en déduit le tableau
b) Pour tout x de [– 1 ; 4], de signes de C’(x) et le tableau de variation de C.
12(x – 5) (x – 1)(x + 2) = 12(x2 – 6x + 5) (x + 2)
x 0 145 250
= 12(x3 – 4x2 – 7x + 10)
= 12x3 – 48x2 – 84x + 120 C’(x) + 0 –
= f’(x). 50 000
c) C(x)
x – 1 1 4 7 950 27 950
x–5 – –
c) Le coût de production est maximal pour 145 m3 de
x–1 – 0 +
liquide produit et vendu.
x+2 + +
f’(x) + 0 – 72 a) f(0) = 1 ; f(60) = 1.
d) Au début et à la fin de l’épidémie, une seule personne
x – 1 1 4 était atteinte.
f’(x) + 0 – b)
70
f(x)
–138 –443
e) f’(x) s’annule en changeant de signe autour de x = 1.
Donc f possède un maximum égal à 70, atteint en
x = 1.
70 a) Pour tout x de [0 ; 50], B’(x) = – 3x2 + 20x + 3 000. On conjecture que l’épidémie a atteint son plus fort
On utilise le discriminant pour étudier le signe de B’(x). niveau au bout d’environ 40 jours.
Δ = 36 400, donc les solutions de l’équation c) Pour tout x de [0 ; 60], f’(x) = – 3x2 + 120x c’est-à-dire
B’(x) = 0 sont f’(x) = x(– 3x + 120). x est toujours positif donc f’(x) est
–20 – 36 400 10 + 9 100 du signe de – 3x + 120.
x1 = =
– 6 3
–20 + 36 400 10 – 9 100 x 0 40 60
et x2 = = < 0. f’(x) 0 0
– 6 3 + –
Donc, B’(x) > 0 pour x ∈ [0 ; x1] et B’(x) < 0 pour 32 001
x ∈ ]x1 ; 50]. f(x)
b) 1 1
x 0 x1 50
L’épidémie a atteint un pic le 40 jour avec 32 001
e
74 377
B(x) personnes infectées.
0 50 000
73 a) Pour tout x de [6 ; 32], B(x) = 3 500x – C(x) soit
c) L’entreprise réalise un bénéfice maximal égal à
B(x) = – 2x3 + 108x2 – 1 560x + 4 640.
74 377 € pour la vente d’environ 35,131 tonnes de
b) Pour tout x de [6 ; 32], B’(x) = – 6x2 + 216x – 1 560.
matière première.
c) On utilise le discriminant pour étudier le signe de
– 6x2 + 216x – 1 560.
Δ = 9 216 donc il y a deux racines : x1 = 26 et x2 = 10.
1 1
(2x –2) x +
1
2 2
– (x2 − 2x + 5) × 1
1
f’(x) = × O 1 2
2
1x+
1 2
2 2
54
En x = 2, la tangente à la courbe est horizontale, donc b) On étudie les variations de f à l’aide de sa dérivée.
f’(2) = 0, mais f n’atteint pas d’extremum en x = 2. Pour tout x de ]– 1 ; 0], f’(x) = 6x2 – 6x = 6x(x – 1).
x – ∞ 0 1 + ∞
78 La réciproque est : « si f est croissante sur un f’ (x) + 0 – 0 +
intervalle I, alors pour tout x de I, f’(x) > 0 ». –1
Cette réciproque est vraie à condition de s’être assuré
f (x)
au préalable que f est dérivable sur I.
–2
Ainsi, pour tout x de ]– 1 ; 0], f(x) < 0.
c) On en déduit que, pour tout x de ]– 1 ; 0], g’(x) < 0,
donc g est décroissante sur ]– 1 ; 0].
Ainsi, f’(2) = 0 ; f’(x) > 0 pour x ∈ [0 ; 2[ et f’(x) < 0 pour Cm ’(q) = .
q2
x ∈ ]2 ; 3]. b)
Donc le maximum de f sur [0 ; 3] est f(2) = 4,2.
q 1 30 180
La hauteur minimale du plafond doit donc être de
C’(q) – 0 +
4,2 m.
570,5 11 400
C(q)
2x3 – 3x2 – 1
83 a) D’après l’écran, g’(x) = . 150
(x + 1)2 (x2 – x + 1)2
Le dénominateur est toujours positif, donc g’(x) est du 0,5q2 – 600 = 0 si, et seulement si, q = – 203 ou
signe de 2x3 – 3x2 – 1. q = 203.
56
D’où le tableau de variation :
91 On note x l’endroit de la cassure du spaghetti
comme ci-contre. x 0,5 1 3 3,4
24 f’ (x) + 0 – 0 +
Ainsi, si on note f(x) le –x
carré de l’hypoténuse, x 6 2,875
on a, pour x ∈ ]0 ; 24[, f (x)
f(x) = x2 + (24 – x)2 5,125 2
f(x) = 2x2 – 48x + 576 et Ainsi, les extrema de f correspondent aux points
f’(x) = 4x – 48. A(1 ; 6) et B(3 ; 2).
D’où le tableau de variation : Le code est donc 1 236.
x 10 12 24
f ’(x) – 0 +
f(x)
10 Accompagnement
personnalisé
288
95 x – 3 –1 3
Ainsi, le carré de l’hypoténuse, et donc l’hypoténuse, 1 1
est minimal lorsque x = 12 cm. f(x)
–2
92 Pour tout t de [0 ; 5], p’(t) = 3t2 + 2t – 33. 96 a) Pour tout x de [– 10 ; 10], f’(x) = 3 et g’(x) = – 2.
Δ = 400, les deux solutions de p’(t) = 0 sont : b) Pour f fonction définie et dérivable sur un
18 –22 intervalle I :
t1 = = 3 et t2 = .
6 6 • f est croissante sur I si, et seulement si, pour tout x
D’où le tableau de variation :
de I, f’(x) > 0 ;
x 0 3 5 • f est décroissante sur I si, et seulement si, pour tout x
p ’(t) –
0 + de I, f’(x) < 0.
0 –15 c) Pour tout x de [– 10 ; 10], f’(x) > 0 et g’(x) < 0, donc
p(t) f est croissante et g est décroissante sur [– 10 ; 10].
–63
97
Le plongeur est descendu à – 63 m et a amorcé sa
remontée au bout de 30 min.
58
L’aire totale est égale à (L + 3) (, + 1,5). Ainsi, exprimée
en fonction de ,, cette aire est :
100
a(,) =1 , 2
+ 3 (, + 1,5) ;
150
a(,) = 3, + + 104,5.
,
On cherche le minimum de cette fonction a lorsque
107 a) Pour tout x de [0 ; 30], , > 0.
f’(x) = 0,014 7x2 – 0,467 4x + 4,254 7. 150
Pour tout , > 0, a’(,) = 3 – 2
f’(x) = 0 est équivalent à 0,014 7x2 – 0,467 4x + 4,254 7 = 0. ,
Δ = – 0,031 713 6. 3, 2 – 150
a’(,) =
D’où le tableau de variation : , 2
3(, 2 – 50)
x 0 30 a’(,) = .
, 2
f’ (x) + Puisque , > 0, , – 50 > 0 lorsque , > 50.
2
69,779 , 0 50
f (x)
20,168 a ’(,) – 0 +
Les statisticiens ne prévoyaient pas de baisse des
taux d’endettement car la fonction f est strictement a(,)
croissante sur [0 ; 30]. 65 + 104,5
b) L’année 2015 correspond à x = 37. 150
Or f(37) = 105,86 > 100 donc ce modèle n’est plus a(50) = 3 × 50 + + 104,5
50
adapté pour 2015.
a(50) = 350 + 350 + 104,5
108 On note , et L les dimensions (non nulles) du a(50) = 650 + 104,5
100 La surface totale est d’aire minimale lorsque , = 50 ;
parterre. , × L = 100 donc L = . elle est alors égale à 65 + 104,5.
,
2
1 Au fil des siècles
b) Le taux d’évolution du prix du disque dur est – ,
soit environ – 1,32 %. Le taux d’évolution du prix de la
152
60
2. a)
3
Janvier Mars Taux d'évolution
S1 18 220 21 864 20 %
S2 16 540 14 059 –15 %
21 864 – 18 220
Pour S1 : Le taux d’évolution est = 0,2
18 220
soit 20 %.
Pour S2 : 16 540(1 – 0,15) = 14 059.
1,130 9 – 1,146 2
4 a) ≈ 0,013 3 donc entre décem-
1,146 2
bre 2012 et décembre 2013, il y a eu une baisse
d’environ 1,33 %.
0,75
b) En C3, il faut saisir =C2*(1+B3).
c) Voici un extrait du tableau.
b) 1,130 9 × 1 +
100
≈ 1,139 4 donc le prix en décem-
bre aurait du être 1,139 4 €.
Mois Taux d'évolution Cours de l'action On n’aurait alors pas retrouvé le prix de départ.
158 10 % 50,23
53,87
159 –10 % 45,20 5 25,99 × 1 +
≈ 39,99
100
160 10 % 49,72 Le prix en mars 2014 est donc d’environ 39,99 €.
Il faudra donc 159 mois pour le cours ait diminué de
moitié, soit environ 13 ans. 7 Le taux d’évolution t % cherché vérifie :
10
3. Le prix est multiplié par 1 +
100
en septembre,
1 +
t
=
1
p 100 7
puis il est multiplié par 1 –
100 en octobre. Si on veut 1+
100
qu’il revienne au prix de départ, il faut que le produit t 1
donc = – 1, ce qui donne t ≈ – 6,54.
10 p 100 1,07
1 +
100
× 1 –
100 soit égal à 1.
En 2014, la population de la ville a donc diminué
p 1 1 d’environ 6,54 %.
b) On a donc 1 – = = , et donc
100 10 1,1
1+
100 8 a) Le coefficient d’évolution global est 1,03 × 0,98,
p 1 100 soit environ 1,009 4. Le taux d’évolution global est
=1– d’où p = 100 – .
100 1,1 1,1
donc environ 0,94 %.
La valeur de p % arrondie au centième est donc 9,09 %. 1
c) On cherche un pourcentage t % tel que : b) Le coefficient multiplicateur doit être égal à ,
1,009 4
10 t soit environ 0,990 7.
1 –
100
× 1 +
100 = 1.
Ceci correspond à une baisse d’environ 0,93 %.
t 1 t 1
Donc 1 + = et = – 1.
100 0,9 100 0,9
9 a) Le coefficient multiplicateur est 1,025 ≈ 1,104 1,
Donc t % ≈ 11,11 %.
donc le taux d’évolution global est environ 10,41 %.
b) Le taux d’évolution t % cherché vérifie :
t 1
1+ =
4
100 1,025
Savoir-faire donc
t
=
1
100 1,025
– 1, ce qui donne t ≈ – 9,43.
2 Le taux d’évolution sur cette période est Il faut donc appliquer une baisse d’environ 9,43 %.
10 877 – 10 696 181
t= = 10 Le coefficient d’évolution global est 1,033 × 0,973,
10 696 10 696
soit t ≈ 0,016 9. soit environ 0,997 3. Le taux d’évolution global est
L’augmentation est d’environ 1,69 %. donc environ – 0,27 %.
Chapitre 5 Pourcentages 61
5 Résoudre des problèmes
19 a) Cet algorithme calcule le prix toutes taxes
comprises (TTC) d’un article dont le prix hors taxe est
HT.
12 a)
b) Variables : T TC, HT et t sont des nombres réels
Mois S O N D positifs
Prix 299,05 311,48 327,05 307,43 Entrées : Saisir TTC, t
Indice 100 104,16 109,36 102,80 Traitement : Affecter à HT la valeur TTC
TTC
b) Le prix a augmenté de 2,8 % entre septembre et
t
décembre 2014. 1+
100
13 a) 141,8 – 100 = 41,8 donc après 10 ans d’ancien- Sortie : Afficher HT
neté, le salaire mensuel a augmenté de 41,8 %.
6
b) Tableau complété :
Début 10 ans 20 ans
Travaux pratiques
de carrière d'ancienneté d'ancienneté 20 1. a)
Salaire 1 325 1 879 2 324
Indice 100 141,8 175,4
Au bout de 10 ans, le salaire arrondi à l’unité est 1 879 €.
Au bout de 20 ans, le salaire arrondi à l’unité est 2 324 €.
62
7
Variation absolue Taux d’évolution
A Pour s’entraîner
B
22 a) 1,05 b) 0,85 c) 2 d) 0,5
C
D 23 a) Augmentation de 30 %.
b) Diminution de 3 %.
b) Dans le tableau n’apparaît pas le cas où la variation c) Augmentation de 200 %.
absolue et le taux d’évolution augmentent. d) Diminution de 50 %.
Voici un exemple de cette situation : 50
24 La variation absolue est + 50 et = 0,25 donc
200
Bénéfice de l’entreprise (en milliers d'euros) le taux d’évolution est + 25 %.
Année 2012 2013 2014
25 Le taux d’évolution est + 100 %.
Bénéfice 100 110 140
Variation absolue 10 30 26 Le taux d’évolution est – 50 %.
Taux d’évolution 10 % 27,27 % 40
27 35 × 1 – = 35 × 0,6 = 21
100
Donc le prix soldé d’un T-shirt est 21 €.
21 1. a)
28 190 000 × 1,21 = 229 900
Donc 229 900 robots aspirateurs ont été vendus en 2013.
Chapitre 5 Pourcentages 63
c) La baisse a été la plus élevée en pourcentage pour
25
35 Le prix hors taxes d’un billet était, en euros, . les transports routiers.
1,07
Le prix TTC avec le nouveau taux est donc égal à 44 a)
25
× 1,10, soit 25,7 €.
1,07 Véhicules Véhicules Véhicules
Année
particuliers utilitaires industriels
36 Gladys a oublié les parenthèses. Elle aurait dû 2010 82,93 % 15,47 % 1,6 %
saisir (2 819 217 – 61 519 397) ÷ 61 519 397.
2013 82,89 % 15,53 % 1,58 %
37 Le taux d’évolution entre juillet 2011 et juillet b) Le nombre de véhicules particuliers a augmenté
29 994 – 16 248 13 746 d’environ 1,29 %.
2012 est t = = , Le nombre de véhicules utilitaires a augmenté d’envi-
16 248 16 248
soit t ≈ 84,6 %. ron 1,72 %.
L’augmentation est donc d’environ 84,6 %. c) En 2010, il y avait 17,478 2 millions de véhicules parti-
culiers diesel, et en 2013, il y en avait 19,309 5 millions.
38 Entre 2011 et 2012, le nombre d’utilisateurs de Ceci donne un taux d’évolution d’environ 10,48 %.
réseaux sociaux a augmenté de 20,49 %, en arrondis-
sant au centième. 45 a) La marge est 60 €, et le prix de vente est 180 €.
Entre 2012 et 2013, le nombre d’utilisateurs de réseaux Cette marge représente donc 33,33 % du prix de vente.
sociaux a augmenté de 17,7 %, en arrondissant au b) Il faut que ce pourcentage t % soit tel que :
dixième. t
100 40 200
= . On obtient t = donc t ≈ 66,67.
39 a) Entre 2012 et 2014, le taux d’évolution est t 100 3
1+
+ 174 %. 100
b) Le coefficient multiplicateur est donc 2,74.
46 a) et b)
40 Le taux d’évolution est environ – 70,83 %.
Population Coefficient
Année
41 a) Le nombre de camions a augmenté d’environ mondiale multiplicateur
346,02 % entre 1914 et 1918. 1950 2,5
b) On ne peut pas calculer le taux d’évolution du 1970 3,6 1,44
nombre de chars d’assaut car au début de la guerre
1990 5,5 1,53
il n’y avait aucun char d’assaut produit.
c) Il y avait environ 239 femmes dans l’entreprise en 2010 6,9 1,25
1914 et environ 7 110 en 1918. Entre ces deux valeurs,
Volume moyen Coefficient
le taux d’évolution a été d’environ 2 874,9 %. Année
par habitant multiplicateur
42 a) Le nouveau prix des pantalons est 43,35 €. 1950 400
Le nouveau prix des chemises est 46,2 €. 1970 500 1,25
b) L’ensemble pantalon-chemise coûtait avant modifica-
1990 600 1,2
tion 93 €. Après modification, l’ensemble pantalon-che-
mise coûte 89,55 €. Le prix a donc baissé d’environ 3,71 %. 2010 750 1,25
64
47 a) 54 Le nouveau prix est 2,65 €.
Année 2009 2010 2011 2012 55 La population de la ville a augmenté de 1,19 %
Effectif 17 272 17 422 17 476 17 544 environ entre 2005 et 2010.
Indice 100 100,87 101,18 101,57
56 Le coefficient multiplicateur global est
b) Entre 2009 et 2012, il y a eu une augmentation CM = (1 – 0,124)(1 – 0,129)(1 – 0,14), soit CM ≈ 0,656 2.
d’environ 1,57 %. 0,656 2 – 1 = – 0,343 8 donc entre 2009 et 2014, le prix
c) Entre 2011 et 2012 il y a eu une augmentation d’en- des batteries au lithium a baissé d’environ 34,38 %.
viron 0,39 %.
57 a) Le taux global est environ 9,27 %.
48 a) b) Le taux global est – 65,7 %.
Année 2005 2006 2007 2008 c) Le taux global est – 0,25 %.
d) Le taux global est – 0,25 %.
Dette 1 147,6 1 152,2 1 211,6 1 318,6
Indice 100 100,40 105,58 114,90 58 Joséphine a raison car quand on effectue une
multiplication, peu importe l’ordre des facteurs (la
Année 2009 2010 2011 2012
multiplication est commutative).
Dette 1 493,4 1 595 1 717,3 1 833,8
Indice 130,13 138,99 149,64 159,79 59 a) Le prix final sera plus bas car les baisses sont
appliquées sur des prix plus élevés.
b) Entre 2005 et 2009, le taux d’évolution de la dette a
b) Le coefficient multiplicateur global est
été d’environ + 30,13 %.
Entre 2005 et 2012, le taux d’évolution de la dette a été 1,04 × 0,96 × 1,04 × 0,96, soit environ 0,996 8.
d’environ + 59,79 %. 1 – 0,996 8 = 0,003 2, il s’agit donc d’une baisse d’envi-
c) Entre 2009 et 2012, le taux d’évolution de la dette a ron 0,32 %.
été d’environ + 22,79 %.
60 a) Le taux d’évolution global est d’environ 4,30 %.
49 a) En 2009, la production a été de 5 353 mil- b) La valeur fin 2010 était 3 804,6.
liers de barils et en 2011 elle a été de 5 652 milliers de
61 Le prix était 1,50 €.
barils.
b) L’indice en 2010 est 109,42. 62 Le prix était 150 € avant les baisses.
c) En 2012, l’indice était 129,78, soit une production de
6 489 milliers de barils environ. 63 La longueur arrondie à l’unité était 150 cm.
50 a) Diminution de 75 %. 5
64 a) Chaque année, les intérêts s’élèvent à fois
b) Augmentation de 300 %. 100
la somme S placée. Comme ils sont ajoutés à la somme,
c) Augmentation de 21 %.
en fin d’année le solde est S + 0,05 S, soit 1,05 S.
d) Diminution de 40 %.
b) Au bout de 15 ans, Valentine a sur son compte un
51 a) Non b) Oui c) Non d) Non solde égal à S × 1,0515.
Or, 1,0515 = 2,079, donc la somme aura plus que
52 a) Une diminution de 75 %. doublé.
b) Une augmentation de 900 %
c) Une augmentation de 400 %. 65 Par tâtonnement, on obtient 1,0323 ≈ 1,97 et
d) Une diminution de 60 %. 1,0324 ≈ 2,03.
Il faudra donc 24 jours pour que la plante ait doublé
53 a) Le coefficient multiplicateur global est
de taille.
40 10
1 – 100 1 – 100 = 0,6 × 0,9 = 0,54. 66 On cherche une valeur de t inférieure à 10 telle
(0,54 – 1) × 100 = – 46, donc le taux de réduction global
2t t
est 46 %.
que 15 000 1 +
100 1 –
100= 15 423.
b) Le prix P de l’article avant les deux démarques était
29,99 En développant puis en multipliant les deux nombres
tel que P × 0,54 = 29,99, soit P = . Ce prix était par 10 000 on obtient 15 000 + 150t – 3t 2 = 15 423 puis,
0,54
donc environ 55,54 €. en simplifiant, – t2 + 50t – 141 = 0.
