Exposé en microéconomie
approfondie sous le thème :
La théorie de l’organisation
industrielle
Sous l’encadrement de :
Mr. Bentahar
Préparé par :
Ø Hind Achaoui
Ø Hayat Boutourhlali
Ø Niemah Yusra Diouri
Ø Elmokhtari Mohamed
Mohyiddine
Sommaire :
Intoduction
A-Structure :
1- définition
2- Les déterminants de la structure du marché :
3- Concentration d’un marché :
B- Comportement :
1- Indice de Lerner:
2- Mode de coordination et d’interaction entre les firmes :
C- Performance
1-Innovation
2-Progrès technique
3-Analyse de la performance d’un marché selon les principes
du paradigme SCP :
Partie 2 : Comportement stratégique :
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B. La discrimination du premier degré (ou parfaite) :
C. la discrimination du second degré :
D. La discrimination par les prix sur plusieurs marchés (au troisième
degré) :
E. La différenciation:
Definition
1) La différenciation horizontale:
a. la concurrence spatiale:
Axe2:comportement stratégique : Entrée, sortie
1 La notion de barrières à l'entrée
a. Barrières légal
b. Barrières structurelles
c. Barrières stratégiques
d. Menaces d'entrée
2/ Exemples de réactions d'entrée des concurrent :
3/ Taille du marché et structure de marché.
4/conclusion
5/Bibliographies
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INTRODUCTION :
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PARTIE 1 : L’organisation industrielle et le Paradigme SCP
A- Définition :
La théorie de l’organisation industrielle est une branche particulière de
la théorie économique. Elle étudie les comportements des unités de
production et distribution des biens et services, appelées les firmes, dans
une économie de marché. Toutefois, derrière cette affirmation anodine
se cache tout un ensemble de références qui constituent les fondements
de la théorie économique.
La théorie de l’organisation industrielle s’intéresse donc au
fonctionnement des marchés et des industries, et à la façon dont les
firmes se font concurrence sur ces marchés.
L’analyse de l’organisation des firmes et l’étude des marchés sur
lesquels elles interviennent constituent la problématique centrale de la
théorie de l’organisation industrielle. De ce point de vue, on peut dire
que cette théorie est une présentation particulière de la théorie
économique, dans la mesure où elle est un lieu de réflexion sur la façon
dont l’économie de marché fonctionne, à partir d’une analyse précise de
l’une de ses principales constituantes, la firme, tant dans ses diverses
conceptions possibles (structure du marché, organisation des firmes) que
dans ses pratiques observables (stratégies des différentes parties,
conséquences sur l’économie). Toutefois, il n’existe pas de conception
unifiée des concepts économiques fondamentaux, comme le marché, qui
sont aussi les concepts fondateurs de l’économie industrielle.
C’est aussi l’objet de la microéconomie mais :
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La théorie de l’organisation industrielle (l’économie industrielle) se
concentre sur l’analyse des situations de “concurrence imparfaite”, entre
la vision utopique de la concurrence pure et parfaite et le contre-exemple
du monopole.
L’économie industrielle approfondit l’analyse de la concurrence entre
firmes en mettant l’accent aussi sur les variables non tarifaires
(stratégies de publicité, de différenciation, investissements en R&D...).
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AXE 2 : Paradigme SCP (Structure – Comportement –
Performance) :
étudier leur effet sur les comportements des firmes. De ce point de vue,
ces marchés.
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Les premiers travaux de E. Mason (1939, 1957) à l’université de
Harvard aux États-Unis consistèrent à étudier, à partir d’observations
empiriques, de nombreux secteurs constitutifs de l’économie et à en
déterminer les liens avec les stratégies suivies par les firmes. Avec les
travaux de J. S. Bain (1956, 1959), l’économie industrielle revêtit une
forme analytique spécifique, à travers une grille de lecture qui
caractérise le marché à l’aide du schéma SCP :
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Pour des conditions de base données, portant sur les matières premières
disponibles, le niveau technologique, les règles de la profession, les
conditions et la réglementation du travail et de la concurrence, la
sensibilité de la demande au prix, le taux de croissance, les conditions de
commercialisation, les spécificités cycliques ou saisonnières du secteur.
