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Droit civil

I. Généralité

A) Il n'y a pas de société sans droit

 Celui qui vit seul sur une ile, qu'il ne quitte jamais, n'est soumis à aucun règle de droit. Il
peut se forger morale et religion mais n'est soumis à aucune règles de droits.
 Mais dès qu'il y a 2 personnes, le droit apparaît, même si les intéressés vive chacun à un
bout de l'ile => dès que 2 personnes cohabitent, des règles de droit vont inévitablement s'imposer.
 Dans notre vie quotidienne, un nombre incalculable de règles s'imposent à nous tous les
jours.

B) Il n'y a pas de vie en société sans droit.

Un société ne peut vivre de manière stable sans certaines règles imposer à ses membres. Même si
celle-ci n'a aucune règle, il en faut quand même une pour dire que tout est permis.
Elles constituent le droit et permettent d'échapper au désordre sociale, c'est à dire à l'anarchie. Ces
règles, bien que nées du pouvoir, sont aussi dans nos pays, de nature à nous préserver de la
dictature.

II. Définition du droit

Le mot droit à 2 sens, il y a le droit :


• Objectif ou positif : Toutes les règles de droit en vigueur à un moment donner, dans un
pays déterminer. Ce n'est pas quelque chose de figer (ex : code de la route). Elle sont faite par
l'autorité publique dont le respect est assurer la contrainte publique c'est à dire par nous les
hommes.
• Subjectif : Droits dont une personne peut user (ex : allocations familiales, mariage,...)
Toutes ses choses reconnues à l'individu. Ils sont reconnus grâce au droit objectif.

III. Le droit naturel

Les hommes ont des droits qui dérivent de la nature de l'homme, des droits qui protègent la
personne humais : le droit à la vie, la prohibition de l'esclavage et de la torture,...
Ils ne sont cependant pas immuable et peuvent dépendre des habitudes sociales, de la religion, du
pouvoir politique,... C'est pourquoi il est important de les écrire dans une charte comme la
Déclaration Universelle des droit de l'homme adoptée par l'ONU en 1948.

IV. Les différentes branche du droit positif

A) Le droit national – droit international

La différence entre le droit national et international est fondé sur la sources de la règle plutôt que
sur sont contenu.
Chaque État a son propre droit interne, mais le droit international trouve sa source dans des
pratiques communes instaurées par plusieurs accords entre différent États. Il n'y a pas de
législateur, c'est un ordre juridique fondé sur le consentement des États qui s'engagent aux
respects des règles.
La souveraineté : la souveraineté d'un État implique qu'il n'est soumis à aucun pourvoir supérieur
et qu'il peut, en conséquence, adopter le comportement ou les mesures qu'il estime appropriés.
B) Droit privé-droit public

Droit public : Règles qui organise l'État et les pouvoirs publics et qui régissent leur rapport avec
les particuliers.
Droit privé : Règles qui concerne les rapports des particuliers entre eux.

1. Les différente branche du droit public

a) Le droit constitutionnel : S'intéresse à la structure de l'État et régit tout ce qui


touche à la constitution (ex : fixe le statut des grand pouvoir)
b) Le droit administratif : Détermine l'organisation et le fonctionnement des
administrations.
c) Le droit fiscale : Droit qui règle la problématique des impôts. Il y 2 types d'impôts :
•Direct : impôt sur les personnes physiques ou impôts de société, qui sont
prélever sur base des revenu professionnel ou des bénéfices.
•Indirect : taxes de produits, TVA,...
d) Le droit pénal : Définit les infractions et précise les sanctions applicable à leurs
auteurs. Il est dominer par le principe fondamental : le principe de la légalité des
infractions et des peines.
e) Le droit social : C'est le droit de la sécurité sociale, il organise la prise en charge par
la collectivité de certains risques qui peuvent frapper chaque individus.
f) Le droit judiciaire : Il regroupe les règles qui détermine l'organisation et la
fonctionnement de la justice civile. Il poursuit 3 objectifs :
•Organiser les cours et tribunaux.
•Fixe les compétences des tribunaux.
•Détermine la procédure à suivre.
g) Le droit international public : L'ensemble des règles qui régissent les rapports des États
entre eux et les institutions international. Il comprend :
• Le droit de paix.
• Le droit de guerre (ex : convention sur les prisonniers)
• D'autre matière spéciale tel que la coopération économique,...

2. Les différentes branches du droit privé

a) Le droit civil : Régit les relations humaines les plus fondamentales (droit privé).
b) Le droit commercial : S'occupe de toutes les actions et transaction commerciale (ex
: vol dans un magasin).
c) Le droit social : Le droit du travail comme branche autonome du droit privé, est issu
des revendications sociales visant à mieux protéger les salarier dans leurs activité
professionnel (ex : contrat de travail, les congés, ...).
d) Le droit international privé : Règle les conflits de droit privé, c'est à dire nés de
relation entre des particuliers dans lesquelles il y à un élément d'extranéité (ex : personnes
des différentes nationalité, conditions des étrangers en Belgique).

V. Les sources du droit

A) Les traités internationaux

Pour qu’un traité soit exécuté, il doit être signé et pour qu’il soit mis en vigueur il doit être ratifié.
Pour qu’il soit respecté, on peut modifier la Constitution si nécessaire.
B) La constitution

Ensemble de normes destiner à structurer l'État, à organiser ses composantes, à régler la question de
l'exercice du pouvoir et celle de sa transmission et à garantir aux particuliers certains droits et
libertés.
Elle est le fondement de l'État et de l'ordre juridique.

C) La loi

Au sens large : Toute règle de droit écrit.


Au sens strict : Texte émanant du pouvoir législatif de l'État fédéral.
Loi ordinaire : Adopté lorsque la majorité des parlementaires sont présent (50% + 1) et que la
majorité absolue des votes sont positif.
Loi spéciale : Empêche le groupe linguistique ou idéologique le plus important d'imposer sa
volonté au groupe minoritaire. Elle suppose :
• Présence de la majorité de chaque groupe linguistique à la Chambre et au Sénat.
• Texte approuvé par la majorité des votant dans chaque groupe.
• 2/3 de vote positif.
Loi impérative : S'impose à tous, sans conditions aux volonté (ex : code de la route).
Loi supplétive : Loi applicable lorsque les particuliers ne prévoient pas, dans leur contrat, de
disposition de contrainte (ex : régime légale en matière de mariage).

Pour élaborer une loi il faut :


• L'initiative
• Examen du Conseil d'État.
• Examen en commission parlementaire.
• L'étude en séance plénière.
• Renvoi éventuel à l'autre Chambre
• Sanction et promulgation par le Roi.
• Publication au moniteur belge et l'entrée en vigueur.

D) Les principes généraux du droit

Normes non écrites qui se dégagent par déduction des textes légaux sans y être explicitement
contenu. Nul n'est censé ignorer la loi => on ne peut pas dire que l'on se savais pas pour ne pas être
jugé.

E) La coutume (ou les usage)

Source de doit non écrite. Généralement comportement interdit qui est tellement utiliser par la
population que l'on oublie qu'il est interdit (ex : l'usage permet à une femme marier de porter le
nom de son époux, alors qu'il est interdit de porter publiquement un autre nom que le sien.

