Département d’Electrotechnique
Thème :
Commande Vectorielle
de la Machine Asynchrone
sous la Carte DS1104
• Fait par :
Lashab Abderezak.
• Dirigé par :
Dr : A. L. Nemmour
Mes frères,
Toute ma famille,
hamza)
Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
2.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3.7.1.1 Estimateur de s et
_ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3.7.1.2 Le decouplage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3.7.1.3 Le regulateur de courant isd . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3.7.1.4 Le regulateur de courant isq . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3.7.1.5 Bloc MlI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3.7.1.6 Onduleur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3.7.1.7 modele de la machine asynchrone . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3.7.2 Resultat de la simulation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3.7.2.1 Réponse à un échelon de vitesse en charge . . . . . . . . . . . . . . . .
3.7.2.1 Poursuite de vitesse à vide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3.8 Essais expérimentaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Conclusion generale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
RESUME . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
.BIBLIOGRAPHIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Notation et Symboles
1. introduction générale :
Pour ce faire, nous devons calculer les gains des correcteurs proportionnels –
intégral (PI) présents dans les différentes boucles de régulation constituant la
structure de commande vectorielle. Enfin, nous réalisons les différents essais en
régulation et en poursuite de vitesse à vide et en charge.
1
Chapitre 1
modelisation de la
machine
asynchrone
modelisation de la machine asynchrone
ChapitreI
I.1 Avantages du moteur asynchrone :
La machine asynchrone a cage est le moteur le plus repandu dans l’industrie :il
est robuste, fiable, economique, il est egalement apprecie pour sa très bonne
standardisation.
D’autre part, on ne peut pas connaitre les variables internes du rotor a cage (Ir
par exemple) qu’a travers le stator. l’inaccessibilite du rotor nous amenera à modifier
l’equation vectorielle rotorique pour exprimer les grandeurs rotoriques à travers leurs
actions sur le stator.
• Parfaite symetrie.
• Assimilation de la cage à un bobinage en court-circuit de même nombre de
phases que le bobinage statorique (c'est-à-dire 3).
• Répartition sinusoïdale, le long de l’entrfer des champs magnetiques de chaque
bobinage,
• Absence de saturation dans le circuit magnétique.
Le système d’axes (d,q) est elaboré à partir des transformations de Park et de Clark.
2
modelisation de la machine asynchrone
ChapitreI
I.4 Modèle mathématique de la MAS :
Dans le repère triphasé, les trois vecteurs Sa, Sb, Sc, sont orientés selon les axes
des trois enroulements statoriques de la machine. Il est de même pour le rotor.
3
modelisation de la machine asynchrone
ChapitreI
En tenant compte des hypothèses mentionnées précédemment les équations
électriques des tensions statoriques et rotoriques peuvent s'écrire sous forme
matricielle en appliquant la loi d'Ohm comme suit:
Pour le stator
1.1
Pour le rotor
1.2
Les grandeurs, [Vsabc], [Isabc], [ψsabc], sont des vecteurs de dimension 3x1
définit comme suit:
= ;
=
; = 1.3
0
= 0 ;
=
; = 1.4
0
Les matrices des résistances des enrouements statoriques et rotoriques sont définies
comme suit:
1 0 0 1 0 0
=Rs0 1 0 ; =Rr0 1 0 1.5
0 0 1 0 0 1
Les flux totaux de la machine sont en relation avec les courants par l'intermédiaire des
équations suivantes:
4
modelisation de la machine asynchrone
ChapitreI
&
&'
(
% 1.6
&
&'
Avec :
* *' *'
&=*' * *' 1.7
*' *' *
- ;
, cos 32 4 2 5 8 9 cos 32 2 5 8 9 cos2 :
67 67
Où:
M: Maximum de l'inductance mutuelle entre une phase du stator et une phase de rotor.
Notons que la matrice des inductances mutuelles rotoriques n'est d'autre que la
transposée de celle des inductances mutuelles statoriques; &' &' .