A- Structure :
1- définition :
Le terme "Structure" fait référence aux facteurs institutionnels,
environnementaux et physiques qui influencent les interactions parmi les
firmes participants.
Elle a traditionnellement été mesurée en termes de concentration du
marché (offre et demande), d'existence et d'intensité des barrières à
l'entrée, de degré de différenciation de l'offre (produits et services), des
normes et réglementations en vigueur, etc.
2- Les déterminants de la structure du marché :
Comme on l’a précisé précédemment, pour les conditions initiales de
base données, la structure du marché est définie par différents éléments.
Ces éléments peuvent être présentés d’une façon synthétique, comme
suit :
• Le nombre de concurrents existants (nombreuses entreprises
anonymes et indépendantes ou peu d’entreprises conscientes de
leur poids respectif et de leur interdépendance) ;
• La distribution des parts d’activité (taille des entreprises, degré de
concentration intégrée ou en réseau, etc.) ;
• Les conditions d’entrée et de sortie (barrières réglementaires
et/ou économiques à l’entrée, à la sortie, exigence et coûts
techniques ou organisationnels pour réaliser l’activité considérée ;
• La standardisation du produit (produit spécifique, commun,
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changeant)
• Les liens entre biens substituables (degré de substituabilité selon
divers critères techniques, psychologiques, etc., liés aux
possibilités de différenciation) ;
• L’état de l’information (asymétrie de l’information débouchant
sur l’asymétrie des positions des firmes sur le marché,
affaiblissement du potentiel de concurrence) ;
• Le degré de risque (organisation des firmes et marchés d’une
façon décentralisée et incertaine ou d’une façon hiérarchisée et
pré-orientée), etc.
La caractérisation d’un marché permet donc de répondre à un ensemble
de questions qui sont plus ou moins les mêmes selon que l’on se place
du point de vue de l’entreprise qui opère sur un marché ou du point de
vue des pouvoirs publics.
Quel est le nombre de concurrents existant ?
Quel est la distribution des parts d’activités ?
Quels sont les conditions d’entrées et de sortie sur le marché ?
Sur la standardisation du produit et sa proximité vis-à-vis des biens
substituts ?
Sur l’interdépendance existant vis-à-vis de l’amont et de l’aval de
l’activité ?
Sur la qualité de l’information détenue par les participants et
l’importance des risques rencontrés ?
3- Concentration d’un marché :
L’analyse de la concentration aide à identifier la structure de marché.
La structure du marché comprend 4 critères à savoir : le nombre de
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firmes, l’étendue de la différenciation produit, les conditions d’entrée, le
degré d’intégration.
La mesure la plus fréquente : la mesure de la concentration du marché.
=> Les indices de mesure de concentration absolue :
• Ratio (ou rapport) de concentration CRn :
Il correspond au ratio de concentration des n premières entreprises
composant une industrie. Il mesure le poids économique des n premières
entreprises du marché à partir des parts de marché exprimées par rapport
aux ventes (chiffre d’affaires), aux effectifs employés, à la valeur
ajoutée créée, etc.
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Avec N le nombre d’entreprises, Xi le chiffre d’affaires de l’entreprise i
et X le chiffre d’affaires total de l’industrie.
Lorsque H est proche de 0, il y a un grand nombre de firmes de même
taille. Lorsque H est égal à 1, il y a une situation de monopole.
• Coefficient d’entropie de Theil (E) :
Ce coefficient mesure l’incertitude associée à la capacité des entreprises
à préserver leur part de marché. Avec ce coefficient, les parts de marché
sont pondérées par le logarithme de la part de marché. Plus la valeur du
coefficient faible, plus le niveau de concentration est élevé.
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=>Les indices de mesure de concentration relative :
• Rapport de concentration relatif :
Cet indice est complémentaire au ratio de concentration CRn puisqu’il
permet d’isoler les variations liées au nombre d’entreprises. Avec cet
indice, X% de la population réalise (1-X)% du chiffre d’affaires de
l’industrie.
