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Sous la hâle du soleil, un fiacre d’ ancienne mode s’arrête sur la Rue Taitbout. Un
monsieur descend de la voiture à cheval et avec un pas calme s’approche de la maison d’une
vieille. Il sonne une fois…rien, deux…cinq… dix…rien, une fois de plus…à la fin la vieille ouvre.
François: Bonjour!
Vieille: Bonne d’etre ta coeur! Qu’est-ce qui s’est passé?
François: Je cherche la maison de Madame Carine.
Vieille: Vois-tu celle grande maison sur la colline? Celle-là à deux étages, les fenetres brunes et
un jardin de roses?
François: Oui.
Vieille: Celle est la maison.
François: Mais…le jeune homme, qui était là, m’a dit que n’habite pas personne avec cet nom.
Vieille: Quel garçon? Madame Carine vit seule parce que son époux est parti à la mer, aves du
travail, et leur fils est parti à Versailles, au collège. (pensant un peu) Aaa, oui…il est le serviteur
de la dame.
(Le monsieur a hoché la tete.)
Vieille (vers lui): Comprends-tu, mon fils?
François: Oui… merci beaucoup pour l’aide, la tante.
Le monsieur part, monte en voiture à cheval et fait un signe au cocher pour se mettre en
route. Après quelque minutes, ils sont arrivé devant la maison… le monsieur descend.
Dérangée de l’aventure son mari, Madame Carine commence jeter des objets à
travers la maison et lui brule toutes les vetements. Effrayé par les manifestations de dame,
François se dirige lentement vers la porte, se rendant invisible. Il a juré ne revenir jamais.