MEMOIRE
MASTER
Par :
SLIMANI ABDELMOUMEN
IFTISSEN HALIM
Thème
Modélisation par éléments finis du comportement élastoplastique
de l’assemblage de deux profilés métalliques par platine d’extrémité
notre travail.
À nos chers parents pour tous les sacrifices consentis à notre égard et
Halim
Dédicaces
Abdelmoumen
Introduction générale
Chapitre 1 . Généralité sur les assemblages
1- Introduction………………………………………………………… 2
2.1- Poteaux……………………………………………………………………….. 12
2.2.1- Définition et rôle……………………………………………………………. 12
2.2.3- Section des poteaux en acier………………………………………………... 12
2.2- Les poutres …………………………………………………………………... 13
2.2.1- Définition et Rôles………………………………………………………….. 13
2.2.2- Section des poutres………………………………………………………… 14
2-Elasticité et plasticité………………………………………………... 27
3-Influence de la température…………………………………………. 29
5-L’aire de contact……………………………………………………. 37
8- Les frottements……………………………………………………... 39
2- Principe de la MEF………………………………………………. . 43
5.1- Historique……………………………………………………………………... 54
5.2-Le langage de cast3m…………………………………………………………. 54
8- Conclusion ………………………………………………………… 55
2- Description de l’assemblage……………………………………… 56
En vue de réaliser cet objectif, le modèle de calcul par éléments finis tridimensionnels ainsi
les éléments de contact de surface seront utilisés et où les zones de décollement, de glissement et
d’adhérence seront analysées.
Le premier chapitre est consacré aux généralités sur les assemblages métalliques avec les
différentes configurations utilisées dans les constructions métalliques, en donnant quelques
définitions sur les différents modes et moyens d’assemblages.
Le deuxième chapitre est consacré au calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par
platine d’extrémité selon l’Ereucode03.
Le cinquième chapitre, consiste en une brève présentation de la méthode des éléments finis, son
principe, ses avantages et inconvénients ainsi que ses étapes de calcul.il contient également une
brève présentation du logiciel de calcul éléments finis CAST3M, son fonctionnement ainsi que
les procédures de calcul utilisées.
1
Chapitre 1 : Généralité sur les assemblages
1- Introduction
Les structures métalliques sont composées de plusieurs éléments pouvant être élaborés
en des lieux et des temps différents. Ils sont par la suite assemblés sur chantier. Ces éléments
sont fabriqués de deux manières différentes : soit par laminage soit par soudage. Sous forme
de profilés, ces éléments constituent une ossature généralement linéique, telle que les poutres,
les poteaux, les barres de contreventement, etc. Pour être optimisés vis-à-vis des différentes
sollicitations, leurs sections transversales sont généralement des profilés ouverts sous forme
de Té ou de H. Pour cette raison les zones de contact sont de formes assez complexes et
nécessitent des pièces intermédiaires telles que les platines d’extrémités pour les assemblages
poteaux poutres et les goussets pour les assemblages des fermes métalliques en treillis ou des
palées de stabilité.
En effet, les assemblages boulonnés par platine d’extrémité constituent l’une des parties
les plus importantes dans les structures en acier. Les propriétés géométriques et mécaniques
de ces assemblages ont une influence significative sur le comportement et la stabilité globale
de la structure.
Il est à noter qu’il existe deux composants dont les résistances sont essentielles dans les
assemblages métalliques à savoir: les boulons et les cordons de soudure.
2
Chapitre 1 : Généralité sur les assemblages
Les liaisons entre élément ayant des fonctions différentes et des directions différentes (A).
c’est le cas des liaisons poutre- poteau, poutre- poutre orthogonales pour la réalisation d’un
plancher ou des liaisons dans les structures en treillis.
La liaison entre éléments individuels ayant les mêmes fonctions et destinées à assurer la
continuité d’un seul et même élément(B). il s’agit typiquement des joints de montage qui sont
rendus nécessaires pour des questions de taille ou de poids maximum de l’élément transporté.
Les liaisons entre éléments de nature différente, par exemple les liaisons avec les fondations
ou avec un noyau de stabilité en béton (C) [1] .
3
Chapitre 1 : Généralité sur les assemblages
3- Les boulons
Composé d’une vis à tige cylindrique partiellement filetée et munie d’une tête de
serrage de forme hexagonale. Cette vis est associée à un écrou et éventuellement une rondelle.
Par ailleurs, il existe deux types de classifications des boulons : géométriques et mécaniques.
d (mm) 8 10 12 14 16 18 20 22 24
݀ (mm) 9 11 13 15 18 20 22 24 26
As (mm^2) 50.3 7805 113 154 201 254 314 380 452
4
Chapitre 1 : Généralité sur les assemblages
Dans les assemblages boulonnés, on identifie deux types de boulons, selon leurs
fonctions primaires dans l’assemblage :
Par ailleurs, afin d’éviter la multiplication de types de boulons, l’Eurocode03 n’autorise qu’un
série limitée de classes mécaniques de boulons. Les caractéristiques mécaniques principales
utilisées dans les calculs sont : la limite d’élasticité݂௬et la résistance à la traction݂௨ . Chaque
classe de boulon est désignée par deux nombre, par exemple : la classe 8.8. En effet, pour une
classe de type X.Y donnée, ݂௬= 10 X.Y et ݂௨= 100.X, toutes les deux exprimées en MPa
5
Chapitre 1 : Généralité sur les assemblages
Tableau 1.2-tableau des valeurs nominales de ݂௬ et ݂௨ pour les Classes des boulons [2]
6
Chapitre 1 : Généralité sur les assemblages
Les trois pièces pincées par un effort (݂) aux plans de contact lui meme grand, et que
l ‘état de frottement entre ces pièces est plus important.
7
Chapitre 1 : Généralité sur les assemblages
Figure 1.7- Assemblage boulonnée d’une poutre IPE sur poteau HEB
8
Chapitre 1 : Généralité sur les assemblages
Les boulons ordinaires qui sollicité a la traction, la partie plus forte a la contrainte
normale c est la section ܣ௦de la partie filetée de la vis .L’effort de traction admissible vaut
alors ܨ௧=ܣ௦݂௨.
On a la formulation suivant
Cas d’un effort perpendiculaire à l’axe du boulon qu’exerce celui-ci sur un ensemble de
௦.ே .µ
pièces : ܨ௦,ோௗ,௦= Ɣெ ଷ,௦ ܨ.
