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• De quoi s’agit-il ?
• Liens de cette discipline avec les choses
que je connais déjà ?
• De quelle utilité me sera-t-elle dans mes
études ?
• De quelle utilité me sera-t-elle dans ma
futur profession ?
Réponses !
Introduction...
La chimie (générale) est cette discipline qui
regroupe:
• La chimie physique et physico-chimie
Science pratique et
appliquée
Qu’est-ce que la chimie ?
« La chimie s’occupe de la matière, de ses
propriétés et de ses transformations »
QUESTION
OBSERVATIONS
HYPOTHÈSE
ÉXPERIENCES
NÉGATIVES O.K.
MODÈLE, LOI
THÉORIE
Pourquoi étudier la chimie ?
Vie humaine :
> 2000 réactions chimiques
thermodynamique, cinétique
strictement contrôlées : 37,0 ± 0,2 °C
+ 1-2 °C : maladie !
- 3 °C/3-4 h : mort
Ressources naturelles :
nourriture (agriculture)
matériaux (habitat, loisirs)
textiles (habillement)
médicaments (santé)
Aujourd’hui, la chimie est une science quantitative
•Structure de la matière
•Classification périodique
•Radioactivité
•Liaisons
•Thermodynamique chimique
•Cinétique
•Chimie organique
MATIÈRE
MÉLANGES
SUBSTANCES PURES
Peinture, lait, air, …
ÉLÉMENTS COMPOSÉS
Butane, C4H10
Oxygène, O2
Dioxyde de carbone, CO2,
Hélium, He
Eau, H2O
Sodium, Na
Sel de table, NaCl
Chlore, Cl2
Protons Atome(s)
+ Noyau + Matière
Neutrons + Atome(s)
Électron(s)
1.- Constitution de la matière.
1.1.- Atome / Atome-gramme / Masse atomique.
Amadeo Avogadro
La matière est constituée de particules : les atomes (1776-1856)
masse atomique d'un élément = masse d'une mole d'atomes de cet élément
Ex.: masse atomique du sodium = MNa = 22,99 g
masse d'un atome de Na = MNa = 22,99/6,02.1023 = 3,8.10-23 g
1.- Constitution de la matière.
1.2.- Molécule / Masse molaire / Volume molaire.
Macrocosme et nanocosme
échelle
macroscopique Mélange
homogène hétérogène
sép. physique
sép.
physique
éléments composés
procédés chimiques
atomes molécules
procédés chimiques
échelle
nonoscopique
noyau électrons
2.- Notation chimique
Le carbone Le carbone
NaCl
graphite diamant
3.- Les états de la matière et changement d’état
fusion vaporisation
sublimation
Types Exemple
aA + bB + ... cC + dD + ...
La réaction chimique
réactifs produits
Les changements d'états H2O (solide) H2O (liquide)
par chauffage
Les transformations
allotropiques (par Fe Fe
chauffage)thermique
La décomposition
CaCO3 CaO + CO2
à 900°C et P=1 atm
La dissociation I2(g) 2I(g)
L’ionisation Zn Zn2+ + 2e–
H2 O
NaCl(s) Na+ + Cl–
La solvatation (hydratation)
[Co(H2O)6]Cl2(s)] [Co(H2O)6]2+(aq)
+ 2Cl–(aq)
Types Exemple
aA + bB + ... cC + dD + ...
La réaction chimique
réactifs produits
Formation d’un corps H2(g) +1/2O2(g) H2O (l)
5.1.- Convention
Chaleur nécessaire pour former ce corps à partir des éléments pris à l’état
standard.
Ex.: H2(g) +1/2O2(g) H2O(g) ΔH°f= -57,8 kcal/mole
Ex.: H2(g) +1/2O2(g) H2O(l) ΔH°f= -68,3 kcal/mole
Remarque :
** Remarque:
- Lorsqu'on ne peut atteindre une chaleur de réaction par l'expérience, il
est toujours possible de la calculer à partir d'un cycle tenant compte du
principe de l'état initial et de l'état final.
Pourcentage: (%)
Fraction molaire: (Xi) rapport du nombre de moles d'un composant i avec le nombre total de moles de
tous les composants en solution.
