Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
Terminale S
Corrigés des exercices
Rédaction :
Jean-Paul Busnel
Philippe Briand
Guy Le Parc
Coordination :
Jean Bousquet
Jean-Michel Le Laouénan
Ce cours est la propriété du Cned. Les images et textes intégrés à ce cours sont la propriété de leurs auteurs et/ou ayants droit
respectifs. Tous ces éléments font l’objet d’une protection par les dispositions du code français de la propriété intellectuelle ainsi que
par les conventions internationales en vigueur. Ces contenus ne peuvent être utilisés qu’à des fins strictement personnelles. Toute
reproduction, utilisation collective à quelque titre que ce soit, tout usage commercial, ou toute mise à disposition de tiers d’un cours
ou d’une œuvre intégrée à ceux-ci sont strictement interdits.
©Cned-2009
À retenir : lorsqu’un objet est infiniment éloigné, son image se trouve dans le plan focal image.
À retenir : lorsqu’un objet est infiniment éloigné, son image se trouve dans le plan focal.
1 1 1 OA′
Formule de conjugaison : --------- – ------- = --- ; grandissement γ = --------- .
OA′ OA f′ OA
Premier cas : f′ = 0 ,12 m et OA = – 0 ,36 m , on obtient OA′ = 0 ,18 m et γ = – 0 ,5 (l’image
est renversée, deux fois plus petite que l’objet).
Second cas : f′ = 0 ,12 m et OA = – 0 ,24 m , on obtient OA′ = 0 ,24 m et γ = – 1 (l’image est
renversée, de même taille que l’objet).
Exercice
Œil réduit
Lorsque l’œil normal est au repos, l’image d’un objet très éloigné est nette. Comme l’image d’un
objet très éloigné se forme dans le plan focal image, on en déduit que la distance focale du cristallin
est égale à la distance entre le cristallin et la rétine, soit f′ = 15 ,0 mm .
1
Vergence V = --- = 66 ,7 δ .
f′
A'
S
A C F
B'
L’image A′B′ se forme à une distance du miroir triple de la distance focale, elle est inversée, deux
fois plus grande que l’objet : γ = – 2 .
L’image A′B′ se forme à une distance de la lentille égale à la moitié de la distance focale, elle est
deux fois plus petite que l’objet et dans le même sens que lui : γ = 0 ,5 .
Premier cas Deuxième cas
B
B
A'
A S
C A F
A' C F S
B' B'
Troisième cas
B
B'
S
C F A' A
Exercice Rétroviseur
L’image est de même sens que l’objet (heureusement puisqu’il s’agit d’un rétroviseur), elle est plus
petite que l’objet et située derrière le miroir.
Sens de parcours de
la lumière
B'
A A' F C
Travaux pratiques 1
A. Préparation
a) Que se passe-t-il lorsqu’on chauffe fort et longtemps de l’eau ?
II y a ébullition de l’eau : passage de l’état liquide à l’état gazeux (vapeur d’eau).
b) Quelle technique permet alors de la récupérer ?
Pour récupérer l’eau il suffit de la condenser par refroidissement.
c) Quel montage vu en Classe de Seconde peut-on utiliser pour effectuer une extraction par la vapeur
d’eau ?
Le montage est l’hydrodistillation.
d) Que signifie le terme « volatil » qui qualifie l’eugénol ?
L’eugénol s’évapore facilement.
e) Que pourrons-nous observer lorsque l’eugénol se trouvera en présence d’eau ?
2 phases distinctes car les 2 liquides sont non miscibles.
eau (salée)
dichlorométhane
bécher
D. Conclusion
L‘eugénol a été extrait du clou de girofle par hydrodistillation, puis par décantation.
Dépôt A B C D
Valeur du RF 18 11 17 ,5
----- = 0 ,45 ----- = 0 ,26 ---------- = 0 ,44 0,26 et 0,46
40 40 40
Conclusions
• L’aspartame a bien été hydrolysé : en effet, les chromatogrammes C et D présentent, après la
révélation, un aspect totalement différent.
• Les produits d’hydrolyse de l’aspartame sont la phénylalanine et l’acide aspartique : les chromato-
grammes A et B, additionnés, donnent bien le chromatogramme D.
Travaux pratiques 3
m alcool 2 ,5
n alcool = --------------- = -------- = 2 ,31 ⋅ 10 – 2 mol
n alcool 108
Il se produit une réaction acido-basique entre l’acide chlorhydrique et l’ion carbonate, qui provo-
que la formation de dioxyde de carbone gazeux.
2H 3 O + + CO 32– = CO 2 + 3H 2 O
Les ions sulfite permettent de faire « disparaître » le dioxyde de manganèse par une réaction
d’oxydoréduction.
Équilibre de dissociation de l’acide benzoïque :
C 6 H 5 COOH + H 2 O = C 6 H 5 COO – + H 3 O +
Le fait de placer l’acide benzoïque en milieu acide, provoque un excès d’ions H 3 O + donc déplace
l’équilibre ci-dessus dans le sens droite-gauche par consommation des ions benzoate solubles dans
l’eau.
Le carbonate de calcium permet de placer le mélange réactionnel en milieu basique. En effet, les
ions carbonate CO 32– sont dotés de propriétés basiques dans l’eau :
CO 32– + H 2 O = HCO 3– + OH –
On peut régler l’étuve sur 100 ˚C, car la température de fusion de l’acide est de 122 ˚C (attention
de bien essorer les cristaux avant de les placer à l’étuve).