Cas d’un effort parallèle a l’axe du boulon qu’exerce celui-ci sur un ensemble de pièces
௦.ே .µ
ܨ௦,ோௗ,௦ = Ɣெ ଷ,௦ ܨ. -0.8.ܨ௧,ாௗ,௦
9
Chapitre 1 : Généralité sur les assemblages
Avec α =min (݁ଵ/ 3 ݀; ଵ/3 ݀- 0.25 ;ܨ௨ / ܨ௨ ;1)
10
Chapitre 1 : Généralité sur les assemblages
7-Resistance au poinçonnement
Pour qu’il n’y ait â s de poinçonnement sous la tete de la vis ou sous l’ecrou, il faut que la
boulon sur la plaque la contrainte de cisaillement de la plaque vaut τu= 0,6 fu. L’aire sur
11
Chapitre 1 : Généralité sur les assemblages
dm est le daimetre moyen calcule entre les cercles inscrits et circonscrits de la tête de la vis ou
de l’écrou.
Ftsd ≤ Bprd
8-Conclusion
D'une manière générale, la construction métallique et les avantages qu’elles offrent sont
plus à démontrer. Elle ouvre une large porte vers la modernisation et l’industrialisation de la
construction. Elle est appréciée et recherchée dès que des grandes Portées ou des grandes
hauteurs s’imposent.
12
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
1-Introduction
Généralement, les assemblages des éléments d’une structure en acier sont réalisés par
soudage ou par boulonnage. L’assemblage d’une poutre à un poteau par platine d’extrémité
est aujourd’hui très utilisé dans la construction métallique en raison de sa simplicité d’une
part et de son économie de fabrication d’autre part. En Europe, la conception des assemblages
métalliques est réglementée par l’Eurocode 3, qui fournit des spécifications pour les éléments
soudés et boulonnés. En particulier, l’Eurocode 3 suggère l'utilisation d'un Tronçon en Té
équivalent en traction afin de modéliser l’assemblage.
2- Quelques définitions
2.1- Poteaux
2.2.1-Définition et rôle
Ce sont des éléments porteurs chargés de reprendre les charges et surcharges issues des
différents niveaux pour les transmettre au sol par l’intermédiaire des Fondations.
Aussi, le roledes poteaux, ne se limite pas d’assurer la reprise des charges verticales, mais
également contribuent largement lorsqu’ils sont associés à des poutres pour former des cadres
ou des portiques destinés à reprendre les actions horizontales dues aux séismes et aux vents et
ponts, colonnes pour le cas du ver trois sortes de poteau BA.
Poteau isolé
L’épaisseur d’un mur d’agglos
En extrémité d’un mur
12
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
13
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
2.3- L’Eurocode03
14
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
des règles de calcul fondamentales pour les structures en acier avec des épaisseurs de
matériau3 mm. [3]
2 .4 - la platine
Plaque d’assemblage disposée aux extrémités des poteaux ou des poutres. Elle est
fixée par soudage selon un plan le plus souvent perpendiculaire à l’axe longitudinal de la
pièce.
15
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
Leur rigidité
Leur résistance.
Un assemblage est rigide si sa déformation n’a pas ‘influence sur la répartition des
efforts et des moments dans la structure. Les assemblages rigides sont usuellement utilisés
dans les structures en acier non contreventées. L’assemblage est considéré rigide si :
En se basant sur les caractéristiques moment-rotation desnœuds. Les assemblages semi rigide
doivent également être aptes à transmettre les efforts et moments calculés lors de leur conception.
Ce type d’assemblage doit être suffisamment souple pour se déformer lors de la rotation. Il
doit être conçu et dimensionné pour ne transmettre, en règle générale, aucun moment de flexion.
L’assemblage est considéré articulé si :
16
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
17
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
5-Concept du tronçon en Té
La modélisation des composantes d’un assemblage boulonné par platine d’extrémité
pour calculer la rigidité et la résistance est un problème complexe. L’approche de l’Eurocode
3 a rendu ce problème abordable en utilisant le tronçon en té équivalent, voir (figure 08) Ce
dernier est utilisé pour modéliser les différentes composantes. [4]
Figure 2.6-Modélisation d’une semelle de poteau et d’une platine d’extrémité sous forme de
tronçons en té. (Brozetti et al ,1996)
18
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
Dans ce cas, il existe trois modes différente de ruine ces modes peuvent apparaitre
selon le rapport des résistances et des rigidités relatives de la semelle du tronçon en Té et des
boulons.
19
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
Le premier mode correspond à la ruine brutale des boulons tendus Cemode de ruine, dit
fragile doit généralement être écarté lors du dimensionnement. La charge des ruines est égale
à la somme des résistances de calcul des boulons.
ܨௗ,ଵ=∑ ܤ௧.ோௗ
.ଽೠ್ ೞ
Avec : ܤ௧.ோௗ =
Ɣಾ ್
ସ
ܨோௗ,ଶ=
20
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
Le troisième mode se situe entre les deux précédant et se caractérise par une capacité de
déformation variable d’un tronçon à l’autre, selon la rigidité et la raideur relative de la semelle
et des boulons et la résistance de calcul associée :
21
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
Dans ce cas les trois modes de ruine précités sont aussi susceptible d ‘apparaitre (voir
lafigure2.12) :
22
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
-L’étude en plaque considère la platine comme une plaque et envisage une plastification partielle ou
complète selon le mode de ruine.
Figure2.13-Tronçon en Té.
23
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
Trois types de distribution des efforts intérieurs peuvent être identifiés dans les
Rangées de boulon :
- Une distribution « plastique » ;
- Une distribution « élastique » ;
- Une distribution « élastique-plastique ».
La distribution appropriée dépendra de la capacité de déformation des composantes
De l’assemblage. La (Figure15) illustre ces distributions.
24
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
La Figure (15) montre une distribution plastique des efforts intérieurs qui prend place
progressivement de la rangée de boulons supérieure jusqu’aux rangées inférieures grâce aux
capacités de déformation suffisantes des composantes considérées. Le moment résistant est
alors considéré comme la somme des produits des efforts dans les rangées de boulons par leur
bras de levier.
Dans d’autres configurations (Figure 15), la redistribution plastique des efforts est
interrompue à cause du manque de capacité de déformation de la dernière rangée de boulons
qui a atteint sa résistance de calcul et est conditionnée par la rupture des boulons ou de la
platine.
Dans les rangées de boulons situées sous cette rangée, les efforts sont distribués
linéairement (à condition que leur résistance propre ne soit pas dépassée) suivant leur distance
au centre de compression
Enfin, la distribution élastique représentée à la Figure15 (c) constitue un cas particulier
de la distribution élastoplastique ou la première rangée atteint sa résistance et présente un
comportement non ductile.