LA CLASSIFICATION PÉRIODIQUE
+ Noyau
Neutrons + Atome
Électron(s)
cortège électronique
Nb. de nucléons
= “nombre de masse”
A
Numéro atomique
Z X
Les isotopes ont un « Z » identique
mais un « A » différent.
H2O D2O
Z N
Hydrogène 1
1 H 1p - 1e
Deuterium 2
1 H 1p 1n 1e
Tritium 3
1 H 1p 2n 1e
Carbone 12
6 C 6p 6n 6e
14
6 C 6p 8n 6e
Particules Charge Masse
+1 1,00728 u.m.a
Proton ou ou
1,602 10-19 C 1,6725 10-27 Kg
Nucléons
Neutron 0 1,00867 u.m.a
ou
1,6750 10-27 Kg
Cathode
Anode
C'est alors qu'il conclut que la masse de l'électron était de 9,1083 x 10-28 g et qu'il avait
une charge électrique de -1,602 x 10-19 C.
Spray
d’huile
Gouttes
d’huile
Plusieurs centaines
de volts Schéma de l'expérience de la goutte
d’huile Millikan
(Université de Chicago, début du
XXième siècle)
Champ électrique uniforme
L’expérience consiste à pulvériser de minuscules gouttes d’huiles électrisées entre les deux
électrodes horizontales d'un condensateur plan chargé. Les minuscules gouttes subissent
plusieurs forces qui s'équilibrent rapidement et font que chaque goutte se déplace à vitesse
constante mesurable avec une lunette de visée et un chronomètre: L'expérience consiste à
sélectionner une gouttelette et à analyser son mouvement sous l'action des forces agissant sur
elle à différentes valeurs d'ionisation.
Millikan, par simple mesure de vitesse par le rapport de la distance parcourue sur le temps mis
pour la parcourir sur une gouttelette d'huile qu'il ionisait en l'irradiant par rayons X, observa
expérimentalement que les valeurs d'ionisation étaient toutes multiples entières de e =
1,592×10−19 C, constante que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de charge élémentaire et que
l’on note traditionnellement e; cette expérience s'est avérée être la première preuve de la
quantification de la charge électrique qui est strictement toujours un multiple entier positif ou
négatif de cette valeur fondamentale e.
Cette expérience et ses conclusions sur la quantification des charges valurent à Millikan le Prix Nobel de physique en 1923.
LA CLASSIFICATION PÉRIODIQUE
h = 6,6256·10-34 J·s
En 1905, A. Einstein élabora la théorie de l'effet photoélectrique et celle
des chaleurs spécifiques et suggéra que le quantum d'énergie h est
émis dans une seule direction, comme une particule ; celle-ci fut appelée
photon.
Le développement de la théorie quantique prit beaucoup de temps.
Les règles de quantification, nécessaires pour modifier la mécanique
classique, étant difficiles à trouver.
Un premier modèle vit le jour, celui de l'atome de Bohr et de Sommerfeld.
Le pas décisif fut franchi par Schrödinger et Heisenberg, dont les travaux
débouchèrent sur la conception moderne de la structure électronique.
Eckart, puis Dirac avaient trouvé les bases mathématiques nécessaires.
L'approximation de Born a permis de réduire la dimensionnalité du problème.
La classification périodique…
2.- L'équation de Schrödinger et les 4 nombres quantiques
Une onde ne peut pas être localisée avec précision dans l’espace
Exemple:
Utiliser un rayonnement pour mesurer la position de l’électron:
Il faut utiliser une radiation de courte longueur d’onde, sinon
la position ne sera pas bien définie….
mais les photons à haute énergie (courte longueur d’onde)
changent le moment d’une particule.
Le principe:
Il est impossible de déterminer simultanément de façon précise la
position et la vitesse d’une particule.
où ici ħ=h/π
2.3- Équation d’onde ou de Schrödinger (1926)
La probabilité de présence d'un électron peut
s'exprimer à l'aide d'une fonction d'onde Ψ
Ψ représente l'amplitude de l'onde associée à
l'électron.
