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CHAP1 (Exercices) PDF
CHAP1 (Exercices) PDF
EXERCICE Kl
Formule du double produit vectoriel.
Démontrer qu'étant donné trois; vecteurs u, v, w, on a :
•*•
U /•*• A ~*\
A (V W) = /** . **\
(U W) . "**
V - /"*" . "*"\
(U V) "*W
(u A v) A w. = (u . w) . v - (u . w) u (formule de Gibbs)
EXERCICE 1.2
Démontrer que :
EXERCICE 1.3
Démontrer que :
(a A S) . (c A et) = (a . c) . (S . 3) - (a . 3) (î . c)
EXERCICE 1.4
f*. -*• •>
Soient A et B deux vecteurs donnés et un vecteur X défini par
la relation : ^ + +
A A X = B
_> _^
a/ Quelles relations doivent vérifier A et B pour que l'opération
soit possible ?
~>
b/ Calculer alors la solution générale pour X.
EXERCICE 1.5
-V -> -*•
Soient A et B deux vecteurs donnés et X un vecteur inconnu.
Montrer que l'équation vectorielle
-*->.-*. ->
X + B AX - A
admet une solution et une seule.
EXERCICE 1.6
EXERCICE 1.7
EXERCICE 1.8
EXERCICE 1.9
EXERCICE 1.10
->• " -v
Soient ui et u2 deux axes quelconques concourants. On fait une
rotation d'angle Oj autour de ui, suivie d'une rotation d'angle 02 autour
de U2* '
Montrer que ces deux rotations sont équivalentes à une rotation
unique et passent par le point de concours 0.
EXERCICE 1.11
Un point M de l'espace est attiré par n centres fixes Aj, A2, ...
A., ... A proportionnellement aux distances MAj, MA2, ... MA., ... MA ,
les coefficients de proportionnalité étant m-^, m2, . • • m., .,. m .
1 n
L'action de A. sur M est F. « m. MA..
i 1 1 1
1°/ Dans le cas où £m. ^ 0, calculer la résultante R (on précisera
la signification de ce terme).
->
2°/ Dans le cas où £m. = 0, que devient R«
EXERCICE 1.12
EXERCICE 1.13
EXERCICE 1.14
—».—*.
2°/ Soient H et K appartenant respectivement à AB et CD. Soit |jrfj.
le torseur formé de lfensemble des vecteurs glissants dF = HK ds avec
s - [CKJ •- [ÂH] (0 « s « 5a).
EXERCICE 1.15
-> ->
Un torseur est défini par ses coordonnées R et M( ,.
1°/ Comment varie le module M,_v quand P décrit une droite (D) ?
Montrer que M. . passe par un minimum.
•*• ~± ->> •>
2°/ Au point P où M._v est minimum, montrer que M f p ^, u, R sont
coplanaires. (u désigne un vecteur unitaire de (D) ).
EXERCICE 1.16
EXERCICE 1.17
C 12 = 0 Rj . R2 = 0
EXERCICE 1.18
EXERCICE 1.19
P - p Déterminer
- l'axe central (A) du torseur somme [îl
^ j de deux torseurs
L^ij et L^OJ sécants et orthogonaux. On utilisera un repère orthonormé direct
(0, x, y, z) :
0 : origine, point de concours de (A ) et (A9) axes centraux de [T.]
et [Tj.
x : porté par l'axe central de LT.].
y : porté par l'axe central de LT?].
EXERCICE 1.1
A ce moment V et W défi-
nissent un plan que nous appel-
lerons n.
Désignons par :
a) U' projection de U sur II
b) p = V A W (p normal à H)
c) P = U A p' * U A (V A W)
Supposons
a) V et W non colinéaires
(s'ils l'étaient on aurait
P - 0)
b) U f ï 0 (sinon Û f = 0 -» U
normal à II -> IÎ parallèle
à p + f = 0)
Démonstration :
_. . . Le vecteur P appartient au
"^ " plan n et on peut donc le dé-
+ _+ finir comme une combinaison
linéaire de V et W. Soit
P = aV + 3 W (1)
et donc
* * + f ° 1 I" ° 1 F Y l( X 2Y3 - Y 2 X 3 )~
P = U A p = Y 1 A o = 0
KJR L*2Ï3-*2XJR L: 0 JR
ou encore
? « Y! (X 2 Y 3 - Y 2 X 3 ) . X (3)
On a V = X2 . X + Y2 . Y
W = X3 . X + Y3 . Y
On a donc finalement
P = U A (V A W) = (U . fi) . V . - (U . V) . W
EXERCICE 1.2
Démontrer que :
(a A ï>) A (c A dT ~ *> (à9 c, cl) - a (b; c, d)
Démonstration
P = (a A b) A p
Selon la formule de Gibbs P = (a . p) . b - (b . p) . a
-»•
Remplaçons p par sa valeur
P = b . [a . (c Ad)} - a [b . (cAd)j (1)
Nous savons qu'un produit mixte est défini par la quantité
(v,, v2, v3) = (Vj A v2) . v3
et que ce produit est invariant dans une permutation circulaire de ses
composants.
