Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
1. Introduction
Le capitalisme mondial s'est développé et mourra nécessairement. Il est apparu dans un certain
nombre de circonstance et nous allons voir les différents stades d'évolution :
• Sa naissance
• Son développement
• Sa maturité
• Il devient contemporain.
Le capitalisme nait dans un contexte particulier et un date arbitraire, indicative va lui être donnée :
1492 avec la redécouverte de l'Amérique.
Attention : le capitalisme était déjà en gestation avant cette date.
La capitalisme n'est pas seulement un système économique, il a aussi des dimensions sociale,
idéologique, politique et éthique.
a) Définition : Certaine façon de produire. Se définit par le rapport social (lien entre les
gens pour produire) qui lui est prédominant. (ex : le mode esclavagiste => l'essentiel de la
richesse sociale était produite par les esclaves. Les riche eux vive de cette production =>
classe dominante)
L'État représente la classe dominante dans tout l'espace temps c'est une force de :
• Répression (répression de l'ennemi intérieur => classe subalterne) : Flic
• Légitimation : le clergé.
c) Définition du schéma :
• Paysannerie : serfs.
• Féodalité : rapport de servage en milieu rurale (pas en ville, car autre type de
fonctionnement)
• Pour définir un société on commence toujours par le bas, les sous bassement.
• La superstructure : Différents appareil de l'État, l'un est le sous bassement de
l'autre.
• C'est sur cette base que s'élève les classes dominantes.
La justification suprême est le droit divin : Le Roi est roi parce que Dieu l'a décidé.
La classe dominante était hiérarchisée (Prince, compte, vicomte,etc). Le fait de pouvoir porter des
armes était signe de noblesse. Le serf n'a pas d'arme => utilisation de la faux lors des révoltes.
L'Église et la noblesse fonctionne de la même façon, ils ont leur propre vision de la féodalité.
A cette époque, il n'y a aucun payement en monnaie, les rentes sont un processus de la fin de la
féodalité.
Rome rend la monnaie homogène.
L'alliance avec la noblesse désargenté et une bourgeoisie riche va donner la nouvelle classe
dominantes, celle-ci va supplanté la vieille classe dominante.
La mode de production féodale est autocratique : système dominer par un monarque absolu.
Les grandes villes commerçante vont disparaitre et faire place à de nouvelle ville ayant d'autres
caractéristiques.
Problèmes fondamentale : la noblesse n'a pas d'argent => disparition de l'équilibre, les nobles ont
besoin d'argent => croisades ont y envoi le peuple subnumaire :
• But effectif : piller
• Autre but : sauver le tombeau de Marie Madeleine.
Il y a à la base de tout conflit une base matériel. A cette époque, la connaissance est strictement
théologique => ceux qui sont en >< ont à faire à l'Inquisition. Extermination des personnes considérés
« sans âmes » par l'Église.
L'un des pôle de la noblesse à un besoin insatiable de richesse => elle s'appauvrit => si l'un des pôle
s'appauvrit l'autre s'enrichit.
Le capitale commerciale.
Ceux qui font commerce accumule l'argent (accumulation primitive d'argent) => les nobles
s'appauvrissent.
Richesse ostentatoire = nouveau riche (commerçants) comme par exemple à Venise.
Les commerçants sont extérieures aux rapports sociaux féodaux car il font leurs affaires en ville.
=> La noblesse à besoin d'argent et va faire un prêt à ceux qui en ont en échange de l'usure (fait de
prêté de l'argent moyennant le prix du service du prés => taux d'intérêts).
1er commerçant sont des juifs car les métiers d'argent sont interdit aux chrétiens, plus tard, la
religion s'adaptera au commerce ce qui va provoqué le schisme protestant (séparation des fidèle qui
reconnaissent des autorités différentes).
L'usure
La noblesse possèdent encore des terres => elle vent ses terres. Mais les commerçants ne font pas
marcher la rente foncière de la même façon => ils vont monnayer la terre => ils vont les louer aux
anciens serfs qui vont racheter leur liberté. Les paysans louant les terres vont vendre les produits
agricoles => monnétisation, développement de la fonction monétaire.
Elles étaient liées par les liens du compagnonnage, il était difficile d'y entrer car le niveau de
production était limité.
Il n'y a pas assez de place dans les villes => le capitalisme se développe à partir des campagnes.
