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Cornouaille
6, Rue de Morlaix – BP 14
29520 CHATEAUNEUF DU FAOU
Le présent CCTP a pour objet de définir les travaux à exécuter ainsi que toutes les fournitures et
ouvrages nécessaires à la réalisation des travaux à effectuer dans le cadre de la réalisation d'une
zone d'activités par la Communauté de Communes de Haute Cornouaille située sur la commune de
CORAY
Le marché est passé en vertu des dispositions indiquées dans le Cahier des Clauses Administratives
Particulières.
- Plan de situation
- Plan de masse
- Profil en long et profil en travers type
- CCAP
- Acte d'engagement
- Dossier loi sur l'eau
L’entreprise réalisera tous les travaux, fournitures et installations nécessaires à l’établissement des
ouvrages projetés et tels que définis par les pièces du marchés.
OBSERVATIONS :
Tous les travaux ci-dessus seront exécutés conformément aux plans établis par le maître d’oeuvre.
L’entrepreneur devra soumettre ses plans d’exécution au maître d’oeuvre pour accord. Cependant,
des modifications au tracé d’origine pourront être apportées par le maître d’oeuvre, en cours de
travaux, en fonction des possibilités d’utilisation de la voirie et des modifications éventuelles
d’implantation.
Les plans de recollement des ouvrages exécutés devront être établis avec une grande précision et
permettre de situer les réseaux en altimétrie et planimétrie.
Les travaux à réaliser, les ouvrages à construire ainsi que toute les fournitures nécessaires sont
définis par le présent CCTP, le bordereau des prix, le détail estimatif et les plans annexés au dossier.
Les quantités sont mentionnées dans le détail estimatif (qui n’est donné qu’a titre indicatif et devra
être impérativement vérifié par l’entrepreneur).
L’entrepreneur est réputé connaître, pour s’en être personnellement rendu compte, la nature des
lieux, la situation et la nature des travaux, ainsi que les risques et sujétions qu’ils peuvent comporter
de quelque sorte que ce soit.
Il est possible que des ouvrages et des réseaux soient déjà construits dans l’emprise du projet. Afin
d’éviter toutes détériorations des ces réseaux, détériorations dont il aurait l’entière responsabilité,
l’entrepreneur devra, avant d’ouvrir son chantier, s’assurer auprès du maître d’oeuvre et des services
gestionnaires s’il existe des ouvrages et des canalisations, et dans l’affirmative en obtenir les plans et
les repères nécessaire à leur parfaite connaissance.
Il devra également veiller à ce que les distances réglementaires minimales entre les réseaux soient
respectées.
Les travaux devront créer le minimum de gêne à la circulation sur les voies ouvertes aux alentours
des travaux ; aucun dépôt ne devra y être fait et les engins ne pourront y être laissés en
stationnement. Les terres et matériaux qui pourrait être entraînés sur ces voies par les engins seront
aussitôt enlevés et les chaussées nettoyées complètement pour éviter tout accident.
Il est précisé que l’entrepreneur devra prendre totalement à sa charge toutes les dégradations
causées aux voies publiques dont la réparation pourrait lui être réclamée, soit par les communes pour
les voies communales, soit par le département pour les départementales, soit par l’état pour les routes
nationales. Les frais qui en résulteraient feront parties des faux frais de l’entreprise.
CCTP Lot n° 1 – d 07642 5
ZA de Lanviliou – CORAY
L'entrepreneur de ce lot devra la fourniture et mise en place pendant toute la durée des travaux, d'un
bureau de chantier équipé de table et chaises et la fourniture et mise en place de WC y compris
demandes d'abonnements qui s'y attachent conformément à la législation en vigueur.
Le titulaire du marché devra assister aux réunions de coordination fixées à l’initiative du maître
d’ouvrage et au cours desquelles seront établis les programmes d’ensemble d’exécution des travaux.
Il sera également tenu d’assister aux différentes réunions, se rapportant à la sécurité et la protection
de la santé des intervenants, organisés à l’initiative du coordonnateur SPS.
TEL : 0298963285
FAX : 0298964306
Dans le cas de normes françaises non issues de normes européennes, la conformité des
produits à ces normes françaises peut être remplacée par la conformité à d’autres normes en
vigueur dans d’autres Etats membres de l’Espace économique européen si elles sont
reconnues comme équivalentes.
Dans le cas de référence à des marques de qualité françaises (marque NF ou autre), le titulaire
du marché pourra proposer au maître d’ouvrage des produits qui bénéficient de modes de
preuves en vigueur dans d’autres Etats membres de l’Espace économique européen, qu’il
estime équivalents et qui sont attestés par des organismes accrédités par des organismes
signataires des accords dits « E.A » ou à défaut, fournissant la preuve de leur conformité à l’EN
45011. Le titulaire du marché devra alors apporter au maître d’ouvrage les éléments de preuve
qui sont nécessaires à l’appréciation de l’équivalence.
En complément à l’article 23 du CCAG, toute demande formulée par le titulaire et tendant à faire
jouer la clause d’équivalence doit être présentée au maître d’ouvrage avec tous les documents
justificatifs, au moins un mois avant tout acte qui pourrait constituer un début
d’approvisionnement.
Les qualités, les caractéristiques, les types, dimensions, poids, procédés de fabrication,
modalités d’essais, de marquage, de contrôle et de réception des matériaux seront conformes
aux normes françaises ou européennes.
