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BP Mauritania & Sénégal

Monthly/Quarterly Progress Report

Country Name Mauritania

Implementing Partner SOS Peers Educators

Promotion de l’accès aux services de santé pour la population de la


Project Name
commune de NDIAGO

Prepared by Team of the project


Reporting Period Août 2019 Coordinateur exécutif
Approved by
de SOS PE

1. Activities undertaken This period and important implémentation Progress

Projet:

PROMOTION DE L’ACCÈS AUX SERVICES DE SANTE


POUR LA POPULATION DE LA COMMUNE DE
Ndiago

Avec l’appui de

RAPPORT FINAL
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Août 2019

1. Intriduction
Ce projet de santé du Fonds d’Investissement Social de la Commune de N’diago, financé par British
Petroleum (BP) et Partenaires concernant Greater Tortue/Ahmeyim, situé à la frontière maritime entre le
Sénégal et la Mauritanie,
Est un projet de santé, qui repose sur la vision d’une commune composée d’une quarantaine de localités,
pour une population d’environ 18 000 habitants, avec une croissance annuelle de 5%, soit le taux le plus
élève de la région, et d’une densité de 16,5 habitants au Km², ce qui représente le triple de la moyenne
régionale. Ou tous les individus, tous les ménages, toutes les localités bénéficient d’un accès suffisant a des
soins et services de santé préventifs, curatifs de qualité sans aucune forme d’exclusion et où il leur est
garanti un niveau de santé économiquement et socialement productifs.

Pour cela dans toute société, le projet c’est ce qui tient les gens debout. C’est à la fois une identité collective,
la conviction qu’il est possible de sortir de l’impuissance, qu’il n’est pas inévitable de subir passivement les
évènements, c’est enfin un désir de sens collectif: le projet c’est l’affirmation de la force des êtres face au
poids des choses…
Par essence, un projet n’est pas l’exécution d’opérations définies toutes d’avance mais la mise en capacité
collective de saisir ou de susciter des opportunités. Un projet, c’est la constitution d’une intelligence
collective. Pas de projet enfin sans estime mutuelle et amitié. Car le projet est l’élément central d’une
alliance. Elaborer un projet c’est participer à une aventure affective… L’aventure doit avoir ses temps forts,
ses évènements marquants ou tout le monde est présent. Unité de temps et de lieu. Le projet naît du
déplacement des logiques de chacun.

La mise en œuvre de ce projet est assurée par SOS PAIRS EDUCATEURS et s’inscrit dans l’atteinte des
objectifs communautaire en matière de santé il s’agit plus spécifiquement :
- Objectif général : Promotion de l’accès à la santé primaire dans la commune de N’diago.
- OS 1 - Améliorer et étendre l’accès de la population de la commune de N’Diago aux services de santé
primaire.
- OS2 – Améliorer l’information sanitaire et hygiène des populations de la commune de N’diago sur les
thèmes prioritaires de la santé de base : maladies endermique, maladies liées à l’hygiène et l’eau,
maladies potées par les vecteurs, santé mère-enfant, prévention de la malnutrition, prévention des IST,
VIH/SIDA et les Hépatites.
Dont les resultats attendus sont les suivant:
- R1 – Les postes et centres de santé de la commune de N’diago sont mieux équipés pour assurer leurs
services auprès de la population.
- R2 – Des relais communautaires sont formés (formation théorique et pratique sur le terrain) en matière
de CCC appliquée aux thématiques prioritaires de santé.
- R3 – La population de la commune de N’diago a acquis les savoirs de base lui permettant de se
prémunir des maladies courantes.

Conformément à la vision et aux objectifs, nos stratégies d’intervention tout au long de mise en œuvre du
projet se sont véritablement tournées vers l’amélioration du bien-être des familles de toute la commune de
Ndiago à travers la consolidation de la qualité des services de santé, et les étendre en organisant des campagnes

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médicales avancées, des séances de masse, causeries éducatives, des sensibilisations porte à porte, et des
interventions en cas d’urgences.
Pour la bonne réalisation de toutes les interventions citées à la paragraphe précédente, l’équipe a mis en œuvre
une stratégie de découpage de zone de la commune en dix zones (voir la carte et le tableau), qui nous permet
de réalisée facilement toutes nos activités avec une maitrise et un contrôle de qualité.
Et les activités prévues du projet sont les suivantes :
- Apport en équipements de soins suite à l’identification des besoins auprès de la direction régionale de
la santé, et des structures de santé de N’diago ;
- Six (6) campagnes médicales avancées (CMA) ou caravanes médicales ;
- Les visites à domicile pour la sensibilisation des ménage, l’identification des malades et le suivi des
patients suite au diagnostic durant la campagne médicale avancée ;
- Formation de 30 relais communautaires sur la communication pour le changement de comportement
(CCC) appliquée aux thèmes de santé prioritaires.
- 120 Causeries éducatives en raison de 10 causeries éducatives par mois sur les thèmes de santé
prioritaires qu’anime chaque relais communautaire.
- 25 Séances de masse, et sensibilisation sur les thèmes de santé prioritaires.
- Sensibilisation Porte-à-porte. Tout au long du projet.
- Et la Plantation des panneaux de sensibilisation
En s’appuyant sur nos 30 relais communautaires et le personnel de santé local, pour réaliser avec succès toutes
ces activités dans plus de quarante villages de la commune de Ndiago, notre première stratégie est d’être en
étroite collaboration avec les autorités administrative, sanitaire de la commune et de la Moughataa de Keur
Mécène et les communautés villageoises (Chefs des villages, les associations des femmes, celle des jeunes et
les personnes ressources).
Carte geographique de la commune de N’diago.

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Pour faciliter notre travail nous avons repartie la commune en 10 grandes zones sur la base de facilité
d’accés et affinités socioculturelles entre les communautés villageoies

Voici la repartition de la commune en 10 zones :

N° de la Zone Nom de la zone Villages


01 Birette Birette 1, Birette2 (voulane), Afdiadjer et Bouhajra
02 Zire 1 Zira 1, Legried, Moukhayem
03 Zire 2 Sbeikha, Menkeb Dieg, Hassi Lemhar, Angoure et Hay El Jedid,
Voum lbhar, Bérbar, Hassi jéneu
04 Bariel 1 Ehel Bilal, Ehel Moussa, khaye, Hassi10, Dar Esselam
05 Bariel 2 Arafat, Ngemer, Mouftah El Kheire
06 Bariel 3 Moîdina 1. Moidina2. Moidina 3
07 Bariel 4 Dar Rahma, Ghara
08 N’Diago N’Diago, Boyo 2,
09 Ebdene Ebdene
10 Iles Thiong, Gad Mohamediya, Gad MbayeDiahoss 1, Diahoss 2,
Boyo 1

Après la préparation soigneuse de la théorique et la stratégie de la mise en œuvre de projet, une équipe du
projet a été constituée, une équipe de véritable esprit de groupe, dotée des compétences utiles et suffisantes
pour l’atteinte des objectifs alloués.
Cette équipe est composée de :

- Un coordinateur exécutif de SOS Pairs Educateurs qui assure la gestion stratégique du projet et les
relations avec le bailleur de fond et l’administration
- La Directrice administrative et financière de SOS qui assure la gestion administrative et financière du
projet
- La comptable de SOS qui assiste la DAF à la gestion financière du projet
- Coordinateur du projet qui assure la coordination de la mise en œuvre des activités sur le terrain
- Assistant Coordinateur qui assiste le coordinateur du projet dans ses taches
- Superviseur qui gère les relais communautaires
- Un Chauffeur de la voiture du projet
- Et de 30 relais communautaires
- Le personnel médical de la commune

Autres grandes moyens logistiques sont rendus disponible pour le bon fonctionnement du projet,
notamment :
- Un Siège de projet à Ndiago
- Une voiture 4X4
- Autres matériels (de bureaux, lit hospitalisation, etc.…)

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I. Les activités réalisées

Activité 1 : Mission d’identification


Les premières interventions de l’équipe du projet dans la commune étaient une mission de rencontre et
d’identification, avec les autorités administratives de la willaya, Moughataa et la commune de Ndiago, en
particulier les responsables des centres, postes de santé de la commune et la présélection des 30 relais
communautaires en concertation à travers des réunions avec les chefs de village, responsables des jeunes et
femmes de ces villages.
Cette mission nous a permis de de collecter des informations très utiles pour le bon déroulement du projet :
dans toute la commune il n’y a qu’un centre de santé, et cinq postes de santé, dont un n’est pas opérationnel,
qui doivent couvrir plus d’une quarantaine de localités de la commune.
Il est évidant que cette minorité de centre et poste de santé ne peuvent pas subvenir aux besoins des populations
de la commune. Par ce que tout simplement une grande partie de cette population habitent au-delà de 5 km de
la structure de santé la plus proche. D’autre part l’absence du service de santé de qualité auprès de ce poste et
centres de santé, et la difficulté de déplacement entre les localités (Ndiago est parmi les rares communes de
la Mauritanie ou il n’y a pas le moindre mettre de routes goudronnées) , conjuguées avec la pauvreté, fait
que l’accès aux soins de qualité est un prestige qui n’est permis qu’a une très petite minorité de personnes
ayant des moyens pour aller à Saint Louis du Sénégal ou à Nouakchott pour se soigné.

La promotion de la santé implique la participation effective et concrète de la communauté pour fixer des
priorités, prendre des décisions et élaborer des stratégies de planification afin d'atteindre une meilleure santé,
du bien-être.
Les éléments de notre diagnostic au début du notre projet ont montré que les habitants de la commune de
Ndiago ont une faible consommation de soin et ne consultent un médecin ou infirmier que dans une optique
curative et non dans une optique de prévention.
Les habitants auront donc à modifier leurs habitudes vers une prise en charge de leur santé en deçà et au-
delà de la peur de la maladie.