—V _>. _> _* . -v •—>- —^ —f, —^
L'équation (1) peut donc s'écrire P = b (c, d, a) - a (c, d, b)
et donc
P = (a A b) A (c A d) = b (a, c, d) - a (b, c, d)
EXERCICE 1.3
EXERCICE 1.4
~* ~*
'•4«1 Quelle relation doivent vérifier A et B pour que l'opération soit
possible ?
->
Pour que l'égalité soit vérifiée, il faut que B soit perpendi-
culaire et à x et à A«
A• . B = 0 (1)
->
1.4.2 Solution générale pour X ;
-A M
A 2
'-B> MB 2
-X fXx i"
2
LA3JR WR Lx3JR
A ce moment
[A]] ("Xjl [Bj"
A AX = B ==> A2 A x2 = B2
.A3j LX3j LB3.
soit A 2 X 3 - A3X2 = B!
A 3 X! - À i X 3 « B2
A X A X = B
1 2 " 2 1 3
qui est un système de Cramer dont la solution n'est pas unique si le déter-
minant D du système est égal à zéro.
0 -A3 A2"
D = +A3 o -A!
rA2 A! 0 _
D - A3(-AxA2) + A2(A3Ar)
D = -AiA2A3 + AjA2A3
D = 0
et donc l'équation vectorielle considérée a une infinité de solutions.
Q) solution générale :
Elle est donnée par (2) et (5)
x = IfA +x A
A
EXERCICE 1.5
-* • -* ->
A et B sont deux vecteurs donnés et X un vecteur inconnu. On
considère 1'équation vectorielle suivante :
- > - - > • - > - > .
X + B AX = A (1)
On a donc X. + B A X = A
->* ->• ->' ->
X2 + B A X£ = A
et donc Xj = X2
-v ->
Comme X- et X sont arbitraires, on conclut que la solution de (1) est
unique.
B .X + B . (B A X) = B .A
d'où B .X = B .A (3)
-4-
1 A X + B A ( B A X) = B AA
î AX + (B . X) . !* - B2. X = 1 A A (4)
Ti/ote : On retrouve bien aussi sur le résultat que la solution est unique
pour A et B donnés.
EXERCICE 1.6
[fi] est une matrice antisymétrique dans R
[ ° a!2 313
M - -a]2 0 a23 Rappel •: • a.. = - a..
L-a13 -a23 0 \
O
[x] matrice unicolonne dans R
V
X
M = 2
IxJ
Faisons le produit T^j . [x]
[ a !2 X 2 +a
!3X3
[fi] . [X] = -a 12 X, + a 23 X 3 (1)
-~ a !3 X l ~a23X2-
Considérons maintenant le vecteur £2 de composantes Ci , fi9, fl_ dans R_,
et effectuons le produit vectoriel v = n A X
-a23"
n = +a]3 (3)
-a!2-
Quant au signe, ces éléments seront affectés de signes que l'on utilise
quand on calcule le déterminant de la matrice |ft|, c'est à dire
+ • - • + :
- +
+ - +
EXERCICE 1.7
WR LV3-R
(ÂB) = {ÂB, D]
~*
AB «
^
Y
-,
Mn «
FiMlLl
!
cZ
Z
JR ° LNÎ
N
JR
MO . ÂB = 0 —» XL + YM + ZN = 0
- =
OA H
Y et les angles a et 6
WR
© [JP.BROSSARD], [1994], INSA de Lyon, tous droits réservés. On a alors 4 paramètres indépendants
-lô-
tO Repérage analytique
La droite D peut être définie par le vecteur glissant (AB) qui
est caractérisé par r•
j\. •
- son vecteur libre AB - Y
WR
- son moment en 0 : Mn F
= M
WR
Nous avons donc 6 paramètres.
-» FXX1 + I~XL"
A AB = AY et M = AM
MR MR
A est un scalaire arbitraire. Il peut donc être choisi de manière à réduire
le nombre de paramètres nécessaires.