Tous les matériaux seront fournis par l’entrepreneur et leur provenance sera soumise à
l’agrément du maître d’oeuvre dans un délai de Trente jours à compter de la notification du
marché. Les canalisations, câbles et fourreaux proviendront d’une usine agréée conformément
aux dispositions des fascicules du CCTG en vigueur pour ces travaux.
Tous les matériaux avant la mise en oeuvre seront présentés à la réception au maître d’oeuvre.
Les matériaux refusés seront transportés en dehors du chantier dans les 48 heures et ne seront
pas pris en compte dans les dépenses.
Terrassements :
CCTG
• Fascicule n°2 : Terrassements généraux
CCTP Lot n° 1 – d 07642 8
ZA de Lanviliou – CORAY
Autres documents
Annexes du fascicule 2 du CCTG. La recommandation pour les terrassements routiers.
Textes officiels
• Loi n°64-1245 du 16 décembre 1964 dont plus parti culièrement article 40 concernant la
protection des eaux souterraines.
3) les remblais par couches compactées de 0,20 m d’épaisseur maximum, exécutés soit avec
les déblais
provenant du chantier et agréés par le Maître d’œuvre, de type
B, C ou D (norme NFP 11 300) soit par apport de matériaux étrangers. Ceux-ci devront être de
qualité graveleuse, avoir un indice portant de 25 (Essai Proctor
Modifié, saturation à 4 jours), et si possible un indice de la plasticité inférieur à 10. Si cet indice
est supérieur à 10, les matériaux correspondants devront appartenir à la classification des sols
grenus (pourcentage passant au tamis de 80 microns inférieur à 35 %)
Les remblais devront satisfaire aux tableaux de conditions d’utilisation des sols grenus.
• Teneur en eau s’écartant de moins de 2 % (évaluée en poids matériaux secs de la teneur
en eau Optimum Proctor)
• Densité sèche finale : 92 % pour les couches inférieures
• Densité optimum Proctor Modifié : 95 % pour les 30 cm supérieurs
Des essais de contrôle pourront être prescrits par le Maître d’œuvre aux frais de l’Entrepreneur,
celui-ci ayant été préalablement convoqué à ces essais, qu’il y assiste ou non. Le nombre
d’essais sera de un par nature de matériau et par 1 000 m² de surface de remblai ou de fond de
forme et de un par 100 ml de tranchée remblayée au pénétrodensitographe PDG 1 000.
Le modèle de déformation sur remblais avant GNT devra être de EV2 > 50 MPa avec
EV2/EV1 < à 2 sauf stipulation contraire du détail estimatif.
4) L’évacuation des déblais non agréés ou excédentaires à une décharge choisie par
l’Entrepreneur, à sa diligence, sous sa responsabilité et à ses frais.
Les lieux de dépôts définitifs sont laissés, à l’initiative de l’entrepreneur, en tenant compte des
prescriptions suivantes :
- volume disponible,
CCTP Lot n° 1 – d 07642 9
ZA de Lanviliou – CORAY
5) Les travaux de mise hors d’eau du chantier et de consolidation des parois des fouilles.
6) les travaux de recherche et les ouvrages de protection des canalisations de toutes natures
susceptibles d’être rencontrées au cours des travaux.
Ces ouvrages devront dans tous les cas être indépendants des autres ouvrages de
consolidation des fouilles. Les travaux de protection, de déplacement ou de remise en état des
canalisations devront respecter les prescriptions techniques particulières à chaque service
intéressé, et notamment celles résumées ci-après :
- arrêté préfectoral concernant la déclaration d’intention de travaux ;
- arrêté préfectoral concernant les canalisations de transport de gaz ;
- arrêté interministériel pour les câbles électriques, les distances minima d’éloignement des
conduites étant majorées de 100 % ;
- règles et instructions en vigueur pour les câbles sont fixées à 0,40 m en projection horizontale
ou verticale avec interposition d’un grillage avertisseur à hauteur maximum de 0,40 m au-
dessus du câble si celui-ci se situe sous la conduite à poser.
L’entrepreneur devra notamment s’enquérir de l’existence de lignes de télécommunications
auprès du Centre d’Entretien du Service des Lignes à Grande et
Moyenne Distance, huit jours au moins avant l’ouverture du chantier et de même auprès de la
Direction Régionale des Télécommunications.
Afin de préciser la position des câbles situés à proximité des ouvrages à réaliser, l’entrepreneur
devra avoir à sa disposition, et mettre en œuvre sous sa responsabilité et à ses frais, un
détecteur de câbles.
En cas d’incident sur une canalisation existante, l’Entrepreneur devra alerter immédiatement et
directement, de jour ou de nuit, jour ouvrable ou non, le service intéressé chargé de l’entretien
de ladite canalisation.
L’usage du feu ou d’une forte chaleur est interdit à proximité des câbles électriques ou
téléphoniques.
7) les ouvrages d’accès provisoires aux propriétés riveraines et le rétablissement des accès
définitifs en fin de chantier ;
9) les ouvrages de signalisation et de protection du chantier mis en place de jour comme de nuit
conformément aux règles de sécurité en vigueur. Les mesures de sécurité prescrites en cours
de travaux à l’Entrepreneur ne pourront avoir, pour effet, de dégager sa responsabilité ;
10) l’aménagement et la remise en état en fin de chantier des accès et lieux de dépôts
provisoires nécessaires à l’exécution des travaux.
