Mostafa ELHAMDANI
Youssef BENLHOUSSINE
Ahmed EL ASRI
ANNEE 2018-2019
INTRODUCTION
Les questionnaires sont des outils d'évaluation proches des tests. Alors que ces
derniers visent à mettre en évidence des aptitudes, les questionnaires
s’étendraient à une utilisation plus générale qui comprend notamment
l'évaluation des attitudes.
AXE I : LE QUESTIONNAIRE
n moyen de communication
n outil `a exploiter
a) Définitions préalables
Objecti s du questionnaire
Population concernée
Mode de consultation
Dé inir la structure
d) Enquête pilote
Tenir compte du mode de consultation utilisé (par enquêteur, enquête postale, par télephone, . . .)
2) Questions ouvertes
a) Exemple
N.B.) La question est sui ie d’un espace délimité destiné à recevoir la réponse, fournie librement par
l’enquêté.
b) Utilisation
Analyse exploratoire
Analyse qualitati e
O re la possibilité e d’exprimer tous les aspects d’une opinion, d’une moti ation, d’une con iction,
d’une attitude,
c) Avantages
c Pour l’enquêté e :
tile quand on ne connait pas le champ des r réponses possibles ou qu’il est très vaste
d) Inconvénients
c Pour l’enquêté :
c 2 Pour l’enquêteur :
3) Questions fermées
Oui
Non
Zéro
Un
Deux
Trois ou plus
a 3 Question a ec échelle d’évaluation
Très mauvaise
Mauvaise
Bonne
Très bonne
Sans opinion
Voiture
Vélo
Autobus
Tram
Métro
Train
Avion
Autre
l s’agit ici de donner un certain nombre de propositions et de demander aux interrogés de les classer
par ordre de préférence.
Ex. : Voici une liste de a cons de préparer un examen de première année d’uni ersité e ous êtes
in ités `a les classer par ordre d’e icacité en écrivant 1 dans la case située `a côté de la m méthode
que vous jugez la plus efficace, puis 2 pour celle que vous jugez la plus efficace en deuxième lieu et
ainsi de suite.
Etudier dans le livre de référence
b) Avantages
Plus anonyme
b 2 Pour l’enquêteur :
Moins couteux
Oui
Non
Cette année
L’an pass e
Il y a deux ans
Il y a trois ans
Oui
Non
c) Inconvénients
Les modalités es proposées peu ent amener des non-r réponses (liste
Elles comportent des r réponses proposées et o rent la possibilité d’ajouter des r réponses libres.
Autres raisons :
1. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
2. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
3. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Caractéristiques :
l est bon d’anticiper les possibilités de non-réponses. En particulier, il faut prévoir, explicitement
ou non, la possibilité de dire ”je ne sais pas”, ”je suis sans opinion” ou ”je re use de répondre”
Le choix des mots utilisés dans une question et sa formulation sont importants.
– Elle doit être simple (utiliser des mots simples du langage courant parler).
– Elle doit être claire et précise (choisir des mots qui ont une seule signification et qui ne peuvent
être mal interprétés par l’enquêté).
– Elle doit être courte et directe (craindre les négations et surtout ne pas utiliser de doubles
négations).
– Les questions ne doivent pas - dans la mesure du possible - contribuer `a la production de non-
réponses (manque d’exhausti ité, questions d’délicates, . . . ).
c) Premières questions
Questions générales et simples, faciles `a répondre. Il ne faut pas rebuter la personne interrogée et
lui faire renoncer `a continuer.
2) Les premières questions d’un thème doi ent être suffisamment larges pour que l’on soit certain
que la population visée soit incluse dans ce premier ensemble. Ensuite, par une série de questions
plus précises, on définit une partition de ce dernier et on délimite précisément la cible.
3) Intercaler entre les questions difficiles des questions plus faciles, dites questions ”de repos”
4) Veiller `a la cohérence, aux liaisons entre thèmes, aux redondances, aux contrôles.