Pour simplifier les équations, les repères de Park des grandeurs statoriques et
rotoriques doivent coïncider, ceci est possible grâce à la relation suivante:
2 2 2 (1.9)
1 1 1
. <
2 2 2
2- BC BC ;
;
? - @2 @ A2 4 2 5 D @ A2 2 5 D 1.10
3- 3 3 ;
- BC BC ;
,4CE2 4CE A2 4 2 5 D
3
4CE A2 2 5 D:
3
6
modelisation de la machine asynchrone
ChapitreI
F
On a choisi ( 8 ), pour les valeurs inchangées des amplitudes des tensions,
courants, et flux. 2 Est l'angle entre l'axe d et l'axe de référence dans le système
triphasé.
J J J
G@ . F F F < G
F- ;
GH - @2 @ 32 4 2 5 9 @ 32 2 5 9 ; G 1.11
67 67
GI
8 8 8
- 67 ; G
,4CE2 4CE 32 4 2 5 9 4CE 32 2 5 8 9:
67
8
1 @2 4CE2
G . 67 < G@
G 8 - 1 @ 32 4 2 5 8 9 4CE 32 4 2 5 8 9 ; GH
67
1.12
F
- 67 ;
G
,1 @ 32 2 5 8 9 4CE 32 2 5 8 9 : GI
67
- Repère d’axes dq fixe lié au stator ou repère stationnaire (θs=0). Les grandeurs
électriques évoluent en régime permanent électrique à la pulsation statorique ωs. Cette
méthode sera retenue très souvent dans l’étude des observateurs.
7
modelisation de la machine asynchrone
ChapitreI
- Repère d’axes dq lié au rotor (θsl = 0). Les grandeurs évoluent en régime permanent
électrique à la pulsation des courants rotoriques ωsl. Elles sont de faible fréquence
(fréquence de glissement).
- Repère d’axes dq lié à l’un des flux de la machine. Le modèle est simplifié par
l’utilisation d’équations plus simples. En régime permanent électrique les grandeurs du
modèle sont continues. Cette méthode est souvent utilisée dans l’étude de la commande.
Symbolisé par le vecteur flux statorique, le champ tournant est le champ crée par
le bobinage statorique et qui tourne en régime permanent à la vitesse de synchronisme.
Si on choisit de fixer le repère dq lié au champ tournant alors on a:
L M L L L L BΩ 1.13
K
Pour le stator :
H
H 4 Q PI
P
O
1.14(
I
I Q PH
PR
Pour le rotor :
HPH
H 0
H 4 Q 4 B ΩPI
S HT 1.15(
HPI
I 0
I Q 4 B ΩPH
HT
8
modelisation de la machine asynchrone
ChapitreI
Ceux des flux totaux ayant pour valeur:
Vsd et vsq (respectivement vrd et vrq) sont les tensions statoriques (respectivement
rotoriques) d’axes d et q ;
isd et isq (respectivement ird et irq) sont les courants statoriques (respectivement
rotoriques) d’axes d et q ;
sd et I (respectivement rd et rq) sont les flux statoriques (respectivement
rotoriques) d’axes d et q ;
w1 est la vitesse angulaire des axes d et q dans le repère statorique et w1-p Ω r la vitesse
des axes d et q dans le repère rotorique ;
Ωr est la vitesse (mécanique) de rotation de la machine asynchrone ;
Rs (respectivement Rr) est la résistance statorique (respectivement rotorique) ;
Ls (respectivement Lr) est l’inductance statorique (respectivement rotorique lr) valant
la somme de l’inductance de fuite statorique ls (respectivement rotorique lr) et de
l’inductance de magnétisation M.
9
modelisation de la machine asynchrone
ChapitreI
3
Y Z[ ? H
I 4 I
H
W 2
3 ( 1.18
Z[ ? I
H 4 H
I
X 2
W 3
I
H 4
H
I
VZ[ 2 ?U
Z[ \T H
I 4 I
H 5
Où:
\T 1.19
8 ]^
F _
Notons que c'est la relation (*) qui sera retenue, car elle dépend des variables
d'état adoptées.
a HΩ
b[ 4 b 1.20
HT
Où :
P est le nombre de paire(s) de pôles ;
J est le coefficient d’inertie des masses tournantes ;
br est la somme des couples résistants.