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égal au coût marginal(Cm) tandis qu’un monopoleur égalise la recette
marginale (Rm) au coût marginal (Cm).
Ces différences peuvent être utilisées pour mesurer le pouvoir de fixer les
prix et le profit.
Abba Lerner propose de prendre la différence entre le prix et le coût
marginal comme mesure du degré de monopole:
ü v Intégration verticale :
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une position de négociation forte par rapport aux entreprises en amont
(fournisseurs) et en aval (distributeurs, consommateurs).
ü v La fusion :
Fusion en Cournot :
Fusion en Bertrand :
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C- Performance
1- Innovation:
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ménages et de créer des innovations de marchés. De même, une
innovation de produits ou de procédés change le mode de vie des
populations et modifie les mentalités.
L’innovateur exploite une trouvaille ou une idée et une entrée réussie sur
le marché lui permet d’engranger de confortables profits. Ces bénéfices
élevés vont attirer des «entrepreneurs routiniers», qui vont à leur tour se
mettre à produire le produit innovant ou à adapter la technique
innovante. Mais la concurrence se faisant plus vive, les prix vont être
tirés à la baisse et les profits diminuer, d’où un désintérêt croissant pour
la technique ou le produit innovant.
Les entreprises abandonnent donc l’activité et se retournent vers d’autres
innovations. Ainsi, l’innovation provoque un phénomène que
Schumpeter qualifie de «destruction créatrice» : des activités et des
emplois disparaissent alors que de nouveaux apparaissent.
2-Progrès technique :
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v Le progrès technique est un facteur de croissance économique :
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3- Analyse de la performance d’un marché selon les principes du
paradigme SCP :
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Si les profits de long terme sont positifs, cela nous indique seulement que
le marché n’est pas libre d’entrée (existence de barrières à l’entrée) et cela
ne nous renseigne pas sur le caractère concurrentiel du marché. Il se peut
en effet que les profits de long terme soient nuls avec un prix supérieur au
coût marginal (cas de l’oligopole et du monopole). C’est donc le rapport
prix coût qui détermine le caractère concurrentiel d’un marché et donc le
niveau de performance du marché. Pour étudier l’écart prix-coût marginal,
il faut donc intégrer les statistiques de prix (et non celles concernant les
profits).
Le rapport prix-coût varie en fonction du nombre d’entreprises rivales et
de l’importance des barrières à l’entrée.
On distingue trois étapes dans les études traditionnelles SCP pour analyser
le niveau de performance :
Ø Calcul d’indicateurs de performance à partir de statistiques directes
Ø Calcul d’indicateurs de structure de marché à partir de statistiques
directes
Ø Utilisation de ces indicateurs pour expliquer les différences entre
les industries.
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Partie 2 : Comportement stratégique :
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- Somme effectivement payée : prix * quantité achetée.
Soit D(s) la fonction de demande inverse p(x)= (D-1).
Lorsque la quantité q est vendue, le surplus du consommateur est :
Graphiquement:
v Conditions d’existence :
Conditions pour que la discrimination par les prix soit possible :
• Les firmes doivent avoir du pouvoir de marché.
• Les consommateurs doivent avoir des dispositions à payer différentes,
et les firmes doivent être capable de les identifier, directement ou
indirectement (auto-sélection).
• Les possibilités de revente doivent être limitées (arbitrage entre
consommateurs limités).
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1) La discrimination du premier degré (ou parfaite) :
Le producteur réussit à capter tout le surplus du consommateur en
fixant le prix (individualisé) au niveau du prix de réservation du
consommateur. Mais il doit connaître exactement le prix de réservation
de chaque consommateur.
Dans la pratique, ce degré est improbable du fait que l’information est le
plus couramment imparfaite…
Si un monopole implémente ce type de discrimination, l’efficacité
allocative est atteinte.
a. le cas de la demande unitaire :
Quand la firme a une information parfaite sur le consommateur, elle
lui demande sa disponibilité maximale à payer.