F) La jurisprudence

Ensemble de décision rendue par les cours et tribunaux. Elle est modifiable et s'adapte au évolution
de la société. A long terme elle peut influencer l'élaboration de nouvelles lois. Tout les juge doivent
aller dans son sens.
G) La doctrine

Ensemble des œuvres relatives aux règles de droit écrites pas les juristes, les spécialiste du droit.
Elle n'est pas obligatoire mais c'est une autorité morale importante.

Pyramide des normes :


• Loi international
• Constitution
• Loi, décret, ordonnance.
• Arrêté royaux.
• Jurisprudence.
• Coutume
• Doctrine.

VI. L'organisation judiciaire

1. Les tribunaux civils

Traite des affaires concernant le conclusion de contrat (achat, location, travail...) et des droits
réciproques (époux, voisins,...). Condamne à des peines et des dédommagement à verser.

2.Tribunaux pénaux

Relève de 3 types de méfaits :


• Condamnation qui entraine une amande de 1 à 25 euros (X 5) ou une peine de 7 jours max.
• Délit avec une amande de moins de 26 euros (X 5) ou d'une peine de plus de 7 jours.
• Crime avec emprisonnement/travaux forcé de 5 à 10 à perpétuité.

A) Organisation géographique

Chaque tribunal exerce sa compétence sur un territoire bien déterminé. Chaque provinces est
divisée en arrondissements judiciaire (27 au total) et chacun d'entre eux est divisé en canton
judiciaire (226 en tout)
Les juridictions attaché à ces diverses entités :
• Par canton :
• Juge de paix
• Tribunal de simple police
• Par arrondissements :
• Tribunal de 1er instance
• Tribunal du commerce
• Tribunal du travail
• Par provinces : Le cour d'assises
• La région judiciaire :
• La cour d'appel
• La cour du travail
• Pour la Belgique : la cour de cassation

B) Les différents tribunaux

1. La justice de paix (juridiction civile) : Traite les affaires civile est commerciale qui
excèdent 1859 € (ex : problème de pension alimentaire, organisation de la tutelle,...)

2. Le tribunal de police : Juge pénal compétant pour le contravention, qui sont les
infractions les moins graves (ex : code de la route,...)
3. Tribunal de 1er instance : Comprend 3 tribunaux :
• Le tribunal civil : compétent pour tout litige supérieur à 1859€. Mais aussi pour des
matière qui lui sont spécialement attribué (ex : contentieux entre époux, successions,...).
Degrés d'appel pour les décisions du juge de paix.
• Le tribunal correctionnel : relève surtout du domaine pénal, il couvre :
• Les délits.
• Les crimes correctionnalisé.
Degrés d'appel pour les décisions du juge du tribunal de la police.
• Le tribunal de la jeunesse : Juge les mineurs et comprend 2 domaines :
• Domaine civil : Les enfants sont en danger => parents responsables et payent.
• Domaine pénal : L'enfant est dangereux et responsable de ses actes.

4. Le tribunal du commerce : L'on y trouve des juge consulaire, ils ne sont pas des pro de
la justice du commerce mais ils viennent éclairer le juge du commerce. Il est compétent pour
tout ce qui concerne le commerce. Degrés d'appel pour les décisions commerciales du juge
de paix.

5. Tribunal du travail : Le magistrat professionnel préside 2 juge sociaux. Il est compétent


pour tout les conflits qui concerne le travail (ex : contrat de travail) et la sécurité sociale.

6. La cour d'appel : Degrés d'appel pour les décision rendue par le tribunal de 1er
instance. Compétente aussi pour les recours contre diverses décisions en matière de
contributions directs et en matière électoral.

7. La cour du travail : composé d'un magistrat professionnel + 2 juges sociaux. Degrés


d'appel pour les décision du tribunal du travail.

8. La cours d'assises :
• Elle ne siège pas de manière permanente, mais en session, lorsque nécessaire.
• Composé de 3 magistrats professionnels (1 président + 2 assesseurs) + 1 jury de
citoyens tirés au sort (12 personnes)
• Elle juge les crimes tel que le meurtre,...
• Elle s'occupe aussi des délit politiques et de presses.
• Recours possible si soucis de forme ou de droit de la défense mais pas pour remettre
en question l'avis du jury (ex : faux témoignage)

9. La cour de cassation : S'occupe des jugement ou arrêts ne pouvant plus faire appel.
Elle ne rejuge pas l'affaire mais se contente vérifier si le jugement à été rendu conformément
à la loi. Si c'est le cas, elle casse la décision du juge pour vice de forme et renvoi l'affaire
devant une autre juridiction qui va rejuger l'affaire en tenant compte de l'avis de la cour de
cassation.

VII. Les personnes du monde judiciaire

A) Le juge d'instruction :
• Attaché au tribunal de 1er instance, il n'est pas la pour rendre la justice mais
seulement pour mener une enquête et agir à charge ou à décharge.
• Il peut perquisitionner et placer quelqu'un sous mandat d'arrêt, valable 5 jours ensuite
c'est le Chambre du Conseil composé d'un juge et d'un greffier qui décide de le mettre en
prison ou pas.

B) Le siège

Les magistrats du siège, ou magistrature assise, sont chargés de rendre la justice et de trancher les
litige.
Les magistrats sont nommés par le Roi et doivent remplir certaines conditions :
• Être belge.
• Être licencier en droit.
• Avoir un certain nombre d'année de pratique en droit.
• Avoir au moins 30 ans.
La fonction de juge est :
• Irrévocable (retraite 70 ans)
• Inamovible : le déplacement d'un juge ne peut se faire que sur consentement de l'intéressé.
• Irresponsable : il échappe à toute censure.
• Les traitements des juges sont fixé par le loi.
• Incompatibilité de sa fonction avec la plupart des fonctions publiques et de nombreuse
situation privée.
• Publicité des audience (sauf huis clos) et motivation des jugements.

C) Le ministère publication

Parquet ou magistrature debout. Ils ont 2 rôle :


• Pénal : donne des peines.
• Civil : donne un avis dans le cas d'un procès civil.

D) Le greffe

Chaque juridiction est composé d'au moins un greffier. C'est une sorte de secrétaire. Son rôle est
de :
• Organiser les audiences.
• Prendre note pendant le procès.
• Garde et classe les archives.
• Garde les pièces à conviction.
• Transcrit les jugements et rédige les expéditions.

E) L'huissier de justice

Officier ministériel assermenté. Son rôle :


• Chargé de signifier : porter à la connaissance des parties les actes de procédure judiciaire.
• Procède à l'exécution des décisions judiciaires.
• Saisit les biens du débiteurs qui ne s'exécute pas et procès à leur vente.

F) L'avocat

Sa profession est principalement la plaidoirie devant les cours et tribunaux mais son rôle peut
s'étendre à celui de :
• Conseiller : il conseil son client afin d'éviter tout litige.
• Représentation de son client : Si le client n'est pas présent lors du procès l'avocat peut le
représenter.

VIII. La procédure

Explique la façon dont va se dérouler le procès.

