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L’organisation constitutionnelle
L’organisation administrative
L’application du droit
Les juridictions
Examen :
Rappels :
Sous ce bloc, les traités. Accords signés entre états ou avec organisation
internationales= traité de droit communautaire et traité de droit
internationnal (sous condition de conformité à la constitution, de ratification
autorisée par le parlement au président, sous réserve de réciprocité par
d’autres partis). La cour pénale internationale a obligé à revoir la
constitution.
Décrets Arrêtés
Promulgués Président
Du préfet de
région
Du préfet de
dépmt
Municipaux
Arrêtés :
Hiérar normes
Les directives : Peuvent être adoptées par toutes les autorités admin.
Certaines de ces directives ont un statut particulier :
Les circulaires :
La décision communautaire :
Elle a une valeur acte admin dans tous les cas. Elle va être sup au
réglmt autonome, OAR, réglmt d’éxé. Elle doit respecter les PGD. Infra-
légis, supra-décrét
La recommandation : normalement elle n’a pas de valeur juridique
obligatoire, mais lorsque elle est adoptée, c’est la commission qui souligne
le non respect du droit communautaire dans un état membre et va
proposer des solutions. C’est une invitation à respecter le droit. Elle
précède en général la décision communautaire de sanction.
Chapitre 1 – La préparation
Procédure de préparation
On distingue :
Dans le droit privé, il faut voir les textes qui définissent la compétence de
chaque juridiction, dont dépendent l’objet et le montant du litige. Les
qualifications de l’infraction conditionnent aussi le lieu saisi.
Juridiction européenne
UE Conseil de l’Europe
- 60 députés ou 60 sénateurs
Mme Veil a rendu un rapport sur le préambule. Il a été mis de côté car
une opposition entre le président et sa majorité est ressortie.
Enterrée pour le moment.
Chaque 1 : La préparation
1. La constitution
A. Le texte initial
L’initiative peut venir d’une décision prise par une personne, un commité,
ou une assemblée. Parfois il y aura une action combinée de 2 de ces
élements.
Cette loi va être adressée à de gaulle et aux personnes qui vont composer
le commité charger de l’assister ( Michel Debré…)
Au ni
B. La révision (mercredi 22 septembre 2010)
a) loi référendaire
b) Loi constitutionnelle
Chaque fois, la juridiction qui statut évolue en fonction des membres élus.
Aux prochaines nominations cela peut changer. Cela créer une instabilité
juridique, la procédure appliquée n’étant pas à coup sûr la bonne. Résulte
de l’interprétation du conseil consti.
c) Loi organique
Elles obéissent aux mêmes règles que les lois ordinaires. Le droit d’initiative
légis appartient concurremment au 1er ministre et au parlement. Les
parlementaires pourraient avoir l’initiative au niveau de l’élaboration d’une
loi organique. Depuis 58, n’a jamais été utilisé par les membres du
parlement. Dans la mesure où cela concerne les politiques publiques, ils
considèrent que c’est au gouv et au président, en tant que garant des
politiques publiques, de faire déposer ces lois, du fait de l’objet de ces lois,
d’après les praticiens
Ces principes sont souvent les mêmes que les principe généraux du droit,
dégagés par le conseil d’Etat.
Décrets simples : Ils ont l’initiative. Ce pouvoir n’est encadré par aucun
texte. Pouvoir discrétionnaire total des deux autorités, parfois garantie par
la C° sur certaines dispositions. C’est le président qui apprécie la situation,
peu refuser des choses pour des raisons politiques notamment. Plusieurs
propositions de référendum n’ont jamais été suivies par une démarche du
président de la république.
Section 2 - La procédure de préparation
B.
Pr une révidion le pst est animé par une autre préoccupation ; rendre l’etat
plus performant : culte de la perf ; on a vu ce ke les révisin antérieures ont
aporté ; on essie dévaluer ce qui a été fait (quant et qual), le pst veut plus
de perf et moins de couts ; l’équipe doit tenir comptes des désirs du pst :
les trois souhaits du pst ; création d’un comité de modernisation des
politique pub ; ceux qui rédige ces mesures voient encore leur liberté limité
alors que cette démarche se voulaient plus démocratique ; Le comité de
modernisation adopte les mesures, les réforme et les mesures sont suivies ;
Donc objectif de perf’ on a dit ; notion dans les textes qui était vague, donc
on a précisé des objectifs à chaque notion ; liberté encadré par les mesures
adoptés et par l’objectif de perf’ . on a reproché au psdt cette cult du
résultat . Le comité d’expert se réuni pour rédiger le texte : recoit la lettre
de cadrage et certaines indications, feuiile de route par le comité de
modernisation . mais le gpr d’expert n’est pa forcément assez compétent
donc peut créer des comissions ou faire appel à d’autres expert, en somme
il peut agir comme il l’entend pour la proposition de texte, que le résultat
compte ; mais la liste des participant avec leur qualité est signalée,
système transparent sur cela ; gpe d’expert libre mais limité par le budget
de fonctionnment alloué ; chaque foi qu’une commision est organisée, ou
d’autres experts convoqués … c’est cher (logement, déplacement), donc
selon le budget, plus ou moins de possibilité de faire appel à des
personnalités ; Les gpe de travail seront limité, seule limite c’est
finiancier (sur la forme pas sur le fond).
Le rapport peut étre demandé par le psdt de la rép, mais aussi par les
ministres (et svt les interventions des ministres entrent ds le cadre de ce
que veut le psdt de la rép. Qd les rapports sont demandés par le psdt, les
journalistes sont convoqués, le gpe d’experts se rend à l’élysé pour rendre
le travail, le psdt sort prend le rapport, ca a été institutionalisé, et c’est
l’occas pour le psdt de faire un nveau discours. Pour les autres, comme le
1er ministre par ex les remises sont traditionnelles. Au cours des débats des
comités les experts peuvent partir si ça ne leur convient pas, ou autres
incidents… c’est toujours souligné dilomatiquement par le psdt de la
rép.Rappots ensuite accessiible à l’ensemble de la population . (voir les
rapports récents pour nos sujets choisis pour le dossier : bibliographie par
ex).
a. Le CESE.
Tous les conseils sans exeption ont des domaines pour lequel leur avis est
obligatoire. Jusqu’à la révision de 2008, saisi pour avis par le gvrment. Avec
la révion, le conseil peut être saisi par le parlement. Mais aussi par voie de
pétition (mais les conditions de validité de la pétition à voir, on les attend).
