Chap1 Poly

02/02/2015
Chap 1 : Système de numération et codage des

informations
1. Introduction
2. Système de numération des nombres entiers
3. Arithmétique binaire
4. Les codes numériques
5. Représentation des nombres algébriques et

fractionnaires
Adil BROURI 1
numération Arithmétique Les codes algébrique et

Introduction
des entiers binaire numériques fractionnaire
1. Introduction :
 Un système automatisé est un objet technique qui
effectue un travail ou une opération de façon
autonome (sans l’intervention de l’opérateur).
 Exemples :
• Portes automatiques (ouverture et fermeture).
• Suiveur de missiles.
• Robots. 2
Adil BROURI
1
02/02/2015

Introduction
 En général, un système automatisé est constitué

de deux parties qui coopèrent :
• Une partie « commande » (partie intelligente) :
Elle transmet les ordres à la partie opérative.
Elle reçoit les consignes de l’opérateur et les

compte-rendus de la partie opérative.
3
Adil BROURI

Introduction
• Une partie « opérative » :

Elle exécute les ordres reçus de la partie
commande.
Elle agit sur le système ou sur son
environnement.
 Parmi les systèmes automatiques, on distingue :
• Les systèmes asservis et les systèmes régulés.
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Adil BROURI
2
02/02/2015

Introduction
• Les automatismes industriels où les opérations à

exécuter sont prédéfinies (système déterministe).
Exemples :
- U.A.L (unité arithmétique et logique).
- Portes automatiques.
5
Adil BROURI

Introduction
 La partie commande de ces automatismes

industriels peut être développée :
• soit à base des circuits logiques,
• soit par des API,
• soit à partir des systèmes à µp (ou µc).
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Adil BROURI
3
02/02/2015

Introduction
 Les circuits logiques se divisent en 2 types :
• Les circuits logiques combinatoires : pour

lesquels la notion de temps n’intervient pas.
⇒ L’état de sortie ne dépend que de l’état de

l’entrée.
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Adil BROURI

Introduction
• Les circuits logiques séquentiels : pour lesquels la

notion de temps intervient.
⇒ L’état de sortie à un instant donné dépend de
l’état de l’entrée au même instant et des états
précédents.
 On distingue deux types de circuits séquentiels :
◦ Les circuits logiques séquentiels asynchrones,
◦ et synchrones dépendant d’une horloge externe. 8
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Introduction
 Toute information à traiter dans un automatisme

doit être représentée sous une forme
compréhensive par la machine.
⇒ Fonctionnement selon une logique à 2 états

(notés 0 et 1) appelé logique binaire.
9
Adil BROURI

Introduction
 Le passage d’un langage compréhensible par

l’homme à un langage compréhensible par la
machine s’appelle codage ou codification.
 Un bit (0 ou 1) constitue une information

élémentaire (élément de base) de la
représentation binaire.
10
Adil BROURI
5
02/02/2015

Introduction
2. Système de numération des entiers :

 Un système de numération est un ensemble de
symboles et de règles permettant la représentation
des éléments d’un ensemble de nombres donné.
 Nous avons pris l'habitude de représenter les
nombres en utilisant les dix symboles : 0 à 9.
• Ce système est appelé le système décimal (10
symboles). 11

Introduction
 La base d’un système de numération est la

référence qui permet l’écriture des nombres.
 Remarques :
⇒ Le nombre de symboles distincts = la base du
système de numération.
⇒ Les symboles d’un système de numération
appartiennent à l’intervalle :  0 b a s e  1 
12
6
02/02/2015

Introduction
 Généralement : un nombre A dans une base B peut

être exprimé par :
( A ) B  a n 1 a n  2 ... a1 a 0
où les a i vérifient : 0  a i  B  1
⇒ La valeur numérique de A dans le système

décimal est :
n 1
( A )10  A  a n 1 B n 1  ... a1 B 1  a 0 B 0  aB
i0
i
i
13

Introduction
 Ecriture d’un nombre décimal dans une base donnée

 Pour pouvoir exprimer un nombre A10 dans la base
B, on va utiliser la division successive :
n 1
A aB
i0
i
i
 BQ1  a 0
Si : Q1  B alors a1 peut être trouvé en divisant

