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III.2.

MODÈLE ONDULATOIRE BIDIMENSIONNEL

Équations de continuité

Les poutres sont reliées entre elles par des jonctions droites, en T ou en L. Les conditions
de raccordement sont données dans le cas le plus général par Bosmans [5] et permettent
d’obtenir un système d’équations solvable. Le nombre d’inconnues est de six par poutre,
quatre communes aux ondes de flexion et deux pour les mouvements longitudinaux.

Les repères locaux pour chaque poutre ainsi que les notations et la géométrie d’une si-
tuation type sont représentés dans le schéma de la Figure III.4. Sur ce schéma les grandeurs
x et y (en rouge) indiquent des variables locales qui sont différentes des variables globales.
Chaque repère local a pour origine le centre de la première section rencontrée par l’onde
(repéré par des flèches sur la figure), et est dirigé en fonction de la dimension principale de
la poutre étudiée. Cela permet d’écrire plus lisiblement les conditions de continuité.

F IGURE III.4 – Schéma du modèle ondulatoire.

Les équations de continuité sont distinctes selon que l’on considère la jonction avec le
sol (jonction droite), la dernière jonction (jonction en L) ou les jonctions intermédiaires
(jonction en T). Pour chacune de ces trois situations, il convient d’écrire les équations de
raccordement, se traduisant sous la forme de six ou neuf équations selon les cas.

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