11) les découpes éventuelles au droit des chaussées, suit par sciage ou par outils
pneumatiques suivant avis du maître d’œuvre.
12) les tolérances en niveau sur chaque point relevé du fond de forme seront au maximum de
50 mm par rapport aux cotes du projet. En cas de non-respect un reprofilage en grave bitume
sera imposé aux frais de l’entrepreneur.
Toutefois, si les défauts sont jugés faibles par le maître d’œuvre, une réfaction de prix sera
consentie conformément aux articles 37-2 et 37-3 du fascicule 25 du PC.
CCTP Lot n° 1 – d 07642 10
ZA de Lanviliou – CORAY
La couche de forme sera réalisée en matériaux d’apport graveleux conforme aux prescriptions
du SETRA (réalisation des remblais et couche de forme)
L’épaisseur minimale de la couche de forme sera de 0.40 m et devra répondre à la classe PF2
(module MPA > 50)
Voiries :
Les ouvrages devront répondre aux conditions et prescriptions des documents techniques qui
leur sont applicables notamment :
Fascicule 23 : Fourniture de granulat pour la construction de chaussées
Fascicule 25 : Exécution des corps de chaussée.
1) Définition
Les matériaux utilisés pour la composition des GNT seront conformes à la norme P 18.101.
Les caractéristiques des matériaux, les types et classes des GNT sont définis ci-dessous :
Ces fuseaux pourront être éventuellement adaptés par l’entrepreneur après avis du Laboratoire
du maître d’ouvrage.
Ces matériaux auront une granulométrie telle que leur courbe soit aussi régulière et aussi
proche que possible des courbes moyennes des fuseaux de tolérance, caractérisés par des
valeurs des pourcentages passant dans les tamis dont les ouvertures sont indiquées au
fascicule 25 du CCTG. Y sont également indiqués, les tolérances extrêmes admises pour
chaque granularité par rapport à la courbe moyenne exprimée pour chaque tamis total.
Pour le granulat continu de concassage secondaire 0/31.5, l’équivalent en sable sera supérieur
à 30, et le pourcentage de fines traversant le tamis à mailles de 0.08 sera inférieur à 12%,
l’indice de plasticité étant inférieur à 6 et la limite de liquidité inférieure à 25. Pour les graves
alluvionnaires, l’équivalent de sable sera supérieur à 30.
Pour les granulats continus, il ne sera admis aucun matériau friable ou altérable.
Le cœfficient Deval humide des pierres cassées et granulats continus devra être supérieurs à 7.
Le coefficient Los Angelès des gravillons et granulats continus devra être inférieur à 25.
Les géotextiles seront non tissés aiguilletés de filaments continus, ils seront de type «Tipptex »
de chez MECAROUTE d'une résistance à la traction de 20 kN ou d’un type similaire agrée et
conformes aux normes NFG 38.012 à NFG 38.019.
Les ouvrages devront répondre aux conditions et prescriptions des documents techniques qui
leur sont applicables et notamment :
Fascicule 26 : Exécution des enduits superficiels
1. Granulats
2. Liants hydrocarbonés
Les liants hydrocarbonés convenant pour la réalisation d’enduits superficiels seront les suivants
:
- bitume fluxé
- émulsion cationique de bitume avec teneur en bitume de (65 ou 69 %) – Norme NFP 65.011
Grave bitume :
Les ouvrages devront répondre aux conditions et prescriptions des documents techniques qui
leur sont applicables.
Fascicule 24 : Fourniture de liants hydrocarbonés pour la construction des chaussées.
1°) Définition :
Elle sera conforme à la norme NFP 98.138
Elle sera de classe 2 :
La granularité sera 10/14
Les granulats choisis seront de catégorie C III a
Les contrôles de conformité seront réalisés conformément à la norme NFP 98.150, sous la
responsabilité du maître d’œuvre aux frais du maître d’ouvrage.
Transport :
Le bâchage des camions est obligatoire et effectué au moyen de bâches imperméables
couvrant la totalité du chargement.
Bétons bitumineux :
CCTP Lot n° 1 – d 07642 12
ZA de Lanviliou – CORAY
1°) Définition
Ils seront conformes à la norme NFP 98.130
Ils seront de type BBSG 0/10
Le bitume sera de la classe 50/70
Les granulats choisis seront de catégorie C III a.
Les contrôles de conformité sont réalisés conformément à la norme NFP 98.150, sous la
responsabilité du maître d’œuvre aux frais du maître d’ouvrage.
Les essais portent sur le respect de la granularité et de la teneur en liant.
Transport :
Répandage :
La température normale de répandage des B.B.S.G devra être conforme aux valeurs suivantes :
La couche d’accrochage comportera au moins 400 g de bitume résiduel par mètre carré.
Organisation de l’atelier
Modalités de guidage :
Compactage :
90 % des valeurs de pourcentage de vides mesurées sur chantier devront être conforme aux
valeurs suivantes :
Bordures et Caniveaux :
Les ouvrages devront répondre aux conditions et prescriptions des documents techniques qui
leur sont applicables et notamment :
Fascicule 29 : construction et entretien des voies, places et espaces publics pavés et dallés en
béton ou en roche naturelle.