Chapitre 5 Pourcentages 65
Le discriminant de cette équation du second degré est
77 Le taux d’évolution t % cherché vérifie :
Δ = 1 936 = 442.
t 1
Cette équation a deux racines, 3 et 47, mais la valeur 47 1 + =
100 1,24
ne convient pas puisque t < 10. 1–
100
Donc la valeur cherchée est t = 3. t 1
donc = – 1, ce qui donne t = 1,26.
t 100 0,987 6
67 a) On cherche t tel que 0,81 –
= 0,68, ce qui Il aurait donc fallu une augmentation d’environ 1,26 %.
100
conduit à t = 15.
t 200 t
b) On cherche t tel que 0,8 1 +
= 1, ce qui conduit 78 On cherche t tel que 1 +
1 – = 1,
100 100 100
à t = 25. ce qui conduit à t % = 68,75 %.
t t
68 On cherche t tel que 1 + 100
1 –
100
= 0,36,
79 Il faudrait que la surface augmente d’environ
t 2
soit 1 – = 0,36, ce qui conduit à t = 80. 38,5 %.
10 000
t 2
69 On cherche t tel que 1 +
100
= 1,034 1 × 1,020 5 80 La recette s’obtient en multipliant le prix unitaire
t par la quantité vendue.
soit 1 + = 0,034 1 × 0,020 5 et donc t ≈ 2,73.
100 Si on appelle x la production habituelle et y le prix
Le taux moyen d’évolution est donc 2,73 % environ. habituel, la recette habituelle est xy. La recette pour
t cette production exceptionnelle est
70 On cherche t tel que 1 –
2
= 0,963 × 0,992 8 t
t
100
x × 1,25 × y × 1 –
100
, où t est le taux de diminution
soit 1 – = 1,963 × 1,992 8 et donc t ≈ 5,73. Le taux
100 du prix de vente.
moyen annuel d’évolution est donc – 5,73 % environ. Puisque la recette n’a pas changé, on a :
t
71 Le taux moyen annuel est 2 % environ.
xy = xy × 1,25 1 –
100
.
t
72 a) Le taux moyen t doit vérifier
Donc 1,25 1 –
100 = 1, ce qui conduit à t % = – 20 %,
t donc le prix a diminué de 20 %.
1 – 100 = 1,131 8 × 1,059 7 × 1,050 2
3
66
400 2. a) Le nouveau prix du papier est 8,4 € pour mille
b) Vrai. En effet, si S × 0,2 = 400, alors S = = 2 000,
0,2 feuilles.
et S × 0,1 = 200.
c) Faux. Soit p le prix d’un stylo. Le prix de 6 stylos Avec 3 200 €, il peut donc acheter 3 810 milliers de
est 6p. Le nouveau prix d’un stylo est 1,02p, et donc le feuilles, en arrondissant à l’entier inférieur.
nouveau prix de 6 stylos est 6 × 1,02p = 1,02 × 6p, donc b) Cette baisse du nombre de feuilles représente une
le prix de six stylos a augmenté de 2 % aussi. diminution de 4,75 %.
d) Faux. Le coefficient multiplicateur correspondant à 3. a) Avec une augmentation de p %, le nouveau prix
p
deux augmentations de 50 % est 1,5 × 1,5 = 2,25, ce
qui correspond à une augmentation de 125 %.
du millier de feuilles est 8 1 + 100
. Il pourra donc,
avec 3 200 €, acheter
86 a) Vrai. En effet, le coefficient multiplicateur 3 200 400 400 40 000
= = = milliers de
p p 100 + p 100 + p
correspondant à trois augmentations de 2 % est
8 1 +
100 1+
100 100
1,023 = 1,061 208.
b) Faux. En effet, le coefficient multiplicateur cor- feuilles.
t 40 000
respondant à trois augmentations de 1 % est b)
400 1 –
100 =
100 + p
1,13 = 1,030 301, ce qui correspond à une augmenta-
t 100
tion globale de 3,030 1 %. 1– =
100 100 + p
c) Faux. En effet, le coefficient multiplicateur est
100 t
0,973 = 0,912 673, ce qui correspond à une diminution 1– =
100 + p 100
de 8,732 7 %. p t
d) Vrai. Le coefficient multiplicateur est 1,04 × 0,96 = =
100 + p 100
0,998 4, ce qui correspond à une baisse de 0,16 %. p
c) On veut < 0,08, ce qui est équivalent à
100 + p
8 Pour se tester
p < 8 + 0,08p. Cela donne, en arrondissant au cen-
tième, p < 8,7.
p p
90 1. Le gérant a utilisé 400 milliers de feuilles. Ceci correspond à une diminution d’environ 16,67 %.
Chapitre 5 Pourcentages 67
t
3. a) Le nouveau prix est 1 +
100
p. Donc, avec 100 €, 96 Supposons qu’au départ, le prix était p pour une
100 quantité q.
on peut acheter une masse M2 égale à . Dans le magasin A, le prix est ensuite p pour une quan-
t
1 +
100
p
tité 1,3q, donc
p
pour une quantité q.
100 100 10 000 1,3
b) = = Dans le magasin B, le prix est ensuite 0,97p pour une
t 100 + t (100 + t)p
1 +
100
p
100 p quantité q.
1 1
100 10 000 Il faut donc comparer et 0,97. Or, ≈ 0,769.
– 1,3 1,3
p (100 + t)p Donc l’offre du magasin A est plus avantageuse.
f(t) =
100
p
100(100 + t) – 10 000
97 Soit S le salaire de l’employé avant augmenta-
(100 + t)p tion.
= Le patron gagne avant augmentation 3,4S.
100
p Après augmentation, l’employé gagne 1,1S, et le
100t patron gagne 1,1S × 4,5 = 4,95S.
(100 + t)p Le taux d’augmentation du salaire du patron est
= 4,95S – 3,4S 1,55S 1,55
100 = = .
p 3,4S 3,4S 3,4
Donc le salaire du patron a augmenté d’environ
100t p
= × 45,59 %.
(100 + t)p 100
t 98 La pension sera multipliée par 1,022 en deux ans.
=
100 + t Or 1,022 = 1,040 4.
100 + t – t 100 Donc la prévision de Gaétan n’est pas mauvaise,
c) f’(t) = =
(100 + t)2 (100 + t)2 même si elle n’est pas exacte.
Donc f’(t) est positive pour tout nombre réel t, en par-
ticulier sur [0 ; 100], et f est croissante sur [0 ; 100]. 99 Soit x le nombre.
10 1 1 Diminuer de 10 % : 0,9x.
d) Si t = 10, f(t) = = . Or < 0,1. 0,9x
110 11 11 évolution réciproque d’une diminution de 20 % : .
0,8
f étant croissante, pour tout t < 10, f(t) < f(10), donc 9
Ajouter 2 : x + 2.
1 8
f(t) < < 10 %. 9
11
Augmenter deux fois de 50 % : x + 2 × 1,5 × 1,5.
8
9
94 L’aire du terrain de Floriane est, avant remem-
Soustraire 1 597 : x + 2 × 2,25 – 1 597.
8
9
brement, 1 500 m . 2
x doit donc vérifier x + 2 × 2,25 – 1 597 = x soit,
8
Avec la proposition 1, l’aire devient, en m2,
2,531 25x – 1 592,5 = x,
50 × 1,3 × 30 × 0,7 = 1 365.
1,531 25x = 1 592,5, et donc x = 1 040.
Avec la proposition 2, l’aire devient, en m2,
50 × 0,85 × 30 × 1,25 = 1 593,75. 100 Soit S l’aire du terrain, qui reste inchangée.
Avec la proposition 3, l’aire devient, en m2, t t’
50 × 0,8 × 30 × 1,25 = 1 500. 100
On a donc S 1 + 1 – 100 = S, donc
t t’
La proposition 2 est la plus intéressante pour Floriane. 1 + 100 1 – 100 =1
95 a) Le bénéfice maximal a été réalisé en 2013. t t’ tt’
1+ – – = 1.
Le taux d’évolution depuis 2010 a été de 3 %. 100 100 10 000
t t’ tt’
b) Le bénéfice minimal a été réalisé en 2012. Ainsi – – = 0.
100 100 10 000
Le taux d’évolution depuis 2010 a été de – 1,7 %. En multipliant par 10 000 les deux membres de
c) On ne peut pas comparer les deux entreprises car l’équation on obtient 100t – 100t’ – tt’ = 0.
on ne connaît pas les valeurs des bénéfices. On ne S’il existe une valeur de t telle que t’ = 0,25t, l’équation
peut pas comparer des indices calculés sur des séries devient 100t – 25t – 0,25t2 = 0, ou encore
différentes. t(75 – 0,25t) = 0.
68
Il y a donc deux solutions. La première est t = 0, ce qui c) Il faudrait appliquer une augmentation d’environ
signifie que le terrain n’a pas été modifié lors de ce 14,29 %.
remembrement. La seconde vérifie 75 = 0,25t, soit 1
t = 300. 113 Le coefficient multiplicateur devrait être ·
0,953
1
≈ 1,049 3, donc il faudrait augmenter la surface
0,953
10 Accompagnement
personnalisé
des forêts d’environ 4,93 %.
Chapitre 5 Pourcentages 69
6 Suites
c) v(n) – 1 = n2 + 4 – 1 = n2 + 3
1 Au fil des siècles d) v(n – 1) = (n – 1)2 + 4 = n2 – 2n + 1 + 4 = n2 – 2n + 5
2 Bien démarrer
1.
9
7
b) En B3 il faut saisir =B2+D$2.
6
c) La barre est placée à 1,65 m au 5e rehaussement. Elle
2003 2005 2007 2009 2011 2012 2015
n’est jamais placée à 1,75 m car elle est à 1,74 m au 8e
2. a) La valeur initiale a été multipliée par 1,06. rehaussement et à 1,77 m au suivant.
b) La valeur initiale a été multipliée par 0,75. 2. a) h(10) = 180
c) La valeur initiale a été multipliée par 2,5. b) h(n + 1) = h(n) + 3
d) La valeur initiale a été multipliée par 0,6. c) Il faut 20 additions successives pour calculer h(20).
3. a) h(5) = h(4) + 3
3. a) En C3, il faut saisir =C2–B2. h(5) = h(3) + 3 + 3 = h(3) + 2 × 3
b) En C4, il faut saisir =(C2-B2)/B2.
h(5) = h(2) + 3 + 3 + 3 = h(2) + 3 × 3
15 h(5) = h(0) + 15 = h(0) + 5 × 3
4. 1. a) 23+6
= 29 b) 23×n = 23n c)
25
= 2–5 d) 2(n+2)–n = 22
b) Il semble que h(n) = h(0) + n × 3.
35
2. a) 33 × 55 b) 34 × 56 c) 5 = 33 × 5–5 c) h(20) = h(0) + 20 × 3 = 150 + 60 = 210, ce qui
5
correspond bien au résultat du tableur.
5. a) u(n) + 1 = 3n – 1 + 1 = 3n d) h(n) = 246 équivaut à 150 + 3 × n = 246, c’est-à-dire
b) u(n + 1) = 3(n + 1) – 1 = 3n + 2 n = 32.
70
2 Une suite géométrique 5 a) • Il semble que la suite u soit croissante.
1. a)
Fenêtre : 0 < X < 10, pas 1 ; 0 < Y < 10, pas 1.
• Il semble que la suite v soit croissante.
Chapitre 6 Suites 71
4 725 – 5 250 4 536 – 4 725
11 Graphique A : Les points représentant les c) = – 0,1 et = – 0,04.
5 250 4 725
valeurs successives ne sont pas alignés, ils ne peuvent Les variations relatives ne sont pas constantes.
donc pas correspondre à des termes successifs d’une
suite arithmétique.
Graphique B : Les points semblent alignés. La diffé-
rence entre deux valeurs successives est, dans chaque 5 Résoudre des problèmes
cas, égale à 2 et le point d’abscisse 1 a pour ordonnée 17 On note an et bn les économies de Gaylor
35. On peut modéliser ces valeurs par la suite arithmé- obtenues après n années, respectivement avec
tique de raison 2, dont le terme de rang 1 est égal à 35. l’option 1 et l’option 2.
Pour tout nombre entier naturel n > 1, a est une suite arithmétique de premier terme 1 000
un = 35 + 2(n – 1)= 33 + 2n. et de raison 1 000 × 0,02 = 20, donc an = 1 000 + 20n.
b est une suite géométrique de premier terme 1 000 et
12 Pays A : u1 – u0 = 0,60 – 0,57 = 0,03 de raison 1,018, donc bn = 1 000 × 1,018n.
u2 – u1 = 0,63 – 0,60 = 0,03 En tabulant les deux suites on constate que pour tout
u3 – u2 = 0,66 – 0,63 = 0,03 nombre entier n < 12, an > bn, puis a13 < b13.
L’écart entre les termes consécutifs connus est
constant, la suite des prix peut donc être modélisée
par la suite arithmétique de premier terme 0,57 et de
raison 0,03 : un = 0,57 + 0,03n.
Pays B : v1 – v0 = 0,53 – 0,51 = 0,02
v2 – v1 = 0,57 – 0,53 = 0,04
L’écart entre deux termes consécutifs n’est pas
constant, la suite ne peut donc pas être modélisée par
une suite arithmétique.
à partir du rang 13, la suite a augmente de 20 à
Pays C : w1 – w0 = 0,58 – 0,60 = – 0,02
chaque terme, alors que la suite b augmente au
w3 – w2 = 0,50 – 0,56 = – 0,06
moins de 1 261 × 0,018, soit au moins de 22,69.
L’écart entre deux termes consécutifs n’est pas
On a donc bn > anpour tout n > 13.
constant, la suite ne peut donc pas être modélisée par
Si le placement dure moins de 13 ans, l’option 1 est la
une suite arithmétique.
plus intéressante ; à partir de 13 ans, l’option 2 est la
14 a) 1 × 1,4 = 1,4 ; 1,4 × 1,4 = 1,96 et 1,96 × 1,4 = 2,744. plus intéressante.
Ces quatre nombres peuvent donc être les premiers 18 yn est le nombre de timbres de la collection de
termes d’une suite géométrique. Yasmine après n mois : yn = 1 000 – 30n.
b) Le terme général de cette suite serait pn = 1 × 1,4n = 1,4n. cn est le nombre de timbres de la collection de Carole
c) Pour tout nombre entier naturel n, après n mois : cn = 1 000 × 0,965n.
Pn+1 – Pn 1,4n+1 – 1,4n 1,4n × (1,4 – 1) En tabulant les deux suites on obtient :
= = = 0,4.
Pn 1,4n 1,4n
A B C
La variation relative entre deux mois consécutifs est
1 n y c
toujours égale à 0,4.
2 0 1 000 1 000
15 Personne A 3 1 970 965
a) 10 000 × 1,02 = 10 200 et 10 200 × 1,02 = 10 404. 4 2 940 931,225
Les trois premiers termes peuvent être ceux d’une 5 3 910 898,632 125
suite géométrique de raison 1,02. 6 4 880 867,180 000 6
b) sn = 10 000 × 1,02n 7 5 850 836,828 700 6
s –s 8 6 820 807,539 696 1
c) n+1 n = 0,02 Les variations relatives entre deux
sn 9 7 790 779,275 806 7
termes consécutifs sont constantes et égales à 0,02.
10 8 760 752,001 153 5
Personne B
11 9 730 725,681 113 1
4 725 4 536
a) = 0,9 et = 0,96. Comme les rapports 12 10 700 700,282 274 2
5 250 4 725
entre les termes consécutifs ne sont pas égaux, la 13 11 670 675,772 394 6
suite ne peut pas être une suite géométrique. 14 12 640 652,120 360 7
72
Jusqu’au 9e mois, Yasmine a plus de timbres que e) 50
Carole. Le 10e mois, Carole en a plus que Yasmine. 40
Chaque mois qui suit, Carole vend au plus 25 timbres, 30 Production
donc sa collection diminue moins vite que celle de 20
Yasmine qui en vend 30. 10 Population
Donc, pour tous les mois suivants, Carole a plus de 0
timbres que Yasmine. 1790 1800 1810 1820 1830 1840 1850 1860
Remarque : Comme 1 000 – 33 × 30 = 10 la modéli- f) D’après le tableur, les ressources n’auraient plus
sation ne peut pas être utilisée plus de 33 mois. Par permis de nourrir la population en 1837.
contre cn ne peut pas devenir négatif. 2. a) Pn = 10 × 1,03n et R n = 12 + 0,48n.
b) L’inéquation R n < Pn traduit que les ressources ne
20 a) Voici le suivi des valeurs des variables i et u
couvrent plus les besoins de la population.
lors de l’exécution de l’algorithme. c) P37 ≈ 29,852 et R37 = 29,76, donc P37 > R37.
i 1 2 3 La suite P est croissante, et, à partir du rang 37, elle
augmente au moins de 29,852 × 0,03 ≈ 0,89, donc plus
u 2 000 2 200 2 250 2 262,5
que R qui n’augmente que de 0,48. Donc à partir du
La valeur affichée en sortie est 2 262,5. Elle représente rang 37, Pn > R n. Les ressources seraient devenues
la somme en euros présente sur le compte de Pierre à insuffisantes pour nourrir la population à partir de
la fin du troisième mois. l’année 1800 + 37, c’est-à-dire 1837.
b) La suite qui intervient dans cet algorithme est défi- 3. a) On constate que la situation prévue ne s’est
nie par v0 = 2 000 et, pour tout nombre entier naturel pas réalisée. Les évolutions de la population et des
n, vn+1 = 0,25vn + 1 700. ressources n’ont pas suivi les modèles choisis par
Malthus qui n’avait pas prévu les gains de productivité
21 a) Variables : v est un nombre réel de la révolution industrielle.
i,N sont des nombres entiers naturels b) Selon Malthus, il fallait freiner par tous les moyens
Entrée : Saisir N la croissance démographique, par exemple empêcher
Traitement : Affecter à v la valeur 30 les gens sans ressource de se marier, ou supprimer
Pour i allant de 1 à N l’assistance aux pauvres car cela les incitait à avoir des
| Affecter à v la valeur 1,2v enfants.
Fin Pour
Sortie : Afficher v 23 a) a0 = 25 000 ; b0 = 15 000.
b) Pour N = 4, la valeur affichée en sortie est 62,208. b) a1 = 23 000 ; b1 = 17 000 ; a2 = 21 800 ; b2 = 18 200.
c) v est une suite géométrique. La suite a semble croissante et la suite b semble
vn = 30 × 1,2n décroissante.
v4 = 30 × 1,24 = 62,208 c) L’année 2010 + n + 1, la population de la ville est
d) On tabule l’expression vn = 30 × 1,2n. La plus petite composée de 80 % de la population de la ville de l’an-
valeur de n telle que vn > 1 000 est 20. née précédente, et de 20 % de la population de la ban-
lieue de l’année précédente, donc an+1 = 0,8an + 0,2bn.
De même, bn+1 = 0,2an + 0,8bn.
6
d) L’algorithme affiche en sortie le nombre d’années
Travaux pratiques nécessaires pour que la différence entre les deux
populations soit inférieure ou égale à 10.
22 1. b) En B3, il faut saisir =B2*1,03. e)
c) En C3, il faut saisir =C2+0,48. Casio TI Algobox
d)
Chapitre 6 Suites 73
f) En faisant fonctionner le programme, on obtient
32 a) u0 = 0 ; u1 = 1 ; u2 = 4 ; u3 = 9.
n = 14.
b) Le début de l’écriture décimale de π est 3,141 592,
Cela signifie qu’en 2024, la ville aura moins de
donc v0 = 1 ; v1 = 4 ; v2 = 1 ; v3 = 5.
10 habitants de plus que sa banlieue.
2. a) sn+1 = (0,8an + 0,2bn) + (0,2an + 0,8bn) = an + bn = sn 33 a) v0 = 1 ; v1 = 2 ; v2 = 0 ; v3 = 2 ; v4 = – 4 ; v5 = 18.
La suite s est constante, et pour tout entier n, b)
sn = a0 + b0 = 40 000. 20
b) dn+1 = (0,8an + 0,2bn) – (0,8bn + 0,2an) – 0,6(an – bn) 18
16
dn+1 = 0,6an – 0,6bn = 0,6dn 14
Ainsi, d est la suite géométrique de raison 0,6 et de pre- 12
mier terme d0 = a0 – b0 = 10 000, donc dn = 10 000 × 0,6n. 10
s + dn 8
c) sn + dn = 2an donc an = n et sn – dn = 2bn 6
2 4
s –d 2
donc bn = n n .
