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COMPLÈTE

Trompette à Pistons
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PRINCIPES ÉLÉMENTAIRES DE LA MUSIQUE
La Musique s'écrit sur cinq lignes horizontale!! appelées Portée, et qui se comptent de bas en haut. Les signes d'intonation sont des points noir?,
nommés Noies, que l'on place sur les lignes et rlans las interlignes de la portée, ils indiquent le degré d'élévation ou d'abaissement comparatif des

sons qu'ils représentent. Figure des Dotes 0 J J


Les cinq lignes de la portée ne suffisait!, pus toujours pour écrire tous les sons employés dans certains morceaux de musique, on ajoute alor3
-dessus et au-dessous de la portée de petites lign es uiidUtun n elles qui permettent d'écrire autant de sons que l'on désire.
L i g n e s ujoiJlée»
an dessus. Rotes sur les lignes. Notes dans les interlignes, Clé iVut g CW de *ol J CU rfe {a 9:
•V-
" . I ' p~1 Les trois signes ci-dessus que .'on place au cuimuen-

L'gìiKN ajoutée* ~ m r ~
ceinunt de la portée servent à déterminer le nom et
iiu d e s s o u s — fll * i_ .
l'intonation dos notes placées sur les lignes et dans
l a M d e sol i n d i q u e q u e la 2 ' l i g n e q u i passo a u m i l i e u d e la n o t e , lui d o n n e le n o m les
d e interlignes.
sol. On part d e e e Sol p o u r n o m m e r .os
autres n o t é e .
NOM DES SOT G S SUR LES LI GNES SOU DES NOTES ENTRE LES LI GNES
SOS! DES MUTES SUI l LES LI GNES. NDK DES NOTES ENTRE LES LI GNES. sun'LÊHESTAlBES. I
SUPPLÉMENTA RES
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RIT
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sol 1111 ¿1 vé tu la do mi «il

li faut d'abord s'appliquer à bien connaître les notes qui sont placées sur les lignes, on passera ensuite nui notes placées dans lus interlignes.

NOTES ET SILENCES
Pour exprimer la durée des sons, on emploie sept figures des notes quo l'on jvmme : ron de, blan che, n oire, croche, doubla croche, triple croche,
Quadruple croche.
F H Î U H E S D E S SI LENCE":.
FIGURES D E S NOTES.
Il y a sept signes nue l'on nomme ,, ,, „ „. „ „ • I >.roi Quart il» D«ni-quatlScit№mri
e
Ronde Blmich« Noire. Croche 0 nul [B.C. Triple c.Oiroilriiiilisfc.
menées, qui ont une valeur carres- T j • •. , a
pondanca à celle des Rotes.

Tableau comparatif des valeur» des Notes et acs Silences.


Lu ronde -3-T. L a - équivaut ù l a o ro:ub. f ' " ^ " ' 1 > "l ;

Tant ..
r ' ^".
L

¡1 b l a n c h e s _p La - équivaut a l a f> ùmiche: ì^.^-. . v

4 noirus _* À - Le r équivaut .a lu f noire.


T r Le 1 équivaut à la p crocho.
8 croches-
H LJ Lf LT Le ^ équivaut a la £ douhla crochu.
r _ N
Î6doubla*croches_£>Xì ^

3'2 triples croches. A A A A A A A A A A A A r- A A 1


Le ^ équivaut à la p triple crochi .

6 4 quadruples croches | Le jj équivaut à lu p quadruple erjclis

Ha Pu l u t . Noire pointée C r o c i l e poi n i n e

Le poin t { • ) placé après une note ou après un silence en prolonge îà


pointer
H ondi 1

r
't OU T équivaut it
durée de la moitié de leur valeur réelle, quand la note est suivie de deux poinls
successifs ( o - - ) le deuxième point vaut la moitié du premier.
AT !
f-rr r - r r

DE LA MESURE
La mesure sert à déterminer la durée des sons en divisant le temps musical en un certain nombre do paities égale;. 1
Les notes comprises entre ces traits perpendiculaires forment ce qu'on appelle des mesures de musique.
mesures contenant des valeurs équivalentes.
Gui- ronde 2 blanches 4 noirci 8 crochu» pause dumi^iiMC-ij I nncbe notre s o u p i r s vtr.

La double barre qui termine un morceau do musique, ou qui eu marque les divisions, se nomme Barre de séparatio
n .
m
On appelle la double barre précédée do 2 points Reprise, : La doubla barre précédée et suivie de doux points indi-
elle indique qtfil faut répéter la musique procède, : m "que qu'il faut répéter la partie qui précéda el celle qui suit :

Des signes de la Mesure.


La mesure s'indique en léle de chaque morceau de musique et après la clé par les signes suivants Ç ou 4 (à quatre temps), <Ç ou 2 ( à deus
temps), 3 (à trois temps), ou par des chiffres placés l'un sur l'autre 3 c i 23
~T "T T T T
Il y â des Mesures simples, des mesures composées, et dus mesures dérivées.
MESURES SI MPLES HESUHES COMPOSEES UESOngS DÉniVËES
indiquées comme suit :
Exemples : contenant plus d'uuo ronde conLenant moins d'une rondo
3 ou 3
G ou 4 , § ou 2 ,
4
2 6 6 3 3 9 9 h 2 2 2 6 6 3 3 3 9 I- P

[à 4 temps) (à 2 temps) (à 3 temps) 4 2 4 1 2 2 4 2 4 ~4 8 S 16 8 16 1Ö 16 l


nanlèrefl de battre les mesurée :
A Q UA T R E TEMPS. A TROIS TËHPS. A DEUX ТЕНГЕ.

