Numériques
Chapitre 1: Chaine de transmission Numérique
n Source du message
n Codage de source
n Codage de canal
n Emetteur
n Techniques d’accès multiples
n Canal de transmission
n Récepteur
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Source du message
Source numérique
Motivations
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Source du message
Source numérique
Exemples d’application
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Source du message
Source numérique
Numérisation de la source
01100010100
Source numérique
5
Source du message
Source numérique
Db
1
Débit binaire Db =
Tb
Nombre de bits transmis par unité de temps(bit/s)
n Exemples
Qualité téléphone: quantification sur 8 bits, Fe=8 KHz Db= 64 Kbit/s
Qualité Hi-fi: quantification sur 16 bits, Fe=44 KHz Db= 705.6 Kbit/s
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Plan du cours
n Source du message
n Codage de source
n Codage de canal
n Emetteur
n Techniques d’accès multiples
n Canal de transmission
n Récepteur
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Codage de source
Db Ds
Source numérique
Ds < Db
8
Codage de source
Exemples
Avec un codage de source plus élaboré, ce débit peut être réduit à 32kbit/s sans
dégradation de la qualité subjective de la parole. Il est même possible d’atteindre des
débit de 16 et 8kbits/s
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Plan du cours
n Source du message
n Codage de source
n Codage de source
n Emetteur
n Techniques d’accès multiples
n Canal de transmission
n Récepteur
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Codage de canal
n Principe
Insertion d’élément binaires de redondance dans le
signal émis.
Les élément binaires suivent une loi de codage
prédéfinie.
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Codage de canal
n Codage de parité
n Codage convolutif
n Codage en bloc
n Turbo code
n LDPC
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Plan du cours
n Source du message
n Codage de source
n Codage de source
n Emetteur
n Techniques d’accès multiples
n Canal de transmission
n Récepteur
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Emetteur
Objectif de l’émetteur
Electrique,
Electromagnétique,
Optique
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Emetteur
Rapidité de modulation
1 D Db
R= = b =
nTb n log 2 ( M )
% )
n Bande passante: 𝐷#$ = = 𝑛𝐵 avec B en Hz
&' &*
n Si n augmente le débit augmente.
n Cependant le risque d’erreur augmente (codage canal).
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Emetteur
Système de transmission
q Ces deux modulations sont moins sensibles au q On peut avoir une meilleure
perturbation que le ASK. efficacité spectrale avec la PSK
q La PSK à une occupation spectrale identique à (optimisation de la valence).
la ASK tandis que la FSK nécessite une bande
plus importante (plusieurs porteuses).
q Complexité de la démodulation
q ASK
q FSK
q PSK
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La modulations numériques (QAM)
Démodulation en TD
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Plan du cours
n Source du message
n Codage de source
n Codage de source
n Emetteur
n Techniques d’accès multiples
n Canal de transmission
n Récepteur
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Techniques d’accès multiples
FDMA
n En FDMA, on alloue à chaque utilisateur une bande de fréquence. Un seul
utilisateur peut se servir de ce canal pendant la période où la communication
est à lui.
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Techniques d’accès multiples
TDMA
n En TDMA, on attribue un intervalle de temps IT ou slot à chaque utilisateur.
23
Techniques d’accès multiples
Techniques avancées
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Plan du cours
n Source du message
n Codage de source
n Codage de source
n Emetteur
n Techniques d’accès multiples
n Canal de transmission
n Récepteur
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Canal de propagation
Filtre Milieu de
d’émission transmission
Bruit
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Canal de propagation
Milieu de transmission
n Le milieu de transmission représente le lien physique entre l’émetteur et le
récepteur; il est pratiquement constitué par l’un des supports suivants:
• Câble bifilaire, dont la bande passante est faible et qui est réservé pour les
transmissions à bas débit (<2Mbit/s sur le réseau téléphonique).
• Câble coaxial, qui possède une bande passante plus importante et qui permet de
réaliser des transmission avec un débit relativement élevé (plusieurs centaines de
Mbit/s). C’est ce type de câble qu’on utilise pour connecter les centraux téléphonique
entre lesquels transite un grand nombre de communications (565Mbit/s).