2
d) an = 20 000 + 5 000 × 0,6n et bn = 20 000 – 5 000 × 0,6n. –2 O 1 2 3 4 5 6
e) On constate qu’à partir de n = 14, an – bn < 10. –4
–6
3. a) à long terme les deux populations se rappro-
chent de la même valeur, 20 000.
b) Si le taux de transfert était de 10 %, les calculs 34 a) f2 = 109,8 et 111,1 est le terme de rang 4.
seraient les mêmes en remplaçant 0,8 par 0,9 et 0,2 b) Le troisième trimestre 2015 aurait pour rang 10.
par 0,1. On trouverait alors que d est une suite géomé- 2. d0 = – 0,3 ; d1 = – 0,4 ; d2 = – 0,6 ; d3 = – 0,4 ;
trique de raison 0,8 et an = 20 000 + 5 000 × 0,8n. d4 = – 0,4 ; d5 = – 0,4.
On trouve encore que les deux populations se rappro-
35 a) v0 = – 1 ; v1 = 3 ; v2 = 9.
chent de la valeur 20 000, mais moins vite qu’avec le
b) La suite v est définie de façon explicite. On peut
taux de transfert de 20 %.
calculer directement v25 = 252 + 3 × 25 – 1 = 699.
c) vn+1 = (n + 1)2 + 3(n + 1) – 1 = n2 + 5n + 3
27 un+1 = 2(n + 1) + 1 = 2n + 3
28 un+1 = (n + 1)2 – 1 = n2 + 2n
74
39 46 La suite u est croissante car la fonction cube est
croissante sur [0 ; + ∞[.
Pour N = 9 on obtient les termes u1 à u9, le terme u0 est 50 a) La fonction définie sur [0 ; + ∞[ par f(x) = 9 – x2
connu et égal à 1. est telle que pour tout nombre entier naturel n, un = f(n).
– 3.9 b) f est une fonction polynôme de degré 2, décrois-
– 2.479 sante sur [0 ; + ∞[.
c) La suite u a le même sens de variation que f, elle est
– 3.385 455 9
donc décroissante.
– 2.853 868 8
– 3.185 543 3 51 a) La fonction définie sur [0 ; + ∞[ par
– 2.985 231 4 g(x) = (x – 2)2 + 4 est telle que pour tout nombre entier
– 3.108 839 3 naturel n, vn = g(n).
– 3.033 511 8 b) g est une fonction polynôme de degré 2 sous sa
– 3.079 780 6 forme canonique, où le coefficient de x2 est positif.
c) Pour afficher uniquement le terme de rang N, il La fonction g est donc décroissante sur ]0 ; 2] et crois-
faut mettre l’instruction « Afficher u » en dehors de la sante sur [2 ; + ∞[.
boucle, après Fin Pour. c) La suite v est donc croissante à partir du rang 2.
Chapitre 6 Suites 75
53 a) • Il semble que la suite u soit décroissante. 58 Pour tout nombre entier naturel n, un+1 – un = – 3,
donc u est une suite arithmétique de raison – 3.
54 a) Pour tout nombre entier naturel n, 67 a) Pour tout nombre entier naturel n, un = 150 – 3n.
wn+1 – wn = 5 × 0,2n+1 – 5 × 0,2n = 0,2n(5 × 0,2 – 5) = 0,2n(1 – 5) b) un < 0 équivaut à n > 50.
wn+1 – wn = – 4 × 0,2n. Le premier terme négatif est le terme de rang 51.
b) Pour tout nombre entier naturel n, wn+1 – wn < 0.
La suite w est donc décroissante. 68 a) On utilise la formule un = up + (n – p)r avec n = 5.
On obtient un = 12 + 5(n – 5) = 5n – 13.
55 Pour tout nombre entier naturel n, b) u3 – 2 et u10 = 37.
un+1 – un = n – 9,5.
Or, n – 9,5 est positif pour tout nombre entier n supé- 69 a) u5 = u0 + 5r avec u5 = – 26 et u0 = 9, donc
rieur ou égal à 10. – 26 = 9 + 5r, c’est-à-dire 5r = – 35, soit r = – 7.
Par conséquent, la suite u est croissante à partir du b) La raison est négative, la suite u est donc décrois-
rang 10. La conjecture de Jérémie est donc fausse. sante.
c) u50 = u0 + 50 × r = 9 + 50 × (– 7) = – 341
56 a) La dépense totale en fonction de n est 50 + 6n.
b) Pour n > 1, le prix moyen d’une séance est 70 a) u20 = u5 + 15r donc 15r = 19 et par conséquent
50 + 6n 50 19
un = =6+ . r= .
n n 15
b) La raison est positive, donc la suite est croissante.
57 Pour tout nombre entier naturel n, un = 5 + 3n. c) u50 = u5 + 45r = u5 + 3 × 15r = 9 + 3 × 19 = 66
76
c) q > 1 donc la suite est croissante.
71 a) Pour tout nombre entier naturel n, un+1 – un = 4
donc la suite est arithmétique de raison 4. 82 u3 = 3u2 donc u4 = 3u3 = 45.
b) Pour tout nombre entier naturel n,
un+1 – un = a(n + 1) + b – (an + b) = a. La suite est donc 83 Pour tout nombre entier naturel n, un = 5 × 2n.
arithmétique de raison a. 28
84 u2 = u0 q2 donc q2 = = 4. Comme la raison est
7
72 a) hn est le niveau de la rivière par rapport à son positive, q = 2.
niveau normal, n jours après le 10 octobre 2014. Alors u50 = 7 × 250 ≈ 7,88 × 1015.
h est une suite arithmétique de premier terme h0 = 1,5 u5 21,25
85 a) = = 6,25 donc q2 = 6,25 et comme la
et de raison r = – 0,15. u3 3,4
Le terme général de la suite est hn = 1,5 – 0,15n. raison est positive, q = 6,25 = 2,5.
b) hn = 0 équivaut à n = 10. La rivière aurait retrouvé b) u15 = u5 × q10 = 21,25 × 2,510. Alors u15 ≈ 202 655,8.
son niveau normal au bout de 10 jours. u7
86 = 64 donc q3 = 64, par conséquent q = 4.
u4
73 a) On note a l’âge de la benjamine et r la raison Alors u12 = u4 × q8 = 7 × 48 = 458 752.
de la suite. Les âges des autres sœurs sont a + r et
a + 2r. 87 a) La suite de terme général 1,01n est croissante,
La somme des âges est 27, donc 3a + 3r = 27 et donc donc, en multipliant par un nombre négatif, la suite de
l’âge de la cadette, a + r, est égal à 9. terme général – 3 × 1,01n est décroissante.
1 b) La suite de terme général 0,7 n est décroissante,
b) Comme a = × 9 = 3, on trouve que r = 9 – 3 = 6, et
3 donc, en multipliant par un nombre positif, la suite de
les trois sœurs ont respectivement 3, 9 et 15 ans. terme général 2 × 0,7 n est décroissante.
74 a) b0 = 515 et bn+1 = b + 15. La suite b est arithmé- 88 a) Pour tout nombre entier naturel n,
tique de raison 15. un+1 = 4 × 3n+1 = 4 × 3n × 3 = un × 3. La suite u est donc
b) bn = 515 + 15n géométrique de raison 3.
c) 2 025 correspond à n = 11, b11 = 515 + 15 × 11 = 680. b) Pour tout nombre entier naturel n,
En 2025, il devrait y avoir 680 livres dans la biblio- un+1 = a × bn+1 = a × bn × b = un × b. La suite u est donc
thèque de Magalie. géométrique de raison b.
Chapitre 6 Suites 77
92 Pour tout nombre entier naturel n,
un = 16 × 109 × 142 .
n
9 Pour aller plus loin
On cherche le plus petit nombre entier n tel que un < 106, 98 a) u1 = 0,8 × 150 + 20 = 140
1n
ce qui équivaut à 16 × 109 ×
4 2
< 106, c’est-à-dire u2 = 0,8 × 140 + 20 = 133
4n < 16 000. En tabulant 4n, on trouve n = 7. Selon les b) Pour tout nombre entier naturel n, un+1 = 0,8 × un + 20.
prévisions faites, les sacs en plastique seront donc c) Pour tout nombre entier naturel n, vn+1 = un+1 – 100
totalement interdits en 2021. vn+1 = (0,8un + 20) – 100 = 0,8un – 80
vn+1 = 0,8(vn – 100) = 0,8vn.
93 a) Il existe un nombre entier naturel n tel que La suite v est donc géométrique de raison 0,8 et de
un+1 – un < 0. premier terme v0 = u0 – 100 = 50.
b) Il existe un nombre entier naturel n tel que d) vn = 50 × 0,8n donc un = 50 × 0,8n + 100.
un+1 – un < 0. e) 2 030 correspond au rang n = 16.
c) Il existe un nombre entier naturel n tel que u16 = 50 × 0,816 + 100 donc u16 ≈ 100. Il y aura donc
un+1 – un > 0. 100 adhérents en 2030.
d) Pour tout n de N, un+1 – un > 0.
e) Pour tout n de N, un+1 – un > 0. 99 a) Pour tout nombre entier naturel n,
un = 1 850 – 80n et vn = 2 000 × 0,9n.
1
94 a) un = . On tabule les suites u et v à la calculatrice :
n+1
– 1 Tableau
Pour tout nombre entier naturel n, un+1 – un = . Casio TI
(n + 2)(n + 1) de valeurs
La suite u est donc décroissante mais tous ses termes
sont positifs.
b) un = – 2n. La suite de terme général 2n est croissante,
et la suite opposée u est décroissante et de raison 2.
c) La suite définie sur N par u0 = 1, u1 = 2, et pour tout
u u
n > 2, un = 4 vérifie bien 1 = 2 = 2, mais n’est pas
u0 u1
géométrique car u3 ≠ 2u2.
8 Pour se tester
95 1. D 2. B 3. C 4. C 5. B b) D’après le tableau de valeurs, la population A est
inférieure à la population B les deux premières années
96 1. B et C 2. A et C 3. C et D 4. C et D et les trois dernières années, donc en 2010, 2011, 2031,
2032 et 2033.
97 1. Vrai. En effet, les points représentant les
c) u2 = 1 850 – 80 × 2 = 1 690 ; v2 = 2 000 × 0,92 = 1 620
termes semblent alignés.
donc v2 < u2.
2. Faux. En effet, une suite géométrique ne peut avoir
u21 = 1 850 – 80 × 21 = 170 ; v21 = 2 000 × 0,921 donc
à la fois deux termes consécutifs de même signe (ce
qui implique que la raison est positive) et deux termes v21 ≈ 218 et v21 > u21.
consécutifs de signes contraires (ce qui implique que d) Les termes de la suite v diminuent de 10 %. Comme
la raison est négative). v21 = 218, à partir du rang 21 les termes suivants
3. Vrai. En effet, d’après les valeurs lues graphique- diminuent de moins de 22, alors que tous les termes
ment, il semble que la suite soit géométrique de un diminuent de 80. Puisque u21 < v21, et que les termes
raison 0,5. de la suite u diminuent plus que ceux de la suite v, on
4. Faux. Si un terme d’une suite géométrique est nul, a bien un < vn pour tout entier n > 21.
tous les autres termes, à part éventuellement le pre- e) un < 100 équivaut à 1 850 – 80n < 100 c’est-à-dire,
mier, sont aussi nuls. puisque n est un entier, n > 22. Donc en 2032 la popu-
5. Faux. Si la suite b est arithmétique, alors sa raison lation A deviendra inférieure à 100.
est égale à 0,5. f) En 2033, v23 = 2 000 × 0,923 = 177. Il restera donc plus
On aurait donc b40 = b0 + 40r = 2 + 20 = 22. de 100 habitants dans le village B.
78
Le programme affiche 13.
100 a) x est l’âge de la mère et q la raison de la suite
2. a) D’après l’algorithme, un > 400 à partir de n = 13.
x
géométrique. Alors × x × qx = 13 824 donc Le pays passera donc en alerte rouge à partir du
q
x = 13 824, d’où x = 24.
3 13e jour.
24 b) On remplace 400 par 600 dans l’algorithme.
b) + 24 + 24q = 126 équivaut à 24q2 – 102q + 24 = 0. Pour un tel algorithme, Algobox affiche qu’il atteint
q
1 la limite du nombre de boucles autorisées, et ne peut
Cette équation admet deux solutions, 3 et .
3 donc pas afficher de valeur de sortie.
Comme la mère est plus âgée que l’enfant, q = 3 et les
On conjecture que le pays ne passera pas en alerte
âges respectifs sont 8, 24 et 72 ans.
rouge.
k k
101 u1 = u0 – donc la raison est – . 105 a) Chaque carré a une aire égale à la moitié de
3 3
k 7k
2
Alors, 15 = k + 10 × – = – ,
3 3
l’aire du carré précédent.
Donc u est une suite géométrique
45
donc k = – . 1
7 de raison , donc pour tout nombre
2 1 n–1
102 Pour la suite t : 2
entier naturel n, un = u1 ×
2
.
a) tn+1 = tn + 9 et t0 = 7. 15
b) La suite est arithmétique de raison 9.
u6 = 16 ×2 5
= 0,5
c) tn = 7 + 9n donc t5 = 52. b) L’aire du carré initial est 16 cm2. 4
Pour la suite u : Le second carré est obtenu en —
3
a) un+1 = 0,2 × u2n + 0,4 × un – 0,6 enlevant quatre triangles rec-
b) u0 = 7 ; u1 = 12 ; u2 = 33. La suite n’est ni arithmé- 32 16 8
tangles identiques, d’aire = , — 3
tique, ni géométrique. 18 9
c) u3 = 230,4 ; u4 = 10 708,392 ; u5 ≈ 22 938 214,6. donc l’aire du second carré est
Pour la suite v : 4 × 16 5
16 – = 16 × et les carrés
a) vn = 7 + 9 × n 9 9
b) La suite est arithmétique de raison 9. suivants sont construits de façon identique.
c) v5 = 52 La suite v des aires des carrés successifs est la suite
5
Pour la suite w : géométrique de terme v1 = 16 et de raison .
9
a) wn+1 = (0,2 × wn – 0,2) × (wn + 3) 55
b) w0 = 7 ; w1 = 12 ; w2 = 33. La suite n’est ni arithmé-
v6 = 16 ×2 9
donc v6 ≈ 0,85 cm2.
tique, ni géométrique.
106 s, a, m sont les âges de Sophia, Alex et Miguel.
c) w3 = 230,4 ; w4 = 10 708,392 ; w5 ≈ 22 938 214,6.
Les données de l’énoncé permettent d’écrire trois
On constate que t = v et u = w.
équations :
103 an est l’aire du terrain au bout de n années. • s + a + m = 69 ;
Chaque année, l’aire augmente du même pourcen- • a – s = m – a c’est-à-dire 2a = m + s ;
tage, donc elle est multipliée par un même nombre q. m a
• = donc m2 = as.
La suite a est donc une suite géométrique de raison q. s m
a3 = 17 280, a5 = 24 883,2 et a5 = q2a3. Alors q2 = 1,44 et Les deux premières équations donnent 3a = 69 soit
comme q > 0, q = 1,2. a = 23.
a 17 280 Puis les deux dernières donnent m2 = 23(2 × 23 – m)
a0 = 33 = = 10 000
q 1,23 donc m2 + 23m – 1 058 = 0.
Cette équation du second degré a pour discriminant
104 1. a) L’algorithme calcule les termes successifs 4 761, elle admet donc deux solutions, – 46 et 23.
de la suite u et affiche le plus petit indice n tel que Comme m > 0 puisque c’est un âge, on en déduit que
b) un > 400. m = 23, ainsi que s = 23.
Casio TI Algobox
107 a) L’espérance de vie des femmes augmente de
0,3 an chaque année.
En 2020 elle serait de 84,6 + 10 × 0,3 = 87,6.
L’espérance de vie des hommes augmente de 0,8 an
chaque année.
En 2020 elle serait de 78 + 10 × 0,8 = 86.
Chapitre 6 Suites 79
b) 78 + n × 0,8 > 84,6 + n × 0,3 soit n > 13,2.
116 a)
L’espérance de vie des hommes dépasserait celle des
femmes 14 ans après 2010, soit en 2024. i 1 2 3
108 Pour tout nombre entier naturel n, u – 5 2 9 16
un+1 – 500 = 0,6(un – 500), c’est-à-dire un+1 = 0,6un + 200, b) u est la suite arithmétique de terme initial – 5 et
donc a = 0,6 et b = 200. de raison 7, donc pour tout nombre entier naturel n,
109 u est la suite des sommes reçues chaque année à un = – 5 + 7n.
partir du 12e anniversaire, un = 12(20 + 5n). n = 0 corres- 117 a) un = – 1 + 3n
pond à 12 ans et n = 13 correspond à 25 ans. u est croissante car sa raison est positive.
La somme totale reçue est : u25 = – 1 + 3 × 25 = 74
S = u0 + u1 + … + u13 = 12(20 + (20 + 5) + (20 + 2 × 5) + b) un = 1,5 – 2n
(20 + 3 × 5) + … + (20 + 13 × 5)) u est décroissante car sa raison est négative.
S = 12(14 × 20 + 5 × (1 + 2 + 3 + … + 12 + 13)) u25 = 1,5 – 2 × 25 = – 48,5
S = 12(14 × 20 + 5 × 91) = 8 820.
118 a) un = u0 + nr
b) un = 6 – 0,5n
10 Accompagnement
personnalisé
c) u est décroissante car sa raison est négative.
d) u10 = 6 – 0,5 × 10 = 1
110 1. Relation explicite.
119 a) un = 3 × 2n, u est croissante car sa raison est
2. Relation de récurrence.
strictement plus grande que 1.
3. Relation explicite.
u8 = 3 × 28 = 768
4. Relation de récurrence.
b) un = 4 000 × 0,75n, u est décroissante car sa raison est
b) (1) u0 = 5 ; u1 = 2 ; u2 = 1 ; u3 = 2.
comprise strictement entre 0 et 1.
(2) v0 = – 2 ; v1 = – 13 ; v2 = – 57 ; v3 = – 233.
u8 = 4 000 × 0,758 donc u8 ≈ 400,45.
(3) t0 = 0 ; t1 = 1 ; t2 = 2 ; t3 = 3.
(4) w0 = 1 ; w1 = 5 ; w2 = 9 ; w3 = 13. 120 a) un = u0 qn
b) un = 0,1 × 5n donc u10 = 0,1 × 510 = 976 562,5.
111 a) u0 = –3
c) u est croissante car sa raison est strictement plus
b) un+1 = 5(n + 1) – 3 = 5n + 2
grande que 1.
c) un+1 – un = (5n + 2) – (5n – 3) = 5 donc un+1 = un + 5.
d) un = 5n – 3 : relation explicite. 121 a) F3 = 2 ; K2 = 1 ; K3 = 2.
un+1 = un + 5 : relation de récurrence. b)
112 a) u semble décroissante et v semble croissante. k 1 2 3
b) un+1 – un = 10 + (n + 1) – (n + 1)2 – (10 + n – n2) C 2 3 5
un+1 – un = 10 + n + 1 – n2 – 2n – 1 – 10 – n + n2 = – 2n A 1 1 2 3
La différence est négative pour tout nombre entier
B 1 2 3 5
naturel n, donc la suite est décroissante.
Pour N = 3, on obtient 5 qui est la valeur de F2+3 = F5.
113 Pour tout nombre entier naturel n, un+1 – un = – 3. c)
La suite est donc décroissante. Casio TI Algobox
114 a) f(x) = x + 4
2
115 a)
i 1 2 3
u 4 4,8 5,76 6,91
b) u est la suite géométrique de terme initial 4 et de
raison 1,2, donc pour tout nombre entier naturel n,
un = 4 × 1,2n. d) F12 = 89 ; F24 = 28 657 ; F48 = 2 971 215 073.
80
K12 ≈ 1,618 18 ; K24 ≈ 1,618 03 ; K48 ≈ 1,618 03. b) La suite u semble croissante et la suite v semble
Les termes de la suite K semblent se stabiliser vers décroissante. Les termes des deux suites se rappro-
1,618 03. chent de la valeur 1.
3 3
122 a) c) dn+1 = vn+1 – un+1 = (vn – un) = dn
4 4
n un vn La suite d est géométrique de raison 0,75.
Or, 0 < 0,75 < 1, donc la suite d est décroissante.
