I. INTRODUCTION ............................................................................................................................... 1
II. L'historique des processeurs ........................................................................................................... 1
III. Qu’entend-t-on par architecture ? .............................................................................................. 5
1. L'UNITE DE CALCUL ...................................................................................................................... 6
2. L'UNITE DE CONTROL .................................................................................................................. 7
VI. Les types de processeur .............................................................................................................. 8
1. Processeur dédié ......................................................................................................................... 8
2. Processeur a usage universel ...................................................................................................... 8
VII. Caractéristique de processeur a usage universel & usage spécifique ........................................ 9
VIII. Exemple de processeur : ............................................................................................................ 9
IX. Les avantages et les convenions ................................................................................................. 9
X. Conclusion ....................................................................................................................................... 9
I. INTRODUCTION
L'informatique, contraction d'information et automatique, est la science du traitement de
l'information. Apparue au milieu du 20ème siècle, elle a connu une évolution extrêmement
rapide. A sa motivation initiale qui était de faciliter et d'accélérer le calcul, se sont ajoutées
de nombreuses fonctionnalités, comme l'automatisation, le contrôle et la commande de
processus, la communication ou le partage de l'information.
Dans ce mini projet nous avons fait une étude théorique de l’architecture de processeur a
usage universel (GPP), définition d’architecture et de processeur
1974: L'Intel 8080 est le premier CPU Intel à ne pas être conçu d'un étranger et donc à
disposer d'une réelle polyvalence quant à sa simplicité d'implantation hardware. Avec ses
6000 transistors il atteint un vitesse de 2 MHz et accepte une RAM de 64 Ko.
1975 : Après la crise pétrolière de 1973, Motorola se voit contraint de réduire ses effectifs.
Les ingénieurs de Motorola réagissent et construisent un processeur basé sur une
architecture 8 bits, très simplifié et vendu 25$. Il a un énorme succès malgré ses limitations
hardware. Il équipe les ordinateurs et les consoles de jeux. Cadencé à 1MHz.
1976 : Le Zilog Z80 s'apparente au 8080 d’Intel mais il est moins cher, et plus évolué ;
toujours avec un bus de 8 bits, il comporte un rafraîchissement intégré de la mémoire
DRAM, une cadence allant jusqu'à 2,5 MHz, puis avec les améliorations, jusqu'à 4 MHz. Il
comporte 8500 transistors
1982 : L'Intel 80286 est le successeur du 8086. Il a 134000 transistors et il est cadencé a 8
MHz. Par rapport aux processeurs précédemment évoqués, il fonctionne en 16 bits ce qui lui
permet d'être deux fois plus rapide que le 8086. Cette nouveauté est une évolution puisqu'il
est le premier processeur multitâche au sens hardware du terme, c'est à dire capable de
gérer plusieurs éléments en même temps. La firme multinationale IBM est la première à
équiper ses ordinateurs avec ce processeur.
1985 : L'Intel 80386 intervient suite à l'échec du iAPX432 de 1981. Comme ce dernier, il
fonctionne en 32 bits et accepte 4 Go de RAM. Il est composé de quatre niveaux d'exécution,
d'une gestion de mémoire simple et plus évoluée que ses prédécesseurs. Il est cadencé entre
12 et 16 MHz et embarque 275000 transistors.
1988 : L'arrivée de l'entreprise Cyrix sur la scène internationale n'est pas passée inaperçue.
Ses microprocesseurs, les FasMath, joueront un rôle majeur dans la décennie suivante avec
les clones des Pentium de Intel. Ils sont réputés 20 à 30% plus puissants que leurs
homologues
1995 : L'Intel Pentium Pro est bâti sur une nouvelle architecture, la "P6" . Celle-ci permet de
convertir des informations complexes en micro-instructions qui peuvent être ré-agencées
dans le pipeline afin d'être exécutées dans le désordre (Out Of Order). Ce microprocesseur
était réservé aux serveurs. Il est produit en différentes version cadencées à 150, 166 et 200
MHz. Le Pentium Pro embarque 5,5 millions de transistors.
Figure 4: Intel Pentium pro
1996 : Le Cyrix 6x86 possède une architecture proche de celle du Pentium Pro, il fonctionnait
sur les mêmes cartes mères que les Pentium et s'avérait plus performant à fréquence égale.
Il était cadencé à 133MHz et comportait 6,6 millions de transistors. Le 6x86 était
économique et rapide mais se voyait ralentit au niveau de son unité flottante (FPU)
2000 : En l'occasion du nouveau millénaire, les ingénieurs d'Intel ont décidé d'équiper leur
dernière puce de la génération Pentium, d'une nouvelle architecture, la "netburst", afin de
remplacer la P6. La netburst était entièrement optimisée pour le débit, mais qui dit débit dit
également puissance. Donc avec une fréquence qui ne dépassait pas les 1,5 GHz, ce
microprocesseur s'avérait plus lent que les anciens Pentium 3. Avec des versions plus
puissantes comme celle à 2 GHz, la vitesse fut améliorée, mais en voulant atteindre les 4
GHz, Intel a observé un problème trop important de surchauffe et fut contraint
d'abandonner la netburst. Ce processeur possède 125 millions de transistors.
