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NGN
Sommaire
Introduction……………………………………………………………………………1
1- Motivations historiques pour le Réseau Intelligent………………………………2
2- Concept de base……………………………………………………………………..2
3- Les objectifs du RI ………………………………………………………………….3
4-Le modèle conceptuel du réseau intelligent………………………………………..3
- Le plan Service (SP, service Plane)……………………………………………….3
- Le plan fonctionnel global (GFP,Global Functional Plan)………………………..3
- Le plan fonctionnel réparti(DFP,Distributed Functional Plane)…………………..3
4- Les principes d'architecture………………………………………………………..4
4.1- L'architecture fonctionnelle du RI………………………………………………..4
4.2- L'architecture Physique du RI…………………………………………………….6
€5- Les services de base du Réseau Intelligent ………………………………………..8
5.1- Les services d'acheminement (Number translation service)……………………..8
5.2- Les services à cartes ……………………………………………………………..9
6- Notion de SIB………………………………………………………………………..11
6.1- Introduction……………………………………………………………………….11
6.2- Définition………………………………………………………………………….11
6.3- Structure de SIBS…………………………………………………………………12
7-La normalisation …………………………………………………………………….13
8- Réseau intelligent et GSM…………………………………………………………..13
8.1- Les Motivations de l’intégration GSM-RI………………………………………..13
8.2- Intégration GSM- RI……………………………………………………………...15
9- Attentes insatisfaites du réseau intelligent………………………………………….17
10- Migration du RI vers TINA………………………………………………………..17
Conclusion……………………………………………………………………………….19
Glossaire…………………………………………………………………………………20
Références……………………………………………………………………………….22
1
Introduction
2
1.Motivations historiques pour le Réseau Intelligent
Le Réseau Téléphonique Commuté (RTC) est composé de nœuds appelés commutateurs
s’échangeant un ensemble minimum d’informations au moyen de protocoles de
communication (appelés système de signalisation) basés la plupart du temps sur l’émission de
fréquences. L’ensemble des données du réseau doit être géré localement au niveau de chaque
commutateur. La complexité modérée des données permet aux opérateurs de maintenir plus
ou moins la cohérence de l’ensemble, notamment au niveau des tables de routage.
En plus le RTC est composé des systèmes utilisant des technologies différentes ce qui rend
ces systèmes de plus en plus coûteux, très complexes, impliquant de gros logiciels.
Toutes ces raisons ont fait qu’il est difficile d’introduire dans le réseau de nouveaux services
comme le numéro vert.
Les premières solutions (américaines) ont été d’introduire des bases de données centralisées.
la première tentative est de définir dans le réseau une interface indépendante des systèmes ( à
part les “systèmes de signalisation” ). Tous les fournisseurs de systèmes furent priés de
permettre l’accès aux bases de données.
Mais, très vite, cette approche fut considérée comme insuffisante, car il y avait toujours le
délai de développement de logiciel dans les commutateurs qui freinait l’introduction de
nouveaux services. Aussi, il fut décidé de centraliser la logique des services grâce à une
interface de commande des commutateurs, plus ou moins indépendante de ses derniers. A
cette interface seraient alors connectés des processeurs contenant à la fois la logique et les
données du service. C’est ainsi que sont nés les principes du Réseau Intelligent.
3
Les principes techniques qui gouvernent ce concept partent d'une centralisation de la
logique des services, c'est-à-dire de la partie intelligence, au travers d'une interface de
commande du réseau de commutation. Les données et la logique liée à un service
particulier sont échangées avec le réseau à travers cette interface.
3.Les objectifs du RI
Le concept des réseaux intelligents a pour objectif :
Faciliter la création de nouveaux services, offrir à l'exploitant une souplesse de leur
gestion et permettre aux utilisateurs d'accéder à leurs propres paramètres de services et
de les modifier.
Introduire rapidement et à moindre coût de nouveaux "services réseaux" tout en
offrant une grande souplesse dans la gestion de ces services, tant du point de vue de
l'exploitant que du point de vue de l'abonné.
4.Le modèle conceptuel du réseau intelligent
Pour décrire les différents éléments du réseau intelligent, L’ITU-T a introduit un modèle
conceptuel qui doit servir de cadre à la spécification et à la description de cette architecture.