0 0 2
d) dn = 2 × 0,75n
1 0,25 1,75
En tabulant la suite, on trouve d51 ≈ 0,8 × 10 –6 donc
2 0,437 5 1,562 5 d51 < 10 –6.
3 0,578 125 1,421 875
4 0,683 593 75 1,316 406 25
5 0,762 695 313 1,237 304 688
6 0,822 021 484 1,177 978 516
7 0,866 516 113 1,133 483 887
8 0,899 887 085 1,100 112 915
9 0,924 915 314 1,075 084 686
10 0,943 686 485 1,056 313 515
11 0,957 764 864 1,042 235 136
12 0,968 323 648 1,031 676 352
13 0,976 242 736 1,023 757 264
14 0,982 182 052 1,017 817 948
15 0,986 636 539 1,013 363 461
16 0,989 977 404 1,010 022 596
17 0,992 483 053 1,007 516 947
18 0,994 362 29 1,005 637 71
19 0,995 771 717 1,004 228 283
Chapitre 6 Suites 81
7 Statistiques
5. a) B3 = 6,25
1 Au fil des siècles b) C3 = B3 + C2
c) 62,5 %
Le 14 novembre 1854, une violente tempête
détruisit de nombreux navires français qui assiègaient
Sébastopol, dont le navire amiral. Choqué par cette
catastrophe, Napoléon iii demanda à Le Verrier s’il ne 3 Découvrir
serait pas possible de prévoir l’arrivée des tempêtes.
1 Diagramme en boîte
1. a) Min = 29,3 et Max = 31,3.
b) Me = 30,25 ; Q1 = 29,7 et Q3 = 30,7.
2 Bien démarrer c) Les extrémités sont déterminées par les valeurs
extrêmes, les côtés verticaux du rectangle par les
1. a) xx ≈ 1 890,96 quartiles, et le trait vertical dans le rectangle par la
b) Le salaire mensuel moyen des employés de cette médiane.
entreprise est environ égal à 1 890,96 �. 9
d) × 100 ≈ 56,25, donc environ 56,25 % de ces pays
c) 23 + 30 + 27 = 80 donc 80 salariés ont un salaire 16
inférieur à la moyenne, c’est-à-dire environ 81,63 %. d’Europe présentent un âge moyen des mères au pre-
Hervé a tort. mier enfant compris entre Q1 et Q3. Cela correspond au
rectangle du diagramme en boîte.
2. a) Me = 1 550 2. a) Min = 26,3, Q1 = 26,6, Me = 27,75, Q3 = 28 et
b) Au moins 50 % des salariés ont un salaire inférieur Max = 29,9.
ou égal à 1 550 � et au moins 50 % des salariés ont un b)
salaire supérieur ou égal à 1 550 �.
3. a) Q 1
= 1 550 et Q3 = 1 732.
b) Au moins 25 % des salariés ont un salaire inférieur
ou égal à 1 550 � et au moins 75 % des salariés ont un 26 27 28 29 30 31 32
salaire supérieur ou égal à 1 550 �.
Au moins 75 % des salariés ont un salaire inférieur ou
égal à 1 732 � et au moins 25 % des salariés ont un
salaire supérieur ou égal à 1 732 �. 3. a) Les âges moyens des mères au premier enfant
c) 1 732 – 1 550 = 182 donc l’écart interquartile est égal sont sensiblement plus bas en Amérique.
à 182. b) Les âges moyens des mères au premier enfant sont
d) 30 + 27 = 57 donc 57 salariés ont un salaire dans moins dispersés en Europe.
l’intervalle [1 550 ; 1 732], c’est-à-dire 58 % environ.
2 Variance et écart-type
4. a) La recette moyenne est xx ≈ 236 �. 1. b) Pour la série de 2013, Q1 = 48,75, Me = 50 et
b) Q3 = 52,5.
10
Pour la série de 2014, Q1 = 49, Me = 50 et Q3 = 52.
8
6 c) Il est difficile de comparer les données puisque les
4 résultats respectifs sont très proches. On peut néan-
2 moins remarquer des temps moins dispersés en 2014.
0 2. a) Pour la série de 2013, xx = 50,937 5.
80 130 180 230 280 330 Pour la série de 2014, xx = 50,062 5.
82
b) En 2014, Alice met en moyenne environ une minute
de moins qu’en 2013 pour parcourir 10 km.
c) Le symbole $ bloque le numéro de la ligne.
5 Résoudre des problèmes
d) E2=(D2-D$231)∧2 8 a) Sur l’écran de calculatrice ci-dessous, le
e) Pour la série de 2013, la variance est égale à diagramme du haut correspond à la rue Mozart et ce-
8,683 593 75. lui du bas à la rue Oasis.
Pour la série de 2014, la variance est égale à 2,933 593 75.
f) Pour la série de 2013, l’écart-type est environ égal
à 2,95.
Pour la série de 2014, l’écart-type est environ égal à
1,71.
3. a) La série la moins dispersée est donc celle de
l’année 2014.
b) Alice a donc été plus régulière en 2014. Fenêtre : 50 < X < 80, pas 10 ; – 1 < Y < 2, pas 1.
b) On remarque que les niveaux de bruit de la rue
Oasis sont globalement moins élevés et moins disper-
4 Savoir-faire sés que ceux de la rue Mozart.
2 a) L’effectif total de la série est N = 56. 10 1. a) On obtient 4 et 22 dans le premier cas.
1 On obtient 9 et 21 dans le deuxième cas.
• × N = 28. La médiane est la demi-somme des 28e et b) Le rôle de l’algorithme est d’afficher les quartiles Q1
2
29e valeurs, ainsi Me = 4. et Q3 de la série saisie.
1 2. En dernière ligne de « Variables », ajouter :
• × N = 14. Le premier quartile est donc la 14e valeur,
4 ecart1, ecart2 sont des nombres réels.
ainsi Q1 = 0. En dernière ligne de « Traitement », ajouter :
3 Affecter à ecart1 la valeur xn – x1.
• × N = 42. Le troisième quartile est donc la 42e
4 Affecter à ecart2 la valeur xj – xi.
valeur, ainsi Q3 = 5. Dans « Sortie » , ajouter : Afficher ecart1, ecart2.
b)
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 6 Travaux pratiques
3 a) Me = 33, Q1 = 29 et Q3 = 35. 11 1. b) La dépense totale d’investissement pour
b) l’ensemble des secteurs d’activités est égale à 1 232,8
millions d’euros.
c) La dépense totale d’études pour l’ensemble des
secteurs d’activités est égale à 359,3 millions d’euros.
28 29 30 31 32 33 34 35 36 e) Chaque pourcentage représente la part des
c) 35 – 29 = 6 donc l’écart interquartile de cette série dépenses liées à la protection de l’environnement
est égal à 6. pour chaque secteur.
2.
5 à l’aide de la calculatrice, on trouve :
Inv. études Total
a) xx = 50,42 et σ = 1,55.
xx 49,3 14,4 63,7
b) Me = 50, Q1 = 49 et Q3 = 52 donc l’écart interquartile
est égal à 3. σ 86,4 39,5 124,7
Me 20,3 3,8 21,7
6 à l’aide de la calculatrice, on trouve :
Q1 7,6 1,4 9,6
a) xx = 40 208,5 et σ ≈ 20 317,49.
Q3 42,7 8,1 48
b) Me = 34 582,5, Q1 = 29 155 et Q3 = 43 780,5 donc
l’écart interquartile est égal à 14 625,5. Q3 − Q1 35,1 6,7 38,4
Chapitre 7 Statistiques 83
3. a) Pour chaque série la moyenne est nettement
supérieure à la médiane. Ceci est dû à la présence d’un
petit nombre de valeurs très élevées dans chaque
7 Pour s’entraîner
série. 13 a) Me = 5,5
b) Lorsque l’on regarde les histogrammes de chaque
b) Me = 13
série, comme ci-dessous celui des dépenses d’inves-
tissement, on remarque qu’il n’est pas symétrique. 14 1. a) Le minimum est 1, le maximum est 10.
Le couple (moyenne, écart-type) étant sensible aux b) Me = 4,5
valeurs extrêmes, il est moins approprié que le couple c) Q1 = 3 et Q3 = 7.
(médiane, écart-interquartile). 2. a) L’étendue est 9.
Histogramme relatif aux dépenses d’investissement : b) L’écart interquartile est 4.
8
6 15 Il s’agit du troisième diagramme.
84
b) On lit Me ≈ 3,25 ; Q1 ≈ 2 et Q3 ≈ 4,5.
20 a) Min = 0 ; Q1 = 3 ; Me = 4 ; Q3 = 5 ; Max = 7.
c)
0 1 2 3 4 5 6 7 0 1 2 3 4 5 6 7
Pegomas
18 22 26 30 34 38 42 46 50 54 58 62 66 70
2. a) « Dans plus de 50 % des régions, la part des
surfaces agricoles est supérieure à 52,75 %. » 10 30 50 70 90 110 130
« Dans plus de 75 % des régions, la part des surfaces On remarque que la pluviométrie moyenne est beau-
agricoles est inférieure à 62,7 %. » coup moins dispersée à Armentières qu’à Pegomas.
En effet, l’étendue des données relatives à Armen-
24 a) 83 – 68 = 15 donc 15 % de ces familles se tières est environ deux fois plus petite que l’écart
connectent à Internet entre 4 h et 5 h par jour. interquartile des données relatives à Pegomas.
Chapitre 7 Statistiques 85
médiane lorsque les valeurs sont rangées par ordre
29 Voici ce qu’affiche la calculatrice :
croissant.
S’il affiche un seul entier m, la médiane est la me
valeur de la série.
S’il affiche deux entiers m et m + 1, la médiane est la
demi-somme des me et (m + 1)e valeurs de la série.
37 a) xx = 15 et σ = 0.
b) xx = 15 et σ = 5.
86
43 a) xx ≈ 3,5. En moyenne, un appel d’Evan dure 3 48 a) et b)
minutes et demie. 100
b) σ ≈ 4,1 80
60
44 a) 40
20
0
14 16 18 20 22 24 26 28 30 32 34 36
xx ≈ 25,11 et σ ≈ 3,90.
c) [ xx – σ ; xx + σ] = [21,21 ; 29,01] : cet intervalle contient
53,5 % des valeurs environ.
b) La médiane et la moyenne sont très proches, on peut [ xx – 2σ ; xx + 2σ] = [17,31 ; 32,91] : cet intervalle contient
se contenter de résumer la série par le couple ( xx ; σ). 93,6 % des valeurs environ.
[ xx – 3σ ; xx + 3σ] = [13,41 ; 36,81] : cet intervalle contient
45 a) 100 % des valeurs.
Musée 1 Musée 2 Musée 3 49 a) Les deux séries ont environ la même moyenne :
xx 100 100 72 30. Celle qui a le plus grand écart-type est la série 1 qui
σ 56,57 56,57 46,36 est plus dispersée.
Me 100 100 60 b)
Q3 – Q1 80 80 80 Valeur Effectif Série 1 Effectif Série 2
b) Pour les musées 1 et 2, on peut se contenter de 10 3 0
prendre le couple (médiane ; écart interquartile) 15 5 1
puisque les moyennes et les médianes sont égales. 20 8 6
Pour le musée 3, on peut prendre le couple (médiane ; 25 14 15
écart interquartile) car il est peu sensible aux valeurs
30 16 21
extrêmes.
35 13 18
46 a) Durée du séjour 40 11 9
45 5 2
50 1 1
Âge Série 1 : xx ≈ 29,8 et σ ≈ 9,19.
Série 2 : xx ≈ 31,1 et σ ≈ 6,74.
On retrouve bien les résultats précédents.
Chapitre 7 Statistiques 87
Voici les diagrammes en boîte :
51 a) xx = 11,5 et σ ≈ 4,27.
TTC
b) La nouvelle moyenne est xx = 0.
c) Le nouvel écart-type est σ = 1.
88
4. Vrai. On peut le vérifier par le calcul, xx ≈ 2,86 et 2010 : Min = 17,35 ; Q1 = 45,88 ; Me = 113,935 ;
Me = 3, ou en remarquant que la répartition est Q3 = 214,17 ; Max = 566,2.
désaxée vers la gauche. 2010
60 On a σ ≈ 0,22.
[ xx – 2σ ; xx + 2σ] = [4,56 ; 5,44] : cet intervalle contient
0 100 200 300 400 500 600
38 valeurs, c’est-à-dire 95 % des valeurs.
[ xx – σ ; xx + σ] = [4,78 ; 5,22] : cet intervalle contient 28 b) On remarque que les valeurs de la série de 2010
valeurs, c’est-à-dire 70 % des valeurs. sont légèrement plus dispersées que celles de la série
La machine est donc bien réglée. de 2003. On observe également une hausse globale
des valeurs.
61 On a xx ≈ 22 et σ ≈ 10 donc xx – σ ≈ 12 et xx + σ ≈ 32.
Ainsi la recette est égale à 65 Le tableau suivant présente la moyenne et
R(a) = 7 × 800 + a × 2 450 + a2 × 760, l’écart-type pour chaque méthode.
c’est-à-dire R(a) = 760a2 + 2 450a + 5 600. Initial Méthode 1 Méthode 2
Le bénéfice est donc égal à B(a) = R(a) – 85 000,
xx 2 079,9 2 117,5 2 104,95
c’est-à-dire B(a) = 760a2 + 2 450a – 79 400.
On cherche alors le signe de la fonction B. σ 539,99 523,79 593,37
Δ = 247 378 500 > 0. On trouve donc deux solutions : La méthode 1 augmente le salaire moyen et réduit les
a1 ≈ – 11,96 et a2 ≈ 8,74. disparités puisque l’écart-type diminue.
La méthode 2 augmente le salaire moyen mais accen-
a 0 a2 + ∞
tue les disparités.
B(a) – 0 + La méthode 1 est donc la plus appropriée.
Le service de livraison réalise donc un bénéfice dès
que a est supérieur à 8,74 �. 66 On construit pour cela le diagramme en boîte
correspondant à l’échantillon de 60 barquettes
62 a) xx ≈ 1,015 90 et σ ≈ 0,070 52. au-dessus du diagramme « modèle » correspondant
b) Dans cet échantillon, 31 lentilles sont conformes, au remplissage automatisé.
c’est-à-dire environ 79,49 %. Min = 0,8 ; Q1 = 0,875 ; Me = 0,975 ; Q3 = 1,087 5 ;
c) Pour la nouvelle série, xx ≈ 1,009 94 et σ ≈ 0,044 07. Max = 1,175.
Ainsi, la moyenne est quasi inchangée et
0,044 07
≈ 0,625, d’où une baisse de l’écart-type de
0,070 52
37,5 %.
d) Dans ce nouvel échantillon, 34 lentilles sont confor-
mes, c’est-à-dire environ 87,18 %.
Le réglage est plus satisfaisant. 0,80 0,90 1,00 1,10 1,20
63 a) Magasin 1 : xx ≈ 11 022 et σ ≈ 585. La série qui correspond à l’échantillon est beaucoup
plus dispersée que celle réalisée de manière automa-
Magasin 2 : xx ≈ 1 470 et σ ≈ 538.
tisée. On peut raisonnablement penser que les bar-
b) La différence de dispersion n’est pas significative.
quettes prélevées ont été remplies manuellement.
L’écart de 47 � est minime par rapport aux bénéfices.
σ 67 Ces tableaux conviennent :
c) Magasin 1 : ≈ 0,053.
xx
σ Lycée 1
Magasin 2 : ≈ 0,366.
xx Notes [0 ; 8[ [8 ; 12[ [12 ; 20[
La série correspondant au magasin 2 est donc la plus
dispersée. Filles 10 20 30
Garçons 20 140 80
64 a) 2003 : Min = 3,21 ; Q1 = 14,6 ; Me = 101,99 ;
Total 30 160 110
Q3 = 154,01 ; Max = 548,21.
Chapitre 7 Statistiques 89
Lycée 2 71 Eva a fait une erreur, elle n’a saisi que la liste des
Notes [0 ; 8[ [8 ; 12[ [12 ; 20[ effectifs. Voici les résultats corrects.
Filles 50 20 105 a)
Garçons 50 145 130
Total 100 165 235
10 Accompagnement
personnalisé
69 a) L’effectif total est égal à N = 365.
1
• × N = 182,5. La médiane est donc la 183e valeur,
2 72 a) L’effectif total est égal à N = 20.
ainsi Me = 2. 1
1 • × N = 10. La médiane est donc la demi-somme des
• × N = 91,25. Le premier quartile est donc la 92e 2
4 10 et 11e valeurs, ainsi Me = 29.
e
valeur, ainsi Q1 = 1. 1
3 • × N = 5. Le premier quartile est donc la 5e valeur,
• × N = 273,75. Le troisième quartile est donc la 4
4 ainsi Q1 = 17.
274 valeur, ainsi Q3 = 3.
e
3
b) • × N = 15. Le troisième quartile est donc la 15e
4
valeur, ainsi Q3 = 55.
b)
0 1 2 3 4 5 6
70 a) L’effectif total est égal à N = 24. 0 20 40 60 80 100 120 140 160
1
• × N = 12. La médiane est donc la demi-somme des
2 73 Q3 – Q1 = 6 – 3 = 3 donc l’écart interquartile est
12e et 13e valeurs, ainsi Me = 6,5. égal à 3.
1 σ≈2
• × N = 6. Le premier quartile est donc la 6e valeur,
4
ainsi Q1 = 4. 74 a) Q1 = 3 et Q3 = 8 donc l’écart interquartile est
3 égal à 5.
• × N = 18. Le troisième quartile est donc la 18e
4 b) σ ≈ 3
valeur, ainsi Q3 = 10.
b) Le diagramme est faux, la borne droite du rectangle 75 a) Q3 – Q1 = 12 – 3 = 9 donc l’écart interquartile
doit se trouver au troisième quartile, c’est-à-dire 10. est égal à 9.
(Attention, si on tient compte des résultats donnés par σ ≈ 7,9
la calculatrice, Q1 = 4,5 et Q3 = 11 l’erreur serait alors à b) L’écart interquartile est le même mais l’écart-type
la borne gauche du rectangle). devient 5,9 environ.
90
76 xx ≈ 3,5 et σ ≈ 3,2. 79 1. b) et 2. Par exemple :
78 a) Premier groupe : Me = 7 ; Q1 = 6 ; Q3 = 7. 0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1,0
Deuxième groupe : Me = 3 ; Q1 = 2 ; Q3 = 3. 4. Plus le nombre de lancers est grand, moins les séries
b) Deuxième groupe de fréquences sont dispersées.
80 a) f’(x)
n1 × 2 × (− 1)(x1 − x) + … + np × 2 × (− 1)(xp − x)
=
Premier groupe N
(n1 + … + np)x – (n1 x1 + … + np xp)
=2
N
Nx – N xx
0 2 4 6 8 10 =2
N
c) Les deux groupes sont répartis de la même manière. = 2(x – x)
x
Le premier groupe a globalement des résultats plus b) x – ∞ xx + ∞
élevés. En effet, la plus petite donnée de cette série
est plus grande que le troisième quartile de la série 2(x – x)
x – 0 +
relative au deuxième groupe.
2. a) Premier groupe : xx ≈ 6,7 et σ ≈ 1,3. f (x)
f( xx )
Deuxième groupe : xx ≈ 2,8 et σ ≈ 1,4.
b) Les moyennes montrent à nouveau la différence de c) Le minimum de f est atteint pour x = xx.
niveau. De plus, on peut dire que le deuxième groupe d) Le minimum vaut f( xx ) = V. Il s’agit, par définition, de
est un peu moins homogène que le premier. la variance.
Chapitre 7 Statistiques 91
8 Probabilités
3
Poincaré le plus gros de ses pains disponibles.
Le boulanger fut de nouveau sermonné. Découvrir
• https://books.google.fr/books?isbn=222112801X
1 Gain moyen à un jeu télévisé
1. a) La variable G peut prendre les valeurs 1 000, 1 250
et 1 500.
Probabilité
1 000
3
1 250
1
1 500
1
1. La modélisation (2) semble adéquate. 5 5 5
La modélisation (1) n’est pas adéquate car il faudrait 2. a) E(G) = 1 150
que chaque fréquence soit environ égale à 0,25. b) E(G) s’exprime en euros.
La modélisation (3) n’est pas adéquate car la somme c) Un candidat ne peut pas gagner une somme égale à
des probabilités n’est pas égale à 1. E(G) car ce n’est pas le contenu d’une des boîtes.