Q1 par B : Q1  BQ 2  a1
Jusqu’à ce que : Q n 1  B  1 alors : Q n 1  a n 1

14
7
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Introduction
 Le système binaire (B=2) :

 Ce système comporte les deux symboles 0 et 1 (dits
bits). Soit : ( A ) 2  a n 1 a n  2 ... a1 a 0
⇒ a n 1 est appelé le bit de plus fort poids : MSB
(the most significant bit).
⇒ a 0 est appelé le bit de plus faible poids : LSB
(the least significant bit).
n 1
( A )10  a 2
i0
i
i
15

Introduction
 Le système octal (B=8) :
 Permet de simplifier la manipulation du système

binaire (longue suite des 0 et des 1).
 Le système octal comporte 8 symboles :

{ 0 , 1 , 2 , 3 , 4 , 5 , 6 , 7 }.
 En octal chaque symbole s’écrit sur 3 bits en

binaire (8=23).
16
Adil BROURI
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Introduction
 Exemples :
(65,76)8 ==(?)
(?)22
(35,34)8 ==(?)
(?)22
(345)8 ==(?)
(?)22
⇒ De même le passage du Binaire  Octal se fait
en remplaçant chaque regroupement de 3 bits
par la valeur octal correspondante :
 Exemples :
(1010010)2 = (?)8
(1010,10101)2= (?)8
17

Introduction
 Le système Hexadécimal : (B=16)
 Permet de simplifier la manipulation du système

binaire (longue suite des 0 et des 1).
 Le système hexadécimal comporte 16 symboles :

{ 0 , 1 , … , 9 , A , B , C , D , E , F }.
Hexadécimal 0 1 … E F
Décimal 0 1 … 14 15
18
9
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Introduction
 La transformation Hexadécimal  Binaire se fait

en replaçant chaque symbole sur 4 bits en binaire.
 Exemples :
(?)2
(345B)16 = (?)
(AB3,4F)16 = (?)
(?)22
19

Introduction
 La transformation Binaire  Hexadécimal se fait

par des regroupements de 4 bits à partir du poids
faible,
 ensuite remplacer chaque regroupement par la
valeur Hexadécimal correspondante.
 Exemples :
(1 1100 1010)2 = ((?)
?)16
16
(1 1001 0100,1010 1)2 = ((?)

?)16 20
10
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Introduction
3. Arithmétique binaire :
 L’addition ou somme arithmétique :
21

Introduction
 Opérations arithmétique en octal :
⇒ D’où le résultat suivant : (….)8.

22
11
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Introduction
 Les opérateurs logiques :

• Opérateur « ET » (AND) :
A
A .B
B
A B AB
0 0 0
0 1 0
1 0 0
1 1 1
23

Introduction
• Opérateur « OU » (OR) :
A
A +B
B
A B A+B
0 0 0
0 1 1
1 0 1
1 1 1
24
Adil BROURI
12
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Introduction
• Opérateur « OU EXCLUSIF » (ExOR) :
A
A + B
B
A B A+B
0 0 0
0 1 1
1 0 1
1 1 0
25
Adil BROURI

Introduction
• Opérateur « Non » :
e S
0 1
1 0
• Opérateur « oui » :
e S
0 0
1 1
26
Adil BROURI
13
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Introduction
 Les opérateurs logiques :
27

Introduction
 Les opérateurs logiques (suite) :
28
14
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Introduction
4. Les codes numériques
 Le code binaire naturel (code pondéré) :
CBN sur 4 bits 0000 0001 0010 … 1111
Décimal 0 1 2 … 15
29
Adil BROURI