Car le conseil doit se justifier au parlement et gvt avant de rendre son avis,
par qui il a été saisi, si c’est pétiton. Si le conseil est saisi pour une loie ou
décret, saisie obligatoire, ça le concerne, mais now peut être saisie aussi
pour des avis sur des domaines étrangers à ses domaines de compétences.
Donc plus de compétences, sauf affaires étrangères, défence car c’est pvr
exécutif.
Pvr d’auto saisine est une arme entre les main des conseil et comité qui en
dispose. Le rapport élaboré sera politique mais aussi technique. Rédigé
sous forme de lois. Le conseil transmet à qui il veut son rapport d’auto
saisine eet qd c’est précis les pvr pub en tienne compte et les reprenne, et
sont intégré aux projets de textes. Donc le conseil peut avoir une influence
réelle.
b. le conseil d’Etat.
Il peut désormais donner un avis sur une proposition de loi et être saisi par
le parlement (mais la procédure n’est pas encore précisée).
La révision a fait l’objet d’une loi organique et d’une loi ordinaire. Elles
énumèrent de manière limitative les nominations concernées, de manière
générale les présidents d’autorités indépendantes, de télé, d’académies
etc. tout le reste n’est pas normalement concernée par l’art. 13. Autre
problème, les commissions parlementaires sont composées à la
proportionnelle des groupes politiques qui composent l’assemblée. Quand
la commission va auditionner et voter, dans l’avis, il y a le vote dominant et
les votes dissidents. Il est prévu que les avis apparaissent sans
identification des personnes. Autre limite, la totalité des commissaires
n’est pas obligatoirement présente, il n’y a pas de limite de présents sur la
commission.
C’est une réforme d’autant plus limitée que l’opposition ne participe pas
aux projets.
Quelle que soit la structure envisagée, CESE, CE, CC, CSM, Commission, au
niveau de la préapration de la décision, toutes sont libres d’utiliser les
méthodes qu’ils souhaitent : enquêtes, auditions. Seul limite, le buget. De
plus, sauf texte contraire, ils peuvent tout rendre public et ils sont libres
d’intégrer ces méthodes dans le règlement intérieur et si ces méthodes ne
sont pas prévues c’est le président de l’institution concernée qui donnera
son accord.
Quel que soit leurs statuts juridiques, toutes les autorités interviennent
pour donner un avis sur les textes de loi qui vont concerner l’exercice de
leurs compétences, au niveau national mais aussi communautaire. Toutes
ces autorités ont toutes un règlement intérieur, mais les modalités de
préparation de leurs avis, décisions, dépendent du contenu du règlement
intérieur. Le déroulement des procédures, la préparation des décisions, les
enquêtes etc. dépendent de la volonté de chaque autorité, pas de règle
commune. Toutes ces autorités doivent respecter la hiérarchie des normes.
Certaines décisions rendues ont été sanctionnées car violant des lois
supérieurs, des traités communautaires etc. Elles ont aussi l’obligation
d’établir un rapport de leur activité annuel qui sera mis en ligne.
A. Le cadre juridique
Lois organiques, pour celles qui peuvent s’appliquer directement si cela est
précisé dans la loi, sans décret d’application.
b) le règlement intérieur
Chaque fois qu’il y a une révision constitutionnelle, chaque fois que des lois
organiques ou ordinaires sont adoptées, il y a chaque fois une modification
du règlement intérieur des deux assemblées.
Pour tous ces éléments, les assemblées sont d’accord. Mais l’entente
s’arrête là entre les deux assemblées, on constate des différences entre les
réglements intérieurs des assemblées :
La structure :
- commissions spéciales
- commissions d’enquêtes
En règle général, ces commissions sont créées pour des grands thèmes
important (réforme territoriale, de la justice etc.).
Les groupes d’amitié, au début il n’y avait pas de texte, mais la volonté
d’établir des relations de parlement à parlement, entre états. La pratique a
voulu que ces groupes se démultiplient, avec des rapports bilatéraux entre
les pays. Ex : France-Allemagne. Or, au sein de l’UE déjà des instances.
Malgré d’autres institutions, les groupes d’amitiés interviennent dans les
mêmes domaines, car sont des structures informelles, dépendant des
circonstances politiques. Parfois on compte plusieurs centaines de groupes
d’amitié, avec un état ou un groupe d’état, une organisation etc.
Chaque fois qu’un projet de loi ou proposition de loi aura trait avec un pays
étranger, la consultation des groupes d’amitié pourra ou non se faire dans
la vie interne de l’assemblée. L’avis des groupes d’amitié n’est pas
obligatoirement mentionné dans les textes juridiques publiés. C’est une vie
politique qui dépend des règles de fonctionnement et des rapports entre
parlementaires.
c) L’ordre du jour
- Ils arrivent à un accord : cet accord doit etre soumis au vote de chauque
assemblée. Les 2 assemblées doivent se prononcer dans les mêmes
termes. S’ils parviennent à cet accord, les 2 chambres adoptent le texte, si
ne se mettent pas d’accord sur les termes, c’est l’assemblée nationale qui
aura le dernier mot.
La CMP (commission mixte paritaire) peut aussi être réunie dans le cadre
de la procédure accélérée. On ne va pas attendre que les deux lectures
aient eu lieu, c’est à l’issue de la 1ère lecture qu’elle sera convoquée. Si la
CMP est demandée par le gouvernement et que les 2 présidents s’y
opposent, on ne sait pas ce qui se passera, si il y a conflit entre les 2
présidents des assemblées on ne sait pas non plus ce qui se passerait.
- procédure accélérée
Une fois les textes adoptés, le projet ou proposition de texte doit être
transmis au président de la république, qui doit la promulguer et faire
publier en 15 jours. Mais la constitution lui confère 2 armes qui vont lui
permettre de faire modifier le texte s’il ne lui convient pas. Il peut saisir le
conseil constitutionnel, pour les lois ordinaires, et Doit saisir le CC pour les
lois organiques. Si pas d’anomalie, il devra le publier. S’il constate qu’il y a
des déclarations non conformes, soit il supprime les articles qui font
problèmes, soit il redemande à l’assemblée de revoir sa copie qui devra
relancer toute la procédure. Les parlementaires vont devoir tout
recommencer. A l’issue de cette nouvelle lecture, ne pourra plus utiliser la
procédure si le texte ne lui plait pas, il devra l’adopter ou saisir le CC pour
faire lever les mesures anti-constitutionnel. Il a 15 jours pour signer et faire
promulguer a loi, la publication peut être eun peu décalée parfois. A partir
de la publication, devient obligatoire si suffisamment précise ou reste en
attente des décréts d’application.