3. a) à e)
2. Issue A B C D
1 1 1 1
Probabilité
2 4 8 8
92
2 Répétition d’expériences identiques et indé- xi – 1 1 3 5 7
pendantes 3 1 1 1 1
P(X = xi)
1. a) 7 7 7 7 7
Issues
R1 … (R1 ; R1) 5 On lit que l’espérance de X est E(X) = 2.
R2 … (R1 ; R2) Donc le nombre moyen de Pile obtenu est 2.
R1 R3 … (R1 ; R3)
V1 … (R1 ; V1)
V2 … (R1 ; V2) 6 a) Voici la loi de probabilité de X :
R1 … (R2 ; R1)
R2 … (R2 ; R2) xi – 7 0 8
R2 R3 … (R2 ; R3) 1 1 1
V1 … (R2 ; V1) P(X = xi)
3 2 6
V2 … (R2 ; V2)
R1 … (R3 ; R1) b)
R2 … (R3 ; R2)
R3 R3 … (R3 ; R3)
V1 … (R3 ; V1)
V2 … (R3 ; V2)
R1 … (V1 ; R1)
R2 … (V1 ; R2)
V1 R3 … (V1 ; R3) c) Sur un grand nombre de parties, le gain moyen par
V1 … (V1 ; V1) partie est de – 1 �. (L’erreur d’arrondi peut être due au
V2 … (V1 ; V2) modèle de calculatrice utilisé.)
R1 … (V2 ; R1)
R2 … (V2 ; R2)
V2 R3 … (V2 ; R3) 8 Chaque feu tricolore peut être vert (V), orange
V1 … (V2 ; V1) (O) ou rouge (R).
V2 … (V2 ; V2)
Issues
b) Il y a 5 × 5 = 25 tirages possibles.
V ……
… (V ; V ; V)
c) Il y a quatre tirages qui font gagner le candidat.
4 V O …… (V ; V ; O)
La probabilité de gagner est donc . 35
—
25 60 R …… (V ; V ; R)
2. a) Il y a trois secteurs rouges sur cinq secteurs et il y a 5 V …… (V ; O ; V)
—
deux secteurs verts sur cinq secteurs. 60
V O O …… (V ; O ; O)
b) R …… (V ; O ; R)
Issues
3 20
— — V …… (V ; R ; V)
5 R (R ; R)
… 60
R O …… (V ; R ; O)
3 R
— 2 V … (R ; V) 35
— R …… (V ; R ; R)
5 — 60
5 V …… (O ; V ; V)
3
— V O …… (O ; V ; O)
2 5 R … (V ; R) 35
—
— V 60 R …… (O ; V ; R)
5
2 V … (V ; V) 5 5 V …… (O ; O ; V)
— — —
5 60 60
O O O …… (O ; O ; O)
2 2 4
c) Le produit × = permet de retrouver la proba- R …… (O ; O ; R)
5 5 25 20
— V …… (O ; R ; V)
bilité de gagner. 60
R O …… (O ; R ; O)
R …… (O ; R ; R)
4
20
— V …… (R ; V ; V)
Savoir-faire 60
V O …… (R ; V ; O)
35
—
2 Voici la loi de probabilité de X : 60 R …… (R ; V ; R)
5 V …… (R ; O ; V)
—
xi – 3 1 8 60
R O O …… (R ; O ; O)
4 2 4
P(X = xi) R …… (R ; O ; R)
10 10 10 20
— V …… (R ; R ; V)
60
R O …… (R ; R ; O)
3 X prend les valeurs – 1 ; 1 ; 3 ; 5 ; 7.
Voici la loi de probabilité de X. R …… (R ; R ; R)
Chapitre 8 Probabilités 93
L’événement (X = 2) est réalisé par les issues (V ; V ; R) ; En jouant un grand nombre de fois, un joueur gagne,
(V ; R ; V) ; (R ; V ; V) ; (V ; V ; O) ; (V ; O ; V) ; (O ; V ; V). en moyenne, 6,5 � par partie (hors mise).
Donc P(X = 2) = 3 × P(V ; V ; R) + 3 × P(V ; V ; O) En fixant la mise à 13 �, le taux de reversement serait
35 35 20 35 35 5 de 50 %.
P(X = 2) = 3 × × × +3× × ×
60 60 60 60 60 60 En fixant la mise à 10 �, le taux de reversement serait
P(X = 2) ≈ 0,43. de 65 %.
On peut donc fixer une mise comprise entre 10 � et
9 Chaque pièce tirée peut provenir d’Allemagne 13 �.
(A), d’Espagne (E) ou de France (F).
14 Chaque élève choisi peut être inscrit en ES, en L
Issues
1 ou en S.
— A … (A ; A)
3
1 Issues
— E … (A ; E)
A 3
0,47 ES … X = 2
1
— 0,12 L … X = 1
1 3 F … (A ; F)
— ES
3 1
— A … (E ; A)
0,41 S … X=1
1
— 3 0,47
3 1
— E … (E ; E) ES … X = 1
E 3 0,47
0,12 0,12
1
— F … (E ; F) L L … X=0
3
1
— 0,41 S … X=0
3 1
—
3 A … (F ; A) 0,41
1 0,47 ES … X = 1
—
F 3 E … (F ; E) 0,12
L … X=0
1 S
— F … (F ; F) 0,41
3 S … X=0
L’événement (X = 1) est réalisé par les issues (A ; F), P(X = 0) = 0,12 × 0,12 + 0,12 × 0,41 + 0,41 × 0,12 + 0,41
(F ; A), (E ; F) et (F ; E), donc : × 0,41
P(X = 1) = 2 × P(A ; F) + 2 × P(E ; F) P(X = 0) = 0,280 9
1 1 1 1 P(X = 1) = 0,47 × 0,12 + 0,47 × 0,41 + 0,12 × 0,47 + 0,41
P(X = 1) = 2 × × + 2 × ×
3 3 3 3 × 0,47
4
P(X = 1) = . P(X = 1) = 0,498 2
9
P(X < 1) = P(X = 0) + P(X = 1) = 0,779 1
La probabilité d’avoir tiré exactement une pièce
4 Donc la probabilité que, sur les deux dossiers prélevés,
provenant de France est donc . un au plus soit celui d’un élève de ES est 0,779 1.
9
15 a) P(X = 2) = P(P ; P ; F) + P(P ; F ; P) + P(F ; P ; P)
1 1 1 1 1 1 1 1 1
P(X = 2) = × × + × × + × ×
2 2 2 2 2 2 2 2 2
5 Résoudre des problèmes 3
P(X = 2) = .
8
11 X est la variable aléatoire qui donne le gain, La probabilité d’obtenir deux fois Pile sur les trois
3
éventuellement négatif, du joueur lors d’une partie. lancers est
8
L’espérance de X est
b) P(X > 2) = P(X = 2) + P(X = 3)
E(X) = 0,74 × (– 5) + … + 0,000 5 × 995 soit E(X) = – 2,35.
P(X > 2) = P(X = 2) + P(P ; P ; P)
Cela signifie qu’en jouant un grand nombre de fois,
3 1 1 1
un joueur perd donc en moyenne 2,35 � par partie. P(X > 2) = + × ×
8 2 2 2
Ainsi, en ayant acheté 100 tickets, on peut estimer que 1
P(X > 2) =
le joueur aura perdu environ 235 �. 2
La probabilité d’obtenir au moins deux fois Pile sur les
12 X est la variable aléatoire qui donne le gain (hors 1
mise) du joueur lors d’une partie. trois lancers est .
2
E(X) = 0 × 0,97 + 100 × 0,01 + 200 × 0,01 + 300 × 0,005
+ 400 × 0,005
E(X) = 6,5
94
3. a) La stratégie est perdante.
6 Travaux pratiques b) Il ne serait pas plus intéressant de jouer quatre fois
car le joueur augmenterait ses pertes potentielles sans
16 1. a) X peut prendre les valeurs 1, 2 ou 3. augmenter ses gains.
b) S’il s’arrête au bout de deux parties, c’est qu’il a
17 1. a) • En B5 et en D5 : la formule permet de
perdu la première et gagné la deuxième partie.
simuler le lancer d’une roue en affichant un nombre
Ainsi, son gain est (– 5) × 2 + 36 × 5 = 170.
entier aléatoire entre 1 et 8.
c) • En B2 : ALEA() simule le choix au hasard d’un nom-
• En C5 : la formule permet d’afficher 0 (Banqueroute)
bre réel de [0 ; 1[.
si le nombre entier obtenu en B2 est 1 ou 2, 50 000 si
Donc ENT(ALEA() + 1/37) permet d’obtenir un nom-
c’est 7 ou 8 et d’afficher m (qui se trouve en B1), sinon.
bre au hasard égal soit à 0, soit à 1, avec 1 chance sur
On obtient donc les gains du premier candidat.
37 d’obtenir 1.
• En E5 : il faut saisir
• En C2 : Cela signifie que si la première partie est per-
=SI(D5<=2;0;SI(D5>=7;50000;$B$1)).
due alors on en fait une deuxième.
• En F5 : il faut saisir =C5+E5.
• En D2 : Cela signifie que si la deuxième partie est per-
b) à e)
due alors on en fait une troisième.
En G5 : la formule permet de calculer le montant
• En E2 : Cela permet de compter le nombre de parties
moyen versé par émission par la chaîne.
jouées.
En H5 : il faut saisir =500*60000–500*G5.
• En F2 : Cela permet de donner le gain obtenu. En
On conjecture qu’il faut prendre environ m = 17 000 �.
effet, si toutes les parties sont perdues, alors
SOMME(B2 : D2) = 0 ; sinon SOMME(B2 : D2) = 1.
c), d), e)
En cellule G2, on saisit =MOYENNE(E2 :E5001).
On estime le nombre moyen de parties jouées à 2,9
environ.
En cellule H2, on saisit =MOYENNE(F2 : F5001).
On estime le gain moyen à – 0,5 � environ.
2. a) Chaque partie peut être gagnée (G) ou perdue 2. a) B(resp. M, resp. V) est l’événement : « le joueur a
(P). obtenu un secteur Banqueroute (resp. m, resp.
Issues 50 000) ».
1
— G ………………. . ……. X = 1. . . . Y = 175 1er joueur 2e joueur Valeur
de X
37
1 1
— B…0
— G …………… X = 2 … Y = 170 4 1
37 — M… m
36 P 1 B 2
— —
37 G …… X = 3 … Y = 165 1
36
37
1 — V … 50 000
— P — 4
37 4 1
36
— P …… X = 3 … Y = 15 — B…m
37 1 4 1
— — M… 2m
2 M 2
b) Loi de probabilité de X : 1
—
4 V … m + 50 000
xi 1 2 3 1
—
4 1
— B … 50 000
1 36 1 296 4
P(X = xi) 1
—
37 1 369 1 369 V 2 M … m + 50 000
1
—
Loi de probabilité de Y : 4 V … 100 000
yi – 15 165 170 175 b) Voici la loi de probabilité de X.
46 656 1 296 36 1
P(Y = yi) xi 0 m 2m 50 000 m + 50 000 100 000
50 653 50 653 1 369 37
1 1 1 1 1 1
1 36 1 296 P(X = xi)
c) E(X) = ×1+ ×2+ × 3 ≈ 2,92 16 4 4 8 4 16
37 1 369 1 369
46 656 1 1 1 1
E(Y) = × (– 15) + … + × 175 ≈ – 0,395 c) E(X) = ×0+ ×n+…+ × 100 000
50 653 37 16 4 16
Cela confirme les résultats obtenus au 1. E(X) = m + 25 000
Chapitre 8 Probabilités 95
Ainsi, sur 500 émissions, on peut estimer le montant e) Il semble que P(X = 1) > 0,4 à partir de p = 0,2.
reversé aux candidats à 500(m + 25 000) c’est-à-dire 3. a) On peut avoir les compositions suivantes (rouge(s) ;
500m + 12 500 000. verte(s) ; bleue(s)) : (2 ; 1 ; 7) ; (2 ; 2 ; 6) ; (2 ; 3 ; 5) ;
Les recettes publicitaires s’élèvent à 60 000 � par émis- (3 ; 1 ; 6) ; (3 ; 2 ; 5) ; (4 ; 1 ; 5).
sion et on souhaite 9 millions d’euros de bénéfice, on b) En vérifiant, on retrouve les probabilités obtenues
cherche donc m tel que : dans le tableau du 2.d) qui donnent P(X = 1).
500 × 60 000 – (500m + 12 500 000) > 9 000 000 c’est-
à-dire m < 17 000.
3. Afin de prévoir des droits publicitaires en baisse ou
7
des coûts non anticipés, on pourrait choisir m = 16 000 �
ou m = 15 000 �. Pour s’entraîner
18 1. a)
19 X prend les valeurs 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6.
1re boule 2e boule 3e boule Valeur
de X 20 X prend les valeurs 0 ; 1 ; 2 ; 3.
p R … X=3
R q V … X=2 21 X prend les valeurs 2 ; 3 ; 4.
p r B … X=2
p R … X=2
q … 22 a) X prend les valeurs 1 ; 2 ; 3 ; 4.
R V q V X=1
r B … X=1 b) (X > 2) correspond aux issues : la bille tirée porte le
r p R … X=2
B q V … X=1 numéro 2 ; la bille tirée porte le numéro 3 ; la bille tirée
r B … X=1 porte le numéro 4.
p p R … X=2
R q V … X=1
p r B … X=1 23 a) X prend les valeurs 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5.
q q p R … X=1 b) p = P(X = 1) + P(X = 5) = 0,27 + 0,23 = 0,5
V V q V … X=0
r B … X=0
r p R … X=1 24 a) L’événement (X = 3) est réalisé par les chemins
r B q V … X=0 ABFI, ABEI, AEFI, AEHI, ADEI, ADHI.
r B … X=0
p R … X=2 b) X prend les valeurs 2 ; 3 ; 4.
p R q V … X=1 c) L’événement (X < 3) est réalisé lorsque (X = 2) ou
r B … X=1
q p R … X=1 lorsque (X = 3).
B V q V … X=0 Aux chemins du a), il faut donc ajouter celui corres-
r B … X=0
r p … pondant à (X = 2), c’est-à-dire AEI.
R X=1
B q V … X=0
r B … X=0 25 Valeurs prises par X : 0 ; 1.
b) 12 chemins correspondent à l’événement X = 1. Voici la loi de probabilité de X :
2. a) r = 1 – p – q xi 0 1
b) r > 0,5 donc 1 – p – q > 0,5 d’où p + q < 0,5. 3 1
1 P(X = xi)
Or, il y a au moins une boule rouge donc p > , d’où 4 4
10
p > 0,1. De même q > 0,1.
Comme il y a au moins 5 boules bleues (car r > 0,5), il 26 Valeurs prises par X : – 1 ; 0 ; 1.
ne peut y en avoir plus de 4 rouges (et 4 vertes), donc Voici la loi de probabilité de X :
p < 0,4 (et q < 0,4). xi – 1 0 1
c) La ligne manquante est : S prend la valeur 1 1 1
4p × q × (1 – p – q) + 4p × q2 + 4p × (1 – p – q)2. P(X = xi)
4 2 4
d) p 0,1 0,2
q 0,3 0,4
27 X peut prendre les valeurs :
0,1 0,292 0,456 0,516 0,496 85 + 235 = 320 ; 170 + 1 340 = 1 510 ; 845 + 5 475 = 6 320.
0,2 0,268 0,416 0,468 Voici la loi de probabilité de X :
0,3 0,252 0,392 xi 320 1 510 6 320
0,4 0,244 P(X = xi) 0,34 0,48 0,18
96
Jeu 2 : E(X) = – 0,125 ≠ 0 donc ce jeu n’est pas
28 a) Voici la loi de probabilité de X :
équitable.
xi 1 5 10 Olivier s’est donc trompé.
19 12 1
P(X = xi) 38 a) Voici la loi de probabilité de X :
32 32 32
b) P(X < 5) = P(X = 1) + P(X = 5) xi 0 5 10
19 12 31 P(X = xi) 0,8 0,15 0,05
P(X < 5) = + =
32 32 32
La probabilité de gagner 5 points ou moins lors d’une b) L’espérance de X est :
31 E(X) = 0,8 × 0 + 0,15 × 5 + 0,05 × 10 soit E(X) = 1,25.
partie est égale à .
32 Cela signifie que, sur un grand nombre de parties,
Chinda obtiendra, en moyenne, 1,25 point par partie.
29 a) (X > 2) b) (X > 2) c) (X < 2)
1
30 Les valeurs prises par X sont : 400 ; 500. 39 a) P(X = – 5) = .
4
Voici la loi de probabilité de X : 1
La probabilité de perdre 5 � lors d’une partie est .
4
xi 400 500 1 1 1 1
b) E(X) = × (– 5) + × 0 + × 4 + × 10 = 0,25.
1 3 4 2 6 12
P(X = xi)
4 4 Sur un grand nombre de parties, Erika gagnera, en
moyenne, 0,25 � par partie.
31 Dé
vert
Dé 1 2 3 4 5 6
rouge 40 Voici la loi de probabilité de X :
1 2 3 4 5 6 7 xi 1 5 20 100
2 3 4 5 6 7 8 1 1 1 1
P(X = xi)
3 4 5 6 7 8 9 6 6 2 6
4 5 6 7 8 9 10 1 1 1 1
E(X) = × 1 + × 5 + × 20 + × 100 ≈ 27,66.
5 6 7 8 9 10 11 6 6 2 6
Sur un grand nombre de parties, un joueur gagnera,
6 7 8 9 10 11 12 en moyenne, environ 27,66 $ par partie.
Les issues ne sont pas équiprobables. Par exemple
(S = 2) est obtenu grâce à 1 + 1, tandis que S = 6 est 41 Voici la loi de probabilité de X :
obtenu grâce à 1 + 5 ou 5 + 1 ou 2 + 4 ou 4 + 2 ou 3 + 3.
xi 1 5 10 20
Voici la loi de probabilité de S :
1 4 1 1
P(X = xi)
si 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 3 9 9 9
1 2 3 4 5 6 5 4 3 2 1 1 4 1 1
P(S = si) E(X) = × 1 + × 5 + × 10 + × 20 ≈ 5,89
36 36 36 36 36 36 36 36 36 36 36 3 9 9 9
Sur un grand nombre de parties, un joueur obtiendra,
12
32 E(X) = en moyenne, 5,89 environ.
5
33 E(X) = 2,1
42 a) Voici la loi de probabilité de X :
34 E(X) ≈ 1,583 xi 2 5 10 20 50
1 1 7 1 1
35 E(X) = 133 P(X = xi)
4 4 20 10 20
36 Nadia s’est trompée car l’écran affiche n = 2 et il 1 1
b) E(X) = ×2+…+ × 50 = 9,75
faut que n = 1 (somme des probabilités de toutes les 4 20
Sur un grand nombre de bons choisis au hasard, la
issues).
réduction est, en moyenne, de 9,75 � par bon.
37 On calcule l’espérance de chacun de ces jeux
grâce à la calculatrice. 43 a) Dé 1
Jeu 1 : E(X) = 0 donc ce jeu est équitable. Voici la loi de probabilité de X1 :
Chapitre 8 Probabilités 97
xi 0,5 1 2 3 46 a) Les valeurs prises par X sont : – 3 ; – 2 ; 1 ; 5 ; 9.
1 1 1 1 b) Voici la loi de probabilité de X :
P(X1 = xi)
3 6 6 3
xi – 3 – 2 1 5 9
Dé 2
1 1 1 1 1
Voici la loi de probabilité de X2 : P(X = xi)
6 3 6 6 6
xi 1 2 3 1 1 1 1 1
c) E(X) = × (– 3) + × (– 2) + × 1 + × 5 + × 9
1 1 1 6 3 6 6 6
P(X2 = xi) 4
2 3 6 E(X) = ≈ 1,33
3
Dé 3 Sur un grand nombre de parties, un joueur gagnera,
Voici la loi de probabilité de X3 : en moyenne, environ 1,33 � par partie.
xi 0 1 4 47 a) On note X la variable aléatoire qui donne le
1 1 1
P(X2 = xi) gain de Monsieur X.