La fonction d'onde Ψ est solution d'une Erwin Schrödinger
1887 – 1961
équation, appelée équation d'onde, Prix Nobel de physique,1933
8 m 2
2 E V 0
Opérateur Laplacien
h
Cte. de Planck
Énergie totale du système noyau-électron
Forme générale
Opérateur Hamiltonien
l’opérateur de l’énergie totale
du système E
L'équation de Schrödinger permet de retrouver la
signification des nombres quantiques.
Ψ permet de déterminer la
Fonction d’onde probabilité de distribution
de la particule.
z électron
Noyau
y
Y
x
X
amplitude
Longueur d’onde
= fréquence = c/
2.4- Notion d’orbitale atomique
Dans la théorie de Bohr-Sommerfeld le triplet de
nombres quantiques (n, l, m ) définit une orbite.
En mécanique ondulatoire, l'orbite est remplacée par
une orbitale atomique (O.A).
Orbitale p
Orbitale d
2.5- Les quatre nombres quantiques n, l, m et ms
En mécanique ondulatoire, tout comme en mécanique
classique, les électrons sont décrits à l'aide des quatre
nombres quantiques :
n, l, m, ms
Ils sont répartis dans des orbitales.
n = 1, 2, 3, .....∞
n=1 couche K
n=2 couche L
n=3 couche M
n=4 couche N
etc…
2. Le nombre quantique secondaire l
Caractérise la forme de l’orbitale.
Définit une sous-couche électronique ou un
sous-niveau d’énergie.
0 ≤ l≤ n-1
l=0 sous-couche s sharp
l=1 sous-couche p principal
l=2 sous-couche d diffuse
l=3 sous-couche f fondamental
3. Le nombre quantique magnétique ml
Définit l’orientation de l’orbitale.
-l ≤ ml ≤ +l
1 seule
l=0 ml = 0 orientation 1 orbitale s
3 orientations
l=1 ml = -1 ; 0 ; +1 3 orbitales p
5 orientations
l=2 ml = -2 ; -1 ; 0 ; +1 ; +2 5 orbitales d
4. Un 4ième nombre quantique : le spin
Il se rapporte au sens de rotation de l’électron sur
son axe.
Quantifie le moment de rotation de l’électron.
2 états possibles :
s = ½ (↑) ; -½ (↓)
Principe de Pauli :
2 électrons ne peuvent
pas avoir 4 nombres
quantiques identiques
Résumé
0 ≤ l≤ n-1
Nb.
sous Nb type
couche n l m couche orbitales
d’états
nЄN -l ≤ ml ≤ +l 2n2
K 1 0 0 s 1 1s 2
0 0 s 1 2s
L 2 8 (2+6)
1 -1 0 +1 p 3 2p
0 0 s 1 3s
-1 0 +1 p 18
M 3 1 3 3p
(2+6+10)
2 -2 -1 0 +1 +2 d 5 3d
3. Structure électronique des atomes.
Il est possible de déterminer la configuration
électronique d’un atome en disposant du noyau de
charge +Ze, Z électron(s) de façon que l’atome soit
électriquement neutre.
Les électrons occupant les orbitales atomiques suivant
les règles de :
