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Au début j’ai considéré la question d’indépendance avec un esprit ouvert et une

compréhension de la gravité de ce que l’on nous demande de décider. Ce ne sont


pas les élections législatives, après lesquelles on peut maudire le résultat, attendre
et espérer qu’il y aura un meilleur résultat après quatre années. Quoi que l’Ecosse
décide, on devra probablement justifier notre choix aux petits-enfants. […]

D’un côté, la campagne « Oui » promet une société plus juste, verte, riche et égale
si l’on quitte la Royaume-Uni, et cela semble très attrayant. Je ne suis pas une
admiratrice du gouvernement actuel de Westminster et je ne pourrais être plus
heureux que la dévolution nous a protégé de ce que l’on a fait avec la santé et
l’éducation au sud de la frontière. Un média focalisé à Londres m’énerve souvent
avec son traitement insensible de l’Ecosse. Cependant, je suis consciente du fait
que lorsque le RBS n’avait pas d’argent, c’était l’union qui nous avait sauvés d’une
catastrophe économique et je me soucis au sujet de si l’huile de la mer nord peut,
comme ce qu’on entende dire de la campagne « Oui », soutenir et même élever
notre niveau de vivre.

Mon hésitance à soutenir l’indépendance n’a rien à faire avec un manque de foi en
la peuple remarquable de l’Ecosse ni en ses achèvements. La vérité simple est que
l’Écosse est soumise aux mêmes pressions du XXIème siècle que la reste du monde.
Il doit compéter dans les mêmes marchés globaux, se défendre des mêmes menaces
et naviguer ce qui semble encore une récupération lente. Plus j’écoute la campagne
« Oui », plus que je m’inquiète sur sa minimisation et même démenti des risques.
Chaque fois que l’on soulève les grands enjeux — notre grand réliance sur la revenue
de l’huile si l’on devienne indépendant, quel currencie que l’on utilisera, si on
pourra rentre dans l’UE — des questions raisonnables que l’on ne peut pas entendre
à cause des accusations de «scare-mongering». Au même temps, les deux campagnes
nous lancent des chiffres et des prédictions dramatiquement différents, de sorte
qu’il devienne difficile de savoir qu’est-ce que l’on devrait croire.

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