• Fibre optique, qui présente une bande passante très élevé et une faible atténuation. Elle
permet d’atteindre des débit de l’ordre de plusieurs Gbit/s, voire dans le future plusieurs
dizaine de Gbit/s. C’est ce type de câble qu’on utilise pour les réseaux terrestres à
grande capacité, pour les câble sous-marins, ainsi que pour les réseaux de distribution
(liaisons entre centraux téléphoniques et abonnés)
Exemple d’un canal radio mobile et ses variations dans le temps et dans
l’espace.
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Le canal et ses perturbations:
Exemple d’un canal radio mobile et ses variations dans le temps et dans
l’espace.
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Le canal et ses perturbations:
Exemple d’un canal radio mobile et ses variations dans le temps et dans
l’espace.
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Le canal et ses perturbations:
Exemple d’un canal radio mobile et ses variations dans le temps et dans
l’espace.
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Le canal et ses perturbations:
Exemple d’un canal radio mobile et ses variations dans le temps et dans
l’espace.
Exemple d’un canal radio mobile et ses variations dans le temps et dans l’espace.
q Shadowing
q Les trajets multiples (fading)
q Pertes liées à la distance (path loss)
q La vitesse du mobile (effet Doppler)Dans la suite nous allons
q Les pertes liées à la pluie étudier les trajets
multiples principale cause
de l’IES.
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Le canal et ses perturbations:
En filaire:
q réflexions dues à des problèmes de
propagation guidée (modes).
q Dérivation: car chacune dérivation
met en jeu une charge dont
l'impédance n'est a priori pas
adaptée à l'impédance
caractéristique de la ligne.
En sans fil
© Moussa DIALLO, 35 35
UCAD 2016
Canal multi-trajets: delay spread et IES
IES si le
temps symbole
Ts et inférieur
au Ds
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modélisation:
q Okumura Hata
q COST
q Erceg
q Stanford University Interim (SUI) Channel Models
q ITU Path Loss Models
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Canal de propagation
Le bruit
n Le bruit est une perturbation aléatoire dont les origines sont le milieu de
transmission (bruit externe) ou les dispositifs électroniques utilisée dans le
récepteur (bruit interne).
• Le bruit externe peut avoir plusieurs sources: rayonnement divers captés par l’antenne
de réception, les interférences entres les différents utilisateurs du milieu de transmission
ou encore les bruits d’origine industrielle (moteurs, ligne à haute tension, etc).
• Le bruit interne a pour origine le mouvement brownien des électrons dans les
composants passifs (résistance: on parle de bruit thermique qui dépend donc de la
température) et les composant actifs (semi-conducteurs: on parle de bruit de grenaille
qui dépend du courant) qui constituent les dispositifs du récepteur (amplificateurs, filtre
etc).
n Toutes les contributions du bruit interne et externe sont prises en compte dans
une source unique de bruit B(t). Ce bruit est modélisé par un processus aléatoire
gaussien, à moyenne nulle, stationnaire, indépendant du signal émis et de
DSP γ B ( f ) bilatérale uniforme.
N0
γB( f ) =
2
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Plan du cours
n Source du message
n Codage de source
n Codage de source
n Emetteur
n Techniques d’accès multiples
n Canal de transmission
n Récepteur
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Récepteur
Synoptique du récepteur
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Récepteur
Qualité de la transmission
La qualité d’une transmission numérique dépend de la fiabilité de reconstitution du
message émis par la source.
n Evaluation:
• Par la probabilité d’erreur binaire: (prendre une décision erronée)
n Exemple:
• Transmission de la parole pour la téléphonie : 10-6
• Transmission de paquet IP avec système ARQ (Automatic Repeat reQuest) : 10-3
n Mesure:
• Taux d’erreur binaire (TEB)
• Le TEB est toujours associé à une autre grandeur appelé le rapport signal à
bruit (TEB = f(RSB) )
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Récepteur
Dans le cas d'une transmission sur deux voies en quadrature sur un canal gaussien de
largeur de bande W, et pour un rapport signal sur bruit par symbole Es/N0, la capacité
maximale est donnée par
Es est l'énergie par symbole émis et N0/2 est la densité spectrale de puissance du bruit
L’efficacité spectrale d’une transmission numérique est le rapport entre le débit binaire de la
source et la bande occupée
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