Introduction
 Le code BCD (code non pondéré) :

 BCD signifie « Binary Coded decimal ».
 Chaque chiffre décimal indépendant de son poids
est représenté par son équivalent binaire sur 4 bits.
 Exemples :
129 = (?)BCD
562 = (?)BCD 30
Adil BROURI
15
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Introduction
 Ce système est très utilisé pour les systèmes

d'affichage à 7 segments.
• Exemple : Affichage du nombre 9801
chaque afficheur reçoit les 4 bits correspondant à
un chiffre :
1001 1000 0000 0 0 0 1 31

Introduction
 Le code binaire réfléchi (ou code Gray) :

 Code utilisé dans la simplification des fonctions
logiques.
 Lorsqu’on passe d’un nombre au suivant un seul bit
change d’état (propriété d’adjacence).
 propriété d’adjacence : dans un système de base B,
2 nombres sont dits adjacents s’ils ne diffèrent que
par 2 chiffres de même rang et consécutif.
32
16
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Introduction
 Exemples :
 562 et 561 sont des nombres adjacents.
 1100 et 1101 sont des nombres adjacents.
 Les nombres adjacents de 1100 sont : 1101, …
 Remarque : pour un nombre de n chiffres, 2n

nombres qui lui sont adjacents, mais pour la base 2
il existe seulement n nombres. 33

Introduction
34
17
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Introduction
 L’équivalent décimal d’un nombre en CBR :

• Du LSB au MSB on affecte aux bits les poids :
1, 3, 7, … , 2n-1
• On donne alternativement les signes + et – aux
poids non nuls, en commençant par le MSB.
• La somme algébrique des poids est l’équivalent
décimal du nombre.
 Exemple : N = 1111 = (?) 35

Introduction
5. Représentation des nombres algébriques

et fractionnaires
 Représentation des nombres signés :
• Il existe 3 méthodes pour représenter les nombres
négatifs :
a – Représentation Signe / valeur absolue.
b - Représentation en complément à 1.
c - Représentation en complément à 2. 36
18
02/02/2015

Introduction
a. Représentation signe / valeur absolue (S/VA) :

• Si on travaille sur n bits, alors le bit du poids
fort (MSB) est utilisé pour indiquer le signe.
⇒ MSB = 1 : alors le nombre est de signe négatif.
⇒ MSB = 0 : alors le nombre est de signe positif.
• Les autres bits (n - 1) désignent la valeur absolue

du nombre.
37

Introduction
 Exemples : Si on travaille sur 4 bits
1001  1001 est la représentation de -1
Signe Valeur absolue
0001
Signe Valeur absolue
 0001 est la représentation de +1 38
19
02/02/2015

Introduction
• Sur 3 bits on obtient :

⇒ Les valeurs sont comprises
signe VA valeur
0 00 +0 entre -3 et +3.
0 01 +1
0 10 +2 ⇒ -3 ≤ N ≤ +3
0 11 +3 -(22 - 1) ≤ N ≤ +(22 - 1)
1 00 -0 -(2(3 -1) -1) ≤ N ≤ +(2(3 -1) -1)
1 01 -1
1 10 -2
1 11 -3 39

Introduction
• Si on travail sur n bits, l’intervalle des nombres

signés qu’on peut représenter en S/VA est :
-(2(n -1) - 1) ≤ N ≤ +(2(n -1) - 1)
 Conclusions :
⇒ C’est une représentation assez simple.
40
Adil BROURI
20
02/02/2015

Introduction
⇒ Le zéro possède deux représentations +0 et -0 ce

qui conduit à des difficultés au niveau des
opérations arithmétiques
⇒ Pour les opérations arithmétiques il nous faut
deux circuits : l’un pour l’addition et le deuxième
pour la soustraction.
⇒ L’idéal est d’utiliser un seul circuit pour faire les
deux opérations, puisque a - b = a + (- b ). 41