2003 : Intel ayant réalisé que l'architecture trois ans plus tôt n'était pas faite pour les
économies d'énergies, décida de revenir sur l'architecture des Pentium 3 et de sortir un plan
B : le Pentium M. Il consomme peu d’énergie pour de bonne performance et se voit
remporter un franc succès sur de nombreuses machines dénommées Centrino.
2008 : Voici le microprocesseur le plus récent et performant d'Intel de nos jours, le core i7.
Les Core x se déclinent selon trois générations de l'évolution de l'architecture P6 : les ix, les
Sandy Bridge ix 2000 et Ivy Bridge ix 3000. Ils sont les microprocesseurs actuels les plus
performants et devancent de plus en plus l'autre géant, AMD. La première générations de ix
possède environ 750 millions de transistors ; la deuxième en embarque environ 1,15
milliards et la troisième générations en a 1,4 milliards
Figure 5:Intel i7
- etc
1. L'UNITE DE CALCUL
Elle est constituée de l’Unité Arithmétique et logique UAL et d’un certain nombre de
registres
Elle est constituée d'un circuit logique combinatoire qui reçoit deux opérandes A (An .
. . A1 A0) et B (Bn . . . B1 B0) et produit le résultat S (Sm . . . S 1 S 0) selon l'indication
appliquée sur l'entrée C (Ck . . . C1 C0). Les opérations réalisées peuvent être soit
arithmétiques, S=A+B, S=A-B, S=AxB … ou logiques S=A OU B, S=A ET B, S= A XOR B
Les registres :
Ce sont des mémoires élémentaires pouvant contenir chacun un opérande. Les registres
peuvent être de 8, 16 ou 32 bits.
2. L'UNITE DE CONTROL
C'est l'unité de control qui supervise le déroulement de toutes les opérations au sein du
Processeur. Elle est constituée principalement de :
L’horloge :
C'est l'horloge qui génère les signaux qui permettent le cadencement et la synchronisation
de toutes les opérations. Attention, l'horloge n'est pas une montre au sens commun du
terme, c'est juste un signal carré qui a une fréquence fixe (3 Ghz par exemple), a chaque
coup (front) d'horloge, le microprocesseur (qui ne l'oublions pas n'est qu'un circuit
électronique) réalise une tache élémentaire. L'exécution d'une instruction nécessite
plusieurs coups d'horloges.
Il existe des processeurs qui exécutent une instruction par coup d'horloge.
Le compteur programme PC
Le registre d'instruction RI
Le décodeur
C'est lui qui va "décoder" l'instruction contenue dans RI et générer les signaux logiques
correspondant et les communiquer au séquenceur.
Le séquenceur
Il gère le séquencement des opérations et génère les signaux de commande qui vont activer
tous les éléments qui participeront à l'exécution de l'instruction et spécialement l'ALU.
Le registre d'état
Le registre d'état est formé de plusieurs bits appelés drapeaux ou indicateurs ( Flags ) qui
sont positionnés par l'ALU après chaque opération. Par exemple l’indicateur Z indique quand
il est positionné que le résultat de l'opération est égal à Zéro. L’indicateur C indique que
l'opération a généré une retenue. Le bit N indique que le résultat est négatif … On dispose
d'un jeu d'instructions conditionnées par l'état de différents drapeaux
1. Processeur dédié
Les processeurs dédiés sont entièrement affectés à une seule partition logique.
Si vous choisissez d'affecter des processeurs dédiés à une partition logique, vous devez en
affecter au moins un. De même, si vous voulez retirer des ressources processeur d'une
partition logique dédiée, vous devez supprimer au moins un processeur de cette partition
logique.
Sur des systèmes gérés par une console HMC (Hardware Management Console), des
processeurs dédiés sont affectés à des partitions logiques à l'aide de profils de partition.
Par défaut, une partition logique arrêtée qui utilise des processeurs dédiés voit ceux-ci mis à
la disposition des partitions logiques non bridées utilisant des processeurs partagés. Si une
partition logique non bridée a besoin de ressources processeur supplémentaires, elle peut
utiliser les processeurs inactifs appartenant à la partition logique dédiée hors tension, à
condition que le nombre total de processeurs utilisés par la partition logique non bridée ne
dépasse pas le nombre de processeurs virtuels qui lui sont affectés, et que l'utilisation de ces
processeurs inactifs n'entraîne pas le dépassement du nombre maximal d'unités de
traitement du pool de traitement partagé. Lorsque vous activez la partition logique dédiée
alors qu'une partition logique non bridée utilise les processeurs, elle récupère toutes ses
ressources de traitement. Si vous utilisez la console HMC, vous pouvez empêcher que les
processeurs dédiés soient utilisés dans le pool de traitement partagé en désactivant cette
fonction dans les panneaux de propriétés des partitions de la console.
Vous pouvez également définir les propriétés d'une partition logique utilisant des
processeurs dédiés de sorte que les cycles de traitement inutilisés sur ces processeurs
puissent être mis à disposition des partitions logiques non bridées lorsque la partition
logique des processeurs dédiés est en cours d'exécution. Vous pouvez à tout moment
changer le mode de partage des processeurs dédiés sans être obligé d'arrêter et de
redémarrer la partition logique.
X. Conclusion