La bataille des éperons d'or (11 juillet 1302) : Bataille fondamentale entre les villes qui essaient
d'arracher leurs droits à la noblesse. La bourgeoise flamande (habitants des villes) s'oppose à la
noblesse française.
Automatisation de la fonction royale :
• Le roi devient de plus en plus autonome
• Avant la noblesse faisait ce qu'elle voulais (ex : taxes, impôts,...)
• Le roi centralise la société et représente l'architecture de l'État => déclin de la noblesse.
• Unification de la monnaie.
• Il est le seul à pouvoir prélever l'impôt => conflit.
Argent – Marchandise – Argent : But du mode de production capitaliste (ex : on vend un bouteille 10€
=> on peut acheter autre chose pour 10€). C'est une fluidification de l'échange.
6. L'accumulation étatique
Il n'y a pas de capitalisme sans État. C'est le capitalisme d'état qui est à la base du capitalisme =>
l'État est l'agent économique le plus important.
Dans les période de croissance l'État est moins visible mais il gère :
• Le système
• Permet un équilibre économique
Mais pour qu'il y ait un État nation, il faut une monnaie unique.
(ex : Si un entrepreneur fait du profit => l'État prélève des impots. Mais si celui-ci est en perte =>
l'État lui offre de l'aide).
7. Principes de colonisation
Le pillage et le commerce mondiale sont les principales activité de l'Espagne et du Portugal =>
arrivée massive d'or et d'argent en Europe.
L'Église s'adapte et développe les métiers d'argent. Elle va allé en Amérique pour apporté la
civilisation par le travail forcé => génocide + arrivée de nouvelles maladies.
Les navires rentrent en Europe remplit de matières premières. Elle sont acheté a bas prix par les
industrie et transformer pour pouvoir être vendues plus chère.
On force les indigènes à travailler dans les mines de diamants, etc. Mais ceux-ci ne sont pas socialisé
pour ce type de travail => morts massives (suicides).
Les théologiens vont se réunir pour définir si les indigènes sont humains ou pas, si ils ont une âme. La
religion ne s'inquiète pas car pour eux, il s'agit d'une œuvre civilisatrice => elle cautionne et
s'approprie les richesses.
A ce même moment l'inquisition (structure de répression de l'Église catholique) fait sont apparition
en Europe.
Beaucoup de mort => problème de main d'œuvre => commerce triangulaire (commerce d'esclave), il
désigne les échange entre l'Europe, l'Afrique et l'Amérique, mis en place pour assurer la distribution
des esclaves noirs au colonie du nouveau monde en échange, les pays africains bénéficiais de
nouvelles matières ou armes venant d'Amérique et d'Europe.
Lorsqu'on achète un esclave, l'on acheté aussi sa descendance.
Principe de ce commerce : jamais les bateaux ne devaient être vide.
L'esclavage n'est pas très productif car il faut les nourrir, etc... >< salariat.
Pour qu'un classe prolétaire se forme, on passe obligatoirement par le travail forcé.
C'est la première doctrine économique qui n'a pas de fondateur de la pensée, c'est un ensemble
confluent de pratiques.
But : Bullionisme : accumulation de monnaie métallique dans les caisses de l'État (plus actuelle car
maintenant c'est des billets)
L'État hypocrite :
• Lorsqu'il va bien, il valorise le libre échange >< au mercantilisme.
• Lorsqu'il va mal, il met en place des mesure protectionniste + quota (complémentaire au
mercantilisme)
Le protectionnisme et le mercantilisme sont victimes de leur succès => cette politique est copiée => :
• Guerres.
• Plus d'échange commerciaux.
=> L'Angleterre développe un système politique de libre échange >< au protectionnisme.
Les français ont copier le système protectionniste et l'ont appelé le colberisme. Colbert (1619-1683)
conseil au roi d'aller vivre à Versailles. La conception architecturale de Versailles était très
mercantiliste car elle devait refléter l'image de la France => tout ce qui composait le château
reflétait le savoir faire des artisans français (ex : tapisserie typiquement française) => but
uniquement commercial, quand des étrangers viennent et voient les produit du château, ils achètent.
A l'époque du 16e au 18e siècle, il n'y avait pas d'économiste => ceux qui parlaient d'économie
étaient des penseurs qui apportait leur conseil.