A) Principe de base :
• La procédure est contradictoire : La personne citée en justice doit être prévenue pour
qu'elle ait le temps de se défendre. Si la personne est absente un jugement sera rendu par
défaut.
• La procédure est publique : Toute personne âgée de plus de 18 ans peut assister à un
procès. Sauf huis clos pour affaire de mœurs.
• Le recours : toute personne condamnée ou déboutée peut demander un recours : l'appel
portera l'affaire devant un juridiction supérieur.
• Le procès civil :
• La convocation du défenseur par le demandeur se fait par assignation ou citation à
comparaître.
• Le demandeur et le défendeur doivent se présenter eux-mêmes, ou leurs avocats
devant le tribunal saisit.
• Le demandeur plaide en 1er et le défendeur répond.
• Le ministère public peut donner son avis et le juge met l'affaire en délibéré, il rendra
son jugement dans le mois. Dans les affaire simple le jugement est immédiat.
• Lorsque le jugement est remis, plus de recours, il est réputé être « coulé en force de
la chose jugée.
• La procédure en référer : Affaire devant avoir une solution rapide et provisoire.
• Le procès pénal : Prévenu ou accusé poursuivit par le Ministère public => l'État lui
reproche quelque chose et il demande réparation. Déroulement de la procédure :
• Interrogation du prévenu et écoute des témoins éventuel par le juge.
• Parole donné à la victime qui va demandé réparation.
• Le Ministère public va prononcer sont réquisitoire.
• Plaidoirie de la défense.
• Jugement du jury si culpabilité => le jury délibère avec la Cour sur la peine
(seulement pour la cour d'assises le jury)
• Les preuves : Pour gagner un procès, il faut des preuves. En cas de procédure pénal,
c'est le Ministère public doit donné des preuves pour réclamer réparation. Il y a différents
types de preuves :
• La preuve écrite : lettre, mail,...
• La preuve par témoins : le témoin est appelé à reproduire en justice les faits u les
actes dont elle a eu connaissance.
• La preuve par présomption : preuve apporté par suite d'une raisonnement de
déduction à partir de fait connus, plus ou moins certains, composant des indices grave,
précis et concordant.
• L'aveu : la plus sur des preuves, « reine des preuves ». Mais parfois il ne suffit pas
(ex : l'adultère). L'on doit quand même vérifier si les fait sont bien réel car parfois
l'accuser peut avoue à cause de la pression,...
• L'expertise : Recours à un spécialiste qui va donner son avis qui sera plutôt d'ordre
technique que juridique (ex : autopsie).
Chapitre 1 : La personnalité juridique

A) Les personnes physiques :

• Attribution de la personne physique, ce qui va pouvoir nous différencier les uns des autres.
Cela permet aussi de nous différencier des animaux.
• La mort met fin à la personnalité.

B) Les personnes morales :

• Groupe d'être humain auquel on reconnait le pouvoir de se comporter en personne physique,


d'exercer certains droits et d'ouvrir certaines obligation.
• Elle doit avoir :
• Un nom
• Un domicile
• Une nationalité
• Un patrimoine propre
• 2 espèces de personnes morales :
• Personne morale de droit public : Elle dérive directement de l'État (ex : RTBF, CPAS,...)
• Personne moral de droit privé : Elles sont créées à l'initiative d'un particulier => ne dépendent
pas de pouvoir public (ex : ASBL, Croix rouge, ...)

C) Attribut de la personnalité

En temps que personne physique, nous avons droit à des droits :


• Patrimoniaux : tout ce qui est évaluable en argent.
• Extra-patrimoniaux : tout ce qui n'est pas évaluable en argent (ex : le droit à l'honneur)

Chapitre 2 : Les attributs de la personnes physique

Les moyens qui permettent de nous individualisé sont : le nom, l'état civil, la nationalité et le
domicile.

a) Attribution du nom patronyme (ou nom de famille)

L'enfant va porté le nom du mari de sa maman, dans le cas contraire le père doit faire un désaveux
de paternité et l'enfant doit d'être adopté par son vrai père. L'enfant porte le nom du père sauf si :
• Le mari est stérile
• Porté disparu
• Homosexuel.
Cas possible :
• Si le couple n'est pas marié, le père doit le reconnaitre dès sa naissance.
• Si la maman est seul et que personne ne le reconnait, il portera le son nom.
• Lesbiennes : c'est la mère qui donne sont nom à l'enfant.
• Si l'enfant est trouvé, il faut le déposer à l'Officier d'État civil et il va lui donner un nom et
un prénom provisoire si il est récupéré par après.

b) Caractéristique du nom :
• Il est d'ordre public : Tout le monde à droit à un nom, c'est un nécessité et une
obligation.
• Le nom est imprescriptible : Il ne peut se perdre ou s'acquérir comme ça.
• Il est inaliénable : On ne peut ni le vendre, ni le donner.
• Il est fixe et immuable : On ne peut le changé à son gré. Sauf en introduisant une
demande motivée au près du gouvernement (ex : nom à consonance ridicule)

Les artistes peuvent utiliser un pseudo mais pour les affaires civiles ils doivent utiliser leur nom.

c) Le prénom :
• Obligatoire.
• C'est les parents qui donne le nom à l'enfant qui sera mentionner dans l'acte de
naissance. Cependant l'Officier d'état civil peut refusé des prénoms prêtant confusion ou
pouvant nuire à l'enfant.

C) Le domicile

a) Définition :
• Désigne un endroit de bien être nettement localiser. Nous pouvons cependant avoir
d'autre lieu de résidence.
• Obligatoire car il sert à nous retrouver en cas de problèmes avec la justice.
• Interdiction pour un policier d'entrer autorisation dans un domicile, le seul ayant ce
droit est le juge d'instruction car il signe les mandats de perquisition.

b) Types de domiciles :
• Domicile ordinaire : personne nous oblige a y vivre mais l'individu ne s'en éloigne
pas sans esprit de retour, c'est son port d'attache.
• Domicile l'égale : Domicile imposé par la loi. On ne tient pas compte de la volonté
de l'individu :
• L'enfant mineur => chez ses parent.
• Le juge => Palais de justice car il y fait les choses officiel.
• Domicile élu : personne pouvant choisir sont domicile spécialement pour l'éxécusion
d'un acte juridique déterminé.

Le domicile est :
• La résidence conjugale : quand des gens se marie ils doivent être domicilier ensemble si ils
ne sont pas d'accord c'est le juge de paix qui va statuer.
• Le changement de domicile : 2 conditions :
• Un fait matériel : transfert réel d'habitation
• Un fait intentionnel : la volonté d'y fixer son principale établissement.
• Inviolable : sauf sous mandat du juge d'instruction.

3) L'état civil

Les actes d'état civil :


• Acte de naissance : La déclaration de naissance est faite à l'officier de l'état du lieu 15 jours
après la naissance. Peut se faire par l'un des/les 2 parents ou par le personnel hospitalier. Il donne
des information sur les parents, sur la naissance de l'enfant (jour/heurs/sexe...) + sur le déclarent.
• L'acte de mariage : On parait devant l'Officier d'état civil qui nous marie et nous devons
signer l'acte.
• L'acte de décès :
• S'il n'y a pas de corps, on considère qu'il n'est pas mort.
• En cas d'erreur le tribunal civil qui prend la décision si mort/vif.
• Si il y a un corps il faut le déclarer à l'État civil et c'est le médecin qui constate la mort + 2
témoin.
• En cas de mort volante/suicide c'est le médecin et le procureur du roi qui signe l'acte de
décès => les funérailles ne pourront avoir lieu qu'un fois la déclaration faite.