J
Los masures composée ou dérivées se battent : 1" a trois temps, I ûfiemp
3?temps
levé! levé.
quand h numérateur (chiffre supérieur) est impair; 2« à quatre temps SFlemps '••
quand le numérateur pair est divisible par 4 ; 3" à deux temps quand J a gauche. "''"•J^droSe* J S?temps à droi te.

J
le numérateur pair n'est divisible que par 2 . *'*.,.
I l . lemps
r
e r
1P. ­fémps •I iPrteiaiis
rappé.
' • J i ra " frappé; m frappé.

DU MOUVEMENT, DES NUANCES ET DIFFÉRENTS SIGNES


On nomme mouvement le degré de vitesse ou de lenteur que l'on donne à. la mélodie. Il y a cinq mouvements principaux : largo, adagio, andante,
allegro, presto. Chacun de ces cinq mouvements principaux se subdivise en mouvements intermédiaires; ils peuvent encore se modifier par des indications
qui se rapportent au caractère du morceau de musique.
LES MOUVEMENTS P R I N C I PA U X SONT : Largo, L E S M O U V E M E N T S I N T E R M É D I A I R E S S O N T : Larghetto, Moins lent que largo. — Andantino, Moins lent
Lentemen'.. — Adagio, A faire posément. — que l'andante. — Allegretto, Gracieux, léger. —­ Gusto, Presqu'aussi lent que l'andante : Commodo,
Andinte, Modéré avec grâce. — Allegro, Vif sans presser, — Brillant, Brillant : Agitalo, avec agitation; Moderato, modéré. — Maestoso, Majes­
et gai. — Presto, Très­vif. tueusement : Mosso, animé; Vivace, vif. — Prestissimo, l'ius vif et rapide que presto, etc..
D e cr s
NU BMC ES : P. doux, PP. très­doux^ F. fort. FF. très­fort. Crescendo coller le son peu à peu. ~^HZZ « 0^°i diminuer le son.
Hi tard ou Ritardando, en retardant. Ratlentendo, on ralientissant. Ritueitdo, retenu. A temps ou Tempo \" premier mouvement. Leggiero, léger. Expressive,
expressif.

SIGNES : La Liaison- s~->* pour lier deux ou un nombre de notes quelconque ou l'emploie aus=i '.S,, \ '
lorsque le point n'a pas la durée voulue pour représenter la prolongation à exprimer. ijîr± 1
¡'000 à Poco, peu à peu. Renvois g pour indiquer qu'il faut retourner au pareil signe. Da capo al signo ou $. Ç, al S ojmme pour les renvois.
POINT D'A RRÊT PJI.IT D'ORGUE
Substitution de la deuxième fois après pour arrêter sur le dernier temps d'une mesure point d'arrêt suivi de petites notes que l'on
r* .«ToN­Sf* .«Foi*­ N n v o
' r r e c u r a
" et.môme sur une barre. exécute à volonté.
mencé la re­
prise.

Tacet, silence absolu d'une partie. Ad libitum, a volonté.

TRIOLETS
Un nomme Triolets trois NOTE3 que l'on passe dans le même
temps que 2 noLes de la même ligure.

DU DIÈZE, BÉMOL ET BÉCARRE


Le Dièze 6 élève l'intonation de la note d'un demi­ton. Le Bémol t baisse l'intonation de la note d'un demi­ton.
Fusil iun dus ill&zcg et île: 1 é m o i s coasillulifs
Les I Hézes et bémols constitutifs se plaeent en (éle du morceau de musique après la clé. lis agissent sur les noies _ „ „ ­
qu'ils affectent à toutes les octaves pendant ia durée du morceau.
I . P S Diètes cl les bémols accidentels n'agissenf que­ dans la seule mesura où ils sont .placés.
Ж 1
On emploie aussi le double dièze « et le double bémol H> dont l'effet est le double de celui produit par les dièzes. et les. bémols simples.
L-. Décarre 1) déiruit l'effet produit soit par le dièze, soit par le bémol, c'est­â­dire qu'il rend à la note son intonation naturelle.

DES TONS MAJEURS ET DE LEURS RELATIFS MINEURS


Tableau des tons majeurs et de leurs relatifs mineurs avec des Dièzes.
Un ton relaliT d'un autre ton est désigné à la clé
par lo même nombre de dièzes ou de bémols. Lorsqu'il Sol
-G
Ré. . La. „• Mi. ,. Si. ,. fhf.
n'y a ni dièzes ni bémols après la clé, on est en ut M O Ï I E
majeur ou en la mineur. A M JEUR.

Arec les àiàits, la tonique du ton majeur, pre­


B I o o , r
mière et tl'mière note rte la gamme est toujours un ­
u i m m
degré au­dessus du dernier dièra posé \ la clé. Pour ­
ta ton mineur un degré au­dessous.
Tableau des tons majeurs et de leurs relatifs mineurs avec des Bémols.
Fa Sib Mib lab R4b Solb Dob
Avec les bémols, la tonique du ton majeur esc MORE
M A J E U R
toujours quatre degrés au­dessus du dernier bémol
posé a la c l é , pour le ton mineur six degrés
au­dessous.

