Réalisé par :
Oussama khatrouni
CNE ; 1412625724
1
Plan
Introduction générale………………………………………………………………….…….3
Conclusion………………………………………………………………………………………..11
Bibliographie………………….……………………………………………………………….12
2
Introduction générale
3
1. Effet de la fiscalité et la structure de capital
Théories Modigliani et Miller
4
Théorie de Angelo et Masulis
5
Théorie Modiglaini et Miller
Théories ; Malécot/warner/compromis
Les coûts d’agences sont des coûts qui résultent de conflits d’intérêts
entre divers groupes d'une entreprise. Plusieurs recherches ont été menées
pour étudier la théorie de structure de capital basée sur ce facteur. Ces
recherches ont débuté avec Miller en 1972 et Jensen et Meckling en 1976.
Jensen et Meckling ont identifié plus spécifiquement deux types de conflits
d’intérêts, soit le conflit entre actionnaires et gestionnaires et le conflit
entre créanciers et actionnaires.
6
Contrairement a la théorie de compromis qui stipule qu'une structure
financière optimale résulte d'un arbitrage entre avantages fiscaux liés a
l'endettement et coûts de détresse financière, la théorie d'agence affirme que
l'arbitrage entre les coûts d'agence des fonds propres et les coûts d'agence
relatifs aux relations avec les créanciers détermine une structure financière
optimale pour la firme.
7
endettée peuvent rejeter certains projets profitables rentables lorsque
ceux-ci ne profitent qu'aux créanciers.
8
des dividendes ...), puis l'émission d'actifs financiers particulier tel que les
obligations convertibles, les obligations à bons de souscription qui
permettent une certaine convergence d'intérêt entre les diverses parties.
9
Théorie de signale ;
Ross (1977) est le premier auteur qui a appliqué cette théorie sur la
finance d’entreprise. D’après lui, la structure du capital d’une entreprise
peut être un signal envoyé aux créditeurs. De plus, il a montré que tout
changement de la politique financière provoque une modification de la
perception de l’entreprise par les créditeurs et constitue donc un signal
pour le marché. L’investisseur est donc toujours à la recherche d’un signal
émis par les dirigeants, ce signal lui permet de savoir dans quel état
financier l’entreprise se trouve.
Cette hypothèse est initiée par Donaldson (1961) et développée par Myers
(1984) et Myers et Majluf (1984). Selon cette théorie, les entreprises ont
des priorités dans le choix des sources de financement. Ainsi elles
privilégieront d’abord l’autofinancement, et ensuite l’endettement et
l’augmentation de capital en dernier ressort. Cette hiérarchie dépend de
l’objectif du dirigeant de l’entreprise. Si le dirigeant agit dans l’intérêt des
10
actionnaires, il va donc adopter une hiérarchie financière décroissante
commencée par l’autofinancement, puis la dette et enfin l’accroissement de
capital (Mayer et Majluf 1984). Dans le cas où le dirigeant agit dans son
propre intérêt, le dirigeant va établir la hiérarchie suivante : d’abord
l’autofinancement, ensuite l’augmentation de capital et enfin l’endettement.
Il avance l’émission des nouvelles actions à la dette pour éviter le rôle
disciplinaire de la dette.
Conclusion
11
Bibliographie ;
12