Le modèle conceptuel du réseau intelligent défini quatre plans :
Le plan Service (SP, service Plane)
Ce plan décrit une vue qui ne prend en compte que les services. Un service est une offre
commerciale mise à disposition par un fournisseur de service pour des abonnés pour
satisfaire un besoin de télécommunication.
Le service est décrit en langage naturel. Il consiste en un ou plusieurs éléments de service
(FE,Service Feature) un élément de service étant la plus petite unité utilisée à ce niveau et
qui peut être indépendant d’un service donné exemple : les éléments de service pour
« authentification » ou « mise en file » qui peuvent être réutilisés pour la création de
nombreux services RI.
Le plan fonctionnel global (GFP,Global Functional Plan)
Modélise un réseau intelligent comme une seule entité. Cette entité est capable d’effectuer
un certain nombre de fonctions représentées par des blocs de construction indépendants
des services(SIB,Service Indépendant Building Block).Les SIBs seront traités plus tard
dans le chapitre …..
Le plan fonctionnel réparti(DFP,Distributed Functional Plane)
4
Modélise le réseau intelligent comme un ensemble d’entités fonctionnelles réparties qui
exécutent des actions(FEA, Functional Entity Action).Une entité fonctionnelle
(FE,Functional Entity) peut être assimilée à un objet de traitement.
Un SIB est matérialisé dans le DFP par une séquence d’actions FEAs exécutés dans les
FEs. Certaines de ces actions FEAs peuvent induire des flux d’information(IF,
information Flow) entre FEs.
Le DFP
Le plan physique(PP,Physical Plane)
Il modélise les aspects physiques du réseau intelligent. Il identifie les différentes entités
physiques(PE,Physical Entity) et protocoles qui existent dans le réseau intelligent réel. Il
spécifie par ailleurs les entités fonctionnelles implantées dans les différentes entité
physiques.
Le flux d’information(IF) du DFP correspondent habituellement à des protocoles
d’application. Dans le plan physique, on leur assigne la pile de protocole sur laquelle ils
vont fonctionner. Le plan physique est pris en charge par des équipements et les
opérateurs du réseau.
5
Le SMAF (Service Management Access Function)
Cette entité fournit une interface entre le SMF et les gestionnaires de service qui peuvent faire
partie du personnel d’un opérateur ou être un usager.
Cette entité fonctionnelle permet d’appeler les fonctions de commande du commutateur. cette
entité est une des plus importantes de l’architecture du RI. Elle permet de spécifier
(développer), de tester et de déployer des services sur le RI. Elle s’appuie donc sur l’existence
d’interfaces de programmation. L’utilisation de cette entité permet de développer la logique
de service, les structures des données du service et les informations associées aux critères de
déclenchement dans le commutateur.
Cette entité est toujours associée à un CCF. Elle permet de converser avec la logique de
service qui va commander les ressources de commutation. Cette fonction est fondamentale au
RI, car elle fournit une interface indépendante des services. Par nature, cette fonction est
toujours localisée avec le CCF dans un commutateur appelé CAS (Commutateur d’Accès aux
Services) ou SSP en anglais (Service Switching Point).
6
Le CCF (Call Control Function)
Fonction qui fournit les capacités de base pour la connexion du niveau des services de
transport (parole...) (à ne pas confondre avec le niveau transport des 7 couches OSI pour les
protocoles). Cette fonction est une fonction de base à laquelle a été rajoutée la fonction de
déclenchement qui permet de traiter les critères pour savoir si l’appel est du ressort du RI.
Cette fonction est toujours située dans un commutateur soit local, c’est-à-dire comportant des
connexions aux usagers, soit de transit.
7
4.2- L'architecture Physique du RI
Le plan physique transpose les fonctions du plan architecture fonctionnelle distribuée en des
éléments physiques. La transposition est le plus souvent directe (un pour un.) Par exemple la
fonction de gestion des services (SMF) devient un « point de gestion des services »(SMP.)