Activité 2 : Formation de 30 relais communautaires :

Les 30 relais communautaires dont 25 femmes et 5 hommes, ont été former (formation théorique et
pratique sur le terrain) durant cinq jours du 17/12/2018 au 21/12/2019, sur les techniques de
communications pour le changement de compartiment (CCC) appliquée aux thématiques prioritaires de
santé. Maladies endermique, maladies liées à l’hygiène, l’eau, maladies portées par les vecteurs, santé
mère-enfant, prévention de la malnutrition, prévention des IST, VIH/SIDA et les Hépatites.

Et renforcer les connaissances des Relais Communautaires sur les méthodologies et les étapes de la mise
en place d’une stratégie de communications pour le changement de comportement:

- Il ne suffit pas (loin de là !!) de donner l’information pour assurer chez la personne qui la reçoit un
changement de comportement. Le vrai changement de comportement, inscrit dans la durée, est un
processus beaucoup plus lent et complexe !! Il demande un encouragement continu…

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- 1er changement de comportement que le relais recherche: Aller se faire soigner (ou faire soigner son
enfant) dès le début de l’apparition de symptômes d’une maladie, au lieu d’attendre que la maladie empire
et devienne grave.

- 2nd changement de comportement que le relais recherche: Abandonner les comportements de la vie
quotidienne qui favorisent des maladies, et adopter à leur place des comportements de tous les jours
contribuant à la prévention des maladies (hygiène, prise au sérieux des maladies dès les 1er symptômes).

Etapes de changement de comportement :


CE QUE FAIT LE RELAIS POUR ETAPES DU CHANGEMENT DE
L’ENCOURAGER COMPORTEMENT
[C’est la situation de départ] 1. Je ne sais pas

Le relais m’apporte l’information (contenus de 2. Je sais


la sensibilisation)
Le relais m’encourage, en rappelant les 3. Je deviens motivé pour essayer quelque chose
bénéfices que m’apporteraient un changement de nouveau
de comportement
Le relais me conseille, répond aux questions 4. J’adopte une 1ère fois un comportement
qui se posent à moi, trouve avec moi des nouveau
compromis acceptables
Le relais me complimente, discute avec moi et 5. Je maintiens ce nouveau comportement
souligne les bénéfices acquis, soutient ma dans la durée, de sorte qu’il devient pour moi une
nouvelle attitude pratique quotidienne normale

Autres techniques présenter aux relais communautaires durant la formation :

 Défauts du mauvais relais, incompatibles avec la promotion d’un changement de comportement


- N’a pas bien assimilé lui-même les informations qu’il est sensé diffuser.
- S’exprime à travers des messages peu clairs ou mal articulés; s’exprime de manière peu assurée.
- Ne tient pas compte de l’humeur ou des attentes de l’audience à laquelle il s’adresse.
- N’est pas disponible pour adapter ses messages au contexte, ou pour répondre aux questions qu’on lui
pose.
- Ne traite pas les personnes auxquelles il s’adresse avec respect et empathie.

 Qualités du bon relais, favorisant le changement de comportement


- A retenu et surtout bien compris toute l’information en relation avec les contenus de sa mission de
sensibilisation des groupes cibles.
- Est capable de formuler les messages clés à diffuser de façon simple et claire; les exprime de manière
assurée et décontractée.
- Est sensible à son audience, et à son écoute, parce qu’il est véritablement motivé à l’aider à mieux
prendre en charge sa santé.
- Se comporte à tout moment avec respect et empathie vis-à-vis de son audience.

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 Quelques techniques de communication adaptées au porte-à-porte
- Toujours commencer à aborder les thèmes, en posant les deux types de questions suivants :
« Que savez-vous de…? » Donner quelques exemples !!
« Que pensez-vous de…? » Donner quelques exemples !!
- Demander régulièrement à vos interlocuteurs si l’information a été bien comprise…
- Demander, un peu comme en plaisantant (comme si c’était un défi lancé aux interlocuteurs), si
quelqu’un se porte volontaire pour la répéter …

 Étapes de mise en œuvre d’une causerie éducative:


- Identification des participants : 15 à 20 personnes, en tâchant, autant que possible, de ne pas s’en tenir
à la seule population féminine. Il est important qu’hommes et femmes puissent échanger, au cours de
ces séances, sur les différents thèmes de prévention des maladies les plus courantes dans la zone.
- Choix de l’horaire – qui doit être celui de plus grande disponibilité des participants. Ne jamais choisir
un horaire donné alors que l’on sait que, une heure plus tard, la plupart des participants seront appelés
à d’autres activités importantes pour eux.
- Choix du lieu – prendre à cet effet en compte à la fois (1) le type de lieu (domicile ? poste de santé ?
cour d’école ? etc.) et (2) le zonage et sous-zonage évoqué dans l’activité du porte-à-porte  recherche
de complémentarité par rapport au porte-à-porte pour chaque sous-zone : chaque causerie doit
impliquer des participants résidant dans une sous-zone qui a déjà bénéficié du porte-à-porte !!
- Assurer un accueil convenable aux participants, qui doivent sentir l’enthousiasme du relais
communautaire à la perspective de ce moment de partage d’informations.
- Enregistrement de l’ensemble des informations requises dans le registre de terrain des causeries
éducatives.
- Partage des contenus qui le thème du jour. [Viser de partager ces contenus en 1 ou plusieurs causeries
?]
- Discussion – Réponses aux questions des participants.
- Distribution à chaque participant(e) une brochures d’information produites dans le cadre du projet :
Brochure Malnutrition – Brochure maladies Eau/Hygiène – Brochure maladies vectorielles – Brochure
IST/SIDA.
- Insistance sur l’importance de relayer autour de soi l’information acquise et Remerciements

A la fin de la session de formation des 30 relais communautaires, chaque relais a reçu des outils et documents
de terrain qui lui permettent à bien mener correctement son travail sur le terrain, avec un manuel contentent
toutes les informations dont ils auront besoin pour informer, éduquer, sensibiliser et orienter les populations.

Manuel Sante Ndiago.pdf fiche Causeries educative (1) (1).pdf

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Traveaux de groupes

Autres aspects de la formation


Application au remplissage des fiches de terrains : une bonne partie des participants ont passé devant
leurs collègues pour s’appliquer au remplissage des fiches de collecte des données

Présentation des conclusions des travaux de groupes : chaque groupe désigne une personne pour présenter son
travail

Présentation des formateurs : en plus des deux formateurs le médecin chef de Ndiago a fait sa présentation
sur la situation sanitaire dans la commune de Ndiago

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Présentation du médecin chef de Ndiago
Le troisième jour de la formation a débuté avec la présentation en diapo de la situation sanitaire de la commune
de Ndiago par le médecin de la commune Dr Sow Ndiaga. Qui a précisé dans sa présentation le nombre de
consultation des deux derniers mois qui a atteint 454 patients, et les motifs de consultation par localité et en mettant
l’accent sur les maladies chroniques, fréquentes et endermiques de la commune pour renseigner les futurs relais
communautaires de l’importance de la sensibilisation et de l’information des populations de la gravité de ces
maladies et les encourager d’aller se consulter en cas des signes anormaux.

A fin de la présentation de Dr SowNdiaga, les formateurs ont distribué le manuel ou guide relais qui doit être
parcouru durant le reste de la formation, et qui contient toutes les instructions pour s’informer, apprendre, se
renseigner des maladies et thèmes de sensibilisations qui seront abordé pour réaliser au minimum les 120 causeries
éducatives ciblées.

Remise des attestations : A la fin de la formation les attestations ont été remise aux participants

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Photo de groupe : au total 30 personnes don 25 femmes ont beneficié de cette formation

site du siège de SOS PE à Ndiago avec tous les relais communautaires et faire une photo de groupe au siège

Activité 3 : L’identification de centre, des postes de santé et les unités de santé de base de la commune
de Ndiago :
La commune de Ndiago compte un nombre importent de centres, postes, et unité de santé de base, qui si
elles sont correctement fonctionnelle peuvent prendre en charge les besoins des population en soin de base
et les soins premiers d’urgence et surtout les femmes enceintes ou celles en terme d’accouchement qui sont
en danger ainsi que leurs enfants.

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Les populations villageoises habitant aux environs de ceux qui ont des postes de santé opérationnels
rencontrent de réelles difficultés d’accès aux soins de qualité, elles sont obligées de parcourir des kilomètres
pour se rendre au poste de santé le plus prêt a fin d’y recevoir des soins de qualité, les plus pauvres
renoncent parfois a se soigner du fait de l’absence de moyen de transport.

Dans toute la commune de Ndiago il n’y a qu’un centre de santé, qui se trouve à Ndiago ville, géré par un
médecin généraliste, avec son infirmier d’état, et de deux accoucheuses.

Et quatre postes de santé opérationnels : Birette 1, Zira 2, et Diahoss 2 et bouhajra qui sont actuellement
gérés respectivement par une accoucheuse et deux infirmiers d’état et une infumiére ostricale.

E,n plus de sept (7) autres unités de santé de base (USB), qui se trouvent dans les localités suivantes :
Ghahra, Moydina, Zira1, Ebdene, Boyo 1, Boyo 2, Voum Lebhar.

Ces 7 unités de santé de base, fonctionnaient très bien dans des endroits peuplé et ils existent toujours, leurs
états actuel est du a l’absence du personnel et des équipements nécessaires pour le bon fonctionnement
d’une USB, dans des endroits ou la pauvreté est extrême, il est évidant que la plus part des portes de ces
USB soit fermer s’il n’y a pas de suivi, entretien, ou un soutient quelque part.

Le centre de santé de la commune (Ndiago ville) et 3 des postes de santé, ont un manque importent
d’équipements et du personnels pour assurer les soins de qualité nécessaires de ces patients et ou les
habitants de la commune.

La minorité de centre et postes de santé par rapport à la population de la commune, avec l’augmentation des
besoins de soins de jour au lendemain, a diminué en quelque sorte la confiance des populations en vers ces
postes de santé.