D’abord remplaçons les courants rotoriques et les flux statoriques à partir de (1.16),
(1.17):
10
modelisation de la machine asynchrone
ChapitreI
1 U
H H 4 CH
S & & ( 1.21
1 U
I I 4 CI
& &
UF U
Y H c& 4 d
H H
& &
1.22(
X U
V I & 4 U /&
I & I
F
H
H 1 UF 1 U 1 U 1
Y 4 c d
H Q
I A F D H A D Q H H
W HT f& & f& & f& & f&
F
W H
I 1 UF 1 U 1 U 1
W 4Q
H 4 c d
I 4 A D Q H A F D I I
HT f& & F f& & f& & f& 1.23(
X H H U
W
H 4 H Q I
W HT & &
W H I U
V
I 4 I 4 Q H
HT & &
Où : σ 1 4
hi
jkjl
est le Coefficient de dispersion.
dX
AXBU 1.24
dt
On aura:
1
H . 0<
- f& ;
I H - 1 ;
Gy z ;{ | } ;~ 0 1.25
H I - f& ;
I - 0 0 ;
, 0 0 :
11
modelisation de la machine asynchrone
ChapitreI
4 _ 3 _ 9 Q 3 9 3 9Q
J J ^i J ^ J J ^
. _ _ _ _ <
- ;
- 4Q 4 3 9 4 3 9Q 3 9
J J ^i J ^ J ^ J
;
A=- _ _ _ _ _ _
; (1.26)
0 4 Q 4 Q
^ J
- ;
- ;
,0 4 Q 4 Q 4
^ J
:
Conclusion :
12
Chapitre 2
commande
vectorielle a flux
rotorique orienté
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
II.1. Introduction
De multiples applications industrielles qui sollicitent un contrôle délicat du
couple, vitesse et/ou position, où la commande scalaire avec ses performances modeste
ne peut satisfaire.
La commande FOC est initialement proposée en Allemagne dans la fin des années
60 et début des années 70 par deux méthodes distinctes, l'une qui, en imposant une
vitesse de glissement tirée de l'équation dynamique du flux rotorique afin d'assurer
l'orientation du flux (Hasse) connu par IRFOC, et l'autre qui utilise l'estimation ou la
mesure du flux pour obtenir l'amplitude et l'angle indispensable pour l'orientation du
flux (Blaschke) connu par DFOC.
14
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
Mais sans omettre que la IRFOC dépend des paramètres de la machine et notamment la
constante de temps rotorique Tr et surtout la résistance rotorique Rr [3].
Ces deux méthodes citées s'appuient sur l'orientation du flux rotorique (en fait
c'est le repère dq qui est orienté), d'autres techniques ont été introduites telle que
l'orientation du flux statorique SFOC avec les deux formes directe et indirecte, et
l'orientation du flux d'entrefer, mais leurs performances sont moindres par rapport aux
premières, d’autant qu’elles exigent des algorithmes plus compliqués et surtout la
compensation au découplage qui est très sensible aux erreurs.
Un choix adéquat du repère (dq) de Park, choisi de façon à ce que l’axe d soit
aligné avec la direction du vecteur flux rotorique, permet de réaliser un tel découplage.
Nous parlons alors de contrôle vectoriel à flux rotorique orienté.
15
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
2.1
2.2
2.3
2.4
" # $
& – &
% %
# $
&
&
% %
2.5
! $ $
0
&
%
$ $
0
&
%
16
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
$+ $
" # *$
,
& – &
+ % +
$+ $
# *$
,
&
&
+ % +
2.6
! $ $
0
& &
%
$ $
0
& &
%
./ 0 0 0 2.7
0 2 2.8
17
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
Remarque :
Pour l’élaboration des lois de commande, on agit uniquement sur les lois de commande
sans toucher le modèle de la machine, on introduit les modifications suivantes :
1 er pas : rq=0
Ceci implique que le couple de la machine asynchrone est constant comme le cas de la
machine à courant continu.