L’oxydation de l’alcool benzylique se fait en 2 étapes : en effet l’alcool benzylique est un alcool
primaire : son oxydation va donc donner, dans un premier temps, l’aldéhyde correspondant (benzaldéhyde :
C 6 H 5 –CHO) puis par oxydation de l’aldéhyde, on obtiendra l’acide benzoïque C 6 H 5 COOH .
a) Dans la phase organique inférieure car de densité la plus élevée, se trouve l’estragon dissous
dans le dichlorométhane ; tandis que la phase supérieure est la phase aqueuse.
b) Étant donné la grande volatilité du dichlorométhane, il est conseillé d’ouvrir le robinet de l’ampoule
(en la plaçant à l’envers) à décanter au cours de l’agitation de manière à éviter les surpressions.
[C6H5COOH] = [C6H5COO-]
C6H5COOH prédomine C6H5COO- prédomine
pKA = 4,2 pH
Pour obtenir une solution homogène il faut se placer dans le domaine de prédominance de l’ion ben-
zoate car sa solubilité dans l’eau est beaucoup plus grande que celle de l’acide. Le pH du milieu doit
donc être supérieur à 4,2.
b) en versant quelques gouttes d’acide chlorhydrique, on diminue le pH de la solution et on passe
dans le domaine de prédominance de l’acide benzoïque d’où l’apparition d’un précipité blanc d’acide
benzoïque.
a) L’axe de pH :
pH
OH – 14 ,0 H2 O
SO 32– 7 ,2 HSO 3–
HSO 3– 1 ,8 H 2 SO 3
H2 O 0 ,0 H3 O +
On voit que la base SO 32– peut réagir avec les acides de plus faible pK A : H 2 SO 3 d’une part et
H 3 O + d’autre part.
b) La réaction d’oxydoréduction aura comme équation :
MnO 2 + SO 32– + 2H + = Mn 2+ + SO 42– + H 2 O
a) L’alcool benzylique est un alcool du type R–CH 2 OH : alcool primaire.
b) Le nom du corps de formule C 6 H 5 COOH est l’acide benzoïque.
c) L’équation de la réaction est :
4MnO 4– + 3C 6 H 5 CH 2 OH = 4MnO 2 + OH – + 3C 6 H 5 COO – + 4H 2 O
Deuxième partie
Il se forme un précipité brun de dioxyde de manganèse MnO 2 .
L’apparition du précipité blanc est due à la formation d’acide benzoïque en milieu acide.
Le rôle de la glace est de refroidir le système et favoriser la précipitation par diminution de la solubi-
lité de l’acide.
Troisième partie
Calculons les quantités de matière d’alcool et d’ions permanganate mis en présence :
m MnO –
5 ,0
n MnO – = ---------------4- = -------- = 3 ,16 ⋅ 10 – 2 mol
4 n MnO – 158
4
m alcool 2 ,5
n alcool = --------------- = -------- = 2 ,31 ⋅ 10 – 2 mol
n alcool 108
3 ,16 ⋅ 10 – 2
à partir de MnO 4– : X max = -------------------------- = 7 ,9 ⋅ 10 – 3 mol
4
2 ,31 ⋅ 10 – 2
à partir de l’alcool : X max = -------------------------- = 7 ,7 ⋅ 10 – 3 mol
3
Le réactif limitant est l’alcool.
La vérification de la formation de l’acide peut se faire par la prise du point de fusion au banc Kofler
du produit pur et sec obtenu.
F2 F'2
O1 F'1 O2 F'
P
L1 L2
0 ,1 ⋅ 10 – 3
Activité Diamètre apparent de l’objet vu à l’œil nu (à une distance de 25 cm) : α = ----------------------- = 4 ,0 ⋅ 10 – 4 rad .
0 ,25
Grossissement du microscope : G = 50 × 10 = 500 .
Diamètre apparent de l’objet observé au microscope : 500 × 4 ,0 ⋅ 10 – 4 = 0 ,20 rad .
objectif
Activité La distance focale de la première lentille vaut le double de la distance focale de la deuxième lentille,
donc G = 2 .
L’angle α 1 sous lequel l’étoile est vue à l’œil nu mesure 13˚, l’angle sous lequel on la voit à travers la
lunette vaut 26˚ (les angles sont, bien entendu mesurés avec un rapporteur). On retrouve G = 2 .
Remarque : un tel grossissement est tout à fait insuffisant pour une lunette astronomique.
objectif oculaire
F' = F
α1 = 13° 1 2 α2 = 26°
Activité
L’étoile étant à l’infini, son image B 1 par le
miroir sphérique se forme dans le plan focal de
celui-ci. On en déduit la position du foyer F 1 du
miroir sphérique sachant qu’il est situé sur son
axe optique.
L’image définitive se formant à l’infini, le point F1
B 2 se situe dans le plan focal objet de la lentille.
On en déduit la position du foyer objet F 2 de la
lentille sachant qu’il est situé sur son axe optique.
B1
objectif
B2 F2
oculaire
Activité
miroir sphérique miroir plan lentille convergente
Avec f 1′ = 30 cm et O 1 F 2 = 10 cm , on obtient : O 1 F = 15 cm .
L’objet étant placé au foyer objet de la loupe, son image se forme à l’infini. Diamètre apparent lors
AB 0 ,1 ⋅ 10 – 3
de l’observation à la loupe : β ≈ ------ = ----------------------- = 2 ,0 ⋅ 10 – 3 rad .
f′ 0 ,05
Diamètre apparent lors de l’observation au microscope : α′ = Gα = 0 ,2 rad .
r O 2 A′ O 2 A′ f 2′
γ 2 = --- = γ 2 ; or γ 2 = -----------
- = ----------- , donc r = ------------- R .
