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urgen s
DEs
i c a l e
méd urgicales
ET
Chir
Directeur de publication
Mathieu Levaillant
Directeur de REDACTION
DOMINIQUE PATERON
chargee de partenariat
CECILIA COFAIS
MISE EN PAGE
A. STOCKER, N. ROMAIN-SCELLE, M. LEVAILLANT
IMPRESSION
VEOPRINT
pour laquelle le malade vient aux urgences et non pas par sa pathologie
mettre en avant les pièges diagnostiques et de la prise en charge des
malades consultant aux urgences
aborder de façon plus complète les aspects thérapeutiques de cette
Les auteurs du guide se sont efforcés de donner des informations conformes aux
Ce guide repose certes sur la compétence mais aussi la bonne volonté des auteurs,
ide
- c o o r d in ateur du gu
atero n
Dominique P nt de l’apne
t
Professeur HE R - P r é s id e
ALAIN DUROC
Professeur
A travers ce Guide des Urgences Médico-Chirurgicales, nous espérons que vous aurez
toutes les cartes en main pour vous épanouir pleinement dans le cadre de la formation
nt - DFASM 1 - ANGERS
AILLA NT - PREside
MATHIEU LEV
Syncopes 107
Crise convulsive 112
Coma
117
Arrêt cardiaque 118
Arrêt cardiaque : prise en charge 122
chapitre 7 : choc
Choc anaphylactique
chapitre 8 : agitation
Agitation psychomotrice et sédation médicamenteuse 128
130
132
133
Déshydratation
Hyperkaliémie
Hypokaliémie
Hypercalémie 170
Hyponatrémie 172
178
180
Hémorragie méningée 182
chapitre 13 : traumatologie
Petites plaies 208
Prévention du risque tétanigène des plaies 213
Traumatismes crâniens
Traumatismes rachidiens 218
222
Traumatismes du coude 225
Traumatismes du poignet 229
Traumatismes de la hanche 232
Traumatismes du genou 235
Traumatismes de la cheville 239
Chapitre 14 : divers
250
Hypothermies 255
259
Décision de traitement devant un AES
Traitement de la douleur aux urgences
Transfusion de culots globulaires
Transfusion de concentrés plaquettaires
température, marbrures
Information
Il est fondamental de prévoir des courriers et des lettres-type pour que le passage aux urgences
Convulsions
Polytraumatisé
Hémorragie digestive
Absence de signes
extériorisée Absence de signes
entrant dans le cadre
Cyanose dyspnée entrant dans le cadre
de propriété 3
Arrêt Cardiaque Douleur thoracique de propriété 2
Agitation extrême
Douleurs peu intenses Absence de signes
Etat de choc - Diabète
entrant dans le cadre
sation psy
exemples EVA < 3 de propriété 3
Coma PAS> 200mmHg ou Douleurs abdominales
Constantes normales
<90mmHg
Traumatologie
SAMU PAD> 100mmHg Douleurs ostéoarticlaires
courante
EVA > 3
Constantes normales
SAT < 95%
ORIENTATION
En priorité après POTENTIELLE vers
accueil et tri
13
chapitre 2 e s
u l e u r s t h o r ac i q u
d o
e u x t h o racique - D. pateron
ndrome d o u l o u r
diagnostic d’un sy
localisation de la douleur
Basi-thoracique
Rétrosternale Migratrice pariétale
latéralisée
En hémiceinture :
Zona
Douleur constrictive : Tassement vertébral
angor Tumeur
Prolongée : IDM Localisée aux articulations
chondrocostales, manubriosternales
Dissection aortique : ou sternoclaviculaires :
douleur prolongée, Syndrome de Tietze
avec irradiation dorsale
descendante Infection chondrosternale
Pneumonie infectieuse
Lithiase vésiculaire
Ulcère gastroduodénal
D
Les syndromes coronaires ont en commun des facteurs de risque cardio-vasculaires, le motif de
Motif de recours
Présentation clinique
Diagnostic
ECG et biologie
Évolution
Éléments de gravité
Traitement
Le recours au SAMU-Centre 15 est associé aux délais de prise en charge les plus courts, aux taux
les 12 heures dans les cas de gravité intermédiaire, si la douleur thoracique persiste ou réapparait ou
Surveillance et monitorage
électrocardioscope
Traitement antiagrégant
Traitement anticoagulant
La bivalirudine et le fondaparinux sont actuellement recommandés en première intention respectivement
NB : pour toutes ces molécules, pour plus de détails, se référer aux contre-indications et précautions
La dissection de type B :
Points importants
Diagnostic
Il est évoqué sur 3 éléments :
La douleur :
Atroce, caractérisée par son intensité
Dans les formes typiques : migratrice et progresse avec la dissection
Son siège est variable : thoracique, épigastrique, abdominale ; elle irradie fréquemment
dans le dos
coronaires
Le contexte :
Démarche diagnostique
un patient sédaté
invasif disponible
Pièges
Nécrose myocardique
Péricardite
Infarctus viscéral
Pronostic
Traitement
et biologique :
veineuse périphérique
Dyspnée respiratoire
dyspnée expiratoire encombrement diffus
bruyante (cornage)
œdème de Quincke Coma