DE LA GAMME DIATONIQUE ET CH R O M A T I Q U E
La Gamme Diatonique procède par tons consécutifs comrai : do, re, mi, fa, sot, ti, si, do; elle se compose de cinq tons et de deux demi­Ions.
s o S ­
Quelque soit le degré d'élévation du son de la g a m m e , les deux g ^ , ix . "» fa * ' ' ' ' ^
demi­tons sont toujours entre le troisième et le quatrième degrés, et entre
le septième et le huitième degrés.
demi­tous..
La Gamme Chromatique est celle qui procède par demi­tons consc­ f­ '"j'y:

cutifs.
ifs. w 1
­d­ to- ** ы 4P
j („ C„ t toi tul| I" »*
do " d.i| ** K L
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DE LA TROMPETTE

La Trompette (diminutif de Trompe) est un instrument de musique en cuivre, dont le son est t r è s éclatant. Dé-
pourvue de tout mécanisme, ce n'est que par- la pression dé l'embouchure sur les lèvres, qu'on parvient à rendre des
sons différents.
Malgré les différentes modifications qu'on a fait subir à la Trompette, pour en améliorer la sonorité ; la
forme droite, primitive, traditionnelle, connue sous le nom de Trompette d'harmonie,est la seule u s i t é e .
Les Grands-Maîtres ont tire des effets saisissants de la Trompette en raison de la s o n o r i t é éclatante de
cet i n s t r u m e n t .
Cependant la Trompette d'harmonie n'offre pas les ressources suffisantes pour être employée i n d i f f é r e m -
ment dans toutes lès modulations, c'est pourquoi il a fallu la doter de nombreux mécanismes à l'effet de c o m -
bler les intervalles qui manquent" à sa g a m m e .
On a donc créé:
1° .La Trompette à coulisse et o ressort qui n'a obtenu aucun succès, son doigter est difficile.
2° La Trompette avec des clés ; qui n'a paru en France qu'à titre de curiosité et n'a jamais été jouée que dans
l e nord de l ' A l l e m a g n e . Cet instrument est défectueux et l'artiste si habile qu'il s o i t , n e peut en tirer ni j u s -
tesse ni s o n o r i t é .
3°' La Trompette a pistons ou à cylindres, constitue sous tous les rapports, l'amélioration la plus ing'énieuse de
notre époque; elle complète l'étendue de sa gamme au moyen d'un mécanisme .aussi simple que facileà faire manoeuvrer.
Les ressources dont dispose la Trompette à pistons rendent indispensable son emploi dans les o r c h e s t r e s de
symphonies et dans les musiques m i l i t a i r e s . Il est toutefois important de ne pas en abuser; (la considérer comme un
instrument chantant ordinaire serait une grave erreur) c'est à cette seule condition,il ne faut pas l'oublier, que la
Trompette peut produire l'effet traditionnel qui lui est particulier.
La Trompette à pistons ou à cylindres,on chromatique, possède, ainsi que le Cor d'harmonie des corps de
.rechange qui permettent a l'exécutant de jouer dans tous les tons avec une facilité incontestable: .

on les classe en trois s é r i e s

Corps Corps du \ ,, Corps


1 " SERIE S e
SERIE ,. \RE\ 3 e
SERIE
graves medium aigus
'MI b

Les corps de rechange FA, MI et MI b sont les seuls généralement usités.II faut attribuer la cause de cette
préférence, à l'inconvénient résultant des coulisses mobiles adhérentes aux p i s t o n s . En effet,elles sont trop longues
pour ajuster les notes avec les corps de 'rechange plus aigus que celui de Fa, et trop courtes avec ceux plus gra-
ves que celui de Mi b.
Il est bien entendu que cette observation ne concerne que les notes faites avec les pistons; car lorsqu'on se sert
de cet instrument sans avoir recours au mécanisme,tous les corps de rechange peuvent être indifféremment employés.
Là notation de la Trompette « pistons, est la même que celte de la Trompette d'harmoniejc'est à dire une
octave au dessous de Ja.notation adoptée pour le Cornet h pistons

A. L.5652.
2

T e n u e de l'Instrument.
La Trompette, porte trois pistons. Elle se tient de la main gauche, qui la serre fortement de façon à laisser la main droi­
te, libre de ses mouvements,conserver l'agilité des doigts.pour faire mouvoir les pistons.Sa position,entre les mains de l'exé­
cutant, doit être horizontale.

L e p i s t o n № 1 (le plus près de l'embouchure) se manœuvre avec l'index de la main droite.


Le piston 4 (celui du milieu). se manœuvre avec le médium.
L e p i s t o n № 5 (le plus près du pavillon) se manœuvre avec l'annulaire.

Les notes de la Trompette se divisent en deux séries:


La première contient les notes naturelles,^ produisant par la simple vibration du tube principal,sans l'emploi d'aucun doigté.
La deuxième,les notes fictives, résultant de l'abaissement successif ou simultané des pistons.

