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Depuis un bon nombre de temps que certains haïtiens laissaient leur territoire

pour s’installer un pays voisin, qui a connu un peu du succès que le nôtre c’est-à-
dire dans ses avances économiques. Ils étaient laissés le pays dans le but d’aller à
la rencontre d’une vie meilleure. Quand ils arrivaient là-bas, ils connaissaient des
moments difficiles voire pires de ce qu’ils enduraient en Haïti. Soudainement une
nouvelle adaptation tenait sa place dans le milieu où ils s’installaient. Ils étaient
considérés comme une bête noire pour la majorité des dominicains. La
ségrégation raciale faisait le sujet tabou connu clandestinement sur une nouvelle
forme de néologisme dénommait anti-haïtiens tandis que d’autres pays
prônaient la fin des préjugés et la réconciliation sans y rendre compte qu’ils
existaient une sorte de guerre frontalière entre deux pays voisin et d’esclavage
moderne. République dominicaine considérant comme étant l’ennemi acharné
des enfants d’Haïti, celle qu’on avait tendu la main lorsqu’elle était dans l’abime.
Elle ne respecte pas le droit des haïtiens en condition migratoire. Quand Haïti fut
plongé dans le chaos total, il ne restait quasiment le tiers de la population,
certains habitants un peu partout d’Haïti quittaient le pays pour se rendre dans
les autres pays pour la question politique et économique du pays. La majorité
d’entre eux qui n’ont pas de moyen pour voyager dans un pays en pleine en
hégémonie, ne visaient que le pays voisin, c’est ainsi qu’ils se sont retrouvés là-
bas. Aujourd’hui on peut constater il y a environ plus de 10 millions refugies
haïtiens en république dominicaine, ce que le gouvernement en place n’y rend
pas compte, ou bien, ils connaissaient cette réalité, ils font la sourde oreille.

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