Apres l’identification des structures de santé existantes dans la commune un rapport détaillé a été établi
précisant les situations et les besoins de ces structures voire le rapport intégral du diagnostic en cliquant sur
ce lien : https://fr.scribd.com/document/420803382/Rapport-Diagnostic-Structure-Sante-de-Ndiago

Activités 4 : Les campagnes médicales avancées CMA ou caravanes médicales :


Les statistiques des six caravanes médicales réalisées durant le projet :
Sensibilisation Consultation
sensibilisation consultation consultation consultation et
distribution Total
Date Lieu Par voiture et soin et soin soinMédecine
de déplient consultation
(estim) Pédiatrie Génécologie général
11/01/2019 Voum Lebhar 150 100 54 21 21 96
12/01/2019 Zira 2 600 400 154 148 33 335
13/01/2019 Mboyo 2 220 200 80 66 50 196
16/02/2019 Birette 850 400 114 54 115 283
17/02/2019 Ibden 500 350 77 48 96 221
09/03/2019 Zira 1 620 400 130 83 129 342
10/03/2019 Gahra 700 300 139 31 108 278
04 et 05/04/2019 N'diago 1670 0 168 151 178 497
20/04/2019 Thionk 250 0 62 42 41 145
21/04/2019 Diahoss 1,2 320 0 71 22 123 216

11
24/07/2019 Bouhajra 245 0 61 21 89 171
25/07/2019 Moydina 760 0 111 53 200 213
Total 6885 2150 1221 740 1183 2993

Moins de 3 000 personnes ont bénéficié des caravanes médicales organisée, durant le long du projet dans la
commune de N’diago.
Ces caravanes ont permis aux populations de la commune de N’diago, de bénéficier de diverses prestations,
dont des consultations en gynécologie, en pédiatrie et en médecine générale, outre la distribution gratuite
des médicaments.
Ce projet de santé a créé une solidarité avec les populations de la commune par ces CMA, en rapprochement
des services médicaux des citoyens et de venir en aide aux populations démunies.

Les six campagnes médicales avancées ont eu des échos favorables auprès des citoyens qui espèrent voir ce
genre d’initiatives se multiplier au profit des populations nécessiteuses de la commune et dans tout le
territoire national.

Tous les treize jours de caravane médicale, dans douze localités de la commune de N’diago, qui ont une forte
densité de population, ont été réalisée en forte collaboration avec les autorités sanitaires de la Moughata de
Keur Mécène, plus précisément le médecin chef de la Moughata de Keur Mécène, qui désigne généralement
en s’appuyant sur le médecin du centre de santé de Ndiago, une équipe médicale de qualité pour assurer les
consultations et soins des six campagnes médicales avancées du projet.
Et cette équipe est composée généralement de :

- D’un médecin généraliste,


- Deux infirmiers d’Etas,
- D’une sage-femme
- D’un pharmacien,
- D’une accoucheuse.
Les activités comme les CMA, qui sont des activités de promotion de la santé de proximité a pour finalité à
la fois de faciliter l’accessibilité aux soins pour la population de la commune et de ses d’agglomération,
d’améliorer les conditions d’exercice de l’équipe médicale et de mettre en œuvre une caravane de santé,
dans ses dimensions sanitaires, médico-sociale, campagne médicale auxquelles les habitants sont très
étroitement associés avec les collectivités locales.
Ces campagnes médicales avancées offrent au personnel de santé de la commune d’un regroupement de
services et de ressources d’une maniére éfficace et éfficciente; facilite le approchement globale des services
de santé, permet le développement des relations entre le personnel de santé, assure la coordination des
approches et des activités et la mise en œuvre d’actions communes collaboratives.

Outre l’équipe médicale, l’équipe du projet joue un rôle très important dans la mise en œuvre des campagnes
médicales avancées, en choisissant les villages prioritaires à visiter, établir les documents nécessaires pour le
bon déroulement des CMA (autorisations auprès du Hakém keur Mécène, le Chef d’arrondissement de
Ndiago, le médecin chef de Keur Mécène et la commune) et autres documents de sensibilisations (les
banderoles, dépliants, autocollants), organiser une mission de sensibilisation par voiture en distribuant les
dépliants, et par nos relais communautaires concernés qui font des sensibilisations porte à porte dans les
localités visées pour la CMA, en précisant à la population les dates, l’heure et les lieux de la CMA qui sont
dans tous les documents de la CMA.
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Ensuite, l’achat des médicaments sur la demande et la liste du médecin du centre de santé de Ndiago.
Et cette équipe est composée généralement de :
- D’un coordinateur de la caravane
- Un assistant de coordinateur
- Un chargé de communication
- Deux chauffeurs
- Et des relais communautaires

Sur le plan logistique dans toutes les CMA il est utilisé:


- Deux voitures 4X4
- Une grande tente
- Une table de génécologie
- Une table de soin
- Isoloir pour les consultations gynécologiques
- Glucomètre et ses bandelettes
- Des tensiomètres
- Une balance
- Une corbeille

La liste et quantité standard des médicaments distribué dans les caravanes médicales :

Médecine générale
Produit quantité
BANDELETTE (ACC-CHEK) 1 BOITE
OMEPRAZOL 20 200 plaquettes
ALBENDAZOL CP 400 300 boites
PARACETAMOL PLAQUETTE 1000 plaquettes
CIMETIDINE CP 20 BOITES
UPSA C 20 BOITES
IBUPROFEN 400mg 400 plaquettes
IBUPROFEN 200 MG 300 PLAQUETES
MAALOX SP 20 FLACON
MAALOX CP 20BOITES
AMOXICILLINE 500 300 plaquettes
RELIEF 5 paquets
DICLO POMMADE 100 boites
ALETROL SP 40 FLACON
ALETROL CP 100 BOITES
OTIPAX GOUTTE 10 BOITE
FUMAMER poudre 30 BOITE
FER CP 500 Plaquettes
H.P.V Egypte 50 FLACON
SPASFON CP 30 BOITE
CYPROFOXACINE 50 BOITE

13
DOXYCYLINE 50 BOITE
DEXA POMMADE 100 flacons
COTRI 480MG 100 boites
DICLOFENAC 50mg CP 100 boites
DICLO GEL 100 TUBES
METRONIDAZOL CP 500 50 boites
FLAGYL 500 MG 20 BOITES
CLOXA 500 MG 60 Plaquettes
IBUFOROFEN 200 MG CP 200 PLAQUETTES
ASPEGIC 100 MG 100 SACHETS
DICLO INJECTABLE 25 BOITES
MULTIVITANIE CP PIMA 50 boites
INDOMETACINE 25 MG 100 PLAQUETTES
LITACOLD CP 5 boites
LASILIX 20 ET 40 MG 20 BOITES
MALOXINE 100 PLAQUETTES
FANSIDAR 100 PLAQUETTES
CARBOCYSTEINE5 % 50 boites
GRISEOFULVINE POMMADE 100 flacons
ZIREC 50 BOITES
GRISEOFULVINE 250 50 plaquettes
GLUCOPHAGE 500, 850,1000 MG 20 BOITES
AMLODIPINE 5MG 40 plaquettes
MULTIVITANE CP 100 BOITE
FLUCONAZOLE 20 BOITE
KINAL CODEINE 35 BOITE
IBEX 40 BOITES
NEOMICYNE POMMADE 60 TUBES
DUPHALAC SP 20 boites
DUPHALAC SACHET 5 BOITES
CORTI 960MG 100 PLAQUETTES
VITAMINE C 100 PLAQUETTES
AMLODIPINE 10MG 20 plaquettes
GENTA COLLYRE 50 flacons
Tetra 1% 30Tube

Gynécologie

Produit Quantité
BB TESTE 1 BOITE
FER 500 plaquettes
NYSTATINE OVULE 100 boites
GYNOMAX OVULE 30 BOITE
GYNOPEVARUL 30 BOITE
14
BATADINE VERTES 20 flacons
PEVARYL CREME 50 TUBE

Pédiatrie
Produit Quantité
PANEX SIROP 25 flacons
METRONIDAZOLE SP 20 FLACONS
CARBOCYSTEINE 2% 100 boites
FLAGYL SP 50 FLACONS
PARACETAMOL SP 100 boites
COTRI SP 30 boites
MULTIVITAMINE SP 100 flacons
AMOXICILLINE SP 250 50 boites
AMOXICILLINE SP 125 50 boites
ALBENDAZOL SIROP 400 300 boites
PARACETAMOL SIROP 50flacon
MEBENDAZOLE SP 60 FLACONS
IBUPROFEN SP 50 flacons
LITACOLD SP 80 FLACONS

En conclusion,
* 2 993 personnes ont bénéficié des consultations, soins et don de médicaments gratuit durant ces six
caravanes médicales ou CMA
* Dont 1 160 soit 38,76 % en pédiatrie,
* 719 soit 24,02 % pour la gynécologie,
* et 1 114 soit 37,22 % en médecine générale.

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Quelques supports de sensibilisations des CMA :

Activité 5 : Les visites à domicile pour la sensibilisation VADS (Porte à porte):

Les statistiques des VADS (Porte à porte) durant le projet:


1 670 VADS, ont été réalisées durant six mois en comptant du mois de février, en raison de 10 VADS que
chaque relais communautaire réalise dans un mois.
Au total 6 478 personnes ont été sensibilisées sur une bonne hygiène de vie et de la prévention des maladies.
Les statistiques des VADS :
Février 2019 : 880 Personnes ont été sensibilisées dont 573 de sexe Féminin et 307 de sexe Masculin
Mars : 1 042 personnes / 657 F et 385 M
Avril : 1 043 personnes / 670 F et 373 M
Mai : 1 126 personnes / 755 F et 371 M
Juin : 1 193 personnes / 825 F et 368 M
Juillet : 1194 personnes / 789 F et 405 M
NB: les sensibilisations de porte à porte sont intégrées dans les activités des VADS

Depuis le mois de février 2019 l’équipe du projet et ses relais communautaires se sont engagé sur tout le
territoire de la commune de Ndiago pour prévenir et apaiser les souffrances.