3 3 3
Voici la loi de probabilité de X :
5
b) E(X1) = ≈ 1,66
3 xi – 8 2
5 1 5
E(X2) = ≈ 1,66 P(X = xi)
3 6 6
5 1 5 2 1
E(X3) = ≈ 1,66 E(X) = × (– 8) + × 2 = = ≈ 0,33
3 6 6 6 3
c) Peu importe puisque ces trois dés correspondent à Ainsi, sur un grand nombre de parties, Monsieur X
la même espérance. gagnera, en moyenne, environ 0,33 � par partie.
b) Voici la loi de probabilité de X :
44 a) Voici la loi de probabilité de X :
xi k – 10 k
xi – 4– 3 – 2 1 m 4 1 5
P(X = xi)
2 1 1 1 1 1 6 6
P(X = xi)
9 3 9 9 9 9 1 5 5
E(X) = × (k – 10) + × k = k –
2 1 1 1 1 6 6 3
b) E(X) = × (– 4) + × (– 3) + × (– 2) + × 1 +
9 3 9 9 9 Ainsi, sur un grand nombre de parties, Monsieur X
1 5
×m+ ×4 gagnera, en moyenne, k – � par partie pour une mise
14 1 9 3
E(X) = – + m de k �.
9 9
c) Le jeu est équitable lorsque E(X) = 0, 1 1
14 1 48 E(X) = × 1 + … + × 6 = 1,812 5 > 0, donc ce
c’est-à-dire – + m = 0, d’où m = 14. 2 48
9 9 jeu n’est pas équitable, il est favorable au joueur.
45 On note m le nombre de billes portant le numé- 49 On note X la variable aléatoire qui donne le gain,
ro 2 ajoutée(s) dans le sac. en euros, de ce jeu.
X est la variable aléatoire qui indique le numéro de la Voici la loi de probabilité de X :
bille prélevée. xi – 1 0 1 2 3 4 5
Voici la loi de probabilité de X : 1 1 1 1 1 1 1
P(X = xi)
2 12 12 12 12 12 12
xi – 2 1 2 4
5 2 m 1 1 1
E(X) = × (– 1) + … + × 5 = 0,75 > 0, donc ce jeu
P(X1 = xi) 2 12
m+8 m+8 m+8 m+8
n’est pas équitable, il est favorable au joueur.
5 2 m 1
E(X) = × (– 2) + ×1+ ×2+ ×4
m+8 m+8 m+8 m+8
– 4 + 2m
50 a) Voici la loi de probabilité de X :
E(X) =
m+8 xi 4 7 8 10
Le jeu est équitable à condition que E(X) = 0, donc
P(X = xi) 0,03 0,27 0,14 0,56
il faut que – 4 + 2m = 0, c’est-à-dire m = 2. Il faut donc
ajouter deux billes portant le numéro 2. b) E(X) = 8,73
98
Sur un grand nombre de spectateurs choisis au hasard, P(F ; H) + P(H ; F) = 0,4 × 0,6 + 0,6 × 0,4
le prix moyen pour un spectateur est 8,73 �. P(F ; H) + P(H ; F) = 0,48.
c) 3 000 × 8,73 = 26 190 La probabilité d’obtenir un homme et une femme est
Or 26 190 > 20 000, donc ce théâtre est rentable. donc 0,48.
51 a) On note X la variable aléatoire qui donne le 56 a) Valeur de X
gain de ce jeu. 0 1 2
49 70 25
Voici la probabilité de X : Probabilité
144 144 144
xi – 1 4 9
b) Valeur de Y 0 1 2
n–4 3 1
P(X = xi) 81 54 9
n n n Probabilité
n–4 3 3 144 144 144
E(X) = × (– 1) + × 4 + × 9
n n n Valeur de Z 0 1 2
25 – n 64 64 16
E(X) = Probabilité
n 144 144 144
Le jeu est équitable lorsque E(X) = 0, c’est-à-dire pour
n = 25.
57 a) 1er jour 2e jour Issues
b) Voici la probabilité de X :
xi 0–m 5 – m 10 – m 0,5 D … (X = 0)
4 3 1 0,5 D
P(X = xi) 0,5 G … (X = 1)
5 20 20
4 3 1 25 – 20m 0,5 …
E(X) = × (– m) + × (5 – m) + × (10 – m) = 0,5
D (X = 1)
5 20 20 20 G
Le jeu est équitable lorsque E(X) = 0, c’est-à-dire lors- 0,5 G … (X = 2)
que 25 – 20m = 0, donc m = 1,25.
Voici la loi de probabilité de X :
La mise doit donc être de 1,25 �.
xi 0 1 2
52 a) Oui. b) Non. 1 1 1
P(X = xi)
4 2 4
53 a) X prend les valeurs 0 ; 1 ; 2 ; 3.
b) A : X prend les valeurs 2 ou 3. b)
1er jour 2e jour 3e jour Issues
B : X prend les valeurs 1 ; 2 ; 3.
C : X prend les valeurs 2 ou 3. 0,5 D … (X = 0)
0,5 D G … (X = 1)
0,5
54 • p(A ; B ; A) = 0,1 × 0,9 × 0,1 = 0,009 0,5 D …
D (X = 1)
• p(A ; A ; B) = 0,1 × 0,1 × 0,9 = 0,009 0,5 0,5 G
0,5 G … (X = 2)
• p(B ; A ; A) = 0,9 × 0,1 × 0,1 = 0,009
0,5 D … (X = 1)
Ces probabilités sont égales. 0,5 G 0,5 D G … (X = 2)
0,5
55 a) La personne tirée au hasard peut être une 0,5 D … (X = 2)
0,5 G
femme (F) ou un homme (H). 0,5 G … (X = 3)
Issues Voici la loi de probabilité de X :
F … (F ; F) xi 0 1 2 3
0,4
0,4 F P(X = xi) 0,125 0,375 0,375 0,125
0,6 H … (F ; H)
0,4 F … (H ; F)
0,6 H 58 a) Voici la loi de probabilité de X :
0,6 H … (H ; H) xi 0 1 2 3
b) L’événement « Obtenir un homme et une femme »
P(X = xi) 0,884 736 0,110 592 0,004 608 0,000 064
est réalisé par les issues (F ; H) et (H ; F). Donc la proba-
bilité de cet événement est : b) • P(X > 2) = P(X = 2) + P(X = 3) = 0,004 672.
Chapitre 8 Probabilités 99
La probabilité que le robot compose au moins deux
61 On représente la situation par un arbre pondéré.
fois le nom Dupont est 0,004 672.
• P(X < 1) = P(X = 0) + P(X = 1) = 0,995 328.
1re amie 2e amie
La probabilité que le robot compose au plus une fois le
30 Af
nom Dupont est de 0,995 328. — 43
510 —
510 Am
59 a) Calculatrice Af 360
— O
—77 510
10 510 R
—
15 C … allumée —30
Af
4 510 —30
— … allumée 43 Am
15 O
510 —
C 510
1 43 Am
10 — A … éteinte — 360
— O
— 15 510 77 510
15 10 — R
— C … allumée 510
4 15 Af
— —4 … allumée 360 —30
15 O
15 O — 510 43
510 —
1 510 Am
—
15 A … éteinte O 360
— O
—1 10 77 510
— —
15 15 C … éteinte 77
— 510 R
—4 510 30 Af
A 15 O … éteinte —
510 —43
—1 510 Am
15 A … allumée R 360
— O
77 510
10 1 4 1 1 10 1 4 —
b) p = × + × + × + × 510 R
15 15 15 15 15 15 15 15
28 30 30 43 43
p= a) p = × + ×
225 510 510 510 510
La probabilité que la calculatrice soit éteinte est de 2 749
p= ≈ 0,01
28 260 100
. La probabilité qu’elles soient toutes les deux tombées
225
sur l’Afrique ou les Amériques est environ 0,01.
60 1. On note P l’événement : « le véhicule doit lais- b) On note A l’événement : « elles sont tombées sur la
ser la priorité à ce croisement ». même zone ».
360 360 132 349
1er crois. 2e crois. 3e crois. 4e crois. P(A) = p + × = ≈ 0,509
510 510 260 100
0,2 _
P La probabilité cherchée est celle de xA.
0,2 P P
P _
0,8
0,2 _ p’ = 1 – P(A) donc p ≈ 0,491.
0,2 P
0,8 P 0,8 P La probabilité qu’elles soient tombées sur des zones
P 0,2 _
P différentes est environ 0,491.
_ 0,2 P P
0,2 0,8 0,8 30 360 43 360 77 360
P _ 0,2 _
P c) p’’ = × + × + ×
0,8 P 0,8 P 510 510 510 510 510 510
0,2 _
P 360 30 360 43 360 77 360 360
0,2 P P × + × + × + ×
P _ 0,8 510 510 510 510 510 510 510 510
0,8 0,2 0,2 _
P
_ 0,8 P P p’’ ≈ 0,913
0,8
P 0,2
0,2 _
P La probabilité qu’au moins l’une d’entre elles soit tom-
_ P P
0,8 P _ 0,8 bée sur un océan est environ 0,913.
0,2 _
P
0,8 P P
0,8
62 Voici la loi de probabilité de X :
2. a) L’automobiliste s’arrête deux fois :
p = 6 × 0,2 × 0,2 × 0,8 × 0,8 = 0,153 6. xi 2 3 4
b) L’automobiliste s’arrête trois fois : 4 4 4
P(X = xi)
p’ = 4 × 0,2 × 0,2 × 0,2 × 0,8 = 0,025 6. 12 12 12
4 4 4
E(X) = ×2+ ×3+ ×4=3
12 12 12
Sur un grand nombre de déplacements, le temps
moyen de déplacement est de 3 s.
100
5. Vrai. Voici la loi de probabilité de X :
63 On note X (resp. Y) la variable aléatoire qui donne
le gain, en euros, au jeu 1 (resp. au jeu 2). xi 90 113 136 225 248
E(X) =
33
×0+…+
49 49 49 49 49 49 49
1
× 25 =
81
≈ 1,65
9 Pour aller plus loin
49 49 49
E(X) > E(Y) donc le jeu 1 est plus intéressant pour le 69 a) • Pour le drapeau d’Italie :
1 1 1 1
joueur. Pi = P(V ; B ; R) = × × =
6 6 2 72
64 1. a) Faux. En effet, X < 0) est réalisé lorsque • Pour le drapeau du Mali :
1 1 1 1
(x = – 1) ou (X = 0). Pm = P(V ; J ; R) = × × =
6 6 2 72
b) Vrai. En effet, (X > 2) est réalisé par le seul événe-
• Pour le drapeau du Pérou :
ment (X = 3). 1 1 1 1
2. a) Faux. En effet, si (x = 1) est réalisé, alors (X < 0) Pp = P(R ; B ; R) = × × =
2 6 2 24
est réalisé. b) • Pour le drapeau d’Italie :
b) Vrai. En effet, si (X = 3) est réalisée, alors (X > 2) est P’1 = P(V ; B ; R) + P(V ; R ; B) + P(B ; R ; V) + P(B ; V ; R)
réalisé. + P(R ; V ; B) + P(R ; B ; V)
1 1 1 1
P’1 = 6 × × × =
65 1. a) (X < 1) b) (X > 3) 6 6 2 12
c) (X > 1) d) (X < 3) • Pour le drapeau du Mali :
2. xA : « Il pleuvra au moins un jour le mois prochain. » P’m = P(V ; J ; R) + P(V ; R ; J) + P(J ; R ; V) + P(J ; V ; R)
xB : « Au moins un des élèves ne réussira pas l’examen + P(R ; V ; J) + P(R ; J ; V)
1 1 1 1
du code de la route avant d’avoir 18 ans. » P’m = 6 × × × =
6 2 6 12
• Pour le drapeau du Pérou :
8
P’p = P’i + P(R ; R ; B) + P(R ; B ; R) + P(B ; R ; R)
Pour se tester + P(R ; B ; B) + P(B ; R ; B) + P(R ; R ; B)
+ P(R ; B ; J) + P(R ; J ; B) + P(J ; B ; R)
66 1. B 2. C 3. C + P(J ; R ; B) + P(B ; R ; J) + P(B ; J ; R)
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
67 1. C et D P’p = + 3 × × × + 3 × × × + 6 × × ×
2. C 3. B et D 4. A et B 12 2 2 6 2 6 6 6 6 2
24 1
68 1. Faux. En effet, X donne la somme des deux P’p = =
72 3
amendes versées, elle peut donc prendre les valeurs
90, 113, 136, 225, 248, 360, 495, 518, 630 et 900. 70 a) • P(A) = P(3 ; 0) + P(4 ; 0) + P(5 ; 0)
2. Faux. En effet, P(X = 113) = P(45 ; 68) + P(68 ; 45) 1 1 1 1 1 1
P(A) = × + × + ×
donc P(X = 113) = 0,78 × 0,15 + 0,15 × 0,78 3 3 3 3 3 3
P(X = 113) = 0,234. 1
P(A) =
3. Vrai. En effet, P(X = 225) = P(45 ; 180) + P(180 ; 45) 3
donc P(X = 225) = 0,78 × 0,05 + 0,05 × 0,78 • P(B) = P(5 ; 1) + P(3 ; 2) + P(4 ; 2) + P(5 ; 2)
P(X = 225) = 0,078. 1 1 1 1 1 1 1 1
P(B) = × + × + × + ×
4. Faux. En effet, 3 3 3 3 3 3 3 3
4
P(X > 400) = P(X = 495) + P(X = 518) + P(X = 630) P(B) =
9
+ P(X = 900) 4 1
Or ≠ donc A et B ne sont pas équiprobables.
P(X > 400) = 2 × 0,78 × 0,02 + 2 × 0,15 × 0,02 + 2 × 0,05 9 3
× 0,02 + 0,02 × 0,02 b) On note X la variable aléatoire qui donne le gain,
P(X > 400) = 0,038 6. en £, du jeu.
102
Ainsi, la probabilité cherchée est :
74 On note X la variable aléatoire qui donne le gain 1 1 1 1
d’un joueur sur une partie (mise comprise). p= × ×…× = .
10 9 2 3 628 800
Voici la loi de probabilité de X :
78 La moyenne des numéros des cinq poteries
xi – 5 – 3 5 45 95 245 995
18 + 310 + 75 + 410 + 23
relevées est = 167,2.
P(X = xi) 0,703 0,243 0,027 0,012 0,008 0,006 0,001 5
On note X la variable aléatoire qui indique le numéro
E(X) = – 0,344 de la poterie choisie au hasard.
Sur 5 années, 5 × 250 × 300 = 375 000 parties sont jouées, • Si n = 500, alors la loi de probabilité de X est :
soit un gain pour le casino de 375 000 × 0,344 = 129 000 €.
Ainsi, la rentabilité de la machine sera de : xi 1 2 … 500
129 000 – 5 × 2 000 – 40 000 = 79 000 €. 1 1 1
P(X = xi) …
500 500 500
75 Il y a un seul code correct sur 10 000 codes E(X) = 250,5
possibles. • Si n = 800, alors la loi de probabilité de X est :
On peut schématiser la situation par un arbre dans
lequel l’événement Ai désigne : « le bon code a été saisi xi 1 2 … 500
au i e essai ». 1 1 1
P(X = xi) …
800 800 800
1er essai 2e essai 3e essai
E(X) = 400,5
1 Etant donné la moyenne trouvée (167,2), il est plus
— A1 ………………………… carte non
10 000 avalée plausible que le musée contienne 500 poteries.
1 ……………… carte non
— A2
9 999 avalée
9 999 _
10
1
—
10 000 A1 —
… carte non
_ 9 998 A3 … avalée
Accompagnement
9 998 A
—
9 999
2
_
personnalisé
9 997 A … carte 79 Voici la loi de probabilité de X :
— 3 avalée
9 998
xi 10 20 30
Ainsi, la probabilité que la carte soit avalée est :
1 1 1
9 999 9 998 9 997 P(X = xi)
× × = 0,999 7. 2 4 4
10 000 9 999 9 998
80 a) X peut prendre les valeurs : 1 ; 10 ; 100.
76 On note A l’événement : « au moins un chaton 3
est un mâle ». b) P(X = 1) =
10
Ainsi, xA est l’événement : « aucun des chatons n’est un 2 5
c) P(X = 10) = ; P(X = 100) = .
mâle ». 10 10
On cherche le nombre n de chatons pour que d) Voici la loi de probabilité de X :
P(A) > 0,01, c’est-à-dire pour que P(xA) < 0,99. Valeur de X 1 10 100
2 999 n
Or, P(xA) = 3 000
. 2 Probabilité
3 2 5
10 10 10
à la calculatrice, on trouve que le plus petit entier n tel
2 999 n
que 3 000 2 < 0,99 est n = 31. II faut donc au moins 81 a) X peut prendre les valeurs : – 2 ; 3 ; 5.
31 chatons. b) Voici la loi de probabilité de X :
Valeur de X – 2 3 5
77 Si 9 cartes au moins sont dans la bonne enve- 3 5 2
loppe, alors la 10e l’est également. Pour la 1re carte, il y Probabilité
10 10 10
1
a une probabilité de de choisir la bonne enveloppe ;
10 1 82 a) E(X) = 0,3 × (– 5) + … + 0,05 × 15 = 2.
pour la 2e carte, il y a alors une probabilité de de choisir b) Sur un grand nombre de parties, un joueur gagnera,
9
la bonne enveloppe ; … ; pour la 9e carte, il y a alors en moyenne, 2 € par partie.
1
une probabilité de de choisir la bonne enveloppe. 83 a) E(X) = p1 × x1 + p2 × x2 + … + pk × xk
2
104
• (X = 15) ∪ (Y = 10) est réalisé par les issues (5 ; 10), • P((X = 15) ∪ (Y = 10)) = P(X = 15) + P(Y = 10)
(10 ; 5), (10 ; 10). – P((X = 15) ∩ (Y = 10))
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
Donc P((X = 15) ∪ (Y = 10)) = × + × + ×
2 2 2 2 2 2
= × + ×
2 2 2 2 2 + × + × + ×
2 2 2 2 2 2
–22
3 1 1 1 1 1 1
= . = + + + + –
4 4 4 4 4 4 2
3
=
4
(D’après le a) de la question précédente).
106
b) P(X = 0) = 0,053 = 0,000 125
et P(X = 3) = 0,953 = 0,857 375.
c) Trois branches correspondent à un tirage avec
4 Savoir-faire
exactement deux noix comestibles. Chacune de 2 a) On peut considérer comme succès S l’événe-
ces branches comporte deux succès et un échec. ment « Delphine tire une pièce jaune » dont la proba-
Chaque tirage de ce type a donc une probabilité égale 44
à 0,952 × 0,05. bilité est P(S) = = 0,44. Chaque tirage est alors
44 + 56
d) P(X = 2) = 3 × 0,952 × 0,05 = 0,135 375 une épreuve de Bernoulli dont le succès a pour
e) De même, P(X = 1) = 3 × 0,95 × 0,052 = 0,007 125. probabilité 0,44.
On en déduit la loi de probabilité de X : b) Cette épreuve de Bernoulli est répétée trois fois de
manière indépendante. La situation peut donc être
k P(X = k)
associée à un schéma de Bernoulli.
0 0,053 c) 0,44 S
_
S
1 3 × 0,95 × 0,052 0,44 0,56 S
2 3 × 0,95 × 0,05
2 S _ 0,44 S
0,44 _
0,56 S S
0,56
3 0,95 3
0,44 S
_ 0,44 S _
2. a) P(X = 0) = 0,054 = 0,000 006 25 0,56
S 0,56 S
et P(X = 4) = 0,954 = 0,814 506 25. 0,56
_ 0,44 S
S _
b) Chacune des branches comporte deux succès et 0,56 S
deux échecs. Chaque tirage de ce type a donc une
probabilité égale à 0,952 × 0,052. 3 a) Chaque naissance est une épreuve de
c) Six branches correspondent à un tirage avec exacte- Bernoulli à deux issues.
ment deux noix comestibles. Le succès S est l’événement : « Le nouveau-né est un
d) P(X = 2) = 6 × 0,952 × 0,052 = 0,013 537 5 garçon » dont la probabilité est P(S) = 0,51. Chaque
e) Quatre branches correspondent à un tirage avec naissance peut donc être considérée comme une
exactement une noix comestible. épreuve de Bernoulli dont le succès a pour probabilité
Donc P(X = 1) = 4 × 0,95 × 0,053 = 0,000 475. 0,51.
Quatre branches correspondent à un tirage avec exac- Cette épreuve de Bernoulli est répétée deux fois de
tement trois noix comestibles. manière indépendante. La situation peut donc être
Donc P(X = 3) = 4 × 0,953 × 0,05 = 0,171 475. associée à un schéma de Bernoulli.