Tout individu possède un statut :


• Politique : belge/étranger/apatride.
• Physique : mineur ou non/saint d'esprit ou interdit.
• Familiale : divorcé/veuf/célibataire.

4) Le statut politique : La nationalité.

Elle nous donne des droits et des devoirs + apatride vont à l'ONU qui leur donne une nationalité le
temps qu'ils soit en ordre.

a) Mode d'acquisition de la nationalité belge

(1) Devenir Belge par filiation :


• Les parents sont belges.
• Né à l'étrange soit :
• Un parent belge né en Belgique.
• Soit parent belge né à l'étranger ayant fait dans les 5 ans après la naissance de
l'enfant une déclaration réclamant l'attribution de la nationalité belge.
• Si désaveux de paternité, l'enfant garde sa nationalité si il a – de 18 ans.

(2) Par adoption : si un couple belge/une personne du couple adopte un enfant mineur => il
devient belge par adoption dès qu'il est transcrit de la registre d'état civil.

(3) Par la naissance en Belgique :


• Enfant mineur trouvé ou né en Belgique et apatride.
• Enfant de la 3ème génération et 2ème génération apatride (ex : Un couple marocain se marie
en Belgique mais ne l'avalise pas au près de l'embrassade => si il ont un enfant l'enfant n'aura
pas de nationalité => il devient automatiquement belge).

(4) Par effet collectif : l'un des parents ayant le garde de l'enfant devient belges => les enfants
mineurs aussi.

(5) Par option : C'est un déclaration expresse faite par un étranger à l'Officier d'état civil de la
commune ou il est domicilier. Qui peut faire ça :
• Enfant né en Belgique
• Un enfant né à l'étranger dont l'un des parents possède la double nationalité.
• Enfant domicilier en Belgique 1 ans avant ces 6 ans.
• Conditions :
• La déclaration doit se faire entre 18 et 22 ans.
• Domicilier en Belgique pendant au moins 12 qui précède la déclaration.
• Il doit avoir été domicilier en Belgique soit :
• De 14 à 18 ans
• Soit pendant 9 ans.
(6) Après un mariage : Si le conjoint est belge ou si il acquière la nationalité pendant le
mariage. Conditions :
• 6 mois de vie commune pour celui qui a été autorisé à séjourné en Belgique depuis au
moins 3 ans.
• 3 ans de vie commune pour les personnes ne sachant pas justifier d'autorisation de
séjour.

(7) Par possession de l'État : Considéré comme belge dans tout les actes que l'on pose même
si on n'y a pas droit (ex : erreur administrative de l'État)

(8) Par naturalisation : Acte du pouvoir législatif qui accorde la nationalité belge à un étranger.
Il y a des conditions :
• Avoir 18 ans.
• Résidé en Belgique depuis au moins 3 ans et 2 ans si réfugier politique
ou apatride reconnu.
Procédure :
• Introduction de la demande à rendre à l'Officier d'état civil de la
commune.
• Cout : gratuit.
• Document à joindre : Acte de naissance/extrait des registres de la
population ou des étrangers/Pour réfugier/apatride => preuve de cette
reconnaissance/document de séjour.
• La chambre des représentants prend une décision, si elle est positive
=> publication au moniteur belge.

5) L'absence

Statut des personnes quand on ne sait pas si elles sont mortes ou vivante. On doute de leur mort :
• L'époux d'un absent ne peut pas se remarier
• Sa succession n'est pas ouverte => après 4 ans possession provisoire => après 30
possession définitive.
• Pas d'assurance vie.
• Enfant né pendant l'absence ne sont pas légitime.
• Pas de succession pour l'absent.

B) La famille

2) La parenté

(1) Définition : le lien de parenté est un lien de droit qui unit une personne à tous ses
ascendants et à tous ses descendants aine qu'à tous ceux qui ont avec elle un ancêtre commun,
c'est à dire ses collatéraux :
• Lien par filiation : lien qui unit les membre qui ont quelque chose en commun.
• Lien du mariage.
• Lien par alliance : unit réciproquement un époux aux parents de son conjoint.
La parenté en ligne directe : unit une personne à celles qui descendent d'elle et à celles dont elle
descend.
La parenté collatérale : la ligne collatérale est la suite des degrés entre personne qui ne descendent
pas les unes des autre, mais descendent d'au moins un auteur commun.

(2) La nature de la parenté :


• La parenté réel : Au travers de la communauté de sang.
• Parenté fictive : l'adoption : parenté artificielle entre l'adoptant et l'adopté. Il y a 2 types
d'adoption dans la procédure :
• Adoption simple : lien seulement entre adoptant et adopter ainsi que ses descendants.
• Adoption plénière : lien aussi avec la famille de l'adoptant.

(3) L'obligation :
• Dès qu'il y a un rapport de famille entre 2 personnes => création de l'obligation
alimentaire.
• 2 conditions :
• Que la personne qui vous sollicite soit dans le besoin.
• Être dans l'état de fournir les besoins nécessaire à cette personne.
• Il y a :
• L'obligation entre époux : obligation alimentaire + charge du mariage. En cas de
divorce l'époux innocent peut demandé une indemnité alimentaire.
• Entre parent :
• Entre parent de ligne directe.
• Époux => obligation d'élever et nourrir leur enfants.
• Enfant doivent s'occuper de leur ascendants si ils sont dans le besoin.
• Parent naturel (hors mariage) : Le lien de filiation doit être établit => aide pour
ascendants de la ligne directe.
• Parent adoptif : adoptant doit des aliments aux adpoté + descendances de l'adopté et
vice vers ça.
• Entre allié : Gendre/belle-fille doivent des aliments à leurs beaux-parents tant qu'ils
sont marier.

3) Le mariage

a) Définition : Acte laïc, le mariage civil est le seul reconnu par la loi. Il précéde le mariage
religieux.

b) La mariage conditions de fond :


• Age : avoir au moins 18 ans. Sauf exception (femme enceinte) => le tribunal de la
jeunesse peut lever la prohibition.
• Le sexe :
• Sexes différents : art 315 : si l'enfant nait dans les 300 jours de la dissolution
du mariage, c'est l'ex époux le père.
• Homosexuel: autorisé depuis 2003 mais l'article 315 ne s'adapte pas à eux.
L'adoption est autorisé depuis 2006.
• Le consentement : pas de mariage sans contentement. Le mariage exécuté sous
contrainte/ou mariage blanc peut être annulé si c'est prouver.
• Ne pas être déjà marier : polyandrie interdite même pour les étrangers se mariant
en Belgique, même si leurs loi l'admette.
• Consentement ou avis du tiers : Si l'enfant est mineur il faut le consentement de ses
parents. Si ceux si ne sont pas d'accord c'est le tribunal de la jeunesse qui tranche. Si pas de
parent l'enfant peut déposer un requête au près du tribunal.
• Prohibition de mariage entre certaines personnes :
•En ligne directe
•Autorisation entre les personnes parente à partir du 4ème degrés en ligne collatérale.
•Possibilité pour le Roi de levé cette prohibition pour cause grave.
•En cas d'adoption, mariage interdit avec les decendants/l'adoptant et son conjoint/
les enfants adoptifs/ les enfants légitime de l'adoptant de l'adopté. En cas d'adoption
plénière = qu'entre parent et alliés.