M a n i è r e d'accorder l'Instrument.
Pour accorder les.notes naturelles, on se sert de la coulisse d'accord; pour les notes fictives,oa a recours aux coulisses cor­
respondantes aux pistons. Ces coulisses mobiles, doivent être tirées proportionnellement, selon la longueur du corps de rechange
qu'on adapte à l'instrument. Pour le corps de rechange FA , il faut que les coulisses soient enfoncées. Pour ceux de Ml et de Mlt>,
elles doivent être soigneusement tirées et ajustées.
Malgré l'exactitude qu'on mettra à régler chaque coulisse, il arrivera souvent que fa justesse obtenue ne sera pas satisfaisan­
te.Plusieurs raisons pourront en être cause: La disposition de l'exécutant; la largeur du grain de l'embouchure; l'instrument par lui­
même défectueux. L'oreille, dans ce cas, aidera à choisir le tirage le plus convenable de chaque coulisse.

De .l'Embouchure.
L'embouchure doit être de moyenne grandeur, avoir l'intérieur du bassin Curviligne, h grain un peu large et les tords
sensiblement arrondis.On la place sur le milieu de la bouche. La lèvre supérieure sur laquelle elle repose, lui sert de point
d'appui. Trop petites, les embouchures donnent à l'instrument un son faible et dépourvu de caractère. Trop grandes,elles ne sont
guère convenables que pour les sons graves, et rendent t r è s p é n i b l e l'émission des notes a i g u ë s en ne permettantpas
de parcourir facilement lechelie complète de l'instrument.Les meilleures embouchures se font en cùivrfi,que l'on fait ârgenter ensuite,
par mesure de propreté.
Pour produire les notes aigues,il faut exercer une légère pression de l'embouchure sur la lèvre­supérieure et rapprocher les
lèvres l'une de l'autre; pour obtenir les notes graves,il faut diminuer cette pression et disjoindre les lèvres.
On doit s'abstenir de former les sons au moyen d'un coup du gosier,ou de l'air venant directement de la poitrine. Emis
de cette façon,ils sont défectueux et dépourvus de pureté.

M é c a n i s m e de la T r o m p e t t e .
Le principe du mécanisme adapté à la Trompette est identiquement le même que celui du Cornet; c'est à dire qu'en prenant
comme point de départ une note du tube principal,on peut descendre au moyen des pistons, et par demi­tons, jusqu'aux sons les
plus graves.
Chaque piston est pourvu d'une coulisse mobile,qui ne communique avec le corps de linstrument que lorsque le piston est
abaissé. Dans cette position le tube principal est allongé de toute la longueur de cette coulisse.

La coulisse de chacun des trois pistons est pourvu d'une longueur différente.
e r e e
(*) La coulise du 1 piston porte «n ton À Les 2 e t 5 pistons portent ensemble deux tons
e er e
La coulise du 2 piston porte un demi ton ' Les l e t 3 pistons portent ensemble deux tons et demi
e er e e
La coulise du 3 piston porte un ton et demi j j Les 1 2 et 3 pistons portent ensemble trois tons
M e e
Les l e t 2 produisent la même longueur que le 5 seul un ton et demi.

(*) Chaque piston ayant son numéro iTordre.les snn'e Si vides,(ou naturels on effectif*) seront indiques par un zéro.Ls chiffre 1 désignera rabaissement (lu premier
1
piston,!). , chiffre 2 , l'abaissement du deuxième,et lo chiffre 3 l'abaissement du troisième. Lorsqu'une noie sera indiquée par plusieurs chiffres,on abaissera simultanément
les pistons qui correspondent à ces chiffres

A.L.583Î.
1

Le 2 piston enfoncé,allonge ] instrument dun demi ton et baisse les notes du tube principal d'un
e
demi-ton.

Exemple
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* # 3

Le l"" piston enfoncé, allonge l'instrument d'un ton et baisse les noies du tube principal, d'un ton,
Exemple.TSE
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0. il
I 0]—*r
1 ft -0| 1- (h-—«•
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Le 3 piston enfonce-, allonge l'instrument cftm /fm et d'un demi tan, et baisse les notes du tube principal,(Ï'hh
e

ton et d'un demi ton.


.-a —0
Exemple. 1 - & il. ni — -s—=—11
V —th S-

#^
- s \>
— s fl X
1—a ^ 3

Les 2 et 3 pistons enfoncés, allongent l'instrument de deux


e e
tons et baissent les notes du tube prinoipalde deux ions.

Exemple -ft—s -*R—a S; -0)—«-


-4JJ-
J I I T

Les 1 et 3 pistons enfoncés, allongent l'instrument de deux tons et d'un demi ton, et baissent les notes du tube
er e

principal de dente tam et d'un demi ton.


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ÏTv F \Ï DT C j * i 1—s — I L

f, i 7>
Les trois pistons enfoncés,allongenf f instrument de trois tons, et baissent les notes du tube principal de trois tons.
o, 5 . 0. 0 5 s JS »
Exemple, j m ^
-O- , Z T

ACCORDS PRODUITS PAR L'ABAISSEMENT DES PISTONS.