Pauli, Klechkowski et de Hund
Règle de Klechkowski
n=
1
2
3
4
5
6
Comme souvent, une règle comporte des exceptions
couche
K 1s
L 2s 2p
M 3s 3p 3d
N 4s 4p 4d 4f
O 5s 5p 5d 5f
P 6s 6p
Q
3.1. Règles de remplissage des orbitales atomiques….
29Cu
29Cu ≡ Ar
3d10 4s1
Couche externe n= 4
2. Représentation par les symboles.
3d10
4s1
3p6
3s2
2p6
2s2
1s2
n= 1 2 3 4
N°
n l m s Orbitale Élément
atomique
1 1 0 0 +½ 1s H 1s1
1 0 0 +½
2 1s He 1s2
1 0 0 -½
1 0 0 +½ 1s
3 1 0 0 -½ Li 1s2 2s1
2 0 0 +½ 2s
1 0 0 +½
1s
1 0 0 -½
4 Be 1s2 2s2
2 0 0 +½
2s
2 0 0 -½
1 0 0 +½ 1s
1 0 0 -½
5 2 0 0 +½ 2s B 1s2 2s2 2p1
2 0 0 -½
2 1 -1 +½ 2px
1 0 0 +½ 1s
1 0 0 -½
2 0 0 +½ 2s
6 C 1s2 2s1 2p3
2 0 0 -½
2 1 -1 +½ 2px
2 1 0 -½ 2py
1 0 0 +½ 1s
1 0 0 -½
2 0 0 +½ 2s
7 2 0 0 -½ N 1s2 2s2 2p3
2 1 -1 +½ 2px
2 1 0 -½ 2py
2 1 +1 +½ 2pz
1 0 0 +½ 1s
1 0 0 -½
2 0 0 +½ 2s
8 2 0 0 -½ O 1s2 2s2 2p3
2 1 -1 +½ 2px
2 1 0 -½ 2py
2 1 +1 +½ 2pz
Remarques
Exemple
Ordre de remplissage: 1s 2s 2p 3s 3p 4s 3d 4p 5s …
32Ge = 1s2 2s2 2p6 3s2 3p6 4s2 3d10 4p2 structure électronique de Ge
Électrons de valence
4. Classification périodique.
découvert
en 1669
pré-columbien
Amérique du Sud
alchimistes
12,13,14è s.
autres classifications…
Propriétés similaires
•Molécules diatomiques colorées(Cl2,
jaune), (Br2, brun marron), (I2, violet)
•Chaque atome se combine avec O pour
former es ions chargés négativement: ClO-,
ClO3-, BrO3-, IO3-
•…
autres classifications
* “triades” 1829, Döbereiner (Jena)
Il a trouvé que chaque élément était similaire à l’élément placé 8 places plus loin.
autres classifications…
* “triades” 1829, Döbereiner (Jena)
* “tableau périodique”
Dmitri Mendeleïev
1869, Mendeleïev (St. Petersburg) (1834 - 1907)
Exemple Co et Ni Te et I K et Ar
kZ nombre de charge
ou N° atomique
Fréquence constante
des rayons X Ft. linéaire de Z
Henry Gwyn Jeffreys Moseley
(1877-1915)
2 3 4 sous-groupe B 5 6 7 8 9 10
Li Be B C N O F Ne
11 12
les e- de valence occupent 13 14 15 16 17 18
3 Na Mg aussi des O.A d Al Si P S Cl Ar
19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36
4 K Ca Sc Ti V Cr Mn Fe Co Ni Cu Zn Ga Ge As Se Br Kr
37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54
5 Rh Sr Y Zr Nb Mo Tc Ru Rh Pd Ag Cd In Sn Sb Te I Xe
55 56 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86
6 Cs Ba * Hf Ta W Re Os Ir Pt Au Hg Tl Pb Bi Po At Rn
7 87
Fr
88
Ra
** 104
Rf
105
Dh
106
Sg
107
Bh
108
Hs
109
Mt
110
Ds
111
Rg
112
Uub
113
Uut
114
Uuq
115
Uup
116
Uuh
117
Uus
118
Uuo
57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71
* Lanthanides La Ce Pr Nd Pm Sm Eu Gd Tb Dy Ho Er Tm Yb Lu
lignes ou périodes
Tableau périodique : notion de couche
4.2.2. Description Tableau périodique des éléments
les e- de valence groupes
sous-groupe A occupent des O.A s et p
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18
VII VIII
IA II A III A IV A VA VI A
A A
Ex. (n-1)d10 ns2 npy
1 2
1 H He
31Ga : [Ar] 3d10 4s2 4p1
3 4 5 6 7 8 9 10
2 Li Be B C N O F Ne
11 12 13 14 15 16 17 18
3 Na Mg Al Si P S Cl Ar
19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36
4 K Ca Sc Ti V Cr Mn Fe Co Ni Cu Zn Ga Ge As Se Br Kr