II. L’adoption directe : le référendum
a) L’objet du référendum
b) La procédure applicable :
B. L’absence de contrôle
A. Le président de la république
- Ses décisions prises dans le cadre de ses pouvoirs propres sont des
actes constitutionnels. Il nomme le premier ministre sans critère
spécifique. Il peut prendre un parfait inconnu, même si la personne
n’a pas de formation dans le domaine. N’a jamais été remis en cause
car compte tenu de la C° les rapports doivent être de confiance,
personnels. Quand il veut changer, l’oblige à présenter sa démission
au nom du gouvernement. Article 8. Il va signer un décret portant
nomination du premier ministre
- L’art 16. Chaque fois qu’une menace grave et immédiate existe sur
une institution, à l’intégrité du territoire, une menace de la nation etc.
Le président va concentrer tous les pouvoirs. Consultation du 1er
ministre, des présidents des assemblées, du CC. Quand il y a
application du 16, le président doit faire un message à la nation.
Ensuite, il doit préciser les mesures qu’il va adopter pour rétablir la
situation. Pendant ce temps, le parlement est réuni de plein droit et le
président ne peut pas dissoudre l’assemblée nationale. Avec la
révision de 2008, on a limité les pouvoirs en prévoyant des
conditions. Ces pouvoirs ne peuvent être établis que pour une durée
de 30 jours durant lesquels le président fera ce qu’il veut dans le
cadre de l’article 16. Au-delà, le CC doit vérifier que les conditions qui
ont été à l’origine de l’applicaiton de l’art 16 sont toujours réunies.
Mais quand il va se prononcer, ce n’est pas une décision
contraignante. C’est un avertissement public. Là, soit il cesse, soit le
président saura qu’il aura à nouveau d’un délai de 30j au bout duquel
si les conditions ne sont pas réunies il devra revenir à l’application de
la constitution.
Dans le cadre des décret du président: lieu (tous les décrets), service
de contrôle + nom de la personne, pour les décrets en conseil des
ministres + Visa, avec touts les textes qui s’appliquent + Signatures
du président + art 1, art 2, Art 3. + fait à…le… .
B. Le gouvernement
a) la présentation
Rôle de direction du 1er ministre. Problème politique, car le 1er ministre doit
être aux ordres du président de la République. La pratique constitutionnelle
a remis en cause l’intervention du gouvernement et du 1er ministre dans
certains domaines.
b) le vote
Les votes rééls sont rares, on recherche une décision par concensus. Il n’y a
pas eu de démission de membre du gouvernement dans ces réunions entre
ministres et 1er ministre. Quand adopté, il y a signature du 1er ministre et
des ministres chargés de l’exécution de la décision. Pour le 1er ministre, il
n’y a pas de délai entre la signature et la publication.
A. Le CC :
On recherche le concenssus. Ce concensus est rendu possible par le travail
fourni au préalable par les services du CC. Ils rédigent les décisions de
façon à ce que les propositions soient adoptées par le CC. En cas de
problèmes, de dissention, discussion et vote. La voix du président est
prépondérente. Toutes les décisions du CC sont rendues publiques, qui font
l’objet d’un recueil annuel.
Déconcentration, Etat
directions régionales
(autant que de
ministères)
Communes
LOFP 2001, révisée en 2003 mais appliquée qu’à partir du 1er Janvier
2006. Avant l’élection du nouveau président. Cette RGPP a commencé
bien avant.
- 4 avril 2008 CMPP2 (166 mesures). Bilan sur les missions des
ministères, divergeances entre les ministères. Obligation de
regrouper les ministères.
I – Le président de la république.
A.
B. (voir partie 1)
II – Le gouvernement
a) La nouvelle organisation
Rapports de soumission :
Rapports de colaboration
- Rectorat d’académie
Colaboration et soumission
A Trois direction :
L’organe central est le préfet, assité d’un secrétaire général et d’un cabinet.
C’est une structure politique et administrative. Le cabinet est renforcé dans
les départements à risques (délinquance). Ce préfet dispose d’un service
admin propre regroupé à la préfecture. Les préfets recrutent directement
leurs personnels.
3 directions :
A deux direction :
Réaffectation :
B. La collaboration interministérielle.
a) la collaboration « forcée
b) la collaboration « libre »
Lorsque des décisions vont être prises, (voir hiérarchie des normes), ces
textes obéissent aux règles des textes admin unilatéraux. Pour être
obligatoires, ils doivent être publiés au JO et dans le bulletin officiel du
ministre compétent. Les textes sont aussi mis en ligne sur internet, mais
pour le moment c’est toujours la version papier qui fait foi. Lorsque ces
décisions sont publiées, il n’y a pas de rétro-activité, normalement. Certains
décréts on prévu des application rétro-actives ou futures. Pour le moment
c’est toléré.
A. Le pouvoir consultatif
B. Le pouvoir décisionnel
Pour les AAI, soit ce pouvoir pas conditionner la poursuite d’une procédure,
comme pour la procédure d’accès aux documents administratifs, soit c’est
une décision par elle même, cette décision est l’équivalent d’une décision
de justice, reconnue à l’ensemble des AAI, notamment à celles à caractère
économique, comme l’Autorité de la concurrence.
Rappels
Etat
Au niveau décentralisation
B. L’expérimentation
Elle a fait l’objet d’une loi organique en 2003. A l’origine une décision de
l’Etat de se défaire d’une coméptence qu’il excerçait. Ex : la culture sous
l’aspect patrimonial et environnemental. L’Etat va confier pour un laps
de temps l’excercice d’une compétence à la région, le département, la
commune. Lorsque l’Etat va confier la compétence, quand les
candidatures vont arriver, l’Etat veille a ce qu’il y ait une répartition en
fonction de seuils de compétence. Fait attention à ce que toutes les
collectivités soient représentées (en choisit si une fait défaut) et aux
seuils. Pour inciter les collectivités, la subvention peut être augmentée. Il
va y avoir un tri des candidatures. Une fois le tri fait, l’Etat signe avec
chaque CT concernée un contrat, avec précision de la compétence
traitée, le montant de la subvention et la durée de l’expérimentation. En
règle générale pour 5 ans mais restreinte en pratique. Il appartient de
dire à la CT de dire si elle compte conserver la compétence à titre
définitif. Si la conserve c’est qu’elle la rentabilisé. Rare sont les CT qui
conservent si déficit. Quand l’Etat s’est aperçu du peut de volontarisme,
il l’a imposé. Ce qui était une expérimentation est devenu une
compétence obligatoire. La création des musées sous forme
d’établissement publics a permis aux CT de s’en débarassé. Certaines
communes ont hérités d’un patrimoine dont elles ne savaient pas quoi
faire, il a fallu que ces communes mettent au point des projets de
requalification. (gare désaffectée, friche industrielle etc).
a) La préparation
L’évolution du rôle des autorités administratives n’est pas écrite dans les
textes.