c) Le mariage conditions de forme :


• On doit se marier dans la maison communale.
• Pour les belges résidant à l'étranger qui veulent se marier en Belgique le mariage sera
célébré dans la commune :
• Du dernier domicile.
• Du parent jusqu'au 2ème degrès.
• De naissance.
• Ou par défaut à Bruxelles.
• La production des pièces :
• Acte de naissance
• Carte d'identité
• Preuve de nationalité et de céliba.
• Preuve d'inscription au Registre de la population.
• Les témoins consigne l'acte du mariage.
• Obligation d'être présent le jour de la cérémonie et une fois l'acte prononcé on ne peut plus
s'y opposer sauf par le divorce.

d) L'opposition au mariage

On peut s'opposer au mariage en le signalant à l'officier d'état civil si :


• L'en des époux est encore marier.
• Opposition des parents ou grands-parent. Mais si l'opposition est abusive => réparation de
dommage et intérêt.
• A défaut d'ascendants, les personnes de parenté collatérale peuvent s'opposer au mariage en
évoquant une situation de démence ou d'arriération du futur époux.
• Tuteur peut aussi faire opposition. Même conditions que pour ascendants.
• Parquet peut aussi s'opposer au mariage si il menace l'ordre public => époux arriéré ou
mariage blanc.
• Procédure : Notification par exploit d'huissier à l'état civil. Cette acte doit être motiver par
les raisons d'oppositions.
• Interdiction de prononcer la mariage temps que l'opposition n'a pas été levée.

e) Les nullité du mariage

C'est l'annulation du mariage lorsque celui-ci à déjà été prononcer.

(1) Les nullités relatives

Annulation du mariage en vue de protéger les intérêts privé ou personnels d'une personne. Après la
découverte d'une erreur, ou à la majorité, ou à la fin de l'ivresse, un contractant estime que le
contrat conclu est intéressant.
L'on est pas obliger d'invoquer la nullité et confirmer le mariage.
Nullité en matière de mariage :
• Pour vice de consentement : violence ou erreur en la personne.
• Présomption de confirmation :
• Demande de nullité plus recevable si il y a eut cohabitation continuée pendant 6 mois
depuis que l'époux a acquis sa plaine liberté ou que l'erreur à été reconnue.
• Mariage de mineur qui n'ont pas reçu l'autorisation du tribunal de la jeunesse, ne peut
être annulé lorsqu'il s'est écouler 6 mois ou que les époux sont majeurs.

(2) Les nullités absolues

Lorsque la règle sanctionné à été institué par le législateur en vue de protéger l'intérêt collectif de la
société entière => essentiellement des règles d'ordre public interne.
Caractéristique :
• L'acte n'est pas seulement annulé à cause des partie directement impliqué mais à toute
personnes qui à un intérêt à ce que ça soit annulé. Il peut être intenté par le ministère public,
lorsqu'il trouble l'ordre public et dans l'intérêt de la collactivité.
• On ne peut renoncer à l'invoquer.
• Prescription au bout de 30 ans.
Cause de nullité absolue en matière de mariage :
• Mariage avec un lien de parenté inférieur au 4ème degrés, impuberté, bigamie, vice de
consentement.
• Mariage clandestin et incompétence de l'officier d'état civil.
• Mariage blanc : but totalement étranger à l'institution du mariage => pas de communauté de
vie.

f) Droits et secours respectif des époux : Le Régime primaire

(1) La capacité juridique des époux

Signifie être capable de remplir ses droits et obligation en toute indépendance.

En matière de mariage : Les partenaires sont égaux => même droit/obligation/pouvoir en ce qui
concerne leur personne et la gestion de leur biens peut importe le régime matrimoniale.

(2) Devoir de cohabitation, fidélité, secours, assistance :


• Cohabitation : obligation pour les époux de formé une communauté de vie => partage
du toit/table/lit. Prend automatiquement fin en cas de divorce. Mais lors de la procédure si
le couple n'est pas d'accord c'est le juge de paix qui statue.
• Fidélité : Les époux doivent se réserver à leur conjoint car s'est signe du certaines
stabilité. L'infidélité peut devenir une cause déterminer de divorce. Ce devoir prend fin
lorsque le mariage est dissout.
• L'assistance : Chaque époux doit traiter son partenaire avec respect et affection même
si il a des soucis physique ou moral (fournier les soins nécessaire, accepter les problèmes
physiques,...). Cette assistance se traduit aussi dans les taches quotidiennes. Si l'un des
époux manque à ce devoir, le juge de paix peut prendre des mesure urgentes et provisoires.
• Le secours : Solidarité conjugale sur le plan financier => on doit fournier à son conjoint
de quoi vivre correctement. Si l'un a plus d'argent, il doit aider l'autre (nourriture, soins,
logement,...)
• Aide matérielle : Contribution aux charge du mariage selon ses moyens. Si l'un des
époux contracte une dette pour les besoins du ménage, l'autre est également tenu.

(3) L'activité professionnelle des époux :


• Chaque époux peut pratiquer une profession sans l'accord de son conjoint.
• Si son époux estime que sa profession peut nuire aux intéret du ménage ou des enfants,
ils peut demander au tribunal de 1er instance de :
• Interdire l'exercice de la profession.
• Modifier le régime matrimoniale pour protéger davantage les avoir commun.
• Chaque époux peut user du nom de l'autre dans des rapport professionnels si celui-ci est
d'accord.

(4) Perception et affectation du revenu des époux

Tout les époux peut percevoir ses revenus, mais doit d'abord contribuer au taches, il fait ce qu'il
veut du surplus. Si il ne contribue pas au tache => juge de paix qui peut décider de la délégation
des revenu (son salaire arrive direct sur le compte du conjoint).

(5) Opération financière

Chaque époux peut sans l'accord de son conjoint prendre un coffre ou ouvrir un compte dépôt :
• C'est lui qui gère sont compte.
• L'autre époux n'a aucun droit de contrôle.
• L'institution financière est obligé d'avertir l'autre époux de l'ouverture du compte ou coffre. Le
montant n'est pas communiqué sauf requête au tribunal.