37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54
5 Rh Sr Y Zr Nb Mo Tc Ru Rh Pd Ag Cd In Sn Sb Te I Xe
55 56 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86
6 Cs Ba * Hf Ta W Re Os Ir Pt Au Hg Tl Pb Bi Po At Rn
87 88 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118
7 Fr Ra ** Rf Dh Sg Bh Hs Mt Ds Rg Uub Uut Uuq Uup Uuh Uus Uuo
57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71
La Ce Pr Nd Pm Sm Eu Gd Tb Dy Ho Er Tm Yb Lu
périodes
4.2.2. Description Tableau périodique des éléments
groupes
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36
4 K Ca Sc Ti V Cr Mn Fe Co Ni Cu Zn Ga Ge As Se Br Kr
37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54
5 Rh Sr Y Zr Nb Mo Tc Ru Rh Pd Ag Cd In Sn Sb Te I Xe
55 56 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86
6 Cs Ba * Hf Ta W Re Os Ir Pt Au Hg Tl Pb Bi Po At Rn
87 88 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118
7 Fr Ra ** Rf Dh Sg Bh Hs Mt Ds Rg Uub Uut Uuq Uup Uuh Uus Uuo
57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71
La Ce Pr Nd Pm Sm Eu Gd Tb Dy Ho Er Tm Yb Lu
périodes
Bloc s
Bloc p
Bloc d
Bloc f
Remarque :
Halogènes ns2np5
Métaux
1 alcalino-terreux Non-métaux 2
1 H ns2 Métalloïdes
He
3 4 5 6 7 8 9 10
2 Li Be B C N O F Ne
Métaux
alcalins Métaux de transition
11 12 ns2(n-1)dx Métaux pauvres 13 14 15 16 17 18
ns1 3
Na Mg Al Si P S Cl Ar
19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36
4 K Ca Sc Ti V Cr Mn Fe Co Ni Cu Zn Ga Ge As Se Br Kr
37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54
5 Rh Sr Y Zr Nb Mo Tc Ru Rh Pd Ag Cd In Sn Sb Te I Xe
55 56 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86
6 Cs Ba * Hf Ta W Re Os Ir Pt Au Hg Tl Pb Bi Po At Rn
87 88 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118
7 Fr Ra ** Rf Dh Sg Bh Hs Mt Ds Rg Uub Uut Uuq Uup Uuh Uus Uuo
57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71
Lanthanides ns2(n-2)fx La Ce Pr Ho
Nd Pm Sm Eu Gd Tb Dy Er Tm Yb Lu
IB (n-1)d10 ns1
Blocs Type
s Éléments métalliques
d Éléments de transition (s/couche d)
p Non métalliques
f Éléments de transition interne
Période ou ligne
Les éléments ont même nb. quantique principal n
Colonne
Taille atomique
Rayon de covalence rc ou rayon atomique
D’après Pauling, le rayon ionique est inversement
proportionnel à la charge effective du noyau Zeff et
du nb. quantique principal n
nbdech
Facteur lié
C .n
ri au niveau d’énergie
Z
Nb. de charge Cte. d’écran
rc
Rayon ionique : ri
Énergie d’ionisation : E.I
C’est l’énergie minimale qu’il est nécessaire de fournir à un atome
isolé A(g) (état gazeux) pour lui arracher un électron.
Échelle de Pauling.
Elle est basée sur les énergies de dissociation des liaisons de
molécules diatomiques simples :
EA-A, EB-B et EA-B : énergies en kJ.mol-1 pour rompre les liaisons A-A,
B-B et A-B.
écart
rayon covalent
Quelle que soit l’échelle utilisée (Pauling, Mulliken, Allred-Rochow),
on remarque qu’elle augmente de gauche à droite le long d’une ligne
de la classification, et diminue de haut en bas le long d’une colonne.
(F : 4 ; Cs : 0,8).
