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La PCR ? Le génotype
(Réponse illustrée)
Les conséquences
génétiques de la méiose
Le Génotype
Le génotype d’un organisme (ou d’une cellule) doit montrer la ou les formes alléliques présentes de
chaque gène présent. Le nombre total de gènes varie de quelques milliers à plusieurs dizaines de
mille. On ne peut donc pas tous les représenter. Il faut utiliser des conventions d’écriture :
Cliquez sur l'image pour ouvrir l'animation. Elle nécessite le plugin "Flash Player"
Les caractéristiques génétiques d’un individu sont de deux sortes : son génotype qui vient d’être
décrit. Qu’en est-il de son phénotype ? (A suivre avec le Phénotype).
C’est le nom que l’on donne à l’aspect d’un individu ou d’une cellule, résultant de l’interaction du
génotype de cet organisme avec le milieu dans lequel il se développe. Il n’y a pas correspondance
biunivoque génotype et phénotype. La complexité de leur relation est explorée à la lumière de
quelques exemples. Chaque cas est particulier et demande un examen approfondi.
Cliquez sur l'image pour ouvrir l'animation. Elle nécessite le plugin "Flash Player"
Suivant qu’un génome haploïde porte une forme allélique ou une autre, son phénotype peut être
différent. Quel sera le phénotype d’un diploïde qui porte sur un chromosome un de ces allèles et sur
le chromosome homologue un allèle différent chacun conférant un phénotype différent ? (A suivre
avec Dominance récessivité ).
Dominance et récessivité
Ces deux propriétés mutuellement exclusives sont attachées au phénotype et non à l’allèle
responsable du phénotype. Trop souvent la distinction n’est pas clairement faite. En particulier la
formulation que l’on retrouve un peu partout dans la littérature d’ "allèle dominant " est à éviter car
elle peut conduire à des contradictions. Comment peut-on s’exprimer sans erreur de formulation ?
Cliquez sur l'image pour ouvrir l'animation. Elle nécessite le plugin "Flash Player"
Le cas de la coexistence d’un allèle muté et d’un allèle sauvage pour un même gène vient d’être
étudié. Si deux mutants haploïdes présentent le même phénotype, sont-ils pour autant forcément
touchés dans le même gène ? On va également additionner leurs génomes dans un diploïde
hétérozygote pour le déterminer (A suivre avec le Test de Complémentation Fonctionnelle).
Monique Masselot
Lorsqu'on établit une nouvelle souche mutante, son phénotype est différent de celui de la souche de
référence.
Quelles sont les relations de dominance / récessivité entre les deux phénotypes?
Ce didacticiel demande le plugin Flash que vous pouvez vous procurer gratuitement.
Le cas classique de dominance.
Cliquer sur l'image pour voir l'animation.
Et pourtant il existe de nombreux mutants dont le phénotype est dominant sur le phénotype sauvage.
S'il en est ainsi c'est que le mutant fabrique une protéine mutante qui empêche la protéine sauvage de
fonctionner normalement pour rétablir le phénotype sauvage chez l'hétérozygote.
Plusieurs mécanismes sont susceptibles de produire des phénotypes mutants dominants sur le
phénotype sauvage.
L’allèle mutant produit une protéine dont certaines propriétés sont modifiées.
Deuxième cas : régulation de l'expression d'un autre
gène.
Cliquer sur l'image pour voir l'animation.
3. Une Hypothèse prometteuse : l’allèle mutant empêche l’expression de l’ARNm de l’allèle sauvage
Conclusion
Nous venons d'explorer différents mécanismes par lesquels un phénotype mutant peut être dominant
sur le phénotype sauvage. Cette revue n'est pas exhaustive. Chaque cas est particulier et demande
une étude spécifique. Néanmoins, en règle générale, l'allèle muté doit coder un produit capable
d'interférer avec le produit de l'allèle sauvage pour le rendre non fonctionnel.
une protéine
un ARN.
Le didacticiel "Mutant" est le quatrième de la série. Cliquez ci-dessous pour compléter votre
information.
Monique Masselot
Test de complémentation fonctionnelle
Bien avant l’avènement de la biologie moléculaire le généticien avait défini le gène par sa fonction.
A. Garrod en 1902 formule l’hypothèse un gène une enzyme en observant des sujets atteints
d’alcaptonurie. De 1953 à 1962 S. Benzer définit le cistron comme l’unité de fonction du génome et
propose un test qui permet de mettre en évidence si deux mutations affectent le même gène ou des
gènes différents.
Dans cette animation certaines connaissances sont nécessaires pour la compréhension de l’expérience
et de l’interprétation des résultats (cycle de la levure et mécanisme des voies métaboliques).
Ce didacticiel demande le plugin Flash que vous pouvez vous procurer gratuitement.
Le didacticiel "TCF" est le cinquième de la série. Cliquez ci-dessous pour compléter votre
information.