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>INFORFEB
[ 25 NOVEMBRE 2010 – N° 38 ]
Nous ne le tolérerons pas !
Il faut prendre le harcèlement moral à bras-le-corps
Comment ne pas être révulsé par les images
d'un homme ligoté sur son lieu de travail dans
une entreprise de Soignies ? Difficile de croire
que cela puisse arriver. Les témoignages des
victimes sont pourtant on ne peut plus élo-
quents. Ces personnes sont marquées pour le
restant de leur vie.
Que cela puisse se produire sur le lieu de travail
donne le frisson ! Dans toutes nos entreprises
travaillent des personnes qui sont différentes
des autres, qui sont un peu plus introverties ou
un peu moins gâtées par la nature que George
Clooney. Sans que l’on sache trop pourquoi, cer-
tains hommes et certaines femmes deviennent
les cibles toutes désignées d’actes de harcèle-
ment moral. Et bien entendu, il se trouvera tou-
jours un meneur qui voudra se rendre
intéressant et qui, trop souvent, sera encouragé
par le comportement grégaire d'individus sym-
pathisants ou, à tout le moins, silencieux.
Le travail doit donner un sens à la vie de l’hom-
me. Pour nous, il est très important que nos col-
laborateurs aient envie de venir travailler. Or,
À ÉPINGLER
> Détérioration de la compétitivité au
RAPPORT DU CCE
cours des 5 dernières années
> DOUANES > Première évaluation du Forum National
SALAIRES > Une augmentation du salaire minimum
serait contreproductive
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959
La newsletter pour décideurs
c’est tout l’effet contraire que nous obtenons si
des faits de harcèlement moral se produisent
sur le lieu de travail, non seulement pour le col-
laborateur en question mais aussi pour l’équipe
et l’entreprise. Certains processus se mettent à
dysfonctionner, des problèmes de qualité appa-
raissent et, au final, c’est la réputation de l’en-
treprise qui risque d’être mise à mal.
L’émoi provoqué par les cas révélés récemment
est également dû au fait que plusieurs délégués
syndicaux protégés étaient impliqués. En tant
que partenaire social, la FEB n’a tiré aucune
satisfaction de la honte qui a frappé certains
syndicats face à de tels agissements. Les chefs
d’entreprise doivent, eux aussi, en tirer des
enseignements. Tout le monde doit oser recon-
naître, en toute sérénité, que les travailleurs
bénéficiant de l’une ou l’autre protection sont
plus enclins à commettre des actes de harcèle-
ment moral. Des études l’ont démontré…
Parfois, c’est la direction de l’entreprise même
qui prend une personne sous son aile. Parfois,
le travailleur bénéficie d’une protection en rai-
son de son engagement syndical ou de sa candi-
dature aux élections sociales. C’est le cas de
près de 135.000 travailleurs. Tout n’est pas
noir ou blanc en l’espèce et les délégués syndi-
caux doivent pouvoir faire leur travail, mais cela
demeure, en dépit des abus réguliers et des ten-
sions que ceux-ci génèrent sur le lieu de travail,
encore beaucoup trop souvent un sujet tabou.
La FEB prend le problème du harcèlement
LE CHIFFRE DE LA SEMAINE
L’économie se redresse, mais reste fragile
1,7%
Les autorités du monde entier doivent d’urgence rétablir la confiance.
www.feb.be > publications > chiffres et faits
moral très au sérieux. Dans le prolongement des
actions de prévention qu’elle mène depuis plu-
sieurs années, de concert avec de nombreuses
