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Business Intelligence
A partir de la version 5
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Sage X3 Business Intelligence Sage 2008 Page : 1 / 44
Sommaire
1. INTRODUCTION ....................................................................................................................................... 4
6. LA SYNCHRONISATION DU DATAWAREHOUSE.......................................................................... 37
6.1. PARAMETRAGE ................................................................................................................................... 37
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7. LA GENERATION DE L’UNIVERS...................................................................................................... 39
7.1. DEFINITION ......................................................................................................................................... 39
7.2. PARAMETRAGE ................................................................................................................................... 39
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1. INTRODUCTION
La business intelligence couvre l’ensemble des technologies permettant en bout de chaine d’apporter
une aide à la décision.
Pour être aidé dans ses choix, le décideur a besoin d’une information exacte lui permettant de jauger
son activité à l’aide d’indicateurs de performance clefs. Sans cette démarche critique, les décisions
perdent de leur acuité ou prennent beaucoup plus de temps.
Leur besoin se tourne donc vers une analyse poussée qu’il est possible d’affiner en reformulant
différemment la requête.
¾ Etape 2 : consolidation :
Une fois les données centralisées, celles-ci doivent être structurées au sein de l’entrepôt
de données. Il s’agit d’un prétraitement permettant aux outils d’analyse d’y accéder plus
facilement, sachant que ces Datawarehouses ne sont pas renseignés à la main.
¾ Etape 3 : traitement
En fonction d’une question plus ou moins complexe posée à l’aide d’un formulaire, l’outil
d’analyse recueille la requête et confronte les données correspondantes, de façon à
produire les indicateurs voulus.
¾ Etape 4 : restitution :
Egalement appelée reporting, cette étape se charge de diffuser et de présenter les
informations à valeur ajoutée de telle sorte qu’elles apparaissent de la façon la plus lisible
possible pour le ou les décideurs(s).
L’objectif de la Business Intelligence est de préparer les données afin que celles-ci soient facilement
utilisées pour la création ou modification d’état, sans avoir le besoin d’avoir une bonne connaissance
ni du modèle de données, ni de la technique de développement.
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2. PRINCIPE GENERAL
Utiliser une base de données dédiée (datawarehouse ) avec une structure adaptée à
l’analyse décisionnelle.
Paramétrer à la fois cette recette structurelle et les règles d’alimentation ( ETL
intégré), afin de générer automatiquement l’ensemble depuis X3
Se baser sur Business Objects et générer automatiquement l’Univers correspondant
Etre en mesure d’appeler un état BO exactement comme un état Crystal Reports
(avec passage d’arguments et zooms vers X3)
Clients X3
Serveur X3
ERP X3
Etats
Dictionnaire des données
Dictionnaire BI
Univers Business Object
Règles de transformation
Base de données
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La solution choisie par Sage X3 est celle de Business Objects : Web Intelligence ou appelé plus
communément Webi.
Soit lancer le navigateur (par exemple : Internet Explorer) et saisir l’url permettant
l’accès au serveur BO (on arrive à une fenêtre INFOVIEW)
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Pour utiliser Infoview, il n’est pas nécessaire d’installer les logiciels supplémentaires sur l’ordinateur.
INFOVIEW est une interface web à laquelle les utilisateurs finaux accèdent pour visualiser, planifier et
assurer le suivi des documents publiés.
Toutes les requêtes BO effectuées par l’utilisateur sont dirigées vers le niveau d’application BO.
Le serveur web transmet directement la requête utilisateur à un serveur d’application où la requête est
traitée par le Web Composant Adapter( WCA)
2.1.2. Mise en œuvre
¾ Code Activité : ABI. (Les fonctions de la BI sont conditionnées par le code activité ABI.)
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¾ Le paramétrage de la Business Intelligence se situe au niveau du menu Développement
dans SageX3.
Décrire la structure
Générer la structure dans la base Business Object
Décrire les liens entre la base d’exploitation et la base décisionnelle pour la mise à
jour
Extraction des données.
Génération des univers BO
Interface BO.
Pour avoir uns structure de données épurée (afin de ne pas retrouver toute la base
d’exploitation)
Pour que les requêtes de Business Object ne ralentissent pas la base d’exploitation.
¾ L’alimentation de la base Business Object se fera donc soit par re génération totale soir
en incrémentale.