U
1 I'
* WR
II nous reste donc 5 paramètres. Mais de plus nous savons que ces cinq
paramètres restent liés par la relation
MQ . ÂB - 0
. . ,. XL YM N
c'est a dire —~- + — 4- — = 0
Z Z Z
II nous reste donc 4 scalaires indépendants pour caractériser une droite.
EXERCICE 1.8
- M
AB = Y - M
et M = M 0 arbitraire
WR WR
^ Choisissons un repère R centré en 0.
OA est quelconque.
x
ÔA = y
WR
M = ÔA A ÂB
» - -f-i
'-{?*•!
Z = Z
EXERCICE 1.9
On a MM f -L A
NH ± A
HM f J. OH
ÔM 1 = ÔM + MM f | (1)
1
ÔM « ÔM + 2HM' )
]HM'| « lîS| tg |
On a donc
1*1 « »
^ = ~ sin * « 1
m' = HN A u tg | .
y _V /J y
m* = HN A V = V A NH
= V A (NO + OH)
Mis
a , a*a-
d'où
OM' = ÔM + ^ A ÔM -f ^ A ÔM1
v = 5^|
ainsi que M1 HMf = ^| U A OM
EXERCICE 1 . l 0
-v -^-
Soient U et U9 deux axes quelconques concourants.
~**
Rotation 0] autour de U. et ensuite
rotation 62 autour de U^
Principe : .
Pour montrer que les deux rotations sont équivalentes à une
rotation unique il faut montrer que cette rotation peut se faire autour
d'un axe D passant par 0 tel que l'angle formé par OM" et D soit le
même que l'angle formé par ÔM et D.
Si on définit 2 = tg Si 5i + tg £| ^ . tg ^L tg 6|(^ A ^}
EXERCICE 1•11
_ E OA..m.
d'où OG = ï—^
n BI
J,
G est le barycentre des points A. affectés des coefficients m..
îî , "S _
Si 2. m. = 0, la relation (1) devient R^ = L m. OA.
+' t = ÂÊ + Ft' + FD
[T] = ^
Sc « -cÂAÂS + cSf A B f c f -»- CD'A D7?
^ _ _ I f- a]
S s . - ax - ay - az =* "§•«!- a
I MR
(§ = - c 1 ) (i)
[al F- al [0l [01 [al [Ol [a2]
M = a A 0 + a A - a + 0 A 0 = a2
[aj [ 0J [aj [0J [aj [- aj [a2J
[a2]
S = a2 (2)
1-1.1
MQ = MC + OC A S
= 0 car C et 0 Ç A
MQ = M = a2 (3)
HR
O S A _>r ÂÔ -a * f
4
+
** = f4
R = 4 AS (1)
G^ê = G^S -f Ht
G^5 = G^ï + M^
Donc
G\î + GÎ$ = 2 Gpï '+ M' + M?
Mais MB + MC = 0 (ME et îïS opposés)
(2) devient 2 GjS + GjB = 0 (3)
ME, - i ïS (5)
(5) signifie que MGj et MD sont colinéaires et aussi que MD est médiane de
BC et que Gj est situé au J. de MD à partir de M
3
© [JP.BROSSARD], [1994], INSA de Lyon, tous droits réservés.
- 26 -
R = 3 AÊ, (7)
a) S. = Â t A B t + ÂÔACîS + ÂÏÎADS
» AS A BÊ + (ÂÊ + BÔ) A cS + A$ A DÏÏ
= A§ABC+ÂBACD + BCAC5^ÂDA^S
* AB A (BC + CD) - * - l C A C D + Â D A ^ 2
= ABABD-f^CACD-ÂDA^D
• (AB - AD) A ID + "BC A "cS
= ~ B D A B D + B£A"CD
MA = le A CD. - - - cl A CD ( (8)
La relation (8) nous montre donc que le moment du couple formé des vecteurs
BC, CD, DB a pour module le double de la surface du triangle BCD et qu'il
est perpendiculaire au plan de ce triangle.
b) ML * BC A CD + BA A AÈ + BÂ A AD
= BC A CD •»• BA A (ÂC -H ÂB)
Mg = MA + BA A (AÏB -H AC' + AD)
car B! A "^ = 0
MB = MA +'BA A R
Nous vérifions bien ici la formule de changement d'origine pour les moments
similairement on obtient
1.13.3 Calculer les moments de [l] par rapport aux six arêtes
Rappel : le moment d'un torseur par rapport à un axe est égal à la projec-
tion sur cet axe du moment par rapport à un point de l'axe. Soit
M
/(D) ' %CD' °
A Vf = 6 V
donc M An
AC
|Âc|
6V 6V
De même M „= M„=
AB
jÂBl I ^ AD]
b) De plus M = îî .-ig-
BC B |BCI
= IM + BA A (ÂC + S) . .-5£-
" A !BC!