8-Conclusion
Dans ce chapitre, l’un des assemblages les plus répandues dans les constructions en
acier a été présenté Ile s’agit des assemblages poutre-poteau par platine d’extrémité les
notions de classification de ces assemblages ont également été aborde. En fin l’analyse des
comportements à la ruine a montré que les tronçons en Té constituent des composantes
majeures dans la zone tendue des assemblages soumis à la flexion A cet effet, des formules
25
Chapitre 2 : Calcul élastoplastique d’un assemblage poutre poteau par platine
d’extrémité selon l’Ereucode03
26
Chapitre 3. Les lois de comportement en plasticité
1- Introduction
La loi de comportement la plus simple est l’élasticité linéaire qui correspond à la capacité
du matériau à reprendre sa forme d’origine lorsque l’on supprime la sollicitation La loi de
comportement qui représente l’élasticité linéaire correspond à une relation de proportionnalité
entre les contraintes et les déformations. Pour un grand nombre de matériaux, on pourra
considérer l’élasticité comme isotrope (le coefficient de proportionnalité est le même quelle
que soit la direction de sollicitation). Cependant certains matériaux (monocristaux, matériaux
texturés) présentent des caractéristiques élastiques différentes selon la direction de la
sollicitation.
Certains matériaux tels que les élastomères possèdent un comportement élastique non
linéaire.
Dans ce cas, les contraintes et les déformations ne sont plus reliées par une relation de
proportionnalité, cependant le matériau reprend sa forme initiale lorsqu’il n’est pas sollicité.
Pour la plupart des matériaux (dont les matériaux métalliques) on observe un comportement
élastique linéaire pour les sollicitations modérées. Lorsque l’on continue d’augmenter le
chargement on crée progressivement une déformation plastique irréversible et l’on perd la
relation de linéarité entre contraint et déformation.
27
Chapitre 3. Les lois de comportement en plasticité
Elasticité
Rm
Plasticité
ε
Figure 3.2- Comportements plastique
28
Chapitre 3. Les lois de comportement en plasticité
3-Influence de la température
Effet de la température
29
Chapitre 3. Les lois de comportement en plasticité
εij=εije+εijp (I.1)
εij Le terme du tenseur de déformations totales,
εije Le terme du tenseur de déformations élastiques,
εijp Le terme du tenseur de déformations plastiques.
Dans le cas de sollicitation multiaxiale, le seuil de plasticité est remplacé par une
surface caractérisée par une fonction scalaire appelée fonction de charge. F(σ,R) = 0 (III.1)
Avec σ : Tenseur des contraintes
R : L’ensemble des paramètres « cachés » ou « d’écrouissage ».
Cette fonction décrit dans l’espace des contraintes, une surface dite surface de charge ou
d’écoulement, la position de cette surface dépend de la valeur instantanée du paramètre
d’écrouissage :
Pour F < 0 : C’est l’intérieur de la surface, ce domaine est élastique.
30
Chapitre 3. Les lois de comportement en plasticité
Pour F = 0 : Plastification.
Pour F > 0 : Est un état de contraintes physiquement impossibles en élastoplasticité.
L’écrouissage est dit isotrope, quand l’évolution de la surface n’est gouvernée que par
un seul paramètre scalaire, par exemple la déformation plastique cumulée. [6]
31
Chapitre 3. Les lois de comportement en plasticité
Bien souvent, l’écrouissage isotrope reste insuffisant pour décrire le comportement des
géomatériaux qui diffère notamment suivant que la sollicitation soit en compression ou en
traction. Une schématisation possible de l’écrouissage anisotrope est écrouissage cinématique
linéaire, comme représenté sur la figure 04.
32
Chapitre 3. Les lois de comportement en plasticité
8-Critère de plasticité
ou
33
Chapitre 3. Les lois de comportement en plasticité
34
Chapitre 4. Le problème de contact
1-Introduction
Le problème de contact est très fréquent dans les structures mécaniques en général et
métalliques en particulier. En effet, les aires de contact constituent des zones de transition et
de transmission d’efforts entre les différents éléments de la structure. Toutefois, le phénomène
physique que constitue le frottement est étroitement lié au contact. En effet, en raison des états
de rugosité des surfaces en contact, celui-ci ne peut se faire sans frottements.
le contact bilatéral où le contact est maintenu quels que soit les sens et les directions des
efforts appliqués
le contact unilatéral où le contact est maintenu seulement si les efforts appliquent les solides
l’un contre l’autre [9].
35
Chapitre 4. Le problème de contact
Par ailleurs, du point de vue de la zone de contacte, on peut aussi distinguer trois types
Le contact linéique : la zone de contact est initialement une ligne. Par exemple. Le contact
entre surfaces longitudinales cylindres ou bien le contact entre un cylindre et une surface
plane (figure 01).
Le terme « initial » utilisé ici, signifie que le type de zone de contact peut être modifié
en fonction du chargement. A titre d’exemple, un contact initialement linéique peut être
transformé en surfacique suite aux déformations des deux solides en contact.
36
Chapitre 4. Le problème de contact
5-L’aire de contact
En pratique elle est définie par l’aire de contact nominale. C’est à dire par la surface ou
les deux solides paraissent en contact. Elle ne concerne que les zones où il y a adhérence ou
glissement. Les zones de décollement sont exclues. Ainsi, telle que définie précédemment, le
caractère variable de l’aire de contact revêt une importance particulière dans l’étude du
problème
ܷௗ = 0 L=1.2
୪
Sur la seconde partie notée ଶ , une densité surfacique de forcesFୢest appliquée
݈
La dernière partie (complémentaire) notée ߗ telle que
ߗ = ߗ - ( ଵࢹ
ᴜ ଶࢹ
) est la zone de contact.
ߗ
Par ailleurs, les corps ℓ = 1,2, sont soumis à des densités de forces volumiques fd.
37
Chapitre 4. Le problème de contact
Nous supposerons que le tenseur des déformations ε est linéarisé et nous noterons ܭ
Nous adoptons comme loi de frottement, la loi de Coulomb en quasi statique. Les champs de
ܿ
déplacement ݓet les champs de densités de réactions ܴ tels que définis dansle paragraphe
38
Chapitre 4. Le problème de contact
8- Les frottements
De manière générale, nous pouvons définir, le frottement comme étant une relation entre
les efforts tangentiels (forces de frottement) sur la zone de contact et le mouvement tangentiel
relatif de deux corps (glissement).
Les premières études du frottement entre deux corps sont dues aux travaux de Léonard
de Vinci au début de 16eme siècle dans lesquels on retrouve des esquisses de machines à
mesurer les forces de frottement. Ces études furent ensuite développées par Amontons en
1699 puis formalisées par Coulomb en 1785.
Les phénomènes physiques a faire apparaitre dans une loi de frottement sont l’existence
d’un seuil d’effort en dessous du quel aucun glissement n’est possible et une éventuelle
dépendance de ce seuil à l’intensité des efforts normaux. Par ailleurs le déplacement de
glissement semble irréversible ce qui pousse à imaginé pour les lois de frottement, des
relations entre les forces de frottement et la vitesse de glissement.
Bien évidemment, ces lois ne doivent intervenir que lorsqu’il n’y a pas de décollement sur la
zone de contacte.