R O2 O1 D D – f 2′
Tous les rayons lumineux, émis par l’objet et arrivant sur la première lentille, passent par le cercle
oculaire. Il faut donc mettre l’œil au niveau du cercle oculaire pour recevoir un maximum de lumière.
Applications numériques :
a) microscope : d = 2 ,2 mm ;
b) lunette astronomique : d = 0 ,4 mm .
c) Dans les deux cas, la distance d est petite par rapport à f 2′ : le cercle oculaire se forme pratique-
ment au niveau du foyer image de la seconde lentille.
Microscope : r = 2 ,2 mm ; lunette astronomique : r = 0 ,40 mm .
(ces valeurs sont comparables au rayon de la pupille de l’œil qui vaut environ 1,5 mm)
B sens positif
A1
O1 O2
A observateur
objectif oculaire
B1
α O1 F'1 = F2 O2 α'
α α'
B1
L’objectif donne de l’étoile (objet à l’infini) une image intermédiaire B 1 située dans le plan focal
image de l’objectif.
Le plan focal image de l’objectif étant confondu avec le plan focal image de l’oculaire, l’image défini-
tive se forme à l’infini dans la direction O 2 B 1 représentée en pointillés noirs sur le schéma.
Le grossissement G de la lunette est égal, en valeur absolue, au rapport de l’angle α′ sous lequel
on voit l’étoile à travers la lunette sur l’angle α sous lequel on la voit à l’œil nu.
F 1′ B 1 F2 B1
Or, tan α ≈ α = ----------- et tan α′ ≈ α′ = ----------- .
O 1 F 1′ O2 F2
α′ O 1 F 1′ f 1′
Les points F 1′ et F 2 sont confondus, donc G = ----- = ----------- = ---- = 100 .
α O2 F2 f2
a) Lorsqu’on observe à l’œil nu, les étoiles semblent plus proches et la constellation est inversée
par rapport à l’observation à la lunette (puisque celle-ci donne une image définitive renversée par
rapport à l’objet).
b) L’image définitive donnée par la lunette étant inversée, il faut, pour amener l’étoile rouge (qui est
maintenant grise) dans l’axe de la lunette, faire pivoter la lunette dans le sens inverse des aiguilles
d’une montre (l’objectif se déplaçant alors vers la gauche).
sens du déplacement
sens du déplacement
Exercice
Télescope de Newton
L’étoile étant infiniment éloignée, son image B 1 se forme dans le plan focal du miroir sphérique.
Le foyer F du miroir se trouve donc au niveau de B 1 sur l’axe optique, ce point F est noté A 1 sur le
schéma : c’est en ce point que se formerait l’image d’une étoile située dans la direction de l’axe opti-
que du miroir.
Sur le schéma, la distance entre S et F vaut 5 cm, ce qui correspond à une distance réelle de 50 cm.
Distance focale du miroir sphérique : f M = SF = – 50 cm .
L’image B 2 donnée par le miroir plan est symétrique de B 1 par rapport au plan de ce miroir.
(L’image d’une étoile située dans la direction de l’axe optique du miroir sphérique se formerait en A 2
sur l’axe optique de la lentille).
Pour une observation sans fatigue, l’image intermédiaire B 2 doit se trouver dans le plan focal
objet de la lentille qui en donnera une image définitive à l’infini, le point A 2 est donc le foyer objet de
la lentille.
L’angle α′ sous lequel on voit à travers la lentille un objet A 2 B 2 situé dans son plan focal objet,
A2 B2
vaut α′ = ------------ , or A 2 B 2 = A 1 B 1 = f M tan α ≈ f M ⋅ α (avec α = 8 ,7 ⋅ 10 – 2 rad ).
f′
α′ fM
On en déduit : G = ----- = ----- (relation semblable à celle obtenue pour la lunette astronomique).
α f′
Application numérique : G = 50
A1
S
B1
B2 A2
Travaux pratiques 4
m phyd 10 ,9
n phydroxy = --------------- = ---------------- = 0 ,10 mol
M phydr 109 ,13
Travaux pratiques 5
L’équation de la réaction :
nCl–C ( O )– ( CH 2 ) 4 –C ( O )–Cl + nH 2 N– ( CH 2 ) 6 –NH 2
= [ –C ( O )– ( CH 2 ) 4 –C ( O )–NH– ( CH 2 ) 6 –NH– ] + 2nHCl
n
Le polyamide formé est appelé « nylon 6-6 » car il est constitué d’un « motif » comportant
6 atomes de carbone séparé de 6 autres atomes de carbone par un groupement NH.
L’acide s’appelle l’acide adipique de formule : HO 2 C– ( CH 2 ) 4 –CO 2 H .
m 1
Calculons la quantité d’hexaméthylène : n 0 = ---- = -------- = 8 ,6 ⋅ 10 – 3 mol
M 116
m ρ×V 1 ,12 × 1
Et la quantité de chlorure d’adipyle : n 0′ = ---- = ------------ = ------------------- = 6 ,1 ⋅ 10 – 3 mol
M M 183
D’après la loi de conservation des masses, la masse de polyamide obtenu est égale à la somme des
masses des réactifs ayant réagi moins la masse de chlorure d’hydrogène formé :
Donc, le réactif limitant étant le chlorure d’adipyle, il se forme 2 × 6 ,1 ⋅ 10 – 3 mol de HCl soit :
m′ = 2 × 6 ,1 ⋅ 10 – 3 × 36 ,5 = 445 mg ;
D’où la masse m de nylon formé : m = ( 6 ,1 ⋅ 10 – 3 × 183 + 6 ,1 ⋅ 10 – 3 × 116 ) – 0 ,445 = 1 ,38 g .