2 éme pas :
Sous la forme de Laplace, l’équation (2.3) devient :
$ $
4
5
2.9
Soit :
:;<
789 =;
:;
2.10
8>
=;
Nous remarquons que l’équation (2.10) est un système de premier ordre le flux
18
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
3 éme critere : rd doit être maintenu constant. L’équation (2.5) implique :
& &
$
2.11
F
0 G H
2.12
_
./ ^
Is Is
2.13
Si nous choisissons le référentiel tournant (T) tel que % soit calé sur l’axe (d), nous
avons =0 et %=. Par la suite, nous utiliserons la notation suivante :
= (2.14)
Le couple électromagnétique est alors égale à :
a
./ ^ Is
2.15
La figure (2.3) présente une structure de contrôle vectoriel à flux rotorique orienté. Ce
schéma correspond à une commande vectorielle de type direct dans laquelle le flux rotorique
est asservi à une valeur de consigne.
19
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
20
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
21
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
II.7 Calcul de b :
Les grandeurs d’état ou de sorties utilisées pour l’élaboration de la commande sont
souvent difficilement accessibles pour des raisons techniques (c’est le cas du flux) ou pour
des problèmes de cout.
Le flux ne peut être reconstitué par :
• Des estimateurs utilisent en boucle ouverte,
• Des observateurs corrigeant en boucle fermée les variables estimées.
Les estimateurs reposent sur l’utilisation d’une représentation de la machine sous
forme d’équation de Park définie en régime permanent (estimateur statique) ou
transitoire (estimateur dynamique). Il sont obtenus par une résolution directe des
équations associées à ce modèle.
L’intérêt d’une telle approche conduit à la mise en œuvre d’algorithme simple et donc
rapides, toutefois ils sont peu robustes aux variations paramétriques (résistance
rotorique et statorique, mutuelle, etc..).
_
789
2.16
1
cd
II.8 Calcul de ef gh if :
a m8n
j kΩ
2.17
o pqr
L’équation n’est pas exploitable telle quelle puisque rstu est nulle au démarrage du
moteur.
Nous utilisons, pour l’implantation, l’équation suivante :
_
j kΩ
2.18
c 789
v
Avec ε=0.01
Nous avons alors :
22
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
1
x &
2.19
De même, l’expression exploitable est la suivante :
1
x & _yz2{|
2.20
# $
&
Fm8F
} F9
# $
&
&
Fm8n F
(2.21)
F9
#
$
d &
~ F
#
$
d
&
&
(2.22)
# Vsd_r
Vsd_c
# Vsq_r
Vsq_c
(2.23)
Avec :
Vsd_r
$
d
Vsq_r
$
d
(2.24)
23
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
Les tensions de commande Vsd et Vsq sont alors reconstituées à partir des
tensions vsd_r et Vsq_r comme le montre la Figure (2.4) :
1
#_
2.26
$
d
1
#_
2.27
$
d
Nous souhaitons obtenir en boucle fermée une réponse de type 2éme ordre.
Soit un régulateur proportionnel-intégral classique de type :
24
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
k
^
2.28
Pour que la réponse du système soit optimale, les deux pôles de fonction de
transfert en boucle fermée doivent être imposés comme le montre la figure 2.6.
d + +2 S+2 + (2.30)
25
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
8>
:q
> 8>
(2.31)
=q =q
2 +
}>@8
8
2
(2.32)
8
Soit finalement :
2 +
(2.33)
^ 2 $
Remarque :
Les deux regulateurs de courant sont identiques
8>
c (2.34)
>
8>
c (2.35)
> >
26
commande vectorielle a flux rotorique orienté ChapitreII
2 +
^ 2
(2.36)
Conclusion :
Dans ce travail, une étude numérique de la commande par la stratégie
d’orientation de flux rotorique d’un moteur asynchrone alimenté en courant est
présentée.
Le chois convenable du modèle d’action associé au choix du référentiel est l'étape pri
ordiale dans cette étude.
La commande par orientation de flux est un outil de contrôle fort intéressent au
fonctionnement réel et pratique de la machine asynchrone dans ses applications
industrielles. Cette technique de commande est devenue faisable sur ce type de
machines grâce à la possibilité de découplage de flux du couple, de façon, presque
analogue, à celle appliquée sur la machine à courant continu. Cette faisabilité lui
permettra d'être, grâce à ses qualités technico-économiques très attrayantes, un
substitut, sans aucun doute, à la machine à courant continu.