. (JC A^CD) JC + |BA A (ÂG + AD) ! . -g-
! ;
BCJ BC!
et donc i
M (BA, ÂC + AD, BC)
|gi
et similairement
%
M Mc
C CD (ÇA, AB + AD, CD)
" '!sT isi •
™
B w PB __ (DA, AB -f AC, DB)
^ " ^ ' TsT " H
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1.14.1 Le torseur [l] est formé des deux vecteurs AÉ et CD
S =
_> -+
AB + CD =
[- 3ai [3ai
4a + 4a =
r o"
8a
0 J L° J L OJ | 1
S = f 8a
°l
L OJ
MQ= ÔAAÂB + OCACD
= oc + s ^ - i - s M
ICD! ÎABJ
_^. " 0] [3a] [3a "- 3a"
HK = o + ~ 4a "- : 0 - I- ^*a
L5aJ L 0, L 0, L °.
I s - 3a
HK = 0
5a
d'où dx = (j s - 3a) ds
dy = 0
dz = Sad.s
On obtient
dL = 4 a s d s
dM = (- 15 a 2 + 3 as) ds
c) Intégration : calcul de F et MQ
,5a
/ X = / (| s - 3a) ds = 0
F= y = /•I 5a O d s = 0
5a
5ads = 25 a 2
/
0
5a
4asds = 50 a 3
/
0
MO = M =
r/ 5a - (15 a 2 + 3 as) ds «= - ^| a 3
0
-5a
N - . / (^| as - % s 2 ) ds = - 10 a 3
0
-. = H^MO
*. -*
= _^__ °0
F n "
A _F57s°5/Oa2fa3l ^ "
F2 625 au L25a2J L~ 10 a3
^* [3/2a"
01 = 2a voir figure
_ 0
MA = M + AO A R
A o
-*•
Pour étudier la variation de |M j
nous calculons [Mp]2
Sp - 8A + ~Pl A S PA = x U
Sp = MA + x U A R (1)
[Mp]2 = [Mj2 -H x2 (U A R)2 + 2 x(U A R) MA
La variation de M_ est donnée par l'étude d'un trinôme du second
degré en x
Le coefficient du terme du second degré étant > 0, Mp passe par
un minimum pour une valeur x* de x annulant la dérivée du trinôme
soit 2 x* (U A R)2 H- 2 (U A R) MA - 0
et donc
x* = - (KÇU AA P^
R;MA
MA £2)
2
(ÏJ AÏ)
b) démonstration géométrique
Une démonstration à caractère plus géométrique peut être faite
en utilisant la notion d'axe central A défini comme le lieu des points
I tels que
MI = A R
Abaissons de P la perpendiculaire
sut A (point I)
&p = g]. + PÎ A S.
Mp = A & + PÎAR
[%]2 = (X R + PI A R) 2
a) démonstration analytique
-v _>. -*
Si (M_*, U, R) = 0 ^ > les 3 vecteurs sont coplanaires
, Mp*. (U A R) = 0
Avec (1) et (2) nous avons
.g. = M - oL^iiA . û A g
P A
(UAR)2
donc
-•>•->-»-
(U A R
?L* . (U A R) = M (U A R) - ^ M A . (D A R) • (U A R)
(U A R) 2
•(Mp» , U, R) = MA (U A R) - MA (U A R) = 0
P*I, A f = - coplanaires
:
' ' -> • . ->
1.15.3 Existe-t-il un point P sur (D) tel que Mp soit colinéaire à U
"* . •* • ~ •+ ->
Mp colinéaire à U entraîne M^ = k U
Mp . » M + x U A R
k U - MA + x U A R (3)
a) Condition de possibilité
De (3) k U - MÂ = x U AR
A.
" * " " * " . ^, • ->
le vecteur (k U - M ) doit être perpendiculaire à chacun des vecteurs U et
"|(, soit analytiquement
(k U - MA) . D = 0 > k = M. e U
-*• ••+ ->
tr
MA
-*D
(k U - M ) . R - 0 > k = ^' ^
U .R
Soit (M . U) (U . R) - M .R = 0
A A
(M. * u) (u A R) = 0 (4)
XV
->• ->
Pour que M soit colinéaire à U il faut que (4) soit vérifiée pour le
torseur donné [l]
b) Recherche du point P
Si la condition (4) est remplie, lféquation (3) peut s'écrire
k ÏT = & + x (5 A $)
A.
k Û . (9 A $) = S. . (U A I) -i- x (U A R)2
A
M . (U A R)
,, ^ A *
dfOU X = —-r = X
2
(0AR)
EXERCICE 1•16
< tM
2(0)
Les axes centraux (A|) et (A2) sont définis par leur direction (celle de
la somme géométrique) et par un point quelconque.