2009 : Dépôt de lois sur la réforme. Au lieu d’avoir une loi sur la
réforme, 4 lois se rapportent au même objet. Plusieurs paquets de
loi.Certaines ne peuvent pas s’appliquer, du fait de l’attente de
l’adoption de textes toujours en discussion. (2014 : Loi portant
renouvellement des conseiller généraux et régionnaux => Conseillers
territoriaux). Or la loi sur les conseillers territoriaux n’a pas encore
été adoptée. Si elle ne passe pas, la loi d’avant ne sert à rien.) La
désignation de ces conseillers serait hybride : se ferait pour 80% au
scrutin uninominal majoritaire à 1 tour et 20% seraient élus au
scrution proportionel de liste. La circonscription serait un canton
élargi. Ils vont sièger à la région.
Une troisième lois sur les conseillers des EPCI : avant, désignait
des délégués ou partageait. Déclaré anti-démocratique. Il avait été
prévu de faire élire au suffrage univ direct. Vont fusionner les votes
EPCI/Communes. Conseil municipal : 115 membres choisis à partir
des élection par secteur, à la proportionelle. A chaque secteurs on
attribue un nombre de membres qui siègeront au conseil. Ce système
serait étendu aux EPCI.
Précopation qui remonte aux 70’s. Dans un premier temps à été limitée par
l’amélioration des relations entre administrations et administrés. Mise en
place d’autorités administrative indépendante pour trouver un compromis
entre administration et population. Au début des années 80, cette
participation va subir une transformation : démocratisation des enquêtes
publiques (Bouchardeau). Au niveau communal, chaque foi q’un document
d’urbanisme été élaboré une consultation de la population devait être
organisée. En même temps, on va organiser la consultation lorqu’il y aura
modification des limites territoriales des communes.
Les années 90, verront l’intervention des citoyens augmentée, ils seront
consultés aussi pour des projets nationaux. Création de la commission
nationale du débat public, qui va être par la suite déconcentrée. Mais
toujours pour des problèmes géographiques, urbanisme, etc.
Les CIQ permettent aussi de tisser des liens sociaux, avec moins
d’isolement.
Début 2000, une charte sur les relations entre l’Etat et les associations a
été adoptée. Mais cela reste un engagement moral, pas de contraite. Il était
demandé aux collectivités (de manière indirecte) d’associer au processus
de décisions aux associations et de ne verser des subventions aux
associations qu’à celles respectant la charte. A inciter les associations à se
regrouper en coordinations.
Puis l’état s’est penché sur les résultats des associations et il a constaté
que certaines associations faisaient des bénéfices, et le pouvoir
réglementaire a établi des seuils, des taxes et impots pour certaines. A
partir de certains seuils, l’association doit pour la partie des activités à
l’origine des rentrées financière passer en société.
Une association doit être reconnue pour participer aux décisions nationales,
avec des agréements etc.
Ce droit n’a jamais fait l’objet de loi d’application. Il peut être utilisé aux
niveaux territoriaux et des établissements publics. Il a pour objet toute
affaire d’intérêt local. C’est un droit qui existait dans d’autres états de
l’union. Mais ce n’est pas un système qui porte ses fruits aujourd’hui.
- La participation consultative
Toutes les collectivités peuvent l’organiser, de même que les EPCI. Cette
consultation peut aun niveau de l’initiative être impulsée par les autorités
administratives, par un nombre de membre de chaque conseil ou par une
partie de la population. A compter du moment où la demande va être
formulée, toute la suite de la procédure va échapper au contrôle citoyen.
Lorsque la demande est faite, le sort réservé à l’organisation ou pas de la
consultation dépend de la volonté de l’exécutif et de l’assemblée
délibérante.
Une fois les résultats publiés, la consultation ne lie pas l’autorité qui
doit prendre la décision. Si n’a pas de valeur juridique la consultation
a une valeur politique.
- La participation décisionnelle
Les conditions sont identiques à celle prévues pour le réfrendum
consultatif.
Définitions :
On distingue
Aujourd’hui ce sont surtout les grands groupes qui, lors d’un appel public à
la concurrence, sont armés pour concourir. On a vu intervenir l’UE pour que
les entreprises innovantes bénéficient d’un quota de contrats
administratifs.
Même si leur champ est économique, ces contrats sont toujours de droit
public.
Au niveau des CA. Si admin construit des logements par des entreprises.
L’entreprise ne pourra pas refuser d’augmenter le nombre de logement, de
manière unilatérale par l’administration, dans un cadre de 25%. Si
l’entreprise ne peut pas construire, c’est la fin du contrat, au risque et péril
de l’entreprise. La PPP peut aussi bénéficié au co-contractant. Une
entreprise stock du matériel sur un terrain privé, or dégat sur la maison,
pas d’indemnisation.
Les autorités administratives osnt vigilantes et vont vérifier qu’il n’y a pas
voie de fait (le fait pour l’administration d’utiliser de manière abusive ses
pouvoirs) avant de récourir à exécution. L’administration va d’abord tenter
de faire respecter le droit (avertissement, mise en demeure) avant
d’employer des méthodes plus « brutales ». (Le seul domaine où la
procédure n’est pas suivie dès le début est le désordre public). Seules les
juridictions de droits privés sont compétentes en cas de problème avec
l’administration qui lui aurait porté atteinte physiquement.
A. Le pouvoir législatif
Il suffit que la loi soit publiée au journal officiel et insérée dans un journal
d’information, sous la responsabilité du président de la République.
Maintenant, avec la mise en ligne des nouveaux textes, n’importe qui peut
avoir connaissance immédiatement de l’existence des nouveaux textes. Par
rapport à la réalité des choses, le jour franc continue à être la référence et
« Nul n’est censé ignorer la loi ».
