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En Aout 2007, Banque Al Maghrib a introduit huit nouvelles mesures de libéralisation dont le but est de

créer une grande souplesse dans la disposition des moyens internationaux de change. Ces mesures
touchent les éléments suivants : le change direct, les exportations, les importations, les investissements
en portefeuille, etc.

La phase de 2007-2010 constitue les premiè res réflexions sur le projet de réforme du régime de change,
bien avant que le Maroc n’ait obtenu l’accord pour la Ligne de précaution de liquidité (LPL) et en même
temps pour accompagner le projet Casablanca Finance City et les accords de libre échange signés avec
plusieurs pays.

Le Maroc qui a signé 56 accords de libre-échange (ALE), est actuellement


vulnérable aux chocs exogènes, dans un contexte international marqué
notamment par la régularité et l’ampleur des crises. D’où l’importance de
l’immuniser. «Le régime de change fixe n’est plus adapté à la situation
actuelle», souligne Issami.

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