adrénaline 0.5 mg SC ou 0.1
mg IV
sibilants ou OPA
ingestion de caustique
crépitants
épiglottite ronchi
Claforan® 1 g IV
position assise Décom- OAP
pensation Pneumo- À part :
ORL embolie pulmonaire
BPCO pathie
tumeur
sténose post intubation Asthme infectieuse polysymptomatique
corps étranger OAP Fibrose contexte, facteur de
+/- manœuvre de Heimlich Attention risque
hypoxie, signe radio,
discrets
paralysie dilatateurs signes droits
asymétrie
auscultatoire Dans tous les cas :
-
nage si mauvaise tolérance
Atélectasie
Points importants
traitement
Orientation : évaluer la gravité et apprécier la réponse au traitement initial
Mesurer le débit expiratoire de pointe (DEP)
Traitement en urgence
Cliniques :
collapsus
silence auscultatoire
DEP < 150 L/min
Gazométrie :
heure
Nébulisation de broncho-dilatateurs :
corticoïdes IV : méthylprednisolone 80 mg
évalués :
Corticoïdes par inhalation béclométasone: 2 bouffées de 250 µg matin et soir, sans interruption
si elle persiste
Points importants
Diagnostic
:
Interrogatoire
polypnée intense avec orthopnée et angoisse, précédée par un grésillement laryngé, toux
quinteuse, expectorations inconstantes, rosées et mousseuses
Examen clinique
patient assis dans son lit, cyanose des extrémités et sueurs profuses
crépitants bilatéraux prédominant aux bases avec disparition du murmure vésiculaire,
Examens complémentaires
SpO2 et GDS : SpO2 et SaO2 basses, effet shunt avec hypoxémie et hypocapnie
ECG 12 dérivations : tachycardie sinusale, arythmies, anomalies de conduction, signes
BNP ou NT-pro BNP, enzymes cardiaques, GDS artériels, ionogramme sanguin, urémie,
et pronostiques
Pièges
Formes cliniques moins typiques :
Pronostic
cardiologiques ou en réanimation :
Gravité respiratoire : sueurs profuses, cyanose, SaO2 < 85 % en air ambiant, acidose
métabolique, épuisement, troubles de la conscience, hypercapnie
Traitement
À
Position assise
Vasodilatateurs
Agent vasoconstricteur après avis spécialisé, pour les patients en état de choc avec hypotension artérielle
Vitamine B1
Opiacés
Poussée hypertensive : privilégier les traitements antihypertenseurs aux diurétiques car ces
Éléments de surveillance
au début
Bilans sanguins rapprochés : fonction rénale, ionogramme sanguin avec surveillance de la
kaliémie, de la phosphorémie et de la magnésémie
SpO2 et GDS
ECG 12 dérivations Vitamine B1 : 1 g en perfusette sur 15 Signes de gravité
Radiographie de thorax
BNP ou NT-pro BNP, enzymes Opiacés Sueurs profuses, cyanose,
cardiaques, GDS artériels, ionogramme pour la prévention SaO2 < 85% en air ambiant,
sanguin, urémie, créatininémie, acidose métabolique, épuise-
enzymes hépatiques, numération Traitement des facteurs ment, troubles de la conscience,
sanguine, TP et déclenchants
Echocardiographie transthoracique
dyspnées aiguës
27
giques ou réanimation
3 dyspnées aiguës
a n c e r E SPIRATOIR E chronique
’un e in s u f f is
décompensation d
diagnostic
ambiant
Points importants
Diagnostic clinique
Clinique
Dyspnée
agitation
confusion
somnolence
coma
marbrures
cyanose, sueurs
Signes respiratoires :
impossibilité de parler
signe de Hoover-Flint
Paraclinique
Points clés
possible
Les ampoules de salbutamol, conçues pour une utilisation intraveineuse, ne peuvent pas être
utilisées en nébulisation en raison du risque de bronchospasme provoqué par la présence de
Pronostic
Traitement
Points importants
Diagnostic clinique
embolique :
de branche droit de survenue récente, des anomalies de la repolarisation, une déviation axiale
épanchement pleural
atélectasie
hyperclarté pulmonaire
Scintigraphie pulmonaire
Echo-doppler veineux des membres inférieurs : retrouve une phlébite dans la grande
Echo-doppler cardiaque
une dilatation des cavités droites et une hypertension artérielle pulmonaire
Pronostic
Traitement
Hospitalisation en règle générale avec O2
Monitorage PA, saturation O2, ECG
conduit
Points importants
être répétée
Pronostic
Confusion
Traitement
de gravité
Voie IV impérative si signes de choc ou détresse respiratoire ou troubles digestifs; sinon voie
Cas particuliers
Patient traité en ville et adressé pour échec
chronique
associer macrolide
Examens complémentaires
pH < 7,35
Total
Points importants
risque de récidive
Radio en inspiration : hyperclarté entre la paroi et le poumon, visualisation de la ligne
uniquement
si petit PTX non vu en inspiration
gros calibre
Rechercher un emphysème sous-cutané et un pneumothorax radiologique lors de toute crise
Cliniques
Radiologiques
Déviation controlatérale du médiastin, aplatissement coupole homolatérale