Bécher no 1 2 3 4 5 6 7 8
Le graphe A = f ( C ) :
A(103 S.I.)
0,700
0,600
0,500
0,400
0,300
0,200
0,100
À partir de cette courbe, on détermine l’abscisse du point de la droite d’ordonnée 0,457 ou on uti-
lise l’équation de modélisation : A = 0 ,191 4 × C + 0 ,035 .
On obtient alors la valeur de C = 2 ,2 mg ⋅ L – 1 .
Il s’agit de la concentration en fer du vin blanc dilué (10 mL de vin pour un volume total de 40 mL,
soit un facteur de dilution de 4), donc la valeur de la concentration en fer est :
2 ,2 × 4 = 8 ,8 mg ⋅ L – 1.
Cette valeur est inférieure à 10 mg ⋅ L – 1 donc le phénomène de casse ferrique ne se produit pas.
S 4 O 62– + 2e – = 2S 2 O 32– ( 2 )
C 6 H 6 O 6 + 2H + + 2e – = C 6 H 8 O 6 ( 3 )
a) ( 1 ) + ( 3 ) donnent :
C 6 H 8 O 6 + I 2 = C 6 H 6 O 6 + 2H + + 2I – ( 4 )
b) ( 1 ) + ( 2 ) donnent :
2S 2 O 32– + I 2 = S 4 O 62– + 2I – ( 5 )
D’après l’équation ( 5 ) , la relation entre quantités de matière est :
2 × n I = n S O 2– équivalence
2 2 3
C′ × V eq ′ 5 ⋅ 10 – 3 × 20 ⋅ 10 – 3
2 × [ I 2 ] × V 0 = C′ × V eq
′ d’où : [ I 2 ] = --------------------- = ----------------------------------------------- = 5 ⋅ 10 – 3 mol ⋅ L – 1
2 × V0 2 × 10 ⋅ 10 – 3
D’après l’équation ( 4 ) , la relation entre quantités de matière est :
n acide du jus = n I ayant réagi
2
La quantité de matière de I 2 restant étant dosée par le thiosulfate, soit, à l’équivalence du dosage
(équation ( 2 ) ) : n S O = 2 ⋅ n I soit :
2 3 2
nS O C′V′ 5 ⋅ 10 – 3 × 10 ,85 ⋅ 10 – 3
2 3
- = ---------- = ------------------------------------------------------- = 2 ,7 ⋅ 10 – 5 mol
n I restant = -----------
2 2 2 2
Ce qui nous permet de calculer :
n I réagi avec la vitamine C = C 0 × V 0 – n I restant = 10 ⋅ 10 – 3 × 5 ⋅ 10 – 3 – 2 ,7 ⋅ 10 – 5
2 2
5
Erlenmeyer
Pipette jaugée
Burette graduée
Calculons tout d’abord la quantité de matière de thiosulfate de sodium contenue dans la solution
désirée. Cela nous permettra d’en déduire la masse correspondante.
n′ = C′ × V 0′ = 5 ⋅ 10 – 3 × 1 = 5 ⋅ 10 – 3 mol
or : M Na S O 5H O = 248 g ⋅ mol – 1
2 2 3 2
corde de guitare
fil : la paume de la main est tournée dans le sens de B (sens Sud-Nord d’une aiguille aimantée placée
entre les branches de l’aimant en U), le courant sort par les doigts ; le pouce écarté donne le sens de
F (voir schéma) ;
valeur : F = i ( t )B sin α où α est l’angle formé par les directions du conducteur et du champ
magnétique.
La valeur de F est maximale lorsque α = 90° ( B orthogonal à la position rectiligne de circuit) ;
dans ce cas : F = i ( t )B .
La force de Laplace est proportionnelle à l’intensité du courant (le champ magnétique est constant) ;
la force exercée est donc sinusoïdale de même fréquence que l’intensité du courant.
Le fil vibre.
Activité La fréquence des modes propres est quantifiée : ν 2 = 2ν 0 , ν 3 = 3ν 0 .
ν
On doit donc avoir : ----3- = 1 ,5 ce qui est vérifié.
ν2
Les fréquences suivantes seront égales à : ν n = nν 0 où n est un entier.
Activité Longueur du tuba > longueur du saxophone > longueur du fifre → Plus la longueur est élevée et
plus l’instrument est grave.
Activité Pour un même instrument, le son émis peut être rendu plus aigu en raccourcissant la longueur du
tube, donc schématiquement en débouchant quelques trous.
Activité
On peut constater :
– l’existence de points immobiles à tout instant ( N 1 , N 2 , N 3 ) ;
– l’existence de points vibrant avec une très grande amplitude (A par exemple) ;
– l’absence de propagation : les points de la corde compris entre N 1 et N 2 vibrent en phase ; les
points de la corde compris entre N 2 , N 3 en opposition de phase par rapport à ceux compris entre N1
et N2.
Nous sommes en présence d’une onde stationnaire.
Activité L’expression de la fréquence ν 0 du mode fondamental en fonction de la longueur de la corde, de la
tension de la corde et de la masse linéique de la corde s’obtient en écrivant que :
1 v F
ν 0 = -- = ----- avec v = --- .