B. Le pouvoir exécutif
Si l’acte qui doit être notifié lui accorde des droits, la jurisprudence part du
principe que si on ne peut pas joindre la personne, on ne peut pas
reprocher à l’administration de ne pas avoir essayer de la contacter.
Si l’acte lui impose de obligations, tous les moyens doivent être utilisés
pour remettre la décision à la personne. Cette règle connaît très peu
d’exceptions, l’administration doit tout mettre en œuvre et l’acte va être
remis en main propre. La personne doit signer le codument qui permet
d’attester qu’elle en a eu connaissance et couvre la responsabilité de la
personne. L’administration doit prouver sa bonne foi.
Ils sont tous rattachés à un ministère avec des liens plus ou moins
contraignant.
- Quand les liens sont souples, c’est l’éablissement public national qui
met en application ses propres règles de publicité. La seule exigence
est que les moyens mis en œuvre soient réellement efficaces.
I – La déconcentration
Au niveau des préfets, quel que soit le préfet concerné (région, dptm,
maritime, CUCS, égalité des chances etc.), il faut : affichge à la prote de la
préfecture, insertion dans le recueil des actes administratifs, notification si
un personne est concernée et obligation d’information dans un journal local.
(pas toujours respecté).
Au niveau des préfets, quel que soit le préfet concerné (région, dptm,
maritime, CUCS, égalité des chances etc.), il faut : affichge à la prote de la
préfecture, insertion dans le recueil des actes administratifs, notification si
un personne est concernée et obligation d’information dans un journal local.
(pas toujours respecté).
II – La décentralisation
Tout doit être fait en même temps. Plus la collectivité agit rapidement, plus
la décision sera obligatoire dans des délais brefs.
Même procédure.
Il ne faut pas qu’un texte échappe aux administrés, quel que soit son
statut, mais il est encore tot pour savoir si cette sécurité juridique est
efficace. D’autant plus que ce développe la règle du droit « mou ».
Tant que le conseil d’etat n’est pas saisi, les administrations font ce
qu’elles veulent.
Ex: implantation d’un stade. Va nuire aux riverains, elle vont dire que les
désagréement qu’il y a un risque, les personnes se regroupent et
contestent la construction et en attendant demande que la construction soit
gelée. Ce gel durera jusqu’à que la juridiction administrative statue. C’est
une mesure de prudence, la juridiction administrative se réunie en collège
pour décider de suivre ou pas le recours pris dans une première étape.
Normalement ces contrats sont négociables, mais dans 99% des cas
l’administration impose.
- De nature administrative:
-> S’il s’agit d’un AAU, les sanctions doivent ê mentionées dans l’AAU.
-> Dans un contrat admin, les sanctions peuvent ne pas être prévues, mais la
pratique veut que les sanctions soient prévues dans les contrats, sauf dans les
contrats de marchés publics de travaux où ces sanctions financières où leur
existence se présume. (sanctions inhérentes au statut de l’administration, le
co-contractant sait qu’il s’expose à des sanctions s’il ne respecte pas les
contraintes). Ex: quand un contrat est exécuté avec retard ou mal exécuté.
- De nature pénale:
Ce médiateur peut aussi résulter d’un accord entre les deux parties, sans
passer par la juridiction. C’est souvent une solution efficace de
désangorgement des juridictions administratives.
Les moyens utilisés sans que la loi l’ait prévu. Ce sont des systèmes empruntés
au droit international. Les partis peuvent choisir entre :
1. Définitions
Les personnels :
- des contractuels.
On crée les missi dominici (fin 8ème début 9ème), ces envoyés du maitre était des
représentant des l’empereur chargé de veiller à la correcte application du code
royale par les comtes et les évêques. Ils élaboré des rapports et surveillait
l’exécution. Système de « contrôle de légalité »
Les baillis et les sénéchaux, représentants des rois qui vont se séparer
géographiquement (Sud et nord). Le bailli est un agent royal chargé de mission
administrative et judiciaire, agent itinérant. Les sénéchaux sont chargés de
missions militaires et judiciaires. Ce sont des agents qui ne sont pas non plus
sédentaires. Leurs mission et de contrôler les prévôts, c’est une administration
de mission. Organisation pyramidale au niveau de la fonction publique. Ils vont
être par la suite sédentarisés, et un premier statut est élaboré, par Saint-Louis,
avec certaines règles encore présentent aujourd’hui. Deux ordonnances, 1254
et 1256 : Ils doivent veiller à la correcte application des ordonnances royales.
Ils sont jugent d’appel des jugements rendus par les prévôts. Ils collectent les
impôts. Ils doivent mobiliser les soldats pour constituer l’armée royale (Ost). On
voit apparaître les fonctions régaliennes d’aujourd’hui, la défense, les impôts,
la justice.
Lorsqu’ils sont nommés par le roi, cela leur confère un titre de noblesse. Mais
ce système ne pouvait fonctionnait que tant que le trésor royal pouvait faire
face à ses dépenses. Quand il se trouvera en difficulté, on instituera le principe
de la vénalité des charges. Il faudra acheter la fonction et ils devront
répercuter le prix. Un taxe s’ajoutera au montant de l’impôt pour rembourser
l’achat de la fonction et avoir un revenu. Ils acquièrent les fonctions d’officiers
royaux. L’anoblissement n’est plus de droit. Apparaît alors une certaine
bourgeoisie, qui fera l’objet d’un statut. Les rois vont élaborer un statut
d’officier.
18ème : Ecole des mines, ponts et chaussées. Lorsque le roi voudra faire des
ouvrages, les ingénieurs sont recrutés par concours, avec un statut et des
règles. Principe d’obéissance hiérarchique (toujours), on leur impose le principe
de ponctualité (toujours). Ils doivent être zélés et efficaces (toujours). Ils
doivent servir exclusivement le roi. être en permanence disponibles (toujours)
et ne pas porter atteinte à l’image du service public (toujours). Ils sont nommés
sur un emploi permanent quand ils réussissent le concours, peuvent être
promus à l’ancienneté (toujours), perçoivent un traitement (toujours) et ne
peuvent être révoqués qu’après une procédure contradictoire (toujours).
- le droit européen :
• loi et
• décrets sur les statuts particuliers. Décrets en conseil d’Etat sur les
positions des fonctionnaires. Sur les entreprises européenne, la situation
des fonctionnaires, les droits à carrières et retraites. Plusieurs miliers de
décrets pour la fonction d’Etat, de même pour hospitaliers et judiciaire.