PTX bilatéral
Traitement
Hospitalisation dans tous les autres cas, notamment si PTX secondaire même minime
radio thoracique :
heure
Drainage :
avec un drain de gros calibre si PTX secondaire, de préférence par voie axillaire
s e p o u r l’ é va l u a tion d’un
éléments de ba m in a l - D. Pateron
u x a b d o
sy ndrôme douloure
Interrogatoire Signes généraux Signes physiques
Antécédents Pouls, pression Pâleur, ictère
Douleur : début, arterielle
siège, évolution Température Marbrure
Nausées, Hydratation Palpation : défense,
vomissements Fréquence contracture, masse
Transit respiratoire
Dernières règles TR, TV
Signes urinaires
Il existe :
Une contracture :
Absence de signe de ECG
Examens
Avis chirurgical
Examens sous surveillance médicale
Echographie en SAUV
Réanimation Scanner
e u x a b d o m in a l - D. pateron
ndrome doulour
diagnostic d’un sy
Fièvre Vomissements divers
arrêt des gaz
Volvulus Bride
Cancer Hernie étranglée
Invagination
colique néphrétique
pyélonéphrite
Guide deS URGENCES médico-chirurgicales - 2013 / 2014 41
4 SYNDRÔMES DOULOUREUX ABDOMINAUX
Diagnostic à évoquer devant une douleur
abdominale fébrile - D. Pateron
Flanc droit Hypochondre droit et Flanc gauche
Pyélonéphrite épigastre Pyélonéphrite
Appendicite Cholécystite +++ Diverticulite
rétrocaecale Angiocholite
Diverticulite colon
Appendicite sous-
hépatique
Ulcère perforé bouché
par infection,
Cancers colorectaux abcédés
Points importants
Diagnostic
Pièges
Méconnaître
Forme gangreneuse : signes généraux importants avec troubles hémodynamiques, altération
Pronostic
Traitement
Voie veineuse
Points importants
Diagnostic
et une hyperleucocytose
ASP : inutile
Pièges
La localisation des signes physiques varie en fonction de la forme anatomique :
Forme gangreneuse : signes généraux très marqués avec douleur initialement intense,
Pronostic
Traitement
À
Voie veineuse
Ne pas traiter par antibiothérapie un sepsis intra-abdominal sans un diagnostic précis !
Points importants
Diagnostic
Péritonite diverticulaire
Le tableau clinique est dominé par les signes péritonéaux
chirurgicale en urgence
Pièges
Pronostic
Traitement
Péritonite diverticulaire
Voie veineuse périphérique, réhydratation
Points importants
Diagnostic
Il est aisé dans la forme généralisée :
À
Mixte : diverticule colique infecté et perforé,
péritonite.
Le diagnostic de péritonite aiguë généralisée impose un geste chirurgical en urgence qui
permet un diagnostic per-opératoire précis.
Pièges
Péritonite du sujet âgé
généraux sont plus marqués, AEG, asthénie, troubles hydro-électrolytiques,
Péritonites localisées
intra-abdominal,
Réalisent un plastron avec une agglutination des anses et viscères locaux,
chirurgical,
scanner,
Pronostic
Traitement
Le traitement associe une réanimation et un traitement chirurgical en urgence,
Points importants
Diagnostic
Clinique
Contexte :
ATCD de salpingite
Stérilet
Nombreux partenaires
Manœuvres récentes endo-utérines
Douleurs pelviennes bilatérales
Fièvre
Leucorrhées malodorantes
Dyspareunie
Palpation :
TV douloureux
Biologie
NFS : hyperleucocytose
chographie pelvienne
Points clés
Pronostic
Fonctionnel
Risque de stérilité
volutif
Pelvipéritonite
Nausée, vomissement
Traitement
Hospitalisation
Discuter la cœlioscopie avec le gynécologue en cas de doute diagnostique ou chez une femme
Traiter le partenaire
Retrait du stérilet
Guide deS URGENCES médico-chirurgicales - 2013 / 2014 47
4 SYNDRÔMES DOULOUREUX ABDOMINAUX
Vomissements tardifs
AEG tardive Invagination
Ondulations Cancer
péristaltiques Iléus biliaire
Points importants
Le diagnostic est aisé devant un tableau associant douleur épigastrique intense contrastant
Bilan paraclinique initial : NFS, ionogramme sanguin, glycémie, transaminases, lipasémie, LDH,
Scanner :
Facteurs étiologiques :
Plus rarement :
Post cholangiographie par voie rétrograde, post opératoire, post-traumatique
Virale
Dyslipidémie sévère, hypercalcémie
Tumorale
Instabilité hémodynamique, signes locaux modestes
Pronostic
lésionnel
Score de Ranson
PaO2
LDH > 1,5N
Points importants
Pronostic
Complications
Un ulcère gastroduodénal peut être révélé par une complication
Traitement
Poussée ulcéreuse duodénale
É
Conseils hygiéno-diététiques
térine - d. pateron
Grossesse extra-u
Points importants
Diagnostic
Signes cliniques
Très variés : aménorrhée, métrorragies, douleurs pelviennes brutales et unilatérales, parfois
insidieuses et bilatérales, syncope, choc, signes digestifs
Points clés
Pièges
Signes cliniques très variés