Ton e f f e crtif
tif {
Sans pistons
En Ut.
m m
5:
II
2 piston
e
Jftftt-i,
En Si majeur
P
1 piston
PI
e r

Z?2
£ H S t i> majeur. • \ M i I I;
?r -: v 5

1 et 2 pistons
er e

ou 3
En La majeur.
e

II
Tons fictifs
2 et 3 pistons il ^ 1 i | | |—|—
I
e e A T S

Eh. La I» majeur, ffi M M M ' J U ^

r »
— M
—6 1J
7!

1" r et 3 pistons e
Jillhl.M '''*"^
1

En Sol i> majeur, ffl'i) i J I

4
Ces sept accords parfaits, réunissent toutes les notes mitées de la Trompette a pistons.C'est,en faisant un choix parmi el-
les qu'il est possible d'arriver facilement à la formation dune gamme dans un ton quelconque.
A. L. 563S.
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GAMME SA fVRELLE
Dìniijmqvr.
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GAMME CHROMATIQUE
par Dièzex

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GAMME CHROMATIQUE
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¡SOTES DE LA TROMPETTE AVEC LEURS DIFFERENTS DOIGTES


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Chaque mesure représente un sonj-ce son est souvent désigné par une note dièzêe- ou une note hémolisée. On emploie l'une
ou l'autre forme selon la tonalité.
Les chiffres qui • surmontent les mesures,indiquent les différents doigtés pour obtenir le même son.

Conseils
1" L'élève commencera par filer des sons avec égalité;il augmentera peu à peu le volume, pour le diminuer ensuite-et revenir 1

graduellement au degré de force qui lui aura servi de point de départ.


2" Chaque note sera attaquée avec un coup de languejelle devra sortir avec justesse et pureté.
3° Les exercices du commencement serviront à mettre en pratique: la tenue de l'instrumentée doiglé,\n coup defamjue,]&
j u s t e s s e la mesure. L'élève ne passera à une nouvelle leçon, qu'après avoir exécuté convenablement la précédente.
4" Il ne devra pas étudier de la musique trop difficile.
5° Ses exercices seront de peu de durée^i) les renouvellera souvent;en agissant d e l à sorte il se fortifiera les lèvres, qu'un tra-
vail trop prolongé finirait par affaiblir.
6° Il étudiera de préférence les morceaux d'un caractère opposé- à ses dispositions naturelles;.si sa langue est lourde,il choisi-
ra des passages rapides et légers; si, au confraire,son coup de langue est vif et facile, il s'exercera sur les sons soutenus et les mou-
vements lents.
7° Il évitera avec soin de souffler au point de se fatiguer la poitrine.
8" Après ses exercices, il se rendra compte de sa lassitude:l'engourdissement des lèvres, et l'inertie des muscles des joues (les
Buccinateurs) dénotent un travail profitable et bien dirigera poitrine oppressée et la respiration gênée sont des signes certains
qui feront reconnaître une mauvaise étude; car le son. sera plutôt provenu du souffle pur et simple que d'un coup de langue.

E m i s s i o n du S o n .
Pour produire un son, il faut rapprocher l'embouchure des lèvres et faire mouvoir la langue comme si on voulait lancer un mor-
ceau de papier dans l'instrument.en ayant soin de prononcer la syllabe fit,a chaque nouvelle note. Ce mouvement s'appelle coup de
langue-,on ne peut tirer correctement un son,sans l'employer.
Le Do étant très facile à faire parler, c'est par lui qu'il, faut commencer; il servira de point de départ pour étudier les no-
tes qui lui sont inférieures et supérieures.

A. L.S63S.
EXERCICES P R E P A R A T O I R E S
Les jouer lentement et plusieurs fois.

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EXERCICES SUR LES INTERVALLES


Donner un coup de langue sur chaque note, ne respirer.que sur les virgules.
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SECONDES
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RÉSUMÉ asE
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A.L.5632.
La musique destinée à la Trompette, est généralement écrite sans accidenta à la clé (en Ut) la tonalité de l'orchestre élani
produite par le corps de rechange indiqué.
Cependant, dans bien des cas. et .malgré le timbre spécial que porte avec lui chaque corps de rechange, les compositeurs, préfè­
rent, pour la Trompette chromatique,la transposition instantanée de 1 instrument,au moven des pistons;ils sont obligés alors,d'in­
diquer à la clé, la tonalité dans laquelle la Trompette doit se trouver, sans changer de corps de rechange.Ce faif,qui se présente très
fréquemment, nécessite de la part de l'exécutant,une connaissance exacte,non seulement de la tonalité de l'instrument, joué à vide;
mais­encore des produits les plus usités, dus à l'abaissement des pistons.
La Trompette chromatique, avec les corps de rechange FA , MI et MI b,..peut représenter avec les combinaisons suivantes,tou~
tes les tonalités de l'orchestre.

Armure de la Clé et leurs résultats .


CORPS DE RECHA NGE FA . "CORPS DE RECHA NGE MI • CORPS DE RECHA NGE Ml 1»
Rien à la clé orchestre en Fa. Rien à la clé orchestre en.­№ .
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Un bémol à la c l é . . » » Si i». Un bémol à la clé... » » La. Un bémol à la c l é . . . » » La k
Deux bémols à la clé' » a Mib. Deux bémols à la clé » » Ré, Deux­ bémols à la clé » » Ré h.