Au niveau des décrets d’applications, chaque texte prévoit des décrets, qui ne
sont pas publiés avant la loi suivante. Deux lois restent sans décrets.
Problèmes car des décrets est inférieur à une loi, loi doit s’appliquer, et si les
nouvelles sont plus favorables tant pis car pas de décrets.
I. Les fonctionnaires
N’importe quel français ou ressortissant d’un état de Schengen, mais aussi les
personnes ressortissant de l’espace éco européen, peuvent postuler. La
possibilité de détachement est prévue là aussi.
2. Le statut du fonctionnaire
Droits
Liberté d’opinion, garantie par C° + loi 2009. On reprend dans les lois des
dispositions préexistantes. Concerne tous les secteurs d’opinion, de pensée.
Elle peut se traduire par la possibilité d’exprimer ce qu’ils pensent. Lois du 21
fév 2007 considère que peut exprimer son opinion si l’expression est mesurée
et sans prosélytisme. Ne porte pas atteinte à l’image du service public. Au
niveau des magistrats, quand une décision est rendue la responsabilité
solidaire. Un magistrat est tenu à la décision collective.
Droit de grève. Existe depuis le texte d’origine. Il s’exerce dans le cadre des
lois qui le réglementent. Le chef devait réquisitionner une partie du personnel
pour assurer le service minimum, n’a jamais été respecté sauf pour la fonction
hospitalière. Avec la série de grève dans les transports, le principe du service
minimum a été rappelé. On impose de connaître le nombre de gréviste au
moins 24h à l’avance. Cette règle a beaucoup de mal à se mettre en place. Les
chefs hésitent à réquisitionner ou on demande aux gens s’ils sont grévistes le
jour même de la grève.
Droits spécifiques :
- protection du fonctionnaire contre les tiers : sur le plan civil et pénal. Sur
le plan pénal, a soulevé des questions. Consacre l’irresponsabilité pénale
des fonctionnaires. Suites à des accidents dans des sorties scolaires, on a
engagé la responsabilité pénale des chefs d’établissements qui n’avaient
pas pris les dispositions suffisantes. 1ère instances, ont été condamnés. La
loi de 2000 écarte leur responsabilité pénale et instaure le délit de mis en
danger involontaire de la vie d’autrui. En appel, la responsabilité pénale
n’a pas été retenue. Allège la responsabilité de l’Etat.
Obligations
-> Exclusivité : on ne peut pas avoir une autre occupation quand on est
fonctionnaire. Interdit de cumuler deux emplois public ou public et privé.
Cette règle a été rappelé par la loi du 3 aout 2009, mais reprend des
exceptions. On permet à un fonctionnaire de cumuler son activité avec une
activité de l’esprit (écriture, peinture etc.) tant que sa seconde activité n’est
pas plus lucrative que son activité d’origine. (Déclaration d’impôt). Il ne faut
pas qu’il consacre plus de temps à sa deuxième activité qu’à son activité
initiale. (Pose le problème du contrôle et de sa liberté de faire autre chose
en dehors de son temps de travail). Pour éviter de tomber sur le coup de la
loi, l’argent est souvent versé sur un compte à un autre nom.
- Obligation de réserve :
-> Modération : Doit aussi avoir une tempérance dans ses propos et
la manière de se comporter.
Basée sur le fait que chaque fonctionnaire est parfaitement responsable des
actes qu’il accomplit. Problème de preuve : c'est-à-dire qu’il va dire qu’il a
obéit à un ordre, s’il n’est pas écrit, la jurisprudence n’impose pas le caractère
écrit de l’ordre. Le supérieur hiérarchique s’il a conscience que l’ordre est
illégal ne va pas l’écrire, le fonctionnaire devra prouver que l’ordre lui a bien
été donné.
Quand une procédure disciplinaire est engagée, il doit recevoir une lettre
recommandée avec avis de réception, mentionnant l’existence éventuelle
d’une commission d’instruction, joindre les documents d’acte d’accusation ou
indiquer au fonctionnaire où il peut les consulter. La lettre de saisine du conseil
de discipline par sa hiérarchie doit être obligatoirement présente. Ces
démarches conditionnent toutes la validité de la procédure. Entre le moment
où il reçoit la lettre et la consultation du dossier un délai raisonnable doit être
accordé. La consultation du dossier doit être prévu sur plusieurs jours, il peut
être assisté par qui il veut. Si réunion de la commission d’instruction, elle n’est
pas là pour juger mais pour discuter avec le fonctionnaire.
Les conseils de discipline statuent sur les faits et propose des sanctions. Si le
conseil est consultatif, la décision est transmise à l’autorité de décision. Si le
conseil a voie décisionnelle, il faudra aller devant un conseil supérieur ou une
juridiction consultative pour contester.
1. Accès à l’emploi
Chaque fonction définit ses propres règles. La loi précise que le recrutement
traditionnel est le concours. Les modalités du concours vont dépendre de
chaque statut particulier et chaque fonction publique. On laisse à chaque
autorité la possibilité de définir ses propres critères pour admettre en
équivalence.
Au niveau des statuts : ils peuvent reconnaître la liste des diplômes et des
équivalences.
Chaque conseil est libre et tous ont au moins une fonction consultative. En
général les nationaux sont consultatifs et décisionnel. Les commissions admin
paritaire ont un pouvoir consultatif et de décision mais compétences fixées
selon les catégories de fonctionnaires.
Les lois ont supprimé pour la fonction publique territ la catégorie D. La même a
été faite en hospitalier. Mais ces lois ne sont pas correctement appliquées.
Tous ces conseils ont leurs missions qui varient avec les réformes des statuts
des fonctionnaires.
2. Déroulement de la carrière
Le législateur a uniformisé les cas, mais pas la gestion des droits à la retraite.
Caisse natio des retraites des agents des collectivités locales : états,
ministères, territoriaux et hospitaliers. Gèrent tous les fonctionnaires et tous
les agents publics.
Peuvent intégrer les personnes nommées sur des corps ou cadres d’emplois
qui viennent d’être crées. Ex : corps des administrateurs, les premiers était
recrutés par ancienneté dans d’autres services.