Machiavel (1469- 1527) pensait que dans un gouvernement, l'État doit être riche et les citoyens
pauvres. Il donna des conseils d'ordre économique au Pape et aux puissants de l'époque.
10. Hobbes (1588 – 1679) >< Locke (1632 – 1704)
a) Hobbes :
• Part d'un pré requit philosophique : Pour lui l'homme est mauvais et fondamentalement
envieux => société de guerre.
• Il justifie l'existence d'une instance supérieur pour expliqué le chaos social => justification
de l'ordre (le Léviatant) par le désordre.
• Il justifie l'État fort et totalitaire pour discipliner les gens et pour gérer la richesse =>
intervention de l'État dans l'économie => Capitalisme d'État.
Nous constatons que toutes les dictatures se sont transformée en démocratie. L'État dictatorial
est faible car nous somme constamment en conflit. Lors d'un démocratie il y a des adhésions => État
plus fort.
=> le régime le plus fort vis à vis du capitalisme : régime démocratique.
b) Locke :
• Pour lui la société est une société de contrat.
• La constitution est un contrat absolu : contrat entre les citoyens et l'État.
• La séparation des pouvoirs est importante.
• Façon plus démocratique que Hobbes de gérer la société.
a) La révolution bourgeoise.
Bouleverse les rapports de propriété. La bourgeoisie est minoritaire. Comment une classe minoritaire
peut-elle prendre le pouvoir ?
=> instrumentalisation des classes subalternes :
• On met en avant leurs intérêts fondamentaux « la terre à celui qui la travaille »
• On affirme l'égalité des droit (ex : déclaration des droits de l'homme). Nous avons peut-être
les mêmes droits mais nous sommes différents dans la situation socioéconomique.
Les classes subalternes vont devenir le moteur révolutionnaire. Mais dès que la bourgeoiserie prend
le pouvoir, élimination des classes subalternes => promesses non tenues => instauration d'une
dictature, d'un régime de terreur => utilisation de méthode de dissuasion.
Babouvisme de Gracchus Babeuf (1760-1797) : 1er mouvement >< à la dictature bourgeoise (1783).
Le club des égaux veulent remplacer la dictature bourgeoise par la dictature populaire.
b) La révolution française
Seule et unique révolution ayant gagné dans le sens social. Les pays colonisateurs achetaient des
matières 1er à bas prix et les revendaient plus chère : pillage économique.
Certaines compagnie comme celle du thé avait le monopole => ils vendent aux prix qu'il veulent.
=> Le monopole suscite la concurrence (raisonnement dialectique).
Oppression des colonisateurs => guerre de l'indépendance. Les colons brules les cargaison de thé =>
l'Angleterre envoi ses soldats >< colons qui constituent une armée.
Victoire des collons renversement des rapports colonialistes => constitution d'un État Nation et les
Anglais vont suivre les modèles Américain.
Les collons ont gagné car ils ont été aidé par l'Espagne et la France concurrents de l'Angleterre.
Un courant fondamental, la philosophie des lumières prépare à la révolution française, ils ont mis
leurs connaissances dans l'encyclopédie. A l'époque les sciences humaines peuvent se synthétisé dans
un seul ouvrage.
a) L'encyclopédie
Critique l'ancien régime (l'Eglise), on remplace toute les croyances métaphysique par le physique.
En France au 18ème siècle, il y aura un courant économique et original qui n’a pas cet aspect répétitif
des autres courants.
On remplace Dieu par la raison => la nature est au centre de la réflexion, on essaye de l'observer, de
la comprendre, de chercher ses lois.
C'est l'explication empirique (on ne s'appuie que sur l'expérience, la raison) de l'explication déiste
(croyance en l'existence d'un dieu, mais sans référence à une révélation).
Les questions économique vont aussi faire partie de l'ouvrage, Diderot (1713 – 1783) et Holbach
(1723 – 1789) vont demander à un spécialiste, François Quesnay (1694 - 1774) de s'interroger sur
l'économie. Quesnay écrit un livre développe la théorie de physiocrates.
b) Les physiocrates
c) Turgot
Il corrige cette vision des physiocrates en additionnant la production des richesses avec les
manufactures :
• Il y a une notion de productivité chez les ouvriers et chez les patrons.
• Introduit le principe de libéralisme économique : le marche doit être libre entre le
producteur et le consommateur.
=> inteventionniste = Quesney et non interventionniste = libéraux.