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Pour pouvoir continuer à agir auprès des personnes en difficultés sur l’ensemble du territoire, l’équipe du
projet a besoin de faire connaître auprès de cette population de la commune de Ndiago, ses missions, ses
besoins et les défis qui restent à relever.
Pour cette raison, une activité de sensibilisation par porte à porte, ou visite à domicile pour la sensibilisation,
est organisée tout au de la mise en oeuvre du projet.
Les relais communautaires bien formés vont à la rencontre des personnes à leur domicile au nom des relais
communautaires travaillant avec SOS PAIRS EDUCATEURS dans le cadre de son projet de santé financé
par BP et partenaires. ils seront clairement identifiable par des gilets aux couleurs de SOS PE contenant les
logos de BP et partenaires.

Ces VADS ou sensibilisations en porte à porte, visent à sensibiliser les individus sur les missions d’intérêt
général du projet en premier lieu, aussi pour informer sur les maladies, sur l’impotence d’aller se consulter
en cas de l’apparition de certains symptômes auprès des postes et centres de santé de la commune, permet
aussi de faire revivre la relation entre les populations et les postes et centres de santé de la commune de
Ndiago.
Et prendre les informations des personnes malades dans chaque ménage, en les observant pour les référer en
suite aux postes ou centre de santé le plus proche.
Nos relais communautaires font des sensibilisations individuelles qui servent de rappeler sur les bonnes
habitudes, le bon comportement par exemple informer les femmes qui souffrent de certaines infections
sexuellements transmissibles de ne pas avoir honte de parler avec le médecin, et qu’il faut que les deux
partenaires se soignent à même temps pour faire disparaitre l’infection, encourager les populations à faire
des tests de dépistage du VIH régulièrement qui est volontaire, anonyme, et gratuit (après chaque acte a
risque de contamination) permet aux personnes infectées de commencer le traitement suffisamment tôt pour
ne pas évoluer vers le stade maladie, Toute personne volontaire au test de dépistage et dont le résultat est
positif (la personne a été infectée et le virus est dorénavant présent dans son sang) a droit à un accès gratuit
au traitement antirétroviral (ARV).
Et sensibiliser et encourager les personnes malades qui sont sous traitement de ne pas arrêter ni économiser
comme le font certains, leur traitement et d’aller à leur rendez-vous fixé avec leur médecin traitant à temps.
Il faut en tout prendre des précautions afin d'éviter au maximum les difficultés. Il est en effet plus aisé
d'empêcher une situation délicate ou un problème douloureux, que de les résoudre. Mieux vaut prévenir
que guérir."

Activité 6 : Les causeries éducatives durant le projet (CE) :


Les statistiques des causeries éducatives du projet :

174 causeries éducatives ont été animées par les relais communautaires du mois de janvier au mois de juin
2019, pour informer, orienter, et éduquer les populations à travers des thèmes de sensibilisation précises telle
que:
- Hygiène individuelle et du foyer
- La diarrhée, le paludisme, et la dingue
- L’hypertension et le diabète
- Les maladies sexuellement transmissibles
- Etc.

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Et 2 901 personnes ont bénéficié de ces sensibilisations en distribuant 2 213 dépliants de sensibilisations
contenants des moyens de préventions contre les malnutritions, les risques liés à la grossesse, le paludisme, et
d’autres thèmes renseignant sur une bonne mode de vie « une vie saine dans un corps sain »

En janvier 2019 : 23 causeries éducatives / 415 personnes touchée par la sensibilisation.


Février : 58 Causeries Educatives / 898 personnes
Mars : 25 Causeries Educatives / 376
Avril : 29 Causeries Educatives / 446
Mai : 34 Causeries Educatives, dont 7 Causeries éducatives en binôme / 633
Juin : 5 Causeries Educatives / 133
La causerie éducative est une méthode d’éducation de groupe. C’est une technique de sensibilisation ou de
transmission des connaissances en vue d’un changement d’attitude dans lequel l’interlocuteur et les
auditeurs sont tous des acteurs.
Elle a pour but d’instaurer dans le dialogue entre les participants et l’animateur un climat de confiance, de se
rapprocher d’eux pour discuter sur les différentes thématiques qui les concernent et qui contribuent à leur
bon développement en général.
Le relais choisit un sujet, le prépare, en suite propose le débat-discussion, le dirige, en fait une synthèse et
transmet son message éducatif à un certain nombre de participants qui expriment leurs pensées et essaient
ensemble de résoudre leurs problèmes. Donc le relais animateur d’une causerie éducative doit jouer un rôle
avant la causerie, pendant et après la causerie.
Nous donnons au relais le maximum de temps de préparation qui lui permet de mieux gérer la séance
d’animation d’une causerie destinée à la population qui sont les seules bénéficiaires, dans l’objectif de
provoquer un début de changement de comportement et adapté une meilleure vie possible qui va leurs
permettre de se prémunir des maladies qui peuvent leurs rendre la vie difficile.
Ces causeries éducatives sont supervisées par l’équipe du projet
Durant les supervisions, l’équipe du projet a remarqué que les bénéficiaires s’intéressent plus en plus aux
causeries éducatives après avoir constatés l’impotence des informations données sur les maladies chroniques
et endémiques qui sont en train de faire ravage dans la population de la commune Ndiago.
Ces causeries éducatives sont devenues en quelques sorte des cours éducatives sur le bon comportement
pour éviter de tomber malade ou pour ne pas aggraver sa maladie, les causeries permettent aussi aux
participants de poser des questions, demander des orientations ou tout simplement des conseils.
L’équipe du projet, est là pour évaluer, intervenir en cas de non maitrise d’un sujet et répondre à des
questions concernant le projet, rassurer et informer la population que nous sommes surplace et disponible
pour intervenir en cas d’urgence à notre niveau.
Après quatre mois de travail les relais ont acquis une bonne expérience dans le domaine, ils arrivent à gérer
toutes les situations durant leurs causeries éducatives présenter avec leurs langue maternelle destinée à des
personne qu’ils connaissent.
C’est une sorte de sensibilisation continue pour changer le comportement de leur population par la
Communication en adaptant les techniques de communications pour le changement de comportement
(CCC).

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Photos causeries :

Les questions qui se sont répétées le plus dans les séances de causerie éducative et les autres séances de
sensibilisation
 Est-il possible de prévenir le VIH Sida en utilisant des contraceptifs ?
 Les femmes séropositives peuvent-elles allaiter leurs enfants ?
 Quelle est la différence entre les infections sexuellement transmissibles et l'hépatite B ?
 Comment se prévenir des hépatites
 Diabète, hyper tentions artérielle et le VIH, qui est le plus dangereux
 Est-ce que la Dingue peut guérir définitivement
 Quels sont les symptômes de la malnutrition chez les nourrissons ?
 Dans le cas de diarrhée chez les enfants quelles sont les méthodes de prévention ?
 Quelles sont les étapes du lavage des mains ?
 Quelles sont les différentes méthodes pour désinfecter l'eau ?
 Quelle est le lien entre l'hygiène et la malnutrition ?
 Est-ce que l'allaitement peut prévenir la grossesse ?
 Comment soigné les maladies sexuellement transmissibles
 Quel est la durée du projet
 Comment acquérir les contraceptifs
 Quel est la périodicité des vaccinations des enfants
 Comme se fait le suivi d’une femme en ceinte

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1. Les sujets qui ont suscité des débats
 L’insuffisance des services de santé dans la commune de Ndiago (personnel et matériel)
 Combien de temps BP va supporter les activités de santé a Ndiago
 La prise en charge des soins des indigents
 La qualité de services de santé a Ndaigo
 Accouchement des femmes à la maison
 Etre indemnisé contre le paludisme !
 Le rôle du projet pour la promotion de l'accès aux services de santé
 Les maladies liées à l’eau, l’hygiène et l'assainissement
 Les étapes du changement de comportement
 Les techniques de communication adaptées au porte-à-porte
 La mobilisation sociale pour la prévention des maladies les plus répandues à Ndaigo .

Activité 7 : Les 25 Séances de masse durant le projet (SM) :


Les statistiques des 25 Séances de masse du projet :
Date Lieu Nbr pers sensibilisé Pédiatrie Gynécologie Médecine général Total consultations
19/02/2019 Berbar 49 33 12 4 49
21/02/2019 Boyo 1 45 33 7 5 45
06/03/2019 Khaya 66 34 22 10 66
07/03/2019 Lourma 24 13 9 2 24
15/03/2019 N'djémér 87 57 16 14 87
17/03/2019 Menkeb Dieg 60 52 8 0 60
18/03/2019 Ehel Beyah 58 49 6 3 58
07/04/2019 Gad Hamadia 30 11 6 13 30
08/04/2019 Hassi Aachra 54 38 4 12 54
09/04/2019 Angor 42 36 4 2 42
08/05/2019 Avdeijir 51 31 16 4 51
09/05/2019 Sbékhatt Nord 150 101 5 28 134
25/06/2019 Assi Lemhar 65 37 1 8 46
27/06/2019 Mouft 115 69 8 12 89
28/06/2019 Dar Rahma 57 27 11 5 43
29/06/2019 Sbékhat 35 15 2 2 19
30/06/2019 Leghréyde 40 32 3 3 38
07/07/2019 Bouhajra 50 37 1 14 52
07/07/2019 Hél Modéne Zira2 55 37 6 18 61
08/07/2019 Ehél Bérbar 40 30 0 7 37
09/07/2019 Voum Lebhar 20 12 1 7 20
10/07/2019 Gad Mbarka 20 9 0 7 16
12/07/2019 Boyo 1 55 45 0 5 50
13/07/2019 Boyo 2 50 39 0 6 45
14/07/2019 Khaya 53 42 2 12 56
Total 1 371 919 150 203 1 272
20
Ces séances de masse (SM) ont eu lieu dans des différentes zones de la commune y compris les îles (Gad
Hamodya, Gad Mbarka, et Boyo1), qui ont pour objectif d’apporter des soins aux enfants, femmes enceintes
et quelques personnes âgées pour les contrôles de tension, qui sont les plus vulnérable, une sorte de caravane
médicale à petite échelle pour les enfants et les femmes enceintes d’une part, et permettent aussi l’équipe du
projet de rencontrer la population en lançant des informations de sensibilisation sur les thèmes se santé
primaire, en leurs expliquant clairement les objectifs du projet et le rôle que joue les relais communautaires
d’autre part.
Accompagner par le médecin ou les infirmiers exerçant dans la commune de Ndiago, l’équipe prépare une
quantité suffisante de médicament avec le personnel de santé concerné (généralement une sage-femme) pour
pouvoir assurer les consultations, soins et don de médicament gratuit en cas de nécessité.
Ces séances masse visent les localités les moins visiter par le personnel de santé et ceux qui sont très loin des
postes et centre de santé qui sont dans la commune de Ndiago.
Et ces localités ne sont pas généralement très peuplées mais plus ou moins isolée et loin des postes de santé.
Pour cela l’équipe a prévue des séances de masse qui a pour but de sensibiliser ces populations en animant
une séance de sensibilisation de masse avec des sujets ou thèmes différents selon leur mode de vie,
l’environnement et la fréquence des maladies dans la zone.
C’est facile de mobiliser les personnes qui vivent une situation d’extrême vulnérabilité, qui sont prêtes à agir
pour changer leur situation mais il en est autrement lorsqu’il s’agit de mobiliser des personnes qui ne sont pas
conscientes d’être à risques sanitaires. D’autre part il n’est pas toujours facile de regrouper les individus, de
les sensibiliser et les inciter à appliquer. Le rôle des informateurs est alors de mobiliser les personnes
touchées; ce qui veut dire non seulement de les informer mais aussi les outiller afin qu’ils puissent être apte à
prendre leur situation en main et d’y remédier. La réussite d’une mobilisation dépend très souvent du travail
de sensibilisation qui l’a précédée ou qui y est associée. Les activités de sensibilisation s’effectuent
parallèlement et conjointement avec la mobilisation. Mobilisation et sensibilisation sont complémentaires et
se poursuivent lorsque vient le temps de faire le choix des activités puisqu’un même moyen peut tout aussi
bien servir à mobiliser la communauté qu’à la sensibiliser.
Une démarche de sensibilisation ou de conscientisation sera bien souvent essentielle pour permettre
l’identification d’un problème et favoriser une prise de conscience collective du problème en question. Cette
démarche s’inscrit donc dans un processus qui permet non seulement de susciter la réflexion mais aussi de
passer à l’action.