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¾ Sage X3 passe par son propre ETL (plutôt que de prendre un de ceux existant sur le
marché)
¾ Sage X3 permet d’enregistrer des profils utilisateurs associés : Rajout d’une zone : Profil
BI : dans une table dédiée
On sait par contre, importer les utilisateurs par fichier texte (il faut créer le modèle
d’import) : celui-ci n’existe pas encore
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¾ Profil BI (Paramétrage/Utilisateurs/Profil BI)
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2.2. ELEMENTS DE BASE DU DICTIONNAIRE SAGEX3 POUR LA BUSINESS INTELLIGENCE
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3. LES ELEMENTS DU DICTIONNAIRE SAGE X3
3.1. LE DATAWAREHOUSE
3.1.1. Définition
¾ D’un point de vue technologique, il n’y a à priori que très peu de différence entre un
datawarehouse et un datamart. Les deux sont des entrepôts de données à part entière.
¾ Défini par des paramètres au niveau de la console d’administration, et par une fiche.
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¾ Business Object n’est pas destiné à produire du papier comme Crystal Reports mais plutôt
destiné à produire des résultats sur un écran. Et donc surtout à être utilisé en interactif
Pour cela aller dans INFOVIEW / préférences /Web Intelligence: pour BO,
paramétrage en HTML interactif
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3.1.2. Paramétrage (Développement/Business Intelligence/Datawarehouse)
La machine
Le service
Le dossier : comme si c’était un dossier X3
¾ Zone dimensionnement : Uniquement pour oracle : on peut laisser cette zone à vide (celle-ci
est gérée en méga octets)
La solution est multi dossier (plusieurs dossiers X3 peuvent alimenter 1 solution BO)
Dans ce cas, il faut faire attention aux identifiants (ex : 2 dossiers avec le client
TOTO.
On a limité artificiellement à un seul dossier. (variable GADONIX =2 pour modifier le
nombre de dossiers)
En cas de multi dossier : problème de régénération complète (pas de contrôle) il faut
donc créer un dossier maitre.
Ne pas écrire le datawarehouse dans chaque dossier (impliquerait un problème de
performance)
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3.2. LE DATAMART
3.2.1. Définition
¾ Chaque Datamart va générer un univers.
¾ Un utilisateur lambda ne connait rien aux bases de données. Pour cette raison, on interroge
un « univers BO »
¾ Les Univers sont constitués d’objets : ceux-ci seront directement manipulés par les
utilisateurs : dimensions, mesures, informations et dimensions pères.
¾ De même ces objets peuvent être regroupés en classes et sous classes : i.e. regroupement
thématiques d’objets tel que pour le Produit : le nom du Produit, le prix du produit, la gamme
du produit.
Il faut faire attention car on ne peut avoir deux classes avec le même nom
Schéma en étoile : la table de fait est au centre et les tables de dimensions autour
Schéma en flocon : même principe que dans le schéma en étoile mais certaines
dimensions sont normalisées
Schéma en constellation : plusieurs tables de fait pour décrire plusieurs séries de
données sur le métier étudié et partageant les tables dimensionnelles
(Exemple: Table de fait des expéditions ayant pour table de dimension temps, article,
site)
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3.2.2. Paramétrage
¾ Dans le cadre de l’implémentation Sage X3, un datamart par groupe de modules
(Comptabilité, Production, Stock/négoce)
¾ En général : on essaie de créer une table de fait par datamart afin de ne pas faire des univers
trop gros
Limite à ne pas dépasser : 300 objets dans la table de faits. (dimensions, mesures,
informations et dimensions pères)
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3.3. LES TABLES DE FAIT
3.3.1. Définition
¾ Gère le détail le plus fin des informations que l’on souhaite analyser.
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Mesures : Valeurs que l’on analyse à différents niveaux d’agrégation.
Une mesure, c’est ce qui quantifie un fait (exemple : le prix de vente, la quantité, la
remise).
Elles permettent d’extraire des données numériques résultant de calculs effectués sur
les données d’une base de données.
Jour Mois
Compte Cumul 3
Semaine
Trimestre Cumul 2
Devise
Semestre Site Cumul 1
Année Ville Société juridique
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3.3.2. Paramétrage
¾ Autorisation site : Permet de définir automatiquement un filtrage des données par site. Les
sites autorisés à un utilisateur pour un état sont définis par l’intermédiaire d’un code fonction.
