Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
La nouvelle réglementation parasismique……………………………………. 3
Évolution de la réglementation 3
Objectifs et exigences de la réglementation 3
Le respect des règles de construction………………………………………….. 4
L’obligation de contrôle technique 4
La phase d’analyse préalable 4
Pendant le processus de construction 4
Les structures faces aux séismes………………………………………………….. 5
Le comportement des structures en situation de séisme 5
La ductilité 5
Les structures bois……………………………………………………………………….. 6
Les assemblages 6
Les systèmes constructifs bois 9
Conception et détails constructifs………………………………………………… 11
Structures à ossature bois 12
Structures en panneaux massifs bois contrecollés 14
Structures poteau-poutre 16
Charpentes traditionnelles 18
Charpentes industrielles 19
Les éléments non structuraux………………………………………………………. 21
Bibliographie………………………………………………………………………………… 22
2
Évolution de la réglementation
La norme NF EN 1998 (Eurocode 8) [1] remplace les règles PS92 de manière obligatoire depuis le
1er janvier 2014. Son application est rendu possible par les décrets n°2010-1254, n°2012-1255 et
l’arrêté du 22 octobre 2010 modifié par l’arrêté du 25 octobre 2012, qui en définissent les
bases : nouveau zonage sismique, classification des bâtiments en fonction de leur importance,
classification des sols.
La réglementation, notamment par le biais du nouveau zonage sismique, est basée sur une
meilleure prise en compte du risque sismique (celui-ci étant défini comme la rencontre entre un
aléa sismique et un enjeu lié aux populations).
Pour les bâtiments neufs, l’Eurocode 8 est la règle de construction parasismique de référence et
obligatoire. Cependant, pour les maisons individuelles ou bâtiments assimilés de formes
simples, il est possible, sous respects de certains critères géométriques et structurels, d’utiliser
des règles de conception simplifiée, dites « CPMI-EC8/Z3-Z4 » [3] pour le territoire
métropolitain et « CPMI-EC8 Z5 » pour les Antilles.
Pour les bâtiments existants, la réglementation n’impose pas de travaux obligatoires de mise en
conformité. Dans le cas de travaux sur l’existant (extension – surélévation), les exigences
dépendent de la zone sismique, de la catégorie du bâtiment et de l’influence des travaux
envisagés sur la vulnérabilité du bâtiment.
L’Eurocode 8 s’applique en complément des autres Eurocode structuraux (EC0 et EC1, EC5 et
EC7). Si la réglementation impose la vérification d’un bâtiment au séisme, il n’est donc plus
possible d’utiliser les règles CB71 pour le dimensionnement de la structure bois.
3
Pour tous les bâtiments, il est prévu dans le cadre du CRC (contrôle du respect des règles de
construction) un contrôle aléatoire de la conformité des constructions avec la réglementation
parasismique, contrôle effectué sur dossier et in situ jusqu’à trois ans après l’achèvement des
travaux par les agents de l’État [4] [5].
Dans ce cas, une mission PS complète les missions de base L et S. Elle a pour objectif de prévenir
les défauts d’application des dispositions réglementaires relatives à la protection parasismique
des bâtiments à risque normal.
4
Le comportement des structures en situation de séisme
Les effets d’un séisme sur un bâtiment sont multiples :
Mise en mouvement des masses de la structure (déplacement
horizontal et oscillations), elle dépend fortement de ses
caractéristiques propres (hauteur, rigidité et masse) et de la
nature du sol d’implantation,
Transfert d’énergie entre le sol et le bâtiment lié à la mise en
mouvement du premier : cette énergie peut être transformée
en énergie potentielle et cinétique, ou être dissipée dans la
structure et aux interfaces,
Efforts de torsion liés aux irrégularités du bâtiment (non
superposition des centres de rigidité et de masse).
Chaque structure a donc une réponse unique à un séisme donné en fonction de son
implantation. Cette réponse peut s’envisager de deux manières :
Par le biais d’une résistance mécanique élevée – la structure garde un fonctionnement
élastique : induit un surdimensionnement des éléments, des coûts plus élevés mais une
conception facilitée.
Par une dissipation d’énergie dans certaines parties de la structure (dites zones fusibles).