A. La situation contractuelle
Ces dispositions ont été méconnues. Dans certains cas, des renouvellements
permanents équivalaient à un CDI. Une injonction était adressée à
l’administration fin 90’s pour transformer les contrats précaires en CDI. Le
problème est que toutes n’ont pas obéit. Normalement, les salaires versés à un
contractuel sont plus élevés qu’un fonctionnaire. Plusieurs textes ont été
adoptés pour résorber l’emploi précaire. Au niveau admin, la pratique
continuait. Les collectivités se sont trouvée face à un problème de
financement. A 95%, les personnes dont les contrats n’ont pas été renouvelés
ont obtenu gain de cause et ont eu des CDI. Nouvelles réformes, on a re-ciblé
les cas de recrutement des contractuels. 3 ans renouvelables 1 fois. Période de
surcharge. Pour les contrats de courte durée, renouvelable 1 fois mais en
aucun cas transformable en CDI, même si au niveau de la durée c’est la même
personne qui en bénéficie. En revanche, pour les contrats de 3 ans renouvelés
1 fois, la transformation en CDI est possible. Pendant 6 ans, l’agent ne sait pas
s’il aura un CDI ou pas.
Il est prévu d’étendre cette possibilité pour la catégorie B dans le livre blanc
sur la fonction publique.
Ces agents sont soumis aux mêmes obligations que les fonctionnaires, mais
n’ont pas les mêmes droits.
Pour les congés, les règles sont moins favorables aux agents contractuels. Les
congés formations peuvent leur être refusés.
Bien qu’ils n’aient pas les mêmes droits que les fonctionnaires, ils sont gérés
en règle générale par les mêmes organismes de gestion
B. le développement de ce processus de recrutement
Les agents publics sont soumis au droit public. Ils seront soumis aux règles de
la concurrence, quand l’administration recrute elle peut faire appel aux
services des entreprises intérimaires, aux services du pôle emploi, etc. Quand
elle va rendre public sa volonté de recruter, l’information va être largement
diffusé. Elle peut également recourir au réseau associatif via la conférence
permanente des coordinations associatives.
Les emplois les plus élevés sont soumis à concurrence, dans les 3 fonctions
publiques.
b) de droit privé
- recrutement volontaire
- recrutement imposé
1. La société internationale
Il faut aussi que l’Etat accepte d’être jugé, la ratification sur l’existence de la
juridiction ne suffit pas. Il faut une déclaration officielle disant que le
gouvernement accepte que le pays soit jugé par la juridiction.
L’accès au niveau des personnes physiques n’est pas autorisée par la France,
seule les personnes morales et sous conditions.
La cour de justice internationale est une juridiction réduite, avec une dizaine de
juges. Ils sont désignés pour une durée de 4 ans et normalement leur mandat
est renouvelable (en général 1 seule fois). La juridiction ne va pas examiner
tous les recours déposés, il y a une commission d’examen des recours,
commission souveraine c'est-à-dire que va examiner la pertinence du recours
et va se prononcer sur le fait de savoir si le dossier ne relève pas de la
compétence d’une autre juridiction internationale.
2. La décentralisation
Ces juridictions modifiées on été réformée par la suite, pour augmenter leurs
compétences. Plus on accroit les compétences, plus il y a un risque de
saturation. Là aussi, pour prévenir ce risque, on va instituer des commissions
d’examen des recours dans chaque juridiction. Quand le recours sont rejetés
par la commission d’examen, la décision de rejet peut être contestée, et les
juridictions d’appel qui vont juger les recours ne seront pas les mêmes. La
commission qui examine les recours ont des décisions qui ne sont pas
définitives et peuvent être contesté devant une autre juridiction. On a rendu
beaucoup plus complexe le paysage juridique.
Normalement, pas d’appel sur ces décisions en premier et dernier ressort, mais
le recours en cassation n’est pas exclu.
Dans ces cours, se sont des élus et non des élus qui siègent. La procédure
ralentie aussi la fonction de jugement. L’impartialité n’est pas non plus
totalement respectée, des parlementaires jugeant des parlementaires.
Quand les élus sont déférés devant les juridictions, ils sont soumis au même
régime que les autres justiciables, quelle que soit la juridiction saisie.
Plusieurs enquêtes avaient démontrées que les français été de plus en plus
méfiant par rapport à la justice. Notamment sur les magistrats considérés
comme carriéristes, carrière soumise à décision des ministères. Les magistrats
qui sont des fonctionnaires sont soumis à la volonté de l’autorité de
nomination. Plus le manque d’impartialité et d’équité (mais sont là pour
appliquer les lois, même si la loi est inéquitable).
Autres reproches : la lenteur des procédures, les sanctions non dissuasive, les
vacances judiciaires.
L’évolution des carrières, des salaires, des biens possédés sont publics pour les
magistrats les plus haut.
Quand il inflige des sanctions financière, il doit faire preuve d’équité, doit
regarder si la sanction ne dépasse pas le tiers des revenus mensuels du
justiciable. Il peut aussi fractionner les échéances, même si l’autre partie n’est
pas d’accord.
Dans certaines juridictions, des citoyens peuvent être juges. Toutes les
juridictions ne sont pas composées de magistrats professionnels. Ex :
prud’hommes, tribunaux de commerce, en fonction de leur profession, mais
pas des magistrats.
1. Le CC
(voir ch1)
Le personnel n’est pas recruté par concours, en général à l’issu d’un stage ou
par transfert.
Pour le droit commun, les conseillers peuvent démissionner. Ils peuvent aussi
être déclaré démissionnaires d’office. En dehors de l’incompatibilité de
fonction, s’ils ne sont pas en mesure d’exercer leur mission, le président du CC
les déclare démissionnaire d’office. On peut estimer que les personnes ne
remplissent plus correctement leur mission, le président du CC peut demander
une expertise médicale et dispose d’un pouvoir discrétionnaire complet.
Si toutes les conditions sont réunies, la haute cour est réunie, c’est le
parlement.
Juge les ministres au regard des actes qu’ils ont commis. Les ministres vont
être responsables de leurs délits et de leurs crimes, se rapportant à l’exercice
de leurs fonctions. Lorsque le ministre est déféré devant cette cour. S’il est en
exercice, la procédure est plus contraignante, il faut que le premier ministre et
le président accepte de voir leur ministre juger. (jusqu’à présent n’a pas eu
lieu, l’était après leurs fonctions).