Cependant, les SCF et SDF sont généralement regroupées dans un « point de commandes du
service »(SCP), et les SSF et CCF dans un « point de commutation du service »(SSP) aussi
appelé commutateur d’accès au service.
Il identifie les différents composants(entités réseau physiques) et les protocoles qui existent
dans les réseaux réels. Il décrit aussi l’implantation des entités physiques. Cette implantation
doit respecter la règle qu’une entité fonctionnelle ne peut être répartie sur plusieurs entités
physiques. Elle peut par contre être dupliquée dans différentes entités physiques. Une entité
physique, quand à elle, peut contenir plusieurs entités fonctionnelles, sous réserve qu’elles
soient de type différent.
8
télécommandable par le SCP par les protocoles INAP (Intelligent Network Application Part)
ou CAMEL. Le SSP peut servir à protéger le SCP dans le cas du service télévote en
effectuant un précomptage ou dans le cas ou la charge des CPU(SCP) a atteint le maximum et
qu'un call gapping est généré.
Cette entité physique est responsable de la gestion de service. Les fonctions réalisées par le
SMP sont par exemple, la gestion de base de données, la surveillance et le test du réseau. IL
contient la fonction SMF.
9
Ce service permet à ses utilisateurs d’appeler gratuitement l’abonné à ce service en composant
un numéro d’appel unique quelque soit l’endroit où l’on se trouve.Il possède les
caractéristiques suivantes:
• Un seul numéro
• Imputation au destinataire
• Répartition de l’appel
• Un seul numéro
• Un seul numéro
10
• Imputation majorée
• Un ou plusieurs numéros
Après avoir composé le code d’accès défini, l’abonné VCC doit s’identifier en entrant son
numéro de carte virtuelle, utilisé par l’exploitant pour déterminer le compte de l’abonné sur
lequel la facturation doit être établie, et un Numéro d’Identification Personnel (PIN) pour
l’autorisation d’accès(au compte)
Caractéristiques du VCC:
• Authentification
• Contrôle de fraude
• Transfert d’appel
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Le Service Numéro de Télécommunication Personnel (Universal Personal
Telecommunication)
Ce service permet une mobilité dans le réseau fixe pour des appels entrant et sortant.
L’abonné au service a un numéro indépendant de toute localisation fixe et peut renvoyer ses
appels vers n’importe quel endroit où il se trouve. Il peut également établir des appels à partir
de terminaux différents et les faire facturer à son compte central. Les caractéristiques du
service UPT:
6.Notion de SIB
6.1.Introduction
La clé du réseau intelligent repose sur le Service Independent Buildings ,SIBs ce sont des
unités réutilisables du large réseaux composants les services.
12
6.2.Définition
Les services sont décomposés en éléments de service et ensuite redéfinies en langage
naturel en terme de larges fonctions modulaires du réseau nécessaires pour leur support.
Ces fonctions ne sont spécifiques ni aux services, ni aux éléments du service. Ces briques
de construction réutilisables et normalisées sont donc définies indépendamment de tout
service et de toute implantation et sont appelées service independant building
blocks(SIBs) .
Le concept du RI
6.3.Structure de la SIB
13
Chaque SIB possède des interfaces standardisées. Un SIB dispose d’une entré logique, d’une
ou plusieurs sorties logiques et de paramètres statiques et dynamiques nécessaires à
l’exécution du service. Les paramètres dynamiques appelés donnés d’instance d’appel(CID,
Call Instance Data) sont les données relatives à l’appel et définissent le contexte de lancement
du service : numéro de l’appelé, de l’appelant par exemple. Les paramètres statiques appelés
données des prises en charge du service(SSD, Service Support Data) sont les données
relatives aux services valables dans tout contexte : fichiers contenants le profil des services
d’un client, pointeurs sur les zones de stockage des CIDs (CIDFP : Cid Field Pointer)
7.La normalisation
14
L’approche de la nouvelle architecture basée sur les réseaux intelligents est présentée par le
noyau d’un réseau mobile GSM.
Cette approche fournit des moyens pour l'évolution du système mobile GSM à UMTS, le
système de communication mobile de la troisième génération.