Cette dissipation d’énergie s’effectue par déformation plastique des zones fusibles, en
garantissant la résistance des éléments adjacents. On introduit alors la notion de
ductilité.
La ductilité
La ductilité d’une structure, d’un élément ou d’un assemblage, est sa capacité à dissiper de
l’énergie en se déformant sans augmenter de manière importante ses efforts internes. Elle se
définit comme le rapport entre la déformation atteinte à la rupture et la déformation à la limite
élastique.
La norme NF EN 1998-1 §8.3 définit plusieurs classes de ductilité pour les bâtiments en bois :
ductilité limitée (DCL), ductilité moyenne (DCM) et ductilité haute (DCH).
Elle associe à la notion de ductilité un coefficient de comportement noté q. Ce coefficient
dépend donc de la classe de ductilité et du système constructif considéré (portiques, panneaux
massifs, ossature bois,…). Il se définit comme la différence entre le comportement d’une
structure considérée strictement élastique et une structure considérée comme dissipative. Il
permet de diminuer l’accélération de calcul (et donc les efforts sismiques équivalents) appliquée
au bâtiment.
Sa valeur minimale est de 1,5, car il intègre des dissipations permanentes externes à la
structure, telle que les frottements à l’interface sol/fondations, les frottements entre les
éléments non structuraux et les éléments structuraux, etc.
5
Les composants utilisés dans les structures bois, qu’il s’agisse de bois massif, de bois contrecollé,
ou de produits dérivés, ont tous un comportement mécanique non favorable (rupture fragile) en
situation de séisme. Le comportement dissipatif des structures bois doit donc être trouvé dans
les assemblages.
Les assemblages
Le comportement sous sollicitation cyclique des assemblages conditionne le comportement final
de la structure et sa capacité à dissiper de l’énergie. La ductilité des assemblages se détermine
par essais sous charges cycliques. Les assemblages couramment utilisés dans la construction
bois sont listés ci-dessous et leurs caractéristiques et utilisations possibles détaillées.
Assemblages de charpentier
Ductilité Aucune ductilité
Caractéristiques Assemblages traditionnels par contact
Attention aux inversions d’efforts à reprendre
(embrèvements, queue d’aronde,…)
Rupture fragile (cisaillement, traction transversale)
Exemples Embrèvements
Tenon mortaise
Queue d’aronde
Commentaires Selon EN 1998-1, « les assemblages de charpentier
peuvent être utilisés uniquement [dans les zones
dissipatives] s'ils présentent une capacité suffisante
de dissipation d'énergie, sans comporter de risque
de rupture fragile en cisaillement ou en traction
perpendiculaire au fil du bois. Leur utilisation doit
être subordonnée à des résultats d'essai
approprié. »
Assemblages collés
Ductilité Aucune ductilité
Caractéristiques Assemblages rigide
Résistance élevée
Rupture fragile dans le bois
Exemples Joint d’aboutage
Élément préfabriqué collé (rein de portique,…)
Voile de contreventement collé sur ossature
Commentaires A dimensionner en sur-résistance
6
Assemblages mécaniques
Ductilité Aucune ductilité
Caractéristiques Assemblage avec jeu initial important (mise en
œuvre + variation humidité des bois)
Comportement sous sollicitation cyclique peu
connu
Rupture dans le bois
Exemples Crampons simple ou double
Anneaux de charpente
7
Assemblages par agrafes
Ductilité Aucune ductilité en arrachement
Ductilité forte en cisaillement
Caractéristiques Comportement similaire aux tiges métalliques
Conditions de mise en œuvre selon EN 1995-1-1 :
Pénétration minimale de l’agrafe = 14 d
Diamètre mini du fil = 1,8 mm
8
Assurer la ductilité des assemblages
Il est impératif que les assemblages utilisés dans des structures conçues de manière ductile ne
présentent pas de risque de rupture fragile, dans le métal comme dans le bois. Quelques
exemples de rupture fragile du bois (dans le cas d’assemblage de type tige) sont présentés ci-
dessous.
L’EN 1995 fixe les distances minimales à respecter pour les organes d’assemblages. Afin
d’atteindre les ductilités présentés ci-dessus et pour éviter les phénomènes de rupture fragile
dans le bois, le guide [12] préconise des conditions d’espacements optimisés qui sont
présentées ci-dessous. Ces conditions d’espacements sont données pour un objectif de ductilité
moyenne (DCM).