Introduction
b. Représentation en complément à un (CA1) :
• On appelle le complément à un d’un nombre N

codé sur n bits le nombre (-N)C1 tel que :
N + (-N)C1 = 2n -1
 Exemple :
• Le complément à un de N=1010 codé sur 4 bits est :
42
21
02/02/2015

Introduction
 Remarque :
• Pour trouver le C1 d’un nombre N, il suffit
d’inverser (complémenter) tous les bits de N.
 Exemples :
N=10 codé sur 5 bits N=10 codé sur 6 bits
43
Adil BROURI

Introduction
• Dans cette représentation, le bit du poids fort nous

indique le signe (0 : positif, 1 : négatif).
• Le complément à un du complément à un d’un
nombre est égal au nombre lui-même :
CA1 ( CA1( N ) ) = N
 Exemple : Donner la valeur décimale représentée
par le nombre N= 101010 en CA1 sur 6 bits.
44
Adil BROURI
22
02/02/2015

Introduction
 Si on travaille sur 3 bits :

Valeur en CA1 Val en binaire Val en décimal
000 000 +0
001 001 +1
010 010 +2
011 011 +3
100 - 011 -3
101 - 010 -2
110 - 001 -1
111 - 000 -0 45

Introduction
⇒ Les valeurs sont comprises entre -3 et +3.

⇒ -3 ≤ N ≤ +3
-(22 - 1) ≤ N ≤ +(22 - 1)
-(2(3 -1) -1) ≤ N ≤ +(2(3 -1) -1)
• Si on travaille sur n bits, l’intervalle des nombres
signés qu’on peut représenter en CA1 est :
-(2(n -1) - 1) ≤ N ≤ +(2(n -1) - 1)
⇒ Dans cette représentation le zéro possède aussi
une double représentation : (+ 0 et – 0). 46
23
02/02/2015

Introduction
c. Représentation en complément à 2 (CA2) :
• Le complément à 2 d'un nombre N s'obtient en

ajoutant 1 au complément à 1 de ce nombre.
CA2(N) = CA1(N)+1
 Exemple : Le complément à 2 de N=1001 sur 4 bits
47
Adil BROURI

Introduction
 Remarques :
• Dans cette représentation, le bit du poids fort nous
indique le signe (0 : positif, 1 : négatif).
• Une autre méthode permettant de trouver le C2 :
0 1 0 0 0 1 0 1 1 1 0 1 0 1 0 0
1 0 1 1 1 0 1 1 0 0 1 0 1 1 0 0
48
24
02/02/2015

Introduction
 Exemple : Donner la valeur décimale représentée

par le nombre N= 101010 en CA2 sur 6 bits.
N10 =(?)10
49
Adil BROURI

Introduction
 Si on travaille sur 3 bits :

Valeur en CA2 Val en binaire Val en décimal
000 000 +0
001 001 +1
010 010 +2
011 011 +3
100 - 100 -4
101 - 011 -3
110 - 010 -2
111 - 001 -1 50
25
02/02/2015

Introduction
⇒ Les valeurs sont comprises entre -4 et +3.

⇒ -4 ≤ N ≤ +3
-22 ≤ N ≤ +(22 - 1)
-2(3 -1) ≤ N ≤ +(2(3 -1) -1)
• Si on travaille sur n bits, l’intervalle des nombres
signés qu’on peut représenter en CA2 est :
-2(n -1) ≤ N ≤ +(2(n -1) - 1)
⇒ Dans cette représentation le zéro n’a pas une
double représentation. 51

Introduction
⇒ La représentation en CA2 est la représentation la

plus utilisée pour le codage des nombres signés.
 Addition signée de 2 nombres :
• L’addition signée impose que les opérandes et le
résultat soient compris, pour un format de n bits,
entre -2(n -1) et 2(n -1) -1.
• Si ce n’est pas le cas, on dit qu’il y a dépassement
de la capacité de calcul ⇒ overflow. 52
26
02/02/2015