Dans les manufacture, division du travail par le patron pour augmenter la productivité et gros
investissement (ex: géante machine à tisser) car la concurrence nécessite une processus de
mécanisation et d'investissement.
=> perte du savoir faire, déqualifiquation des ouvriers et une augmentation de l'apport des machines.
=> 1783 : Machine à vapeur et transformation du paysage industriel : les villes sont près des fleuves
et du charbon.
=> augmentation de la production de machine => baisse des salaires => 1er mouvement axé sur le
ludisme : destruction des machines et sabotage => le public viser est les bourgeois voulant augmenter
le temps de travail.
b) Le taylorisme et le fordisme
Taylor :
• Division sociale de travail, baser sur la séparation de concepteur et d'exécutant et tendant
technique de la chaine selon le variable.
• Il a d'abord été ouvrier et constate de la flânerie dans les entreprises.
• Intégration de la sciences dans les mécanisme de production
• Travail à la chaine à la chaine.
• Chronométrage du temps de travail.
=> L'homme devient le prolongement de la machine => signe de passage du capitalisme jeune au
capitalisme mure.
Le fordisme (1905)
Standardisation du produit finit : ce sont les mêmes véhicule qui sortent de la chaine => c'est un
outil de production. Les gains sont du à des productions de masse et des consommations de masses.
La force de production est plus disciplinée et le salaire plus élevé. En Amérique c'est le système de
closed shop (travail fermé), ce sont les syndicats qui fournissent la main d'oeuvre et qui sont
gestionnaire de la force de travail. Ils maintiennent le degré de hiérarchie et de discipline. Dans ce
système, les personne engagées doivent être syndiquées. On augmente leur salaire afin que les gens
puissent s'acheter que qu'ils produisent.
Naissance dans les usines Toyota = Système de flux tendus = Triple zéro.
Les caractéristiques :
• Zéro de stock : c’est-à-dire éliminer tous les stocks intermédiaire parce que ce sont
marchandises qui dorment. Le solde final doit également être à zéro de stock, le produit ne
peut être construit qu’après l’achat. Ce système affaiblit dialectiquement le social.
• Zéro de malfaçons : Comme on produit beaucoup, il y a un risque de déchets et ça n’est pas
bon pour l’entreprise. Cela implique le renforcement de la discipline. Introduction des cercles de
qualité pour que les ouvriers s’autodiscipliner pour éviter les malfaçons. Augmenter le niveau de
qualité des produits.
• Zéro de sabotage : c’est le premier élément individuel et spontané qui signifie la résistance
des ouvriers. Cela empêche la production de marchandises. Sabotage viendrait du fait que les
ouvriers qui portaient des sabots trainaient pour aller travailler ou encore qu’ils coinçaient un
sabot dans la machine pour la bloquer.
Mais comme l'État intervient, il n’y a pas toujours d’équilibre => perturbation de la main invisible :
• Directement : fonction sociale ou politique (ex : prix du pain)
• Indirectement : Taxes de circulation des marchandises en fonction de leur classification.
=> la théorie d'Adam Smith est un mythe.
Pour Malthuse, ces crise sont dues à la surpopulation des pauvres, on inverse cause et conséquence.
Pour lui, il y a une surproduction de personnes par rapport à la production absolue => il va instaurer la
chasteté.
15. Ricardo
Pour lui tout ce qui est produit prend la forme de marchandises. Elle a 2 qualités fondamentales et
indissociable :
• La valeur d'usage : La marchandise doit correspondre à une utilisation sociale (ex : Pull pour
avoir chaud). Produire plus de valeur que ce ça ne coute (plus value)
• Valeur d'échange : Le fait d'être échangeable se traduit dans la sphère monétaire par le
prix.
Dans le système capitaliste la sphère de circulation des marchandises est visible mais peut
fondamentale. Cependant la sphère de production de la marchandise est invisible mais fondamentale.
La différence entre la valeur d'usage et la valeur d'échange c'est la plus value.
Rupture avec Marx car si le temps de production détermine la valeur de la marchandise, le patron va
demander à ses ouvriers de trainer pour l'objet ait plus de valeur.
Ricardo pense que si il faut peu de temps pour faire un marchandise le prix sera en effet peut élever
mais il faut en produire plus, c'est la moyenne sociale de la valeur.
Exemple : X temps avec machine en 2010 pour faire X production. C'est la moyenne sociale admise
qui fait la valeur.