T 2L μ
1 F
ν 0 = ----- ---
2L μ
Activité
La vitesse v de propagation d’une onde sur cette corde s’obtient en utilisant :
v
ν 0 = ----- ⇒ v = 2Lν 0 .
2L
Application numérique : v = 24 m ⋅ s – 1 .
a) La valeur F de la tension de la corde est égale à la force exercée par la masse sur la corde c’est-
à-dire au poids de la masse puisque la masse est à l’équilibre.
T = Mg → Application numérique : T = 0 ,245 N .
F F
b) Masse linéique de la corde : v = --- → μ = ----- .
μ v2
Application numérique : μ = 0 ,42 ⋅ 10 – 3 Kg ⋅ m – 1.
v
Activité Le mode fondamental de vibrations d’une colonne d’air a pour fréquence : ν 0 = ----- .
4L
Application numérique : ν 0 = 440 Hz .
On retrouve bien la fréquence du « la » ; la caisse du diapason est bien une caisse de résonance.
Le son émis par le haut-parleur est le plus aigu pour l’oscillogramme du milieu ; la fréquence est la
plus élevée (4 000 Hz).
Activité L’intervalle exprimé en savart est donné par :
⎛ f la ⎞ 440
ΔH = 1 000 ⋅ log ⎜ -------3⎟ ⇒ Δ H = 1 000 ⋅ log ⎛ --------⎞ = 175 ⇒ Δ H = 175 .
f
⎝ ré 3⎠ ⎝ 294⎠
N2
Activité Note de fréquence 370 Hz : ΔH = 1 000 ⋅ log ------ ⇒ Δ H = 75 ; cette note est trois demi-tons
N1
en-dessous dans la gamme tempérée (fa #).
La note la 2 est une octave au-dessous de la note la 3 : sa fréquence est :
440
-------- = 220 ⇒ N la = 220 Hz .
2 2
La note la 4 est une octave au-dessus du la 3 : sa fréquence est 440 × 2 = 880 ⇒ N la = 880 Hz
4
Calculons, d’octave en octave, les fréquences des « la » successifs :
N la 440 220
N la = ---------3 = -------- = 220 Hz : N la = -------- = 110 Hz ;
2 2 2 1 2
110 55
N la = -------- = 55 Hz ; N la = ----- = 27 ,5 Hz ;
0 2 –1 2
N la = 2N la = 880 Hz : N la = 2N la = 1 760 Hz ; N la = 2N la = 3 520 Hz .
4 3 5 4 6 5
Exercice Fuseaux
Exercice Guitare
Le son sera plus aigu si la fréquence est plus grande ; comme les fréquences propres sont proportion-
nv F
nelles à la célérité v : ν n = ----- et que la célérité augmente avec la tension de la corde v = --- , il
2L μ
faut donc augmenter la tension de la corde.
Exercice Contrebasse
Un contrebassiste veut accorder son instrument : une corde, de longueur 80 cm, doit émettre le la 2
(fréquence 220 Hz). La masse linéique de la corde est de 5 g/m.
F
La tension F s’exprime en fonction de la célérité des ondes : v = --- → F = μv 2 .
μ
v
D’autre part, la fréquence du mode fondamental est égale à : ν 0 = ----- → F = μv 2 = 4μL 2 ν 02 .
2L
Application numérique : F = 620 N .
ré b mi b sol b la b si b
N la 5
-----
Fréquence du mi 1 : ---------1- = 2 12 → fréquence du mi1 = 82 ,4 Hz .
N mi
1
N la 7
-----
Fréquence du ré 2 : ---------2 = 2 12 → fréquence du ré2 = 146 ,8 Hz .
N ré
2
Exercice
Spectre de fréquences
L’analyse spectrale d’un son permet d’obtenir le diagramme suivant :
a) Ce son est simple car il n’y a pas d’autre harmonique que le fondamental.
b) La fréquence du son étudié est : 660 Hz.
Calcul de l’intervalle entre les sons de fréquence N = 660 Hz et N ( la 3 ) = N 3 = 440 Hz :
N
ΔH = 1 000 log ------ = 176 .
N3
En gamme tempérée un intervalle de un demi-ton correspond à 25 ∇.
La note la plus proche en gamme tempérée est donc la note mi 4 située à 7 demi-tons au-dessus du
la 3 .
1 F
N = ----- --- . Application numérique : L = 0,304 m = 30,4 cm .
2L μ
1 : a : Fondamental : N V N
b : Harmonique de rang 2 : N V N V N
c : Harmonique de rang 3 : N V N V N V N
λ v kv
Dans le cas général : L = k --- (k entier) ⇒ λ = vT = --- ⇒ L = ------ .
2 N 2N
Pour le fondamental, k = 1 donc : N A ≈ 243 Hz .
V N
λ c
L = --- = ------ ; application numérique : L = 0 ,26 m .
4 4N
c) Dans la gamme tempérée l’intervalle entre la note de fréquence 330 Hz et le la 3 est :
440 125
ΔH = 1 000 ⋅ log -------- = 125 → Δ H = -------- = 5 demi-tons.
330 25
La note est mi 3 qui est 5 demi-tons au-dessous de la note la 3 .
I2 P2
L’intensité sonore et la puissance sonore reçues étant proportionnelles on a : --- = ----- = 100 .
I1 P1
Les puissances sont inversement proportionnelles aux carrés des distances :
P2 d 12 d2
----- = ----- = 100 ⇒ ----- = 100 = 10 ⇒ d 2 = 10d 1 .