Introduction
 Exemple 1 :
• Faire l’opération (-3)+(7) = 4 sur 4 bits :
 Exemple 2 :
• Faire l’opération (3)+(-7) = - 4 sur 4 bits :
 Exemple 3 :
• Faire l’opération (76)+(58) sur 8 bits. Conclure.
⇒ Montrer qu’il y a overflow (débordement).
53

Introduction
 Représentation des nombres fractionnaires :

• Un nombre fractionnaire ou réel est constitué
d’une partie entière et une partie fractionnaire
(séparées par une virgule).
• Soit un nombre A fractionnaire exprimé dans une

base B :
( A ) B  a n 1 a n  2 ... a1 a 0 , a  1 a  2 ... a  m
54
27
02/02/2015

Introduction
⇒ La valeur numérique de A en décimal est :

( A )10  a n 1 B n 1  ...  a 0 B 0  a  1 B  1  ...  a  m B  m
n 1
  aB
i m
i
i
 Exemples :
(698,63)10  6  10 2  9  101  8  10 0  6  10  1  3  10  2
(101,101) 2  (?)10
(43, 2) 5  (?)10
55
Adil BROURI

Introduction
 Représentation des caractères alphanumériques :

• Le codage le plus utilisé est le code ASCII
(American Standard Code for information
Interchande).
• Permet de représenter les lettres alphabétiques
(A, a, b, B, …), les chiffres, et les autres
symboles ( > , ; : …).
• Il comporte 8 bits (7 bits + 1 bit de parité). 56
28

Chap1 Poly

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Chap 1 : Système de numération et codage des

4. Les codes numériques

5. Représentation des nombres algébriques et

numération Arithmétique Les codes algébrique et

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 En général, un système automatisé est constitué

• Une partie « commande » (partie intelligente) :

Elle transmet les ordres à la partie opérative.

Elle reçoit les consignes de l’opérateur et les

numération Arithmétique Les codes algébrique et

• Une partie « opérative » :

numération Arithmétique Les codes algébrique et

• Les automatismes industriels où les opérations à

- U.A.L (unité arithmétique et logique).

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 La partie commande de ces automatismes

• soit à base des circuits logiques,

• soit par des API,

• soit à partir des systèmes à µp (ou µc).

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 Les circuits logiques se divisent en 2 types :

• Les circuits logiques combinatoires : pour

⇒ L’état de sortie ne dépend que de l’état de

numération Arithmétique Les codes algébrique et

• Les circuits logiques séquentiels : pour lesquels la

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 Toute information à traiter dans un automatisme

⇒ Fonctionnement selon une logique à 2 états

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 Le passage d’un langage compréhensible par

 Un bit (0 ou 1) constitue une information

numération Arithmétique Les codes algébrique et

2. Système de numération des entiers :

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 La base d’un système de numération est la

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 Généralement : un nombre A dans une base B peut

⇒ La valeur numérique de A dans le système

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 Ecriture d’un nombre décimal dans une base donnée

Si : Q1  B alors a1 peut être trouvé en divisant

Jusqu’à ce que : Q n 1  B  1 alors : Q n 1  a n 1

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 Le système binaire (B=2) :

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 Le système octal (B=8) :

 Permet de simplifier la manipulation du système

 Le système octal comporte 8 symboles :

 En octal chaque symbole s’écrit sur 3 bits en

numération Arithmétique Les codes algébrique et

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 Le système Hexadécimal : (B=16)

 Permet de simplifier la manipulation du système

 Le système hexadécimal comporte 16 symboles :

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 La transformation Hexadécimal  Binaire se fait

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 La transformation Binaire  Hexadécimal se fait

(1 1001 0100,1010 1)2 = ((?)

numération Arithmétique Les codes algébrique et

numération Arithmétique Les codes algébrique et

 Opérations arithmétique en octal :

⇒ D’où le résultat suivant : (….)8.