Fascicule 31 : bordures et caniveaux en pierre naturelle ou en béton et dispositifs de retenue en
béton
Fascicule 32 : construction de trottoirs
Ils devront être conformes à la norme NFP 98 302 et seront constitués par des éléments en
béton de classe U
Les joints s’ils sont préconisés seront réalisés au mortier de ciment (CPJ – CEM IIA 32,5) selon
la norme NFP 15.301 de 1994.
Le ciment pour béton sera de qualité CEMI 42.5 N.
Les granulats utilisés pour la confection des bétons devront être conformes à la norme NFP
18.304.
Tous les éléments seront posés sur une forme en béton Q 250, qui devra offrir une résistance
minimum à la compression à 7 jours 50 Kg/cm². La forme aura une épaisseur de 0,15 m. Elle
sera relevée verticalement sur les ¾ de la hauteur arrière des bordures et bordurettes et sur une
épaisseur de 0,10 m.
Lorsqu’un fourreau sera posé dans le solin de bordure de trottoir, il devra être enrobé d’une
épaisseur de béton au moins égale à 7 cm.
Les pavés doivent être conformes à la norme NFP 98.303 et posséder le marquage prévu par
cette norme : logo N.F. Ils seront posés conformément aux directives du fabricant et suivant
norme NF P98-335
Les pavés, dalles, en béton en roche naturelle seront posés conformément au CCTG fascicule
n°29.
Les matériaux de lit de pose et de joint comprennent au minimum une identification des bons de
livraison conformément à l'article III.2.2 du CCTG fascicule 29.
− Le lit de pose est conforme à la norme NF P 98-335 et réalisé avec du mortier de granularité
0/4 ou 0/6,3.La teneur en ciment est comprise entre 75 et 100 kg/m3 de sable sec ;
Pour des applications spécifiques (ex. : forte pente, ouvrages isolés de surface réduite, les
pavés en béton peuvent exceptionnellement être posés sur mortiers ou sur bétons.
− Mortier et béton spéciaux. Ils peuvent être recommandés pour des sollicitations particulières ;
Pour les chantiers importants, le CCTP peut imposer une fabrication en centrale de malaxage.
Pour les bordures, le béton de fondation est conforme au fascicule 31 .Le béton de fondation et
de calage des bordures doit présenter une résistance en compression au moins égale à 16 MPa
Les fondations ou le collage des EPU sont réalisés dans les conditions (**) suivantes :
Les joints entre pavés et dalles sont conformes à la norme NF P 98-335 (*) et réalisés avec du
mortier spécial que lorsque le lit de pose est lui-même réalisé en mortier spécial.
Les mortiers et béton seront dosés conformément aux dispositions du fascicule 71.
Les granulats utilisés pour la confection des mortiers et béton devront être conformes à la
norme NFP 18.304.
Les ciments utilisés pour la construction des ouvrages annexes seront les suivants :
- . CEMI 42.5, norme NFP 18.304
- . CEMIII 32.5, norme NFP 18.306
Les aciers pour béton devront répondre aux caractéristiques et prescriptions définies dans le
er
fascicule 4 titre 1 du CCTG.
a) Regards de visite :
Les regards de visite seront, de préférence, préfabriqués mais dans ce cas devront avoir,
obligatoirement, le certificat de qualification, ils comprendront :
Les cadres et tampons seront en fonte ductile, classe D400 norme EN 124 marqué NF,
diamètre extérieur 850mm, ouverture libre de 600mm, Hauteur du cadre, 75mm, pour les
tampons bétonnés et 100mm pour les autres avec joints élastomères.
Ces cadres et tampons devront porter le sigle de la société, la norme EN 124, la classe D400
ainsi que le sigle NF.
Les regards de visite peuvent également être de type monobloc en polyéthylène avec échelons,
mais devront être conforme au Fascicule 70 du CCTG.
b) Avaloirs :
Les avaloirs seront préfabriqués ou coulés sur place sous caniveaux. Ils auront une décantation
minimale de 0.50 ml.
Les grilles et cadre seront en fonte ductile, classe D250 norme EN 124, Marqué NF de
dimensions suivantes :
- 607x500 le long des bordures :
Type grille "AVT" de chez PONT A MOUSSON
Type grille "AVT" de chez NORINCO
ou de types similaires agréés.
c) Canalisations :
Les ouvrages devront répondre aux conditions et prescriptions des documents techniques qui
leur sont applicables et notamment :
Tous les tuyaux en béton seront préfabriqués en usine et conforme à la Norme NFP16-341
Ils seront à coller à joints souples incorporés.
Ils seront en béton armé et d’une résistance à la rupture de 13 500 daN/m² (série 135 A)
Toutes les canalisations en PVC seront de série « CR8 » Leur longueur sera de 3,00 mètres et
conforme aux normes NFP 16.352
Les canalisations fontes seront de type fonte ductile intégral à joint automatique et conforme à
la norme NFA 48.720 – 48.730 – 48.820
Tous les regards et ouvrages annexes devront être d’un type agrée par le service
assainissement de la commune et conforme aux normes NFP 16.342, NFP 16.305, NFP
16.343.
Les tampons seront de type chaussée classe 400 au trottoir classe 250 soumis au service
assainissement de la commune. Ils seront scellés avec un produit spécial type PROCOMAX ou
similaire.
Leur niveau fini devra correspondre à celui de l’enrobé (tolérance maximum 1 cm).
Ils seront conformes aux Normes NFP 98.311/312/313 et EN 124.
Les tuyaux et raccords seront conformes aux prescriptions du fascicule 70. Ils porteront la
marque de leur provenance et de leur série.