- Notons vi la disponibilité (unitaire) à payer du consommateur i
- L’utilité du consommateur s’il achète une unité est Ui = vi – p sinon
Ui = 0
- Le prix « individualisé » est pi = vi, avec vi ≥ Cm.
• Les résultats :
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ð Le monopole capte tout le surplus social : Π = Σi (vi − Cm) = W
ð Le bien être est maximisé : W(q)=S(q) +Σπi
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Le monopole choisit donc la quantité qui maximise le bien-être social !
Il récupère tout le surplus du consommateur via l’abonnement A (partie
fixe).
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En pratique : un produit de même marque peut être vendu à des
prix différents selon sa localisation et en fonction de l’âge de l’acheteur
(jeunes, âgés).
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o Il permet de résoudre (imparfaitement) le problème lié à
l’asymétrie d’information.
o Utilisation d’instruments d’auto-sélection (ou de
compatibilité avec les incitations) afin d’extraire
(imparfaitement) le surplus du consommateur :
la firme offre des « packages » différents (prix, quantité) ou
(prix, qualité) ;
les consommateurs s’auto-sélectionnent ;
contraintes d’incitation pour s’assurer que les consommateurs
préfèrent le « package » qui leur est destiné. En choisissant
un contrat, qui révèle ses préférences.
Tarifs à deux parties :
Le tarif binôme (T(q)=A+pq) offre un menu prix-quantité situé sur
une droite. Contrairement à la droite représentant un pur tarif linéaire,
cette droite ne passe pas par l’origine.
Il est parfois justifié par une possibilité limité d’arbitrage (la possibilité
qu’un consommateur à qui un certain lot est destiné choisisse un lot
destiné à un autre consommateur).
Supposons qu’il a deux groupes de consommateurs aient les
préférences d’utilité suivantes :
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Avec Ɵ est un paramètre de gout qui varie d’un consommateur à l’autre
par contre V est la même pour tous les consommateurs. Avec Ɵ2≥ Ɵ1 :
-le groupe 1 de consommateurs ayant un paramètre Ɵ1ont une
proportion λ avec :
Incitation :
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Le monopole maximise le profit en prenant en compte les contraintes
CP1 & CI2 :
λ (T1-Cm*q1) + (1-λ) (T2-Cm*q2)
Sous contrainte :
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concurrents inconnus
qualités de biens différentes
variétés différentes
différentes marques et réputations…
B- definition:
La différenciation est le fait que des firmes, pour satisfaire des besoins
identiques, offrent des produits qui ne sont pas totalement identiques
(mais qui portent souvent le même nom), soit du fait de la nature des
procédés de production, soit du fait de choix délibérés.
Elle est un élément de la structure d’un marché, elle s’impose aux
entreprises. Mais elle peut devenir une variable stratégique, permettant
par exemple la mise en place de barrières à l’entrée pour limiter
l’intensité de la concurrence.
Traditionnellement, 2 types de différenciation :
La différenciation verticale : le classement des biens dépend des
goûts individuels
(différentes qualités) ;
La différenciation horizontale : les biens ne peuvent pas être
classés de la même manière par tous les consommateurs
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(différentes variétés, différents lieux d’achat, différentes
réputations…) : pas de bien supérieur à un autre.
C- La différenciation horizontale:
b. la concurrence spatiale:
=> modèle Hotelling:
Pour commencer l’analyse de la différenciation horizontale, nous
voyons le modèle d’Hotelling dans lequel une ville linéaire de longueur
1 est située sur une droite où :
ü Les consommateurs étant uniformément répartis sur cet intervalle
avec une densité unitaire.
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Le consommateur rationnel choisi, pour acheter un bien, la firme qui
se trouve la plus proche de lui. En revanche, si les biens proposés sont
hétérogènes, si le consommateur cherche à se procurer le bien le plus
éloigné, ce même consommateur subira une « désutilité » lié à la
distance, économiquement évalué en coût de transport t.
Donc il faut déterminer le consommateur indifférent ou marginal.
En présence de consommateurs hétérogènes, désigne le consommateur
indifférent entre deux alternatives.