D'après ce qui vient d'être dit,, on comprend l'utilité de faire­des exercices suivis, sur les gammes­ majeures et mineures de ces
différentes tonalités. Ce travail peut seul les faire suffisamment.connaître.Nous recommandons d'une façon toute particulière de
­
bien attaquer chaque note, déjouer toujours posément et de prendre tout le soin désirable pour ne jamais émettre que des notes
d'une sonorité limpide et bien timbrée.

GAMMES MA JEURES E T MINEURES


Dans les tons les plus usités sur la Trompette Chromatique.
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A.L.5632.
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Aucun signe à la Clé.
Mesure h quatre temps C
Les-gammes et exercices qui précèdent les récréations,ne portent aucune indication de mouvement,ni de nuances.Il faut les
exécuter plusieurs fois, lentement d'abordjpuis accélérer chaque fois d'avantag-e le mouvement. La difficulté augmenta avec la
vitesse. Il est indispensable également de commencer par les jouer piano, puis mezza forte:enfin fortissimo.
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A.L. 5653.
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Exercices sur le coup de langue simple ' D C

Les exécuter lentement d'abord,puis accélérer graduellement le mouvement.


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A.L . 5632.
DOUZE EXERCICES 19

Sur les Articulations.


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20
SYNCOPES
On appelle $!fiicape,\e prolongement d'un son commençant sur un temps faible,ou sur la partie faible d'un temps et fi-
nissant sur un teuips fort, ou sur la partie forte d'un autre temps ou du même temps. L'effet de la syncope consiste à accen-
tuer le temps faible et à diminuer le temps fort. Il faut donc l'exécuter avec ce sentiment. La syncope est indiquée par une no-
te, dont la valuur est plus grande que celle des deux autres qui la précèdent ou la suivent.

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EXERCICE 4

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RÉCRÉATION
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RÉCRÉATION
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RÉCRÉATION
ELLE EST PARTIE

1° Tempo.
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24 COUPS DE LANGUE
Il existe trois sortes de Goups de langue composés: savoir.- Les doubles,- les triples; les quadruples. Les exemples sui-
vants démontreront de quelle façon il faut les décomposer.

EXEMPLES
Coup de langue Double.
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Coup de langue T r i p l e .
lu du g u du l u du gu du l u du gu du lit du gu du In du çu du lu du gu du In du gu du /-y

5
Coup de langue Quadruple.
tndugudu du iudugudu du tu du gu du du Indu gu du d u l j i J ^ i i ^ ' du In dn gudu du lu dufindu du

Le coup de langue double est d'un grand secours à Ftsxeeutant.il donne à un trail vivace,de la légèreté et du mordant.
Le triple est plus difficile à bien prononcer correctement. Mais lorsqu'il est bien réussi,il produit toujours un grand effet.
Le quadruple est le plus ingrat à travailler; son articulation régulière et précipitée demande beaucoup d'étude et de soin. Il
imite,bien interprété,une pluie de perles. ,
La seule manière convenable pour bien travailler et détailler les coups de langue composés, consiste à articuler lentement cha-
que syllabe,en ayant la précaution d'augmenter la vitesse à mesure que la langue acquiert de la facilité.On peut sans inconvénieul,
s'exercer à ces différents coups de langue en se servant de l'embouchure sans instrument.

Exercices sur le Double coup de langue.


tu lugudu fu gn du t n g i i d i i j t u gu du lui tu
in tu
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ni li u
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A. L.5639.
26 SOL MI NE Lit
Relatif de Si \> majeur;deux b à la Clé.
Mesure à six-huit
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A . L. 5635t.
27
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RECREATION ~ A L
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LA CHAXSON DUA
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Allegretto (J .=96)
RÉCRÉATION

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D.C.

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A. L. 5632.
28
TRILLE
Le Trille, (improprement appelé Cadence) est un agrément qui consiste dans le battement successif et précipité de la note
sur laquelle il est marqué, avec celle placée à un degré supérieur.
Il se termine par une note au dessous et par une note semblable à la note principale.
Il y a deux espèces de Ti'illes,ceHn d'un ton et celui d'un demi ton.
Les élèves doivent se familiariser par le travail,» ne faire agir que les phalanges du doigt sans la participation du poignet
et du bras.
Le Trille s'indique par le sigre tr placé sur la note.

EXEMPLES

tr
Notation

E f f H

Le Trille n'exige que deux coups de langue: Le premier pour attaquer la note principale du Trille, ou sa préparation, et le
deuxième pour attaquer la dernière note, celle sur laquelle le trille se termine.
Il est indispensable de bien connaître tous les détails du trille, pour le décomposer convenablement. Il faut donc étudier par-
tiellement sa préparation,sa durée et sa terminaison, afin de pouvoir préciser le nombre de battements nécessaires et leur mou -
vement.

Préparations et terminaisons les plus usitées


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31
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RÉCRÉATION
EMILIE
Ynlse élude

A. L . 5 6 3 4 .
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SIX PETITES ETUDES

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A.L.5653.
31
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RÉCRÉATION
LE BARB
I ER BE SEV
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D.C.

A . L.5639.
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33« Andantiuo.( J=(20)


RÉCRÉATION
ROMANCE SANS HA BOLES \ f 0

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RECREATIONS i i
S/ J'ETAIS BOI
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RÉCRÉATION
IIVCÉP HALE
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D.C.