rompue
Pronostic
Traitement
Évaluer la gravité
Si hypertension portale
et avec hypertension portale
Surveillance :
Hémodynamique sous remplissage Vasopresseur IV le plus tôt possible
Hémoglobinémie répétée
Ou somatostatine
Points importants
Diagnostic
Clinique
tension continue avec paroxysme, irradiation vers les organes génitaux externes, sans
position antalgique
nausées et vomissements fréquents
Pronostic
avec pyonéphrose
Persistance de la douleur
Fièvre
Rein unique
Uropathie préexistante
Rein transplanté
Grossesse
Traitement
Il faut hospitaliser dans les formes compliquées et dans les formes hyperalgiques résistantes
aux traitements
Les antalgiques du type paracétamol ou association paracétamol tramadol sont souvent peu
Les morphiniques sont parfois utiles mais leur utilisation limite le retour immédiat au domicile
p h r it e aiguë - JM . Halimi
: py l é o n é
sepsis urinaire
Points importants
Diagnostic
t Clinique
t Examens complémentaires
t bandelette urinaire
la fonction rénale
t
t Uroscanner en urgence en cas de pyélonéphrite compliquée
Points clés
pelviens
immunosuppresseurs
Chez la femme enceinte, il faut hospitaliser et surveiller les bruits du cœur fœtaux
Pronostic
Critères de gravité
que le patient peut prendre un traitement per os, reverra un médecin en consultation et que
Obstacle urinaire :
Diabétique :
Points importants
Diagnostic
Points clés
Traitement
Traitement monodose :
Femme enceinte
La bactériurie même non symptomatique doit être traitée
mensuels
Points importants
Diagnostic
t Clinique
t Examens complémentaires
bandelette urinaire, ECBU, sont systématiquement pratiqués, hémocultures recomman-
dées
Pièges
t Diagnostiquer les complications
abcès prostatique
épididymite
septicémie
Traitement
Hospitaliser
t Forme simple
t
t
cathétérisme sus-pubien
t
drainage écho-guidé voire chirurgical
a ig u ë d’urine - JM . Halimi
r é t e n t io n
Points importants
Diagnostic
échographiques préalables
Examens biologiques : bandelette urinaire systématique, ECBU, ionogramme sanguin avec
fonction rénale, hémostase si cathétérisme sus-pubien envisagé
Points clés
Mécanismes :
Retentissement :
Particularités cliniques :
Gravité
Traitement
Interrogatoire :
t -
t
leur isolée = torsion du cordon
t
t
t Traumatisme avec hématocèle
Examen clinique :
t examen scrotal
t parotides
t
Examens complémentaires :
t bandelette urinaire
t ECBU
t prélèvement urétral
t
t NFS
t échographie scrotale
t
t
t
t
Orchite
ourlienne t
Chirurgie le plus
t
rapidement possible t repos
t glace t Suspensoir et repos
t suspensoir
pisode aigu, régressif, caractérisé par un trouble de la conscience ou de la vigilance, avec ou sans
Interrogatoire
Antécédents personnels ou familiaux du même type
Examen physique
Hypotension orthostatique
Examens complémentaires
Orientation diagnostique
ECG
Orientation diagnostique
Les lipothymies doivent être rapprochées des syncopes car partageant le même mécanisme
Points importants
Diagnostic
Diagnostics différentiels :
Etiologies
causes bénignes, mais peuvent également relever de causes graves pour lesquelles la récidive peut
torsade de pointe
tachycardie supra ventriculaire ou ventriculaire
Les causes structurelles
causes suivantes :
Elles regroupent des étiologies hétérogènes, dont la caractéristique commune est une
iatrogène
Evaluation diagnostique
Diagnostics différentiels
Syncope
Hypotension
Cause cardiaque Neuro-médiées orthostatique
- - Absence de cardiopathie
sonnels ou familiaux - Contexte favorisant - Survenue au lever
- Palpitations avant la -
syncope
- Anomalies ECG
Dosage plasmatique des médicaments antiépileptiques en cas de doute sur une mauvaise
observance thérapeutique
pathologie alcoolique
1ère crise -
men post critique normal
et entourage familial
t calcémie, natrémie
Confusion t si traumatisme crânien :
scanner cérébral Hospitalisation dans tous
t sinon : EEG et PL les cas
Alcoolisme Réanimation
Sevrage si état de mal
Intoxication
Antécédent :
t
réévaluer par le neurologue si observance correcte
coma - f. adnet
OUI NON
Glycémie
Réanimation
cardiopulmonaire Nle ou basse
Coma hypoglycémique
resucrage IV
Existence de signes de
OUI NON
Tomodensitométrie :
- traumatisme crânien Température centrale
- accident vasculaire cérébral
méningée
maligne
Points importants
Diagnostic
Rythme non choquable : asystolie ou complexes larges avec une fréquence lente : rythme
Pièges
Pronostic
Traitement médicalisé
Rythme choquable
veineux ou trachéal
hyperkaliémie
RCP*
RCP
RCP
RCP
Amiodarone 300mg
de réanimation
