Chapitre I:
Criminologie et
Sciences criminelles
Mais quel que soit le terrain sur lequel on se place, chaque fois qu’on
étudie les facteurs du comportement criminel, on se trouve dans le
cadre de l’étiologie criminelle, qui signifie la recherche de la
causalité criminelle et des facteurs qui ont présidé au comportement
criminel.
• Identifier la victime;
• Identifier l'agresseur;
• Identifier le procédé utilisé;
• Identifier la réalité du crime.
Mais le médecin légiste travaille aussi sur des vivants, dans la mesure
où il peut délivrer des certificats en cas de viol, en cas de sévices à
enfants, ainsi que dans d'autres situations qui supposent que la
victime examinée soit encore en vie.
2- L'enquête sociale
Chapitre II:
La biologie criminelle
PI: La théorie de LOMBROSO sur le
criminel-né
Catégories
d’arriération
Age mental
Quotient d’intelligence
Idiot
Jusqu’à 2 ans
De 0 à 19
Imbécile
De 3 à 6 ans
De 20 à 49
Débile
De 7 à 10 ans
De 50 à 69
Faible d’esprit
De 11 à 12 ans
De 70 à 89
Normal
Au-delà de 12 ans
90 et plus
Du point de vue criminologique et pénal, l’arriéré mental atteint
d’idiotie a un âge mental qui correspond à celui d’un enfant de deux
ans. L’idiot est incapable de comprendre la signification de l’interdit
pénal, et son irresponsabilité ne fait pas de doute.
L’imbécile ayant l’âge mental d’un enfant de trois à six ans, n’est
capable de comprendre que certains interdits graves tels que
l’homicide.
Il est à noter que dans sa vie relationnelle, dans ses propos et ses
sentiments, le psychotique reste incompris de son entourage.
c- le retrait social ;
d- les délires;
e- les hallucinations.
A- La psychose maniaco-dépressive
Les premiers sont bien gênants pour l’entourage, les seconds peuvent
exposer au risque de suicide.
Sur le plan criminologique, cette catégorie de patients lorsqu’elle ne
commet pas des actes de suicide, elle peut se trouver impliquée dans
un meurtre des membres les plus proches de la famille.
B- La schizophrénie
C- la paranoïa
C- L’hystérie
C’est dans cette catégorie qu’on range les tueurs en série, les
pyromanes, les cleptomanes et les mythomanes.
2- les pyromanes
3- les cleptomanes
4- Les mythomanes
• Les profiteurs
• Les vengeurs
Regroupant des mythomanes visant la nuisance à des personnes
déterminées (fausse accusation de vol, de viol, de maltraitance,
anonymographie…etc.)
• Les ludiques
- Colporteurs de rumeurs ;
B- La toxicomanie
- l'action confusionnelle
- l'action paranoïde
- l'action désinhibitrice
• l’exhibitionnisme
• le voyeurisme
• le sadisme et le masochisme
• L’homosexualité
• La pédophilie
• L'inceste
• La gérontophilie
A l'inverse de la pédophilie, la gérontophilie exprime une attirance
sexuelle envers les personnes avancées dans l'âge. Il s'agit d'une autre
anomalie dans le choix du partenaire sexuel assez réprouvée
socialement.
• La zoophilie
• La nécrophilie
• La transsexualité
• Le travestisme
Chapitre IV:
La psychologie
Criminelle
2- Le stade anal-sadique
3- Le stade phallique-œdipien
4- Le stade de latence
Parmi les poste- freudiens qui ont puisé dans le bagage conceptuel
freudien on peut citer: Marie Bonaparte, Aichhorn ou encore Kate
Friedlander.
Pour lui, la question capitale est celle de savoir comment des êtres
normaux parviennent à commettre des actes anormaux. En d’autres
termes, il s’agit de savoir comment l’homme peut-il devenir criminel.
2- la dynamique de la psycho-crimino-genèse
c- la phase de crise
d- la phase du dénouement
2- la labilité
3- l’agressivité
4- l’indifférence affective
Chapitre V:
La sociologie
Criminelle
A l’intérieur du courant socioculturel, on peut distinguer deux
grandes orientations, une orientation européenne classique axée sur
l’influence du milieu social .Et en second lieu, une orientation
américaine articulée sue les aspects culturels.
Les masses média ont été également étudiées dans leur rôle néfaste
sur la criminalité.
Les criminologues européens qui ont essayé de mettre l’accent sur les
facteurs extérieurs sont allés plus loin dans des tentatives
d’élaboration de pseudo lois sociologiques.
3-L’anomie
A- la criminologie interactionniste
B- La criminologie radicale
Chapitre VI:
Eléments sur
La victimologie
Cet ouvrage a attiré pour la première fois l’attention sur cette relation
latente qui existe entre le criminel et la victime. L’étude de la relation
intersubjective entre les deux pôles de l’action criminelle revêt un
grand intérêt pour les criminologues, ne serait-ce qu’au niveau de la
compréhension des situations pré-criminelles et des facteurs de la
criminalité, sans bien sûr omettre l’intérêt pour la politique criminelle
sur le plan de la prévention. L’évolution du droit pénal a continué à
ignorer la victime dans la dynamique criminelle, où on ne s’intéresse
à elle qu’en tant que partie civile. De même pour la criminologie
étiologique, tout l’intérêt était porté sur la personne du criminel.
2) les crimes contre des victimes fictives, ici la victime est diffuse et
générale (ordre public, santé publique…)