P1 d2 2 d1
Application numérique : d 2 = 10 m .
Travaux pratiques 8
Exploitation des résultats
L’équation de la réaction de dosage
HCO 3– + H 3 O + → CO 2 + 2H 2 O .
Le graphe pH = f ( V A ) :
[ H 3 O + ] × V Aeq 0 ,02 × 13 ,5 ⋅ 10 – 3
d’où : [ HCO 3– ] = ----------------------------------- = ------------------------------------------- = 5 ,40 ⋅ 10 – 3 mol ⋅ L – 1 .
V eau 50 ,0 ⋅ 10 – 3
Cherchons l’erreur que peut provoquer sur le résultat, le volume d’une goutte : ΔV = 0 ,05 mL
[ H 3 O + ] × ΔV Aeq 0 ,02 × 0 ,05 ⋅ 10 – 3
ΔC = --------------------------------------- = ------------------------------------------- = 2 ⋅ 10 – 5 mol ⋅ L – 1 soit 1 ,2 mg ⋅ L – 1 .
V eau 50 ,0 ⋅ 10 – 3
La valeur donnée sur l’étiquette est une valeur moyenne ce qui peut expliquer l’écart entre la valeur
expérimentale de la concentration en ions hydrogénocarbonate et la valeur sur l’étiquette.
Questions
Quelle verrerie utiliser pour :
Mesurer un volume de 50,0 mL d’eau : une fiole jaugée de 50,0 mL.
Ajouter l’acide chlorhydrique : burette graduée de 25,0 mL.
Le domaine de prédominance des ions carbonate :
CO2, H2O prédomine HCO3– CO2–
3 prédomine
6,4 10,2 pH
On peut considérer la quantité d’ions CO 32– négligeable devant celle des ions HCO 3– pour :
[ HCO 3– ]
------------------ > 100 soit pour pH ≤ pK A2 – 2 = 10 ,2 – 2 donc pour pH ≤ 8 ,2 .
[ CO 32– ]
Travaux pratiques 9
Il faut donc peser une masse
m = n × M = C × V × M = 0 ,1 × 50 ⋅ 10 – 3 × 169 ,87 = 0 ,849 35 g d’ AgNO 3 .
On dilue ensuite avec de l’eau distillée pour obtenir 50 mL de solution.
σ
La relation entre conductance G et conductivité σ est : σ = G × k cel d’où : k cel = --- = 98 m – 1
G
environ.
L’équation de la réaction est : Cl – + Ag + → AgCl .
Le produit formé est du chlorure d’argent de formule AgCl ; il s’agit d’un solide non dissous dans
l’eau, donc non conducteur. Il n’a pas d’influence sur la valeur de la conductivité de la solution.
La courbe est constituée de 2 segments de droite. Le volume de nitrate d’argent versé à l’équiva-
lence V eq correspond à l’abscisse du point d’intersection entre ces segments, soit : V eq = 9 ,5 mL .
À l’équivalence : n Cl – = n Ag + soit : [ Cl – ] ⋅ V eau = [ Ag + ] ⋅ V eq , ce qui donne :
[ Ag + ] ⋅ V eq 0 ,1 × 9 ,5
[ Cl – ] = --------------------------- = --------------------- = 0 ,009 5 mol ⋅ L – 1
V eau 100
Travaux pratiques 10
Question Plus une eau est dure, plus elle contient d’ions calcium et magnésium, donc plus il sera difficile de la
faire mousser ; ce qui donne le classement des eaux par dureté croissante : Volvic, Evian et Vittel.
Question Le changement de couleur du mélange ne se fait correctement qu’en milieu basique (pH 10) ; en effet,
les ions complexes CaY 2– formés par les ions calcium et l’EDTA ne sont stables qu’à ce pH.
Exercice L’acide citrique dans une eau minérale naturelle aux extraits de citron
Étude théorique de la réaction entre une solution d’acide citrique et une solu-
tion de soude
1 a) n a = C a × V a = 1 ,0 ⋅ 10 – 2 × 25 ⋅ 10 – 3 = 2 ,5 ⋅ 10 – 4 mol .
b) n be = C b × V bE = 6 ,0 ⋅ 10 – 2 × 12 ,5 ⋅ 10 – 3 = 7 ,5 ⋅ 10 – 4 mol .
c) À l’équivalence acido-basique les réactifs sont mis dans les proportions stœchiométriques.
d) H 3 A + 3OH – → A 3– + 3H 2 O .
2 pK a1 : H 3 A ⁄ H 2 A – pK a2 : H 2 A – ⁄ HA 2– pK a3 : HA 2– ⁄ A 3– .
3 a) La courbe ( 1 ) décroît donc il s’agit de H 3 A .
La courbe ( 2 ) croît lorsque ( 1 ) décroît donc H 2 A – .
La courbe ( 3 ) : HA 2– .
La courbe ( 4 ) : A 3– .
b) À V b = 0 : H 3 A et H 2 A – sont prédominants : H 3 A + OH → H 2 A – + H 2 O .
c) Lorsque %H 3 A = %H 2 A – , V b = 2 ,0 mL d’après la figure 2, donc le pH est environ de 3,0
d’après la figure 1. Ceci était prévisible car, à ce moment, pH = pK a1 = 3 ,1 .
1 ⋅ 10 – 3 5 ⋅ 10 – 3
[ K + ] = ------------------- = 0 ,026 ⋅ 10 – 3 mol ⋅ L – 1 [ Na + ] = ------------------- = 0 ,22 ⋅ 10 – 3 mol ⋅ L – 1 .