autres organisations, elle plaide en faveur d’une
charte, qui puisse être discutée avec les syndi-
cats, en marge ou non de la concertation
Tout le monde doit oser reconnaître,
en toute sérénité, que les travail-
leurs protégés sont plus enclins à
commettre des actes de harcèlement
moral. Des études l’ont démontré…
interprofessionnelle. Nous appelons aussi les
employeurs à ne pas émettre de signaux équi-
voques quant à leur attitude face au harcèle-
ment moral, et surtout à être très attentifs aux
signes indiquant un possible harcèlement
moral. Pour cela, ils peuvent s’aider de l’annexe
que nous joignons au présent Infor.
Nous espérons qu’à l’avenir, la société pourra
aussi compter sur des signaux adéquats de la
part de la justice. Que, dans son arrêt, la Cour
du travail de Mons voie mal comment un colla-
borateur protégé, qui s’est porté deux fois can-
didat pour représenter le personnel, aurait pu
s’interposer plutôt que de filmer calmement les
faits, est une légitimation perverse d’un problè-
me de mentalité profondément enraciné. C’est
indigne d’un État de droit !
RUDI THOMAES, ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ
L’OCDE prévoit une croissance économique de 1,7% dans
la zone euro en 2011, soit un pourcentage toujours infé-
rieur au taux de croissance potentielle. Elle met par
ailleurs en garde contre une croissance déséquilibrée de
l’économie mondiale et contre un taux de chômage élevé.
[ INFOR FEB 38 — 25 NOVEMBRE 2010 ]
> DOUANES
Première évaluation du Forum National
Depuis la relance du Forum National sur les
Douanes le 13 octobre 2009, plus de 100
représentants du secteur privé ont déjà parti-
cipé à plus de 50 réunions de travail et de dia-
logue constructif avec l’administration fiscale.
Cet engouement de tous les acteurs se justifie
par la volonté résolue de consolider et de ren-
forcer la position concurrentielle internationa-
le de la Belgique comme lieu d’établissement
privilégié des entreprises, et en particulier
comme hub logistique. Un an après sa relan-
ce, une délégation de la FEB, menée par Rudi
Thomaes, administrateur délégué de la FEB, a
ACTION FEB
> Dialogue avec l’UE sur
l’accès aux marchés tiers
Dans le cadre de la présidence belge de l’UE,
la FEB a, jeudi dernier, coorganisé avec le SPF
Affaires étrangères un 'Market Access
Seminar', un événement de référence en
matière d’accès au marché.
© DANN
Succès confirmé pour ce Market Access Seminar. Au
premier plan, on aperçoit Karel De Gucht, Rudi
Thomaes et Steven Vanackere.
Après les interventions de l'administrateur
délégué de la FEB Rudi Thomaes, du
Commissaire européen au commerce Karel De
Gucht et du ministre des Affaires étrangères
Steven Vanackere, trois panels de haut niveau
ont abordé les obstacles non tarifaires rencon-
rencontré Noël Colpin (administrateur Douane
et Accises) et Hans D’Hondt (président du
Comité de direction du SPF Finances), afin de
tirer un premier bilan et de préparer la réunion
du Comité de pilotage du Forum qui se tiendra
le 21 décembre, notamment pour revoir le
fonctionnement du Forum et en fixer les prio-
rités pour 2011. Il en ressort la
volonté d’encore renforcer l’action
du Forum et de développer un nou-
veau plan d’action, rigoureux et
encore davantage centré sur des
priorités concrètes et une commu-
nication plus intense.
Des défis stratégiques
devront être relevés dans les deux
prochaines années, en particulier