En conclusion,
1 272 femmes enceintes, enfants ont bénéficié des consultations, soins et don de médicaments gratuit durant
ces 25 Séances de masse SM du projet, dont 919 soit 72,25 % en pédiatrie, 150 soit 11,79 % pour la
gynécologie, et 203 soit 15,96 % en médecine générale. Et 2056 personnes touchées par la sensibilisation
qu’organise l’équipe du projet avant les consultations de chaque séance de masse.

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Photos Séances de masse :

Activités 8 : Les Campagne de vaccination (du mois de Mars au mois de Juillet) :

Les statistiques des campagnes de vaccination du projet :


Date Les villages visités Nmb d'enfants vaccinés
Ebden,El ghahra,Taguilaletebden, ghahra, taguilalet, dar rahma, ehel beyah
ehel maatala, moiydina, mouftah el khair, n'djémér, arafat, dar salam, hassi
11 et 12 /03/2019 59
achra,sbékha, khaya, ehel bilal, ehel messoud, lebguent, mouli, berbar, hassi
jenna,voum lebhar, Bouhajra, Birette
Voum lebhar,lebguent,meiymakh,n'djémér,moiydina,ehel ghali,dar
26 et 27 /04/2019 25
errahma,ghahra,Ebden, Ndiago
Ebden,El ghahra,Taguilalete,lekseir, ghahra, taguilalet, dar rahma, ehel beyah,
ehel maatala, moiydina, mouftah el khair, n'djémér, arafat, dar salam, hassi achra
26 et /05/2019 29
sbékha, khaya, ehel bilal, ehel messoud, lebguent, mouli, berbar, hassi jenna,
voum lebhar
Ebden,El ghahra,Taguilalete,lekseir, ghahra, taguilalet, dar rahma, ehel beyah
ehel maatala, moiydina, mouftah el khair, n'djémér, arafat, dar salam, hassi achra
26 et 27/06/2019 28
sbékha, khaya, ehel bilal, ehel messoud, lebguent, mouli, berbar, hassi jenna,
voum lebhar
Ebden,El ghahra,Taguilalete,lekseir, ghahra, taguilalet, dar rahma, ehel beyah
sbékha, khaya, ehel bilal, ehel messoud, lebguent, mouli, berbar, hassi jenna,
26 et 27/07/2019 voum lebhar ehel maatala, moiydina, mouftah el khair, n'djémér, arafat, dar 21
salam, hassi achra

Total 162

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C’est une campagne de routine contre des maladies connues. La campagne est organisée par une équipe
médicale de Keur Mécène ou la commune de N’Diago, sous la supervision du médecin chef de la
Moughataa de Keur mécène en collaboration avec SOS PE dans le cadre du projet.
L’équipe du projet accompagne et participe à cette campagne de vaccination en mettant à la disposition de
cette équipe médicale des moyens logistiques (la voiture du projet, un chauffeur, matériel de sensibilisation)
et aussi la sensibilisation faite par nos relais communautaires pour avoir une largue couverture de
vaccination permettant l’équipe médicale à bien mener cette campagne.
Avant l’initiative de cette nouvelle activité qui est la campagne de vaccination, nous avons était informer par
le personnel médical de la commune, qu’elle est partagée en cinq zones pour assurer la couverture de
vaccination dans la commune, ces zones sont assurées par des postes de santé qui ont des chaines de froids
permettant de conserver les produits de vaccination:
Le centre de santé de Ndiago ville qui assure la couverture de vaccination de Ndiago, Ebdene et Ghahra
Le poste de santé de Zira 2 (ou l’infirmier de Zira 2) assure la couverture de Zira1, Zira 2, Lghreid,
Moukhayem
Le poste de santé de Birette assure la couverture de vaccination de Birette 1 et Birette 2
L’infirmier des Iles assure la couverture de vaccination des toutes les localités des îles en plus de Boyo 2
Et le reste de la commune de Ndiago est assurée par une équipe mobile de la Moughataa de Keur mécène
Après tout ce découpage pour assurer la couverture de vaccination des enfants de la commune de N’Diago,
il reste toujours des enfants qui ne sont jamais été vacciné, tout simplement les responsables de cette
vaccination n’ont pas les moyens de parcourir tous les villages isolés due à la difficulté de la commune en
terme d’accès car la commune est très largue.

Pour cela l’équipe du projet a décidé d’intégré une campagne de vaccination comme une activité du projet,
qui est devenue l’une des activités du projet les plus sollicités par la population.
Cette campagne est fixée le 26 et 27 de chaque mois, qui cible les enfants les plus vulnérables qui sont dans
des zones les plus isolées de commune, ce sont en générale des populations nomades.
Et a pour but de donner la chance à tous les enfants de la commune de Ndiago d’être vacciné à temps.
Comme on a l’habitude de dire, faire vacciner son enfant permet d'éviter qu'il ne contracte certaines
maladies infectieuses graves, qui sont difficiles à soigner et/ou qui peuvent induire des complications et de
séquelles. Parmi ces maladies : La polio, le tétanos, les oreillons, la coqueluche, les méningites et
septicémies à méningocoque et bien d’autres...
Notre participation à cette campagne nous permet de superviser, d’enregistrer et d’avoir la certitude que tous
les enfants de la commune de Ndiago sont vaccinés avec succès,

En cinq mois, 162 enfants de moins de 12 mois ont bénéficié de campagne de vaccination.

23
Photos campagnes de vaccination :

Activité 9 : la production des déplien de sensibilisation sur les maladies les prlus rependu dans la zone
Au total 4 thématique sur la santé primaire son produite sous forme d’historiette illustré en 3D avec des
commentaires et dialogues qui font ressortir le problème central de la ythématique, en suite le mauvais
comportement qu’il ne faut pas faire face a cette situation et à la fin le bon comportement qu’il faut retenir.
Voici des copies des quatre flip charte
Au total 30 copies sont produites de chaque thématique ce qui fait 120 Flip chart qui utilisé par les relais
communautaires dans leurs activités de sensibilisation.

24
Accouchement Assiste.pdf Espacement des Naissances.pdf Hygiene Alimentaire.pdf Maternite a Moindre Risque.pdf

Activité 10 : production de flip chart de sensibilisation


Le projet a produit sous forme de dépliant sept thématiques suivant :

1. Le VIH/Sida
2. La malnutrition
3. L’hygiène
4. L’allaitement
5. Les infections sexuellement transmissibles
6. La dingue
7. Le Paludisme

2143 copies sont reproduites de chaque déplient ce qui fait 15000 au total. Ces dépliants sont distribués dans
les différentes activités de sensibilisation dans le cadre du projet.
Voici des copies de chaque type de dépliant :

DEP01-HYGIENE-AR-FR (1).pdf DEP02-ALLAITEMENT-AR-FR (1).pdf DEP03-IST-AR-FR.pdf DEP04-NUTRITION-AR-FR.pdf

DEP06-VIH-AR-FR.pdf DEP08-DINGUE-AR-FR.pdf DEP09-PALU-AR-FR.pdf

Activité 11 : Plantation des panneaux de sensibilisation dans toutes la commune de Ndiago :


Tout les panneaux de sensibilisation planter informent sur la prévention des maladies courantes (règles
d’hygiène, santé de la mère et de l’enfant, dépistage et prévention de la malnutrition, modes de transmission
et moyens de prévention du VIH/SIDA).
La plantation de ces panneaux de sensibilisation dans toute la commune de Ndiago est une activité parmi le
reste des activités du projet, l’équipe du projet a organisée une mission de plantation de dix (10) panneaux de
sensibilisation dans des différents endroits les plus visiter, et qui donne une bonne visibilité de ces panneaux.
Ces derniers sont plantés pour une longue durée, et qui permettent à même temps de renseigner, informer les
populations par les dix textes que contiennent ces panneaux.
Chaque panneau de sensibilisation porte deux textes différents, un au recto et l’autre au verso ou le revers.
Et ces panneaux de sensibilisation seront plantés dans les endroits suivant :

- Deux panneaux de sensibilisations à Ndiago ville


- Un panneau à Moydina
- Un à Zira 2
- Un à Boyo2
- Un à Ebdene
- Un au virage de Ziré 1 qui sur l’axe Keur Mécène- Barrage Diama
- Un à Bouhajra
- Un à Birette1

25
- Et un à Diahoss 2 (les îles)

Au total dix panneaux de sensibilisation pour couvrir toutes la commune de N’diago.