A. L. 5 6 3 3 .
DIX EXERCICES PROGRESSIFS 33
Allegretto ( « L L 0 8 )

A l l e g r e t t o (J = 18.4 )

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38
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RÉCRÉATION
LA SOMNAMBULE.
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Lento (J«80)
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PRIÈRE DE MOÏSE. X.J ^4"

RÉCRÉATION 'j

Majeur g r a n d i o s o
36
D E LA R E S P I R A T I O N
La Respiration est le résultat de deux actes des poumons; l'Aspiration et l'Expiration.
L Aspiration fait entrer l'air dans les poumons; l'Expiration
7
chasse au dehors l'air aspire.
Il est utile, après avoir fait, au moyen de l'aspiration, une provision suffisante d'air,de le ménager soigneusement, afin de
conduire jusqu'à la fin,la phrase mélodique. Cette précaution est indispensable pour bien exécuter.
La musique a sa ponctuation comme le discours. Ll faut y avoir égard pour respirer.
On respire complètement à la fin des phrases; sur un silence, sur un point d'orgue.
On prend une demi respiration nu milieu d'une phrase; sur une note longue, en abrégeant sa valeur. La derui - respiration
EST d'une grande utilité: mal pincée, elle peut détruire l'unité d'un trait.

DE L'APPOGGIATURE
ou Petite note d'Agrément
On appelle Appofifjinture, une petite noie placée avant la note principale et dont la valeur n'est pas comprise dans la
mesure. Il fruit tiuijnurs la bien attaquer et la couler avec la note qui la suit. L'Appoggiature se place un degré au dessus.ouau
dessous de la grosse note.
L'Appogiaturo est brève ou tongue.
Breve-; s'écrit par mie croche traversée d'une barre Sa valeur est prise au dépens de la note qui la précède.

(notât in il

EXEMPLE

(effet)

Longue-; l'Appoggiature s'écrit par une petite note simple-et prend sa valeur sur celle de la note qui la suit. Cette va-
leur, est ordinairement la moitié de cette dernière note. L'Appoggiature longues fait partie intégrante de la mélodie et doit en
conséquence être émise avec douceur.

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A N D A N T I N O .

(notation] 3 =

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EXEMPLE

(effet)
P
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DU P O R T A M E N T O OU P O R T D E V O I X
Le Port amento n'est autre que l'Appoggiature brève, avec cette différence que cette dernière se place toujours à un de-
mi ton ou un ton de la note principale,tandis que le Portamento peut se placer à tous les degrés. La difficulté du Porta-
mento consiste à franchir légèrement l'intervalle qui existe entre la petite et la grosse note, sans faire entendre de s o i ; a in-
termédiaires^ Le Portamento exige dans son exécution une grande délicatesse de lèvres.

(notation)

EXEMPLE

(effet)

A.L.563Ï.
37
DU GRUPPETTO
La Gruppetto est un ornement musical compose de petites noies ascendantes ou descendantes, dont la valeur est prise.iinn
Mir celle He la note qui en est affectée; mais s u r le temps qui précède cette note.
On distingue deux sortes de Gruppetto: Le Gruppetto de trois noies et le Gruppetto de quatre notes.

Gruppetto de t r o i s IVotes
Le Gruppetto de trois notes.se subdivise lui-même en deux espèces: t !e Gruppetto simple, forme' par trois notes con-
l>

jointes, réalisant généralement entr'elles.ime tierce mineure,-2° le Gruppetto de terminaison,forme' de trois noies disjointes.

GRUPPETTO SIMPLE

(notation)
EXEMPLE
(effet)

Gruppetto de quatre Notes


Le'Gruppetto de quatre notes est une modification de la note qui le précède-, il s'articule après, elle. On peut l'indiquer par
un signe abrévïatif (<k) en ayant soin de placer au dessous ou au dessus un dièze,ou un bécarre, selon l'altération qu'on doit
faire subir à sa note inférieure. Exceptionnellement, cette altération ne peut dans aucun cas, prolonger son effet,sur la tonali-
té des mêmes notes,comprises dans la mesure. ,
Ce Gruppetto peut s'exécuter de deux manières différentes, en commençant par la note inférieure ou bien par la note su-
périeure. Dans le premier cas,c'est la première note qui est altérée et dans le deuxième cas, c'est la troisième.

(notation)
EXEMPLE
(effet)
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Exercices sur le Triple Coup de l a n g u e
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Andantino.(J-96]
RÉCRÉATION
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RÉCRÉATION
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Exercices sur le Quadruple Coup de langue
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E X E R C I C E S 49

Pour. se. familiariser avec les notes ouvertes des corps graves Si \>,€t,et R é , (pli se jouent ordinairement sans pistons.