39 23
Une eau est dite « dure » lorsque son titre hydrotimétrique dépasse 30 ˚TH.
1 ° TH = 1 ⋅ 10 – 4 mol ⋅ L – 1 d’ions calcium et magnésium.
Or : [ Ca 2+ ] + [ Mg 2+ ] = 2 ,95 ⋅ 10 – 3 mol ⋅ L – 1 , donc : cette eau est à 29,5 ˚TH.
Dans la 2ème étape, on a précipité tous les ions Ca 2+ ; reste donc en solution les ions Mg 2+
dosés par l’EDTA.
2ème étape : n EDTA = 1 ,25 ⋅ 10 – 3 × 0 ,01 = 1 ,25 ⋅ 10 – 5 mol ; or :
1 ,25 ⋅ 10 – 5
n EDTA = n Mg 2+ = 1 ,25 ⋅ 10 – 5 mol , donc : [ Mg 2+ ] = -------------------------- = 2 ,5 ⋅ 10 – 4 mol ⋅ L – 1 .
50 ⋅ 10 – 3
1ère étape : n EDTA = 14 ⋅ 10 – 3 × 0 ,01 = 14 ⋅ 10 – 5 mol nécessaire pour doser tous les ions calcium
et magnésium, donc seul : 14 ⋅ 10 – 5 – 1 ,25 ⋅ 10 – 5 = 12 ,75 ⋅ 10 – 5 mol d’EDTA ont été nécessaire
12 ,75 ⋅ 10 – 5
pour doser les ions calcium, soit : [ Ca 2+ ] = ----------------------------- = 25 ,5 ⋅ 10 – 4 mol ⋅ L – 1.
50 ⋅ 10 – 3
La dureté totale est : [ Ca 2+ ] + [ Mg 2+ ] = 27 ,5 ⋅ 10 – 4 mol ⋅ L – 1 , donc : cette eau est à
27,5 °TH.
Ions Ag + NO 3– K+ Cl –
Ions Ag + NO 3– K+ Cl –
C′ ⋅ V′ C⋅V C ⋅ V – C′ ⋅ V′
lorsque Ag (+aq ) est le réactif limitant 0 -------------- -------------- -------------------------------
V + V′ V + V′ V + V′
C′ ⋅ V′ – C ⋅ V C′ ⋅ V′ C⋅V
lorsque Cl (–aq ) est le réactif limitant ------------------------------- -------------- -------------- 0
V + V′ V + V′ V + V′
[ λ NO – ⋅ ( C′ ⋅ V′ ) + λ K + ⋅ ( C ⋅ V ) + λ Cl – ⋅ ( C ⋅ V – C′ ⋅ V′ ) ]
G ⋅ ( V + V′ ) = ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
3
-.
k
[ C′ ⋅ V′ ⋅ ( λ NO – – λ Cl – ) + C ⋅ V ⋅ ( λ K + + λ Cl – ) ]
Soit : G ⋅ ( V + V′ ) = ----------------------------------------------------------------------------------------------------------
3
-.
k
( λ NO – – λ Cl – ) ⋅ C′
La fonction : G = f ( V′ ) est une droite croissante car son coefficient directeur : -----------------------------------------
3
-
k
est négatif ( λ NO – < λ Cl – ) .
3
support / signal
Activité Il est nécessaire d’utiliser une antenne extérieure dans les automobiles pour capter les ondes utilisées
en radio parce que la carcasse métallique de l’automobile joue le rôle de miroir pour les ondes hert-
ziennes.
Activité La longueur L de l’antenne d’émission doit au minimum avoir une longueur égale au quart de la lon-
λ
gueur d’onde de l’onde émise : L = --- . La longueur d’onde est reliée à la fréquence :
4
c c
λ = - → L = ---- .
f 4f
Calculer la longueur L que devraient avoir les antennes d’émission pour diffuser :
a) Pour une fréquence sonore de 500 Hz : L = 150 000 m soit 150 km ce qui est impossible à
réaliser ;
b) Pour un signal de fréquence 500 kHz : L = 150 m .
Activité L’amplitude est égale à : 0,4 V.
La période est égale à : 2 ms soit une fréquence égale à 500 Hz.
Activité Les tensions u S ( t ) et v ( t ) sont sinusoïdales de valeurs moyennes nulles ; les signaux 2 et 3 con-
viennent.
Le signal u S ( t ) a une fréquence plus basse que le signal v ( t ) ; sa période est donc plus grande ; il
correspond donc au signal 2.
Le signal 4 correspond à la somme d’une tension sinusoïdale et d’une tension continue ; il s’agit donc
de u ( t ) .
Le signal 1 correspond au signal modulé U m ( t ) .
L–
m = ----------- = 0 ,51 .
L+
Activité Pour le signal à transmettre de 100 Hz, l’intervalle à couvrir sera [ 399 ,9 ; 400 ,1 ] kHz .
Pour le signal à transmettre de 5 kHz, l’intervalle à couvrir sera [ 395 ,0 ; 405 ,0 ] kHz .
Outre la porteuse, ce spectre comporte deux bandes latérales : [ 395 ; 399 ,9 ] kHz et
[ 400 ,1 ; 405 ] kHz .