Le bassin de régulation d’une capacité utile de 100 m³ et la réserve incendie d'une capacité de
900 m³ devront être étanche en raison de nappe phréatique présente en période d'hiver. Le
bassin sera constitué d'éléments cubiques, équipé de deux cheminées de visite avec tampons
fontes.
La confection du bassin comprend le terrassement, l'évacuation des déblais à la décharge de
l'entreprise, le réglage du fond de bassin à l'aide de sable ou gravillon sur une épaisseur de 10
cm, la fourniture et la mise en œuvre d'un géotextile ayant la fonction de protection de la
géomembrane, résistance à la traction NF EN ISO 10319 (≥ 10KN/m), d'une déformation à
l'effort de traction maximal NF EN ISO 10319 (≥ 90%), d'un poinçonnement statique EN ISO
12236 (≥ 18 KN). La fourniture et la mise en œuvre de géomembrane, d'une résistance à la
déchirure DIN 53363(≥ 350 KN), d'une résistance à la traction NF EN ISO 527 (≥ 20 N/m), d'un
allongement à la traction seuil d'écoulement EN ISO 527 (≥ 8%), d'un allongement à la traction
rupture EN ISO 527 (≥ 700%), d'une résistance au poinçonnement DIN 16726 (> 800%), d'une
épaisseur de 1,5 mm.
Les ouvrages (y compris leur fondation artificielle éventuelle) seront réalisés à sec.
Les signalisations verticales devront répondre aux normes de qualité et de sécurité les plus
strictes (certification par l’ASQUER, et homologation par le SETRA).
Le marquage au sol devra répondre aux normes de qualité et de sécurité les plus strictes (arrêté
du 16 février 1988).
La signalisation du (ou des) stationnement(s) sera conforme au décret n°2003-642 du 11
juillet 2003 – Art. R 471-11 du code de la route
Observations :
L'entrepreneur pourra proposer des dimensions différentes voisines de celles indiquées ci-
dessus. Il devra dimensionner les poteaux et les fondations en fonction des contraintes locales
(Vents, sols,...)
Les terrassements :
- Réalisation d’essais de plaque sur l’ensemble des fonds de forme des voiries après
exécution de l’ensemble des réseaux et avant empierrement. Ces essais devront
permettre d’obtenir en tous points des valeurs de module de déformation EV2
supérieure à 50 MPa. Le nombre d’essais est fixé au minimum à 1 U/100m².
Assainissement :
- Réseau eaux pluviales :
- Essais d’étanchéité conformément au "Protocole des épreuves et essais des
réseaux de canalisation à écoulement libre".
Essai de compactage :
- . La qualité de compactage devra être égale à q2 pour les 60 cm supérieurs et à q3
au-delà la conduite.
NOTA : Les essais d’étanchéité, les inspections télévisées ainsi que les essais de
compactage sur les tranchées d’assainissement devront obligatoirement être réalisés par une
entreprise agréée autre que l’entreprise attributaire du présent lot. Elle devra fournir un
rapport complet et précis.
Dans le cas où les essais d’étanchéité et/ou le passage caméra ferait apparaître des défauts
ou malfaçons, le maître d’oeuvre exigera un ou plusieurs essais ou passage caméra après
exécution des travaux de reprise et ce à la charge de l’entreprise.
- du CCTG, du présent CCTP et aux ordres de service qui lui seront remis en cours de
travaux.
- Le piquetage de la voie et plateforme sera réalisé par le Géomètre Expert, avant le début
des travaux et en dehors de la zone d’intervention. Les points caractéristiques seront
repérés sur le terrain. L’entrepreneur aura à sa charge la conservation de ces repères, qui
en cas de destruction, seront rétablis par le géomètre désigné, aux frais de l’entrepreneur.
Cabinet LE BIHAN-PERON
54, impasse de Trélivalaire
29300 QUIMPERLE
TEL : 0298963285
FAX : 0298964306
- L’entrepreneur devra vérifier les plans d’implantation des ouvrages et le piquetage, à cet
effet le délai fixé par l’article 5 du fascicule 2 du CCTG est fixé à 7 jours.
- Les indications planimétriques et altimétriques des ouvrages sont figurées sur les plans et
les profils joints au dossier du marché.
L’entrepreneur est réputé connaître, pour s’en être personnellement rendu compte, la nature
des lieux où doivent s’effectuer les travaux ainsi que les risques et sujétions qu’ils peuvent
comporter.
L’entrepreneur sollicitera les autorisations d’occupation des voies publiques ou de leur abords et
établira les dossiers administratifs nécessaires.
L’entrepreneur sollicitera auprès des services de l’EDF toutes les autorisations nécessaires pour
la réalisation de ses travaux (coupures, raccordements, etc.…).
L’entrepreneur devra équiper son chantier des moyens nécessaires pour contrôler la qualité des
ouvrages qu’il exécute. Sous sa responsabilité, il aura la faculté de faire appel à l’intervention du
laboratoire des Ponts et Chaussées, à qui il pourra demander d’effectuer les vérifications qui lui
incombent.
Les granulats seront livrés par camions sur le chantier de mise en oeuvre, ou éventuellement,
sur aires de stockage. La livraison à pied d’oeuvre sera effectuée chaque fois que l’état
d’avancement des travaux le permettra.
