Mémoires d'Indochine
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15/08/2016
130723154600_0026 - Copie (3)S. E. Bùi Bằng Ðoàn, Ministre de la Justice. Originaire de la province de
Hà-Ðông (Tonkin).
Issu d’ancêtres lauréats des anciens concours et grands mandarins : son père était Tuần-Vũ. Son grand-
père, reçu Thủ-Khoa (1er lauréat des concours littéraires triennaux) sous le règne de Minh-Mạng, Tiến-sĩ
sous le règne de Thiệu-Trị, était Tổng-Ðốc de Bắc-Ninh sous le règne de Tự-Ðức avec le grade de Thái-tử-
Thiếu-bảo.
Entré à l’école des mandarins en 1907, en est sorti diplômé en 1911 avec le numéro 1.
Chargé en 1930 des fonctions de Président du Tribunal provincial à Bắc-Ninh, fonctions qui étaient
confiées depuis le début de la réforme judiciaire au Tonkin (1917) à des magistrats français ou des
administrateurs des Services civils.
Tuần-phủ de Cao-Bằng (1932), de Ninh-Bình (1933).
Suite biographique :
BuiBangDoan1889-1955Notice Wikipedia VN :
En janvier 1946, est élu député de l’Assemblée nationale pour la province de Hà Ðông et en novembre
1946 dirige le Comité permanent de l’Assemblée nationale.
Marié à Trần Thị Đức, il est le père du journaliste Bùi Tín (dissident), de l’entrepreneur Bùi Nghĩa et de
huit filles.
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S. E. VI VĂN ÐỊNH
12/08/2016
Titulaire du Grade de 7-1 văn-giai, il a été nommé Tri-Châu de Lộc-Bình en 1901, Tri-Phủ de Tràng-Khanh
en 1908, Thương-Tá de Lạng-Sơn en 1913, Án-Sát en 1914 et Tuần-Phủ de Cao-Bằng en 1921.
Appelé à servir au Delta comme Tuần-Phủ de Phúc-Yên (1923-1927), de Hưng-Yên (1927-1929), Tổng-
Ðốc de Thái-Bình (1929-1937) et de Hà-Ðông (1937-1941), il a été admis à la retraite le 1er août 1941. Il
a été promu Hiệp-Tá-Ðại-Học-Sĩ en 1933 et Thái-Tử-Thiếu-Bảo en 1936. Le titre de Baron de An-Phước
lui a été décerné le 15 janvier 1940.
Il a été désigné pour aller assister à l’Exposition Internationale de Paris en 1900 et à l’Exposition de
Marseille en 1922.
Palmes académiques.
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ADMINISTRATION COLONIALECAO BANGHA DONGLANG SONMANDARINATS.E. VI VAN DINHTHAI
BINHTONKIN
04/03/2016
CR de lecture de Xiao Han : Goscha, Christopher E., Indochine ou Vietnam ?, Paris, Vendémiaire, 2015,
188 p.
Comme indiqué dans le premier chapitre, la majorité des Vietnamiens aujourd’hui n’ont pas connu la
période coloniale, ni les guerres d’Indochine. Le terme « Viêt Nam » est le seul nom qui s’est imposé
comme identité culturelle et étatique pour la majorité des habitants. Néanmoins, il n’était pas le seul
cadre national possible, car l’histoire du Viêt Nam affiche une longue histoire coloniale interactive. «
Vous sentez-vous Indochinois ? » (p. 5). Cette question, presque péjorative aujourd’hui pour les
Vietnamiens, évoquait des débats importants chez les élites vietnamiennes de l’époque coloniale voire
post-coloniale. Cette étude nous démontre dans quelle mesure et pour quelles raisons les Vietnamiens
furent près de « devenir indochinois ».
La mainmise française sur le territoire « indochinois » a commencé avec le traité de Saigon en 1862. Les
dirigeants politiques français s’accordaient en 1887 sur la création de l’Union indochinoise, une «
Indochine française » (p. 21), composée de cinq parties : Cochinchine, Annam, Tonkin, Cambodge, et
Laos. Le chapitre II nous montre comment les Français ont pu convaincre les Annamites d’adhérer à
cette nouvelle identité nationale : « Idéologiquement, spatialement et matériellement, les Français
poussèrent les Annamites à se penser en termes indochinois » (p. 13) et ce chapitre souligne
l’importance de la collaboration franco-annamite dans la construction et la gestion de la colonie.