Photos :

26
Activité 12: Les interventions en urgences durant le projet :
Dans une commune qui n’a pas d’ambulance, il est évidant que la voiture du projet de santé de la commune
joue l’ambulance….
L’équipe du projet intervient toujours dans certains cas urgents, il arrive qu’on nous appelle pour des cas
moins graves que d’autres, comme il existe aucune ambulance dans toute la commune, et les populations nos
pas les moyens pour s’acheter des 4X4 qui sont les seuls véhicules qui peuvent circuler dans la commune,
donc le seul espoir qu’ils ont actuellement c’est nous.
En tout cas ce qui sont aux alentours de 35 km de notre siège nous appelle fréquemment pour des urgences.
L’intervention de l’équipe du projet dans ces cas, est de prendre toutes les informations concernant le lieux
et l’état du malade, avant d’informer le médecin ou l’infirmier du centre de santé de Ndiago, pour que l’un
de ces derniers nous accompagne identifier le malade.

Quelques cas d’urgences :


- e 17 mai, dans notre programme de supervision des causeries éducatives dans la zone de Zira 2 et
Bareyel, l’équipe avait comme programme de déplacer un relais communautaire pour animer une
causerie éducative dans un endroit pas loin du nouveau port appelé Mouli, c’est un petit village avec
des campements des pêcheurs, et une fois sur place il y’avait un pêcheur Sénégalais qui a eu un
accident au bord de la mer dans une pirogue pendant le débarquement.

L’équipe du projet a immédiatement amenée ce pêcheur au centre de santé de Ndiago, qui a son tour
l’évacue à Saint- Louis.

- En plain de séance de masse, la sage-femme nous a signalé qui y avait une femme qui était à terme,
elle nous signale qu’elle va accoucher en moins de deux heure, notre voiture à transporter femme qui
était à 35 km du centre de santé de Ndiago, qui était le point de santé le plus proche.
- Le 27/06/2019, on nous appelle pour un jeune homme qui est blessé par un zinc au niveau de la partie
extérieure de la main, et a perdu beaucoup de sang, arrivé sur place le jeune homme ne pouvait plus
résister, nous lui avons fait un garrot au niveau du bras qu’on relâchait chaque 20 min, jusqu'arrivé au
centre de santé de la commune.

27
- L’évacuation d’une femme de 74 ans hypertendue depuis quelques années qui présente une douleur
basithoracique à Saint-Louis
- Le déplacement pour un enfant qui était tomber dans un puits profond, comme par miracle il avait
juste le pied cassé

Quelques photos sur les cas d’urgences:

28
III. Carte des acquis du projet

29
IVLes aspects qualitatifs des résultats du projet

1. Comparaison des résultats des structures de santé les consultations du centre et postes de santé de la
commune de Ndiago par mois depuis Octobre 2018 :

Total consultation depuis


oct. 2018
Centre ou poste de santé Total consultation
oct- nov- déc- janv- févr- mars- avr- mai- juin- juil-
Depuis oct 2018
18 18 18 19 19 19 19 19 19 19

Centre de santé Ndiago 236 134 148 146 150 116 148 152 178 1408
Poste de santé Zira 2 181 225 160 151 144 112 146 132 1251
Poste de santé Birett 19 24 130 94 81 82 74 147 124 775
Poste de santé Bouhajra 20 50 76 70 42 37 46 341
Poste de santé des Iles 179 106 82 86 74 76 81 73 108 116 981
Total 596 484 254 542 519 493 493 335 444 596 4 756

Total résultats du projet :


Sensibilisation projet Consultation projet de janvier 2019 Nombre de dépliants consultation poste et centre
janvier 2019 au 30 juin au 30 juin 2019, Dans les CMA et les distribués depuis de santé d'octobre 2018 au
2019 SM mois janvier 30 juin 2019
19 785 4 265 12 619 4 756

Total resultat du projet


25000

20000

15000

10000

5000

0
Deplient distribué Sensibilisation projet consultation projet consultation poste et
dans le projet du janvier 2019 au 31 de janvier 2019 au 31 centre de santé
janvier 2019 au 31 juillet 2019 juillet 2019 d'octobre 2018 au 31
juillet 2019 juillet 2019

En conclusion, il y’a eu un record de consultation dans la commune de Ndiago depuis l’arrivée de notre projet
de santé souligne le médecin du centre de santé de Ndiago ville.
Selon le tableau administrer par l’équipe du projet, qui prend depuis le début du projet toutes les informations
du centre et postes de santé de la commune,
Plus 10000 consultations ont été faites dans toutes la commune depuis le mois d’octobre 2018 jusqu’au 31
juillet 2019, c'est-à-dire celles des structures de santé de la commune et les consultations du projet dans les
six caravanes médicales et les 25 séances de masse du projet.

30
Et les consultations du projet représentent presque la moitié de toutes les consultations car il représente 47,28
% de toute les consultations effectuées dans la commune par les structures de santé et le projet depuis octobre
2018.

En sensibilisant moins de 20 000 personnes par des causeries éducatives, des visites à domicile pour la
sensibilisation ou en porte à porte par la communication en appliquant les techniques de communication pour
le changement de comportement, sur hygiène de vie, et de comment se prémunir des maladies en entretenant
bien son environnement, son ménage et sa personne.

2. Stakeholder meetings conducted

Nous vous sitons les reunions les plus importentes durant le projet:

Reunion du prmier trimestre


1. Réunion avec le Maire de Ndigo pour le mettre au courant du projet et demander sont appuis
2. Réunion avec les responsables de BP, notamment en mois de novembre :
 Le Social Development Manager Communications & External Affairs Mauritania and
Senegal (Mr Tural Valiyev) ;
 La Planning & Performance Advisor Communications & External Affairs, C&EA Mauritania
& Sénégal (Mme Farah Iqbal)
 Mr Sidi Aly Moulaye zeine
 Mr Bah Ould Boucheiba, Le coordinateur exécutif de l’ONG ECODEV accompagné de son
équipe
 Mr Djibril Sy, Le coordinateur exécutif de SOS PE et son équipe
3. Réunion avec le médecin de la localité de N’Diago, siège SOS PE : le sujet de notre réunion se
porter sur la collaboration de l’équipe du projet avec les structures de santé de Ndiago, et les thèmes
de santé prioritaire qu’il faut prendre en compte
4. Réunion avec l’équipe de consortium ECODEV pour la préparation de la journée de lancement du
programme des fonds d’investissement sociale : cette réunion qui s’est tenu dans le siège de SOS

Les reunions du deuxiéme trimestre:


1. Réunion avec le SG de la commune de Ndiago dans le cadre de notre première activité du projet qui
est la formation de 30 relais communautaires
2. La réunion avec le Hakém de la Moughataa de KeurMécène pour la présentation, information du
déroulement de la formation et de la situation des participants durant la formation prévue le
17/12/2018
3. Une réunion de l’équipe du projet concernant la planification du transport des participants de la
formation
4. Réunion mensuelle de l’équipe du projet avec les relais communautaires
5. Community liaison Officer (Amadou yero Diallo et Sidi Mohamed Hassenna) sur l’avancement du
projet à SOS PE

Réunions du troisième trimestre :


1. La réunion à Rosso avec le conseiller du Walli et les délégués (environnement, développement rural

31
et un représentant de la santé en mois de Mars)
2. Entretien avec le maire de la commune de Ndiago pour donner ses impressions sur la première partie
du projet (l’entretien est enregistré dans le lien vidéo)
3. Réunion téléphonique entre le président de SOS PE et le médecin chef de la Mougataa de Keur
mécène
4. La réunion de préparation de la CMA 4 à Ndiago ville avec assistant du coordinateur exécutif de
SOS PE au siège de SOS PE à Ndiago.
5. La reunion avec les representants de BP à l’Hotél de ville avec Ecodev, Djikké et AMAD en mois de
Mai
6. La réunion de l’équipe du projet avec le chef d’arrondissement de la commune de Ndiago, pour
discuter de possibilité de réalisée nos activités dans le mois, sans au temps déranger les
rassemblements des politiciens pendant la campagne électorale en mois de Juin
7. La réunion avec les partenaires et la présentation du projet au sein du siège de SOS PE à Ndiago.
8. Réunion de l’équipe du projet à Ndiago avec notre coordinateur exécutif pour l’étude et la
planification des activités de la deuxième phase du projet
9. Réunion de planification de la mission de la plantation des panneaux de sensibilisation
5. Réunion avec les responsables de BP, notamment en mois de novembre :
 Le Social Development Manager Communications & External Affairs Mauritania and
Senegal (Mr Tural Valiyev) ;
 Mr Sidi Aly Moulaye zeine
 Mr Bah Ould Boucheiba, Le coordinateur exécutif de l’ONG ECODEV accompagné de son
équipe
 Mr Djibril Sy, Le coordinateur exécutif de SOS PE et son équipe

3. Lessons learned in the reporting period

 L’importance du projet pour la population de la commune de N’diago;