afin de se conformer aux change-
ments fondamentaux requis au
niveau européen pour s’intégrer
dans la chaîne logistique globali-
sée. Ces défis ne pourront être relevés que par
une mise en conformité maximale des moyens
disponibles et des priorités, dans le cadre
d’une vision élaborée et partagée par tous les
acteurs.
Jean Baeten – jb@vbo-feb.be
trés par les entreprises sur divers marchés
tiers, ainsi que les difficultés d’accès aux
matières premières et aux marchés publics.
Cet événement, rehaussé de la présence de
délégations de tous les États membres, a per-
mis aux entreprises et fédérations belges et
européennes de dialoguer de façon concrète et
directe avec les services de la Commission,
afin de leur faire part de leurs difficultés
croissantes à pénétrer certains marchés.
Vincent Caulier – vc@vbo-feb.be
et Olivier Joris – oj@vbo-feb.be
> La FEB à la tribune de la
Fédération islandaise
Le 17 novembre, à l’occasion de la visite, à
Bruxelles, du Comité exécutif de la
Confédération des employeurs de l’Islande –
notre fédération sœur au sein de BUSINES-
SEUROPE –, le Département européen a été
invité à présenter les activités de la présiden-
ce belge de l’UE. Il fut question notamment
de la supervision financière, de la gouvernan-
ce économique, de l’innovation, du Brevet de
> SALAIRES
Une augmentation du
salaire minimum serait
contreproductive
Une étude récemment réalisée par le Centrum
voor sociaal beleid (CSB) confirme une fois de
plus ce que nous savons depuis longtemps :
une nouvelle augmentation du salaire mini-
mum en Belgique contribuerait à peine à rédui-
re la pauvreté. Le CSB arrive à cette conclusion
en se fondant sur une analyse des revenus
totaux des ménages des personnes percevant
un salaire minimum. Souvent, ces personnes
ont un partenaire actif qui gagne plus. De plus,
la pauvreté parmi les travailleurs se situe très
peu chez les travailleurs à temps plein (2,9%),
mais plutôt chez ceux à temps partiel (10%) et
elle est très faible considérée à l’échelle euro-
péenne. En matière de pauvreté, le niveau de
formation et la situation familiale sont des fac-
teurs déterminants. L’étude démontre qu’une
augmentation du salaire minimum de 10 à
30% (!) ferait à peine baisser le taux de pau-
vreté parmi les travailleurs. Sans compter la
croissance du chômage (et les pertes de reve-
nus) liée à cette augmentation (in)directe des
coûts pour les entreprises. Les chercheurs esti-
ment qu’il serait plus bénéfique de réduire les >
l’UE et de la prochaine Conférence sur le
Climat à Cancún. Par ailleurs, ce fut l’occasion
pour la FEB de mettre en exergue toutes ses
activités inhérentes à la présidence belge. Une
attention particulière fut réservée aux négo-
ciations en cours sur l’adhésion de l’Islande
à l’UE.
Diane Struyven – ds@vbo-feb.be
> La Commission
Communication à la VRT
Dans le cadre de ses contacts avec des repré-
sentants de la presse, la Commission
Communication de la FEB a effectué une visi-
te à la VRT. Les présentations et échanges de
vues ont porté sur le concept de rédaction inté-
grée mis en place en 2007, ainsi que sur la
meilleure façon, pour le monde des entre-
prises, d’informer la VRT de réalisations ou ini-
tiatives concrètes. Un tour de table de
l’actualité des fédérations et entreprises
présentes a clôturé le programme.
Olivier Joris – oj@vbo-feb.be
 [ INFOR FEB 38 — 25 NOVEMBRE 2010 ]
> RAPPORT DU CCE