marbrures
sueurs
cyanose
temps de recoloration cutanée allongé
Mesures initiales
Orienter le
diagnostic
Cardiogénique Hypovolémique
t Hypovolémie vraie :
- Infarctus du myocarde - Choc hémorragique
- Trouble du rythme - Déshydratation
- Trouble de la conduction
- Valvulopathie t Hypovolémie relative :
- Intoxication par cardiotoxique - 3ème secteur
Traitement - Sepsis
- Embolie pulmonaire en fonction - Anaphylaxie
- Tamponnade - Intoxication médicamenteuse
- Infarctus du VD - Vasoplégie
- Acidose
- Dyskaliémie
e - J. S c h midt, F. m oustafa
y l ac t iq u
choc anaph
Points importants
Diagnostic
caractérisé par un collapsus vasoplégique avec une tachycardie, PAS < 90 mmHg
mous
Pièges
Traitement
veineuse
Remplissage par cristalloïde : 1-2 litres de Ringer-lactates ou de sérum physiologique
Les neuroleptiques :
OUI
NON public, amené aux
urgences par les
neurologique implique un
scanner cérébral en ur-
NON OUI
Neurologique :
Métabolique :
Toxique :
Psychiatrique :
Autre :
Points importants
Pièges
hypoglycémie
Gravité
Traitements
Points importants
Diagnostic
Orientation
Traitement
Points importants
Diagnostic
Il est guidé par :
Le type de produit
syndrome anti-cholinergique
Pièges
À
signe de localisation
hémorragie méningée
méningo-encéphalite
état de mal convulsif
Gravité
Immédiate
Liée au toxique
Secondaire : implique une surveillance hospitalière pour éviter une éventuelle complication
Psychiatrique
Traitement
Essentiellement symptomatique
OUI NON
examens
interrogatoire examen clinique
complémentaires
Du patient, de Température Systématiques :
Neurologique :
conscience glycémie
(famille, secours…) pupilles capillaire
antécédents ECG
syndrome méningé
modalités de Cardiovasculaire : Iono, urée,
pouls, tension
symptômes auscultation Selon le contexte :
nature, dose et dosages
heure de prise des cardiaque sanguins ciblés
toxiques Pulmonaire :
fréquence
origine des respiratoire, pulmonaire
médicaments pris saturation
auscultation
inhalation,
Examen cutané
Besoins de base =
garder son schéma insulinique habituel, en assurant un apport glucosé continu si le patient ne
Glycémie
mmol/L g/L Unités toutes les 4 heures
< 10 < 1,8 0
10 - 15 1,8 - 2,7 5
15 - 20 10
> 20 15
1 UI/mL
Débit initial
Glycémie (mmol/L) 8,1 - 12 > 12
Glycémie (g/L) > 2,20
Débit (Ul/h) 1 2 3
< 3,5
3,5 - 6
8,1 - 10
Danger
Atteinte neurologique
Hypoglycémiants
oraux
Arrêt ou surdosage Odeur acétonique
insuline
Polypnée ample
Douleur abdominale Acidose lactique
Toutes les
urgences
abdominales
Glycosurie
Hypoglycémie Cétonurie
Infection
Hyperglycémie
Déséquilibre simple
Plaie
Mal perforant
Phlegmon
Ischémie aiguë
antitétanique
Guide dES URGENCES médico-chirurgicales - 2013 / 2014 89
10 URGENCES MéTABOLIQUES
m p e n s é - PF. Dequ in, E. Mercier
diab è t e d é c o
Points importants
Troubles de conscience et déshydratation globale sont au premier plan
cause déclenchante
Réhydratation énergique,
Priorités
Apprécier cliniquement
Conscience
Degré de déshydratation et existence éventuelle de signes de choc
Gravité
Proposer le patient au réanimateur de principe, a fortiori si signes de gravité ou atypies :
Choc non corrigé par le remplissage
Coma profond
et du sel
KCl
Insulinothérapie
AVC
Points importants
Attention au potassium
Priorités
Apprécier cliniquement
Conscience :
Gravité
Proposer le patient au réanimateur si signes de gravité ou atypies :
Choc non corrigé par un remplissage modéré
pH < 7,1
Traitement
Réhydratation, remplissage & apport de glucose sur voie veineuse périphérique
Boissons orales possibles dès que conscience normale et disparition des nausées
Insulinothérapie
IVD
0,1 UI/kg/h
Contrôler la glycémie capillaire au doigt toutes les heures
Alimentation orale : possible dès que conscience normale et disparition des nausées
Points importants
Chez le diabétique traité
est forte
per os
par
voie veineuse en cas de signes neurologiques francs : 10-30 mL de G30%
Par contre,
avec une perfusion de glucosé et une surveillance des glycémies capillaires, en raison du
exceptionnelle
Points importants
Diagnostic
Bilan initial
Clinique :
si oligurie
Biologie :
Ionogramme sanguin, calcémie, réserve alcaline, protides, bandelette urinaire,
ionogramme urinaire indispensable, protéinurie, ECBU, NFS, plaquettes, TP, TCA,
Examens complémentaires :
Points clés
Urgence thérapeutique :
Fonctionnelle = pré-rénale
Clinique
Évolution
Obstructive = post-rénale
Organique
Pronostic
Hyperkaliémie, acidose et OAP peuvent menacer immédiatement la vie
Traitement
Préventif :
Mécanisme ?