« Jamais les Français n’auraient pu créer leur nouvel État colonial indochinois sans les Vietnamiens… »
(p. 13). Pourquoi les Annamites, interroge l’auteur ? Selon les arguments racialistes des colonisateurs,
les Annamites étaient considérés comme « plus dynamiques » et « plus intelligents » (p. 97) que les
Laotiens et les Cambodgiens.
IndochineImagerie
Pour convaincre les Annamites de faire confiance et de participer au projet indochinois, les Français
défendirent l’idée que l’Indochine n’est pas une colonie, mais une « fédération d’États » qui « se faisait
dans leur intérêt » (p. 22). « L’Indochine marquait moins une rupture avec le passé qu’une continuité
avec l’avenir impérial du Dai Nam, assurée par le pouvoir français » (p. 22). La mise en place des projets
de modernisation faisait réellement sentir aux Annamites les avantages qu’ils pourraient tirer de cet
État colonial : la construction des infrastructures et de l’industrie, la création des réseaux de transport
moderne qui relaient les cinq parties de l’Indochine et le développement économique, notamment le
commerce et le tourisme.
Par ailleurs, les Français promettaient un avenir aux « vieilles ambitions » (p 20) de l’expansionnisme
annamite, que constituait la domination des territoires laotiens et cambodgiens : « lorsqu’elle se sentira
définitivement supérieure à eux et verra sa domination s’étendre avec la nôtre, alors nous pourrons
prétendre que l’avenir de l’Indochine française est définitivement assuré » (p. 22). Les Annamites sont
alors étroitement associés à la gestion administrative de la colonie : « Les colonisateurs formaient les
futurs fonctionnaires civils annamites » (p. 31) et les envoyaient dans les bureaux administratifs des cinq
parties de l’Indochine. Cela produisit une croissance de l’immigration annamite, notamment de
fonctionnaires annamites cultivés. « A partir des années 1930, les Annamites furent largement
responsables […] de la direction des bureaux administratifs à l’échelle indochinoise au Laos et au
Cambodge » (p. 31) souligne l’auteur. Cette « colonisation annamite » dans une forme de collaboration
coloniale, a accéléré par la suite un conflit intérieur en Indochine.
MandarinsAnnamites_Brossard - Copie
Pour renforcer l’identité indochinoise chez les Annamites, les Français mirent également en place un
système éducatif colonial. La propagande coloniale pénétra l’éducation de base à travers les manuels
scolaires dans le but de construire une idéologie indochinoise à la fois historique et géographique. La
fondation d’une nouvelle génération d’élites annamites était au cœur de cette réforme éducative. La
création de l’Université indochinoise avait pour but de « détourner les Annamites de l’emprise est
asiatique […] pour les orienter vers les horizons de l’Indochine française […]. Les Français supprimèrent
en 1919 le système confucéen des concours mandarinaux et le remplacèrent par un système
d’éducation franco-indigène » (p. 35). Pour palier ce changement radical, la conception française de
l’éducation indochinoise s’appuyait sur les Annamites, et non sur les Laotiens ou les Cambodgiens. Ces
derniers préféraient les écoles de pagodes rénovées. Tous ces efforts ont eu du succès au sein d’une
nouvelle génération annamite : « à partir du milieu des années 1920, les plus jeunes Annamites
croyaient à la réalité de l’espace géographique, politique et économique indochinois » (p. 41) à travers «
l’Union ou la Confédération indochinoise, sous la bonne protection française » (p. 42).
En définitive, « A la fin des années 1920, de nombreux Annamites trouvaient plus facile d’endosser des
vêtements indochinois. Et cela, de façon somme toute assez naturelle » (p. 34).
IndochineFrançaise_CartePolitique
Comment « lier la destinée des Annamites à un futur indochinois » (p. 52) ? La question des limites
géographiques provoqua de nombreux conflits chez les nationalistes à partir des années 1920. Le Parti
Constitutionnaliste Indochinois fut un des pionniers à répondre à ce sujet, avec une attitude pro-
française fervente. Il soulignait que le futur État indochinois devait être « le prolongement naturel de la
destinée annamite précoloniale » (p. 51). L’argument de ce discours était lié à la « vielle ambition »
d’expansion annamite vers les territoires de l’ouest. Cela démontait que les Annamites, comme les
Français, avaient aussi « une mission coloniale à accomplir en Indochine » (p. 55). Comme eux, ils
portaient un regard raciste et exotique sur les ethnies minoritaires de l’ouest.