Pour définir les lois de frottement, on définit le glissement et la vitesse de glissement par :
ݑܦ௧ ݑ௧
=
݀ݐ ݐ
8.1.1 - La loi de Tresca
En simulation numérique, la loi de tresca et l’une des lois de frottement les plus utiliser,
car elle est la loi la plus simple et la plus facile à utiliser en cette simulation, la raison la plus
logique qui rend cette lois simple et facile c’est que le seuil de glissement.Utilisé dans cette
loi, est à la fois constant et indépendant des intensités des pressions de contact. Elle s’écrit de
la manière suivante. Soient Fn et F les composantes normales et tangentielles des forces de
contact respectivement, et telles que :
39
Chapitre 4. Le problème de contact
Avec g est un seuil d’adhérence / glissement fixé à priori. Il dépend entre autres de la limite
D’élasticité du matériau fy. Toutefois, cette loi demeure non linéaire. En effet, nous pouvons
Observer le très fort non linéarité de cette loi sur le graphe de la figure 04.
Ou μ le coefficient de frottement qui dépend des états des surfaces en contact et ůݐla
vitesse relative tangentielle entre les deux corps. Le graphe de cette loi est tracé sur la
figure5.
40
Chapitre 4. Le problème de contact
Toutefois, cette formulation ne peut être adoptée et utilisée que sous la condition qu’en
tout point de la zone de contact la variation des efforts soit monotone.
9- Conclusion
De ce chapitre, on a parles sur les problèmes du contact entre deux corps avec
frottement, nous avons abordé deux principale loi de frottement (Colomb, Tresca). Parmi les
lois de frottements qui semblent être plus « réalistes », nous pouvons citer la loi de Coulomb.
Toutefois, cette loi présente certaines difficultés particulièrement en 3D, de convergence vers
la solution exacte lorsque le coefficient de frottement prend des valeurs assez élevées.
41
Chapitre 4. Le problème de contact
1-Introduction
Le problème de contact est très fréquent dans les structures mécaniques en général et
métalliques en particulier. En effet, les aires de contact constituent des zones de transition et
de transmission d’efforts entre les différents éléments de la structure. Toutefois, le phénomène
physique que constitue le frottement est étroitement lié au contact. En effet, en raison des états
de rugosité des surfaces en contact, celui-ci ne peut se faire sans frottements.
le contact bilatéral où le contact est maintenu quels que soit les sens et les directions des
efforts appliqués
le contact unilatéral où le contact est maintenu seulement si les efforts appliquent les solides
l’un contre l’autre [9].
35
Chapitre 4. Le problème de contact
Par ailleurs, du point de vue de la zone de contacte, on peut aussi distinguer trois types
Le contact linéique : la zone de contact est initialement une ligne. Par exemple. Le contact
entre surfaces longitudinales cylindres ou bien le contact entre un cylindre et une surface
plane (figure 01).
Le terme « initial » utilisé ici, signifie que le type de zone de contact peut être modifié
en fonction du chargement. A titre d’exemple, un contact initialement linéique peut être
transformé en surfacique suite aux déformations des deux solides en contact.
36
Chapitre 4. Le problème de contact
5-L’aire de contact
En pratique elle est définie par l’aire de contact nominale. C’est à dire par la surface ou
les deux solides paraissent en contact. Elle ne concerne que les zones où il y a adhérence ou
glissement. Les zones de décollement sont exclues. Ainsi, telle que définie précédemment, le
caractère variable de l’aire de contact revêt une importance particulière dans l’étude du
problème
ܷௗ = 0 L=1.2
୪
Sur la seconde partie notée ծଶߗ , une densité surfacique de forcesFୢest appliquée
݈
La dernière partie (complémentaire) notée ծܿߗ telle que
ߗ
Par ailleurs, les corps L= 1,2, sont soumis à des densités de forces volumiques fd.
37
Chapitre 4. Le problème de contact
Nous supposerons que le tenseur des déformations ε est linéarisé et nous noterons ܭ
Nous adoptons comme loi de frottement, la loi de Coulomb en quasi statique. Les champs de
ܿ
déplacement ݓet les champs de densités de réactions ܴ tels que définis dansle paragraphe
38
Chapitre 4. Le problème de contact
8- Les frottements
De manière générale, nous pouvons définir, le frottement comme étant une relation entre
les efforts tangentiels (forces de frottement) sur la zone de contact et le mouvement tangentiel
relatif de deux corps (glissement).
Les premières études du frottement entre deux corps sont dues aux travaux de Léonard
de Vinci au début de 16eme siècle dans lesquels on retrouve des esquisses de machines à
mesurer les forces de frottement. Ces études furent ensuite développées par Amontons en
1699 puis formalisées par Coulomb en 1785.
Les phénomènes physiques a faire apparaitre dans une loi de frottement sont l’existence
d’un seuil d’effort en dessous du quel aucun glissement n’est possible et une éventuelle
dépendance de ce seuil à l’intensité des efforts normaux. Par ailleurs le déplacement de
glissement semble irréversible ce qui pousse à imaginé pour les lois de frottement, des
relations entre les forces de frottement et la vitesse de glissement.
Bien évidemment, ces lois ne doivent intervenir que lorsqu’il n’y a pas de décollement sur la
zone de contacte.
Pour définir les lois de frottement, on définit le glissement et la vitesse de glissement par :
ݑܦ௧ ߪݑ௧
=
݀ݐ ߪݐ
8.1.1 - La loi de Tresca
En simulation numérique, la loi de tresca et l’une des lois de frottement les plus utiliser,
car elle est la loi la plus simple et la plus facile à utiliser en cette simulation, la raison la plus
logique qui rend cette lois simple et facile c’est que le seuil de glissement.Utilisé dans cette
loi, est à la fois constant et indépendant des intensités des pressions de contact. Elle s’écrit de
la manière suivante. Soient Fn et F les composantes normales et tangentielles des forces de
contact respectivement, et telles que :
39
Chapitre 4. Le problème de contact
Avec g est un seuil d’adhérence / glissement fixé à priori. Il dépend entre autres de la limite
D’élasticité du matériau fy. Toutefois, cette loi demeure non linéaire. En effet, nous pouvons
Observer le très fort non linéarité de cette loi sur le graphe de la figure 04.
Ou μ le coefficient de frottement qui dépend des états des surfaces en contact et ůݐla
vitesse relative tangentielle entre les deux corps. Le graphe de cette loi est tracé sur la
figure5.
40
Chapitre 4. Le problème de contact
Toutefois, cette formulation ne peut être adoptée et utilisée que sous la condition qu’en
tout point de la zone de contact la variation des efforts soit monotone.
9- Conclusion
De ce chapitre, on a parles sur les problèmes du contact entre deux corps avec
frottement, nous avons abordé deux principale loi de frottement (Colomb, Tresca). Parmi les
lois de frottements qui semblent être plus « réalistes », nous pouvons citer la loi de Coulomb.
