Le classicisme surgit à partir des œuvres étudiées dans les courses humanistes, ce qui
les laisse comme des exemples à suivre.
- Les préceptes littéraires sont très parus a ces exemples classiques, par exemple, le
souhait de faire la littérature un fait national de grandeur et gloire.
o Voltaire sera une figure très importante en ce qui est à ce désir de gloire
nationale, Siècle de Louis XIV (1751). Nonobstant, dans le période de la
troisième république, on partage cette facette littéraire, et on l’applique à
l’éducation sur littérature : académie française, et l’école républicaine.
o La supériorité de la littérature (classiciste, française) devienne une idée
aussi pour cette époque avec Marmontel, en Essai sur le goût (1786).
o Les racines de la littérature comme idée de construction de contexte et
contenu littéraire.
o Il y aura après un débat autour du Classicisme et le Romantisme, de la
main de Stendhal et Sainte-Beuve.
o À la III République, le Classicisme sera un mouvement central (comme
nous avons vu par rapport à l’assemblage national) aussi pour justifier les
causes politiques de la république ; en plus, Lanson fera tourner presque
toute la littérature française autour de le classicisme et ce qui classique,
dès Henri IV jusqu’à cette époque, avec une claire intention de cohésion
et cohérence historique et nationale.
o À partir de 1930 et la II Guerre Mondiale, on trouve des études qui
relient la littérature à concepts ceux comme la notion de ce qui sublime,
les bases métaphysiques du néoplatonisme, l’importance de la rétorque,
la critique littéraire de l’époque, la préciosité et la galanterie.
- L’idéal classique
L’intention est de construire une littérature qui puisse se battre avec la littérature
classique. Alors les préceptes classiques seront conçus comme un projet
linguistique, littéraire et esthétique.
Comme nous avons dit avant, l’école éduque en latin, on démocratise le latin, ce qui
ferait possible une propagation du substrat classique par tout le monde qui allait à
l’école, par conséquent, une « imitatio », une émulation de ses formes.
Pour renforcer ce mouvement, il y a des initiatives de traductions, de grammairiens,
d’archéologie de la langue française, etc.
- L’école de 1650
- Style de Lafontaine
o Nostalgie de l’âge d’or ; il fait parler, à l’Arcadie, les animaux.
o Il revendique l’originalité.
o Importance du burlesque. Il y a beaucoup d’éléments de ce style dans les
fables. Il souligne la répétition des mensonges.
o Morale exposée à différents niveaux :
Métaphore animale. Les protagonistes sont des animaux, à fin de
montrer le plus animal des humains.
Atticisme. Style élégant, sobre, correcte (il faut contenir des
passions).
Theatrum mundi. Une ample comédie où la scène est l’univers.
Critique sociale à travers le topos du theatrum mundi.
o Diversité. Différents chemins pour le style, mais il traite tous les sujets,
différentes morales, plein de modèles, le rythme est varié.
- La jeune veuve
o Sujet traité déjà par Pétrone
o Le sujet des femmes, traité de forme comique
o Les femmes sont inconstantes, imprévisibles, incompréhensibles
o Opposition qui sera appliquée au comportement de la femme
o Le temps a un pouvoir consolateur. La femme a une capacité de changer très
remarquable ; le temps accentue ce fait.
o Ironie
- La mort et le mourant
o Le dernier vers est comme une maxime du poème.
- Le savetier et le financier
o L’argent fait devenir malheureux.- L’argent ne donne pas le bonheur
o Peinture de ville (deux classes sociales opposées).
o Petite comédie où on va trouver le caractère du financier opposé au
cordonnier.
o Le financier est caractérisé, il ne dort pas, son humeur st toujours mauvais.
Caractère utilitariste et mercantiliste.
o Critique à ceux qui exploitent l’ignorance du peuple avec des dogmes
religieux.
Mme de Lafayette
o L’amour
Passion aveugle que s’acquière avec le mariage : le but de toute
femme.
Le mariage est relié au gagne de pouvoir et argent.
Être heureux dans le mariage est très compliqué
*Chasse à la femme (donjoanisme)
Préciosité dans les salons, lieu de réunion des femmes, unique espace
d’émancipation.
o Esthétique mondaine
o Brouillage de genres
La princesse des Clèves a été classifiée comme histoire, car il y avait des
donnés véridiques. Toutefois il y avait un mélange avec la fiction.
Vraiment, ce roman appartienne au genre de la nouvelle ou Grand Roman :
petit nombre de personnages principales ; action simple ; soucis de
vraisemblance.
o Au XVIIIe siècle l’œuvre était classifiée comme fiction historique.
o Caractéristiques de l’esthétique du conte merveilleux.
o Lien avec Tristan et Iseut – mort par amour.
o Disposition des personnages comme des actants.
o Roman d’analyse, d’éducation sentimentale, de nouvelle historique, mais surtout
comme un roman d’analyse psychologique. On reprend aussi des traits du
théâtre.
o Le climax est tragique.
Technique narrative :
La langue classique :
o C’était rare de voire une femme avec des études de latin et grec. La première
édition était pleine de fautes d’orthographe, de grammaire et de style ; après le
débat orthographique cette œuvre sera prise comme exemple parfait de ce qui
est la langue classique.
o Nous avons ici le premier débat par rapport à un roman.
o L’œuvre témoigne un moment historique – Eléments de la cour d’Henri II
o Vision tragique – Passion/raison.