L'avantage de cette approche par rapport à l'architecture de réseau existante du GSM est
l’utilisation du RI modulaire et des concepts distribués. La nouvelle architecture offre une
plate forme pour :
- L'introduction rapide et facile de nouveaux services dans le réseau de GSM.
- Une plate forme de commande d'UMTS évoluant du GSM.
- Compatibilité du réseau d'accès par radio de GSM dans un environnement
d'UMTS
- L'intégration des services de gestion de mobilité de GSM avec les services du
réseau fixe intelligent.
8.1- Les Motivations de l’intégration GSM-RI
Le CAMEL est basé sur les principes du réseau intelligent, mais il est resté une solution de
court terme à cause de la non interaction entre INAP(Intelligent Network Application Part)
utilisé pour la provision des services et le MAP(Mobile Application Part) utilisé pour la
gestion de mobilité. C’est pour cette raison que l’intégration de l’architecture GSM-RI a été
nécessaire.
Le GSM est la deuxième génération du standard réseau mobile qui a évolué vers l’ Universal
Mobile Telecommmunications System(UMTS) qui est la troisième génération standardisée
par ETSI. Le réseau intelligent va former une plate-forme qui sera utilisé pour le contrôle de
la mobilité dans l’UMTS.
La nature de l’UMTS se résume en une seule plate-forme de contrôle qui offre une
couverture des accès radio technologiques tout en partageant un réseau fédérateur
(backbone)commun avec le réseau fixe. Pour que le GSM soit parmi ces technologies,
l’immigration vers l’UMTS est obligatoire. Cette immigration ne peut être mise en place sans
15
le transfert de la gestion de mobilité du GSM vers une plate-forme du RI indépendante des
commutateurs existant du GSM, des VLRs et des HLRs.
Bien qu’il y a certains aspects révolutionnaires de l’UMTS comme le nouveau réseau d’accès
radio qui va offrir une large bande passante radio, mais ce nouveau accès radio va coexister
avec l’infrastructure existante du GSM de façon à la réutiliser tout en lui ajoutant de nouveaux
concepts du RI, ce qui a fait que l’intégration GSM-RI est une architecture pré UMTS .
Les buts principaux de l’intégration GSM-RI sont les suivants :
• Séparer les éléments des accès radio et ceux de la gestion de la mobilité du réseau
GSM.
• Maintenir le *réseau de l’accès radio* avec un minimum de changement.
• Transformer l’architecture de la gestion de la mobilité et le réseau d’appel à une
architecture qui fait partie de la plate-forme du RI.
8.2- Intégration GSM-RI
L’intégration envisagée ici sera le GSM dans le réseau d'accès radio, avec la dominance du
réseau de control(core) du RI. Le point d 'interaction entre le réseau d'accès par radio et le RI
est MSC. Le MSC inclut des éléments du RI et du GSM. Le MSC doit être équipé par une
fonctionnalité pour reconnaître et contrôler des demandes de service de RI, c.-à-d. la
fonctionnalité de commutation de service SSF. Le MSC est le point logique pour monter les
services de commutation, en tant que des messages de gestion de mobilité. Le point de
commutation entre le réseau d'accès par radio et les autres éléments extérieurs demeurera le
MSC, car il n'y a aucune raison de changer ceci. Le nœud physique entre MSC et le service
de commutation est le service MSSP(mobile service switching point).
La fonction de mobilité du MSC, VLR et HLR sera montée sur MSCP. Les services et les
données de mobilité stockés dans HLR dans le réseau de GSM seront déplacés au MSDP et
intégrés avec les services et les données d'utilisateur du RI. Par conséquent le SDP et les
données de mobilité se référeront au MSDP. Une fois que c'est archivé, HLR ne sera plus
exigée.
La VLR en GSM a des objectifs: Il fournit la fonctionnalité de commande de mobilité et les
services comme base de données provisoire où l'information d'utilisateur est stockée lorsque
l'utilisateur change la MSC dont il se sert. Cacher l'information d'utilisateur sur la VLR réduit
le nombre d'occasions auxquelles il doit être recherché dans HLR, cela en réduisant la
signalisation du trafic total sur le réseau. Une fois l'information sur l'utilisateur est téléchargée
par la VLR, aucune autre demande d 'information du HLR est nécessaire. Puisque les
fonctions de contrôle de mobilité sont déplacées au MSCP, la VLR est considérée maintenant
16
comme une base de données provisoire. Dans le GSM-RI la base de données provisoire
attachée à la MSSP contiendra les données d'utilisateur de GSM et du RI et par conséquent
désigné sous le nom de MSDPtemp. Il est possible donc d'offrir les services de mobilité sans
une base de données provisoire.
