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RAPPELS

I. Le langage

 revoir « émetteur, récepteur, médium, vitesse (débit binaire) »

II. Le tour de parole

Le tour de parole permet d’éviter la corruption du signal.


Pour gérer le tour de parole, il faut un arbitre.

1) Arbitre centralisé

Un arbitre centralisé est équivalent à une machine à part (nécessité d’un système de
scrutation, le « polling »)

Exemple de système d’arbitre centralisé :


 revoir CSMA,CA (Token ring) :
système permettant d’éviter les collisions

implémentation : Le jeton est une trame détenue par un serveur de jeton.


Ce jeton circule de proche en proche.
Pendant un tour de parole, si celui qui possède le jeton envoie une info, le jeton (accompagné
de l’info) fait le tour du réseau. La machine « jeton » reçoit un ACK.

Architecture logique en anneau


physique en étoile (HUB)

HUB

 Temps de parole : Il faut un générateur de temps d’allocation (TDMA)


RQ : ce système est utilisé pour la gestion du son sur le réseau en temps réel. Sur Ethernet, le
son n’est pas en temps réel (utilisation d’un tampon)

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DUT info 2eme année
2) Arbitre réparti

Un arbitre réparti implémente des règles sur chaque machine.

Exemple de système d’arbitre réparti :


 revoir CSMA,CD (Ethernet)
 Donner une hiérarchie aux machines (= donner un temps)
RQ : Il faut définir à l’avance les priorités.

III. Gestion des erreurs

RQ : La « perte » est une erreur sur le champs adresse, donc personne ne va la détecter)

Choix entre demander la répétition (le plus fréquent) et l’autocorrection (pour des raisons de
confidentialité ou de distance du récepteur, mais ajout de bit de contrôle)

On distingue deux types d’erreurs :


- Isolées : sans influence extérieure le support à tendance à s’opposer à la bonne
transmission.
- Groupées : le support n’a pas été suffisamment isolé donc du bruit parasite vient « noyé »
le signal.

Stratégie de gestion des erreurs :


Erreur : détection (CRC)
réémission

autocorrection (ex : codage de Hamming)

Autre possibilité : c’est une couche supérieure du protocole qui décide de réémettre le fichier
(car il n’y a quasiment plus d’erreur)

RQ : systèmes fiables : X25, HDLC, transpac (minitel)

IV. Contrôle de flux

Demander l’arrêt de l’émission et sa reprise


RQ : La saturation
chez le récepteur, il n’arrive plus à traiter l’information, problème lié à la
vitesse de transmission.
chez le routeur, source d’engorgement.

Si on met un système de gestion d’erreurs et de flux, le routeur doit aussi s’en occuper hors un
routeur sert uniquement à rediriger l’information, ces deux systèmes doivent être fait chez
l’utilisateur (par la couche supérieure du protocole).
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eme
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Explication du système de routage et de découpage de fichier en paquets :
 Liée directement au taux d’erreurs car la probabilité d’avoir une erreur sur
un gros fichier est élevée mais le reste lors de la réémission, alors que cette
même probabilité baisse dans le cas d’un découpage.
 Lié à un système de transmission équitable.

V. Les types de trames

langage
Trames d’information
tour de parole
D @s @d information CRC F

Champ commande
Gestion des erreurs : Trames de service

D @s @d CRC F

Requête de retransmission

RQ : ce type de trame n’utilise pas obligatoirement le même canal de communication.

Gestion de flux :
- système « send and wait »
- système de fenêtrage (buffer)

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