Mis a part la raison politique, le développement économique de l’Indochine était une autre motivation
importante pour les partisans de l’alliance franco-annamite qui étaient souvent des entrepreneurs
capitalistes annamites. Leurs arguments étaient liés aussi aux « aspirations coloniales » (p. 57),
néanmoins, ils considéraient que « l’Indochine n’était pas exactement le Dai Nam », mais un « stade
intermédiaire entre le passé et le futur » (p. 57).
PhamQuynh&NguyenVanVinh
Pham Quynh (1892-1945) et Nguyen Van Vinh (1882-1936), se penser Annamite ou Indochinois ?
Le « grand débat indochinois » (p. 62) continua pendant les années 1930, en penchant sur l’idée d’une «
autonomie annamite », à travers deux discours principaux : celui de Pham Quynh, qui acceptait une «
fédération indochinoise » mais insistait sur le fait de rester « annamite » : pour lui le nationalisme
annamite ne pouvait pas être greffé sur le modèle indochinois, à cause de l’existence de « la
contradiction béante entre le colonialisme français et le nationalisme annamite » (p. 65). Le discours de
Nguyen Van Vinh alla plus loin, avec le souhait de devenir « indochinois », en greffant le patriotisme
annamite sur le modèle colonial indochinois. Car, selon lui, dans le contexte colonial français, « une
nation annamite ne pourrait jamais exister indépendamment » (p. 64) sans ce cadre indochinois. Si les
Annamites voulaient obtenir « une autonomie plus large », il faudrait se penser eux-même en tant
qu’Indochinois.
Les communistes participèrent également à ce débat indochinois, malgré leur position d’opposants
révolutionnaires. Pour eux, une nation indochinoise « n’était pas nécessairement contradictoire avec
leurs convictions idéologiques » (p. 76). Ils relayaient en effet les positions de Nguyen Van Vinh sur le
passage nécessaire au modèle indochinois. Mais « le terme d’Indochine était trop large pour les activités
révolutionnaires annamites » (p. 78), comme l’évoquait Hô Chi Minh dans les années 1930. Dans la
même période, le retour de l’emploi du terme « Viêt Nam » pour désigner la nation colonisée était
croissant chez les nationalistes, notamment grâce aux efforts du Parti Nationaliste Vietnamien (VNQDD),
farouchement anticolonialiste. Les communistes employaient également le terme « Viêt Nam » pour
signifier une « identité nationale éternelle et forte » (p. 78), mais sans pouvoir « passer à côté du
modèle indochinois français » (p. 83). Malgré sa puissante transformation et la réappropriation dont il fit
l’objet, « le mot Viêt Nam resta largement ignoré du peuple et son usage encore nouveau […] ». (p. 81)
Sur le sujet du modèle indochinois, ni les nationalistes, ni les communistes annamites n’avaient pensé
consulter l’avis des Laotiens, des Cambodgiens ou des autres groupes ethniques. Pourtant, « il n’y eut
guère de Laotiens ou de Cambodgiens parmi les élites à vouloir devenir Indochinois » (p. 93). Au
contraire, « les Laotiens et les Cambodgiens se moquaient pas mal de l’Indochine, que son cadre ait été
vietnamien ou français » (p. 94).
Laotiens&Laotiennes
L’Indochine française s’effondra en 1945. D’après l’auteur, une des raisons essentielles de la défaite
était le manque d’un consensus entre les différents membres colonisés. Elle se représentait comme
l’absence d’une « sorte d’acte de foi » (p. 125) : absence d’une langue indochinoise officielle parlée par
tous ; différences culturelles complexes ; divergences renforcées par les Français en promouvant les
systèmes éducatifs distincts. A l’attitude hostile des Cambodgiens et des Laotiens à l’égard des
Vietnamiens, s’ajoutaient les menaces extérieures provenant du Japon et de la Thaïlande. Néanmoins,
les élites vietnamiennes, notamment communistes, « éprouvèrent des difficultés à délaisser l’Indochine
et le modèle fédéral » (p. 146), qui « étaient pour leur part toujours déterminés à maintenir en vie leur
‘création’ indochinoise » (p. 154). Dans les années 1970, en empruntant l’idée de la « solidarité
indochinoise » (p. 155), les communistes vietnamiens, en tant que « frères aînés » (p. 155) construisirent
leur propre alliance avec les Laotiens et les Cambodgiens, à travers les « liens politiques, militaire,
économiques et culturels » renforcés (p. 155).