Toutefois, cette loi présente certaines difficultés particulièrement en 3D, de convergence vers
la solution exacte lorsque le coefficient de frottement prend des valeurs assez élevées.
41
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
1-Introduction
En effet, la méthode des éléments finis est une méthode générale d'analyse structurale
dans laquelle la solution d'un problème de mécanique des milieux continus est rapprochée par
l'analyse d'un assemblage d’éléments finis qui sont reliés entre eux grâce à un nombre fini de
de points nodaux appelés nœuds. L’ensemble de ces éléments finis appelé maillage,
représente le domaine de solution du problème.
Cette méthode est maintenant bien admise en tant qu’une technique de résolution
numérique des problèmes pouvant être de issu de technologies variées. Les applications
s'étendent de l'analyse de contraintes dans les solides, àla résolution des phénomènes
acoustiques, de la physique, des problèmes dynamiques, liquides etc.
La méthode consiste à découper le domaine spatial en petits éléments et à rechercher
une formulation simplifiée du problème sur chaque élément, c'est-à-dire à transformer le
système d'équations quelconque en un système d'équations linéaires. Chaque système
d'équations linéaires peut se représenter par une matrice. Les systèmes d'équations pour tous
les éléments sont ensuite assemblés. Ce qui forme une grande matrice dite globale. La
résolution de ce système global donne la solution approchée au problème.
42
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
2-Principe de la MEF
D'un point de vue pratique, la mise en œuvre de la méthode comporte les étapes
suivantes :
Les différentes étapes pour le calcul par la méthode des éléments finis serontdécrites
d’une manière suivant :
3.1- Création du problème discrétiser
43
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
Ou les :
Xi désignent les inconnues en déplacement associées aux degrés de liberté considérés,
Ni (x.y, z) désignent les fonctions de forme de l’élément permettant d’obtenir les
déplacements de celui-cien n’importe quel point de sa géométrie et ce toujours à partir des
déplacements nodaux.Prenons comme exemple, un élément « barre » travaillant uniquement
en traction ouen compression. Le matériau utilisé étant supposé linéaire, la déformation est de
faitconstante sur la hauteur de sa section. La fonction de déplacement u(x) est alors
forcémentlinéaire. On a donc, (1.2) :
Ԑxx = du/dx = Cte => u(x) = a0 + a1. x
Par ailleurs, on sait qu’en :
x = 0 => u(0) = u1
X = L => u(L) = u2
D’où
On écrits, (1.3) :
44
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
{u} correspond au vecteur des fonctions de déplacement applicables sur l’élément :u(x, y, z),
v(x, y, z),w(x, y, z), βx(x, y, z), etc.
Le degré du polynôme retenu pour l’élément est donc intimement lié aux nombres de nœuds
et dedegrés de liberté par nœud. Par exemple, un élément unidimensionnel à trois nœuds aura
une fonctiond’approximation parabolique. Les fonctions d’interpolations retenues sont
généralement linéaires,quadratiques et plus rarement cubiques. Afin d’avoir une solution très
approchés au problème, il fautrecherche une discrétisation adaptée permettant une bonne
reconstitution de champ de contraints et le champ de déplacements.
3.2- La résolution du problème
45
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
ி ௨ ாௌ
σxx = E. Ԑxx = E. F= u = K. U
ௌ
ܵܧ
Avec : k = correspondant dans le domaine élastique à la rigidité du barreau et à la pente de
݈
Le travail de la force F est égal à F.u, l’énergie potentielle s’exprimera sous la forme (1.8) :
ଵ
E = W –T = .k. ݑଶ– F.u.
ଶ
Considérants un problème statique, ce qui signifie qu’après obtention de l’équilibre, le
déplacement n’évolue plus, la variation du potentiel par rapport à u sera alors nulle d’où :
ௗா
= 0 = K. U – F K .U = F d’où le déplacement u.
ௗ
3.2.1- Écrire la matrice de rigidité élémentaire
Pour écrire la matrice de rigidité élémentaire il faut écrire au premier temps, l’énergie
dedéformation pour chaque élément.Afin d’avoir l’énergie de déformation élémentaire, notant
la relation de déformation suivante sous
la forme matricielle {Ԑ} = [ծ ] {U}
46
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
Le vecteur de déformation {Ԑ} peut être exprimé en fonction des déplacements nodaux
(1.9) :
Avec [ծ ] : opérateur dérivation dont les dimensions dépendent de celles de l’élément étudier.
Pour l’élément barre, on écrit :
Le champ de contrainte est exprimé sous la forme matricielle par la relation contrainte-
déformationsuivante :
Cette matrice de rigidité élémentaire aura après développement, la forme suivante pour
l’élément barre,
(1.12) :
47
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
D’où, (1.15) :
Mais, la sommation des énergies de déformations et des travaux des forces extérieures ne peut
êtredirectement appliquée, puisque les éléments n’ont pas le même repère local. Il est donc
nécessaire de lesexprimer dans un référentiel unique appelé repère global. Pour ce faire, un
changement de base doit êtreeffectué du repère global vers le repère local de chacun des
éléments. Lorsqu’on se limite à des problèmesplans, les formules de changement de base qui
nous permet de passer du repère global au repère local écrivent, (1.17) :
48
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
x = X.cos(ɵ) + Y.sin(ɵ)
y = -X.sin(ɵ) + Y.cos(ɵ)
Dans notre exemple du barreau à deux nœuds et qui est définit en plan, le changement de base
se fait en
appliquons la relation (1.17) à ses deux nœuds i=1 et j=2, et on aura, (1.18) :
Ce changement de base permet d’une manière générale de calculer les déplacements des
nœuds d’élément « e » en repère local {qe} à partir de ceux du repère global {Qe} à l’aide
d’une matrice depassage désignée [Re].Soit, (1.19) :
{qe} = [Re]. {Qe}
49
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
En utilisant la matrice de passage, afin d’obtenir le travail élémentaire des forces par rapport
au repèreglobal, on aura, (1.22) :
Lorsque les matrices de rigidité et vecteurs forces des différents éléments sont exprimés dans
le repèreglobal, il ne reste qu’à les positionner chacun d’entre eux dans une matrice de rigidité
[K] et un vecteurcharges {F} caractérisant l’ensemble de la structure.
Pour fixer la structure au sol, des conditions d’appuis sont introduites de telle manière à
assurer sastabilité d’ensemble.Suivants la nature des degrés de liberté bloqués, ces supports
peuvent reconstituer des appuisponctuels, des appuis rotules ou des encastrements mais
également correspondre à des déplacements
connus liés aux appuis au sein d’un vecteur {QB} et ceux inconnus dans {QL}, le système
[K].{Q} = {F}
peut être transformé de telle manière à séparer les degrés de liberté et bloqués, soit (1.23) :
Avec :
{R} : vecteur des réactions d’appui,
{Fext} : vecteur des charges associées aux degrés de liberté libres.