9
Les systèmes constructifs bois
Classification réglementaire
La norme NF EN 1998-1 § 8.3 et son annexe nationale [2] donne les classes de ductilité et les
coefficients de comportement associés aux différents systèmes constructifs bois.
10
Structures à ductilité moyenne (DCM)
Ces ouvrages présentent quelques zones d’assemblages ductiles : le comportement dissipatif de
ces structures est limité et les zones ductiles doivent respecter les conditions relatives à la
dissipation d’énergie selon les modes d’assemblages.
11
Structures à ossature bois
Dissipation d’énergie Forte capacité à dissiper de l’énergie
Ductilité visée DCH – Coefficient de comportement q = 3
Zones dissipatives Couturage des voiles travaillant
Liaisons structurelles
L’ancrage de la structure au sol et entre étages est assuré afin de permettre la dissipation
d’énergie dans les coutures des voiles travaillants. Les ancrages et les liaisons reprennent les
efforts de traction.
Détail a Ancrage intérieur des montants au vent et des montants disposés de part et d’autre des
ouvertures
Détail b Ancrage dans l’épaisseur du mur des montants au vent et des montants disposés de part et
d’autre des ouvertures
Détail c Liaison inter-étage des montants au vent
12
En partie courante, la liaison entre les parois verticales et le diaphragme doit être conçue pour
permettre la transmission des efforts horizontaux distribués par les planchers sur les parois.
Détail d Pose du plancher en tête de mur – la poutre périphérique est solidarisée avec le mur
inférieur par le biais du panneau et de fixations par équerres, et la fixation du mur supérieur
dans le plancher permet la reprise des efforts tranchants ramené par le diaphragme
Détail e Pose du plancher en applique – l’intégration de la muralière dans l’épaisseur du mur facilite
la descente de charges verticale et le transfert des efforts horizontaux (traction et
cisaillement) est assuré grâce à une fixation par vis / boulons
Détail d Détail e
Diaphragmes horizontaux
En plus des préconisations de l’EN 1995-1-1, il faut :
Ajouter des entretoises pour supporter les bords des panneaux et au droit des murs de
refend contreventants afin de permettre une liaison efficace au cisaillement – détail f,
Renforcer la structure autour des trémies par la mise en place d’éléments de renforts
(conserver une rigidité équivalente de celle apportée par le plancher) – détail g,
Éviter le changement de sens de portée des solives de part et d’autre d’un mur de refend
contreventant.
13
Structures en panneaux massifs bois contrecollés
Dissipation d’énergie Capacité moyenne à dissiper de l’énergie
Ductilité visée DCM – Coefficient de comportement q = 2
Zones dissipatives Connecteurs métalliques d’ancrage (au sol et entre étages), équerres
de liaisons et connexions verticales entre panneaux au sein d’une
même paroi
Les autres assemblages doivent être dimensionnés en capacité, et ne présenter aucun risque de
rupture afin de permettre la plastification dans les zones dissipatives. Il s’agit des :
des liaisons entre panneaux de plancher afin d’assurer le rôle de diaphragme rigide,
des connexions entre les panneaux de plancher et les panneaux verticaux inférieurs,
pour garantir la transmission des efforts sismiques aux parois verticales,
des connexions entre les panneaux de murs perpendiculaires.
Détails structurels
Les panneaux massifs bois contrecollés sont des produits de construction très rigides qui
engendrent des efforts de soulèvement importants (traction dans les ancrages anti-
soulèvement) pouvant engendrer la ruine. Les détails présentés ci-après sont des exemples de
liaisons possibles (d’après [9] et [10]) afin d’obtenir de bonnes performances en résistance et
ductilité. Ces ancrages sont à associer à des liaisons « standards» en partie courante pour la
reprise des efforts de cisaillement.