Cette autorisation s’effectue table de fait par table de fait.
¾ Type mise à jour : « Incrémental » ou « Annule et remplace » : Permet de définir la façon dont
la mise à jour des données est faite.
Cette mise à jour passe par le système d’audit (cf. la doc superviseur). Table
déclenchante + trigger
Si les tables de fait sont de petites tailles : il est possible de passer par la mise à jour
« Annule et remplace ».
Sinon, il est préférable de passer par « incrémental ».
¾ Objet nombre de : nombre de ligne de la requête. Crée un objet correspondant dans l’univers.
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3.3.2.2. Onglet champs
¾ Les champs : sont à peu près équivalent à ceux de la table dans X3.
Champ Intitulé Type Lng Date Menu Table Type objet Compte distinct Code activité
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¾ Dans chaque ligne de table de fait : on a les données, les règles, l’identifiant de la table
déclenchante = clef de l’enregistrement déclenchant
¾ Certains champs sont automatiquement dans les dimensions : menus locaux, tables diverses,
dates, codes accès. Si on a coché autorisation site, on a aussi les sites.
¾ Astuce : dans la Table de fait : il est préférable de créer des mesures pour le débit et le crédit
que des montants de la pièce et sens.
¾ Tunnel vers objet : possibilité dans BO d’associer un lien vers un objet X3.
¾ Compte distinct : champs sur lesquels on veut avoir une mesure particulière.
Champ type dimension
Ex le client. Il peut être intéressant de définir le nombre de client par ex = une mesure =
nombre de client dans la table de fait mais pas dans la table de dimension
¾ Code activité = utilisable lors de la création d’une table de fait spécifique par exemple.
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3.3.2.3. Onglet liens
¾ La table de dimensions est liée à la table de faits (le lien se fait par la clé principale définie
dans la dimension)
¾ Chaque champ référencé comme une dimension doit être présent dans au moins une
expression de lien
¾ Il est possible d’avoir plusieurs fois la même dimension (clients livrés, clients facturés)
¾ Il existe des dimensions « implicites » qui n’ont pas à être définis (table des dates, des menus
locaux, tables diverses, table des codes d’accès et la table de filtrage des sites)
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3.3.2.4. Onglet index
¾ Dans la description, on indique la syntaxe habituelle des index dans le dictionnaire Sage X3.
¾ Les agrégats sont des cumuls intermédiaires mis à jour par le datamart afin d’accélérer les
restitutions lorsque l’on a fait des regroupements de lignes.
¾ Afin d’éviter de relire certaines lignes, on va maintenir à jour un agrégat en temps réel .Si on
utilise les champs qui sont les dans les agrégats = on va voir dans les agrégats.
¾ Si les champs demandés lors de la requête sont hors de la liste de l’agrégat, on va voir dans
les lignes.
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Sage X3 Business Intelligence Sage 2008 Page : 23 / 44
¾ Au début, il est préférable de ne pas mettre trop de lignes dans les agrégats.
¾ Si on utilise l’autorisation site : il est impératif que le site soit dans chaque agrégat.
¾ Zone Champ : on explicite quel champ (avec la possibilité d’en avoir plusieurs. Ex : ligne 5
Period)
Agrégats
Nom Code activité
Dimensions
associées
à la ligne
courante Pour type
du tableau Dimensions
Date :
supérieur Type dimension Dimension Champs Niveau d’agrégation
Jour,
Mois,
Trimestre,
Semestre,
ou Année
Date, Menu local, Table diverse, ou Autre Code dans Valeur de clé affichée pour dimension Autres,
la table des ou Champ correspondant pour Date, Table
dimensions diverse, ou Menu local
(pour dimensions Autres)
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3.4. LES DIMENSIONS
3.4.1. Définition
¾ La dimension définit une table dont la clé est un critère d’analyse et d’agrégation.
3.4.3. Paramétrage
¾ Cette table est liée à une ou plusieurs tables Sage X3 qui l’alimentent.
¾ Traitement : Il est possible de piloter par un traitement pour alimenter la table des dimensions
(par le biais d’un Point d’Entrée au début et un Point d’Entrée à la fin)
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¾ Type de mise à jour :
Si Incrémental : la requête de mise à jour se base sur une liste de mises à jour
générées par un trigger.