Les déplacements inconnus {QL} peuvent donc être déterminés en résolvant le système
linéaire, (1.24) :
50
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
Nous avons si dessous une figure qui représente l’organigramme général de résolution, (1.26)
51
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
52
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
Cast3M est un logiciel de calcul par la méthode des éléments finis pour la mécanique
des structures et des fluides. Cast3M est développé au Département de Modélisation des
Systèmes et Structures (DM2S) de la Direction de l’Énergie Nucléaire du Commissariat à
l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives (CEA) en france. Le développement de
Cast3M entre dans le cadre d’une activité de recherche dans le domaine de la mécanique dont
le but est de définir un instrument de haut niveau, pouvant servir de support pour la
conception, le dimensionnement et l’analyse de structures et de composants[11].
53
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
5.1- Historique
Gibiane est le langage interprété qui permet de communiquer avec CAST3M. Ainsi, le
principe est d’écrire un programme en langage gibiane à l’aide d’un éditeur de texte
(n’importe lequel). Puis de lancer l’application CAST3M sur le fichier crée. Il est
recommandé d’utiliser le suffixe “dgibi”. La syntaxe est basée sur l’utilisation de directives,
d’opérateurs et de procédures qui s’appliquent à des opérandes. [20]
Voici quelques opérateurs et quelques directives avec leurs descriptions dans les deux
tableaux suivant :
directive Description
OPTI déclare les principaux paramètres du programme.
ELI M Remplace tous les doubles noeuds par un seul point.
TRAC Trace ou bien dessine l’objet de type maillage, vecteur,…etc.
TITRE donne un nom à l’étude.
SI ,SINON , Permet l‘exécution conditionnelle des données suivant la valeur d’une
FINSI variable de type logique.
opérateur Description
54
Chapitre 5. Bref aperçu sur MEF
6- Conclusion
La méthode des éléments finis s’avère efficace et assez résulte puisqu’elle permet
d’étudier correctement des structures continues ayant des propriétés géométriques et des
conditions de charge compliquées. Malgré le grand nombre de calcules qu’elle nécessite, cette
méthode s’adapte parfaitement à la programmation numérique et à la résolution par
ordinateur.
55
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
1- Introduction
2- Description de l’assemblage
Boulons
HEA IPE
400 600
Figure 6.1 –Assemblage HEA 600 et IPE 400 par platine sans raidisseur.
56
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
Le premier cas considéré est celui d’un assemblage sans raidisseur (figure01), et le
deuxième cas consiste en un assemblage avec deux raidisseurs soudés sur les deux côtés de
l’âme du poteau (figure 6.2).
Boulons
Figure 6.2 –Assemblages HEA 600 et IPE 400 par platine avec raidisseur.
Les caractéristiques géométriques de poteau HEA 400 et de la poutre IPE 600 sont
représentées sur la (figure
tfc 6.3), ainsi que sur le tableau 6.1 tfb
hc twc twc
hb
bfc bfc
Poutre Poteau
Poutre Poteau
57
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
larg
eps E1
P1
haut
E2 P2
58
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
Les boulons utilisés sont en acier de type M18 avec une tête hexagonale H et
partiellement filetés. Les caractéristiques géométriques sont représentées sur la figure5,
et définies dans le tableau (1.1) .
d e
H L m s
Deux cas de modèles de comportement ont été considérés pour tous les composants de cet
assemblage à savoir :
- La phase de comportement élastique
- La phase de comportement élastoplastique parfait
Par conséquent, l’opérateur utilisé dans CAST3M pour déterminer en premier lieu les
champs de déplacements est l’opérateur PASAPAS.
Y X
59
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
Y X
X
Y X
En plus des conditions aux limites de symétrie citées précédemment, d’autres conditions
aux limites du problème sont prescrites par un blocage des déplacements des nœuds de la
section inférieure du poteau dans les trois directions X, Y et Z. De plus, un chargement
surfacique est directement appliqué sur la face supérieure de la semelle. Toutefois, afin
d’éviter les flexions locales des ailes de ces semelles, ce chargement surfaciques est limité
uniquement à l’âme de la poutre. Autrement dit, seuls les éléments volumiques contenus
dans le plan de l’âme de la poutre sont chargés.
60
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
Symétrie blocage/ Y
Chargement surfacique
Y
X
Blocage déplacement X, Y et Z
A cet effet des éléments de contact surfaciques doivent être utilisés de part et d’autre
du contact platine-semelle de poteau. Afin de faciliter d’avantage la résolution de ce
problème, des maillages de contact de type compatibles (nœuds à nœuds) ont été utilisés.
Autrement dit, il s’agit de deux maillages identiques situés de part et d’autres et où les
nœuds sont en vis-à-vis et ont les mêmes coordonnées. Ainsi, l’écriture et la
programmation des conditions de non pénétration devient plus facile à mettre en œuvre
avec l’opérateur RELATION (ou bien RELA).Pour cela, le type d’élément utilisé est
linéaire de forme quadrangulaire à quatre nœuds et nommé QUA4 dans CAST3M
(figure 6.10).
61
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
Par ailleurs, des éléments volumiques de type CUB8 (figure 6.11), ont également été
utilisés pour le maillage des boulons. Les deux surfaces de contact considérées sont celles
de la tête de vis avec la face interne de la semelle, et celle du contact de l’écrou avec la
face interne de la platine.
Y X
62
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
5- Méthode adoptée
L’objectif principal de la présente étude consiste à étudier les différentes
distributions des champs de contraintes et de déformations entre les différents éléments
composant notre assemblage ainsi que l’analyse des surfaces de contact entre la platine et
la semelle du poteau et ce, aussi bien en phase de comportement élastique qu’en phase de
comportement plastique. Toutefois, il y a lieu de signaler d’importantes influences de
certains paramètres sur ces distributions. Il s’agit en l’occurrence de l’influence de
l’épaisseur de la platine ainsi que celle concernant la présence (ou non) des raidisseurs
dans l’assemblage. A cet effet, la démarche suivie lors de la présente étude, consiste à
étudier en premier lieu les influences de ces paramètres en phase de comportement
élastique. De la même manière, la phase de comportement plastique sera analysée en
second lieu. Les analyses de ces deux étapes (élastique et plastique) seront complétées en
dernier lieu par une discussion de tous les résultats obtenus.
Par ailleurs, un autre objectif consiste à comparer nos résultats avec ceux obtenus
manuellement en utilisant les méthodes de calcul adoptées par le règlement Eurocode 03.
A cet effet, le modèle de comportement adopté sera identique à celui utilisé par ce
règlement l’Eurocode 03, à savoir : le modèle de comportement élastoplastique parfait.