R2 A M ^
+
- -^ ^2u2 (b)
R2
a) IJj = Û2 = U
RU A M -»• • RU A M
(b) avec (a) -—• + X.ff = — + XJ
R 2 R 2
l 2
Û A M U AM
—= + , g . £ + x fj (4)
Z
R
K RR
l 2
(6) entraîne
5 5
%
—1 »• — ,.
ou bien *2 1 = aSU "
R R R R
l 2 2 l
EXERCICE 1.17
Soient deux torseurs [Tj] et [T2]
( *, . '• (S,
M'U M'K
Leur comoment est défini par
C 12 = R, . M2 + Ït2 . M,
Les axes centraux sont définis comme précédemment dans l1exercice (1.17).
Le fait que les axes centraux se coupent à angle droit implique
a) U- est perpendiculaire à îL
b) La longueur d de la perpendiculaire commune aux deux droites (AJ)
e.t (A2) est nulle.
Soit P~ G A2 quelconque
Soit A ! parallèle à AI
passant par P^
L'équation du plan n
est
(2)
A X + B Y + C Z + D = 0
?2 G n avec P2
VYp donc
.H
AX_ + BY_ + CZ- + D =* 0 (3)
T2 P2 P2
A (X - JL,
P
) + B (Y - YFp ) + C (Z - Zp ) = 0 (4)
2 2 ^2
(4) signifie qu'on a
V . P^M = 0
+ .A
avec V B
C
On a
d = IQ?^ = L^L
v (5)
!i
Soient les points IjC (A^) et I2 C (A2), deux points quelconques. On
peut écrire
ou encore
V.QPi » ^-ÎJÎi
, , V.I^Il ,,v
donc d = * ^ (6)
|v|
mais V est perpendiculaire au plan ïï et peut s'exprimer par un produit
vectoriel, soit
V = (Ri A R L ) A (7)
2 I ij . (RÎ A SJ)
d = J-l i _. (9)
Kl • |5?| '
A
Ot* = *1 Ml 0-| * . R2 A M 2
1 2
Rt R?
d
" .+ ' , f —• [(Ri.RiXRa.Mj) - (RiMiXRz'.Ri)] -. ^L.[(.RtR2) (R2M2) - (R^) (R:7R;.)]}
|RiI|R2l RI R22
d = ! [(R22Ri2)(R2-Mi) + (Ri2R22)(Ri.M2)l
|Ril3|R2J3
1 r-*- -*• ->•-*•-!
d - — ~ [R2-Mi + Ri.M2J
I RI|[R2l
Donc si [RIJ J 0 et JR 2 j ï 0, ce qui est sous entendu dans l'énoncé, la
condition -> -> ->
C = R2-Si - ^i.M2 = 0
entraine que d = 0 et les deux axes centraux (AJ) et (A2) sont concourants.
En résumé les conditions Rj.R2 = 0
c 12 = o
entrainent des axes centraux concourants et perpendiculaires.
EXERCICE 1.18
1.18.1 Détermination analytique
Vj = V, x (x, u) = 0
V2 - V2 u OJÔ^ = dz
On a
- > - > - >
u = cos 6 x + sin 6 y
~ Le moment M, . est
>,) - V2 ^2
= dz A (V cos 6 x + V sin 6 y)
-%
1
_ *Aa2((?1)
" i
V
l *V2 cos e "d V9 sin e
V2 sin 0 A d V2 cos 8
0 0
07* . —- -±-L
Vj 2 + V22 cos2 6 + 2 V,V2 cos 6 + V2 sin2 6
-
0
0
V) =3(j)+ Â3 A?
Mais on peut poser AJ = pJK
y étant un scalaire quelconque.
D'autre part
A
V) • ^ *2
M(A) = J K A V 2 + y J K A S
5(A) - A3 X ? - Jlt A $2 +• y j£ A £
X S = j£ A (V + y I)
EXERCICE 1.19
1.19.1 Détermination des éléments de réduction de [l]
-»• -> -> .
- la somme est S = Si + 89 •
- > - » • - » •
S = Sj x H- S2 y
- le moment en 0 est
= A
"(0) 1§1 + A
2^
= AjSj x + A2S2 y
ôT = -^--!—i- °-
S
l2 + S22
0 '
QÎ. = U2 - A°) SlS2J
c 2 + Sc 2
b
l 2