Points importants
Diagnostic
Les principaux signes de déshydratation extracellulaire sont :
Perte de poids
Accélération de la fréquence cardiaque
Diminution de la PA
Oligurie
Pli cutané persistant
-
diabète sucré, néphropathie avec pertes de
Traitement Surveillance
Déshydratation
extracellulaire sans Pouls, PA, diurèse,
poids, natrémie, urémie,
créatininémie, hématocrite,
Eau pure per os si possible,
Hypernatrémie
Etiologies
Augmentation des apports
bêta bloquants
Signes cliniques
Traitement étiologique
sur 10 minutes
Causes
Signes électrocardiographiques
Anomalie la plus précoce : aplatissement diffus voire une inversion des ondes T, apparition
Traiter la cause
Supplémenter en potassium
veineuse centrale
Points importants
Diagnostic
Etiologie
déséquilibré
Etiologies
Apport de K au besoin
Etiologies
Traitement
Traitement de la cause
Etiologies
Hypothyroïdie
Normovolémie
Traitement
SIADH
Traitement de la cause
hypertonique
Traumatique
Non traumatique
Hémiplégie
Progressive
VIH -
Vasculaire
Migraineux
pileptique
Diabétique
HED
Admission en
HSD neurochirurgie
Contusion
AVC hémorragique
Admission directe en Hématome lombaire ou Avis neurochirurgical
UNV si possible - du cervelet
Hématome des noyaux
Discuter thrombolyse
gris - AVC ischémique
Abcès, toxo
TDM sans et avec
Lymphome Avis neurochirurgical
Ta b l e a u i n s ta l l at i o n contexte - terrain
Traumatique
Compression
médullaire
Vasculaire
Syndrome Rachidien
Troubles sphinctériens
Apyrétique
Post-infectieux ou
vaccinal
Syndrome neurogène
périphérique
Alcoolique
Diabétique
Toxiques, médicaments
108 Guide des urgences médico-chirurgicales - 2013 / 2014
urgences neurologiques 11
ique déficitaire : paraplégie - K. tazarourte
Hernie discale
Fracture du rachis
Contusion médullaire Avis neurochirurgical
Hématome épidural
Hématome Traitement
IRM
Infection symptomatique
Antibiothérapie
Tumeur
Avis neurochirurgical
Myélopathie cervicale
Hernie discale
TDM - IRM
Syndrome de Guillain
PL Avis réanimateur
Barré
OUI
Type de céphalée
Mêmes caractéristiques -
mais ristiques habituelles
fréquence
intensité Toutes causes possibles
Céphalée idiopathique ou
Scanner
migraine
cérébral
Ponction lombaire
NON
Type de céphalée
Si scanner : céphalées
de tension
méningites, méningo-
encéphalites, thrombophlébites
cérébrales
Guide
Guidedes
desurgences
urgencesmédico-chirurgicales
médico-chirurgicales- -2013
2013//2014
2014 111
11 urgences neurologiques
g ie m é n in g é e - Y. Yordanov
Hémorra
Points importants
Diagnostic
brutale
diagnostic
Un syndrome confusionnel
TDM cérébrale
devra être complétée par une TDM cérébrale injectée
Ponction lombaire
Points clés
Si une hémorragie méningée post-traumatique est mise en évidence, il faut savoir se poser la question de
Pronostic
Prise en charge
Aux urgences :
Hospitalisation
contrôle de la température
contrôle de la glycémie
it e s a ig u ë s - Y. Yo rdanov
méning
méningo-encéphalite ou un abcès
Points importants
Diagnostic
protéinorachie
Points clés
systématique
Pièges
psychiatrique avec délire aigu sans antécédents, une agitation, une somnolence excessive,
nécessaire en répétant la PL
Pronostic
bactériennes
Prise en charge
urgences :
Hospitalisation systématique de toutes méningites
Hospitalisation en réanimation pour toutes méningites avec signes de gravité : altération des
fonctions supérieures, signes de localisation, état de choc ou purpura
Thérapeutique = antibiothérapie
Méningite bactérienne
BG - Hémophilus : C3G
C3G
Tuberculose
Listériose
Méningite décapitée >1g Protéinorachie
Méningo-encéphtalie
herpétique
>1g
Méningite virale
* si méningo-encéphalite =
Surveillance
Possibles antiviraux
Points importants
Diagnostic
Le terrain
intensité variable
le syndrome rachidien
debout :
Imagerie
Traitement
-
-
h
hémarthrose
id t,
Tumorale interne
e
Rhumatismales
t
Causes rares
-a
Ostéochondromatose
r
Le terrain
La sciatique hyperalgique (rare) Sciatiques radiculaires secondaires
= douleur intolérable malgré le repos non discales
La clinique
douleur radiculaire L5 ou S1
syndrome rachidien
La sciatique paralysante Sciatiques tronculaires ou plexu-
examen neurologique : pas de
- laires
culaire cotation < 3 -
t une lombosciati
Les examens
ig
radiographies standards si
Sch
121
12 urgences rhumatologiques
ia l e - J. Schmidt, F. moustafa
ic o b r ac h
névralgie cerv
Points clés
Diagnostic
Clinique