On en déduit la loi de probabilité de X : b) Voici l’arbre pondéré représentant la situation :
0,51 S
k P(X = k)
0,51 S _
0 0,054 0,49 S
_ 0,51 S
1 4 × 0,95 × 0,053
0,49 S _
2 6 × 0,952 × 0,052 0,49 S
3 4 × 0,953 × 0,05
5 a) L’expérience aléatoire qui consiste à lancer la
4 0,954
roue et à observer si le secteur rouge est obtenu est
3. a) 52 2 = 10 une épreuve de Bernoulli.
Le succès S est l’événement : « Le secteur obtenu est
b) P(X = 2) = 10 × 0,952 × 0,053 = 0,001 128 125 rouge ».
c) Voici la loi de probabilité de X : La probabilité du succès est égale à 0,25.
k P(X = k) Cette épreuve est répétée trois fois de manière indé-
pendante.
0 0,055
La variable aléatoire X qui donne le nombre de
1 5 × 0,95 × 0,054 secteurs rouges obtenus suit donc la loi binomiale
2 10 × 0,952 × 0,053 (3 ; 0,25).
3 10 × 0,953 × 0,052 b) E(X) = n × p = 3 × 0,25 = 0,75
Cela signifie qu’en moyenne, en lançant la roue trois
4 5 × 0,954 × 0,05
fois de suite un grand nombre de fois, le nombre de
5 0,955 secteurs rouges obtenus est égal à 0,75.
108
c) P(X > 71) = 1 – P(X < 70) ≈ 0,993
18 a)
d) n × p = 80 × 0,95 = 76 donc l’espérance de X est
Variables : V, i, S sont des nombres réels égale à 76.
Traitement : Affecter à S la valeur 0 70 × 90 – 6 × 45 = 6 030 donc on estime à 6 030 € la
Pour i allant de 1 à 25 recette moyenne par vol.
Affecter à V un nombre entier aléa- 3. a) La recette moyenne par vol est supérieure avec la
toire compris entre 1 et 4. surréservation.
Si V = 2 alors b) L’algorithme est basé sur la formule suivante :
Affecter à S la valeur S + 1 En notant N le nombre de places offertes à la réserva-
FinSi tion, l’espérance de la variable X est N × 0,95.
FinPour Si cette espérance est inférieure ou égale à 70 alors
Sortie : Afficher S une estimation de la recette est égale (N × 0,95) × 90.
Si cette espérance est supérieure à 70 alors le nombre
b) L’épreuve de Bernoulli simulée est le lancer d’une moyen de clients ne pouvant acheter de billet est égal
roue à 4 secteurs identiques numérotés de 1 à 4 où à N × 0,95 – 70 et une estimation de la recette est égale
le succès est l’événement : « On obtient le secteur 2 ». à 70 × 90 – (N × 0,95 – 70) × 45.
La probabilité du succès est donc 0,25. Cette épreuve
de Bernoulli est répétée 25 fois dans des conditions Variables : N est un nombre entier supérieur ou
d’indépendance. égal à 70
E, R sont des nombres réels.
Traitement : Saisir N
6 Travaux pratiques
Affecter à E la valeur N × 0,95
Si E < 70 alors :
19 1. b) Cette formule permet d’afficher le nombre Affecter à R la valeur E × 90
0 ou 1 aléatoirement. Sinon :
c) La somme des cinq nombres est le nombre de fois Affecter à R la valeur
où la bille est tombée à droite, elle correspond donc 70 × 90 – (E – 70) × 45
au numéro du compartiment dans lequel la bille est Fin Si
réceptionnée. Sortie : Afficher R
f) En B11, on saisit la formule =B10/100. c) En appliquant l’algorithme pour plusieurs valeurs
2. a) La loi suivie par X est la loi binomiale (5 ; 0,5). de N, on trouve qu’il faut offrir 74 places.
3. a) Les fréquences observées sont proches des
probabilités théoriques.
b) Pour réduire les différences, il faut augmenter le
nombre de billes lancées. 7 Pour s’entraîner
20 1. a) L’expérience aléatoire qui consiste à obser- 21 Issue Succès échec
ver si un client ayant réservé embarque et achète
effectivement son billet est une épreuve de Bernoulli. Probabilité 0,25 0,75
Le succès S est l’événement : « Le client embarque ».
La probabilité du succès est égale à 0,95. Cette épreuve 22 a) L’expérience aléatoire qui consiste à extraire
est répétée 70 fois de manière indépendante. une boule et à noter si elle est de couleur verte est une
La variable aléatoire X qui donne le nombre de passa- épreuve de Bernoulli.
gers achetant effectivement leur billet suit donc la loi Le succès S est l’événement : « La boule est de couleur
binomiale (70 ; 0,95). verte ».
b) P(X < 69) = 1 – P(X = 70) ≈ 0,97 3 1
b) La probabilité du succès est égale à , c’est-à-dire .
c) n × p = 70 × 0,95 = 66,5 donc l’espérance de X est 9 3
égale à 66,5. 23 On considère une urne contenant 4 boules
66,5 × 90 = 5 985 donc on estime à 5 985 € la recette blanches et 6 boules rouges. L’expérience aléatoire qui
moyenne par vol. consiste à extraire une boule et à noter si elle est de
2. a) La variable aléatoire X qui donne le nombre de couleur blanche est une épreuve de Bernoulli.
passagers achetant effectivement leur billet suit dans Le succès S est l’événement : « La boule est de couleur
ce cas la loi binomiale (80 ; 0,95). blanche ».
b) P(X < 69) ≈ 0,002 La probabilité du succès est égale à 0,4.
_ 0,17 S
0,17 S
_ 32 Chaque tirage est une épreuve de Bernoulli.
0,83 S
S 0,83 Le succès S est l’événement : « L’élève est une fille »,
_ 0,17
0,83 S
S
_ 14 14
dont la probabilité est P(S) = = . Chaque
0,83 S 14 + 15 29
tirage peut donc être considéré comme une épreuve
26 Le succès de l’épreuve est : « Le côté Pile apparaît ». 14
de Bernoulli dont le succès a pour probabilité .
Issue Succès échec 29
Cette épreuve de Bernoulli est répétée 10 fois de
Probabilité 0,5 0,5
manière indépendante. La situation peut donc être
associée à un schéma de Bernoulli.
27 Le succès de l’épreuve est : « Le nom est celui
d’une femme ». 33 6
—
Issue Succès échec 7 9 S
— S 3 _
10 —
Probabilité 0,54 0,46 9 S
7
—
2 3 _ 9 S
— —
28 3 S 10 S 2 _
2
— — S
S _ 9
3 1 S
— 2 Cette situation ne peut pas être modélisée par un
S 3 —
2 _ 3 S schéma de Bernoulli puisque, les tirages étant effec-
— 1
3 — S _ tués sans remise, il n’y a pas indépendance entre les
3 1 S
— 2 deux tirages successifs.
3 —
3 S
2
— S _ 34 X suit la loi binomiale (4 ; 0,25).
1
— 3
_ 1
— S
3 2
S 3 — 35 Un seul chemin comporte 0 succès.
_ 3 S
1
— Trois chemins comportent 1 succès.
S _
3 1 S Trois chemins comportent 2 succès.
—
3 Un seul chemin comporte 3 succès.
5
29 —
5
9 S 36 a) Chemin (SS) : 2 succès.
— S _ Chemin (SxS) : 1 succès.
9 4
— S
9 5 Chemin (xSS) : 1 succès.
S —
5
— 4 _ 9 S Chemin (xSxS) : 0 succès.
9 — S _ b) X suit la loi binomiale (2 ; 0,15).
9 4
— S
9 5 c) P(X = 1) = 2 × 0,15 × 0,85 puisqu’il y a deux chemins
—
9 S à 1 succès.
5
— S _
4
— 9 4
9 _ — S 37 a) Un seul chemin comporte 0 succès.
9 5
S —
_ 9 S Deux chemins comportent 1 succès.
4
— S 4 _ Un seul chemin comporte 2 succès.
9 — S
9 b) X suit la loi binomiale (2 ; 0,4).
110
c) P(X = 2) = 1 × 0,42 = 0,42 puisqu’il y a un seul chemin
41 a) L’expérience aléatoire qui consiste à
à 2 succès.
choisir une poule et à observer si le test est positif est
38 L’expérience aléatoire qui consiste à tirer au une épreuve de Bernoulli.
hasard une carte et à observer s’il s’agit d’un as est une Le succès S est l’événement : « Le test est positif ». La
épreuve de Bernoulli. Le succès S est l’événement : « La probabilité du succès est égale à 0,05. Cette épreuve
carte est un as ». La probabilité du succès est égale à est répétée trois fois de manière indépendante. La va-
4 1 riable aléatoire X qui donne le nombre de poules dont
= .
32 8 le test est positif suit donc la loi binomiale (3 ; 0,05).
Cette épreuve est répétée cinq fois de manière indé- b) 0,05 S
pendante. 0,05 S _
La variable aléatoire X qui donne le nombre d’as tirés 0,95 S
1 S
suit donc la loi binomiale 5 ; .
8 1 2 0,05 0,95 S
_ 0,05 S
_
0,95 S
39 L’expérience aléatoire qui consiste à lancer une
pièce de monnaie équilibrée et à observer si le côté 0,05 S
obtenu est Face est une épreuve de Bernoulli. 0,05 S _
0,95 _ 0,95 S
Le succès S est l’événement : « Le côté est face ». S
1 _ 0,05 S
La probabilité du succès est égale à . 0,95 S _
2
Cette épreuve est répétée trois fois de manière indé- 0,95 S
pendante. c) P(X = 2) = 3 × 0,052 × 0,95 ≈ 0,007 puisqu’il y a trois
La variable aléatoire X qui donne le nombre de côtés chemins à 2 succès.
1 d) P(X > 2) = P(X = 2) + P(X = 3)
Face obtenus suit donc la loi binomiale 3 ; .
2 1 2 = 3 × 0,052 × 0,95 + 1 × 0,053 ≈ 0,007
Cela signifie que la probabilité qu’au moins deux
40 a) 0,7 S
S _ poules présentent un test positif est environ égale à
0,7
0,3 S 0,007.
S _ 0,7 e) P(X > 1) = 1 – P(X = 0) = 1 – 0,953 ≈ 0,143
0,7 S
0,3 S _
0,3 S 42 a) Le succès S est l’événement : « Le colis est
0,7 S abîmé ».
S _ 0,03 S
0,3 _ 0,7 0,3 S 0,03 S _
S 0,97 S
_ 0,7 S
0,3 S _ S
0,3 S 0,03 _ 0,03 S
0,97 S _
b) L’expérience aléatoire qui consiste à choisir une 0,97 S
personne et à demander si elle a lu un livre durant les
0,03 S
grandes vacances est une épreuve de Bernoulli. _
0,03 S
Le succès S est l’événement : « La personne a lu un 0,97 _ 0,97 S
livre ». S
_ 0,03 S
La probabilité du succès est égale à 0,7. Cette épreuve 0,97 S _
est répétée trois fois de manière indépendante. 0,97 S
La variable aléatoire X qui donne le nombre de
b) P(X = 3) = 0,033 ≈ 0,000 027
lecteurs suit donc la loi binomiale (3 ; 0,7).
c) P(X < 2) = 1 – P(X = 3) ≈ 0,999 973
c) k 0 1 2 3
43 0,77 S
P(X = k) 0,027 0,189 0,441 0,343 S
0,77 _
d) 1 0,23 S
0,77 S
0,23 _
0 S _
0 1 2 3 0,23 S
112
c) Voici le tableau donnant la loi de probabilité de X :
54 1. S _S
S k P(X = k)
S _
S _S 0 0,000 012 8
S
1 0,000 358 4
S _S
_ S 2 0,004 300 8
S
S _
_S 3 0,028 672
S
S 4 0,114 688
S _S 5 0,275 251 2
S
S _ 6 0,367 001 6
_ S _S
S S 7 0,209 715 2
_ S _S d) 0,4
S S
_
S _S 0,2
S
0
0 1 2 3 4 5 6 7
2. a) Quatre chemins comportent 1 seul succès.
b) Six chemins comportent exactement 2 succès. 60 a) Voici la loi de probabilité suivie par X :
4 4 4
3. a)120
= 1 b)
1 12
= 4 c)
2
=6 12 k P(X = k)
0 0,531 441
55 a) La sixième épreuve étant un succès, il doit 1 0,354 294
apparaître 2 succès parmi les 5 premières. Il y a donc 2 0,098 415
5
12
2
chemins. 3 0,014 58
b) La sixième épreuve étant un échec, il doit appa- 4 0,001 215
raître 3 succès parmi les 5 premières. Il y a donc 5 0,000 054
5
12
3
chemins. 6 0,000 001
6 5 5 6
c) On a donc
3
=
212 12 12
+
3
d’où
3 12
= 10 + 10 = 20. b) 0,6
0,4
0,2
15 6 14
56 1 2
= 1 ; 122 = 15 ; 1 13 2 = 14. 0
0 0 1 2 3 4 5 6
114
Cette épreuve est répétée 100 fois de manière 2. Faux. En effet, le nombre de chemins avec exacte-
7
indépendante.
La variable aléatoire X qui donne le nombre de per-
ment 3 succès est 123
= 35.
sonnes ayant regardé la finale suit donc la loi bino- 3. Vrai. En effet, la probabilité d’avoir 7 échecs est
miale (100 ; 0,198). (1 – p)7. Elle est égale à 0,67 si 1 – p = 0,6, c’est-à-dire
b) P(X < 25) ≈ 0,92 p = 0,4.
c) à l’aide de la calculatrice, on trouve k = 20. 4. Faux. En effet, l’événement contraire de « Obtenir 0
succès » est « Obtenir au moins 1 succès ».
73 k 0 1 2 3 5. Faux. En effet, « Obtenir 7 échecs » est l’événement
1 2 4 8 « Obtenir 0 succès ». Son événement contraire est
P(X = k)
27 9 9 27 « Obtenir au moins 1 succès ».
8 2 6. Vrai. En effet, la probabilité d’avoir 7 succès est p7. Elle
En effet, P(X = 3) = p3 = d’où p = . On en déduit les
27 3 est égale à 0,157 si p = 0,4. Alors, la probabilité d’avoir
autres probabilités. 7
74 La variable aléatoire X qui donne le nombre de
exactement 3 succès est 123
× 0,153 × 0,854 c’est-à-dire
environ 0,062.
personnes contactées par jour suit la loi binomiale
(n ; 0,4).
P(X > 30) > 0,95 dès que n > 96. Il doit donc contacter
au moins 96 personnes.
9 Pour aller plus loin
75 a) « Obtenir quatre succès au moins ». 80 a) L’expérience aléatoire qui consiste à choisir au
b) « N’obtenir aucun succès ». hasard une marche et à observer si elle présente un
c) « Obtenir cinq succès ». défaut est une épreuve de Bernoulli.
d) « N’obtenir aucun succès ». Le succès S est l’événement : « La marche présente un
e) « Obtenir au moins deux succès ». défaut ».
La probabilité du succès est égale à 0,04. Cette épreuve
76 1. a) Vrai, car 10 × 0,1 = 1. est répétée 14 fois de manière indépendante.
b) Vrai, car P(X > 1) = 1 – P(X = 0). La variable aléatoire X qui donne le nombre de
c) Faux, elle suit la loi binomiale (7 ; 0,1). marches présentant un défaut suit donc la loi bino-
2. a) Si une variable aléatoire X a une espérance égale miale (14 ; 0,04).
à 1 alors elle suit la loi binomiale (10 ; 0,1). b) P(X < 1) ≈ 0,894 1
Faux. En effet, il pourrait s’agir de loi binomiale c) P(2 < X < 4) = P(X < 4) – P(X < 1) = 0,105 8
(100 ; 0,01) par exemple. d) 0,894 1 × 2 300 + 0,105 8 × 1 150 + 0,000 1 × 1 000
b) Si une variable aléatoire X suit une loi binomiale = 2 178,2 donc on estime à 2 178,2 € le prix de vente
telle que P(X > 1) > 0,8, alors P(X = 0) < 0,2. moyen d’un escalier.
Vrai, pour la même raison qu’à la question 1. b).
c) Si une variable aléatoire donnant le nombre 81 a) L’expérience aléatoire qui consiste à choisir au
d’échecs suit la loi binomiale (3 ; 0,1), alors la variable hasard une rose et à observer si elle est fanée est une
aléatoire donnant le nombre de succès suit la loi bino- épreuve de Bernoulli.
miale (7 ; 0,9). Le succès S est l’événement : « La rose est fanée ».
Faux. En effet, la variable aléatoire donnant le nombre La probabilité du succès est égale à 0,06. Cette épreuve
de succès suit la loi binomiale (3 ; 0,9). est répétée 100 fois de manière indépendante.
La variable aléatoire X qui donne le nombre de roses
116
La variable aléatoire X qui donne le nombre de stylos
89 Si p est la proportion de boules rouges et X la
bleus suit donc la loi binomiale (5 ; 0,75).
variable aléatoire donnant le nombre de boules rouges
b) P(X = 2) ≈ 0,088
tirées alors X suit la loi binomiale (3 ; p).
La probabilité d’avoir exactement 2 stylos bleus est
3
On a donc P(X = 1) = 12 1
× p × (1 – p)2 = 0,189 égale à 0,088 environ.
3 c) P(X < 1) = P(X = 0) + P(X = 1)
et P(X = 2) =122
× p2 × (1 – p) = 0,441.
P(X < 1) ≈ 0,016
Ainsi 3 × p × (1 – p)2 = 0,189 et 3 × p2 × (1 – p) = 0,441.
On en déduit que 0,189p = 0,441(1 – p) d’où p = 0,7. 94 a) L’expérience aléatoire qui consiste à jouer une
Dans l’urne contenant 10 boules, il y a 7 boules rouges. partie et à observer si le joueur gagne est une épreuve
de Bernoulli.
90 L’expérience aléatoire qui consiste à choisir Le succès S est l’événement : « Le joueur a gagné la
un sens au hasard et à observer s’il est bon est une partie ».
épreuve de Bernoulli. La probabilité du succès est égale à 0,3. Cette épreuve
Le succès S est l’événement : « La coccinelle va dans le est répétée quatre fois de manière indépendante.
bon sens ». La variable aléatoire X qui donne le nombre de parties
La probabilité du succès est égale à 0,25. Cette épreuve gagnées suit donc la loi binomiale (4 ; 0,3).
est répétée quatre fois de manière indépendante. b) P(X = 2) ≈ 0,265
La variable aléatoire X qui donne le nombre de fois où La probabilité de gagner exactement deux parties est
la coccinelle va dans le bon sens suit donc la loi bino- égale à 0,265 environ.
miale (4 ; 0,25). c) P(X < 2) ≈ 0,916
Les seules possibilités permettant à la coccinelle de La probabilité de gagner au plus deux parties est égale
passer par N au cinquième point sont d’avoir 0 succès, à 0,916 environ.
4 succès ou 2 succès exactement.
Ainsi la probabilité recherchée est égale à 95 a) P(X = 15) ≈ 0,000 2
P(X = 0) + P(X = 4) + P(X = 2), c’est-à-dire 0,531 25. b) P(X < 10) ≈ 0,974 6
c) P(X > 12) = 1 – P(X < 11)
P(X > 12) ≈ 0,009 6
10 Accompagnement
personnalisé
96 a) L’expérience aléatoire qui consiste à choisir un
touriste et à observer s’il a oublié ses bagages est une
91 a) La variable aléatoire ne suit pas une loi épreuve de Bernoulli.
binomiale puisqu’il n’y a pas indépendance entre Le succès S est l’événement : « Le touriste a oublié ses
deux expériences successives. bagages ».
b) Y suit la loi binomiale (7 ; 0,30). La probabilité du succès est égale à 0,02. Cette épreuve
c) La variable aléatoire ne suit pas une loi binomiale est répétée 30 fois de manière indépendante.
puisqu’il n’y a pas deux issues possibles à chaque La variable aléatoire X qui donne le nombre de
épreuve. touristes qui ont oublié leurs bagages suit donc la loi
binomiale (30 ; 0,02).
92 a) L’épreuve a bien deux issues, le succès S est b) n × p = 30 × 0,02 = 0,6 donc l’espérance de X est
2
l’événement, « La gazelle est baguée », p = . égale à 0,6.
3
c) Cela signifie qu’en moyenne, en choisissant trente
b) Les répétitions sont identiques et indépendantes,
touristes un grand nombre de fois, le nombre de
n = 5.
touristes ayant oublié leurs bagages est égal à 0,6.
c) La variable aléatoire X suit bien la loi (n ; p).