- Nettoyage
- Terrassement généraux
- Confection du Bassin de rétention
- Réseau eau potable- Assainissement y compris branchement
- Téléphone, Basse tension y compris branchement
- Pose de solin en stepoc en délimitation de lot
- Allée piétonne définitive
- Voirie provisoire
ème
2 phase :
- Bordures
- Voirie définitive
- Aménagement des espaces verts.
- Mobiliers urbains et divers
Il devra, à ses frais, remettre en état et notamment enlever les boues et terres détremper
et les remplacer par des remblais sains et secs. Il en sera de même des dommages qui
pourraient survenir aux propriétaires riveraines par l’inobservation de ces prescriptions.
a) L’entrepreneur assume seul, qu’elle que soit la cause, la responsabilité de jour comme
de nuit, de tous les accidents et dommages apparents ou non, résultant de son fait, de
son matériel, de ses employés et ouvriers et de leurs agissements.
b) L’entrepreneur est tenu de signaler son chantier selon la réglementation en vigueur. La
maintenance de cette signalisation sera exécutée pendant toute la durée de chantier sous
son entière responsabilité.
c) La signalisation du chantier, dans les zones intéressant la circulation sur la voie
publique, sera réalisée par l’entrepreneur et devra être conforme aux règlements en
vigueur.
d) Le contrôle du maintien de la signalisation et des protections nécessaires pendant
toute la durée du chantier, de jour comme de nuit, relève de la compétence de
l’entrepreneur.
L'entrepreneur du présent lot devra prendre le terrain dans l'état ou il se trouve. Cette
disposition implique qu'il se sera rendu sur place, d'une part pour constater l'état actuel du
terrain, d'autre part il aura pris tous les renseignements utiles auprès des services
compétents de la ville (Service des eaux, EDF, GDF, ...)
Tant pour ce qui concerne les décharges, que les réseaux divers traversant le terrain, que
les protections à prendre pour le mouvement des engins sur les voiries publiques, etc.
En fonction de ces éléments, l'entreprise établira son prix qui sera forfaitaire et qui devra
donc tenir compte de toutes les sujétions relatives à ce chantier pour une parfaite finition
des travaux en fonction des plans d'exécution et du devis descriptif.
Il est précisé que les côtes indiquées sur le plan sont des cotes de voie finie.
Tous les matériaux provenant de ces travaux seront évacués hors des limites d’emprise
de l’opération.
L’entrepreneur devra procéder au décapage de la terre végétale sur l’ensemble des voies,
trottoirs, aires de stationnements, allées piétonnes et emprise du bassin de rétention.
Les terres végétales seront purgées de toutes racines, souches et autres débris n’ayant
pas été extraits lors du travail préparatoire.
L’épaisseur moyenne est fixée à 0.40 cm. L’épaisseur du décapage sera fonction de la
nature du sol rencontré.
Les terres végétales seront stockées sur les zones réservées aux espaces verts ou
indiquées par le maître d’oeuvre et régalées, en dehors de l’emprise des voies, sur les
zones remblayées et sur les espaces verts et suivant les indications du maître d’oeuvre.
Les excédants seront évacués à la décharge de l’entrepreneur, ce prix sera forfaitaire et
devra tenir compte de toutes sujétions.
Le stockage des terres végétales devra être effectué avec le plus grand soin :
- Les terres de qualités physico-chimiques différentes sont séparées les unes des
autres
- Les dépôts sont établis sur des surfaces nettoyées et leur hauteur ne doit pas
excéder deux mètres
- Les terres ne sont pas compactées
Par ailleurs, l’entrepreneur devra assurer la parfaite conservation des stocks de terre
végétale à la fois d’un point de vue quantitatif que qualitatif.
Il devra également s’organiser pour maintenir les volumes de terres végétales prévus au
marché. Dans le cas contraire, l’entrepreneur s’engage à approvisionner, à ses frais, les
volumes de terres végétales qui viendraient à manquer sur le chantier.
La terre végétale doit être homogène, sans pierre, ni gros débris végétaux et ne doit pas
contenir plus de 5% d’éléments pierreux ou de corps étrangers retenus à l’anneau 0.02m.
3.9.4 Déblais :
Les terrassements comprennent les déblais. Ils consistent à la mise à niveau à la cote
des fonds de forme de la voirie, parkings et trottoirs. Le niveau des terrassements sera
amené aux cotes du sol projet, déduction faite des épaisseurs de voirie.
CCTP Lot n° 1 – d 07642 23
ZA de Lanviliou – CORAY
Les nappes d’eau, les sources ou les eaux de ruissellement rencontrées au cours de
travaux devront être captées et évacuées par des moyens appropriés afin d’éviter une
instabilité du corps de la chaussée.
Les déblais comprennent également l’extraction, le chargement aux décharges (et quels
qu’en soient la distance et le coût) des argiles rencontrées au cours des fouilles qui
devront être intégralement purgées.
Article R 442.2
Dans les communes ou parties de communes visées à l’article R 442.1 est subordonnée
à l’obtention d’une autorisation préalable délivrée au nom de l’Etat la réalisation
d’installation ou de travaux dans le cas ci-après, lorsque l’occupation ou l’utilisation de
terrain doit se poursuivre durant plus de trois mois :
Les affouillements et exhaussement du sol, à la condition que leur superficie soit
supérieure à 100 mètres carrés et que leur hauteur, s’il s’agit d’un exhaussement ou leur
profondeur dans les cas d’un affouillement, excède deux mètres.