6- Analyse des résultats en phase de comportement élastique
6.1-Influence de l’épaisseur de la platine
6.1.1-Analyse des déformées
La figure 6.12 ci-dessous représente trois déformées de l’assemblage avec des platines
d’épaisseurs différentes : de 10mm (à gauche), de 20mm (au milieu) et de 30 mm (à
droite). Il est clair que la déformation est plus importante dans les assemblages ayant des
platines d’épaisseurs minces. Ceci est due à la faible rigidité en flexion de cette platine,
d’où une plus grande déformabilité de cet assemblage.
63
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
En phase élastique obtenue sous un moment et un effort tranchant assez faibles avec M=18
KNm et V=72KN, les distributions des champs de contraintes de VONMISES dans le
poteau, la poutre, la platine et les boulons, pour les trois cas d’épaisseurs (10, 20 et 30mm)
sont représentées sur les figures 6.14A, 6.14B et 6.15. On peut constater sur ces figures
qu’en augmentant l’épaisseur, les contraintes maximales dans les boulons ont diminué de
127 MPa (pour 10mm) vers 90 MPa (pour 20mm) et 92MPa (pour 30mm). Ceci peut être
attribué au phénomène de l’effet de Levier(figure13) dont l’effet sur les efforts internes
dans les boulons n’est significatif que lorsque la platine est mince (10mm).Ce phénomène
connu est dû à la déformabilité de la platine mince dont la surface de contact avec la
semelle du poteau devient excentrée tout en créant une force supplémentaire Q dite force
de Levier et qui s’ajoute aux efforts internes déjà existants dans le boulon.
En ce qui concerne la distribution des contraintes dans les autres parties de l’assemblage,
on peut remarquer que les contraintes maximales augmentent de l’ordre de 10MPa dans
les poteaux. Par contre, il y a une certaine diminution de ces contraintes au niveau de la
platine dans la mesure où elles diminuent de l’ordre de 25 MPa (en augmentant de 10 à 20
mm) et de 18 MPa (en augmentant de 20 à 30mm). Enfin, les contraintes maximales dans
les poutres ont également diminué de 36 MPa (épaisseur 10mm) vers 27 MPa (épaisseur
20mm) et 22 MPa (épaisseur 30 mm).
64
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
65
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
66
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
67
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
Figure 6.17– Distribution des champs de contraintes de VONMISES des poutres dans
l’assemblage sans (à droite) et avec la présence des raidisseurs (à gauche).
68
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
Figure 6.18– Distribution des champs de contraintes de VONMISES des poteaux dans
l’assemblage sans (à droite) et avec la présence des raidisseurs (à gauche).
Figure 6.19– Distribution des champs de contraintes dans la platine de l’assemblage sans
(à droite) et avec la présence des raidisseurs (à gauche).
69
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
Figure 6.20– Distribution des champs de contraintes de VONMISES des boulons dans
l’assemblage sans (à droite) et avec la présence des raidisseurs (à gauche).
En comparant les résultats ci-dessus, on constate, en plaçant les raidisseurs, une légère
diminution des contraintes maximales dans la poutre et les boulons contre une légère
augmentation dans la platine et le poteau. Ainsi, on déduit une assez faible influence de la
présence des raidisseurs sur les valeurs des contraintes maximales.
Les figures ci-dessous (figures 6.21, 6.22 et 6.23) représentent les champs de
déformations inélastiques dans les composants de cette assemblage (poutre, platine, poteau
et boulons) et ce, pour les trois cas d’épaisseurs 10,20 et 30 mm correspondant à
chargement provoquant un moment M=117KNmet un effort tranchant V= 468 KN.
70
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
Pour sa part la platine mince d’épaisseur 10 mm subit localement une très forte
plastification (jusqu’à 28%) au voisinage des trous des boulons de la rangée supérieure.
Ceci peut également être expliqué par l’effet de poinçonnement. Toutefois, pour les cas des
deux autres épaisseurs, la plastification avoisine les 1.5%. On constate donc une
diminution considérable du phénomène de plastification en passant d’une épaisseur de 10
mm à 20 mm et plus.
Enfin, vue leur haute classe mécanique (8.8) dont la limite élastique est égale à 640
MPa, les boulons utilisés présentent une déformation plastique maximale assez faible de
l’ordre de 0.46% lorsque la platine est suffisamment mince (10mm). Cette valeur sera
davantage réduite de moitié lorsque la platine devient plus épaisse (0.28% pour 20mm et
0.2% pour 30mm).
71
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
72
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
73
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
74
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
75
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
Figure 6.27- Déformations inélastiques dans les boulons de l’assemblage sans (à gauche) et
avec la présence des raidisseurs (à droite) sous M= 117KNm et V= 468 KN
.
8- Analyse des surfaces de contact en fonction de l’épaisseur de la platine
8.1- Influence de l’épaisseur de la platine
En faisant varier les épaisseurs de la platine sous différentes valeurs de moments et
d’efforts tranchants tels qu’illustré dans le tableau ci-dessous, et après résolution trois
zones de contact ont été obtenues et représentées, à savoir : la zone de contact de nœuds
adhérents (en vert) , la zone de contact de nœuds glissants (en rouge) et la zone de contact
de nœuds décollants (en noir). Ces différentes figures montrent bien que la zone de
décollement se développe le long de l’âme de la poutre et confirme les résultats théoriques
à l’origine de la méthode adoptée par l’Eurocode 03 où des tronçons en Té déformables
sont utilisés comme éléments de calcul.
76
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
M=18KNm
V=72 KN
M =36 KNm
V =144 KN
77
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
M =54 KNm
V =216KN
M =72 KNm
V =288 KN
M =90 KNm
V =360 KN
78
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
Le tableau des figures ci-dessous montre les configurations des nœuds décollants, glissants
et adhérents sur les deux surfaces de contact avec même épaisseur de platine 20mm,
correspondants aux deux cas : sans et avec raidisseurs de poteau. On constate que la
présence de raidisseurs fait réduire les zones de décollement Ceci est dû à la diminution de
la déformabilité de l’assemblage causée par ces raidisseurs.
Tableau 6. 4- L’influence de la présence ou non de raidisseur
M =18 KNm
V =72 KN
M =36 KNm
V =144 KN
79
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
M =54 KNm
V =216KN
M =72 KNm
V =288 KN
M =90 KNm
V =360 KN
80
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
120,00
100,00
80,00
sans rd ep 10
60,00
sans rd ep 20
40,00 sans rd ep30
20,00
0,00
0,00 0,20 0,40 0,60 0,80 1,00
angle de rotation (rad)
140,00
Moments (KNm)
120,00
100,00
80,00
avec rd ep 10
60,00
avec rd ep 20
40,00 avec rd ep30
20,00
0,00
0,00 0,20 0,40 0,60 0,80 1,00 1,20
angle de rotation (rad)
81
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
La figure 6.30 ci-dessous montre les deux courbes reliant le moment M appliqué à
l’assemblage à sa rotation en radians et ce, pour les deux cas considérés : sans et avec la
présence des raidisseurs (en rouge). On peut remarquer que l’influence est minime au
début du chargement (puisque les courbes sont confondues) et l’écart entre ces courbes
tend à augmenter d’avantage au fur et à mesure de l’augmentation du chargement.