Ici : consommateur indifférent entre acheter à la firme A et acheter à la
firme B
Le consommateur marginal se situe approximativement :
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On suppose que CmA et CmB de production sont constants,
avec : 0 ≤ |CmA - CmB|≤ t
Le consommateur indifférent Ӫ est défini par :
Plus t est élevé, la différenciation entre les produit est forte, plus la part
de marché des deux firmes se rapproche de ½.
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Le consommateur indifférent :
u- pA - t(θ - a)2 = u - pB - t(b -θ )2
=> (θ - a)2 - (b -θ )2 = ( pB - pA ) / t
=> [(θ - a) + (b -θ )][ [(θ - a) - (b –θ)] = ( pB - pA ) / t
=> [b – a][2θ – a – b ]= ( pB - pA ) / t
D’où : Ӫ = (a+b)/2 + (pB - pA) / t (b-a)
Les profits sont :
ПA (pA, pB) = ( pA-CmA) [(a+b)/2 + (pB - pA) / t (b-a)]
ПB (pB, pA) = ( pB-CmB) [1- (a+b)/2 + (pB - pA) / t (b-a)]
Les prix d’équilibre : pour le cas symétrique Cm=CmA=CmB
PA*=Cm + (b-a) t(2+a+b)/3
PB*=Cm + (b-a) t (4-a-b)/3
Profits et parts de marché des firmes :
ПA(a+b) = t(b-a)/18(2+a+b)2
ПB(a+b) = t(b-a)/18(4- a-b)2
L’équilibre de localisation :
Les firmes choisissent simultanément leur localisation en maximisant
leur profit.
La CPO :
∂ПA/ ∂a=-t ((a+b)2+2(2+3a+b)) < 0 d’où : (a*=0) ; (b*=1)
=>Les firmes choisissent la différenciation maximale.
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3) La différenciation verticale :
La différenciation verticale est une différenciation entre produits si le
classement des biens est identique pour tous les consommateurs.
Supposons un bien de qualité s ; les consommateurs achètent une unité
de bien ou rien. Un continuum de consommateurs paramétrés par :
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Elle est décroissante en fonction du prix, croissante en fonction de la
qualité.
Les barrières d’ordre légal sont celles qui sont les plus visibles et
certainement celles qui sont le plus discutées. Elles sont très
nombreuses, on cite par exemple :
- Accès à une profession avec numerus clausus ou accès
réglementé, multiples professions sont soumises à des numerus
clausus : médecins, pharmaciens, avocats, taxis, etc…
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- Règlement technique. Ce type de barrière donne une définition
très précise d’un produit empêchant un producteur extérieur au
marché de rentrer sur celui-ci.
b. Barrières structurelles
d. menaces d'entrée
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Entrée dissuadée > L’entrée ne peut pas être bloqué. Les firmes en
place modifient leur comportement pour empêcher l’entrée de
concurrents.
→ Barrières à l’entrée stratégiques
Entrée accommodée > Les firmes en place trouvent plus profitable
de laisser entrer les entrants que de mettre en place des barrières à
l’entrée.
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on a
n = (a − c)r s/f− 1
Lien entre concentration et taille du marché. Le nombre de firmes
actives à l’équilibre varie moins que proportionnellement avec la taille
du marché.
Par exemple, quand on compare les mêmes industries en France, en
Allemagne ˆ et en Belgique, on trouve que les coefficients de
concentration C4 sont :
-Comparables en France et en Allemagne
-Plus importants en Belgique qu’en France
40
Source Cabral 2000
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4/conclusion
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Bibliographie
Webographie :
http://www.concurrences.com/fr/glossaire-des-termes-de-
concurrence/barriere-a-l-entree
https://www.google.com/amp/s/www.creerentreprise.fr/barrieres-entree-
definition-strategie/amp/
http://ses-perso.telecom-paristech.fr/bourreau/ecoindus.html
https://www.rechercheisidore.fr/search/resource/?uri=10670/1.c93fss
http://ressources.aunege.fr/nuxeo/site/esupversions/Lecon11/polycopies
11/L11
https://fr.scribd.com/document/259722554/Introduction-to-Industrial-
Organization
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