Moderato ( J L 1 I 2 )

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A.L.5659. Piii'is.iiiijj. M i c h e l e t , i-.iln h usarti, 6
CONSERVATOIRE DE L'INSTRUMENTISTE

MÉTHODES
ADOPTÉES PAR LES PREMIERS PROFESSEURS DE PARIS E T D E LA PROVINCE

g r a n d f o r m a t i x - 1*

: MIX HÌI0-:
! PMI :

Cl.ODOMIR (P.) . Mélho^B de Cornet à Pistons, complète 24 En deui parties, chaque . . 13


ID. Méthode de Saxhorn-Soprano mi hémol (fieLït liugle), complète . . . . . . . 24 En deux parties, chaque . . 15
ID. Méthode de Saxhorn-Contralto, si bémol (b.uglr), complète a* En deux parties, chaque . . 18
In. -Méthode de Saxhorn-Alto (saxo-tromlia) mi béimit {complète) 24 Fin deux parties, chaque . . ÌS
ID. Méthode de Saxhorn-Baryton si bémol (eluvicor;, complfeie SI 1*1 ii deiu nanties, chaque . . 13
ID. Méthode de Saxhorn-Basse à pistons si bémol [clé da sol) complète 24 En deux p:i r li es,' chaque. . 15
ID- Méthode de. S3xhorn-Contrébasse en mi bémol [clé da s"l). complète 24 Eu deux parties, chaque . 15
I». Méthode :de Saxhorn-Contrebasse en si bémol (clé de soi), complète. 24 Eu deux .parties, chaque . . ÎB
ID. MéthodeVlde Trombone à Pistons îclé de sol), complèto. . . . . . . . . . . 24 En deux pariiesî .chaque . . 15
ID. Méthoie de Trompette à Pistons . .•.'•: . , 13. 1
}

'in. Méthode de. Saxhorn-liasse a (.ipiitonB sibémot\c\i de fa), complète.'. S4' En déui parties, chaque . . 13 *
Ip. Méthode, de Saxhorn-Basse â a pistóni} si bti/içl (dé de.Ta), coiiiplèie. . 9À En deux parties^ chaque . . 15
•Ip. Méthode de Saxhorn-Contrebasse eu mîbémo! (clé de fa), C O I D J D È W : . . En deui parties, claque.. . 15
ID. Méthode de Saxhorn-Contrebasse eu sîjbéino! (elé de la.), complet-. .. . S.1 En deux parties* chaque . . 16
ÎD. Méthode de Trombone, è Coulisse (cle dd la], complète . Si Eu deux parues, chaque . - ,* 5

ID. Méliode de Trombone à Pistons [clé de fu), complété. . . . . . . . . . Ì4 En deux parties, chaque . . 13
I». Méthode de Trombone à Pistons (clé de fa', doigté belge, complète . . 24 Eu deux punies, chaque. . 15
ID. Méthode d'Ophicléîde [clé de faj, complète 24 Eu deus parties, chaque . . 15

D E T A S (B.) Méthode de Violon, complète . 24 Eu deux .parties, chaque . . 15


HOFMARN (C.) . . . Méthode d'Harmonium^ ou Orgue raélodium 13
KELLNER (F.) . . • Méthode de Clarinelte-Bœhrn et ordinaire. . . . - il
KLOSB (H.) . - . • Méthode de Saxophone Soprano, complète 15
ID. Méthode de Saxophone alto, complète . . . . - 13
ID. MèlhoJe de Saxophone Téoor, complète 15
lD. Mé.lhodu de Saxophone Baryton, complète. 13
LEDUC (AUHOKSIÌ) Méthuile de Piano. U
TIV7*B [F.) . . . , Méthode complète de Violon, suivie d'un Traité des S O Ù J Imj-iinjiiiipjes. . . . 30
le. Méthode de Violon, sans le Traité 25
RABAUD (H.). . . Méthode du Violoncelle, complète -î Eu deux parties 13
RÉILUSILT ( J . ) . . . . Meûiode de Flûte-Bcehm et ordinaire, complète 15

METHODES EXiEMENTAIRES
F o r m a i In-S". — P R I X i 1 tr. 2 5 c. act.

LES MÊMES- QUE CI-DESSUS, PLUS LES SUIVANTES


de Néocar. . . . . . . . . . . . . pur CLOIIOSIIII (P.J. da Gor ANGLAIS. - -
de Trompé au Cor,de-chasse. , . . . . lu. île FLAJSJWJEL'. . ,. . Rmissiii' (A). "
de Clairon (ordonnance) . . . . . . . . "lui TLTS TLUILHU'e. . . Cmiurm (L.).
de Cor.ù pistons. .... . . . • j lu. du ' l k i u t U u U . . . . 'GA.ITLUU.TTB (H J .
de Cor d'harmonie.,. . . . . lu. .IU MLI»'-i('l4 Antoni iA.).
Se Trompette a pistou». - • - . . . . . lu. de Yiolujiu'iilh:... •. buvAs (E.).
d'Accordeon. . . . . . l f e j s (J.). SOII'KI;!: "BK'IIIUIIIIIIT'II I.IÎOLC t'A.).
OUVRAGE DE LA PLUS GRANDE UTILITÉ
Cip do ml r, T r a i l e ( l i £ o r i i | u u u i pi-unique'à l'usage des Musiques de J I J M F A I ' u * et d'Huriiioniu m pour les personnes qui
désirent devenir Cuor. — Cet ouvrage indisiicusidjlu uiuie de elid.ii LU iudiruiiiuiit, da sou tmuJuu, du suu emploi,' ainsi que de
l'organisation, et de la coudui£Ì de tutUes lus M U Ì Ì ^ U S S . . . . " ; . . Pris uet : 4 fr.

PA.TAIS. — A L l ^ H Ò K S E L E D U C , Éditeur, 3 , r u e de Grammont,

Propriété réservée pour tous Un pays.

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