Détérioration de la compétitivité au cours des 5 dernières années

Dans un article sur la compétitivité de la Belgique, le professeur Paul l’Allemagne, la France et les Pays-Bas). Cependant, force est de consta-
De Grauwe (KULeuven) déclare que l’idée selon laquelle la Belgique a ter que, au cours des trois derniers accords salariaux surtout, nos coûts
connu une baisse progressive de la compétitivité est fausse. Il y sou- ont une fois de plus crû plus vite que chez nos trois voisins. Dès lors,
tient qu’au sein de la zone euro, nous n'avons enregistré une perte de nous avons, selon le dernier rapport du Conseil central de l’économie
compétitivité que par rapport à l’Allemagne et aussi, dans une moindre (CCE), accumulé un handicap supplémentaire de 3,9% en plus des
mesure, à la France. Il s’agit précisément là de nos principaux parte- dérapages antérieurs à 1996. Et, par rapport à l’Allemagne, notre han-
naires commerciaux et des forces motrices actuelles dans la zone euro. dicap s’élève même aujourd’hui à plus de 13% !
C’est, notamment, pour ces raisons qu’il avait été décidé en 1996 de Le rapport du CCE indique sans conteste que notre position
ne pas comparer l’évolution des coûts salariaux belges à la moyenne concurrentielle s’est détériorée au cours des cinq dernières années. Cela
européenne, mais bien à celle des trois pays voisins (à savoir se traduit par une perte de parts de marché plus importante sur les mar-
chés internationaux et par
Handicap salarial de la Belgique par rapport aux 3 pays voisins
(1996 = 100 ; Source : CCE) une croissance plus lente de
105 notre industrie. Lors du pro-

104
Lors du prochain AIP, chain AIP, les partenaires
les partenaires sociaux sociaux devront donc réduire
103 devront réduire notre notre handicap salarial, afin

handicap salarial, afin de renforcer à nouveau les

102
fondements de notre écono-
de renforcer à nouveau
mie.
101
les fondements de notre
Geert Vancronenburg –
100 économie. gva@vbo-feb.be

99
1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010p

> charges pour les salaires les plus bas – mais la > RETRAITES ET
marge disponible à cet effet est très faible – et VIEILLISSEMENT
de diminuer le coût de l’accueil des enfants.
Un salaire minimum peut offrir une cer-
La réponse de la FEB au
taine protection à la population active. En livre vert de la CE sur les
Belgique, le revenu minimum mensuel moyen
pensions
garanti (RMMMG) est de 1.415 EUR brut et au
minimum 1.165 EUR net. Ce brut compte par- Le vieillissement démographique ainsi que la
mi les trois plus élevés d’Europe. En ce moment, crise financière et économique touchent dure-
une nouvelle augmentation est absolument ment les systèmes de pensions. Ce sont essen-
inadmissible, en raison des pertes d’emplois tiellement les régimes légaux de répartition qui
qu’engendrerait toute augmentation des coûts se trouvent confrontés à d'importants déficits.
pour les entreprises. Sur la base d’une étude du En Belgique, les régimes complémentaires de
CCE, la FEB constate par ailleurs qu’entre 1996 pension n’ont jusqu'ici pas connu de gros pro-
et 2009, le pouvoir d’achat net réel (en plus de blèmes. En juillet dernier, afin de répondre à
l’index) a crû de 18% pour les salaires les plus un certain nombre de questions, la
bas, contre 9% pour les salaires moyens. Commission européenne avait lancé une
Klaas Soens – ks@vbo-feb.be consultation publique, via un livre vert (*). La
Brussels calling, une newsletter FEB à lire en ligne
FEB a répondu à cette consultation et voici les
points essentiels de sa position.
1. La question de l’adéquation doit être
envisagée au travers des trois piliers de pen-
sions.
2. Pour ce qui est de la viabilité financière des
pensions – publiques en particulier –, la FEB
pense qu’il faut en priorité mettre l’accent sur
le relèvement de l’âge effectif de retraite. Pour
trouver une main-d’œuvre suffisante, les méca-
nismes de préretraite doivent progressivement
être supprimés.
3. Notre pays devrait également renforcer la
mobilité – transfrontalière entre autres –, en
levant les obstacles fiscaux qui existent enco-
re. Et, de manière plus générale, en améliorant
la portabilité des droits à la pension complé-
mentaire.
4. De façon générale, la FEB demande de ne
pas imposer de nouvelles règles qui augmen-
tent le coût des régimes complémentaires

Issue 1
et risquent d’entraîner des fermetures de
13/07/2010 •

er
ess Newslett
Belgian EU Pres
idency Busin
régimes.
Brussels callin
..........
Editorial . . .
..........
..........
........
..........
..1