3.9.5 Remblais :
Seront utilisés en remblais, les déblais de qualité suffisante et reconnue comme telle par
le maître d’oeuvre.
Le remblaiement des purges sera réalisé exclusivement avec des matériaux 0/120,
suivant les indications du maître d’oeuvre.
Des essais de contrôle pourront être prescrits par le Maître d’oeuvre aux frais de
l’Entrepreneur, celui-ci ayant été préalablement convoqué à ces essais, qu’il y assiste ou
non. Le nombre d’essais sera de un par nature de matériau et par 1 000 m² de surface de
remblai ou de fond de forme et de un par 100 ml de tranchée remblayée au
pénétrodensitographe PDG 1 000.
Le modèle de déformation sur remblais avant GNT devra être de EV2 > 50 MPa avec
EV2/EV1 < à 2 sauf stipulation contraire du détail estimatif.
3.9.6 Purges :
L’entrepreneur devra la purge de tous les fonds de formes à aménager après déblais ou
avant remblais dans le cas ou elle mettrait à jour des zones de terrain de mauvaise
qualité.
Ces purges seront terrassées jusqu’au bon sol et évacuées.
3.9.7 Talus :
Elle sera réalisée après l’exécution des réseaux dont la pose est prévue sous chaussée.
Avant la mise en oeuvre des matériaux, les fonds d’encaissement seront profilés et
compactés suivant les dispositions des articles du présent chapitre.
Les matériaux 0/80, sur 30 cm d’épaisseur, seront mis en place à l’avancement. Ils seront
compactés au cylindre lourd.
Les matériaux seront régalés en couches d’épaisseur appropriée aux engins de
compactage utilisés qui devront être soumis à l’agrément du maître d’oeuvre.
Après le régalage, le matériau sera humidifié ou aéré pour obtenir une teneur en eau
aussi voisine que possible de celle de l’optimum PROCTOR modifié.
La mise en oeuvre des matériaux de la couche de base en GNT "A" 0/31.5 sur 15 cm,
même procéder que pour la mise en oeuvre de la couche de fondation.
Les terrassements pour fondations des bordures et caniveaux seront exécutés à parois
verticales, le fond de fouilles étant parallèle au profil en long de la chaussée, avec une
tolérance de + ou – 2 cm.
Les déblais excédentaires seront régalés sur place ou évacués en décharge.
Les stepocs seront posés suivant les pentes longitudinales de la chaussée. Elles auront
une vue de :
La pose s’effectuera sur un béton frais dosé à 250 kg/m³ de CEMI 42.5 N et sera d’une
épaisseur minimale de 10 cm et d’une largeur égale à la bordure, caniveau ou pavé
augmentée de 10 cm de part et d’autre.
Les courbes de petit rayon seront faites avec des morceaux de 33 cm découpé à la scie.
CCTP Lot n° 1 – d 07642 26
ZA de Lanviliou – CORAY
f) Revêtement provisoire :
Revêtement en tri couche constitué d'une émulsion cationique de bitume avec teneur en
bitume de (65 ou 69%) et de granulats BII :
ère
1,8 kg/m² d'émulsion + 9 l/m² de gravillons 10/14 pour la 1 couche, de 1.5
ème
kg/m² d'émulsion + 7 l/m² de gravillons 6/10 pour la 2 couche et de 1.5 Kg/m²
d'émulsion + 6 l/m².
a) Bordures :
Les terrassements pour fondations des bordures et caniveaux seront exécutés à parois
verticales, le fond de fouilles étant parallèle au profil en long de la chaussée, avec une
tolérance de + ou – 2 cm.
Les déblais excédentaires seront régalés sur place ou évacués en décharge.
Les bordures seront posées suivant les pentes longitudinales de la chaussée. Elles auront
une vue de :
- 2 cm pour les bordures béton T2 basse
- 14 cm pour les bordures T2 hausse
La pose s’effectuera sur un béton frais dosé à 250 kg/m³ de CEMI 42.5 N et sera d’une
épaisseur minimale de 10 cm et d’une largeur égale à la bordure, caniveau ou pavé
augmentée de 10 cm de part et d’autre.
Les courbes de petit rayon seront faites avec des morceaux de 33 cm découpé à la scie.
Les angles seront également découpés à la scie en "onglet". Les apports de mortier dans
les angles rentrants ou sortants sont interdits.
c) Trottoirs :
Le rehaussement des regards de visite (EU, EP, télécommunication, ...) sera réalisé à
l'aide de micro béton à prise rapide ayant une homologation, la couche de surface sera
réalisé en béton bitumineux 0/6 à chaud, à raison de 120 kg/m².
e) prestations diverses :
L’ouvrage global devra tenir compte du volume utile à gérer pour les eaux pluviales et du
volume disponible pour la défense incendie.
3
- Le bassin de rétention de 100m , en amont de la réserve d'incendie, de 750
m³ et de 1400 m³ devront être conforme à l’étude hydraulique fournit avec
ce présent CCTP, effectué par Aménagement Environnement Hydraulique.
3
- Une réserve de 900m pour la défense incendie sera mutualisée avec le
bassin de rétention.
L'ensemble des remblais contigus à l'ouvrage, c'est-à-dire, remblais de substitution,
remblais d'assise, remblais contigus devront répondre aux exigences des critères ci après
tels que définis dans le document LCPC/SETRA.