Le chanteur, le poète etc... produisent une marchandise qui n'a pas d'utilité => valeur symbolique.
La processus de marchandisation en voie de développement : c'est l'autoconsommation, je
consomme ce que je cultive => cela devient marchandise par le suite.
• Travaille nécessaire : production que l'ouvrier doit faire en un jour => travail payer. L'ouvrier
ne sait pas quand il a fini le travail nécessaire, c'est voilé par le contrat de travail.
18) Le fascisme
Il est en liaison avec la période du capitalisme mûr (20ème siècle). Le fascisme n'est compréhensible
qu'en rapport à l'ensemble des caractéristiques de cette phase du capitalisme dont principalement :
• La grande production mécanisée : production/consommation de masse (fordisme et
taylorisme)
• Nécessité de reconstruction d'une communauté nationale : dont la base fictive peut être le
nationalité, la religion, ... Basé sur un processus de bouc émissaire qui n'est pas membre de la dite
communauté. C'est à travers la définition de ses exclus que la « communauté nationale » peut
devenir une dimension concréte.
• La voix des urnes et la cooptation des partis dit traditionnel, suffisent à la prise de
pouvoir du parti fasciste. La théorie du complot sert souvent à légitimer cette prise de pouvoir.
Cependant ces différents élément, prit isolément sont insuffisant pour définir le fascisme.
Pour Engels, il y action réciproque de 2 forces illégales, du mouvement économique et de la nouvelle
puissance politique qui aspire à une plus grande indépendance, une fois qu'elle est constitué est
douée aussi d'un mouvement propre. Cependant le mouvement économique domine mais il devra subir
la contre coup du mouvement politique.
Les fascistes, même si ils se sont opposer à certains aspect du capitalisme, n'ont jamais remis en
question sont mode de production : le rapport salariale, la propriété privée, l'exploitation de
l'homme...
Ce qu'il y a de spécifique des le fascisme c'est les rapports qu'ils entretiennent avec les changement
du au passage à la forme pleinement développée du capitalisme, Marx l'appelle « la phase de
soumission réelle du travail du capitale ». Le fascisme est un phénomène où les individus perdent
toutes propriété sur les conditions de leur travail, toute maitrise sur la production de leur vie.
Le totalitarisme est un mot caméléon, utiliser souvent dans un but plus polémique qu'analytique. Ce
terme a souvent servit à blanchir le camp démocratique et à camoufler la réabsorption par ce
camp d'élément essentiels du nazisme (ex : technique militaire, méthodes de propagande,...).
Mais à l'origine le concept de totalitarisme à été une tentative de certains oppositionnels d'intégrer
la contre révolution stalinienne. Mais la démocratie n'est-elle pas la plus fondamental des
totalitarismes lorsqu'elle se présente comme la de l'Histoire et l'incarnation réalisée de l'idée
moderne de l'État ?
Le fascisme partage avec la démocratie l'idéologie du fétichisme de la Nation.
Mais le danger existe de voir du fascisme dans toute répression un peu musclée de la forme
démocratique, rendant, par là, le concept des fascistes inopérant.
Les interprétations histographiques vont essayer d'analyser les fascistes comme étant des
pathologies du mode de production capitaliste, comme des dérapages qu'il suffisait de contrôler.
C'est là l'essence de l'anti-fascisme démocratique. Mais il ne faut jamais oublier que ce qui le
produit c'est le capitalisme mûr.
Le racisme, l'anti-sémitisme sont assimilés par les anti-fascisme démocratique, aux seuls fascismes
afin de le réduire à des pathologies diaboliques. Le régime mussolinien a du attendre 1938 pour
promulguer les 1er lois raciale alors qu'a sont début les juifs fasciste ne se comptaient plus en
Italie.
De plus les doctrine fasciste s'affirme universaliste, les mouvements fasciste existent dans tout les
continents.
Il y a absence de doctrine, celle-ci étant remplacées par le fait et la volonté.
Les fascistes ont tendance à adapter leur politique économique en fonction des exigences du
moment, cela confirme par ailleurs se fonction et sa capacité avérée ) gérer le capitalisme
développé, et ce pas uniquement en période de crise économique. Il faut penser au fascisme
musolinien pour voir la succession de différentes politiques économiques => retournement de position
de 180°. C'est un aspect de la modernité du phénomène fasciste.