(6) Mesure de protection de la famille

a) Protection du logement familiale

Le logement familiale doit au moins être habité par un des 2 époux

• Propriétaire :
• Si les 2 sont propriétaire l'accord des 2 est indispensable pour (loué, vendre,...)
• Si 1 seul est propriétaire, il faut l'accord de son partenaire.
• Si conflit => tribunal de 1er instance.
• Location : Le contact concerne toujours les 2 époux, ils sont colocataire. Tout différent sera
tranché par le juge de paix.

b) Les meuble meublant

Il ne peut disposer sans le même accord à titre onéreux ou gratuit, des meubles meublants qui
garnissent l'immeuble qui sert au logement principal de la famille, ni les donner en gage.

c) Les autre actes qu'un époux ne peut faire seul :


• La sûreté personnel : remboursement des dettes d'une autre personne si elle ne
peut pas le faire.
• Donation : pas de donation si elle met en péril les intérêts de la famille.

g) Les régimes matrimoniaux : Régime secondaire

En se mariant il faut choisir un régime matrimoniale secondaire qui comprend les règles concernant
le patrimoine des époux :
• On précise à qui appartient les biens.
• Traitement de la question de la gestion des biens.
• Sort des biens en cas de dissolution du mariage.

4 grands principe :
• Couple libre de choisir leur régime temps qu'il n'est pas >< à l'ordre public et aux moeurs.
• Pas d'obligation de conclure un contrat de mariage.
• Toutes les conventions matrimoniale sont constatées pas acte devant le notaire => acte
authentique avant le mariage.
• Il peut être modifier une fois au cours du mariage avec l'accord des 2 époux et dans le respect
de certaines formalité, et que ça ne soit pas contraire au intérêt de la famille. Elle se fait devant
le notaire.

1. Le régime légale

Régime pour les époux qui se marie soit dans contrat soit avec un contrat n'indiquant pas d'autre
régime. Convient au famille dont les époux ne possèdent pas de biens propres avant le mariage.
Fondé sur l'existence de 3 patrimoines :

a) Le patrimoine propre :
• Actif :
• Tous les biens qu'ils possèdent le jours du mariage.
• Touts les biens acquit pendant le mariage.
• Tout les biens propre par nature quelque soit le moment et le mode d'acquisition
(vêtement, droit d'auteur, indemnité,..)
• Bien acquit pas placement ou remplois d'un bien propre.
• Passif :
• Dette d'un époux avant le mariage.
• Dette héritage ou donation pendant le mariage.
• Dette d'une des époux dans l'intérêt de son propre patrimoine.
• Dette contracter dans le cadre d'une profession interdite.
• Dette résultant d'une condamnation pénal.

b) Patrimoine commun au époux :


• Actif :
• Revenu des activités professionnelle des époux.
• Les fruits, revenu et intérêt de leur biens propres.
• Bien donné aux 2 époux.
• Bien acheté ou reçu ensemble pendant le mariage.
• Les biens dont on ne peut prouvé le propriétaire sont ajouté au patrimoine commun.
• Passif :
• Dettes contracté par les 2 époux.
• Dette contracté par un époux au profit du ménage.
• Dette contracté par un époux au profit du patrimoine commun.
• Dette fiscale et professionnel.
• Dette lié au donation ou héritage fait aux 2 époux.
• Dette alimentaire au profit des descendant d'un seul époux.

c) Dissolution du régime si :
• Décès d'une des époux.
• Divorce ou séparation.
• Les séparation des bien judiciaire.
• Adoption d'un autre régime.

2. Les contrats de mariage


Sert à régler les effets patrimoniaux de la vie en commun pendant le mariage.

a) Le régime de la communauté.

Une partie ou tout les biens que les époux possèdent pendant le mariage font partie du patrimoine
commun.
Caractéristiques :
• Bien acquis pendant le mariage sont à tout les 2.
• Revenu, salaire sont à la communauté.
• Les comptes appartiennent à la communauté.
• Certaines dettes sont en communs.
Il existe certaine closes permettant d'aménager le régime.

b) Le régime de séparation de biens

Absence de patrimoine commun. Les biens et dettes et patrimoines sont totalement séparées. Il
existe aussi toute une série de close particulière pour mieux répondre à la situation familiale et
financière de chacun.

4) Le divorce

Rupture du lien conjugale, fin du droit et devoir des époux. Ne pas confondre avec annulation : le
mariage n'a dans ce cas jamais existé.

a) Le divorce par consentement mutuelle

Sorte de contrat entre les 2 époux ou ils se mettent d'accord pour tout ce qui concerne les
conséquences patrimoniale, personnelles et alimentaire. La loi de 2007 supprime les conditions
d'age et de durée du mariage.

La procédure : phase non judiciaire

Avant de passé devant le tribunal les époux doivent établir :


• Une convention patrimoniale : se mettre d'accord sur leur droit respectif lors de la
liquidation de leur régime matrimoniale. Il peuvent faire aussi un inventaire et l'estimation de
leur bien ainsi que se mettre d'accord sur le partage des biens et celui-ci doit être équitable.
• Une convention familiale : règlement d'un certains nombre de question énuméré par la loi :
• Résidence de chacun des époux.
• La garde des enfants.
• Contribution de chacun des époux à l'entretien et éducation des enfants.
• Le montant d'une éventuelle pension alimentaire.
D'autre close conforme avec l'ordre public peuvent figurer dans le contrat.

La procédure :
• Demande introduite par le tribunal de 1er instance.
• Les 2 époux se présente devant le tribunal qui vérifie si ils sont toujours d'accord.
• Il y a 2 comparution avant la prononciation du divorce sauf si les époux sont séparer depuis
plus de 6 mois (2007)
• Délais avant le prononcement du divorce est de plus ou moins 4 mois.
Décision transcrite devant le registre d'état civil
b) Divorce pour désunion irrémédiable

Souvent lorsqu'un des époux démontre au juge que la poursuite de la vie commune est impossible.

(1) Cause

Divorce prononcé immédiatement => comportement fautif au sens de l'ancienne loi (adultère)
restera un motif => depuis 2007 divorce sans fautes.
Notion de faute pas totalement disparue :
• L'adultère : cette infidélité doit être imputable à l'auteur de l'adultère.
• L'excès et sévices : violence conjugale.
• Les injures graves : tout manquement sérieux ou offensant à l'un des devoir du mariage (pas de
consommation du mariage, homosexualité, zèle religieux excessif, alcoolisme,...)

(2) Les preuves

L'aveu et le serment ne sont pas des preuves. Il faut faire constater l'existence de la faute du
conjoint par :
• Le constat d'huissier en cas d'adultère (interdit entre 21h et 5h)
• Témoignage : ils doivent avoir 15 ans au moins, les enfants en communs ne peuvent pas
témoigner.
• Les écrit non volés.
• Jugement ou condamnation pénale ainsi que les procès verbaux de la police.
• Certificat médicaux en cas de violence.

(3) La procédure :
• Si on veut obtenir le divorce immédiatement, il ne faut pas attendre les délais de
séparation pour obtenir le divorce. Il faut un citation (convocation en justice par exploi
d'huissier)
• Pour la séparation de fait on peut recourir à la requête (greffier)
• Procédure beaucoup plus rapide et simple si les 2 parties sont d'accord. Elle peuvent
donc signe conjointement la requête.
• Ils comparaisse devant la Chambre du Conseil à huis clos.
• (voir syllab page 56)
• Recours : 1 mois après la signification du jugement
• Les mesures provisoire :
• Prise sans examen de la demande.
• Y en a pas en cas de de consentement mutuelle.
• Elle peuvent être modifier.
• Le juge peut :
• Fixer des résidence séparer.
• Partager de l'immobilier lors de la procédure de divorce.
• Peut fixé un devoir de secours entre époux.
• Hébergement des enfants.
• Mesure relative au enfants, elles sont provisoire, mais elle reste applicable pour la
période postérieur.
• Pension alimentaire: au profit du conjoint ayant le moins d'argent. Depuis 2007 plus
besoin de la notion de faute. Nouvelle loi : ce n'est plus au demandeur de prouver la faute
mais au défendeur de prouver qu'il n'est pas coupable.
• Le montant :
• Le juge tient compte des possibilité du conjoint.
• Plus de pension si le bénéficiant se remarie.
• Durée supérieur à la durée du mariage.
• Si non payement, le créancier peut avoir recours au service de l'huissier => saisie des
biens du débiteurs.
• Si le demandeur s'est mis dans un état de besoin volontaire le juge peut la refuser.