97 a), b) Valeurs
93 a) L’expérience aléatoire qui consiste à choisir de X
un stylo et à observer s’il est bleu est une épreuve de 0,5 S …2
Bernoulli. S _
0,5 S …1
Le succès S est l’événement : « Le stylo est bleu ». 0,5
3
La probabilité du succès est égale à = 0,75. 0,5 S …1
4 0,5 _
Cette épreuve est répétée cinq fois de manière indé- S _
pendante. 0,5 S …0
118
10 échantillonnage
c) La fréquence observée appartient à l’intervalle de On voit que la différence entre les deux intervalles est
fluctuation, donc il n’y a pas lieu de s’inquiéter. assez faible.
4 Savoir-faire
de personnes qui pensent que l’argent public est mal
utilisé, dans un échantillon de 150 administrés de
cette ville.
2 à l’aide de la calculatrice on calcule les valeurs L’échantillon est constitué avec remise, donc si la pro-
de P(X < k) pour tout nombre entier naturel k allant portion observée en France est aussi valable dans
de 0 à 150. cette ville, alors X suit la loi binomiale (150 ; 0,84).
a est le plus petit nombre entier naturel tel que à l’aide de la calculatrice ou du tableur, on calcule la
P(X < a) > 0,025 et b est le plus petit nombre entier probabilité P(X < k) pour tout nombre entier naturel
naturel tel que P(X < b) > 0,975. k compris entre 0 et 80.
On lit a = 94 et b = 116. On cherche les plus petits nombres entiers naturels a
L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % de la et b tels que P(X < a) > 0,025 et P(X < b) > 0,975.
fréquence des clients satisfaits dans les échantillons On trouve a = 117 et b = 134.
de taille 150 est donc Donc l’intervalle de fluctuation au seuil de 95 %
94 116
3 ;
150 150 4, c’est-à-dire environ [0,62 ; 0,78]. obtenu à l’aide de la loi binomiale est I = 3 117 134
;
150 150 4,
c’est-à-dire I ≈ [0,78 ; 0,9].
3 à l’aide de la calculatrice on calcule les valeurs 115
La fréquence observée est ≈ 0,77.
de P(X < k) pour tout nombre entier naturel k allant 150
de 0 à 75. Cette fréquence n’appartient pas à l’intervalle de fluc-
a est le plus petit nombre entier naturel tel que tuation, donc on peut penser que les administrés de
P(X < a) > 0,025 et b est le plus petit nombre entier cet élu local pensent différemment de la population
naturel tel que P(X < b) > 0,975. française.
On obtient a = 4 et b = 16 donc l’intervalle de fluctua-
tion au seuil de 95 % est 8 On suppose que le nombre de poissons est
4 16 suffisamment élevé pour que le prélèvement de 117
3 ;
75 75 4, c’est-à-dire environ [0,05 ; 0,22].
poissons (ou moins) puisse être considéré comme
étant effectué avec remise.
45
Dans une rivière saine, la proportion de femelles est .
5 Résoudre des problèmes X est le nombre de femelles prélevées dans un échan-
tillon de taille 117 dans une rivière saine.
87
5 X est la variable aléatoire qui donne le nombre Avec les hypothèses ci-dessus, X suit la loi binomiale
de fumeurs dans un échantillon de 80 employés de 45
de paramètres n = 117 et p = .
cette entreprise. 87
120
Sous ces hypothèses, et avec les notations du cours, on 12
e) La fréquence observée est . Elle appartient à
trouve a = 50 et b = 71, donc l’intervalle de fluctuation 30
au seuil de 95 % obtenu à l’aide de la loi binomiale est l’intervalle I’, donc on ne peut pas rejeter l’hypothèse
50 71 selon laquelle le quartier trie comme le fait la France.
I= 3 ;
117 117 4
.
f) Z est la variable aléatoire qui donne le nombre de
49 sacs refusés dans un échantillon de taille 30 dans le
La fréquence observée dans l’autre rivière est .
117 quartier.
Cette fréquence n’appartient pas à l’intervalle I, donc
Dans les nouvelles hypothèses, Z suit la loi binomiale
on peut considérer que la proportion de femelles dans
307
la deuxième rivière est différente de celle observée de paramètres 30 et .
1 500
dans la rivière saine. 307
Il faut donc saisir 30 en G3 et en H3.
9 X est le nombre d’acheteurs par Internet dans 1 500
En H6, on saisit :
un échantillon de 251 personnes en France. D’après
=LOI.BINOMIALE(G6;G$3;H$3;1).
l’énoncé, X suit la loi binomiale de paramètres n = 251
On obtient a = 2 et b = 11, donc l’intervalle de fluctua-
380
et p = . tion au seuil de 95 % obtenu à l’aide de la loi binomiale
1 002 2 11
Sous ces hypothèses, et avec les notations du cours, on 3
est I’’ = ;
30 30 4 .
trouve a = 80 et b = 110, donc l’intervalle de fluctuation La fréquence observée n’appartient pas à I’’, donc
au seuil de 95 % obtenu à l’aide de la loi binomiale est on rejette l’hypothèse selon laquelle le quartier trie
80 110
I= 3 ;
251 251 4, c’est-à-dire I ≈ [0,318 ; 0,44]. comme le fait la commune.
109 3. Il semble que la commune ne trie pas de façon com-
La fréquence observée est f = .
251 parable à la France, et que le quartier trie de façon
Cette fréquence appartient à l’intervalle de fluctua- comparable à la France, mais trie différemment de la
tion, donc il n’y a pas lieu de penser que la proportion commune entière.
d’acheteurs par Internet dans cette ville est différente
1 1
de celle de la fréquence nationale. 11 1. a) I = 30,32 – ; 0,32 + 4
, donc
150 150
I ≈ [0,23 ; 0,41].
6 Travaux pratiques b)
60
150
= 0,4. La fréquence observée appartient à
10 1. a) L’échantillon est constitué avec remise, l’intervalle de fluctuation, donc on ne rejette pas
donc si la proportion observée en France est aussi l’hypothèse selon laquelle la proportion de porteurs de
valable dans cette commune, alors X suit la loi bino- lunettes parmi les étudiants de 3e année de licence,
miale de paramètres n = 1 500 et p = 0,23. âgés de 21 ans est la même que la proportion chez
c) Cette formule calcule la probabilité que X soit infé- tous les jeunes de 21 ans.
rieure ou égale à la valeur en A6. 2. a) X suit la loi binomiale de paramètres n = 150 et
d) On trouve a = 313 et b = 377, donc l’intervalle de p = 0,32 puisque le tirage est assimilé à un tirage avec
fluctuation au seuil de 95 % obtenu à l’aide de la loi remise.
313 377
binomiale est I = 3 ;
1 500 1 500 4 . b) à l’aide de la calculatrice, on trouve a = 37 et b = 59,
donc l’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % de la
307
e) La fréquence observée est . Elle n’appartient proportion de porteurs de lunettes parmi les étudiants
1 500
37 59
pas à I, donc on rejette l’hypothèse selon laquelle la 3
est I’ = ;
150 150 4.
commune trie comme le fait la France. 60
La fréquence observée est . Elle n’appartient pas
2. a) Y suit la loi binomiale de paramètres n = 30 et 150
p = 0,23. à I’, donc on rejette l’hypothèse selon laquelle la pro-
b) Il faut saisir 30 en D3 et 0,23 en E3. portion de porteurs de lunettes chez les étudiants de
c) En E6, il faut saisir la formule troisième année de licence âgés de 21 ans est la même
=LOI.BINOMIALE(D6;D$3;E$3,1). que celle de tous les jeunes de 21 ans.
d) On obtient a = 3 et b = 12, donc l’intervalle de 57
fluctuation au seuil de 95 % obtenu à l’aide de la loi 3
On obtient c = 57 et I’’ = 0 ; 4
150
. La fréquence observée
binomiale est n’appartient pas à l’intervalle I’’, donc on rejette à
3 12 nouveau l’hypothèse de la proportion 32 % pour les
3
I’ = ;
30 30 4 = [0,1 ; 0,4].
étudiants.
7
1 0,030 520 04 0,035 267 6
Pour s’entraîner 2 0,091 560 11 0,126 827 71
3 0,170 040 21 0,296 867 93
12 Il faut utiliser la loi binomiale (60 ; 0,2).
4 0,218 623 13 0,515 491 06
13 a = 7 et b = 18 donc l’intervalle de fluctuation au 5 0,206 130 38 0,721 621 44
seuil de 95 % associé à cette loi binomiale est 6 0,147 235 99 0,868 857 43
7 18
I= 3 ;
40 40 4
= [0,175 ; 0,45]. 7 0,081 130 03 0,949 987 46
8 0,034 770 01 0,984 757 47
14 a) a est le plus petit nombre entier naturel tel On obtient a = 1 et b = 8, donc l’intervalle de fluctua-
que P(X < a) > 0,025 et b est le plus petit nombre en- tion au seuil de 95 % obtenu à l’aide de la loi binomiale
tier naturel tel que P(X < b) > 0,975. 1 8
D’après l’extrait de la table des valeurs de P(X < k), on est3 ;
15 15 4 .
trouve a = 13 et b = 22.
L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est donc 17 On utilise la loi binomiale (35 ; 0,31).
13 22 P(X < 4) ≈ 0,006 6
3 ;
25 25 4
, c’est-à-dire [0,52 ; 0,88].
P(X < 5) ≈ 0,020
b) L’intervalle de fluctuation vu en Seconde est P(X < 14) ≈ 0,091
1 1
30,7 –
25
; 0,7 +
25
4
, c’est-à-dire [0,5 ; 0,9]. P(X < 15) ≈ 0,952
P(X < 16) ≈ 0,978
Les deux intervalles sont différents mais proches. On en déduit que a = 6 et b = 16, et l’intervalle de fluc-
tuation au seuil de 95 % de la fréquence du caractère
15 Pour déterminer les plus petits nombres entiers 6 16
a et b tels que P(X < a) > 0,025 et P(X < b) > 0,975,
dans les échantillons de taille 35 est donc 3 ;
35 35 4.
on doit calculer les valeurs de P(X < k) pour k nombre
entier naturel allant de 0 à 10. Pour cela, on cumule les 18 X est la variable aléatoire qui donne le nombre
probabilités P(X = k) affichées par le logiciel. d’inscrits au club pratiquant le tennis de table.
X suit la loi binomiale (80 ; 0,2).
k P(X = k) P(X < k) On obtient a = 9 et b = 23, donc l’intervalle de fluctua-
0 0,006 05 0,006 05 tion au seuil de 95 % obtenu à l’aide de la loi binomiale
9 23
1 0,040 31 0,046 36 est3 ;
80 80 4 .
2 0,120 93 0,167 29
3 0,214 99 0,382 28 19 X est la variable aléatoire qui donne le nombre
4 0,250 82 0,633 10 de lauréats dans un échantillon de 30 candidats de ce
lycée.
5 0,200 66 0,833 76
L’échantillon est constitué avec remise, donc X suit la
6 0,111 48 0,945 24 loi binomiale (30 ; 0,83).
122
à l’aide de la calculatrice ou du tableur, on calcule la b) Pour des échantillons de taille 120, et si on suppose
probabilité P(X < k) pour tout nombre entier naturel k 1
que la probabilité d’obtenir un 6 avec ce dé est , on
compris entre 0 et 30. 1 6
On cherche les plus petits nombres entiers naturels a 1
doit utiliser la loi binomiale 120 ; .
6 2
et b tels que P(X < a) > 0,025 et P(X < b) > 0,975. c) à l’aide de la calculatrice ou du tableur, on calcule la
On trouve a = 21 et b = 29. probabilité P(X < k) pour tout nombre entier naturel k
L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % obtenu à compris entre 0 et 120.
l’aide de la loi binomiale est donc On cherche les plus petits nombres entiers naturels a
21 29
3 ;
30 30 4
, c’est-à-dire environ [0,7 ; 0,97]. et b tels que P(X < a) > 0,025 et P(X < b) > 0,975.
On trouve a = 12 et b = 28.
2 9
20 a) Johanna a trouvé l’intervalle 3 ; 4
. L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % obtenu à
30 30 12 28
On a P(2 < X < 9) > 0,95, donc il s’agit bien d’un inter- l’aide de la loi binomiale est donc 3 ;
120 120 4
, c’est-à-
valle de fluctuation au seuil de 95 %. dire environ [0,1 ; 0,24].
27
b) En revanche, l’intervalle trouvé par Johanna ne d) La fréquence observée dans l’échantillon est .
120
correspond pas à la méthode du cours. Avec la calcu-
La fréquence observée appartient à l’intervalle de fluc-
latrice on trouve a = 1 et b = 9, c’est-à-dire l’intervalle
1 9 tuation, par conséquent on ne peut pas rejeter l’hypo-
3 ;
30 30
.4 thèse selon laquelle la probabilité d’obtenir un 6 avec
1
ce dé est .
21 Avec GeoGebra, on constate que 6
P(2 < X < 9) > 0,95 ce qui donne comme intervalle de 26 a) On utilise la loi binomiale (100 ; 0,062 7).
9 21
fluctuation 3 ;
40 40
. 4 b) On trouve a = 2 et b = 11, donc I = [0,02 ; 0,11].
En revanche, à la calculatrice, avec la méthode du c) La fréquence observée est 0,13. Elle n’appartient
cours, on trouve a = 10 et b = 22. pas à l’intervalle, donc on rejette l’hypothèse selon
On ne trouve pas P(X < 9) > 0,025 donc le premier laquelle la proportion est la même dans la région en
intervalle ne correspond pas à la méthode du cours. question.
22 a) On ne peut pas rejeter l’hypothèse, car f 27 a) On utilise la loi (150 ; 0,58) car on fait l’hypo-
appartient à I. thèse que la fréquence de français qui craignent que le
b) On rejette l’hypothèse, car f n’appartient pas à I. virus Ebola se propage en France est 0,58.
c) On ne peut rejeter l’hypothèse, car f appartient à I. b) On obtient a = 75 et b = 99, donc l’intervalle de
fluctuation au seuil de 95 % de la fréquence de Fran-
23 L’intervalle de fluctuation est 324
50 504
;
38
. La fré- çais qui craignent que le virus Ebola ne se propage en
France, dans les échantillons de 150 personnes, est
36
quence observée est . Elle appartient à l’intervalle 75 99
50
de fluctuation donc on ne peut pas rejeter l’hypothèse.
I= 3 ;
150 150 4 = [0,6 ; 0,66].
13
En Auvergne, la fréquence observée est .
150
24 a) On doit utiliser la loi (45 ; 0,5) car on fait
Elle n’appartient pas à I, donc on rejette l’hypothèse
l’hypothèse qu’il y a autant de garçons que de filles.
selon laquelle la proportion est la même en Auvergne
b) On trouve a = 16 et b = 29 donc l’intervalle de fluc-
16 29 que dans l’ensemble de la France.
tuation est I = 3
;
45 45
. 4 En revanche, en Ile-de-France, la fréquence observée
23 98
c) La fréquence observée est , qui appartient à I, est . Elle appartient à I, donc on ne peut pas rejeter
45 150
donc on ne peut pas rejeter l’hypothèse selon laquelle l’hypothèse selon laquelle la proportion est la même
il y a autant de garçons que de filles. en Ile-de-France que dans toute la France.
25 a) Le raisonnement de Fatih n’est pas correct du 28 X est la variable aléatoire qui donne le nombre
fait des fluctuations d’échantillonnage. Même si la pro- de personnes pensant que le baccalauréat est donné
1 trop facilement dans un échantillon de 300 personnes.
babilité d’obtenir 6 est , la fréquence d’apparition du
6 1 On doit utiliser la loi (300 ; 0,6) puisqu’on fait l’hy-
6 dans un échantillon n’est pas forcément égale à .
6 pothèse que les professeurs pensent comme la popu-
8
b = 196, donc l’intervalle de fluctuation au seuil de 95 %
Pour se tester obtenu à l’aide de la loi binomiale est I = 3184 196
; .4
200 200
32 1. B 2. D 3. C c) Pour le seuil de 90 % : a est le plus petit nombre
entier naturel tel que P(X < a) > 0,05 et b le plus petit
33 1. C 2. B et D 3. A, C, D nombre entier naturel tel que P(X < b) > 0,95.
124
On trouve a = 185 et b = 195 et donc I’ = 3 185 ;
195
200 200 4
.
On note Y la variable aléatoire qui donne le nombre de
patients atteints d’une maladie nosocomiale dans un
Pour le seuil de 99 % : a est le plus petit entier naturel échantillon de 2 670 patients.
tel que P(X < a) > 0,005, et b le plus petit entier naturel Y suit la loi binomiale (2 670 ; 0,69).
tel que P(X < b) > 0,995. On trouve a = 181 et b = 197 à l’aide de la calculatrice, on obtient a = 159 et b = 210,
181 197
3
et donc I’’ = ;
200 200 4. donc l’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % de
la fréquence de malades contractant une maladie
La fréquence observée de voitures n’ayant pas eu nosocomiale dans un échantillon de taille 2 670 est
174 159 210
besoin de réparations avant cinq ans est
200
.
3
I’ = ;
2 670 2 670 4
, c’est-à-dire I’ ≈ [0,059 ; 0,079].
d) Quel que soit le seuil utilisé, la fréquence observée La fréquence observée n’appartient pas à l’intervalle
n’appartient pas à l’intervalle de fluctuation, donc on donc on rejette l’hypothèse selon laquelle la propor-
peut penser que le constructeur a tort. tion de malades atteints de maladie nosocomiale dans
l’hôpital Charmant est 6,9 %.
37 a) Programme Casio :
39 a) On utilise la loi binomiale (100 ; 0,68).
b) à l’aide de la calculatrice, on obtient a = 59 et b = 76
dont l’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % obte-
nu à l’aide de la loi binomiale est I = [0,59 ; 0,76].
La fréquence observée est 0,74, qui appartient à I.
On ne peut donc pas affirmer que le nouveau traite-
Programme TI : ment est plus efficace que l’ancien.
126
Avec les définitions du cours, a = 133 et b = 167, donc En utilisant les définitions du cours, on trouve a = 6 et
l’intervalle de fluctuation de Français pensant que le b = 19, donc l’intervalle de fluctuation obtenu avec la
problème de la faim dans le monde s’aggrave dans 6 19
133 167
loi binomiale est 3 ;
134 134 4
.
des échantillons de 300 personnes est I = 3 ;
300 300 4
.
b) La fréquence observée est
6
qui appartient à l’in-
96 134
b) La fréquence observée est 0,32 = . Elle n’appar-
300 tervalle de fluctuation, donc on n’a pas de raison de
tient pas à l’intervalle de fluctuation, donc on peut rejeter l’affirmation du laboratoire.
penser que les personnes diplômées n’ont pas la c) La loi binomiale n’a pas changé, mais dans le cas
même opinion que l’ensemble de la population. d’un test unilatéral, on cherche la plus petite valeur de
c telle que P(X < c) > 0,05.
54 a) On utilise la loi binomiale (60 ; 0,05) en fai- On trouve c = 7, donc l’intervalle de fluctuation est
sant l’hypothèse que la proportion d’accidents du 7
travail est la même dans le service de Delphine que I= 3 134 4
; 1 .
dans toute l’entreprise. La fréquence observée n’appartient pas à l’intervalle
Avec les définitions du cours, on obtient a = 0 et b = 7, de fluctuation, elle est inférieure à cet intervalle, donc
donc l’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % de la le test est encore meilleur qu’annoncé.
fréquence d’employés victimes d’accidents du travail
dans les échantillons de 60 salariés est 56 On utilise la loi binomiale (350 ; 0,13) d’après
0 7 7
I= 3 ;
60 60 4 3= 0 ;
604 . les hypothèses.
6 On trouve, avec les définitions du cours, a = 34 et
b) La fréquence observée est . Elle appartient à b = 58, donc l’intervalle de fluctuation au seuil de 95 %
60
l’intervalle de fluctuation, donc il n’y a pas de raison de de la fréquence des personnes se déclarant victimes
rejeter l’hypothèse selon laquelle la proportion de vic- de corruption en Afrique dans les échantillons de taille
34 58
times d’un accident du travail est de 5 % dans ce service. 350 est 3 ;
350 350 4
≈ [0,097 ; 0,166].
55 a) On fait l’hypothèse que 9 % des personnes La fréquence observée est 52 %, qui n’appartient pas à
vaccinées peuvent être touchées par la maladie. On l’intervalle de fluctuation, donc on peut être amené à
utilise donc la loi binomiale (134 ; 0,09). revoir le montant de l’aide.