 Les centres et postes de santé ne peuvent pas couvrir les besoins de la commune en matiére de santé;
 Qu’il est quasi impossible de travailler dans la zone sans avoir d’appui ou intermédiaire comme nos
relais communautaires;
 La connaissance de la zone d’intervention permet de facilité beaucoup de taches;
 La commune de Ndiago à besoin des ambulances, il n’y a aucune ambulance dans la commune;
 La plupart des femmes ont le complexe d’exprimer leurs cas aux personnels médical s’il s’agit d’un
homme;
 La plupart des zone isolée les enfants ne sont pas vaccinés ni circoncis;
 La difficulté et le cout élévé d’intervenir dans les îles;
 Manque de personnel et materiel pour réaliser de bilans biologiques, échographies, et les césariennes
 L’évolution des consultations dans les postes et centre santé de la commune par rapport à la même
période de l’année dernière;
 Les relais deviennent de plus en plus des agents de santé communautaire dans leurs villages faute
d’existence des professionnelles de santé;
 La commune a vraiment besoin d’intégration des spécialistes dans les activités médicales du projet
 La plupart des femmes ont le complexe d’exprimer leurs cas aux personnels médical s’il s’agit d’un
homme (un travail de communication s’impose)
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 Les iles sont les zones qui subissent plus les conséquences du manque de service de santé due à la
difficulté de l’accès.
 La dépendance de la marée pour faire nos activités à temps pour toutes nos activités dans les îles;
 Il est nécessaire d’avoir des personnes (relais communautaires par exemple) capables de faire ou
pratiquer le minimum d’interventions primaire dans le domaine de la santé en générale (assister un
accouchement, changer des pansements, nettoyer et soigner une blessure simple ;
 La zone Nord-ouest de la commune de N’diago (Voum lbhar, Bérbar, Khayeu et environ) les
populations souffrent souvent d’anémie et de la dermatose
 On ne peut pas se dispenser d’une clinique mobile, qui est très nécessaire dans la commune de Ndiago
4. Any issues or challenges

 Un projet dans une commune comme Ndiago, demande beaucoup de moyens financiers.
 Améliorer la capacité d’intervention sanitaire et la difficulté d’intervenir en cas d’urgence dans les
localités des îles de la commune de N’diago qui ont les mêmes droits que les autres.
 La minorité des infirmières dans la commune de Ndiago, car durant nos séances de masse la plupart
des femmes nous demande de ramener une infirmière au lieu d’un infirmier
 Jouer le rôle de l’ambulance de la commune, non seulement on n’a pas les moyens, ni la capacité de
tout assurer avec la seule voiture qu’on a.
 La rupture des médicaments (antibiotiques, antiparasitaires, compléments alimentaires), durant nos
séances de masse alors qu’il Ya toujours des patients à consulter
 L’absence de l’ambulance dans la commune, coute cher à la population

Les inquiétudes spécifiques des communautés de la commune de Ndiago


 Le poste de santé de Moydina desservait toute la zone de Bariel, depuis qu’il n’est plus fonctionnel
les populations de la zone ont des grands problèmes de santé
 L’ile de Thonk n’a aucune structure de santé ni de
 Comment faire le suivi de grossesses des femmes en ceintes dans une zone qui est à 10 Km de la
structure de santé la plus proches de plus il n’y a pas ni de route praticable ni de voiture de transport.
 Sans le rapprochement des services de santé des village l’accouchement a domicile va continuer avec
ses inconvenant
 La durée du projet est limitée
 Notre village est loin de structures de santé et nous n’avons même pas une accoucheuse pour aider
les femmes
 Accès difficile à la plupart des localité (villages) de la commune de Ndaigo
 Le personnel de santé n’est pas motivé de resté dans la commune de Ndiago
 Pour plus de 40 villages il n’existe que 5 structure de santé fonctionnel
 Le personnel de santé de toutes la commune se limite à : 1 médecin généraliste, 3 infirmier d’état et
une sagefemme
 Les structure de santé sont mal équipé
 Il est très difficile d’évacué un malade des iles

33
Constat de l’équipe du projet après une année de mise en œuvre du projet sur la situation sanitaire
(Défis) notamment, les barrières liées à l’accès aux services de santé dans la commune de Ndiago
Des barrières liées à disponibilité Des barrières liées à la demande Des barrières liées à
et la qualités de l’offre de et aux besoins l’environnement et aux
service valeurs socioculturelles
Lié aux structures de santé Lié aux structures de santé Lié aux structures de santé
 Difficultés d’accès  Manque de structures de santé  Croyance et valeur du
géographique aux services de dans la majorité des villages de prestataire de santé peut
la plupart des villages de la la commune de Ndiago ; influencer la qualité de
commune de Ndiago.  Le travail du personnel est certains services de santé
 L’insuffisance du personnel de accès sur le curatif ; qu’il offre tel que la
santé ;  Manque d’actions préventif planification familiale ;
 Maque de formation continu de avant l’arrivée du projet ;  Difficulté d’accès des
renforcement de capacité du  Manque de services pour la populations aux services la
personnel sur place ; stimulation de la demande au SR (PF, soins IST,
 Manque d’un cadre de tour de la santé primaire ; dépistage et prise en
communication sur la santé  L’offre de services se limite charge du VIH Sida) pour
entre les communautés et les aux soins primaire dans la des raisons culturelles, la
personnels de santé plupart des structures de santé disponibilité de services, et
 La concentration des meilleurs la confidentialité ;
services de de santé de la Lié à la communauté  Manque de formation des
commune dans le centre de  L’ignorance des populations prestataires sur la prise en
santé de Ndiago des avantages de soins précoces charge des besoins
 Manque de matériel médical des maladies ; spécifiques en santé
spécifique à la grossesse et la  Rareté de la demande de soins  La non prise en compte des
maternité (échographie…) dans les structures de santé de aspects culturels dans les
 Manque de respect des règles Ndiago malgré l’impotence de critères de sélection des
d’hygiène dans certains postes besoin et la disponibilité des prestataires (Homme
de santé certains services de santé ; /Femme) (l’aspect genre)
 Le délabrement des structures  L’influence des pairs  Manque de services
de santé (utilisation ou non des services) spécialisé
 La qualité de l’accueil et les mauvaise reptation des
condition logistique structures de santé et terme de Lié à la communauté
n’encourage pas les qualité de services ;  A cause de la pauvreté les
populations à venir aux  La croyance des populations une grande partie de la
structures de santé aux soins traductionnels ; population ne vont pas aux
 Le manque de sensibilisation structures de la santé.
Lié à la communauté sur la santé de la reproduction  Les croyances
 Le retard d’amener la maladie (Planning familial, les socioculturelles par rapport
au structure de santé. infections sexuellement au service de santé font
 Manque de confiance aux transmissibles, le dépistage et que certaine personne
services de santé local prise en charge du VIH Sida) ; n’utilise pas les services de
santé que tardivement ;

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 Le recours aux services de  L’absence de la notion de  Manque d’information
santé traditionnelles prévention auprès des jeunes et sanitaire pour prendre les
communautaires non reconnu des adolescents. décisions qui s’imposes au
 Recours aux services des  La non implication des niveau personnel, familiale
charlatans bénéficiaires dans le processus ou communautaires ;
 L’automédication de mise en place des  La nature de relation entre
 L’influence des pairs dans le programmes de santé les prestataires et certaines
choix de type et qualité de communautaire ; personnes n’encourage pas
services ;  Le préjugé sur la santé certains individus de
 Manque de motivation du  Fausses informations sur les s’octroyer les services de
personnel à cause des services de la santé existantes à santé dans les centres et
conditions de travail. Ndiago postes de santé
 Le non accès au préservatif et  La pauvreté des populations;  La crainte des populations
les autres contraceptifs ;  L’insuffisance d’engagement des services de santé local.
 Recourir aux sévices des communautaire pour la santé  Le manque d’organisation
charlatans et guérisseur pour la  L’insuffisance quantitative et de société civile
prévention contre les qualitative des relais communautaire (ONG et
grossesses communautaires ; associations) pour la mise
 Difficulté d’amener une  Manque d’encadrement familial en place des actions
infection sexuellement sur la santé en générale ; préventifs ;
transmissible aux personnel de  Le manque d’information
santé qualité la PF au niveau de
 Le non soins des deux la communauté
partenaires en cas d’IST
 Manque de services de conseil
dans les postes de santé
5. Corrective Actions/next steps
 Un financement suffisant pour à bien mener toutes les activités du projet.
 Il n’y a pas de solution jusque-là pour les interventions en urgence chez les iles de la commune de
Ndiago.
 Formation des infirmières dans les centres et poste de santé de la commune
 La voiture du projet était à un moment l’ambulance de la commune de Ndiago.
 Mettre suffisamment d’argent dans l’achat des médicaments pour tous les patients dans les CMA et
SM
Recommandation des populations de Ndiago
1. BP doit prendre container par ce que le rôle du gouvernement s’arrête à la constriction des structures
de santé et y mettre un personnel, nous n’avons jamais vu le gouvernement financé les activités que
vous êtes entrainé de mettre en œuvre dans la commune, ce pendant elles sont plus important que la
construction de structure de santé que personne n’a en vue de visité
2. Renforcer les relais communautaires dans les villages
3. Augmenter la fréquence de passage du personnel de santé dans les villages
4. Renforcer d’avantage les capacités des relais communautaires dans le domaine de la sante.
5. Organisation des relais en associations pour prendre la relève du projet

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6. Acquérir une ambulance dans pour la commune pour les soins et l’évacuation d’urgence des malades
7. Renforcer les capacités des structures sanitaires existantes dans la commune
8. Organiser des campagnes médicales en faveur de la communauté de Ndiago.
9. Création d'une coordination entre les organisations non gouvernementales qui œuvrent dans le
domaine de la santé.
10. La débilitation du poste de santé de Moydina
11. La formation d’une accoucheuse pour chaque village a Ndiago

Recommandations de l’équipe du projet


1. Renforcer la capacité des relais communautaire pour qu’il devient des agents auxiliaires de santé.
2. Augmenté le volume des activités médicales et les activités de sensibilisation
3. Rendre disponible une clinique mobile pour faire des interventions médicales dans les villages
éloignés des structures de santé

6. Success stories/case studies


Témoignages :
 Je suis très satisfait du travail de SOS Paire éducateurs (le maire de la commune)
 Les autres ONG doivent travailler d’une manière concrète et pragmatique comme SOS (le secrétaire
général de la mairie de Ndiago).
 C’est la première fois qu’un personnel de santé débarque dans notre ile depuis 1996 (chef du village
de Thiong).
 Nous plus expérimenté et importante dans nos communautés par notre travail de relai
communautaire (une relais communautaire)
 Un témoignage d’une participante d’une causeries éducative présentée par le relais communautaire
de Birette 2
 Le jeudi 18/04/2019, le relais communautaire du village d’Ebdene a envoyé un message vocal sur le
groupe whatsapp des relais communautaires et l’équipe du projet pour nous informer qu’une femme
enceintre de leur village était à terme d’accoucher, et qui devrait être évacuée immédiatement à
Nouakchott, malheureusement il n’y a pas d’ambulance dans toute la commune,
Sa femme appelle la première voiture de transport, pour amener cette femme le plus vite possible.
En route vert Nouakchott, une fois arrivé à Tigint, elle a accouchée dans la voiture.
Elle était enceinte de trois bébés, deux n’ont pas survécus, et le troisième était dans une couveuse.

