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Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite.
© Techniques de l’Ingénieur C 2 000 − 1
RÉSISTANCE DES MATÉRIAUX ____________________________________________________________________________________________________________
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C 2 000 − 2 © Techniques de l’Ingénieur
___________________________________________________________________________________________________________ RÉSISTANCE DES MATÉRIAUX
contenues dans un même plan coupant toute section d’une poutre de la structure suivant un
axe central d’inertie de cette section. Les ponts courbes constituent un exemple de telles
structures.
Le quatrième article, Réseaux de poutres croisées [C 2 025], est consacré à l’étude des
structures composées de deux ensembles de poutres parallèles identiques ayant une faible
résistance à la torsion ; toute poutre du premier ensemble est orthogonale à toute poutre du
second ensemble, et les poutres sont liées en leurs points de croisement. Un pont à poutres
multiples sous chaussée solidarisées par des entretoises est un exemple de réseau de poutres
croisées.
Le cinquième article, Méthodes de calcul des structures élastiques composées de
poutres [C 2 030], expose les principales méthodes de calcul :
— application des méthodes générales étudiées dans la rubrique Calcul des structures du
traité Sciences fondamentales aux structures à plan moyen composées de poutres droites,
aux structures planes composées de poutres droites chargées normalement à leur plan
(réseaux de poutres droites dans le cas le plus général), et aux structures composées de pou-
tres quelconques planes ou gauches ;
— méthode des matrices transfert ;
— méthode de calcul des structures hyperstatiques d’ordre infini, consistant à résoudre, par
approximations successives, une équation intégrale de Fredholm ; un exemple de structure
hyperstatique d’ordre infini est fourni par une poutre droite de section quelconque reposant
sur des appuis élastiques infiniment rapprochés.
Le sixième article, Structures non linéairement élastiques [C 2 035], concerne les struc-
tures pour lesquelles il n’est pas possible, sans commettre des erreurs inadmissibles, de
négliger les déplacements pour écrire les équations d’équilibre. Deux exemples de telles
structures sont donnés par les ponts suspendus classiques à câbles paraboliques, et par les
ponts suspendus à haubans ; en effet, lorsque les haubans sont longs, leur allongement est
la somme de l’allongement élastique et de l’allongement géométrique résultant de la modifi-
cation de la figure d’équilibre des haubans.
Le septième article, Stabilité de l’équilibre élastique [C 2 040], est consacré à l’étude des
phénomènes d’instabilité : flambement des poutres droites comprimées ; flambement des
arcs soumis à des sollicitations extérieures diverses, déversement latéral des poutres droites
sous l’action des charges verticales. Rappelons que le voilement des plaques minces a été
étudié dans l’article Plaques minces élastiques [A 310] du traité Sciences fondamentales.
Le huitième article, Vibrations des poutres [C 2 045], est relatif aux vibrations
longitudinales, aux vibrations de torsion et aux vibrations transversales des poutres droites
(vibrations naturelles et vibrations forcées).
Le neuvième article, Plasticité appliquée au calcul des structures [C 2 050], montre
comment on peut appliquer les théorèmes généraux exposés dans l’article Théorie de la plas-
ticité [A 350] du traité Sciences fondamentales aux structures composées de poutres. Cet arti-
cle traite :
— du critère de plasticité exprimant qu’une section d’une poutre est en équilibre limite ;
— du comportement élastoplastique d’une structure réticulée et d’une structure à plan
moyen ;
— du calcul des charges limites que peut supporter une structure par la méthode statique
et par la méthode cinématique ;
— de l’application du théorème général de l’adaptation.
Enfin le dixième article, Fluage et relaxation du béton [C 2 055], s’applique principale-
ment aux structures en béton précontraint. L’état d’équilibre élastique initial de telles structu-
res, immédiatement après leur construction, peut évoluer dans le temps par suite du fluage
du béton et tendre vers un état d’équilibre final qui peut être assez différent de l’état d’équi-
libre initial. Il est indispensable de tenir compte de cette évolution de l’état d’équilibre pour
éviter des désordres graves dans les structures en béton précontraint. La théorie du fluage
permet également de prévoir les déformations différées des ouvrages.
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