¾ Certaines tables de dimensions sont implicites et n’ont pas besoin d’être définies dans le
dictionnaire.
Tout champ de type date fait référence à une dimension (table des dates) avec
des dimensions pères successives (mois, trimestre, année)
Tout champ de type menu local et table diverse fait référence à une dimension
stockant les choix possibles et les intitulés correspondants
Tout champ de type dossier fait référence à une dimension stockant les codes de
dossiers existants.
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Champs
Code champ Intitulé Type Lng Date Menu Table Type objet
…
Définition champ Dimensions implicites (menus locaux, tables diverses, dates)
Dimension liée Dimension père Nom du champ Formule alimentation Code activité
…
¾ Code champ et intitulé :
¾ Type objet :
¾ Dimension père
¾ Attention : la formule d’alimentation : les dimensions sont des tables relativement stables. On
se base sur la date de création et de modification des dimensions.
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3.4.3.3. Autre exemple de dimension
Onglet description
Onglet champ
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3.5. LES HIERARCHIES
3.5.1. Définition
¾ Liste ordonnée d’objets du dictionnaire BO.
3.5.2. Paramétrage
¾ L’écran des hiérarchies est un écran de type « picking »
¾ Deux boutons de type flèches permettent de déplacer les éléments de la hiérarchie = liste
d’objets (ergonomie proche de celle utilisée sous BO)
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¾ Il permet de préciser une requête selon un ordre d’exploration prédéfini
Budget
Lignes comptables
Dimensions
Code taxe
Compte Décalage
Compte Classe Sous-classe Objet
Classification
Hiérarchie compte Picking
Compte de cumul 1
Hiérarchie compte de cumul 1
Compte de cumul 2
Hiérarchie compte de cumul 2
Devise de pièce
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3.6. LES CONDITIONS PREDEFINIES
3.6.1. Définition
¾ Ce sont des objets d’univers (ex : commande de l’année)
¾ Ce sont des filtres prédéfinis ou des restrictions « prêtes à l’emploi » crée soit par
l’intermédiaire du module BO designer soit par Sage X3.
3.6.2. Paramétrage
¾ Ces conditions sont directement exprimées dans des syntaxes SQL pour Oracle et SQL
Serveur (une seule syntaxe étant donnée si les deux sont identiques)
Attention, les champs doivent être suivis de _0,_1,_2 selon les cas)
¾ Elles sont associées à une table de fait et/ou une dimension dans un datamart.
@prompt («???,…) où ??? est remplacé par le texte d’invite (traduisible) saisi au
préalable.
¾ Contraintes : les conditions prédéfinies de type invite avec saisie de texte ne peuvent être
évaluées
Elles vont être en « … » et ceci est considéré comme une constante.
Or les constantes ne peuvent être traduites ex : les sections
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4. LES REGLES DE SYNCHRONISATION
4.1. GENERALITES
Règles de synchronisation :
¾ Formule qui permet d’alimenter une table de fait depuis une table X3. Si une table de fait
provient de plusieurs tables X3, il faut créer plusieurs règles de synchronisation.
C’est pour cette raison que dans les règles de synchronisation, on trouve la règle
ENTRY1 et ENTRY2.
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¾ Attention : la mise à jour se fait simultanément :
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4.4. ONGLET ORIGINE
Code activité
Extraction
Table d’origine de la table
principale
Filtre
Clé
¾ Table origine : c’est une table Sage X3, elle sera donc auditée. (par le biais de la table
auditBI)
Chaque modification effectuée sur cette clé sera tracée dans la table d’audit BI.
¾ Règle de création :
1,1 : un pour un
1, n : ex : les champs déclenchants sont des éléments indicés stockés dans un
tableau.
ex : les éléments de facturation. Afin de créer le nombre de lignes nécessaires, il
est possible de passer par le biais des conditions.
¾ Dossier :
Si on se trouve dans l’optique multi-dossier : si vide, on applique la règle au
dossier courant
Sinon, 1 règle ne s’applique qu’à un dossier.
Dans une première version, la Business Intelligence est mono-dossier : seul le
dossier courant est présent dans le tableau
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Table destination
Table dans
laquelle on
fait les mises
Liens à jour
Champ Intitulé
Clé de lien Formule
Tableau des
champs avec des
formules (si un
champ de même
nom existe dans
une des tables
d’origine, il est
proposé par défaut)
5. LA VALIDATION DU DATAWAREHOUSE
5.1. PARAMETRAGE
¾ Permet de créer l’user base de données et les tables correspondantes.