Détail a Ancrage par équerre renforcée intérieure fixée par cheville métallique + pointes/vis
Détail b Ancrage par plaque continue extérieure fixée par chevilles métalliques + pointes/vis
Détail c Liaison entre les panneaux de murs assurée par plaque continue en façade complétée par
des équerres intérieures de liaison au plancher fixées par pointes/vis
Détail d Liaison assurée par des équerres renforcées reliées par une tige métallique traversant le
plancher et fixées par pointes/vis
Détail e Plaque continue en façade, vis de liaison plancher – mur inférieur + équerre intérieure fixée
par pointes/vis
14
Détail a Détail b
15
Structures poteau-poutre ou de type portique (d’après [11])
Dissipation d’énergie Capacité moyenne à dissiper de l’énergie
Ductilité visée DCM – Coefficient de comportement q = 2,5 (portiques)
DCM – Coefficient de comportement q = 2 (poteau-poutre)
Zones dissipatives Assemblages
La stabilisation verticale peut prendre les formes suivantes et sa conception est détaillée ci-
après dans la partie « Palées de stabilité ».
16
Poteau-poutre de plusieurs niveaux
La stabilité des structures poteau-poutre est assurée par l’association de diaphragmes
horizontaux (voir partie « Structure à ossature bois ») avec des palées de stabilité verticales
(contreventement par triangulation).
La conception des palées de stabilité doit être soignée, ainsi que la liaison entre les diaphragmes
horizontaux et la structure verticale pour garantir la transmission des efforts sismiques
jusqu’aux fondations.
Palées de stabilité
Les assemblages doivent être conçus :
avec intersections des files d’axes :
- dans le cas a, l’intersection de l’axe du poteau, de la platine et du contreventement a
lieu en un point unique et le plus près possible de la base de la platine,
- dans le cas b, l’intersection des deux contreventements se fait à l’axe du poteau,
- dans les deux cas, il s’agit d’éviter la mise en flexion localisée du poteau.
pour éviter les phénomènes de rupture fragile dans le bois,
pour ne pas solliciter la résistance en traction des organes de fixations : les platines
vissés sont proscrites,
en limitant le diamètre des boulons et les jeux d’assemblages.
17
Charpentes traditionnelles (d’après [11])
Dissipation d’énergie Capacité faible à dissiper de l’énergie
Ductilité visée DCL – Coefficient de comportement q = 1,5
Stabilité
La stabilité des charpentes traditionnelles peut être assurée par :
la mise en place de liens de faitage au droit de chaque ferme, permettant la reprise des
efforts de compression tout en gardant leur intégrité sous inversion d’effort – principe a,
la mise en place, pour des charpentes de taille importante, de poutres au vent (par
exemple contreventement de toiture en K) – principe b,
la mise en place d’un diaphragme rigide par panneaux contreventants.
Dans le cas d’habitation avec un faible décroché en L, des fermes ou demi-fermes positionnées
dans le plan perpendiculaire au long pan permettent d’augmenter la rigidité et la résistance de
la charpente.
Principe a Principe b
Assemblages
Les assemblages traditionnels doivent être conçus pour permettre la reprise d’efforts inversés
(traction et compression). A ce titre, les assemblages prévus comprimés (embrèvement) et les
assemblages avec risque de traction perpendiculaire seront renforcés par des dispositifs anti-
arrachement. Les ancrages des fermes dans la structure support doivent être adaptés et vérifiés.
Pour les ancrages dans la maçonnerie, les scellements simples ne sont pas autorisés : une
solution d’ancrage par boulons scellés dans le ferraillage ou par ferrure métallique + chevilles
métalliques peut être envisagée.
18
Charpentes industrielles (d’après [11])
Dissipation d’énergie Capacité faible ou moyenne à dissiper de l’énergie
Ductilité visée DCL – Coefficient de comportement q = 1,5 (fermette sur maçonnerie
et pignons maçonnés)
DCM – Coefficient de comportement q = 2,5 (fermette sur ossature
bois)
Le diaphragme par équerre exploite la rigidité des façades et pignons entre points de maintien.
Le positionnement des diagonales dépend donc de la capacité résistante et de la rigidité des
éléments filants en tête de parois. Les assemblages devront être surdimensionnés de 30 % pour
éviter tout risque de rupture fragile due à la concentration des efforts horizontaux.