Dans ce type de commande la qualité, des performances, en régime statique ou
dynamique est assurée.
Les résultats de l'étude obtenus montrent que le régime transitoire est moins oscillant
et qu’avec un simple régulateur classique, du type PI, les variations brusques de la
charge sont amorties, les pics sur les valeurs du couple sont évités, le régime transitoire
concernant les composantes du flux est nettement amélioré. Néanmoins, seule la
réponse de l'ensemble du système est relativement lente, mais acceptable.
27
Chapitre 3
Simulation et plate
forme experimentale
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
28
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
29
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
30
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
Nous sommes en mesure de calculer les gains proportionnel (KP) et intégral (KI)
des quatre correcteurs PI présents dans la structure de contrôle vectoriel. Pour ce faire,
la technique de placement de pôles est utilisée.
La dynamique de l’onduleur qui est commandé en MLI est une fréquence de 9.5 kHz.
paramètres valeurs
Rs 8.5 Ω
Rr 4.59 Ω
Lr 0.5999 H
Ls 0.5999 H
M 0.5507 H
paramètres valeurs
J 0.0019 Kg.m
F 0.00263 Kg.m /s
31
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
Kp Ki
Boucles internes de courant 331.2137 6.1148e+005
Régulateur de vitesse 0.1114 3.4200
Régulateur de flux 569.5900 2.5342e+003
La figure 4.9 illustre le bloc calcul (ws, θs, φrd),la constante ‘0.01‘additionné permet
de rendre le calcul possible quand φrd=0 ,c'est-à-dire au démarrage du moteur.
32
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
III.7.1.2 Le decouplage:
Compte tenu de la valeur limite de la norme de la tension statorique evoquee au
2354,les saturation sur vsd_ref et vsq_ref sont fixees a 350 V. figure 4.6
33
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
III.7.1.4 Onduleur :
A partir du modele du moteur, basee sur des blocs simple et fichie.M dans lequel
les parametres de la machine .
les entres de bloc vsa,vsb et vsc ainsi , le couple resistant .
seules les sorties isa, isb, isc et Ω seront utilisees dans notre application.
34
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
35
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
36
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
Figure 3.9
Figure3.9 (ZOOM)
Figure 3.10
37
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
Figure 3.11
Figure 3.12
38
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
Figure 3.13
Figure 3.14
39
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
• Les figures Figure 3.9, Figure 3.10 et Figure 3.11 montrent le résultat obtenu pour
la partie de Réponse à un échelon de vitesse en charge ,on démarre la machine à
vide puis on applique d’un couple de charge de 2 (N.m) à l’instant t=0.8s, et à
vitesse de rotation mecanique 120 rd/s.
La figure 3.9 illustre la vitesse suit sa référence mais à l’instant où l’on charge (t=0.8s) de
moteur, on remarque une diminution de la vitesse (freinage de la machine) .
La figure 3.11 montre la composante du courant statorique isq, les signaux suivent leurs
références mais à l’instant de charge (t=0.8 s) le courant est augmenté.
La figure 3.10 présente le courant statorique isd, les signaux suivent leurs références
mais Il faut bien remarquer que à l’instant de charge (t=0.8 s) le courant reste stable.
• Pour les figures Figure 3.12, Figure 3.13 et Figure 3.14 qui presnte la partie
Poursuite de vitesse à vide , on démarre la machine à vide sous une cosigne de
100 rd/s(vitesse de rotation mecanique).puis on applique une cosigne de 140
rd/s d’un à l’instant t=0.55s, et à vitesse de rotation mecanique 120 rd/s.
La figure 3.12 illustre la vitesse suit sa référence et à l’instant où l’on change la cosigne,
on remarque que la vitesse continu suit sa référence.
La figure 3.14 montre la composante du courant statorique isq, les signaux suivent leurs
références mais à l’instant de charge (t=0.55 s) le courant est augmenté.
La figure 3.13 présente le courant statorique isd, les signaux suivent leurs références
mais Il faut bien remarquer que à l’instant (t=0.55 s) le courant reste stable.