***
Christopher Goscha nous avertit qu’à travers cette « recherche insolite », « il ne s’agit ni d’une réaction
à un débat historiographique quelconque, ni d’une prise de position idéologique concernant l’une des
trois guerres d’Indochine » (p. 158). Il s’agit en quelque sorte, de bouleverser notre manière de penser
l’identité de l’Indochine. Il nous montre la complexité interactive de la relation colonisateur-colonisés et
les enjeux d’une collaboration pro-française largement acceptée par les « élites vietnamiennes »
pendant la période de la colonisation française. Cependant on peut regretter le manque de précisions
sur les conflits postérieurs et les impacts coloniaux négatifs, notamment la réception de cette
construction par les couches populaires, et l’hypothèse d’un refus total de l’identité indochinoise au sein
des élites vietnamiennes, ainsi que le rôle de la Chine pendant cette période. Le croisement des
différents niveaux d’analyse, bien qu’il soit indispensable, rend parfois l’ouvrage complexe. Cet essai
stimulant invitera forcément le lecteur à repenser le cadre indochinois qui lui est habituellement donné
à voir.
PagodeKhmère_PreyVeng
Suite à un parcours universitaire en gestion culturelle, XIAO Han est étudiante en Master 2 Asie
Orientale Contemporaine de l’ENS de Lyon. Après avoir soutenu un mémoire sur le développement des
fondations culturelles privées en région PACA, elle effectue actuellement un mémoire de recherche
portant sur l’appropriation du terme mécénat en Chine et le développement du financement privé dans
le secteur culturel en Chine.
Notes
An Nam, signifie « sud pacifié » en chinois, il fut accordé par le souverain chinois au 19 siècle pour
symboliser une relation tributaire [↩]
Viêt-Nam, vient du terme « Nan-Yueh » (Viêt du sud), nom donné au pays réunifié par l’empereur Gia
Long de la Dynastie Nguyen, suite d’un désaccord sur le terme An nam. Mais l’appellation Nam Viêt fut
inversée par l’empereur chinois devenant ainsi « Viêt-Nam » [↩]
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30/06/2015
SE_NguyenThucDinhS. E. Nguyễn Thúc Dinh né en 1876 à Xuân Liễu (Nghệ An, Annam). Reçu Phó-Bảng
(Docteur Secondaire) au concours triennal en 1900 et envoyé en 1908 en France en qualité d’étudiant. A
son retour en 1909 il a, jusqu’en 1931, servi dans le Gouvernement Annamite en passant
successivement par les Tri-Huyện, Tri-Phủ, Án-Sát, Thị-Lang, Bố-Chánh, Tuần–Vũ.
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21/06/2015
Admis au concours général en 1898, est entré dans l’Administration locale de la Cochinchine en 1899
comme Élève-secrétaire.
Après avoir franchi successivement les échelons de la hiérarchie du cadre secondaire, a subi avec succès
l’examen de huyện et est entré dans le cadre supérieur avec le grade de huyện de 2e classe.
A été admis à la retraite en 1933, après 34 ans de services, avec le grade de Đốc-Phủ-Sứ de classe
exceptionnelle.
Durant sa carrière administrative, a servi dans plusieurs provinces de la Cochinchine et a dirigé les
circonscriptions de : Rạch-Kiên, Lai-Vũng, Ca-Lành, Chef-lieu Trà-Vinh, Phú-Quốc, Thốt-Nốt, Phú-Lộc,
Késach, Vụng-Liêm, Chef-lieu Vĩnh-Long, Vĩnh-Châu, Gia-Rai.
Se consacre activement, depuis sa mise en retraite, au commerce de céréales pour le compte d’une
grande maison européenne d’exportation de Saigon. Exploite actuellement une importante plantation
de caféiers sur le plateau des Bolovens au Laos.
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15/06/2015
Phủ en 1928.
Đốc-Phủ-Sứ en 1937.
A servi successivement dans les provinces de Tân-An, Gò-Công et à la Direction des Bureaux du
Gouvernement de la Cochinchine.
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14/06/2015
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IMÉRA – CYCLE DE CONFÉRENCES : “THE GENOCIDES IN CAMBODIA, 1975 – 1978” PAR BEN KIERNAN
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dans la liste.