.......1
g
Informal Environme
Economic and
nt Council . .
Financial Affairs
..........
..........
... ..........
Council . . . . .
..........
.....8
.....9
.........9
.....9
Prenez le pouls de l'actualité de 5. La nécessité d'une information transparen-
CONTENTS

Presidency . Links . . . . . . . ..........

la présidence belge de l'UE

Priorities of
the Belgian ..........
.......2 veness Council . . . . . . . . 10
..........
.......... Informal Competiti ..........
...
In the spotlight ..........
.........5 on . . . . . . . . . .
.......... Team presentati
meetings . . Affairs Council
..6
Events and
nt and Social

Editorial
Informal Employme

Therefore, an
effective research,
te et accessible à tous sur les systèmes de
capacity to innovate. as a cleantech
policy, as well way
and innovation . This is the only
ncy: development
Belgian EU Preside industrial policy
should be developed in clean
ges ahead to

pensions retient toute son attention.

al leadership
current technologic of
huge challen to turn Europe’s The Federation
into market leadership. for example the
growth technologies
re-establish will face Belgium (FEB)
welcomes
EU
The Belgian
EU Presidency
and Enterprises in to unblock the
restore financial Belgian Presidency for
huge challenges: ambition of the le instrument
re-establish fiscal which is an indispensab especially for SMEs.
economic stability, patent system
swift return for the industry,
guarantee a growth and innovation
discipline and eco- Leterme stated
in the
growth. Therefore, Minister Yves Europe to
to sustainable
issues will be
at As Belgian Prime need “more
on July 7, we
nomic and financial

http://eupresidency.vbo-feb.be
European Parliament gear”.
the agenda. states in higher
the heart of and its member
get our Union taire’ (the Community
government’s
EU ‘méthode Communau
Favouring the policy. Our Federation

major priorities
The Belgian

strengthening
will focus on
Presidency programme new financial
aiming at putting
in place a
the economic
gover-
market, rein-
method) is at
fully supports
the core of Belgium’s
this approach.

It is crystal clear
that Belgium
takes over the
Presidency
But our country
is well
Bernadette Adnet – ba@vbo-feb.be
regulatory structure, ing the internal circumstances.
of the EU, reinvigorat last but not under very difficult the next six months. FEB
nance Pact and, guide Europe
during
and Growth The latter prepared to of this EU
forcing the Stability 2020 strategy. to contribute
to the success
ing the Europe states, who will will do its part
least, implement the member

(site web, agenda, newsletter, etc.)

ownership by reforms Presidency. Diane Struyven
requires real implement structural of the FEB
their ability to European Department
have to show Director of the

(*) Livre vert 'Vers des systèmes de retraite

quickly.
to enhance Europe’s
measures will be taken
Furthermore,

ency
the Belgian Presid
Priorities of
n,
and the Commissio
European Parliament of view
tion with the different points

adéquats, viables et sûrs en Europe'.

of will try to reconcile
rotating presidency the political
took over the the Presidency in order to take
On July 1, Belgium Spain. For compromises track after a
Union (EU) from and formulate to get back on
the Council of
the European construction, Europe needs for the
of the European decisions that Expectations
in the history configurations economic crisis.
the 12th time the different period of deep EU is facing
multiple
d he work in l h h s the
[ INFOR FEB 38 — 25 NOVEMBRE 2010 ]

AGENDA Forum for the Future DATE : LIEU : TOUR&TAXIS

L’édition 2010 de ce congrès présente un programme 1ER DÉCEMBRE INFO ET INSCRIPTION :
ambitieux et une intense volonté de rassembler durant À 17 H www.forumforthefuture.be
toute une journée la première grande concentration de pro-
fessionnels du chiffre et du conseil.