(4) Les effets du divorces :


• Mariage dissous.
• Effet rétroactif au niveau de leurs biens.
• Droit de se remarier.
• Pension alimentaire en cas de désunion.
• On ne répond plus au dette de son conjoint.

(5) Les enfant :


• Si parent marier mais pas encore divorcer => juge de paix.
• Si ils sont en instance de divorce => juge des référer.
• Si urgence => juge des référer.

5) La cohabitation légale

a) Définition : situation de vie commune de 2 personnes ayant fait une déclaration au moyen
d'un écrit remis contre récépissé à l'officier d'état civil du domicile commun. Elle se situe
depuis 1998 entre le mariage et l'union libre. Il contient :
• La date de la déclaration
• Noms, lieux, dates de naissances des 2 parties.
• Le domicile commun.
• La mention de la volonté des parties de cohabiter légalement.

b) Conditions :
• Ne pas être liées par un mariage ou une autre cohabitation légale.
• Être capable de contracter.

c) Effet de la cohabitation légale :


• Séparation des bien => sauf convention de vie commune.
• Logement et meuble => idem protection mariage.
• Obligation de contribuer aux charges communes.
• Responsable des dettes concernant la vie des enfant et la vie commune.
• Ils conservent leurs revenus et biens.

d) Fin de la cohabitation : mariage/décès/déclaration écrite de cessation de cohabitation à


l'officier d'état civil. Il n'y a pas de pension alimentaire et pas d'incidence sur les enfants.

6) Le concubinage ou union libre

a) Caractéristiques :
• Pas d'obligation et de devoir.
• Pas de pension alimentaire.
• Devoir d'entretien avec les enfants en communs.
b)Logement des concubins

Pas de protection du logement familiale.

(1) La location
• Un des 2 est locataire :
• Celui qui signe le bail est locataire. Mais le propriétaire ne peut refuser un
cohabitation c'est contraire aux droit de la vie privée. Le locataire est obliger de
respecter ses engagement (charges, bail,...)
• Le locataire peut exiger que son partenaire quitte les lieux dans un délais
raisonnable.
• Locataire à 2 :
• Si ils signent à 2, ils sont colocataire et doivent partager la moitié des
obligations locatives. Le propriétaire peut partager le loyer entre les 2 ou demandé le
loyer à l'un des 2.
• En cas de séparation, l'un ne peut mettre l'autre dehors.

(2) La propriété :
• Un seul propriétaire :
• Si l'autre fait des travaux, le propriétaire peut quand même le mettre
dehors moyennant un délais raisonnable.
• Si l'autre a investit de l'argent => il faut le prouver au tribunal.
• Ce conflit peut être éviter par une reconnaissance de dette ou à la
convention qui peut prévoir des modalités de remboursement.
• Propriétaire à 2 :
• Le bien leur appartient en indivision => chacun est propriétaire de la
moitié.
• Accord des 2 pour louer, vendre,...
• En cas de rupture :
• Resté propriétaire à 2 ou vendre, si aucun accord => juge.
• L'un des 2 garde l'immeuble et indemnise l'autre.

(3) Les biens immobiliers


• 2 grands principes :
• Chacun conserve la propriété de ses biens.
• Bien acquis en commun sont en indivision.
• La preuve de propriété : facture/extrait de compte,...
• Cet inventaire peut :
• Être fait pas les concubins et enregistrer pas le receveur locale de
l'enregistrement des domaines.
• Il faut faire dresser l'inventaire par le notaire.

•Revenus et dépenses des concubins : les dépenses sont réglés selon un accord entre les
concubins.

•Les comptes bancaires : Chacun est responsable de son compte il est conseiller d'avoir
un compte commun pour l'on met un certaines sommes pour les dépenses communes.

•Les dettes : Chacun est responsable de ses dettes. Mais quand on a des dettes à 2 :
• Si il y a une close de responsabilité, ils chacun peut être responsables.
• Si pas de contrat => dette diviser en 2.

(7) La sécurité sociale :


• Allocations familiales : la cohabitation n'a pas d'influence sur sa perception.
• Assurance maladie : le partenaire du cohabitant est considéré comme personne
à charge s'il s'inscrit sur le livre de maladie (mutuelle) ou cohabite depuis plus de 6
mois.
• Assurance chômage : Si le partenaire n'a pas de revenu celui qui perd son
emploi est considéré comme chef de ménage. Mais si il a un revenu, il sera considéré
comme cohabitant.
• Pension et revenu garantit : aucune incidence.
• Accident et maladie : aucun droit au partenaire non marier.

(8) Fiscalité : Il y a certains avantage et d'autre inconvénients.

(9) Les enfants : Aucune différence pour les enfants des parents non marier ou marier.
Si les partenaire ne peuvent se mettent d'accord, ils peuvent s'adresser :
• Juge de la jeunesse pour régler les différents concernant l'autorité parentale.
• Juge de paix pour la pension alimentaire.

(10) L'héritage : Sans testament les cohabitant n'héritent pas entre eux.

(11) La convention de vie commune : Contrat conculut par les concubin pour préciser
leur droit et devoir en certaines matières. Cette acte se fait :
• Chez le notaire.
• Sous seing privé : rédigent eux même autant d'exemplaire qu'il y a
de partie.

7) La filiation

Crée la descendance de la ligne direct. Il existe 3 types de filiations :


a) La filiation maternelle :
•L'acte de naissance : L'enfant à pour mère la personne qui est désigné comme telle dans
l'acte de naissance. Et il est reconnu comme tel par sa famille et l'autorité publique.
•La reconnaissance : Si le nom de la mère n'est pas mentionner dans l'acte de naissance,
elle peut reconnaitre.
•L'établissement par voie judiciaire : Si la filiation maternelle n'est pas noté sur l'acte de
naissance ou sur base d'une reconnaissance, l'enfant ou le père ou leur descendant peuvent
saisir le tribunal de 1er instance pour établir cette filiation.
b) La filiation paternelle :
•Présomption de paternité : L'enfant né pendant le mariage ou dans les 300 jours qui
suivent la dissolution ou l'annulation du mariage à pour père l'ex-mari. Contestation de
paternité (il faut des preuve) :
•Mère : un an après la naissance.
•L'enfant : dans les 4 ans qui suivent ses 18 ans. Sauf si l'époux à élever l'enfant.
•Le mari ou ses parents de ligne directe : Dans l'année qui suit la naissance ou
l'année ou il a appris l'existence de l'enfant.
•La reconnaissance : Cette filiation peut être établie par reconnaissance :
•Si elle n'est pas établie par présomption.
•Si la présomption a été contesté avec succès.
•Cette reconnaissance est possible que si il ne possède pas d'autre filiation paternelle :
•Si il n'a pas été reconnu par un autre homme.
•Si la filiation paternelle n'est pas établie de plein droit.
•Le père peut reconnaitre l'enfant si :
•Enfant – de 15 avec accord de la mère.
•Si + de 15 ans et mineur => accord de la mère et l'enfant.
•Si majeur => consentement de l'enfant.
•Si l'enfant refuse pas de recours pour l'homme.
•Si la mère refuse => juge de paix.
•Par acte judiciaire en recherche de paternité : Si la mère n'est pas marié, la filiation
paternelle est établie : Uniquement après la reconnaissance de l'enfant par le père.
•Le filiation pas adoption.