syndrome cervical : douleur violente et insomniante avec enraidissement du rachis
Pièges
Nombreux diagnostics différentiels
douleur par atteinte plexuelle
Traitement
On distingue :
Points importants
Diagnostic
Clinique
début brutal, douleur intense et permanente, impotence fonctionnelle totale, contexte
fébrile
épanchement intra-articulaire
Radiologie
Orientation diagnostique
Arthrite septique
tophus
chondrocalcinose articulaire
Pièges
Traitement
Arthrite septique
Traiter rapidement
antibiothérapie synergique, bactéricide, prolongée
Arthrite microcristalline
Chondrocalcinose : AINS
Points importants
Evaluation de la priorisation
Evaluation de la priorisation
126
126 Guide des urgences médico-chirurgicales - 2013 / 2014
TRAUMATOLOGIE 13
En pratique
Durée
Visage
Cou
Oreille
Scalp
Tronc
Main face dorsale
Main face palmaire
Membre inférieur
Pied
Membre supérieur
Pénis
Cicatrisation dirigée : lorsque la perte de substance est importante ou que la tension est trop forte , il
contaminées, les contaminations telluriques ou les excrétas, les fractures ouvertes, les expositions
articulaire ou tendineuse
Morsure
La vaccination antitétanique
Infection
Nécrose cutanée
Plaie majeure : toute plaie traumatique étendue, pénétrante avec corps étranger, souillée
Patient immunisé
Patient non immunisé Délai depuis le dernier rappel
Type de blessure ou vaccination
incomplète > 10 ans
Anatoxine
Anatoxine* tétanique :
Mineure - propre tétanique : 1 dose
1 dose 0,5 mL
0,5 mL
Anatoxine
Anatoxine tétanique
Anatoxine tétanique : 1
tétanique : 1 dose
tétanigène Immunoglobuline 250
0,5 mL Immunoglobuline
UI
250 UI
Anatoxine
Anatoxine tétanique Anatoxine tétanique : 1
Tétanigène
tétanique : 1
Débridement retardé
Immunoglobuline 500 Immunoglobuline
ou incomplet
Antibiothérapie
Antibiothérapie
Points importants
rachis cervical expliquant ainsi une association fréquente entre traumatismes du crâne et
Groupe 1
Patients asymptomatiques, ou présentant des céphalées, des sensatiaons ébrieuses, des
lésions faciales sévères, des signes de fracture basilaire, une possibilité de fracture avec dépression
Groupe 3
Pour indication :
Pour le groupe 1 : aucun examen complémentaire ne doit être pratiqué
Pour le groupe 3 : un scanner cérébral doit être pratiqué en urgence
Pronostic
Traitement
Points importants
Du fait de la mandibule, une face de rachis cervical ne peut comprendre les deux premières
de torsion du tronc pouvant provoquer des atteintes du rachis lombaire pouvant être soit
Pronostic
radiologiques dynamiques
Traitement
délai
En cas de fracture
sternoclaviculaire
Eléments importants
Il faut toujours rechercher un autre site lésionnel associé
La prescription de radiographie
Pronostic
Dans tous les cas, la région sous-acromiale est mise en tension, engendrant des lésions pouvant aller
Traitement
Points importants
Traumatismes directs :
Traumatismes indirects :
Chute main en avant : les structures les plus exposées sont la tête radiale, la palette
En cas de mouvement forcé latéral en varus ou en valgus, les ligaments sont les plus
exposés
pronation douloureuse
La prescription de radiographie
Condylienne externe
Condylienne interne
Clinique
de luxation
Il existe un coup de hache et perte des repères
Entorse du coude
Le traitement est en règle orthopédique avec une attelle brachio-antébrachiale amovible 15- 20
Au niveau du poignet
Une dislocation radio-cubitale inférieure
Pronation douloureuse
entrainant une impotence totale du membre supérieur avec une attitude du coude en pronation,
Elements importants
Il faut toujours rechercher un autre site lésionnel associé
incidences radiologiques
La fracture du scaphoïde
La fracture articulaire du radius
Traitement
Morphine en IV
possibles sont la fracture du col fémoral avec un risque élevé de nécrose céphalique, la luxation
de hanche avec un risque élevé de nécrose céphalique et la fracture per trochantérienne qui
représente une urgence opératoire différée
Points importants
Fracture cervicotrochantérienne
Fracture pertrochantérienne
Fracture sous trochantérienne : sous le massif trochantérien
Fracture trochantérodiaphysaire : le trait de fracture avec trait de refend diaphysaire
Toutes les fractures sont opérables
Réduction
Dès que possible, sinon risque de nécrose vasculaire de la tête fémorale par étirement de
si RX non concluante
prépondérants
Points importants
Il faut toujours rechercher un autre site lésionnel associé.