EN
métaux non-métaux
Oxydation Réduction
Pouvoir oxydant
Pouvoir réducteur
Z
ra
E.I
A.E
E.N
m
ox
red
Le spectre de l’hydrogène atomique
H2 gaz
On observe :
n1 = 1, n2 = 2, 3… 1
Nombre d’onde
n1 = 2, n2 = 3, 4…
Les séries spectrales de l’atome d’hydrogène
E
0 n =
1 1 1
RH 2 2
n1 n2
n1 Nom de la série région
1 Lyman UV lointain
2 Balmer Visible
3 Paschen Proche IR
4 Brackett IR
5 Pfund IR lointain
D’après la formule de Ritz pour une certaine valeur de n1,
si n2 augmente, les lignes spectrales se rapprochent de
plus en plus pour atteindre une valeur limite :
1 1 RH
RH 2
(H 2 )
( n1 )
2
( ) (n1 ) 2
mécanique quantique.
n = 4
n = 3
n = 2
1 1 1
RH 2 2
n1 n2
n = 1
1 1 RH = 109677,57 cm-1
Calcul de ? formule de Ritz
1
RH 2 2 ou
n1 et n2 ∈ N
n1 n2 RH = 1,09.107 m-1
cte de Rydberg
E 1 1 4 1
1 / RH 2 2 RH RH
3
1 2 1x 4 4
0 n= 1 1 9 1 8
1 / RH 2 2 RH RH
n=5 Pfund 1 3 1x9 9
n=4
Brackett 1 1 16 1 15
n=3 1 / RH 2 2 RH RH
Paschen 1 4 1x16 16
1 1 1
n=2 1 / RH 2 2 RH 2 0 RH
Balmer 1 1
(visible) 1 1 94 5
1 / RH 2 2 RH RH
2 3 4x 9 36
1 1 16 4 12
1 / RH 2 2 RH RH
2 4 4x16 64
1 1 1 1
1 / RH 2 2 RH 2 0 RH
n=1 2 2 4
Lyman (UV) 1 1 16 9 7
1 / RH 2 2 RH RH
3 4 9x16 144
1 1 1 1
1 / RH 2 2 RH 2 0 RH
3 3 9
1 1 25 16 9
1 / RH 2 2 RH RH
4 5 16x25 400
Les postluats de Bohr permettent l’interprétation du
spectre d’émission de H atomique. Chaque radiation
émise (de fréquence ) correspond:
- à la désexcitation de l’atome,
- et à une transition vers un niveau inférieur d’énergie
La variation d’énergie est alors E=h
1 2 1 1
d’où RH Z 2 2 n1 et n2 ∈ N
n2 > n1
n1 n2
Postulats de Bohr – Interprétation du spectre d’hydrogène
+e
Ces orbites particulières se limitent à celles
pour lesquelles l'action, produit de la quantité
de mouvement et de la longueur de l'orbite, est
un multiple de la constante de Planck.
1 qq' 1 e2
noyau F u F u
40 r 2
40 r 2
e-(q’)
ra Permitivité du vide
u F
Il existe une relation entre:
+e(q)
L’accélération centripète
et
La force de l’e-
2
mv2 1 e2 d’où
1 e
u u v2
r 40 r 2
40 m r
Ces orbites particulières se limitent à celles pour
lesquelles l'action, produit de la quantité de mouvement
et de la longueur de l'orbite, est un multiple de la cte.
de Planck.
h
Le moment cinétique de e- est égal à un nb entier de
fois 2
h h 1
On obtient: r.mv mvr n d’où r n
2 2 mv
h 1 1 1 e2
On tire r n n On sait que v
2
2 mv mv 40 m r
2 mv e2 1 e2
v
2
d’où v
40 m nh
2 20 nh
soit h 20 nh h2
0
r n enfin r n2
2 me2 me2
La plus petite valeur de n (n=1) donne le rayon r0
h 0
2
r0 52,9 pm
me2
1 2 1 e2
Etot mv
2 40 r
Etot
1 e2 h 0 2
or r n 2
n r0
2
80 r me2
On obtient:
1 2 1 me2 me4 1 1
Etot e 2 2 2 2 ou Etot 13,6 2
80 n 0 h2
80 h n n
en eV
Conclusion
• On retrouve bien que l’énergie de e- ne peut
prendre qu’une suite discontinue de valeurs.
• Chaque valeur correspond à une orbite
• Les nb d’ondes des raies émises dans le
spectre de H sont égaux aux variations
d’énergie entre 2 orbites dont les n sont ≠
me4 1 1 me 1 1
4
E h hc 2 2 2 2 d’où 2 3 2 2
8 0 h n1 n2 8 0 ch n1 n2