¾ Aussi utilisé pour faire les mises à jour en cas de changement de structure.
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¾ En en-tête : rien n’est saisissable à part le code intitulé et la solution BI (identifié par une
machine, une base = même structure que dans X3
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6. LA SYNCHRONISATION DU DATAWAREHOUSE
6.1. PARAMETRAGE
¾ A faire à intervalles réguliers (habituellement en batch)
¾ Peut être fait de façon séparée sur les différentes données à synchroniser
¾ On renseigne le datawarehouse :
¾ Type de table :
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Préconisation : ne pas mettre beaucoup de code d’accès = dans ce cas, X3 va créer des jointures en
plus Et ceci peut être couteux en terme de performance sur la requête
Calendrier
Dossier
Autorisation site
Menus locaux : autant de menus locaux (pas pour un seul menu local)
Tables diverses : autant de tables diverses (pas une seule)
Dimensions
Table de fait
Agrégats
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7. LA GENERATION DE L’UNIVERS
7.1. DEFINITION
¾ On crée un univers pour un datamart donné
7.2. PARAMETRAGE
YCO 0001
YCO 0002 et utilisé par l’abréviation.
¾ Un état BO est lié à un univers. Si on supprime un univers, l’état ne fonctionnera plus jamais.
¾ Autorisation site et code accès : intéressant lorsque l’on veut debugger un état
¾ Mode test : détecter les erreurs ou anomalies (permet de lister les champs en doublons par
ex)
¾ Export de l’univers : en général il faut toujours le faire : l’univers on le génère sur son poste et
on l’exporte vers tout le monde.
¾ Mapping des états : possibilité de mapper les états à la génération de l’univers ou de le lancer
plus tard.
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8. LA TRADUCTION DES ETATS
¾ Individuellement, on peut appeler les fonctions de traduction, ce qui permet de parcourir les
états et de traduite les textes.
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9. LE MAPPING DES ETATS
9.1. DEFINITION
¾ Mapper un état: c’est mettre en correspondance les objets et les cibles
Soit on le fait dans le répertoire FRA et on ne les touche pas et ensuite on les
supprime,
Soit on les met dans le répertoire ALL et ils seront pris en compte dans le mapping.
¾ Limite avec le mapping : ne fonctionne pas très bien avec les hiérarchies (au maximum avec 3
niveaux au lieu de 5)
¾ En cas d’état spécifique : le mapping auto ne donne pas forcement de bons résultats (peut y
avoir des écarts)
¾ Il faut générer un nouvel univers au lieu de l’écraser puis par le mapping, créer le lien vers le
nouvel univers puis casser le lien avec le premier univers.
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10. LES ETATS BUSINESS OBJECT
¾ Processus VB
¾ Création de l’univers
¾ Déclenchement du mapping
¾ Cependant, on utilise les exécutable X3 à partir de VB et JAVA d’après une librairie BO (tout
ce qui touche l’univers est en VB, tout ce qui touche les états est en JAVA
10.2. IMPRESSIONS
¾ Un dictionnaire des états BO existe (avec définition des paramètres)
¾ Une impression peut désormais être un état Crystal Reports, un état Business Objects, un
export, une requête, une requête SQL.
¾ Des zooms vers des fiches liées sont possibles depuis l’état BO
¾ Les états livrés en standard dans Sage X3 sont des points de départ. Ils ne sont pas destinés
à être utilisés tels quels.
On attend les différentes remontées des clients et des partenaires sur ces points
Les états clients serveurs peuvent être transformés en états webi par le biais d’une
moulinette.
Pas l’inverse.
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¾ Un état n’est utilisable qu’avec son univers. Donc n’est transportable qu’avec son univers
¾ Faire attention au paramétrage des invites : l’invite n’a pas de code : c’est le texte(=le
paramètre = le seul identifiant dont on dispose.
¾ Tout ceci n’est pas très grave si on passe par X3 car on saisit les invites au niveau X3 donc
comme elles ont été définies dans X3.On reste dans la fenêtre X3 et on arrive ensuite dans la
fenêtre BO.
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