Les acquis du projet selon les communautés de Ndiago (témoignages)


 On restait plus de deux ans sans voir quelqu’un de la santé dans notre village, depuis que vous êtes là
on les voit presque chaque mois (un chef de village) ;
 Depuis 1994 suite à une épidémie de choléra, c’est la première fois qu’une équipe de médicale visite
notre village (chef du village de l’ile de Thonk) ;
 C’est la première fois que je visite une ile dans la commune de Ndiago (médecin chef de Ndiago) ;
 Avant vous, nous n’avions j’amis en des séances de sensibilisation quelconque (une personne de la
communauté) ;

36
 Je ne savais pas l’allaitement cette grande importance avant ma participation à vos séances de
sensibilisation (une participante a une causerie éducative) ;
 Les campagnes médicales sont les meilleurs moyens de nous rapprocher des services de santé (un
responsable d’un village) ;
 Etre soigné chez soi et avoir des médicaments gratuitement ; on ne peut pas rêver plus (un habitant
des villages de Ndiago)
 Avant le projet les évacuations étaient presque impossible pour les familles pauvres.
 On se sent plus utile avec tout ce volume de travail (infirmier à Ndiago)
 Les consultations dans le centre de santé de Ndiago ont augmenté de plus de 100% depuis que le
projet est là nous nous sentons utile et valorisé dans nos villages.
 Depuis que le projet est là nous n’avons plus un problèmes d’évacuation de nos malades vers le
centre de santé de Ndiago
 Je souhaite que toutes les structures de la société civile soient aussi pragmatiques et productives
comme SOS Pairs Educateurs (Le maire adjoint)
 Des milliers de personés ont reçu le soin gratuit à travers ce projet (le Maire adjoint)

Note: Please submit below appendices along with quarterly reports.


 Appendix 1. Budget financial report
 Appendix 2. KPI Table

Activités Situations Date actualisée

Recrutement de l’équipe du projet Réalisée Du 01/10 au 20/10/2018


Formation de l’équipe du projet Réalisée Le 16/10/2018
Préparation logistique du projet Réalisée Du 25/11 au 02/12/2018
Installation de l’équipe du projet Réalisée Du 03/12/2018 au 06/12/2018
Sélection des participants à la formation des relais Réalisée Du 29/10/2018 au 14/11/2018
Atelier de lancement du projet Réalisée Le 10/12/2018
Atelier de formation des relais communautaires du projet Réalisée Du 17 au 21/12/2018
Organisation de la première campagne médicale (CMA) Réalisée Du 11 au 13/01/2019
Supervision des causeries éducatives Réalisée Du 18 au 23/01/2019
Visite des postes/centres de santé Réalisée Du 24 au 31/01/2019
Réunion mensuelle Réalisée Le 09/02/2019
Les 59 causeries éducatives du mois février Réalisée Du 13 au 28/02/2019
La campagne médicale avancée à birette et Ebdene Réalisée Le 16 et 17/02/2019
Les deux séances de masse Réalisée Du 19 au 28/02/209
La réunion mensuelle du mois de mars Réalisée Le 02/03/2019
première Séance de masse du mois de Mars à Khaya Réalisée Le 06/03/2019
2ème séance de masse à Lormeu Réalisée Le 07/03/2019
premier jours de la CMA3 à Zira 1 Réalisée Le 09/03/2019
deuxième jour de la CMA 3 à Ghahra Réalisée Le 10/03/2019
Campagne vaccination Réalisée 27 et 28-mars
3ème séance de masse à Ngémére Réalisée Le 15/03/2019
du 15 soir le programme du supervisons de tous les relais Réalisée du 15 au 26/03/2019

37
4ème séance de masse à Mékéb Deig Réalisée Le 17/03/2019
5ème séance de masse à Ehel Beyah Réalisée Le 18/03/2019
Le réunion mensuelle le 01/04/2019 Réalisée Le 01/04/2019
CMA 4 à Ndiago Réalisée Le 04 et 05/04/2019
SM N°8 à Gad Hamodya Réalisée Le 07/04
SM 9 à Hassi Ashra Réalisée Le 08/04
SM 10 à Angour Réalisée Le 09/04
La supervision des CE Réalisée Du 11 au 24/04
CMA5 à Thiong Réalisée Le 20/04
CMA5 à Diahoss 2 Réalisée Le 21/04
Campagne de vaccination Réalisée Le 27 et 28/04
La réunion mensuelle Réalisée Le 01/05/2019
SM 11 à Avgueyduir Réalisée Le 08/05
SM 12 à zira sébékhétt Nord Réalisée Le 09/05
La supervision des causeries Réalisée Du 11 au 24/05
Campagne de vaccination Réalisée 26 et 27/05
La réunion mensuelle du mois de juin Réalisée Le 11/06/2019
Cinq causeries éducatives Réalisée Du 24 au 30/06/2019
SM 13 à Hassi Lmhar Réalisée Le 25/06
La campagne de vaccination Réalisée Le 26/06
SM 14 aux villages regroupés(mouftah el khair, Arafat, Dar salam) Réalisée Le 27/06
SM 15 à Dar Salam Réalisée Le 28/06
SM 16 à Sébékhat bariyél Réalisée Le 29/06
SM 17 à Leghreyde Réalisée Le 30/06/2019
SM 18 à Bouhajra Réalisée Le 07/07/2019 matin
SM 19 à Ehél Modéne (zira 2) Réalisée Le 07/07 soir
SM 20 à Bérbar Réalisée Le 08/07/2019
SM 21 à Voum Lbhar Réalisée Le 09/07/2019
SM 22 à Gad M’barke (île) Réalisée Le 10/07/2019
SM 23 à Boyo 1 Réalisée Le 12/07/2019
SM 24 à Boyo 2 Réalisée Le 13/07/2019
SM 25 à Khayeu Réalisée Le 14/07/2019
Les VADS Réalisée Du 05/07 au 20/07/2019
Mission de plantation des panneaux de sensibilisations Réalisée Le 18 et 19/07/2019
CMA 6 le premier jour Réalisée Le 24/07/2019
CMA 6 le deuxième jour Réalisée Le 25/07/2019
La campagne de vaccination Réalisée Le 26 et 27/07/2019
Rapport final du projet Réalisée Le 04/08/2019

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Quantitative Summary (based on Log-frame and KPIs)

Planned
Overall
for the Actual for the
KPIs/Measures Outcomes / Results Cumulative Program
reportin reporting period
Targets
g period

Objective 1. Améliorer et étendre l’accès de la population de la commune de NDiago aux services de santé primaire.
1.1. Augmentation de 30% du 1.1.1. – Les postes et le centre 30 % 143% 143% Promotion de
nombre de consultations par le de santé de la commune de Les 5 postes et centre de santé l’accès à la
personnel des 4 structures de santé Ndiago sont mieux équipés ont consulté avec la santé
dans la commune et les dispositifs pour assurer leurs services participation des primaire dans
mises en place par le projet (CMA auprès de la population. sensibilisations des relais du la commune
et visite à domicile).. projet plus de 5000 personnes de Ndiago.
depuis le mois d’octobre 2018
Les CMA et les SM qu’a
organisé le projet a consulté et
soigné 4367 personnes depuis
le mois de janvier 2019 au
juillet 2019
1.2. La mise en place d’un 1.2.1. Des relais 30% 110% 110 % Promotion de
dispositif communautaire facilitant communautaires sont formés L’équipé de la caravane (Des relais sont formés et l’accès à la
l’accès des populations de Ndiago (formation théorique et est expérimenté sur la recruté comme des volontaires santé
au service de santé pratique sur le terrain) en mise en œuvre des du projet. primaire dans
matière de CCC appliquée CMA, 6 campagnes médicales sont la commune
aux thématiques prioritaires A travers les caravanes réalisées. de Ndiago.
de santé médicale, campagne de 25 campagnes de masses sont
masse le projet a réalisé.
touchés directement 42 174 causeries éducatives sont
villages sur les 42 que réalisées.
compte la commune de
Ndiago.

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Par les SM le projet a Les visites a domicile ont
consulté et soigné 1272 touché 6478 personne
personnes jusqu’au fin mars 2019.
A travers la Plus de 10500 dépliants
sensibilisation le projet distribuer.
a touché 20470
personnes.
Par les campagnes de
vaccination le projet a
touché 162 enfants.
Objective 2. OS 2 - Améliorer l’information sanitaire et hygiène des populations de la commune de Ndiago sur les thèmes prioritaires de la santé de base :
maladies endermique, maladies liées à l’hygiène et l’eau, maladies potées par les vecteurs, santé mère-enfant, prévention de la malnutrition, prévention des
IST, VIH/SIDA et les Hématites.
2.1.60% des ménages de NDiago La population de la commune 60% 105 % 105 % Promotion de
ont acquis des savoirs leur de Ndiago a acquis les Plus de 6478 personnes 20470 personnes sont l’accès à la
permettant de se prémunir des savoirs de base lui permettant touché à travers les sensibilisées à travers les santé
maladies courantes, de se prémunir des maladies visites à domicile. causeries éducatives et les primaire dans
courantes visites à domicile, les CMA et la commune
les SM. de Ndiago.

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