Toutefois cet écart semble ne pas dépasser la valeur de 10%.
82
Chapitre 6. Modélisation par éléments finis, résultats et discussion
Le modèle élément fini utilisé pour les deux cas (avec et sans raidisseurs), est un
modèle tridimensionnel formulé en déplacements et utilisant des éléments volumiques iso-
paramétriques hexaédriques à 8 nœuds nommés CUB8 à trois degrés de liberté de
translation par nœud.
A cet effet des éléments de contact surfaciques doivent être utilisés de part et d’autre
du contact platine-semelle de poteau. Afin de faciliter d’avantage la résolution de ce
problème, des maillages de contact de type compatibles (nœuds à nœuds) ont été utilisés.
Autrement dit, il s’agit de deux maillages identiques situés de part et d’autres et où les
nœuds sont en vis-à-vis et ont les mêmes coordonnées. Ainsi, l’écriture et la
programmation des conditions de non pénétration devient plus facile à mettre en œuvre
avec l’opérateur RELATION (ou bien RELA). Pour cela, le type d’élément utilisé est
linéaire de forme quadrangulaire à quatre nœuds et nommé QUA4 dans CAST3M
83
CHAPITRE V.MODELISATION PAR ELEMENTS FINIS, RESULTAS ET DISCUSSION
Conclusion générale
A l’issue de cette étude, plusieurs aspects ont été abordés à savoir : les aspects de
calculs et de conception mécanique liés aux assemblages métalliques ainsi que les aspects
règlementaires fournis par les Eurocodes, la théorie du contact avec ou sans frottement
ainsi que toute les difficultés qu’elle comporte, et enfin la simulation numérique
tridimensionnelle utilisant la méthode des éléments finis. La mise en place de modèles
numérique de calcul et sa résolution en utilisant le logiciel CAST3M, ont permis d’obtenir
des résultats très proches de la réalité et en bonne concordance avec ceux de l’Eurocode
03. Toutefois, il y a lieu de signaler que nous nous sommes limités uniquement au modèle
de comportement élastoplastique parfait lequel est adopté par les quasi-totalité des codes
de calcul notamment l’Eurocode 03. Cela étant dit, afin d’enrichir d’avantage le présent
travail à l’avenir, l’idée consiste à enrichir d’avantage les lois de comportement en tenant
compte par exemple, de l’écrouissage de l’acier ou bien de son endommagement. Ceci
pourrait faire l’objet de futurs thèmes de fin d’études.
84
Liste des Figures
Chapitre 1.
Figure 1.2 - Schéma explicatif d’assemblage de deux pièces par boulon page4
Figure 1.7- Assemblage boulonnée d’une poutre IPE sur poteau HEB page8
Chapitre 2.
Figure 2.2- Schéma explicatif des dimensions d’une poutre métallique page 14
Figure 2.10- Ruine mixte (ligne de la plastification et ruine des boulons) page 21
Chapitre 3.
Chapitre 4.
Chapitre 6.
Figure 6.1- Assemblage HEA 600 et IPE 400 par platine sans raidisseur. page 56
Figure 6.2- Assemblages HEA 600 et IPE 400 par platine avec raidisseur. page 57
Figure 6.6- Modèle élément fini tridimensionnel de l’assemblage sans raidisseur. Page59
Figure 6.7- Modèle élément fini tridimensionnel de l’assemblage avec raidisseur. page 60
Figure 6.12- déformées de l’assemblage avec des platines d’épaisseurs différentes de 10mm
(à gauche), de 20mm (au milieu) et de 30 mm (à droite) page63
Figure 6.19- Distribution des champs de contraintes de VONMISES dans la platines dans
l’assemblage sans (à droite) et avec la présence des raidisseurs (à gauche). page69
Figure 6.20- Distribution des champs de contraintes de VONMISES des boulons dans
l’assemblage sans (à droite) et avec la présence des raidisseurs (à gauche). page67
Figure 6.21- déformation inélastique des composante de l’assemblage avec une d’épaisseur
10mm sous M=117KNm et V=468Kn page72
Figure 6.22- déformation inélastique des composante de l’assemblage avec une d’épaisseur
20mm sous M=117KNm et V=468KN page72
Figure 6.23- déformation inélastique des composante de l’assemblage avec une d’épaisseur
30mm sous M=117KNm et V=468KN page74
Figure 6.24- Déformation inélastique dans la poutre de l’assemblage sans (à gauche) avec la
présence des raidisseurs (à droite) sous M=117KNm et V=468KN page74
Figure 6.25- Déformation inélastique dans les poteaux de l’assemblage sans (à gauche) avec
la présence des raidisseurs (à droite) sous M=117KNm et V=468KN page75
Figure 6.26- Déformation inélastique dans la platine de l’assemblage sans (à gauche) avec la
présence des raidisseurs (à droite) sous M=117KNm et V=468KN page75
Figure 6.27- Déformation inélastique dans les boulons de l’assemblage sans (à gauche) avec
la présence des raidisseurs (à droite) sous M=117KNm et V=468KN page75
Figure 6.28- influence de les l’épaisseur de la platine en l’absence des raidisseurs page81
Figure 6.29- influence de les l’épaisseur de la platine en présence des raidisseurs page81
Figure 6.30- influence présence des raidisseurs platine épaisseur 20mm page82
Liste des tableaux
Chapitre 1.
Tableau 1.2- tableau des valeurs nominales de ݂௬ et ݂௨ pour les Classes des boulons page6
Chapitre 5.
Chapitre 6.
Tableau 6.2- Dimensions et positions des trous dans la platine (en mm). page58
Tableau 6.2- Influence de l’épaisseur de la platine page79
Tableau 6.2- Influence de la présence ou non de raidisseur page80
Liste des notations
Wc : champ de déplacement
Rc : champ de réaction
µ : Coefficient de frottement
w : L’énergie de déformation
T : L’énergie de travail
ε : La déformation
σ : La contrainte
pb : Longueur de la poutre
hc : Hauteur du poteau
hp : Langueur du poteau
Références Bibliographiques
[1] mémoire master bibliographe sur Déférent type laison
[2] Construction métallique Acier Béton
[3] www.eurocodes.fr
[4] Ms.Gc ben ketti*Guen douz.pdf
Classifications des assemblages
[5] La déformation plastique et élastique .wikipédia
/http://frwikipédiaorg/wiki/déformation
[6] http:/fr.wikipédia.org/wiki/critère de plasticité
[7] http:/fr.wikipédia.org/wiki/écrouissage
[8] mémoire master bibliographie sur les types de contacts
[9] mémoire master bibliographie sur description de l’assemblage
[10] Critères de Tresca et Von mises : http://Fr.wikipédia.org