PARUTION
L’HISTOIRE DU MOUVEMENT DE RÉSISTANCE CIVILE “NO-U”EN 3 MINUTES
UQAM_GuerreIndochine
PUBLICATION : CAMBODGE
Chandler_HistoireCambodge
David Chandler
PUBLICATION : LAOS
NguyenTheAnh_ParcoursHistorienVietnam
Parcours d’un historien du Viêt Nam.
LIENS
Afrase Site d’information de l’Association française pour la recherche sur l’Asie du Sud-Est
Blogging Politics in Vietnam 2003-2015 A timeline of Vietnam’s blogging movement and related political
events
Bophana – Audiovisual Resource Center Le centre Bophana collecte les archives images ou son sur le
Cambodge. Pour les Cambodgiens, c’est une porte ouverte sur des pans entiers de leur mémoire
Center For Khmer Studies – Siem Reap Founded in 1998, the Center for Khmer Studies is an American
Overseas Research Center that receives partial support from the US Government. Its programs and
administrative costs are largely privately funded.
Etudes coloniales Revue en ligne consacrée aux recherches portant sur l’histoire coloniale et post-
coloniale, sur l’histoire des constructions mémorielles et sur les immigrations d’origine coloniales
Femmes et guerres Site dédié à la connais-sance des phé-no-mè-nes des guer-res et de leur rela-tion au
genre. Il aborde plus précisément la question des femmes dans les guerres du Viêt Nam
France-Vietnam : un portail entre les cultures Blog de Nguyen Giang Huong, (chargée de Collections en
Langue et Littérature d’Asie du Sud-Est au département Littérature et art de la BNF) dédié aux échanges
culturels franco-vietnamiens
Frères d'armes Ils se sont battus pour la France depuis plus d’un siècle – Un site leur rend hommage
Good Morning (AEJJR) Mensuel culturel de Amicale des anciens élèves du lycée Chasseloup-Laubat /
Jean-Jacques Rousseau de Saigon
Institut d'Asie orientale L’IAO est un centre de recherche en sciences humaines et sociales du CNRS dont
les travaux portent principalement sur l’Asie de l’Est et du Sud-Est
Journal of Vietnamese Studies La revue de Vietnamologie édité par l’université de Berkeley, Californie
Les carnets du CASE (Centre Asie du Sud-Est) Les carnets du CASE présentent les résultats d’une veille
consacrée à l’actualité de la recherche en Asie du Sud-Est
The Vietnam Center and Archive The Vietnam Center and Archive collects and preserves the
documentary record of the Vietnam War, and supports and encourages research and education
regarding all aspects of the American Vietnam Experience.
Travailleurs indochinois Ce site s’attache à retracer l’odyssée des 20.000 “Travailleurs Indochinois”
venus en France en 1939/1940 pour suppléer, dans les usines de guerre, la main d’œuvre mobilisée
Viêt-Nam Laos Cambodge, sources et aides à la recherche VLC-Sources a été conçu pour offrir aux
étudiants et aux chercheurs un outil permettant d’accéder aux principales données électroniques en
sciences sociales sur le Viêt-Nam, le Laos et le Cambodge
Vietnam War Oral History Project The Vietnam War Oral History Project gathers, documents, preserves,
and disseminates histories of the Vietnam War
We Are Social Singapore Analyse de l’utilisation d’internet, des mobiles et des réseaux sociaux dans le
monde
QUI SOMMES-NOUS ?
Qui sommes-nous ?
Ingénieur de recherche au CNRS et historien du Viêt Nam contemporain, François Guillemot développe
ce carnet de recherche dans le cadre du séminaire ASIOC (ENS de Lyon / Sciences Po Lyon).
« L'affaire Chu Hảo » : Vieille purge systémique et nouvelle mise au pas des intellectuels au Viêt-Nam
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L’histoire de la décolonisation au Viêt-Nam, Laos et Cambodge a le plus souvent été présentée sous
l’angle des littératures officielles marquées par le prisme des vainqueurs. L’objectif de ce carnet de
recherche est d’inverser la tendance générale des histoires officielles... [Lire la suite dans "A propos"]
____________________
The history of decolonization in Vietnam, Laos and Cambodia has most often been presented in terms of
official literature seen essentially through the perspective of the winners. The objective of this research
blog is to reverse the general trend of official histories. [Read more in "A propos"]
B. KIERNAN : VIET NAM A HISTORY FROM THE EARLIEST TIMES TO THE PRESENT (2017)
B. Kiernan : Viet Nam a History from the earliest times to the present (2017)
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