Par exemple :
La prescription de radiographies
fractures du cotyle
La fracture de la patella est faite par un trauma direct
collatéral médial
Pronostic
Traitement
Morphine en IV
comprend :
anglaises
Du fait de sa rareté et de son association fréquente avec une fracture bimalléolaire, ne sera pas abordée
La démarche diagnostique est avant tout clinique et doit se faire en deux temps:
Élements importants
Pièges
Examen clinique
suivants :
Un âge <18 ans et >55 ans
supérieure
Peuvent être associées des incidences ciblées sur le pied en fonction de la suspicion de lésions
Pronostic
Traitement
Le glaçage
La compression
Elle peut être réalisée par des blocs de mousse péri-malléolaires maintenus par des bandes
Points importants
Traumatismes directs :
Chute sur le talon : lésions osseuses au premier plan : calcaneus et talus
Pied sans appui sur le sol : lésion possible des métatarses et du tarse
Radiologie :
Sensation de coup porté sans traumatisme avec impossibilité de monter sur la pointe du pied
Radiologie
Entorse medio-tarsienne
Il existe une ecchymose du dos du pied avec une saillie dorsale en cas de luxation associée
La radiographie standard est complétée par un scanner
pour le cuboïde
lors de la réduction
Fracture des phalanges des orteils
Il existe fréquemment une contusion cutanée ou hématome sous unguéal
Points importants
Diagnostic
Interrogatoire
Examen clinique
hémorragique virale
autres : douleurs musculaires, trichinose
trypanosomiase africaine
3 semaines : paludisme, amibiase hépatique, hépatites, VIH, tuberculose, brucellose,
leishmaniose viscérale, trypanosomiase, rage
Examens complémentaires
Systématiques aux urgences
hémogramme :
anémie : paludisme, leishmaniose viscérale
polynucléose : amibiase, leptospirose, trypanosomiase africaine
leucopénie : paludisme, arboviroses, typhoïde, leishmaniose viscérale
hyper éosinophilie : bilharziose invasive, trichinose, distomatose
lymphomonocytose : , EBV, hépatites virales
thrombopénie : paludisme, arboviroses, leishmaniose viscérale, rickettsiose
À répéter si forte
suspicion et premier résultat négatif
palustre
yersinias et campylobacter
À discuter :
Parasitémie > 5 %
Hémoglobinurie macroscopique
Traitement (Paludisme)
vomissements
Points importants
Diagnostic
gelures
min
Pièges
Traitement
Réchauffement
professionnel
Points importants
VIH
Le risque de transmission existe par le sang et est extrêmement faible par voie sexuelle
Traitement
Le nettoyage immédiat
la profondeur
Le patient source
Le patient source est inconnu ou le
est connu : il faut
déterminer son statut
le plus rapidement
possible Risque élevé
Risque faible
avec une aiguille de
Ex : simple
gros calibre
érosion
HIV+ HIV- épidermique
Risque
intermédiaire
avec une aiguille
pleine
aiguille creuse
Trithérapie Bi ou
licite Trithérapie
chelle
reste répandue, le contrôle de la douleur aux urgences ne perturbe pas la qualité du diagnostic,
Les médicaments utilisés pour le traitement de la douleur aux urgences sont, en premier lieu,
Dans certaines douleurs fréquemment rencontrées aux urgences, il est établi que les AINS
Lorsque la douleur ne peut être contrôlée par les antalgiques périphériques, et dans les douleurs
Etat clinique
Mauvaise tolérance
Bonne tolérance
Premiers gestes :
urgence quel que soit le taux O2 sonde nasale
voie veineuse périphérique
de gros calibre pour
Bilan étiologique remplissage vasculaire
bilan biologique : 2 groupes
Traitement adapté sanguins, RAI
Etat instable
Produits sanguins labiles
rares et chers
acte thérapeutique : NON OUI
thérapeutique
substitive et
bilan étiologique Urgence vitale :
sélective
chaque malade doit antécédents
recevoir ce dont ou O- ou isogroupe
transfusionnels
il a besoin et rien selon disponibilité
utiliser des culots iso
des résultats
iatrogénie : risque groupe, iso rhésus : NaCl 9 %0 500 mL
immunologique, compatibles en fonction garde-veine
infectieux des résultats des RAI
NaCl 9 %0 500 mL tolérance
garde veine
Absents présents
rétiniennes, de signes
Recherche de signes
Bilan biologique : 2 groupes sanguins
Pas de transfusion
Voie veineuse périphérique
Bilan biologique : 2 groupes
sanguins,
Bilan étiologique
Antiépileptiques :
Médicaments Nais-
sance
Benzodiazépines A A A S
Lamotrigine A A A
Carbamazépine S S S
Lévéticacétam S S S
Autres D D D
Benzodiazépines A A S
Corticoïdes A A A S
AINS D D
Salicylés D D
Paracétamol A A A
-
A A A S
Morphine A A A S
Anesthésiques locaux A A A
MEOPA D A A
appareil digestif
Médicaments Naissance
Oméprazole A A S
Antispasmodiques A A A
Système cardio-vasculaire
Médicaments Naissance
Digitoxine A A S
A A A
Méthyldopa A A A
Furosémide S S S
D D D
Inhibiteurs calciques D D D
IEC
Sartans
Héparine S S S
HBPM S S S
AVK
NACO
Anti-infectieux
Médicaments Naissance
Pénicillines A A A
Céphalosporines A A A
Macrolides A A A
Imidazolés S S S
Fluoroquinolones A A A
Aminosides D D D
Glycopeptides D D D
Cyclines D D
Sulfamethoxazole-
D D
triméthoprime
Aciclovir S S S
Chloroquine A A A
Malarone A A A
Savarie A A A
Pour plus de renseignements, le site du Centre de Référence sur les Agents Térato-