La cour est composée de 15 juges, parmi ces 15 juges, 12 parlementaires (pris
en général à la proportionnelle des groupes politiques dans la commission des
lois) et 3 magistrats professionnels. Ces magistrats sont des magistrats du
siège qui appartiennent à la cour de cassation. Parmi ces 3 magistrats, va être
désigné le président de la cour de justice, mais sont minoritaires. La dimension
politique ressort. A priori cette cour peut se réunir facilement. Mais la
procédure demande des conditions : la requête est déposée auprès d’une
commission de l’examen des requêtes à l’intérieur de la cour de cassation, qui
se contente d’examiner le respect des formes, sans se prononcer sur le bien
fondé de la requête. Cette commission va rendre un avis souverain (on ne
pourra pas revenir dessus). Elle transmet son avis au procureur général placé
auprès de la cour de cassation. La procédure ne pourra se poursuivre que si
l’avis de la commission est favorable. Si c’est négatif, le procureur ne pourra
pas saisir la cour de justice. Si les règles on été respectée et l’avis favorable, il
est obliger de la saisir.
(voir partie 1)
La formation est présidée par un magistrat qui relève de l’ordre judiciaire (donc
de droit privé). C’est le premier président de la cour de cassation en règle
générale. Quand il est saisi, il peut l’être par n’importe qu’elle personne située
au dessus de la personne qui va être jugée (dans la même juridiction). C’est
une procédure rigide, il adresse une requête écrite au président du conseil
supérieur, avec la lettre de saisine, les faits reprochés et les preuves. Ce sont
les mêmes conditions que pour n’importe quel fonctionnaire. La constitution de
la requête conditionne la suite de la procédure. Le magistrat mis en cause
recevra son dossier, sera assisté, pourra avoir un conseiller etc. La partie orale
n’est pas obligatoire. Bien que jugeant des magistrats de droit privés,
n’applique pas les règles du procès privé, mais celles du droit public. Il n’y a
pas obligatoirement de débat, de plaidoirie, de prise de paroles des accusés.
Car on considère le magistrat comme un fonctionnaire, on prend en compte
son statut et non pas la nature de la juridiction dans laquelle il exerce ses
fonctions.
Tous ceux qui vont permettre à la cour des comptes d’exercer le contrôle ne
sont pas en poste au sein de la cour des comptes. Des contrôleurs financiers
contrôlent les décisions de chaque ministre, s’il y a irrégularité, donne un
avertissement au ministre. Parallèlement, ils adressent un rapport à la cour des
comptes. La cour des comptes sait où regarder.
Elle va également s’appuyer sur les chambres régionales des comptes, qui vont
adresser à la cour des comptes des bilans sur la gestion des deniers publics.
Elle a tout un réseau pour exercer sa mission. Elle a aussi un réseau à travers
le trésor public. Quand les comptables doivent verser des sommes qu’ils
estiment illégales, ils se couvrent en prévenant.
La cour des comptes est dotée d’une structure propre, avec un premier
président et des présidents de chambres. On a aussi un représentant de la cour
de discipline financière et budgétaire et un procureur général. La cour des
comptes est pénétrée par le droit privé.
La réforme de 2008 est encore trop récente pour évaluer le rôle de la cour
dans les politiques publiques en France.
Une tentative de réforme aura lieu au 17ème. Une première ordonnance va non
seulement simplifier l’organisation judiciaire, mais aussi mettre en place un
code, sur les questions criminelles (pénal). On supprime aussi la dimension
politique des parlements, qui sont tenus d’enregistrer les décisions rendues.
Supprime le double degré de juridiction. Le principe de gratuité de la justice est
aussi affirmé. Ces réformes seront vites abrogées.
Il faut en même temps établir une hiérarchie entre les différentes juridictions
administratives, on va établir la compétence du conseil d’Etat en première
instance pour les décisions nationales et en tant que juridiction d’appel pour
les décisions rendus par les conseils de préfectures.
On va mettre en place les rapports entre cours des comptes et conseil d’Etat. Il
faudra attendre la réforme de 1958 pour voir s’affiner le paysage
constitutionnel. Les premiers textes qui vont réglementer les statuts et
compétences sont pris sous forme d’ordonnance portant loi organique. On va
revoir la cours budgétaire et financière, préciser les compétences des
juridictions administratives (Conseil de préfecture->tribunaux administratifs).
On va également préciser le statut du CSM. On va distinguer au niveau de
chaque juridiction la compétence matérielle et territoriale. On va voir
apparaître les codes de procédures. Dans chaque code, on va préciser dans
quel cas les juridictions sont compétentes, leurs pouvoirs, les conditions de
saisie etc. Cadre juridique contraignant au niveau des juridictions. Permet au
justiciable de savoir quelle juridiction saisir.
(Tableaux)
Explique que les juridictions de droit public soit moins engorgées, peuvent
donner leurs avis qui est suivi la majorité du temps.
TI : Il peut y avoir plusieurs juges uniques dans un même tribunal. Les dossiers
seront répartis entre eux. C’est le juge seul qui va trancher le litige. Parfois le
droit public devrait être compétent mais on prend en compte la personne et on
va en droit privé. Pour des problèmes d’élections, droit public, or on a confié le
contrôle au tribunal d’instance ou TGI.
TGI, code prévoit aussi des exceptions, collégial mais peut siéger un juge
unique. On va avoir aussi des magistrats de plus en plus polyvalents, pose
aussi des problèmes de formation.
Q°, on a une chambre des appels correctionnels, ça veut dire qu’en appel les
décisions rendues vont devant la cour d’appel. Dans ce tribunal, on a le juge
d’instruction, qui va accomplir certains actes. Ces actes peuvent faire l’objet
d’un appel devant cette cour. Si bon, revient au juge puis passe en jugement.
Si le justiciable constate un problème par/ au juge, s’adresse à la chambre des
appels correctionnels de la cour d’appel.
3ème instance :
Cour d’assises spéciale, juridiction collégiale sans jury, va juger les crimes
terroristes, drogue etc. Elle remplace la cour de sureté de l’Etat. Une seule
cour, au niveau de l’Etat.
1ère instance : tribunal administratif, rôle de ventiler entre les différents juges,
suivant les chambres et les magistrats.
CE, plusieurs sections, mais une seule pour le contentieux, juge en 1 ère
instance, appel et cassation. On a crée des sous-sections par domaines qui
vont se réunir selon les instructions.
Une seule au niveau de l’état, le premier président est le garant des deniers
publics, a aussi une mission d’évaluation, va pouvoir faire des
recommandations etc.