c) Les effets de la filiation :

(1) Le nom et le prénom : Le nom dépend du moment auquel sa filiation à l'égard de ses parents
à été établie.

(2) Le droit à l'éducation :


•Les parent doivent lui fournier tout ce dont il a besoin en fonction du leurs moyens.
•Cela perdure jusqu'à ce que l'enfant ait fini sa formation. Si les parent refuse => juge de
paix.
•Si le ménage est unit les parents contribue ensemble à cette obligation.
•Si ils sont séparer, c'est celui qui a la garde qui applique cette obligation avec l'aide
alimentaire de l'autre parent.

(3) L'autorité parentale :


• Quelque soit la situation des parents, ils existe un lien entre eux et l'enfant.
• Ils vont exercé l'autorité parentale jusqu'à ce qu'il soit majeur.
• C'est une notion établie dans l'intérêt de l'enfant.
• Droit et devoir des parents vis à vis de l'enfant.
• Tous les enfants ont les mêmes droit successoraux.

8) Les incapables :

a) La capacité juridique : Toute personne a des droits et obligation. Mais certaines personnes
sont pas encore capable ou ne seront jamais capable de gérer ou de disposer de leurs biens.

b) Catégorie d'incapables :

(1) Les enfants mineurs : Personne qui n’est pas encore émancipé. Tant que les parents sont
vivants, ils représentent leur enfant mineur. Si celui-ci perd ses parents, il y a ouverture de la
tutelle. Mais à partir de 15 ans il peut être émancipé.

(2) La minorité prolongé : Problème mental, arriération mentale grave. Il faut introduire une
ère
procédure devant le tribunal de 1 instance pour obtenir le statut de minorité prolongée. A la
requête est joint un certificat médical décrivant la déficience mental.

(3) Les interdits :


•Majeur étant dans un état d'imbécilité ou de démence ou d'altération corporel.
•Il ne peut plus gérer ses biens.
•Mise sous administration provisoire, 4 étapes :
• Rédaction d'une requête adressée au juge de paix.
• Production du certificat médicale circonstancié.
• Analyse et prise de décision du juge de paix.
• Désignation de l'administrateur provisoire en tenant compte de la nature et
composition des biens à gérer ainsi que de l'état de santé de la personne à
protéger.

(4) Personne placées sous conseil judiciaire : Personne faible d’esprit dont l’état mental ne
ère
présente pas de gros problèmes. La décision se prend par le tribunal de 1 instance.

c) La tutelle :
• Mis en place pour remplacer l'autorité parentale.
• L'organisation de la tutelle :
• Le juge de paix est averti par l’officier d’état civil que l’enfant a perdu ses deux
parents.
• Le tuteur doit faire un inventaire des biens meuble et immeuble, si les biens légué au
mineur ne suffise pas.
• Le juge détermine après l’inventaire le montant avec lequel on va éduquer l’enfant.
• Choix du tuteur :
• Les parents de leur vivant peuvent choisir le tuteur.
• La personne choisie peut refuser.
• Si les parent n'ont rien prévu c'est le juge de paix qui désigne le tuteur
• Si l'enfant à plus de 12 ans il a son mot à dire
• En plus du tuteur le juge désigne le subrogé tuteur (si conflit entre tuteur et l'enfant)
• Certaines personnes ne peuvent être tuteur :
• Les incapables.
• Personnes ayant un conduite notoire.
• Ceux qui sont en procès contre l'entant.
• Les incapable de gérer.
• Le rôle du tuteur :
• Élever l'enfant.
• Adresser un fois pas un an un rapport sur l'éducation et l'épanouissement de l'enfant
au juge de paix .
• Il peut agir sur les finances, si la somme est importante il doit demander l’autorisation
au juge de paix .
• L'émancipation :
• Par mariage.
• A partir de 15 ans il peut être émancipé par le tribunal de la jeunesse.
• Fin de la tutelle dès 18 ans si pas d'émancipation

Chapitre III : les biens

A) Les bien immeubles :


• Par nature : le sol, les végétaux y attachés, les constructions.
• Par destination : les objet mobilier affecter au service d’un immeuble ex : ascenseur.
• Par l’objet auquel il s’appliquent : les créances et des droits sur des immeubles, ex :
les servitudes, hypothèque,…
B) Les biens meuble :
• par nature : navire, gaz, électricité, tout objet pouvant se transporté.
• Par détermination : acte au porteur, parts sociales, gages,…

Chapitre IV : Les droits de créance : les obligations.

Il y a 4 éléments constitutifs des contrats

1) le consentement :Pour qu’il y ai contrat, il faut le consentement des deux parties : soit oral soit
écrit.Le consentement peut être : écrit, oral, simple, solennel, libre et contraire à la volonté : ex :
incapacité : personne ivre

Il y a 4 vices de consentement possible : Le dol, la contrainte, l’erreur et la lésion.


l’erreur : concept inexact de la réalité, il va falloir le prouver. Ex : on croit avoir acheté un meuble
ancien et en réalité c’est un meuble IKEA.l a jurisprudence peut dans certain cas accorder des
dommages et intérêt.

La violence : physique, morale, chantage.


La lésion : mm si les deux parties sont d’accord, l’une des deux a été léser, arnaquer.

Le dole : intention de fraude mené l’autre en erreur.

2) capacité : Reconnu capable ou non.

3) objet : Ce sont les obligations créer par contrat. L’objet de la vente c’est le transfert de la
propriété d’une chose moyennent un prix. 44

Types d’objet : réel et espèce déterminable


Si on ne précise pas l’objet dans le contrat, il n’y a pas de contrat.

4) la cause : Explication, mobile. Ce n’est pas vraiment utile.

La responsabilité civil :

Obligation qui incombe à une personne de réparer un dommage causé à autrui par son fait ou par le fait
d’une personne ou des choses dépendant d’elle.

La responsabilité civil peut se cumulé à la responsabilité pénal : ces deux responsabilité se juxtapose
souvent mais elles diffère dans leurs buts :

Responsabilité pénal : cherche à punir.


Responsabilité civil : cherche à réparer

3 conditions de la responsabilité qui doivent être prouvées par la victime :

la faute.
Le dommage.
La relation causale entre ces 2 éléments

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