Les ouvrages (y compris leur fondation artificielle éventuelle) seront réalisés à sec.
L'entreprise procédera à la protection des fouilles et de la plateforme des remblais mis en
œuvre contre les eaux superficielles et, s'il y a lieu, aux épuisements ou aux rabattements
Une pente au fond de bassin de l’ordre de 2% sera réalisée afin de faciliter le bon
fonctionnement du système de drainage.
La pente minimale des talus devra être de 2/1. La crête du talus (piétonnier) doit avoir une
largeur minimale de 1.50m.
Le support doit avoir une surface régulière et propre, exempte d’aspérités agressives et
de petites cavités. Le fond et les parois doivent donc être débarrassés des petits cailloux
(>5mm) puis régularisés et éventuellement compactés (densité entre 85 et 95% de
l’Optimum Proctor).
Si le sol présente un risque (irrégularités, roche dure, pierres pointues…) mettre, en plus
du feutre géotextile anti-poinçonnement, une couche de sable pour apporter une
protection à la bâche.
Les remblais sous chaussées ou parkings et plateforme seront effectués par couches
successives de 0.30 ml d’épaisseur maximale jusqu’au fond de l’encaissement de la
chaussée ou du parking.
Les remblais sous espaces verts seront effectués par couches successives de 0.3 ml
d’épaisseur. Ils seront réalisés avec des déblais de bonne qualité provenant des
tranchées jusqu’au niveau -0.30 ml de l’espace vert fini.
Les 30 derniers centimètres seront remblayés en terre végétale.
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Les remblais sous voirie seront effectués par couches successives de 0.30 ml d’épaisseur
jusqu’au niveau -0.30 ml de la voie existante.
Ils seront réalisés exclusivement en GNT 0/31.5 secondaires.
Chaque couche devra compactée par un engin vibrant ou à percussion.
Le compactage devra atteindre 95% de l’optimum PROCTOR modifié.
Apport et mise en oeuvre de GNT 0/31.5 du niveau -0.30 ml au niveau du sol fini.
Mise en oeuvre d’un revêtement provisoire bicouche constitué de 1.8 kg/m² d’émulsion de
bitume et 9 l/m² de gravillons 6/10 et de 1.5 kg/m² d’émulsion de bitume et de 7 l/m² de
gravillons 4/6 cylindrés pour les deux couches.
3.12.2 - Trottoirs :
Il sera admis une tolérance maximale, en plus ou moins, de deux centimètres par rapport
aux cotes prévues au projet. Toutefois en aucun cas la forme des chaussées et trottoirs
ne devra présenter ni flashe, ni contre pente.
Les tolérances admises pour la pose des bordures, caniveaux et parpaings sont de 2 cm
pour une longueur de 20 ml.
Les travaux de préparation du sol se dérouleront impérativement par temps sec, avec
l’accord du maître d’oeuvre.
a) Signalisations :
Les signalisations verticales devront répondre aux normes de qualité et de sécurité, elles
seront les suivantes :
Les panneaux seront de catégorie SP, le revêtement rétroréfléchissant de classe 2, sur
accotement leur hauteur peuvent être placés jusqu'à 2.30 ml pour tenir compte des
véhicules qui peuvent les masquer. L'aplomb du bord extérieur doit se situer au minimum à
0.70 ml de la bordure de trottoir. Le support ne doit pas gêner la circulation des piétons.
Les supports pour panneau de signalisation seront tubes ronds Ø 76 en acier galvanisé, le
tout thermolaqué RAL 6005.
DISPOSITIONS DIVERSES
Il est rappelé à l’entrepreneur que la présente opération est soumise à l’obligation d’une
coordination en matière de sécurité et protection de la santé.
Pendant le délai de garantie, l’entrepreneur devra exécuter en temps utiles et à ses frais les
travaux nécessaires pour assurer l’écoulement des eaux, la remise en forme des talus ainsi
que la correction des terrassements après le passage des canalisations dans l’emprise des
voies. Il pourra se retourner contre l’entreprise ayant réalisé ces canalisations sans que le
maître d’oeuvre ait à intervenir.
Pour toutes clauses techniques non insérées au présent CCTP, les dispositions du CCTG
et du CCAG sont applicables.
L’entrepreneur ne pourra élever aucune réclamation motivée par la gêne que pourrait lui
procure d’autres entreprises travaillant au voisinage ou sur le chantier. Les entrepreneurs
devront prendre en commun les mesures nécessaires à l’avancement normal des travaux.
L'entrepreneur devra préalablement à toute activité sur son chantier prendre contact avec le
centre de secours principal et solliciter des instructions. Il devra, à ses frais, prendre toutes
les précautions utiles et observer toutes les consignes prescrites par ce service. Il
supportera seul toutes les conséquences des incendies qui seraient provoquées par sa
négligence ou par l'inobservation des consignes données.
Les prix unitaires consentis s’entendent pour la construction complète et suivant les règles
de l’art des ouvrages prévus au marché, conformes aux prescriptions du présent cahier et
des documents visés par lui.
Ils comprendront tous les faux frais, taxes, bénéfices, reprises, transports, etc. propres à
l’entreprise.
L’entrepreneur ne pourra arguer d’un manque de précision dans les définitions de prix pour
demander une modification ou une révision de ses prix unitaires, ceux-ci devant être établis
pour une construction complète des ouvrages intéressés.
A A
LE LE
A
LE
LE MAÎTRE D'OEUVRE