Le rapport fondamental entre les fascistes et les MPC réside dans l'existence de l'individu citoyen,
vendant librement sa force de travail comme base de rapport social salarial.
Le capitalisme va détruire tout les communautés qui lui préexistait afin que n'existe face à lui que
l'individu/citoyen, entièrement libre de vendre sa force de travail et complètement séparé de sa
force de production et de vie. Mais cet individu séparer et atomisé doit être relié, réorganisé au
sein d'une psoeudo totalité qui lui donne sens ; il s'agit de l'État, de la communauté nationale. Il est
transcendé dans la Nation et sublimé dans le Chef; alors que c'est l'État, impersonnel, qui organise
concrètement la réalité de sa vie aliénée.
La Nation est l'indispensable compagne de l'État. Le moyen imaginer par les fascistes pour
l'État/Nation se porte bien c'est la fusion des individus avec lui.
Le fascisme touche l'ensemble des classes sociales, c'est un mouvement attrape tout qui affirme
avoir dépasser la lutte des classes.
Dès les années 1932, l'activité nazi s'affirmait clairement en direction de la classe ouvrière. C'est
élément démontre le caractère inter-classiste du recrutement et de l'influence nazie et démentent
l'analyse du phénomène en tant que simple instrumentalisation de l'unique petite bourgeoisie. Le
fascisme permet avec les réformes qui l'accompagne (plein emploi, fête du travail...) de comprendre
l'adhésion d'une partie importante de la population.
Ce moderne mécanisme tend à faire du prolétaire, un citoyen intégré à la communauté nationales.
Alors que au 18 et 19ème siècle, le prolétaire et ses organisations étaient, la plupart du temps,
rejetés hors de la société civile.
Attention : Les chômeurs ne furent pas la base du succès nazi.
En démocratie, le citoyen s'oppose au prolétaire et il en devient sont pire ennemi.
• Seconde phase : la venue au pouvoir, mécanisme de cooptation des fascistes, par l'essentiel
du vieille appareil d'État . C'est à ce moment que s'achève la révolution nationale et commence la
remise en ordre violente de la société : le régime fasciste. L'on y constate la convergence
d'intérêts entre les secteurs de l'économie, l'armé... et les nouvelles élites fascistes.
Nous seulement la démocratie s'est toujours livrée elle même au fascisme, mais le fascisme
réengendre aussi de lui-même la démocratie lorsqu'il ne correspond plus à l'état des forces politico-
sociales.
En Italie l'élément pilier était la structuration de la société autour de l'État, avec une grand
marginalisation du parti : « C'est l'État qui donne au peuple... »
En URSS le pilier est autour du Parti, c'est là que se restructure la totalité de la société et ce du
fait que de la destruction révolutionnaire de l'État tsaiste en 1917. La spécificité stalinenne
résident donc par le prise de pouvoir révolutionnaire par le prolétariat et est à la fois la
continuation formelle, dans le discours idéologique, de cette tentative révolutionnaire.
La Russie a servit d'exemple au fascisme, l'État ne différent en rien de ceux de l'Italie et de
l'Allemagne.
Dans l'Allemagne hitlérienne, seul certains appareil ou morceaux d'appareils, qui en concurrence
permanente les uns avec les autre, vont chacun, tendre à la reconstitution d'une totalité de type
étatique en démultipliant les centres de décisions dans tous les domaines importants (S.S, l'armé
,l'industrie,...). Seul, reste le Führer , comme garant d'une certaines cohérence.
En Espagne de Franco, le parti fasciste est très vite marginalisé et sert en quelque sorte d'élément
décoratif; alors que l'Église catholique va prendre une place de plus en plus prépondérante, de pilier
avec l'arme de la dictature fasciste.
L'Argentine de Peron prend le pouvoir démocratiquement en 1945, sont pilier est constitué par le
sydicat hégémonique : la CGT. Nationalisme et « justice sociale » constituent, l'essentiel du
programme péroniste. Adhésion des ouvriers par une réforme sociale (augmentation du salaire, ...) qui
sont permise grâce à la situation économique exceptionnelle, ces réforme participeront à la ruine du
régime en 1955.
Ces différences se concrétise, directement dans l'État ou dans les différentes structures, parti,
syndicat, Église,... et sont à chaque fois identifiés à la communauté nationale, en tant que totalité
pure.