40
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
41
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
Les schémas de commandes sont réalises sous SIMULINK contenant les convertisseurs
ADC (analogique numérique) et DAC (numérique analogique), en plus dans ces schémas,
il y a des gains insérer dans le modèle de control pour l’adaptation des signaux entrant
essais en simulation sous Simulink, nous pouvons maintenant réaliser quelques essais
ControlDesk.
42
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
43
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
44
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
45
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
Conclusion :
46
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
Conclusion generale :
Il était important d’elaborer dans le cadre du fonctionnement de la plate forme un
document de synthese illustrant les differents etapes d’implantation d’une commande
temps réel.
L’objectif est atteint.
Les problemes inherenets a toute adaptation d’une commande simulée sur un procédé
réel,et particulierement sur un banc de ce type ,ont été
abordés :retards,asynchronismes, déphasages,saturation ,variation de parametres du
modele.l’accroissement de la complixité des algorithmes ,et donc l’allongement des
temps de calcul ,peut rendre difficile leur implantation.
Dans ce cadre ,une modification de la carte de pilotage MLI a été proposée.
Les limites,prévisibles,de la commande vectorielle a flux orienté avec estimateur en
boucle ouverte sont clairement etblies :un certain nombre de grandeurs sont mal
maitrisées(tension et courant sttorique).l’étude a d’autre part été realisée dans
l’hypothese d’une dynamique de vitesse lente(Ω ! 0) afin de travailler sur des equations
d’état linéaires.
Les recherches actuelles portent sur l’élaboration d’observateurs plus performants,afin
de maitriser correctement les états du système .la supression du capteur de vitesse reste
un objectif pour les industriels.les commande discretes de type D.T.C (Direct torque
control) sont a l’etude et offrent des perspectives tres attractives en termes de
performances dynamiques.
Sur un plan pédagogique,il est envisagé de proposer des travaux pratiques sur la plate
forme dans le cadre de la formation d’ingenieurs.le projet est intressant :pour
l’automaticien,qui est ainsi amené a travailler sur un procédée particulierement difficile
a piloter,et pour l’éleve ingenieur qui doit apprendre a extraire d’une theorie les
elements partinents et applicables dans l’état de la technologie a un instant donné.
47
Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
BIBLIOGRAPHIE
[1] Nahidmobarakeh B., Hénao H., Betin F. et Capolino G.- A., « Une maquette modulaire
pour l’initiation à la commande vectorielle des machines à induction », Actes du 4ème
Colloque sur l’Enseignement des Technologies et des Sciences de l’Information et des
Systèmes (CETSISEEA’03), Toulouse, 13 et 14 novembre 2003, pp. 301-304.
[3] B. K. Bose, “Modern Power Electronics and AC Drives”, Chapitre 8, Prentice Hall, New
Jersey, 2001.
[4] Mohan N., « Advanced Electric Drives: Analysis, Control and Modeling using Simulink
», MNPERE, 2001.
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Simulation et plate forme experimentale Chapitre III
RESUME
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Conclusion
générale
Conclusion générale
Conclusion generale :
[1] Nahidmobarakeh B., Hénao H., Betin F. et Capolino G.- A., « Une maquette modulaire
pour l’initiation à la commande vectorielle des machines à induction », Actes du 4ème
Colloque sur l’Enseignement des Technologies et des Sciences de l’Information et des
Systèmes (CETSISEEA’03), Toulouse, 13 et 14 novembre 2003, pp. 301-304.
[3] B. K. Bose, “Modern Power Electronics and AC Drives”, Chapitre 8, Prentice Hall, New
Jersey, 2001.
[4] Mohan N., « Advanced Electric Drives: Analysis, Control and Modeling using Simulink
», MNPERE, 2001.
SUMMARY
During this project, we must determine the parameters and establish a structure of
vector control in real time of an asynchronous machine fed by a voltage inverter with
IGBT in the Matlab / Simulink / dSPACE. With the experimental platform instrumented
using the dSPACE hardware, we can focus on the control scheme of the application
without losing too much time on details of the programming making up the
microprocessor control board used.