Smart regulation & Smart communication – Finding the right DATE : VENUE : BELVUE MUSEUM
(amount of) words 6 DECEMBER Place des Palais 7, 1000 Brussels
INFO : Stefaan Verhamme
This conference on Smart Regulation will show how clear T 02 515 08 85, F 02 515 09 85
language and redesigning information can help us to take a sv@vbo-feb.be
next step in our journey towards human rules. Various
experts of communication will share their knowledge and
insights, triggering new ideas and approaches and enri-
ching the thinking about Smart Regulation.

Communication. The Challenge of Alignment DATE : VENUE : FEB, BRUSSELS

8 DECEMBER REGISTRATION : Christine Taskin
Debate on how companies organise their communication in T 02 515 08 97, F 02 515 09 85
a global and digital world. ct@vbo-feb.be

L’attrait de la métropole bruxelloise dans une économie DATE : LIEU : BOZAR, BRUXELLES
mondialisée. En collaboration avec Beci, l'UWE et Voka 9 DÉCEMBRE INFO ET INSCRIPTION :
DE 17H À 21H www.metropolitanbrussels.eu
Lors de ce symposium, vous apprendrez à mieux connaître
les atouts de la métropole bruxelloise, ses chances et ses
défis. Vous y aurez aussi l’occasion d’approfondir votre
compréhension du projet “Business Route 2018 for
Metropolitan Brussels”, avec ses initiatives concrètes, ses
réalisations et ses ambitions.

Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations

> SOCIÉTÉS paysage, la gouvernance d’entreprise jour un
rôle important. Elle recouvre un ensemble de
Pour un dialogue entre le règles et de comportements qui déterminent
Code des sociétés et les comment les sociétés sont gérées et contrô-
Codes de gouvernance lées. L'objectif principal est de contribuer à la
création de valeur à long terme, par le déve-
d'entreprise ! loppement de bonnes pratiques. Dans notre
Les sociétés évoluent dans un environnement pays, deux Codes constituent le ciment de la
en constante mutation. Elles sont tenues de gouvernance d’entreprise : le Code belge de
s’adapter rapidement à de nombreux défis, gouvernance d’entreprise 2009 (Code 2009)
que ce soit la mondialisation, la crise écono- pour les sociétés cotées et le Code Buysse II
mique et financière ou encore les progrès pour les sociétés non cotées. Ces Codes ne
et de contribuer à leur positionnement dans
l’environnement concurrentiel international.
Depuis la crise, cette approche a été
critiquée par certains car elle laisserait trop de
liberté aux entreprises, liberté qui constitue-
rait une des causes de la crise financière. Il
s'agit d'une critique discutable, car la ques-
tion n'est pas de choisir entre la loi et la gou-
vernance, mais bien de trouver un bon
équilibre entre les deux. Il faut continuer à pri-
vilégier une saine émulation du droit des
sociétés et de la gouvernance d'entreprise. Le
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 – mail@themailshop.be

technologiques. Elles doivent donc disposer remplacent pas la loi. Par leur flexibilité, les premier doit constituer l'armature applicable
d’instruments encadrant leurs activités et per- principes de gouvernance d’entreprise offrent à toutes les sociétés de même nature qui sont
mettant de répondre à leurs besoins. Dans ce la possibilité aux sociétés d'être mieux gérées soumises au droit belge, tandis que la secon-
de doit permettre, d'une manière souple, à
chaque société d'aménager sa structure et sa
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL
rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15
gestion en fonction de son objet, de ses carac-
RÉDACTION : Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 – am@vbo-feb.be téristiques et de ses besoins. Ce sont là les
Thérèse Franckx – tél. 02 515 09 50 – tf@vbo-feb.be
ÉDITEUR RESPONSABLE : Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles
principales conclusions de la 21e Journée du
PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes – tél. 02 515 08 43 – sm@vbo-feb.be juriste d’entreprise organisée par l’Institut des
ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba – tél. 03 448 07 57 – nele.brauers@ademaronline.com
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