Activité
K 1 et K 2 sont ouverts ;
Enregistrement n° 4
le système d’acquisition est relié aux points S et M
K 1 et K 2 sont fermés ;
Enregistrement n° 2
l’oscilloscope est relié aux points D et M
Activité France-inter : 162 kHz ; Europe 1 : 182 kHz ; RTL : 236 kHz.
c
λ = - → France-inter : 1 852 m ; Europe 1 : 1 648 m ; RTL : 1 271 m.
f
1
La fréquence de cet oscillateur s’exprime par : f 0 = ----------------- → L’inductance de la bobine permet-
2π LC
1
tant de capter la BBC vaut donc : L = ----------------- = 0 ,65 mH .
4π 2 Cf 02
U max – U min 1 ,4 – 0 , 6
m = ---------------------------- = --------------------- = 0 ,4 .
U max + U min 1 ,4 + 0 ,6
Exercice
Récepteur radio
Analyse du récepteur
Les 4 sous-ensembles sont les suivants :
a) Démodulateur : partie 3.
b) Amplificateur du signal modulé : partie 2.
c) Amplificateur du signal modulant : partie 4.
d) Circuit oscillant accordé sur la fréquence f, telle que 4π 2 f 2 LC = 1 : partie 1.
La gamme d’ondes
1
La fréquence de l’oscillateur s’exprime par : f 0 = ----------------- → La capacité du condensateur permet-
2π LC
1
tant de capter une fréquence donnée vaut donc : C = ---------------- soit 0 ,32 nF < C < 1 ,13 nF .
4π 2 Lf 02
Étude des tensions
a) u AM correspond à la tension du document V ; c’est le signal modulé qui n’a pas encore été ampli-
fié.
b) La tension modulante a une période correspondant à :
T′ = 8 × 0 ,2 = 1 ,6 ms → f ′ = 625 Hz .
c) u BM correspond à la tension du document I ; c’est le signal modulé qui a été amplifié.
3 ,5 × 0 ,5
G = --------------------------------- = 100 .
3 ,5 × 5 ⋅ 10 – 3
d) u CM (K ouvert) correspond à la tension du document III ; la diode permet de « redresser » la ten-
sion c’est-à-dire de supprimer la partie négative.
e) u CM (K fermé) correspond à la tension du document IV.
La condition d’une bonne démodulation s’écrit : T « τ < T′ avec τ = RC
Travaux pratiques 11
La soude caustique est une solution aqueuse concentrée d’hydroxyde de sodium. Ses principales
propriétés sont : base très puissante ; déshydratant.
Les résidus de boue rouge sont les autres oxydes (métalliques en particulier).
ion cuivre (II) : Cu 2+ ion fer (III) : Fe 3+
1
À l’anode se produit une réaction d’oxydation : Cl – = -- Cl 2 + e –
2
À la cathode se produit une réaction de réduction :
Travaux pratiques 12
Travaux pratiques 13
Antipyrétique : action contre la fièvre et analgésique : contre la douleur.
Il existe 2 formes d’aspirine soluble : aspirine tamponnée effervescente et l’aspirine non efferves-
cente (acétylsalicylate de lysine).
m 10 6
La quantité d’alumine n = ---- = -------- = 9 804 mol ce qui donne 2 × 9 804 = 19 608 mol
M 102
d’Al. Soit une masse m = 19 608 × 27 = 529 ,4 kg d’Al ;
1
Le dioxygène réagit avec le carbone suivant : C + -- O 2 → CO .
2
3 × 9 804
À 9 804 mol d’alumine correspond 3 × 9 804 mol d’ion oxyde soit ---------------------- = 14 706 mol de
2
dioxygène. La quantité de carbone consommé est alors de 14 706 × 2 = 29 412 mol soit :
m = 29 412 × 12 = 352 ,9 kg de C.
Calculons la quantité d’électricité mise en jeu : la quantité de matière d’électrons est de
3 × 19 608 = 58 824 mol soit : Q = 58 824 × 96 500 = 5 ,68 ⋅ 10 9 C , d’où
Q 5 ,68 ⋅ 10 9
t = --- = ----------------------- = 5 ,68 ⋅ 10 4 s soit 15 h 46 min.
I 10 5
Au regard des pK a , l’acide HA est l’acide le plus fort et la base HCO 3– est la base la plus forte.
[ CO 2 ] [ A – ]
K = ------------------------------- . réaction naturelle donc : 10 exposant (différence positive des pK a )
[ HA ] [ HCO 3– ]
K = 10 ( 6 ,4 – 3 ,5 ) = 10 2 ,9 .
La réaction entre HA et HCO 3– est totale :
Conduisant à la disparition de la forme HA, peu soluble dans l’eau, au profit de A – , soluble dans
l’eau (disparition des particules solides).
dans l’estomac :
[ A– ]
pH = pK a + log ⎛ ------------⎞
⎝ [ AH ]⎠
[ A– ] [ A– ]
1 = 3 ,5 + log ⎛ ------------⎞ d’où ------------ = 10 – 2 ,5 = 3 ,16 ⋅ 10 – 3
⎝ [ AH ]⎠ [ AH ]
[ AH ]
soit ------------ = 316 .
[ A– ]
les ions A – réagissent avec les ions H 3 O + responsables du pH de l’estomac suivant :
A – + H 3 O + → AH + H 2 O constante K = 10 ( 0 – ( – 3 ,5 ) ) = 10 3 ,5 réaction totale
avantages :
Seule la forme HA, liposoluble et sous forme de particules de petite taille, est susceptible de traverser
la paroi de l’estomac.
Par contre lors de la dissolution dans un verre d’eau, seule la forme A – se dissout bien et évite la for-
mation de grosses particules solides. La désagrégation du comprimé solide étant assurée par le déga-
gement de CO 2 . ■