En conséquence deux variations de GSM-RI surgissent : le premier avec un MSDPtemp attaché
au point mobile de commutation de service comme le montre la figure suivante ,et la
deuxième est une alternative sans MSDPtemp.
17
L’intégration physique GSM-RI
Une fois l’intégration est faite Le service de mobilité est offert par la combinaison des SIBs.
Les SIBs seront déterminées par la décomposition des fonctions de mobilité du GSM en des
éléments ‘atomic’.
18
par les commutateurs des réseaux téléphoniques. Il en résulte une difficile intégration avec les
réseaux de données. Le RI ne peut donc prétendre offrir une approche unifiée, qui permet de
prendre en compte sous une même bannière différents types de services, aussi bien tournés
vers le multimédia et les réseaux de données que vers la téléphonie classique fixe ou mobile.
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Conclusion
Ce qu’il faut retenir dans ce présent rapport du réseau intelligent est qu'il s'agit d'un élément
incontournable dans le monde des télécommunications d'aujourd'hui où les opérateurs se
distinguent non plus par le téléphone classique mais par les services à valeur ajoutée proposés.
Le concept du réseau intelligent a été introduit pour permettre une rapide création et
emploie des services dans les réseaux de télécommunication, par la séparation du service
provision et les services d’appel, contrôle . Ceci est réalisé par le modèle conceptuel des
réseaux intelligents, qui fournit une compréhension claire du concept intelligent du réseau.
Les réseaux intelligents sont largement répandus dans les réseaux fixes et seront employés
dans le noyau du réseau mobile de l'UMTS.La mobilité dans l’ UMTS sera fournie en tant
qu'intelligence supplémentaire de la plateforme intelligente du noyau du réseau UMTS.
20
Glossaire
Abréviations Significations
CAMEL Customised Application for Mobile network
Enhanced Logic, protocole qui offre pour les
appels GSM un accès aux services du Réseau
intelligent.
CCF Call Control Function, une fonction dans le
SSF qui contrôle le processus d’un appel.
IN Intelligent Network, réseau intelligent :RI.
INAP Intelligent Network Application Part, la
couche de signalisation n°7 responsable de la
signalisation entre les services du RI.
IP Intelligent Peripheral, le lieu où sont
concentrés les fonctions d’interactions de l’
usager du réseau.
MAP Mobile Application Part, utilisé pour la
gestion de mobilité.
SCE Service Création Environment du
RI.
SCEF Service Création Environment Function,la
fonction qui implémente le SCE.
SCF Service Contrôle Function, la fonction qui
impléménte le SCP.
SCP Service Control Point, le nœud où est
centralisée l’intelligence du réseau.
SDF Service Data Fonction, la fonction qui permet
l’accès à la base des données pour le SCP.
SIB Service Independent Building Block, utilisé
pour désigner de nouveaux services dans le
RI.
21
SMF Service Management Function, la fonction qui
implémente le SMS.
SMS Service Management System, une application
pour la gestion des services du RI et les
clients de ses services.
SRF Specialised Resource Function, responsable
de l’interaction entre le RI et ses usagers ou
ses clients.
SS#7 N°7 Signalling System, protocole de
signalisation entre les commutateurs.
SSF Service Switching Point, le nœud du réseau
responsable de l’établissement physique des
connections dans le réseau, ceci est contrôlé
par le SCP.
SSP Service Switching Function, la fonction qui
implémente le SSP.
TINA Telecommunication Information Network
Architecture, une évolution du RI.
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Références
http://www.rd.francetelecom.fr/fr/conseil/mento1/
www.iro.umontreal.ca/NOTERE/Articles/anquetil.pdf
www.rd.francetelecom.fr/fr/conseil/mento1/m1chap3.pdf
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