19
Type a Fixation de la poutre treillis sur les entraits, les ancrages des fermettes reprennent
l’ensemble des efforts
Type b Fixation de la poutre treillis sur les murs, les ancrages des fermettes reprennent les efforts
liés à la toiture et aux pignons tandis que la liaison poutre/murs reprend les efforts de
stabilisation des murs périphériques
Type c Similaire en fonctionnement au type b, mise en œuvre aisée sur murs à ossature bois
Fixation sur ossature bois par double équerre Fixation par sabot dans chainage béton
20
Les éléments non structuraux du cadre bâti englobent, par définition, l’ensemble des éléments
ne participant pas aux fonctions structurelles (fondation ou ossature) du bâtiment qui peuvent,
en cas de rupture, exposer les personnes à des risques importants ou affecter la structure
principale de celui-ci. Les éléments non structuraux englobent :
les éléments du clos couvert (éléments de façades, menuiseries extérieures, éléments de
couverture),
les éléments intérieurs (cloisons, doublages, plafonds suspendus, mobilier lourd,…),
les équipements,
d’autres éléments tels que cheminées, garde-corps, antennes, clôtures.
Les éléments non structuraux (ENS) représentent ainsi un risque important pour la sécurité des
personnes dans les constructions, non seulement dans les zones à risque élevé et lors de
séismes d’intensité élevée, mais aussi lors de séismes d’intensité assez faible.
Ils doivent être vérifiés selon les préconisations de l’Eurocode 8 à partir du moment où le
bâtiment auquel ils appartiennent est soumis à une justification au sens de la réglementation
parasismique. Le guide [12] donne les principes d’analyse et de vérification à effectuer selon
l’Eurocode 8 pour certains éléments non structuraux (représentés en rouge sur la figure ci-
dessous), en fonction de leurs dimensions et de leurs masses. L’effort inertiel appliqué à l’ENS et
à sa fixation est calculé, les ancrages dimensionnés puis la compatibilité de l’élément avec les
déplacements de la structure est vérifiée.
Pour les bardages en lames ou bardeaux de bois couverts par le DTU 41.2 et mis en œuvre sur
des montants de construction ossature bois ou sur des murs en béton armé, il existe une note
d’information éditée par le FCBA et le CSTB [13]. Elle fournit des dispositions constructives
relatives à ces mises en œuvre et donne, dans le cas particulier d’une mise en œuvre de pattes
équerres dans un support béton, les sollicitations que les chevilles métalliques d’ancrage
devront reprendre.
21
[1] NF EN 1998-1 - Eurocode 8 - Calcul des structures pour leur résistance aux séismes -
Partie 1 : règles générales, actions sismiques et règles pour les bâtiments - Septembre
2005
[2] NF EN 1998-1/NA - Eurocode 8 - Calcul des structures pour leur résistance aux séismes -
Partie 1 : règles générales, actions sismiques et règles pour les bâtiments - Annexe
nationale à la NF EN 1998-1:2005 - Règles générales, actions sismiques et règles pour les
bâtiments – Décembre 2007
[5] Le contrôle du respect des règles de construction, un outil au service de la qualité des
bâtiments – Plaquette d’information – Ministère du Logement – Avril 2009
[6] Le point de vue du contrôleur technique – Présentation à Lyon – P-E Thevenin, Bureau
VERITAS – Mars 2010
[8] A proposal for revision of the current timber part (Section 8) of Eurcode 8 part 1 – M.
Follesa, M. Fragiacomo, M.P.Mauriola – CIB W18 – Meeting 44, Alghero, Italie, Août 2011
[10] Panneaux massifs bois contrecollés – Guide RAGE 2012 – Décembre 2013
[11] Guide des dispositions constructives parasismiques des ouvrages en acier, béton, bois et
maçonnerie – AFPS – Nouvelle édition 2011
[13] Mise en œuvre en zones sismiques des revêtements extérieurs en lames et bardeaux de
bois couverts par le DTU 41.2 – Note d’information FCBA/CSTB – Septembre 2012
22
www.cribois.net
27, rue Philippe Séguin – Bâtiment 4 – B.P. 91067 – 88051 EPINAL Cedex 9
Tél : 03 29 81 11 70 – Fax : 03 29 34 01 22
Siret : 34322067900025 - Association loi 1901
Février 2014 | Crédit image couverture : ARBRE EVOLUTION (CC BY-SA 2.0)